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SECTEUR : ADMINISTRATION, SECRÉTARIAT ET INFORMATIQUE

NIVEAU D’ÉTUDES : ENSEIGNEMENT COLLÉGIAL

 

TECHNICIEN(NE) EN GESTION COMMERCIALE (Marketing)

DIPLÔME D’ÉTUDES COLLÉGIALES D.E.C.

 

Voir aussi la page de technicien en commerce international

 

Voir aussi la page d'agent(e) et courtier(ère) en immobilier

 

Consulte aussi la section "liens recommandés" à la fin de cette page (dont des vidéos de spécialistes en marketing qui parlent de leur travail).

 

TÂCHES ET RESPONSABILITÉS :

 

En tant que technicienne ou technicien en marketing; tu seras responsable de la planification, à la réalisation et à l'évaluation du plan de communication-marketing et des activités promotionnelles de diverses formes dans une perspective d’amélioration de l’expérience client.

 

Tu auras pour tâches de :

En tant que représentante ou représentant aux ventes en commerce de gros; tu seras responsable de vendre des biens et des services non techniques à des détaillants, grossistes, et établissements commerciaux, industriels ou spécialisés, ainsi qu'à d'autres clients au Canada et à l'étranger.

 

Tu auras pour tâches de :

En tant que superviseure ou superviseur des ventes dans un commerce au détail ou un commerce de gros; tu seras responsable de superviser et de coordonner le travail d'une équipe affectuée aux ventes (commis, marchandiseurs, vendeurs et représentants) au sein d'une entreprise de vente au détail ou d'une équipe de représentants(es) au sein d'une entreprise commerciale de gros.

 

Tu auras pour tâches de :

APTITUDES ET QUALITÉS REQUISES :

-         Aimer travailler avec public, car les contacts avec les gens sont fréquents

-         Très bien connaître tes produits et services afin de mieux développer des stratégies de promotion et de développement

-         Entregent et sens de la persuasion pour réussir à obtenir des résultats de ventes et convaincre autant l'équipe des ventes que les membres de la direction sur le bien-fondé de tes stratégies marketing proposées

-         Imagination et créativité pour réalisés des concepts publicitaires originales si tu envisages un emploi dans le secteur publicitaire

-         Sens des responsabilités et bon jugement puisque tu auras probablement une équipe de ventes et publicité sous ta responsabilité

-         Sens de l’organisation, pour bien gérer toutes les données relatives aux produits, aux services, aux marchés et aux consommateurs cibles

-         Esprit d’analyse, car les décisions devront être bien étudiées avant d’être exécutées

-         Bonne capacité à la résolution de problèmes car tu devras résoudre toutes sortes de problèmes relatifs à la promotion et au développement des produits

-        Leadership et dynamisme car tu seras appelé(e) à participer activement aux activités nécessaires au bon fonctionnement de l'unité

-         Excellente maîtrise de la langue française parlée et écrite afin de t'exprimer de facon claire et professionnelle au cours des réunions avec les différents responsables de la production et avec les membres de la direction ou des partenaires extérieurs et pour rédiger des rapports de qualité

-         Très bonne connaissance de l’anglais (le bilinguisme est souvent exigé) : afin de t'exprimer de facon claire et professionnelle au cours des réunions avec les différents responsables et employés du département et avec les membres de la direction ou des partenaires extérieurs et pour rédiger des rapports de qualité, y comprit en téléconférence avec des membres de l'entreprise ou partenaires situés partout dans le monde

PROFESSIONS APPARENTÉES :

-        Acheteur-adjoint ou acheteuse-adjointe

-        Agent(e) commercial(e)

-        Agent(e) de location immobilière

-        Agent(e) de promotion

-        Agent(e) de publicité

-        Agent(e) de service à la clientèle

-        Agent(e) immobilier(ère)

-        Assistant(e) Gérant(e) des ventes

-        Coordonnateur(trice) adjoint(e) des ventes (après expérience)

-        Coordonnateur(trice) des ventes (après expérience)

-        Courtier(ère) en immobilier

-        Directeur(trice) adjoint(e) des ventes (après expérience)

-        Directeur(trice) adjoint(e) des ventes (après expérience)

-        Gérant(e) des ventes

-        Gestionnaire d’immeubles

-    Inspecteur(trice) d'établissements hôteliers et touristiques (classification)

-        Représentant(e) aux ventes

-        Représentant(e) commercial à l’étranger

-        Représentant(e) publicitaire

-       Technicien(ne) en administration

-   Technicien(ne) en information (promotion des programmes et services offerts par organisation auprès de la communauté étudiante dans un cégep ou université)

-        Technicien(ne) en marketing

-        Vendeur-conseiller ou vendeuse-conseillère

EMPLOYEURS POTENTIELS :

-        Toutes PME (commerciales de détail, commerciales de gros, manufacturières et de services) dans les tous les secteurs d'activités

-        Toutes grandes entreprises (commerciales de détail, commerciales de gros, manufacturières et de services) dans les tous les secteurs d'activités

-        Organismes privés (associations, conventions collectives, fondations et autres organismes sans but lucratif OSBL, etc.)

-        Compagnies d’assurances

-        Compagnies immobilières

-    Établissements d'enseignement privés (écoles secondaires, écoles professionnelles, collèges)

-        Firmes de courtage en immobilier

-    Firmes de consultants en gestion

-        Firmes de marketing

-        Institutions financières

-        Maisons de sondage

-        Agences de publicité

-        À ton propre compte (comme agent(e) publicitaire ou créant ton propre commerce)

EXIGENCES DES EMPLOYEURS :

-        Excellente maîtrise de la langue française parlée et écrite

-        Connaissance de l’anglais (le bilinguisme est un atout important et parfois même une exigence)

-        Polyvalence

-        De l’expérience dans le travail auprès du public est appréciée (vendeur, caissier, livreur, etc.)

-        Expérience en vente est un atout

AFFILIATIONS À DES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES :

Certains emplois exigent d’être membre d’une association professionnelle, c’est le cas du suivant :

 

-        Courtier(ère) ou Agent(e) immobilier, tu dois détenir un permis de l'Organisme d'autoréglementation du courtage immobilier du Québec OACIQ

 

Pour plus de détails, consulte la page de courtier en immobilier.

 

Pour les autres types d’emplois, aucune association professionnelle n'existe.

 

PLACEMENT :

 

Selon les données disponibles au 31 mars 2018 :

 

Plus de la moitié des répondants(es), soit 55 % ont poursuivi leurs études à l'université en administration (notamment en bénéficiant du DEC-BAC).

 

Parmi les répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail, le placement est bon, 64 % d'entre-eux ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la presque totalité, soit 85 % sont à temps complet.

 

Quelques répondants(es) en emploi relié, soit 6 % ont choisi de travailler à leur propre compte.

 

NOMBRE DE  RÉPONDANTS

NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ

NOMBRE À TEMPS COMPLET

NOMBRE
 À LEUR COMPTE

NOMBRE
 AUX
ÉTUDES

501 143 122 9 276

 

Note 1 : légère hausse du taux de placement en comparaison avec les années précédentes (était de 60 % en 2016; 60 % en 2014 et 60 % en 2012).

 

Note 2 : baisse du nombre de répondants(es) poursuivant des études universitaires par rapport aux années précédentes (était de 64 % en 2016; 60 % en 2014; 57 % en 2013 et 54 % en 2012).

 

Source : Ministère de l’Enseignement supérieur du Québec

 

SALAIRE :

 

Selon les données 2022 :

 

Le salaire moyen en début de carrière était de :

Secteur privé :

-         17,00 $/heure (35 hres/sem) tous postes confondus au sein des PME Note : plusieurs des emplois en vente ont des commissions qui s’ajoutent au salaire de base

-        19,60 $/heure (37,5 hres/sem) en moyenne en tant que représentant(e) aux ventes - particuliers ou représentant(e) aux ventes - petites entreprises au sein des grandes entreprises de télécommunications

-         20,98 $/heure (37,5 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en marketing ou technicien(ne) en promotions et publicité  ou technicien(ne) en mise en marché au sein des grandes entreprises de télécommunications

-    21,16 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'agent(e) des ventes dans les grands hôtels (extérieur de Montréal)

-         22,95 $/heure (35 ou 40 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en information et promotion des études) au sein des collèges privés d'enseignement post-secondaire

-    23,47 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que représentant(e) en assurance des particuliers (+ commissions + bonis) au sein des grandes compagnies d'assurances

-    23,75 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en marketing ou technicien(ne) en promotion ou agent(e) de promotion ou adjoint(e) au marketing ou technicien(ne) en communication ou technicien(ne) en information ou agent(e) des relations avec la clientèle au sein des grandes entreprises de commerce au détail

-    23,83 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que représentant(e) en assurance des PME (+ commissions + bonis) au sein des grandes compagnies d'assurances

-     24,22 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'agent(e) des ventes dans les grands hôtels (Île de Montréal)

-         24,54 $/heure (37,5 hres/sem) en moyenne (il faut ajouter des commissions et même des bonus) en tant que représentant(e) aux ventes - particuliers ou représentant(e) aux ventes - petites entreprises au sein des grandes entreprises de télécommunications

-    24,79 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en markerting ou technicien(ne) en promotions et publicité ou technicien(ne) en mise en marché ou technicien(ne) en information ou technicien(ne) en commercialisation ou technicien(ne) au soutien aux ventes ou technicien(ne) en affaires électroniques au sein des grandes compagnies d'assurances

-         24,84 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en marketing ou agent(e) de promotion ou agent(e) de mise en marché au sein des grandes industries (tous secteurs confonfus)

-         26,87 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en marketing ou agent(e) de promotion ou agent(e) de mise en marché au sein des grandes industries du matériel de transport terrestre (routier et ferroviaire)

-         28,97 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en marketing ou agent(e) de promotion ou agent(e) de mise en marché au sein des grandes industries de fabrication des aliments et boissons

-         30,64 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en marketing ou agent(e) de promotion ou agent(e) de mise en marché au sein des grandes entreprises manufacturières (tous secteurs confonfus)

-         31,88 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en marketing ou agent(e) de promotion ou agent(e) de mise en marché au sein des grandes industries papetières

-         32,18 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en marketing ou agent(e) de promotion ou agent(e) de mise en marché au sein des grandes industries de première transformation des métaux

-    570,00 $/semaine (40 à 45 hres/sem) en moyenne + commissions et parfois, bonis aux ventes en tant que conseiller(ère) aux ventes au sein de concessionnaires et autres commerces de véhicules d'occasions et des concessionnaires de véhicules récréatifs

-    692,00 $/semaine (40 à 45 hres/sem) en moyenne + commissions et parfois, bonis aux ventes en tant que conseiller(ère) aux ventes au sein des concessionnaires automobiles de véhicules neufs

-         725,00 $/semaine (plusieurs postes la rémunération n'est établie que par un % des commissions, alors que d'autres il y a un salaire de base + commissions) en tant que représentant(e) des ventes au sein des PME

-         1 064,00 $/semaine en moyenne (+ commissions et parfois, des bonis) en tant que représentant(e) des ventes au sein grandes industries de la plasturgie, du caoutchouc et des composites

-         1 078,00 $/semaine en moyenne (+ commissions et parfois, des bonis) en tant que représentant(e) des ventes au sein grandes industries de fabrication métallique industrielle

-         1 177,00 $/semaine en moyenne (+ commissions et parfois, des bonis) en tant que représentant(e) des ventes au sein grandes entreprises manufacturières (tous secteurs confondus)

-         1 188,00 $/semaine en moyenne (+ commissions et parfois, des bonis) en tant que représentant(e) des ventes au sein grandes entreprises manufacturières (tous secteurs confondus)

-         1 209,00 $/semaine en moyenne (+ commissions et parfois, des bonis) en tant que représentant(e) des ventes au sein grandes industries alimentaires

-         1 234,00 $/semaine en moyenne (+ commissions et parfois, des bonis) en tant que représentant(e) des ventes au sein grandes industries papetières

Note 1 : hausse de la moyenne salariale au sein des PME par rapport aux années précédentes (était de 18,06 $ en 2019; 16,56 $ en 2016 et 16,00 $ en 2014).

Note 2 : dans le domaine de la vente et de la représentation, il faut aussi ajouter au salaire de base, les commissions aux ventes et parfois des bonis.

Note 3 : dans le domaine de la vente automobile, il faut aussi ajouter au salaire de base les commissions aux ventes (20 ou 25 % en moyenne) et parfois des bonis constituant une part importante de la rémunération et parfois d'autres avantages (ex : véhicule fourni, lap top fourni, cellulaire fourni, rabais pour l'entretien de ton véhicule, rabais pour la famille, soins de santé, etc).

Note 4 : chez les grands employeurs privés, les augmentations sont établies selon les conventions collectives.

Secteur public et parapublic :

-     20,48 $/heure (38,75 hres/sem) en tant que technicien(ne) en administration - promotion touristique à la SEPAQ (parcs nationauxet centres récréotouristiques)  

-        21,59 $/heure (35 hres/sem) en tant que technicien(ne) en information dans la fonction publique québécoise

-    22,08 $/heure (35 hres/sem) en tant que conseiller(ère) accrédité aux vins (en magasin) à la Société des alcools du Québec SAQ

-    23,24 $/heure (35 hres/sem) en tant quetechnicien(ne) au support à la prospection d'investissements à Investissements Québec

-         23,48 $/heure (35 hres/sem) en tant que technicien(ne) en information (et promotion des études) dans un centre de services scolaires ou un cégep

-         24,21 $/heure (35 heures/sem) en tant que technicien(ne) en administration dans les centres de services scolaires et les cégeps

-         24,21 $/heure (35 heures/sem) en tant que technicien(ne) en administration (promotion de la santé) dans le réseau de la santé et des services sociaux

-         24,23 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en information (promotion des programmes d'études) dans les universités

-    24,65 $/heure (35 hres/sem) en tant que technicien(ne) en mise en marché à la Société des alcools du Québec SAQ

-         24,68 $/heure (35 hres/sem) en tant que coordonnateur(trice)-adjoint(e) aux événements ou technicien(ne) en marketing (tourisme d'affaires) ou technicien(ne) en expérience client au Centre des congrès de Québec

-    25,43 $/heure (35 hres/sem) en tant que technicien(ne) en administration à la Société des casinos du Québec

-    25,43 $/heure (35 hres/sem) en tant que technicien(ne) en administration ou technicien(ne) en information à Loto-Québec et et à la Société des casinos du Québec

-    26,09 $/heure (32,5 ou 33 ou 33,45 ou 33,75 ou 35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en promotion touristique ou coordonnateur(trice) des événements touristiques au sein des municipalités de taille moyenne (20 000 à 99 999 habitants)

-    26,20 $/heure (33 ou 33,75 ou 35 ou 38 ou 40 hres/sem selon les organisations) en moyenne en tant que représentant(e) aux ventes publicitaires au sein des grandes entreprises publiques de transport urbain

-         27,56 $/heure (33,45 ou 33,75 ou 35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en promotion touristique ou coordonnateur(trice) des événements touristiques au sein des grandes municipalités (100 000 habitants et plus)

-         27,95 $/heure (35 hres/sem) en tant que  technicien(ne) aux événements spéciaux au Palais des congrès de Montréal

-      28,12 $/heure (37,5 hres/sem) en tant qu'agent(e) de promotion et gestion des événements ou coordonnateur(trice) de l'expérience passager à l'Aéroport internatinal de Québec Jean-Lesage

-    28,31 $/heure (35 hres/sem) en tant que représentant(e) aux ventes auprès des détaillants à la Société des alcools du Québec SAQ

-        28,31 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que préposé(e) accueil et information aux passagers ou agent(e) système passager et transport commercial à Aéroports de Montréal

-    29,14 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que représentant(e) interne des ventes (clients commerciaux) à Postes Canada

-    31,89 $/heure (32,5 ou 33,75 ou 35 ou 40 hres/sem selon les organisations) en moyenne en tant que technicien(ne) en marketing et promotion ou agent(e) de commercialisation ou technicien(ne) en information au sein des grandes entreprises publiques de transport urbain

-    31,96 $/heure (32 ou 35 ou 38 hres/sem) + bonis en tant que représentant(e) des ventes - clientèle affaires - petites entreprises à Hydro-Québec

-    32,03 $/heure (36,25 hres/sem) en tant que commis aux ventes ou agent(e) des ventes résidentielles - nouvelle construction à Énergir (anciennement "Gaz métro")

-       32,61 $/heure (32 ou 35 ou 38 hres/sem) en tant que représentant(e) des ventes - clientèle affaires à Hydro-Québec

-    33,35 $/heure (35 hres/sem) en tant que technicien(ne) en marketing et promotion à la Société de transport de Montréal STM

-    41,50 $/heure (36,25 hres/sem) en tant que représentant(e) aux ventes et développement résidentiels - nouvelle construction ou représentant(e) des ventes - clientèle affaires - petites entreprises (+ bonus) à Énergir (anciennement "Gaz métro")

Note : dans le secteur public et parapublic, les augmentations sont établies selon les conventions collectives.

Sources : Ministère de l’Enseignement supérieur du Québec, Conseil du trésor du Québec, Commission de la Fonction publique du Canada, Forces canadiennes, Association canadienne des maîtres de postes et adjoints, Guilde canadienne des médias - section locale CBC, Syndicat canadien de la fonction publique - section locale 675 (employés de bureau et professionnels de la SRC), Alliance de la fonction publique du Canada - section locale Aéroport de Québec et section locale - employés administratifs des Aéroports de Montréal, Syndicat des travailleuses et travailleurs de Loto-Québec, Syndicat de la fonction publique du Québec - section locale Investissements Québec, Syndicat des employés de la Société immobilière du Québec, Syndicat du personnel technique et professionnel de la SAQ, Syndicat du personnel administratif, technique et professionnel de la Société de transport de Montréal STM, Syndicat des employés professionnels et de bureau - section locale 463 (Gaz métro) et section locale 2000 (Hydro-Québec), conventions collectives des employés de soutien de plusieurs universités, conventions collectives des employés municipaux de plusieurs grandes municipalités, conventions collectives des employés municipaux de plusieurs moyennes municipaux, conventions collectives des employés de plusieurs entreprises publiques de transport urbain, conventions collectives des employés de plusieurs grandes entreprises de médias, conventions collectives des employés de plusieurs grands établissements hôteliers, conventions collectives des employés techniques et de bureau de plusieurs grandes industries, conventions collectives des employés de plusieurs grandes entreprises de commerce dau détail (sièges sociaux), conventions collectives des employés de plusieurs entreprises de télécommunications et conventions collectives des employés de plusieurs compagnies d'assurances et Québec.

PORTRAIT DE LA PROFESSION :

 

Selon Emploi-Québec; il y avait plus de 28 000 agents(es) commerciaux et représentants(es) des ventes - secteur du commerce de gros (tous domaines confondus);

 

Ainsi plus de 3 000 superviseurs(es) du service à la clientèle et superviseurs(es) de centres de contact-clients dans l'ensemble des régions du Québec en 2018.

Plus de 65 % étaient des hommes, alors que les femmes représentaient 35 %.

 

Plus de 90 % occupaient un poste à temps complet.

La répartition selon l'âge était :

La répartition des agents(es) et représentants(es) en commerce de gros selon le type d'employeur était :

Selon Emploi-Québec; il y avait plus 28 000 agents(es) commerciaux et représentants(es) de commerce - secteur du commerce de gros (tous domaines confondus);

 

Ainsi que plus de 15 000 chefs des ventes et superviseurs(es) des ventes et du marketing - secteur du commerce de gros (tous domaines confondus); dans l'ensemble des régions du Québec en 2018.

Plus de 62 % étaient des femmes, alors que les hommes représentaient 38 %.

 

Plus de 79 % occupaient un poste à temps complet (92 % pour les responsables du service à la clientèle).

La répartition selon l'age était :

La répartition des agents(es) et techniciens(nes) en administration selon le type d'employeur était :

PERSPECTIVES D'AVENIR :

La concurrence entre les entreprises d'ici et de plus en plus au niveau international, les entreprises ont besoin de personnel qualifié afin d'élaborer des stratégies  marketing innovantes et développer de nouveaux marchés qui leurs permettront de se démarquer de leurs rivales.

Dans la plupart des régions du Québec, de nombreux emplois sont disponibles autant dans les grandes entreprises que dans les PME  afin d'assurer la promotion, le service à la clientèle et la gestion de leurs entreprises.

Par contre, plusieurs employeurs favorisent les titulaires d'un grade universitaire.

Pour ce qui est du commerce au détail, il est vrai que les emplois en gestion de magasin ne sont pas très nombreux ces derniers temps ....

Mais, les techniciens(nes) en marketing travaillent aussi dans les sièges sociaux des chaînes de magasins dans les domaines tels que : la promotion, mise en marché et développement de produits, marketing sur Internet, marketing dans les réseaux sociaux, etc.

La rémunération moyenne après expérience en 2022 :

le salaire annuel moyen d'un(e) technicien(ne) en marketing détenant 10 années d'expérience au sein d'une PME était de 43 200 $;

le salaire annuel moyen d'un(e) représentant(e) commercial détenant 10 années d'expérience au sein d'une PME (distributeur, grossiste ou importateur) était de 47 200 $;

le salaire annuel moyen d'un(e) représentant(e) en assurances des particuliers détenant 10 années d'expérience au sein d'une grande compagnie d'assurances était de 55 100 $;

le salaire annuel moyen d'un(e) technicien(ne) en marketing ou représentant(e) aux ventes - PME détenant 10 années d'expérience au sein d'une grande entreprise de télécommunications était de 55 600 $;

le salaire annuel moyen d'un(e) technicien(ne) en marketing détenant 10 années d'expérience au sein d'une grande entreprise de commerce au détail (chaîne d'alimentation ou chaîne de pharmacies) était de 56 200 $;

le salaire annuel moyen d'un(e) technicien(ne) en marketing détenant 10 années d'expérience au sein d'une grande compagnie d'assurances était de 58 200 $;

le salaire annuel moyen d'un(e) technicien(ne) en marketing détenant 10 années d'expérience au sein de Loto-Québec et la Société des casinos du Québec était de 61 600 $;

le salaire annuel moyen d'un(e) technicien(ne) en mise en marché détenant 10 années d'expérience au sein de la Société des alcools du Québec était de 62 800 $;

le salaire annuel moyen d'un(e) représentant(e) commercial détenant 10 années d'expérience au sein d'une grande industrie de fabrication d'aliments et boissons était de 65 400 $;

le salaire annuel moyen d'un(e) technicien(ne) en marketing détenant 10 années d'expérience au sein d'une grande entreperise publique de transport urbain était de 68 500 $;

le salaire annuel moyen d'un(e) agent(e) des relations commerciales (représentant-e) détenant 10 années d'expérience au sein de la Société des alcools du Québec était de 70 200 $.

PORTRAIT DE L'INDUSTRIE DU COMMERCE DE GROS :

 

Cette industrie comprend les établissements dont l'activité principale consiste à vendre en gros des marchandises généralement sans transformation, et à fournir des services résultant de la vente de marchandises auprès de détaillants.

 

Les grossistes vendent des marchandises à d'autres entreprises et travaillent habituellement à partir d'entrepôts ou de bureaux. Ces entrepôts et bureaux sont caractérisés par le fait que peu de marchandises y sont exposés, voire aucune. En outre, ni l'aménagement ni l'emplacement des locaux ne visent à attirer les passants. Les grossistes habituellement ne font pas de publicité auprès du grand public.

 

On peut les nommer "grossiste", "distributeur", "importateur", "importateur-grossiste", "détaillant-grossiste", manufacturier-grossiste" manufacturier-distributeur" "intermédiaire de commerce" ou "agent ou courtier en gros", ce sont toutes des appellations de commerçant de gros.

 

Ce secteur comprend deux principaux types de grossistes, soit les grossistes-marchands qui vendent des biens pour leur propre compte, et les marchés électroniques de gros et agents et courtiers en gros qui prennent des dispositions pour l'achat et la vente de biens pour le compte de tiers, habituellement moyennant le versement d'une commission ou d'honoraires.

 

Les grossistes-marchands achètent et vendent des marchandises pour leur propre compte; autrement dit, ils s'approprient les marchandises qu'ils vendent. Ils travaillent habituellement à partir d'entrepôts ou de bureaux et ils peuvent expédier les marchandises qu'ils ont en stock, ou les faire expédier directement du fournisseur au client. En plus de vendre des marchandises, ils peuvent assurer ou faire le nécessaire pour que soient assurés des services de logistique, de marketing et de soutien tels que l'emballage et l'étiquetage, la gestion des stocks, l'expédition, le traitement des réclamations au titre de la garantie, la promotion interne ou la promotion co-op et la formation requise relativement au produit.

 

Les grossistes-marchands sont connus sous diverses appellations selon les liens qu'ils entretiennent avec les fournisseurs ou les clients, ou selon la méthode de distribution qu'ils emploient. Ils peuvent se faire appeler, par exemple, marchands en gros, distributeurs en gros, intermédiaires en gros, concessionnaires de rayon, marchands d'import-export, groupes d'acheteurs, coopératives de marchands et grossistes d'une bannière particulière.

 

Les succursales ou bureaux de vente (mais pas les magasins de détail) dont se servent les entreprises de fabrication, de raffinage ou d'exploitation minière pour commercialiser leurs produits et qui sont situés ailleurs qu'à leurs usines ou à leurs mines sont compris dans les différentes catégories de grossistes-marchands.

 

Les marchés électroniques de gros entre entreprises et les agents et courtiers en gros prennent des dispositions pour l'achat ou la vente de biens appartenant à des tiers, généralement moyennant le versement d'une commission ou d'honoraires. Ils s'appellent marchés électroniques de gros entre entreprises, agents et courtiers du commerce de gros, marchands à commission, agents ou courtiers d'importation/exportation, compagnies de ventes aux enchères et représentants de fabricants. Ces établissements mènent leurs activités à partir de bureaux et, généralement, ne sont pas propriétaires des biens qu'il vendent ou n'en font pas la manutention.

 

On peut diviser cette industrie en 9 sous-secteurs de distribution, soit :

  • grossistes-marchands de produits agricoles : on y vend en gros des animaux vivants d'élevage, des graines oléagineuses et grains céréaliers, du lait brut, des fruits et légumes bruts non traités, des produits et plantes de pépinière et autres produits agricoles bruts (ex : cuirs et peaux non traités, de le soie brute, du sucre brut, du tabac brut, etc.).

  • grossistes-marchands de pétrole et de produits pétroliers : on y vend en gros du pétrole brut, du gaz de pétrole liquéfié, du mazout domestique, du gaz naturel liquéfié, du carburant pour véhicules (essence, diesel, kérosène, etc.) et autres produits pétroliers raffinés (ex : huiles et graisses lubrifiantes, huile à fournaise, gaz propane, pétrole distillé, etc.).

  • grossistes-marchands de produits alimentaires, de boissons et de tabac : comprend les produits alimentaires pour la consommation humaine (produits laitiers, volailles et œufs, viandes rouges et produits de la viande, fruits et légumes frais, poissons et fruits de mer, produits de boulangerie et pâtisserie, confiseries, aliments congelés emballés, café, thé, marinades/conserves/sauces, confitures/gelées/marmelades, aliments en conserve, aliments santé, gamme complète de produits alimentaires, etc.); les boissons alcoolisées ou non alcoolisées (ex : bières, liqueurs et vins, spiritueux, cidres, rafraîchissements, boissons gazeuses, concentrés de boisson, boissons rafraîchissements et santé, eaux minérales et de source, etc.); ainsi que les cigarettes et autres produits du tabac (cigares, cigarettes, tabac coupé, tabac séché ou transformé, etc.).

  • grossistes-marchands d'articles personnels et ménagers : regroupe un large éventail de produits tels que : les textiles, les vêtements et les chaussures (bottes, souliers, sandales, sacs à main et portefeuilles, lingerie et sous-vêtements, vêtements-prêt-à-porter, vêtements et mercerie pour hommes et garçons, vêtements de sport, vêtements de travail, chapeaux et casquettes, articles de tricot, autres accessoires vestimentaires, tissus, etc.); matériel de divertissement au foyer et appareils ménagers (systèmes de cinéma maison, systèmes de son, téléviseurs, lecteurs Bluetooth, lecteurs blueray, enregistreurs numériques, appareils électriques de soins personnels, appareils électriques de cuisine, aspirateurs ménagers, climatiseurs électriques, appareils électroménagers, les meubles de maison, etc.); accessoires de maison (lingerie et autres textiles domestiques, revêtements de sol comme les tapis ou les carreaux de parquet, les accessoires de décoration comme les stores, les cadres ou les miroirs, etc.); les articles personnels (bijoux et montres, livres et périodiques, jeux, jouets et articles de passe-temps, articles et équipements de sport, instruments de musique, matériel et fournitures photographiques, autres articles de divertissement, etc.).

  • grossistes-marchands de véhicules automobiles, et de pièces et d'accessoires de véhicules automobiles : comprend autant les automobiles et camions légers neufs et d'occasion, les véhicules récréatifs et de loisirs (motocyclettes, scooters, motoneiges, VTT, voiturettes de golf, embarcations nautiques motorisées ou non motorisées, véhicules de camping, roulottes, VR, remorques de camping, remorques pour automobiles, etc.) et les pièces et accessoires pour automobiles et camions légers, les pièces et accessoires pour véhicules récréatifs et de loisirs; que les véhicules lourds ou leurs pièces et accessoires (camions, tracteurs de camions, autobus, remorques pour camions, etc.).

  • grossistes-marchands de matériaux et fournitures pour la construction : regroupe le matériel de chauffage et de climatisation, le matériel, accessoires et produits pour la plomberie, les appareils d'éclairage, le matériel et l'appareillage de distribution électrique, les câbles, fils et autres fournitures électriques; les métaux et produits métalliques pour la construction (ex : charpentes/profilés et plaques, tubes et tuyaux, feuilles métalliques, ouvrages métalliques d'architectures, etc.); le bois d'œuvre, les contreplaqués, les menuiseries préfabriquées, les articles de quincaillerie, les peintures et produits de revêtement, et d'autres fournitures de construction, etc.

  • grossistes-marchands de machines, matériel et fournitures : regroupe un large éventail de produits tels que : matériel et équipements pour l'entretien paysager; les ordinateurs, périphériques et les logiciels de série; les composants électroniques, matériel de communication et de navigation (ex : équipements commerciaux de sonorisation, systèmes téléphoniques commerciaux, systèmes de câblodistribution, systèmes de radar, systèmes de signalisation, etc.); les machines et équipements de bureau; les équipements, matériel et fournitures pour magasins; le matériel d'ameublement commercial ou institutionnel (pour hôtels, restaurants, immeubles à bureaux, écoles, hôpitaux, etc.); les machines, matériel, fournitures et pièces d'équipements pour l'agriculture; les machines, matériel, fournitures et pièces d'équipements pour la foresterie; les machines, matériel, fournitures et pièces d'équipements pour les carrières et les mines; les machines, équipements, matériel et pièces pour la construction et les travaux publics; les machines, les instruments médicaux, scientifiques et équipements pour laboratoires; les équipements et matériel pour entreprises manufacturières (alumineries, papetières, scieries, usines alimentaires, usines de plastiques, usines de fabrication métallique, etc.); ainsi que tous autres machines, matériel et fournitures pour établissements de services, pour professionnels (médecins, dentistes, ingénieurs, scientifiques, artistes, etc.); etc.

  • grossistes-marchands de produits et fournitures pharmaceutiques, articles de toilette, de cosmétiques et articles divers : comprend les médicaments sur ordonnance, les médicaments de prescription, les médicaments naturels, les produits biologiques médicaux, les produits radiologiques et isotopes, les parfums et flagrances, les huiles et sels de bain, les produits de soins des cheveux, les produits de soins de la peau, les cosmétiques, autres articles de pharmacie, les produits sanitaires personnels, etc.).

  • grossistes-marchands de produits divers : regroupe tous les autres produits non inclus dans les catégories précédentes tels que : les papiers et les produits de papier; les produits chimiques et produits similaires; les fournitures agricoles (semences, aliments pour animaux d'élevage, engrais et fertilisants biologiques, etc.); les matières recyclables (métaux recyclables, papiers et cartons recyclables, plastiques recyclables, autres matières recyclables); les minéraux, minerais et métaux précieux; les billes et copeaux de bois; les marchandises d'occasion sauf automobiles et pièces (meubles, vêtements, livres, etc.); tous autres produits non énumérés ailleurs (ex : animaux de compagnie, huiles et graisses animales ou végétales, articles en cuir sauf les chaussures et vêtements, enseignes, articles publicitaires, fusils et autres armes à feu, maisons mobiles, etc.).

  • commerce électronique de gros entre entreprises, ainsi qu'agents et courtiers :  comprend les agents et les courtiers en commerce de gros (les négociants travaillant à commission, les agents ou courtiers d'importation, les agents ou courtiers d'exportation, les représentants de manufacturiers, les agents d'approvisionnement et les agents de vente qui font le commerce de produits de tous genres); ainsi que le commerce électronique de gros entre entreprises (comprend les marchés électroniques de gros entre entreprises, qui servent d'intermédiaires, par Internet ou d'autres moyens électroniques, entre acheteurs et vendeurs, moyennant, en général, le versement d'une commission ou d'honoraires).

En 2016, le Québec a exporté des centaines de marchandises diverses dans de nombreux payés pour une valeur totale de près de 80,4 milliards $, soit plus de 15 % de l'ensemble des exportations canadiennes.

 

On y retrouvait plus de 6 000 grossistes-marchands dans l'ensemble des sous-secteurs partout au Québec dont :

 

44 % employaient moins de 5 personnes, 22 % employaient entre 5 et 9 personnes, 17 % employaient entre 10 et 19 personnes, 12 % avaient entre 20 et 49 employés, 4 % avaient entre 50 et 99 employés, alors que seulement 2 % des entreprises employaient 100 travailleurs ou plus.

 

Elles employaient plus de 142 100 travailleuses et travailleurs (principalement concentrés dans les régions de Montréal 30 %, Montérégie 20 %, Laval 9 %, Laurentides 8 % et Québec 7 %) dont :

 

24 % dans le sous-secteur des machines et matériel, 21 % dans le sous-secteur des articles personnels et ménagers, 16 % dans le sous-secteur des matériaux de construction, 15 % dans le sous-secteur des aliments, boissons et tabac, 12 % dans le sous-secteur des véhicules et pièces de véhicules et 12 % dans l'ensemble des 4 autres sous-secteurs.

 

Parmi les produits les plus exportés, on retrouve :

  1. aéronefs : 7,24 milliards $

  2. aluminium et alliages d'aluminium sous forme brute : 5,33 milliards $

  3.  minerais et concentrés de fer : 2,29 milliards $

  4. pièces pour aéronefs et autres matériels pour aéronefs : 2,11 milliards $

  5. papier (sauf papier journal) : 1,80 milliards $

  6. produits pharmaceutiques et médicinaux : 1,72 milliards $

  7. moteurs et pièces de moteurs d'aéronefs : 1,70 milliards $

  8. porc frais et surgelé : 1,47 milliards $

  9. papier journal : 1,46 milliards $

  10. machines et équipements pour les entreprises de services et le commerce : 1,43 milliards $

  11. cuivre et alliages de cuivre sous forme brute : 1,36 milliards $

  12. circuits électroniques et assemblage de circuits imprimés : 1,33 milliards $

  13. bois d'œuvre de résineux : 1,32 milliards $

  14. l'électricité : 1,27 milliards $

  15. camions, autobus et carrosseries de véhicules lourds : 1,26 milliards $

  16. pâte de bois : 1,19 milliards $

  17. pièces pour machines et équipements industriels : 1,11 milliards $

  18. métaux non ferreux (sauf aluminium) : 981 millions $

  19. appareils électriques, électroniques, médicaux, scientifiques et techniques : 976 millions $

  20. fer, acier et ferroalliages sous forme brute : 921 millions $

  21. produits de confiseries : 760 millions $

  22. pièces pour automobiles et véhicules lourds : 720 millions $

  23. turbines et groupes turbo-alternateurs et autres équipements hydro-électriques : 648 millions $

  24. ameublement de maison : 603 millions $

  25. chocolat (sauf confiseries) : 600 millions $

Les principaux pays importateurs de produits canadiens sont :

  • les États-Unis : 71 %

  • la Chine : 4 %

  • le Mexique : 2 %

  • la France : 2 %

  • le Japon : 1,5 %

  • l'Allemagne : 1,5 %

  • le Royaume-Uni : 1,5 %

  • l'Espagne : 1 %

  • les Pays-Bas : 1 %

  • la Belgique : près de 1 %

Sources : Industrie Canada et Statistiques Canada

 

PORTRAIT DE L'INDUSTRIE DU COMMERCE DE DÉTAIL :

 

L'industrie québécoise du commerce au détail est le deuxième plus grand employeur privé au Québec (derrière le secteur des services pour le grand public), il un moteur essentiel à la vitalité économique du Québec et ce, malgré les bouleversements et les changements qu'elle subie depuis quelques années.

 

Par le passé, la croissance continue du revenu des ménages stimulait les dépenses de consommation, ce qui faisait augmenter les effectifs dans le commerce de détail. Aujourd’hui, cette chaîne d’influence positive s’est amenuisée en raison de la faible dynamique de la population québécoise et des marchés qui ont atteint une certaine maturité. Il est désormais impossible pour le commerce de détail de maintenir un rythme de croissance aussi élevé que par le passé puisque la croissance des ventes n’entraîne plus automatiquement celle de l’emploi dans ce secteur d’activités.

 

L’offre de service est déjà très développée au Québec. Dans certains segments, la capacité d’augmenter les revenus repose désormais sur l’habileté à attirer les dépenses que les consommateurs réalisent ailleurs. Il ne s’agit pas de nouvelles dépenses en biens et services, mais plutôt d’enlever des dépenses à la concurrence. Dans cet environnement, on ne s’étonne pas que la compétition soit très forte. Cette situation est amplifiée d’importants investissements dans le commerce de détail au Québec. Cela entraîne, à tout le moins, un impact positif : les services de publicité profitent de la volonté des entreprises de se démarquer et de rivaliser, et cela se réalise de plus en plus via les médias électroniques et sociaux.

 

Enfin, le commerce électronique connaît une forte croissance au Québec et touche tous les groupes d’âges. Si près d’un Québécois sur deux est un adepte de cette façon d’acheter, seulement 14,5 % des commerces de détail de la province font des affaires électroniques et peu ont l’intention d’investir dans un proche avenir pour améliorer cette situation. C’est dire qu’une part importante du commerce électronique échappe aux commerces québécois puisque les achats doivent être réalisés par l’intermédiaires de sites internet américains ou d’ailleurs. Le commerce électronique connaît une croissance supérieure au rythme de la vente au détail en ce moment. En n’étant pas en mesure de profiter de cette dynamique, le commerce de détail du Québec perd des parts de marchés au profit d’entreprises localisées hors province.

 

Certains sous-secteurs du commerce de détail subissent les contrecoups du commerce électronique puisque les consommateurs ont le choix d'acheter par le biais de sites Internet étrangers offrant des prix alléchants plutôt que d'appuyer l'économie d'ici en achetant des produits de détaillants québécois dont les prix sont parfois plus élevés (mais pas toujours le cas en tenant compte de la qualité/prix, des frais de transport et manutention, etc.). C'est le cas des vêtements prêt-à-porter, des accessoires vestimentaires (tels que les bijoux), des jeux et jouets, des appareils électroniques, du matériel informatique, de l'ameublement, des produits pour le bureau et des produits pour la décoration. Malgré cela, plusieurs détaillants québécois sont présents dans le commerce en ligne et font de nombreuses affaires via ce nouveau mode de vente.

 

Or, d'autres sous-secteurs sont peu touchés par ce nouveau mode d'achat, c'est le cas du commerce d'alimentation, des véhicules automobiles, des véhicules récréatifs et de loisirs, des vêtements hauts de gamme, des articles et équipements de sport, des produits de quincaillerie et de rénovation, ainsi que des produits pharmaceutiques. Bien que les consommateurs magasinent sur le net afin de comparer les prix entre les détaillants, la plupart préfèrent se rendre chez le commerçant choisi afin d'acheter leur bien.

 

Donc, malgré les fermetures de plusieurs magasins à surface (Zellers, Future Shop, Target, Sears, etc.) depuis quelques années et les nombreuses pertes d'emploi qu'elles ont engendré, l'industrie continue  à se maintenir puisque ce sont les PME qui occupent la grande part du marché et qu'une grande partie des emplois perdus sont récupérés par ces dernières.

 

En effet, de 2012 à 2016, on constate une hausse de 13 % du nombre d'entreprises œuvrant dans le commerce au détail au Québec et un gain de 0,2 % de nouveaux emplois, soit plus de 2 400 travailleuses et travailleurs.

 

En 2016, on comptait plus de 27 300 entreprises (comptant plus de 56 000 magasins et succursales) dans toutes les régions du Québec ayant généré des revenus de plus de 94 milliards $, soit :

  • 37 % employaient moins de 5 personnes

  • 28 % employaient entre 5 et 9 personnes

  • 17 % employaient entre 10 et 19 personnes

  • 11 % employaient entre 11 et 49 personnes

  • 4 % comptaient entre 50 et 99 employés

  • 2 % avaient entre 100 et 199 employés

  • seulement 1 % comptaient plus de 200 employés.

En 2016, ces entreprises employaient près de 322 200 travailleuses et travailleurs, soit 8 % de la main-d'œuvre totale du Québec. Parmi ceux-ci :

  1. 32 % avaient moins de 25 ans

  2. 29 % entre 25 et 34 ans

  3. 15 % entre 35 et 44 ans

  4. 20 % entre 45 et 54 ans

  5. 13 % entre 54 et 65 ans

  6. 3 % étaient âgés de plus de 65 ans.

Il faut également préciser que 22 % des travailleurs(euses) du commerce au détail sont des travailleurs indépendants, soit près de 70 900 personnes.

 

Enfin, il faut ajouter plus de 150 000 emplois indirects que génèrent l'industrie dans le secteur des services notamment (auprès des entreprises de camionnage,  firmes de consultants en gestion, des firmes de consultants en TI, des agences de publicité et marketing, les agences de recrutement, les cabinets de comptables, les cabinets d'avocats, etc.).

 

Plus de 60 % des travailleurs de l'industrie occupaient un emploi dans le domaine des ventes et services (incluant le marketing), 16 % dans le domaine de la administration autre qu'en vente et marketing (comptabilité, finance, gestion ressources humaines, gestion de la chaîne d'approvisionnement), 10 % dans le domaine de la gestion (gestionnaires, cadres de direction, propriétaires-gérants, etc.), alors que 14 % occupaient un emploi dans un autre domaine (ex : manutention, transport, communications, technologies de l'information, etc.).

 

Bien que l'industrie soit présente dans toutes les régions du Québec, ce sont les régions les plus populeuses qui comptaient le plus grand nombre d'entreprises et d'emplois, soit : Montréal, Montérégie, Québec, Laurentides, Laval Lanaudière et Chaudière-Appalaches.

 

Par contre, les régions ayant connu la plus forte croissance de l'industrie sont : Laurentides (1 %), Lanaudière (0,7 %), Montérégie (0,4 %), ainsi que Chaudière-Appalaches (0,4 %).

 

Il existe plus d'une soixantaine de types de commerces au détail répartis dans 10 sous-secteurs différents. Depuis quelques années, les commerces au détail se diversifient dans les types de produits offerts afin de mieux faire face à la concurrence des grandes chaînes et aux changements des habitudes de consommation de la clientèle. Contrairement aux entreprises de la plupart des autres industries, celles du commerce au détail offrent un éventail de produits qui vont au-delà de l'activité principale du commerçant.

 

Par exemple, le marchand de meubles, vend maintenant des appareils électroniques grand public et des électroménagers ou le quincailler offre également des produits pour le jardinage et la décoration intérieure ou le pharmacien propriétaire offre une variété de marchandises de toutes sortes et l'épicier ne vend plus que des aliments et des articles de cuisine, mais aussi des produits de jardinage, de décoration intérieure, des jeux et jouets, etc. Quant aux librairies, on y vend pas seulement des livres, mais aussi des jeux, des jouets, des passe-temps, etc.

 

Voici un petit portrait de chacun des sous-secteurs :

  • produits alimentaires, articles personnels et produits domestiques : comprend tous les marchands spécialisés en produits alimentaires, articles personnels et articles divers la maison, soit : supermarchés, épiceries fines, dépanneurs, magasins d'alimentation spécialisée comme les boucheries de détail, les boulangeries-pâtisseries, les marchés de fruits et légumes, les poissonneries, les magasins de boissons alcoolisées et les confiseries). Bien que plusieurs détaillants de marchandises dont certaines grandes surfaces offrent également des produits alimentaires, ils ne sont inclus dans ce secteur.

    Annuellement, un ménage dépense en moyenne plus de 5 750 $ pour l'achat d'aliments en magasin, alors qu'il était de 5 220 $ en 2003.

    En 2016, les commerces d'alimentation généraient des revenus de plus de 28,1 milliards $, soit une hausse de 2,9 % par rapport à 2015 et une hausse de 7,9 % par rapport à 2013. Donc, si le commerce au détail dans certains secteurs vont moins bien, c'est loin d'être le cas pour le secteur de l'alimentation. Par contre, il subit lui aussi de nombreux changements (parts de marchés que s'approprient les grandes surfaces, parts de marché des épiceries en ligne, etc.) qui affectent les plus petits détaillants comme les dépanneurs et les épiceries spécialisées.

    La part de marché pour les aliments selon le type de commerce en 2016 était de :

    épiceries et supermarchés traditionnels : 76 % (était de 82 % en 2010 et 87 % en 2004)
    magasins de marchandises diverses (dont les grandes surfaces) : 20 % (était de 14 % en 2010 et 10 % en 2004)
    pharmacies : 2 % (était de 2 % en 2010 et 1,5 %)
    magasins d'alimentation spécialisée : 2 % (aucun changement depuis les dernières années).

    On y comptait plus de 1 600 supermarchés et hypermarchés dans plusieurs centaines de municipalités dans toutes les régions employant plus de 72 000 personnes.

    Par ceux-ci, plus de la moitié étaient des détaillants indépendants associés (franchisés) dans une dizaine de bannières de l'une des 4 grandes chaînes d'alimentation, plus de 40 % appartenaient aux grandes chaînes, alors que moins de 10 % étaient des détaillants indépendants associés à aucune bannière.

    On y comptait près de 1 100 autres épiceries (sauf dépanneurs), majoritairement indépendants qui comprennent notamment les magasins généraux dans les petites municipalités et villages, les épiceries du coin, les coopératives d'alimentation (sauf celles associées à une bannière) et autres magasins dont l'activité principale est la vente de produits alimentaires (sauf les magasins d'alimentation spécialisée). Ils employaient plus de 12 700 personnes.

    On y comptait près de 5 550 dépanneurs et épiciers situés dans quelques miliers de municipalités dans toutes les régions du Québec (dont plus de 1 800 étaient des stations-service avec dépanneurs) qui employaient plus de 46 000 personnes.

    Parmi ceux-ci, plus de 3 500 appartenaient à l'une des 12 grandes chaînes sous l'une des 58 bannières présentes au Québec et employaient plus de 38 000 personnes.

    On y comptait 445 magasins de boissons alcoolisées qui employaient plus de 7 100 personnes, dont 405 succursales de la SAQ employant plus de 7 000 travailleuses et travailleurs.

    Enfin, on y comptait plus de 2 200 magasins d'alimentation spécialisée qui employaient plus de 16 200 personnes, soit :

    près de 800 boucheries de détail qui employaient plus de 5 400 personnes.
    plus de 400 boulangeries-pâtisseries commerciales qui employaient plus de 3 200 personnes.
    près de 320 marchés de fruits et légumes qui employaient plus de 2 600 personnes.
    plus de 150 confiseries, chocolateries et magasins de noix qui employaient plus de 900 personnes.
    près de 140 poissonneries qui employaient plus de 900 personnes.
    plus de 400 autres magasins d'alimentation spécialisée (incluant les magasins de café ou de thé, bars laitiers, les marchés de produits diététiques ou de santé, etc.) qui employaient plus de 3 200 personnes.

    L'ensemble du commerce de détail en alimentation au Québec comptait plus de 10 900 commerces (dont : 4 700 appartenaient aux grandes chaînes, soit 43 %; plus de 950 étaient des détaillents franchisés, soit 9 %; alors que plus de 5 200 étaient des détaillants indépendants, soit 48 %.

    Il employaient plus de 154 000 travailleuses et travailleurs, soit 48 % de l'ensemble des emplois de l'industrie du commerce au détail au Québec.

  • véhicules motorisés et pièces et accessoires : comprend autant les automobiles et les camions légers, les véhicules récréatifs et de loisirs sur route ou hors-route (motos, scooters, motoneiges, VTT, véhicules de camping, les embarcations nautiques et avions ultralégers) que les pièces et accessoires pour ces véhicules.

    En 2016, il s'est vendu plus de 198 550 voitures pour des revenus de 5,47 milliards $ et plus de 234 600 camions légers (mini fourgonnettes, véhicules utilitaires sport VUS et camionnettes) pour des revenus de 9,61 milliards $. On comptait plus de 18 300 entreprises fournissant des produits et services pour véhicules automobiles ayant généré des revenus totalisant plus de 5,19 milliards $.

    Parmi ces entreprises, plus de 4 500 étaient des commerces au détail (marchands de véhicules, de pièces ou d'accessoires) qui employaient plus de 67 800 travailleuses et travailleurs, ce qui représente 21 % de la main-d'œuvre totale de l'industrie du commerce au détail du Québec.

    On comptait 900 concessionnaires d'autos neuves ayant généré des revenus de plus de 550 millions $ et qui qui employaient plus de 33 500 personnes; plus de  2500 marchands d'autos d'occasion (dont 45 % n'avaient pas d'employé) ayant généré des revenus de plus de 250 millions $ et qui employaient plus de 17 200 personnes; plus de 1 380 marchands, de pièces et accessoires pour automobiles (dont 36 % n'avaient pas d'employé) ayant généré des revenus totalisant près de 910 millions $ et employaient plus de 14 300 travailleuses et travailleurs; ainsi que plus de 320 marchands de pneus.

    En 2016, on y comptait de plus de 250 marchands et concessionnaires de véhicules de loisirs neufs et d'occasion qui employaient plus de 2 500 personnes; ainsi qu'une cinquantaine de commerçants de véhicules récréatifs de camping qui employaient quelques centaines de personnes.

  • produits pharmaceutiques, de soins personnels, de toilette et cosmétiques et articles médicaux : regroupe principalement toutes les pharmacies franchisées ou indépendantes au Québec.

    En 2014, il y avait 1 932 pharmaciens(nes) propriétaires des 1 790 pharmacies privées au Québec, soit :
    544 pharmacies conventionnelles de quartier ou de village (ayant pignon sur rue),
    528 pharmacies conventionnelles de type grande surface (ayant pignon sur rue, principalement dans les grands centres urbains),
    294 pharmacies situées dans le même immeuble d'une clinique, d'un centre médical ou d'une polyclinique,
    214 pharmacies conventionnelles de type grande surface situées dans un centre commercial,
    104 pharmacies conventionnelles de quartier ou d'un village situées dans un centre commercial,
    45 pharmacies situées dans un magasin grande surface,
    1 pharmacie située dans un CHSLD public,
    10 pharmacies situées dans un supermarché,
    4 pharmacies situées dans une résidence privée pour personnes âgées,
    1 pharmacies privée située dans un hôpital,
    2 points de services d'une pharmacie conventionnelle.

    note : en 2017, il y avait 2 078 pharmaciens(nes) propriétaires de 1 889 pharmacies, mais aucune donnée sur la répartition du type d'établissement.

    Au niveau de la superficie; 50 % d'entre-elles ont moins de 1 000 pi2, 29 % ont entre 1 000 et 2 000 pi2, 8 % ont entre 2 001 et 3 000 pi2, 5 % ont entre 3 001 et 5 000 pi2, alors que seulement 8 % ont plus de 5 000 pi2.

    Il existe au Québec 20 bannières différentes de pharmacies (dont appartenant à quelques chaînes) et quelques pharmaciens propriétaires indépendants. Leur répartition est la suivante :
    66 % sont affiliées (franchisées) à l'une des 4 plus grandes chaîne de pharmacies,
    28 % sont affiliées (franchisées) à une autre chaîne de pharmacies,
    4 % appartiennent à une chaîne de magasins grande surface,
    seulement 2 % sont indépendants sans bannière.

    En 2016, ce sont 13 % de la main-d'œuvre totale du commerce au détail québécois, soit plus de 41 000 personnes qui travaillaient au sein des pharmacies dans toutes les régions du Québec dont plus de 95 % pour le compte de pharmaciens propriétaires détenant une franchise d'un chaîne.

    Dans ce sous-secteur, on y retrouve également plus de 180 parfumeries et autres magasins de parfums, flagrances et produits cosmétiques et de beauté dont 80 % sont des succursales ou franchises 10 chaînes. Plus de 97 % employaient moins de 5 personnes.

    Il regroupe également 12 chaînes de lunetterie ou réseau d'optométristes au Québec qui comptaient plus de 370 cliniques partout au Québec et plus de 350 centres de lunetterie indépendants (dont la presque totalité employaient moins de 5 personnes).

  • quincaillerie, produits de rénovation et produits de jardinage et d'entretien paysager : les ventes au détail des produits de quincaillerie, de rénovation et de jardinage ainsi que des matériaux de construction au Québec sont estimées à plus de 8 milliards de dollars par année. Parmi celles-ci, des ventes d’environ 6 milliards de dollars sont réalisées par les quincailleries et les centres de rénovation.

    Au Québec, les détaillants de produits de quincaillerie, de rénovation et de jardinage ainsi que de matériaux de construction regroupent 1 696 établissements, dont quelque 800 font partie de grandes chaînes. Le reste est composé de commerces indépendants de matériaux de construction, de produits d’aménagement, de rénovation résidentielle ou d’outils. Dans l’ensemble, ce secteur représente 7 % des établissements commerciaux au Québec et compte 28 900 employés, ce qui représente près de 10 % des emplois totaux du commerce de détail au Québec.

    Les détaillants de produits de jardinage et plusieurs grandes chaînes généralistes dont Walmart, Costco et Loblaws offrent aussi des produits de quincaillerie, de rénovation et de jardinage ainsi que des matériaux de construction au Québec. Notamment, plus de 40 % des ventes de Canadian Tire au Québec correspondent à des produits de quincaillerie.

    Dans ce sous-secteur, on y regroupe également 36 jardineries et centres de jardin et autres commerces de produits d'aménagement paysager et de jardinage, ainsi que près de 500 fleuristes et autres magasins de fleurs (dont la moitié environ n'avait aucun employé et la majorité des autres employaient moins de 5 personnes).

  • ameublement, produits de décoration, appareils ménagers, produits électroniques grand public et autres produits pour la maison : regroupe tous les commerçants de meubles de maison meubles de salle à manger, de chambre à coucher; meubles audio-vidéo; mobilier de salon (rembourré ou non); le mobilier de bureau pour la maison; ainsi que le mobilier de rangement); les produits électroniques grand public (systèmes de cinéma maison, systèmes de son, téléviseurs, enregistreurs numériques, etc.); les appareils ménagers (appareils électriques de soins personnels, appareils électriques de cuisine, aspirateurs ménagers, climatiseurs électriques, appareils électroménagers, etc.), les produits pour l'aménagement intérieur (armoires de cuisine et de salles de bain, les portes et fenêtres); les articles de décoration pour la maison (lingerie et autres textiles domestiques, revêtements de sol comme les tapis ou les carreaux de parquet, les accessoires de décoration comme les stores, les cadres ou les miroirs, etc.).

    En 2016, les produits électroniques grand public et les appareils ménagers (petits et gros) ont généré des revenus totalisant près de 3,1 milliards $; les meubles de maison ont généré des revenus de plus de 2,2 milliards $ et les accessoires pour la maison (produits de décoration et articles domestiques) ont généré des revenus de 1,4 milliards $.

    On y comptait plus de 525 commerçants de meubles et autres produits d'ameublement (dont plusieurs vendent également des produits électroniques grand public et appareils ménagers). Plus de 36 % employaient moins de 5 personnes, 44 % entre 6 et 49 personnes, 19 % entre 50 et 99 personnes et seulement 1 % (les 5 plus important employeurs) comptaient 100 employés ou plus.

    Près de 70 de ces magasins étaient des succursales de 8 grandes chaînes et le reste étaient des commerces indépendants. Ils employaient près de 15 200 personnes dont plus de 4 500 au sein des grandes chaînes.

    En 2016, on y comptait plus de 826 magasins d'accessoires de maison et de décoration intérieure dans toutes les régions du Québec dont 9 petites, moyennes et grandes chaînes ayant plus de 236 succursales ou franchisés.

    Plus de 44 % employaient moins de 5 personnes, plus de 51 % employaient entre 10 et 49 personnes, 5 % employaient entre 50 et 99 personnes et moins de 1 % avaient 100 employés ou plus.

    Ils employaient plus de 13 000 travailleuses et travailleurs dont seulement un millier au sein des grandes chaînes.

    En 2016, on y comptait également plus de 240 détaillants ou fabricants-détaillants d'armoires de cuisine et de salle de bain, ainsi que 64 détaillants de couvre-planchers un peu partout au Québec.

  • articles de sport, de divertissement et de loisirs : regroupe les commerçants d'articles et équipements de sport (ski, golf, cyclisme, hockey, chasse et pêche, etc.); les articles de loisirs (piscines, spas, jeux vidéo, jeux de société et autres jeux pour la famille, jeux pour enfants, jeux pour adultes, jouets pour enfants, jouets pour adultes, instruments de musique, etc.) et autres articles de divertissement (livres, magazines et périodiques, fournitures pour la musique, matériel pour artistes, fournitures et matériel photographique, articles de collection, etc.).

    L'ensemble du sous-secteur de la vente au détail d'articles de sport, de passe-temps, de musique et de livres regroupe plus de 1 200 magasins ayant généré des revenus de près de 2,5 milliards $ en 2016, ce qui représente une légère hausse par rapport aux années précédentes (était de 2,4 milliards $ en 2015 et 2,15 milliards $ en 2013). Ils employaient près de 20 000 travailleuses et travailleurs, soit 6 % des emplois du commerce au détail du Québec.

    Les ventes d'articles de sport et de plein air sont principalement la cause de cette légère hausse des revenus de ce sous-secteur. Elles sont notamment moins touchées par les ventes en ligne chez des détaillants hors-Québec que les ventes de jeux et jouets ou de livres et autres articles de passe-temps plusieurs articles vendus chez nous sont adaptés à nos conditions hivernales, mais également plusieurs manufacturiers sont québécois.

    En 2016, il y avait plus de 900 détaillants d'articles et de vêtements de sport et de plein air (dont 103 détaillants de piscines et spas) dont 235 magasins franchisés ou appartenant à l'une des 10 petites, moyennes ou grandes de détaillants, alors que les autres sont des détaillants indépendants.

    Plus de 36 % employaient moins de 5 personnes, 32 % employaient entre 5 et 49 personnes, 31 % employaient entre 50 et 99 personnes et seulement 1 % avaient 100 employés ou plus.

    Elles employaient prés de 14 000 travailleuses et travailleurs dans toutes les régions du Québec dont plus de 8 000 au sein des moyennes et grandes chaînes.

    Bien que l'industrie du jeu, du jouet et du passe-temps ne roule pas sur l'or et ses hausses ne progressent pas énormément d'année en année, le commerce au détail des jeux, jouets et passe-temps semble mieux aller au Québec qu'aux États-Unis. Avec la disparition de quelques chaînes de grandes surfaces et les problèmes financiers actuels rencontrés chez certains grands détaillants de jouets et la fermeture de d'autres; l'avenir semble prometteur pour les détaillants indépendants, puisque les manufacturiers et distributeurs se tourneront vers eux afin d'assurer leurs revenus, mais rien n'est certain.

    L'autre problème est que plusieurs détaillants spécialisés de d'autres secteurs (alimentation, pharmacie, librairie, sans oublier les magasins de matériel informatique et les boutiques de matériel de télécom qui vendent des jeux vidéo), font également concurrence aux détaillants de jouets.

    En 2016, on y comptait près de 200 magasins de jeux, jouets et passe-temps dont 97 % employaient moins de 10 personnes. Donc, elles employaient près de 3 300 travailleuses et travailleurs dont 2 300 au sein de 5 chaînes (regroupant 74 magasins).

    On y comptait également une centaine de magasins spécialisés en instruments de musique (presque tous indépendants) qui employaient quelques centaines de personnes dont plusieurs conseillers détenant une formation en musique ou en lutherie.

    Les ventes au détail de livres, magazines et périodiques totalisaient 602,8 millions $ en 2016 en baisse de 0,9 % par rapport aux 608,2 millions de 2015. Mais entre ces deux années, l’apport des ventes globales des librairies indépendantes a augmenté de 4,5 %, alors que les chaînes ont reculé de 4,2 %.

    Si le nombre de librairies indépendantes a aussi chuté, c’est dans une plus faible proportion. Dans la grande répartition des différents points de vente, les librairies indépendantes gagnent 36 % des parts, et les chaînes de librairies 29 %, alors que les grandes surfaces occupent 35 % du marché.

    En 2016, on y comptait 107 librairies indépendantes générales et spécialisées et plus de 120 magasins de 5 grandes chaînes librairies dans toutes les régions du Québec. Elles employaient plus de 2 200 travailleuses et travailleurs dont plus de 1 000 au sein des grandes chaînes.

  • vêtements et accessoires vestimentaires : regroupe tous les magasins de vêtements (lingerie et sous-vêtements, prêt-à-porter, hauts de gamme, en fourrure véritable ou synthétique, en cuir véritable ou synthétique ou suède, pour le sport et le plein air, pour le travail pour femmes, hommes, enfants et bébés); les chaussures (souliers, bottes, sandales, pantoufles et accessoires pour chaussures); les bijoux et les montres; les autres accessoires vestimentaires (chapeaux, casques, casquettes, gants, tuques, foulards, etc.).

    En 2016, elle a généré des revenus de plus de 7,2 milliards $, comptait près de 4 600 entreprises (dont une soixantaine de chaînes détenant une centaine de bannières) qui employaient près de 40 600 travailleuses et travailleuses dans toutes les régions du Québec, ce qui représente 17 % des entreprises, 13 % des emplois et 7 % des revenus de l'ensemble de l'industrie du commerce au détail.

    Le sous-secteur de la vente de vêtements prêt-à-porter et de la lingerie est étouffé par la multiplication de magasins à grande surface qui offrent des vêtements mode à prix doux et les commerces en ligne provenant de l'étranger (notamment de l'Asie) offrant leurs produits à des prix dont les détaillants d'ici sont incapables de concurrencer; plusieurs chaînes québécoises, autres chaînes canadiennes et autres géants de la vente ont de la difficulté à suivre le pas. Depuis la fin de 2014, la liste des magasins en difficultés financières s’est multipliée et plus d'une centaine de boutiques de quelques chaînes ont fermé leurs portes, sans oublier quelques dizaines de commerces indépendants.

    Les ventes de ces types de vêtements ont généré des revenus de plus de 5,3 milliards $ en 2016 au Québec (soit 25 % des ventes canadiennes) chez l'ensemble des détaillants (incluant les grandes surfaces et les ventes en ligne de détaillants québécois).

    Néanmoins, on y comptait plus de 1 250 magasins appartenant à 25 chaînes québécoises de détaillants prêt-à-porter et de la lingerie (détenant près de 60 bannières) qui employaient près de 13 000 personnes (dont plus de 9 500 dans les boutiques et 3 500 dans les sièges sociaux en 2016.

    Il faut ajouter quelques centaines de boutiques appartenant à une dizaine d'autres chaînes canadiennes et des chaînes étrangères (américaines ou françaises notamment) qui employaient plus d'un millier de personnes.

    Enfin, plus de 2 500 magasins indépendants de vêtements prêt-à-porter et de la lingerie qui employaient plus de 12 500 personnes.

    Le sous-secteur des vêtements hauts de gamme (mercerie, vêtements sur mesure, vêtements pour le mariage, vêtements de soirée, autres vêtements habillés) connait aussi son lot de problèmes. Le commerce en ligne et le plus grand choix de vêtements de ce type offert par les grandes surfaces ont eu pour effet que plusieurs magasins indépendants ont fermé leurs postes ou rencontrent des difficultés financières dont la fermeture de l'un des géants québécois de la mercerie qui occupait une part importante du marché.

    Néanmoins, il a généré des revenus de près de 480 millions $ en 2016 (soit 22 % des ventes canadiennes) et comptait 107 magasins de 9 chaînes (canadiennes ou américaines), ainsi qu'une soixantaine de merceries, boutiques de tailleur et autres magasins d'indépendants, principalement concentrés dans les régions de Montréal, Québec, Laurentides (Mont-Tremblant) et Gatineau qui employaient près d'un millier de personnes.

    Le sous-secteur de la chaussure a généré des revenus de plus de 998 millions $ en 2016 (soit 25 % des ventes canadiennes), ce qui représente une légère hausse par rapport à 2015, 2014 et 2013, mais des baisses significatives depuis 2009.

    En 2016, on y comptait plus de 875 magasins de chaussures qui employaient plus de 7 900 travailleuses et travailleurs dans toutes les régions du Québec dont plus de 600 appartenant à une dizaine de chaînes de détaillants.

    Enfin, le sous-secteur des accessoires vestimentaires (incluant les bijoux et montres) est peut-être celui qui génère les plus importants revenus et qui procure le plus grand nombre d'emplois, mais est probablement celui qui se porte le mieux dans cette industrie qui subit de nombreux bouleversements qu'est celle du vêtement et des accessoires vestimentaires.

    En 2015, il a généré des revenus de plus de 443 millions $ (bijoux, bagages, maroquinerie et autres accessoires) et comptait plus de 890 entreprises qui procuraient de l'emploi pour plus de 6 200 travailleuses et travailleurs.

    Parmi ces derniers, on comptait plus de 146 succursales ou franchisés de 6 chaînes de détaillants, ainsi que plus d'une centaine de bijouteries indépendantes et boutiques de joailliers un peu partout au Québec qui employaient près de 2 000 personnes.

  • matériel informatique et produits de télécommunications : les détaillants spécialisés de produits informatiques vendent des micro-ordinateurs (de table, portable) et leurs périphériques, des pièces et accessoires informatiques, des logiciels grand public, etc.). Mais, souvent, ces détaillants offrent également du matériel informatique pour les PME, un service de support aux particuliers, travailleurs autonomes et PME et parfois, effectuent de l'assemblage de produits sur mesure.

    En 2016, les produits informatiques ont généré des revenus totalisant plus de 4,7 milliards $ provenant des détaillants de meubles et produits électroniques grands publics (principalement les grandes chaînes) avec 36 % des parts du marché; les détaillants de produits de bureau et matériel de bureautique avec 20 %, les grandes surfaces avec 14 %, alors que les détaillants spécialisés de produits informatiques n'occupaient que 30 % des parts du marché, soit des revenus de 1,4 milliards.

    On y comptait plus de 580 détaillants spécialisés de produits informatiques (presque tous les commerçants indépendants) un peu partout au Québec qui employaient plus de 5 400 personnes.

    Sont inclus également dans ce sous-secteur, plus de 200 magasins de vente et location de produits de télécommunication (téléphones, tablettes, enregistreurs numériques, jeux vidéo, films, accessoires résidentiels pour les télécom, etc.) appartenant aux 4 principales entreprises de télécommunications.

  • produits pétroliers : regroupe tous détaillants de carburants traditionnels, mais aussi les détaillants de biocarburants; ainsi que les distributeurs de mazout et lubrifiants; qu'elles soient sous une bannière d'une compagnie pétrolière ou indépendantes. En 2016, le commerce au détail de produits pétroliers au Québec a généré des revenus totalisant plus de 12,1 milliards $, soit plus de 20 % des revenus totaux du commerce au détail.

    Contrairement à ce que l'on peut croire, la majorité des points de service de carburants ne sont pas la propriété des grandes compagnies pétrolières, mais plutôt d'une vingtaine de grands détaillants (chaînes de dépanneurs, groupes de détail en alimentation, groupes pétroliers indépendants ou chaînes de stations-service).

    En 2016, on y comptait près de 2 800 stations-service partout au Québec (c'est davantage qu'Ontario) qui employaient plus de 17 000 travailleuses et travailleurs.

    Plus de 500 d'entre-elles sont la propriété de 5 grandes pétrolières,

    plus de 1 600 appartenaient aux groupes indépendants de distribution de produits pétroliers dont plus de 750 au sein des 5 plus grandes entreprises,

    alors que près de 630 stations-service indépendantes étaient détenues par un(e) propriétaire unique (souvent des entreprises familiales) et dont la plupart n'ont aucun salarié.

  • autres produits divers : sont inclus dans ce sous-secteur, les détaillants spécialisés de produits non classés ailleurs comme les fournitures de bureau, papeterie et matériel de bureautique; les fleuristes, les articles de fantaisie, cadeaux et souvenirs; animaux de compagnies, les fournitures et aliments pour animaux de compagnie; les antiquités; les marchandises d'occasion (marchés aux puces, friperies, etc.); les articles d'artisanat et œuvres d'art; les maisons et autres bâtiments préfabriqués (chalets, cabanons, garages, abris, gazébos, solariums, roulottes, etc.), etc.

    Selon Industrie Canada, on comptait plus de 2 800 détaillants d'autres produits divers qui employaient plus de 23 500 personnes un peu partout au Québec en 2016. Ils ont généré des revenus de plus de 3,1 milliards au cours de cette même année.

    On y comptait notamment plus de 500 détaillants de fournitures de bureau et matériel de bureautique (dont 86 appartenant à 3  chaînes) qui employaient plus de 6 000 personnes (dont plus de 3 800 au sein des grands détaillants);

    Près de 700 animaleries et autres magasins de fournitures et aliments pour animaux de compagnie qui employaient près de 4 000 personnes;

    Une centaine de détaillants de bâtiments préfabriqués dont 12 manufacturiers-détaillants de maisons, une soixantaine d'antiquaires, 27 galeries d'art contemporain, etc.

  • marchandises diverses : regroupe les entreprises qui vendent au détail une gamme générale et variée de marchandises de toutes sortes qui peuvent comprendre des articles d'épicerie, mais excluant les marchés d'alimentation, les pharmacies, les commerçants de marchandises d'occasion et les détaillants hors-magasin).

    Elle comprend principalement les grandes surfaces, bien que le nombre de chaînes a diminué au cours des dernières années, elles restent parmi les plus importants employeurs du commerce au détail.

    En 2016, on y comptait 220 magasins à grande surface propriétés de 4 grandes chaînes (WalMart, Costco, Canadian Tire, Hart et Tigre Géant, mais excluant Sears) dans la presque toutes les régions du Québec.

    Les magasins de liquidation et outlets (sauf d'occasion). Ces magasins vendent généralement des marchandises provenant de surplus de distributeurs ou grossistes, de marchandises non vendus provenant de d'autres magasins dont les grandes surfaces qui veulent de l'espace pour leurs nouvelles marchandises, de commerces ayant fermés leurs postes, faits faillite ou saisis par des créanciers, etc. Les outlets (ou "magasins d'usine" ou "magasin-entrepôt") sont des magasins de manufacturiers qui vendent directement des produits du fabricant au consommateur afin d'écouler des surstocks.

    On peut estimer à plus 200 magasins de liquidation, principalement situés dans les grandes villes du Québec et dans les municipalités où l'on retrouve des grands manufacturiers de produits de consommation générale (ex : vêtements, articles ménagers, articles de cuisine, literie, jeux et jouets, etc.). Ils employaient approximativement plus de 3 000 personnes en 2016.

    Pour ce qui est des magasins d'escompte et d'articles à bas prix ou à prix unique, ils vendent des produits de grande consommation à prix unique ou à prix inférieur aux autres magasins.

    Surtout dominé par quelques grandes chaînes, on y comptait plus de 420 magasins propriétés de 3 grandes chaînes qui employaient près de 8 000 travailleuses et travailleurs dans toutes les régions du Québec.

    Enfin, les magasins généraux (eh ! oui, il en existe encore !) et les dépanneurs comptent pour tous les autres magasins de ce sous-secteur, soit plus de 700 commerces, surtout situés dans les petites municipalités, les villages, les centres récréotouristiques dans la plupart des régions du Québec.

Sources : Détail Québec - le Comité sectoriel de main d'œuvre du commerce de détail du Québec, Conseil québécois du commerce détail, Comité sectoriel de la main-d'œuvre du commerce d'alimentation du Québec, Comité sectoriel de la main-d'œuvre des services automobiles du Québec, Comité sectoriel de main-d'œuvre des industries du meuble, des portes et fenêtres et des armoires de cuisine du Québec, Association des concessionnaires de véhicules de loisirs du Québec, Association des commerçants de véhicules récréatifs du Québec, Association québécoise des pharmaciens propriétaires, Association des fabricants et détaillants de l'industrie de la cuisine du Québec, Association des détaillants de couvre-planchers du Québec, Association des détaillants de piscines du Québec, Corporation des bijoutiers du Québec, Association des distributeurs d'énergie du Québec, Fédération interdisciplinaire d'horticulture ornementale du Québec, Association des libraires du Québec, Coopérative des librairies indépendantes du Québec, Association des galeries d'art contemporain du Québec, CEFRIO, Ministère du Développement économique, de l'innovation et de l'exportation du Québec, Industrie Canada et Statistiques Canada.

 

LES PROGRAMMES D’ÉTUDES :

  

Voir aussi la section "autres formations"

 

Note : le DEC en arts et technologies des médias option publicité a été aboli. Par contre, il a été remplacé par le DEC en techniques de communication dans les médias – spécialisation en conseil et coordination publicitaires.

 

Le Diplôme d’études collégiales en gestion commerciale (ou en gestion de commerces) D.E.C. a une durée totale de 3 ans offert à temps complet. Il comporte des cours suivants : introduction à l'organisation de l'entreprise, initiation au droit des affaires, l'entreprise, comptabilité d'une entreprise de service, initiation à l'informatique de gestion, environnement économique et gestion, relations professionnelles, comptabilité d'une entreprise commerciale, éthique des affaires, statistique de gestion commerciale, budget d'exploitation, management, environnement et marketing, analyse des comportements de consommation, gestion ds marchandises, planification marketing, aménagement des lieux de vente, recherche commerciale, techniques de vente au détail, français des affaires, analyse financière à des fins de gestion commerciale, service à la clientèle, constitution d'une équipe de vente, anglais dans l'entreprise, anglais des affaires, outils de gestion, représentation technico-commerciale, formation et supervision du personnel de vente, initiation au commerce international, projet de fin d'études en gestion commerciale, stage non rémunéré en gestion commerciale (ou stages rémunérés en entreprise pour ceux qui optent pour l'alternance travail-études). Note : le contenu et le nom des cours peuvent varier selon les cégeps.

 

Le Cégep de Thetford offre son programme axé sur la gestion appliquée du domaine sportif, unique dans le réseau collégial francophone. Il comprendra des cours de gestion axés sur les sports à l'international (ex : économie internationale du sport, analyse des comportements des consommateurs sportifs, marketing du sport, représentation commerciale dans le milieu sportif, promotion d'événements sportifs, etc), la gestion d'une entreprise sportive réelle (Filons sport d'élite Inc..), ainsi que des stages rémunérés en entreprise du milieu sportif dans le cadre de la formule alternance travail-études. Des carrières sont envisageables au sein des établissements de plein air, des entreprises de sports d'aventure, des entreprises d'organisation d'événements sportifs, des centres sportifs privés, des centres de loisirs des municipalités, des équipes sportives professionnelles, des commerces d'articles de sport, etc.

 

Il y a un programme de DEC-BAC en administration-marketing qui combine les études collégiales et universitaires et ayant une durée totale de 5 ans. Les 2 premières années correspondent au programme de DEC au (plus quelques cours en marketing) et les 3 dernières années correspondent au baccalauréat en administration des affaires (spécialisation en marketing).. Il y a quelques collèges qui offrent conjointement ce programme avec des universités. Pour plus de détails, consulte la page d’informations concernant les programmes intégrés DEC-BAC.

 

Le Diplôme d’études collégiales en techniques de communication dans les médias – spécialisation en conseil et coordination publicitaires D.E.C. a une durée totale de 3 ans offert à temps complet. Il vise à former des créateurs publicitaires pour tous types de médias (radio, télé, vidéo corporatif, Internet et publicité écrite).. Tu auras des cours sur le processus de communication, utilisation de l’informatique dans les médias, recherche d’information, expression orale devant public, techniques de travail en équipe, techniques et réalisation d’entrevues, processus de créativité, préparation et gestion d’un projet de production publicitaire, techniques de mise en page de documents, analyse des besoins de communication du client, rédaction de textes publicitaires, promotionnels et de relations publiques, élaboration d’un plan média, coordination du matériel publicitaire imprimé et audiovisuel, stage en publicité, etc.

 

DEP-DEC :

 

Qu'est-ce qu'un programme DEP-DEC ?

 

Il permet aux titulaires d'un DEP de se faire reconnaître ses acquis au collégial dans le cadre d'un DEC ou d'une AEC dans une même discipline et ainsi, compléter sa formation  en 3 ans (au lieu de 4) et obtenir 2 diplômes, soit le D.E.P. et le D.E.C.

 

Pour plus de détails, consulte la page suivante

 

Voici les ententes actuellement offertes :

DEC-BAC :

 

Qu'est-ce qu'un programme DEC-BAC ?

 

Il permet d'entreprendre des études collégiales et universitaires en gestion en 5 ans (au lieu de 6 ans) et obtenir 2 diplômes, soit le D.E.C. et le Baccalauréat.

 

Pour plus de détails, consulte la page suivante

 

Voici les ententes actuellement offertes :

 

Voir aussi d'autres ententes à la page de gestionnaire

 

DEC-BAC en communication publique :

(DEC en techniques de communication dans les médias - spécialisation en publicité + Baccalauréat en communication publique)

Université Laval

 

Entente avec le cégep suivant :

DEC-BAC en sciences de la consommation :

(DEC en gestion de commerces 410.D0 + Baccalauréat en sciences de la consommation)

Université Laval

 

Ententes avec les collèges suivants :

DEC-BAC en administration des affaires

(DEC en gestion de commerces 410.D0 + Baccalauréat en administration des affaires - marketing) :

 

Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue UQAT

(campus de Rouyn ou à distance)

Ententes avec les collèges suivants :

 

Université du Québec à Rimouski UQAR

(campus de Lévis ou campus de Rimouski)

Ententes avec les collèges suivants :

Université Bishop

 

Entente avec le collège suivant :

Université du Québec à Trois-Rivières UQTR

(campus de Trois-Rivières)

Entente avec le collège suivant :

Université du Québec à Trois-Rivières UQTR

(campus de Longueuil)

Entente avec le collège suivant :

Université du Québec à Montréal UQAM

Ententes avec le collège suivant : 

Université Laval

Ententes avec les cégeps suivants :

PASSERELLES :

 

Les programmes passerelles permettent aux titulaires du DEC de se faire reconnaître un certain nombre de crédits par une université dans le cadre de son programme de baccalauréat.

 

Note 1 : dans certaines universités, il y a des cours préalables exigés même une reconnaissance d'acquis est offerte

 

Note 2 : la reconnaissance des acquis n'est pas automatique et le nombre de crédits accordés peut varier selon la qualité de ton dossier scolaire.

 

Voici quelques exemples d'ententes actuellement offertes :

 

Avec un DEC en techniques de production dans les médias - option publicité :

  • l'UQAC pourra reconnaître aux titulaires du DEC en techniques de production dans les médias - option publicité jusqu’à 6 crédits dans le cadre de son Baccalauréat en linguistique et langue française

  • l'UQTR pourra reconnaître aux titulaires du DEC en techniques de production dans les médias - option publicité jusqu’à 6 crédits dans le cadre de son Baccalauréat en loisir, culture et tourisme

  • l'UQAM pourra reconnaître jusqu’à 15 crédits aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat intégré en communication - marketing

  • l'UQAM pourra reconnaître jusqu'à 15 crédits (selon la méthode de 2 cours collégiaux peuvent remplacer un cours universtaire) aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat en communication humaine et organisationnelle

  • l'UQAM pourra reconnaître jusqu'à 9 crédits aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat communication - spécialisation en médias numériques

  • l'UQAM pourra reconnaître jusqu'à 9 crédits aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat communication - spécialisation en relations publiques

  • l'UQAM pourra reconnaître jusqu'à 9 crédits aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat avec majeure en communication

Avec un DEC en gestion de commerces :

 

Au Baccalauréat en administration des affaires :

  • l'Université de Moncton au Nouveau Brunswick pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu'à 30 crédits dans le cadre de son Baccalauréat en administration

  • l'UQAT pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu'à 30 crédits dans le cadre de son Baccalauréat en administration des affaires

  • l'UQAR pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 30 crédits dans le cadre de son Baccalauréat en admininistration des affaires

  • l'UQAC pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu'à 24 crédits (cote R de 28,000 et plus) dans le cadre de son Baccalauréat en administration des affaires

  • l'UQAC pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu'à 18 crédits (cote R entre 22,000 et 28,000) dans le cadre de son Baccalauréat en administration des affaires

  • l'UQO pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu'à 30 crédits (du cégep de l'Outaouais, Lionel-Groulx, Saint-Jérôme, Montmorency ou Valleyfield) dans le cadre de son Baccalauréat en administration des affaires (campus de Gatineau ou campus de Saint-Jérôme)

  • l'UQTR pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 27,000 ou plus) jusqu'à 24 crédits dans le cadre de son Baccalauréat en administration des affaires - cheminement marketing - profil régulier ou profil international (campus de Drummondville ou Trois-Rivières)

  • l'UQTR pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 27,000 ou plus) jusqu'à 24 crédits dans le cadre de son Baccalauréat en administration des affaires - cheminement en gestion des ressources humaines (campus de Drummondville, Joliette ou Trois-Rivières)

  • l'UQTR pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (cote R entre 24,000 et 27,000) jusqu'à 15 crédits dans le cadre de son Baccalauréat en administration des affaires - cheminement marketing - profil régulier ou profil international  (campus de Drummondville ou Trois-Rivières)

  • l'UQTR pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (cote R entre 24,000 et 27,000) jusqu'à 15 crédits dans le cadre de son Baccalauréat en administration des affaires - cheminement en gestion des ressources humaines (campus de Drummondville, Joliette  ou Trois-Rivières)

  • l'Université Bishop pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (des collèges Sherbrooke, Thetford, Drummondville, John-Abbott  ou Saint-Hyacinthe seulement) jusqu'à 30 crédits + un stage coop (cote R de 28,000 ou plus) dans le cadre de  son Baccalauréat en administration des affaires

  • l'Université Bishop pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (des collèges Sherbrooke, Thetford, Drummondville, John-Abbott ou Saint-Hyacinthe seulement) jusqu'à 15 crédits (cote R entre 26,000 et 28,000) dans le cadre de  son Baccalauréat en administration des affaires

  • l'Université Laval pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (des cégeps centre collégial de Charlevoix, centre matapédien, Rimouski, Trois-Rivières, Outaouais, Saint-Jérôme - campus Mont-Tremblant, Valleyfield, Édouard-Montpetit, Champlain-Saint-Lambert, André-Laurendeau, Maisonneuve, Vanier et Dawsone seulement) jusqu’à 15 crédits (cote R de 26,000 ou +) dans le cadre de son Baccalauréat en administration - spécialisation en ressources humaines
    voir aussi le DEC-BAC en administration des affaires

  • l'Université Laval pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 26,000 ou plus) jusqu'à 15 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration des affaires - autres concentrations
    (pour les diplômés des collèges n'ayant pas d'ententes DEC-BAC avec l'Université
    dont :
    Centre collégial de Charlevoix, Centre matapédien, Rimouski, Trois-Rivières, Outaouais, Valleyfield, Édouard-Montpetit, André-Laurendeau, John-Abbott, Vanier, Maisonneuve et Dawson
    )

  • l'UQAM pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 24 crédits  (cote R de 28,000 ou +) dans le cadre de son baccalauréat en administration des affaires

  • l'UQAM pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. quelques crédits après analyse du dossier de l'étudiant (cote R entre 25,000 et 28,000) dans le cadre de son baccalauréat en administration des affaires

  • l'Université Concordia pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (des cégeps Dawson, John-Abbott, Vanier, André-Laurendeau, Edouard-Montpetit, Montmorency, Lionel-Groulx, Lanaudière à Joliette, Saint-Jean-sur-Richelieu ou Limoilou) jusqu’à 15 crédits  (cote R de 26,000 ou +) dans le cadre de son Baccalauréat en administration B.Adm

  • l'Université Concordia pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (du Collège LaSalle) jusqu’à 9 crédits  (cote R de 26,000 ou +) dans le cadre de son Baccalauréat en administration B.Adm

Au Baccalauréat en sciences comptables :

  • l'UQAR pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 18 crédits dans le cadre de son Baccalauréat en sciences comptables

  • l'UQAC pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu'à 18 crédits dans le cadre de son Baccalauréat en sciences comptables

  • l'UQO pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu'à 21 crédits (du Cégep de l'Outaouais) dans le cadre de son Baccalauréat en sciences comptables (campus de Gatineau)

  • l'UQO pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu'à 12 crédits (du cégep Montmorency) dans le cadre de son Baccalauréat en sciences comptables (campus de Saint-Jérôme)

  • l'UQO pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu'à 9 crédits (du cégep Lionel-Groulx) dans le cadre de son Baccalauréat en sciences comptables (campus de Saint-Jérôme)

  • l'Université Laval pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (du Cégep Garneau seulement, cote R de 28,000 ou plus) jusqu'à 15 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration des affaires - spécialisation en expertise comptable

  • l'UQAM pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 24 crédits  (cote R de 28,000 ou +) dans le cadre de son baccalauréat en sciences comptables

  • l'UQAM pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. quelques crédits après analyse du dossier de l'étudiant (cote R entre 22,000 et 28,000) dans le cadre de son baccalauréat en sciences comptables

  • l'Université Concordia pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (des cégeps Dawson, Vanier, Champlain-St-Lawrence, André-Laurendeau, Édouard-Montpetit, Montmorency, Lanaudière à Joliette, Lionel-Groulx, Saint-Jean-sur-Richelieu, Limoilou ou Baie-Comeau) jusqu’à 15 crédits  (cote R de 26,000 ou +) dans le cadre de son Baccalauréat en comptabilité B.Comm

Autres baccalauréats :

  • l'UQO pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu'à 9 crédits (du Cégep de l'Outaouais) dans le cadre de son Baccalauréat en relations industrielles et en ressources humaines (campus de Gatineau)

  • l'Université Laval pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 25,000 ou plus) jusqu’à 21 crédits dans le cadre de son Baccalauréat en scienaces de la consommation

  • l'Université Laval pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 25,000 ou plus) jusqu’à 21 crédits dans le cadre de son Baccalauréat en agroéconomie

  • l'Université Laval pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (des cégeps Garneau, Limoilou, Sainte-Foy, Thetford, Rimouski, Jonquière, Drummondville, Trois-Rivières, Lanaudière à Joliette, Granby ou Saint-Hyacinthe seulement) jusqu’à 15 crédits (cote R de 25,000 ou +) dans le cadre de son Baccalauréat en relations industrielles

  • l'Université Laval pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (des cégeps Garneau, Limoilou, Sainte-Foy, Thetford, Lanaudière à Joliette, André-Laurendeau et Centre matapédien seulement) jusqu’à 15 crédits  (cote R de 26,000 ou +) dans le cadre de son Baccalauréat en économique

  • l'UQAM pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 24 crédits  (cote R de 28,000 ou +) dans le cadre de son baccalauréat par cumul de certificats en sciences de la gestion B.Sc.G. ou B.A.A.

  • l'UQAM pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. quelques crédits après analyse du dossier de l'étudiant (cote R entre 22,000 et 28,000) dans le cadre de son baccalauréat par cumul de certificats en sciences de la gestion B.Sc.G. ou B.A.A.

  • l'UQAM pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 24 crédits dans le cadre de son baccalauréat en gestion et design de mode (concentration Mode, conceptualisation et gestion de l'innovation ou concentration en mode, stratégie et gestion des affaires)

  • l'UQAM pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 21 crédits  (cote R de 28,000 ou +) dans le cadre de son baccalauréat par cumul de certificats en gestion des ressources humaines

  • l'UQAM pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 18 crédits (cote R entre 22,000 et 28,000) dans le cadre de son baccalauréat par cumul de certificats en gestion des ressources humaines

  • l'UQAM pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 24 crédits  (cote R de 25,000 ou +) dans le cadre de son baccalauréat par cumul de certificats en gestion du tourisme et de l'hôtellerie (concentration en gestion des organisations et destinations touristiques);

  • l'UQAM pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. quelques crédits après analyse du dossier de l'étudiant (cote R entre 22,000 et 25,000) dans le cadre de son baccalauréat en gestion du tourisme et de l'hôtellerie (concentration en gestion des organisations et destinations touristiques);

  • l'UQAM pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 15 crédits dans le cadre de son baccalauréat en communication-marketing

  • l'UQAM pourra reconnaître jusqu'à 15 crédits (selon la méthode de 2 cours collégiaux peuvent remplacer un cours universtaire) aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat en communication humaine et organisationnelle

  • l'UQAM pourra reconnaître jusqu'à 9 crédits aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat communication - spécialisation en relations publiques

  • l'UQAM pourra reconnaître jusqu'à 9 crédits aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat avec majeure en communication

  • l'Université St-Paul (Ottawa) pourra reconnaître jusqu'à 60 crédits (selon étude du dossier de l'étudiant) aux titulaires de ce D.E.C. (diplômés du Cégep de l'Outaouais seulement) dans le cadre de son baccalauréat en innovation sociale

Certificats :

  • l'UQAR pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 21 crédits dans le cadre de son certificat en administration

  • l'UQAC pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 15 crédits dans le cadre de son certificat en sciences comptables

  • l'UQAC pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 12 crédits dans le cadre de son certificat en administration

  • l'UQO pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (des cégeps de l'Outaouais, Saint-Jérôme, Lionel-Groulx, Montmorency ou Valleyfield) jusqu’à 15 crédits dans le cadre de son certificat en administration

  • l'UQO pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (du Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue) jusqu’à 9 crédits dans le cadre de son certificat en relations industrielles et en ressources humaines

  • l'UQO pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (du Cégep de l'Outaouais) jusqu’à 6 crédits dans le cadre de son certificat en droit de l'entreprise et du travail

  • l'UQO pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. (du Cégep de l'Outaouais) jusqu’à 6 crédits dans le cadre de son certificat en relations industrielles et en ressources humaines

  • l'UQTR pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 15 crédits (cote R de 24,000 ou dans le cadre de son certificat en administration

  • l'Université Laval pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 6 crédits (cote R de 25,000 ou +) dans le cadre de son certificat en gestion de la relation consommateur

  • l'UQAM pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 15 crédits (cote R de 28,000 ou +) dans le cadre de son certificat en comptabilité générale

  • l'UQAM pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. quelques crédits après analyse du dossier de l'étudiant (cote R entre 22,000 et 28,000) dans le cadre de son certificat en comptabilité générale

  • l'UQAM pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 15 crédits (cote R de 25,000 ou +) dans le cadre de son certificat en administration

  • l'UQAM pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. quelques crédits après analyse du dossier de l'étudiant (cote R entre 22,000 et 25,000) dans le cadre de son certificat en administration

  • l'UQAM pourra reconnaître aux titulaires de ce D.E.C. jusqu’à 9crédits dans le cadre de son certificat en communication socionumérique des organisations

ÉTUDES SUPÉRIEURES  :

 

Ces programmes ont pour but de t’intégrer au marché du travail, mais il te sera également possible de poursuivre tes études à l’université dans le cadre d’un baccalauréat dans le domaine de l’administration ou dans une discipline connexe :

Il existe également des programmes collégiaux et universitaires de courte durée (certificats, microprogrammes et programmes courts) qui te permettront de te perfectionner, en voici quelques exemples :

  • AEC en affaires électroniques offert au Collège LaSalle : Affaires électroniques (1 330 heures, 12 mois) offert en anglais ou en français de soir

  • Diplôme en marketing (intensif) offert à Concordia (voir aussi le programme à temps partiel)

  • Certificat en administration des affaires offert à Sherbrooke

  • Certificat en affaires électroniques ou en commerce électronique offert à HEC Montréal et UQAR

  • Certificat en affaires internationales ou commerce international offert à HEC Montréal et UQAM

  • Certificat en allemand ou langue allemande offert à l'UQAM et Laval

  • Certificat en analyse des processus organisationnels offert à HEC Montréal

  • Certificat en animation de groupes offert à l'UQAR, UQO et UQAT

  • Certificat en coaching offert à l'UQAC

  • Certificat en commerce au détail offert à HEC Montréal

  • Certificat en communication offert à Montréal, UQÀM, Laval, Sherbrooke, UQO et Téluq

  • Certificat en comptabilité offert à HEC Montréal, Mcgill, Laval et Sherbrooke

  • Certificat en création d'entreprise ou entrepreuriat offert à HEC Montréal, Mcgill, Laval, Concordia (intensif, voir aussi la version à temps partiel) et UQAR

  • Certificat en droit offert à Montréal et Laval

  • Certificat en espagnol ou langue espagnole offert à l'UQAM, à Mcgill, à Laval, à l'UQAC

  • Certificat en études russes offert à Laval

  • Certificat en finance d'entreprise offert à HEC Montréal

  • Certificat en gestion comptable des organisations offert à HEC Montréal

  • Certificat en gestion de l'hôtellerie et de la restauration des terroirs offert à l'UQAC

  • Certificat en gestion de la chaîne logistique (ou d'approvisionnement) offert à HEC Montréal, Mcgill et Laval

  • Certificat en gestion des affaires électroniques offert à HEC Montréal

  • Certificat en gestion du tourisme offert à l'UQÀM et à Téluq

  • Certificat en gestion et pratiques socioculturelles de la gastronomie à l'UQÀM

  • Certificat en gestion philanthropique offert à Montréal

  • Certificat en immobilier offert à l'UQÀM

  • Certificat en langue anglaise offert à Mcgill, UQAM, Sherbrooke, UQTR et UQAC

  • Certificat en langues et cultures arabes offert à l'UQAM et Concordia

  • Certificat en langue et culture chinoise moderne offert à Concordia

  • Certificat en langues et cultures d'Asie offert à l'UQAM

  • Certificat en langues modernes (multilangues) offert à Sherbrooke

  • Certificat en leadership du changement offert à Laval

  • Certificat en leadership organisationnel offert à HEC Montréal

  • Certificat en marketing offert à HEC Montréal, Mcgill (marketing appliquée), Mcgill (marketing), Laval, Concordia, Sherbrooke, UQTR, UQAC et UQAR

  • Certificat en psychologie offert à l’UQÀM, à Laval, à Sherbrooke, à l’U.Q.T.R., à l’UQAR, à l’UQAC, à l'UQO, à l'UQAT et à Téluq

  • Certificat en psychologie organisationnelle offert à l'UQAC et UQO

  • Certificat en publicité offert à Montréal

  • Certificat en rédaction anglaise offert à Concordia et Sherbrooke

  • Certificat en rédaction française offert à Montréal, Laval, UQAM, UQTR, UQAC, UQO, UQAR, Ottawa et Téluq

  • Certificat en relations publiques offert à Montréal, Mcgill et à Téluq

  • Certificat en sciences comptables offert à l'UQÀM, UQTR, UQAC, UQAR (à Rimouski et à Lévis), UQO (campus de Gatineau) et UQAT (campus de Rouyn, de Val-d'Or et à distance)

  • Certificat en sciences de la consommation offert à Laval

  • Certificat en supervision offert à HEC Montréal

  • Certificat en vente relationnelle offert à HEC Montréal

  • Certificat en multidisciplinaire en gestion offert à l'UQAT

  • Certificat personnalisé en gestion offert à l'UQAT et HEC Montréal

  • Microprogramme en aspects humains de l'organisation à l'UQAT

  • Microprogramme en communication-marketing sur les nouveaux médias à Laval

  • Microprogramme en distribution alimentaire à Laval

  • Microprogramme en gestion des personnes ou des ressources humaines offert à Laval

  • Micoprogramme en langue anglaise offert à Laval et Sherbrooke

  • Microprogramme en langues modernes - espagnol avancé offert à Laval

  • Microprogramme en rédaction spécialisée offert à Sherbrooke

  • Microprogramme ou module en langue et culture allemandes offert à Montréal et Laval

  • Microprogramme ou module en langue et culture arabes offert à Montréal et Laval

  • Module en langue et culture chinoises offert à Montréal, Laval (12 crédits) et Laval (18 crédits)

  • Microprogramme ou module ou programme court en langue et culture hispaniques offert à Montréal, Laval (base), Laval (avancé) et UQTR

  • Microprogramme ou module en langue et culture italiennes offert à Montréal et Laval

  • Microprogramme ou module en langue et culture japonaises offert à Montréal, Laval (12 crédits) et Laval (18 crédits)

  • Microprogramme ou module en langue et culture japonaises offert à Laval (12 crédits) et Laval (18 crédits)

  • Microprogramme ou module en langue et culture russes offert à Montréal et Laval

  • Programme court en entrepreneuriat offert à Téluq

  • Programme court en information et gestion financière offert à l'UQAR (à Rimouski et à Lévis)

EXIGENCES D’ADMISSION :

 

Pour le DEC en techniques de communication dans les médias :

 

-         Détenir un D.E.S. sans cours préalable spécifique

 

Note : l’admission est basée principalement sur l’excellence de ton dossier et une attention particulière sera apportée dans tes résultats en français, anglais et en sciences humaines (géographie, histoire, etc)

 

Pour le DEC-BACC en administration-marketing :

 

-         Détenir un D.E.S. et avoir réussi le cours TS ou SN 5e (anciennement mathématiques 536) ou son équivalent

 

Pour le D.E.C. en gestion commerciale :

 

-         Soit détenir un D.E.S. et avoir réussi le cours CST 4e (anciennement mathématiques 436ou son équivalent
 

-         Détenir un D.E.S. et avoir réussi le cours TS ou SN 5e (anciennement mathématiques 536) ou son équivalent pour ceux qui veulent poursuivre les études jusqu’à l’université au Baccalauréat en administration des affaires.

 

Note : Pour connaître les équivalences des préalables à l’éducation aux adultes, consulte la page suivante

 

STATISTIQUES D’ADMISSION :

 

Pour le DEC en techniques de communication dans les médias :

 

À Jonquière 

 

DEMANDES

ADMIS

TAUX

D’ADMISSION

EN %

264

111

42

  

Pour le D.E.C. en gestion commerciale

 et le DEC-BAC en administration-marketing :

 

Ce programme n’est pas contingenté dans tous les collèges

 

Les candidats(es) admissibles (détenant les préalables requis) sont généralement admis

 

Admissions également ouvertes à l’hiver à :

 

-         André-Laurendeau

-         Édouard-Montpetit

-         Garneau

-         Granby

-         Joliette

-         Jonquière

-         Lionel-Groulx

-         Sherbrooke

-         St-Jean-sur-Richelieu

-         Valleyfield

 

ENDROITS DE FORMATION :

 

Qu'est-ce que l’alternance travail-études ?

Est du Québec :

(Saguenay Lac-St-Jean, Bas-St-Laurent et Gaspésie, Côte-Nord)

Bas-St-Laurent :

  • Centre matapédien d'études collégiales CMEC à Amqui
    rattaché au Cégep de Matane et au Cégep de Rimouski.

    offert en cheminement régulier à temps complet de jour,
    OU en alternance travail-études ATE à temps complet de jour.
    (comprenant 2 stages rémunérés de 8 à 12 semaines chacun en milieu professionnel au cours des trimestres d'été), voir la page suivante.


    Obtention d'une bourse automatique d'admission de 1 000 $ pour tous les nouveaux étudiants en gestion de commerces;
    Possibilité d'obtenir une bourse de mobilité interrégionale de 6 000 $ une destinée aux étudiants québécois de l'extérieur du Bas-Saint-Laurent (certaines régions sont exclues) admis à temps plein au Cégep de Matane dans l’un des programmes ciblés (dont techniques d'intégration multimédia), voir la page suivante;
    Possibilité de bénéficier d'un tutorat par les pairs afin de soutenir les étudiants dans leur cheminement scolaire via les centres d'aide à l'apprentissage (français, anglais ou philosophie);
    Les groupes-classes sont de petite taille permetant un  enseignement personnalisé et un meilleur encadrement et suivi des professeurs;
    Un stage d’observation en entreprise dès la première session;
    Programme offert selon la formule DEC portable permettant d'avoir accès en ligne aux documents nécessaires à la formation en tout temps et mise à jour régulièrement;
    Offert selon une approche collaborative permettant de réaliser des stages rémunérés au sein d'entreprises partenaires de la région tout au long de ta formation, voir la page suivante;

    Possibilité de faire partie du Club d’entrepreneurs étudiants pour cultiver ta fibre entrepreneuriale;
    Plusieurs activités parascolaires et professionnelles : visites d’entreprises, simulations, conférences de professionnels de la gestion et d'entrepreneurs de la région, stages en entreprise, mentorat et bien plus encore;
    Possibilité de réaliser un stage d'initiation à la coopération internationale en Amérique latine, voir la page suivante;

    Possibilité d'effectuer une session d'études en France;
    Possibilité d'obtenir une bourse « Relève Desjardins » qui permet à une étudiante ou un étudiant d’effectuer un stage rémunéré d’une durée de 200 heures et qui est assorti d’une bourse de 500 $;
    Pour plus de détails, regarde la vidéo promotionnelle du programme.

    Possibilité de bénéficier :


    du D.E.C.-BAC en administration offert conjointement avec l'UQAR;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration - spécialisation en ressources humaines de l'Université Laval;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration - autres concentrations de l'Université Laval
    ;

    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à
    21 crédits dans le cadre du Baccalauréat en a
    groéconomie de l'Université Laval;

    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits dans le cadre du Baccalauréat en relations industrielles de l'Université Laval;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits dans le cadre du Baccalauréat en sciences de la consommation de l'Université Laval.


    La région de la Matapédia et ses territoires voisins est située aux limites du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie (La Matanie dont Matane, La Mitis dont Mont-Joli, Avignon en Gaspésie dont Carleton-sur-Mer et Boventure en Gaspésie dont Paspédiac).

    Elle possède une industrie touristique quatre-saisons fleurissante située sur le circuit touristique de la Gaspésie; une filière industrielle dans les domaines de la transformation alimentaire, la transformation des produits forestiers, de la fabrication des portes et des fenêtres, le développement de l’énergie à la biomasse et éoliennes; une industrie agricole regroupant plus de 500 fermes majoritairement en production laitière; ainsi que de nombreuses entreprises de commerce au détail et de services afin de desservir une population totalisant plus de 67 000 habitants de tous âges dans 58 municipalités qui ne cesse d'augmenter depuis quelques années, principalement dans la MRC de la Mitis).

  • Cégep de Rimouski

    offert en cheminement régulier à temps complet de jour
    OU selon la formule en alternance travail-études ATE à temps complet de jour
    (comprenant 2 stages rémunérés de 8 à 12 semaines chacun en milieu professionnel au cours des trimestres d'été)
    , voir la page suivante
    .

    Son programme a été classé au 5e rang au Québec (1er rang de l'Est du Québec et 2e rang parmi les cégeps francophones du Québec) des meilleurs programmes en gestion de commerces en 2021 selon le classement sur la performance  des cégeps du Journal de Montréal;
    Possibilité d'obtenir une bourse de mobilité interrégionale de 3 000 $ accordée aux étudiants(es) en provenance du secondaire de l'extérieur du Bas-Saint-Laurent et qui sont admis en première année dans ce programme, pour plus de détails consulte la page suivante;

    Possibilité de bénéficier du service de tutorat dans les disciplines fondamentales des centres d'aide à la réussite (mathématiques, français ou anglais);
    Les classes sont de petite taille permettant un enseignement personnalisé un meilleure encadrement des professeurs;
    Programme offert selon la formule DEC portable permettant d'avoir accès en ligne aux documents nécessaires à la formation en tout temps et mise à jour régulièrement;
    Comprend de nombreuses activités parascolaires et professionnelles : conférences ou échanges-rencontres avec des professionnels de la gestion et des entreprenerurs de la région, visites d'entreprises, participation à des compétitions d'études de cas, aux Jeux collégiaux du commerce, journée carrière, etc;
    Regarde la vidéo promotionnelle du programme;
    Regarde la vidéo promotionnelle du D.E.C.-BAC.


    Possibilité de bénéficier :


    du D.E.C.-BAC en administration offert conjointement avec l'UQAR;
    du D.E.C.-BAC en sciences de la consommation offert conjointement avec l'Université Laval;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 28,000 et plus) de se faire reconnaître jusqu'à 24 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'UQAC;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R entre 22,000 et 28,000) de se faire reconnaître jusqu'à
    18 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'UQAC;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 24,000 ou plus) de se faire reconnaître jusqu'à 24 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'UQTR (campus de Drummondvillee ou campus de Trois-Rivières);
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration - autres concentrations de l'Université Laval;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration - spécialisation en ressources humaines de l'Université Laval;

    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à
    21 crédits dans le cadre du Baccalauréat en a
    groéconomie de l'Université Laval;

    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits dans le cadre du Baccalauréat en relations industrielles de l'Université Laval.

Saguenay et Lac-St-Jean :

  • Cégep de Jonquière
    offert en cheminement régulier à temps complet de jour;
    Aussi offert au Centre d'études collégiales de Charlevoix.

    Son programme a été classé au top 10 au Québec des meilleurs programmes en gestion de commerces en 2021 selon le classement sur la performance  des cégeps du Journal de Montréal;
    Possibilité de bénéficier
    du
    tutorat afin de soutenir les étudiants dans leur cheminement scolaire via les centres d'aide à la réussite (philosophie, anglais ou français);
    Les groupes-classes sont de petite taille permetant un  enseignement personnalisé et un meilleur encadrement et suivi des professeurs;
    Programme axé sur la pratique :  études de cas réels, simulations, conférences et visites en entreprise, accès gratuit aux logiciels, etc;
    Plusieurs activités parascolaires et professionnelles : conférences ou rencontres avec des gestionnaires, des consultants en gestion et des entrepreneurs de la région; visites de plusieurs entreprises, colloque entrepreneurial, journée carrière, etc;
    Possibilité de participer aux activités de l'entreprise-école Tango (études de marché, plan marketing et de marchandisage, analyse du service à la clientèle) qui fournit des services et conseils à des organismes sans but lucratif OBNL et aux entreprises de la région;
    Possibilité de réaliser un projet entrepreneurial;
    Possibilité de réaliser un stage en représentation : possibilité de passer du temps en compagnie d’un professionnel de la représentation commerciale;

    Possibilité de réaliser le stage professionnel crédité en Belgique ou en France
    ;
    Regarde la vidéo promotionnelle du programme.

    Possibilité de bénéficier :


    du D.E.C.-BAC en administration offert conjointement avec l'UQAC;
    du D.E.C.-BAC en administration offert conjointement avec l'Université Laval;
    du D.E.C.-BAC en sciences de la consommation offert conjointement avec l'Université Laval;

    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 30 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'UQAR;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 24,000 ou plus) de se faire reconnaître jusqu'à 24 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'UQTR (campus de Drummondvillee ou campus de Trois-Rivières);

    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits dans le cadre du Baccalauréat en relations industrielles de l'Université Laval.

Ouest et Centre du Québec :

(Mauricie-Bois-Francs, Estrie, Outaouais, Abitibi-Témiscamingue) 

Centre-du-Québec et Mauricie :

  • Cégep de Drummondville

    o
    ffert
    en cheminement régulier à temps complet de jour
    OU
    selon la formule en alternance travail-études ATE à temps complet de jour,
    (comprenant 2 stages rémunérés de 8 à 12 semaines chacun en milieu professionnel au cours des trimestres d'été qui s'ajoutent aux stages crédités obligatoires), voir la page suivante;


    Son programme figure au top 15 pour le meilleur programme en comptabilité et gestion au Québec selon le classement des meilleurs cégeps du Québec du Journal de Montréal en 2021
    ;
    Les
    classes sont de petite taille permettant un enseignement personnalisé et un meilleur encadrement des professeurs;
    Comprend un tronc commun en première session permettant d'explorer les 4 programmes en techniques administratives (techniques de comptabilité et de gestion, gestion de commerces, conseils en services financiers et assurances et logistique du transport);
    Programme axé sur la pratique : simulations, études de cas, projets variés tout au long du programme, etc;
    Comprend de nombreuses
    activités parascolaires et professionnelles : conférences de gestionnaires et entrepreneurs de la région,visites d'entreprises, Club entrepreneur étudiant, journée carrière, etc.;

    Possibilité d'effectuer une session d'études
    en France;
    Possibilsité de réaliser différents projets réels en partenariat avec le milieu d'affaires de la région;

    Possibilisté de réaliser des projets étudiants en collaboration avec des étudiants en
    technique de comptabilité et de gestion, technique des services financiers et assurances, logistique du transport et techniques de l'informatique;
    Possibilité de réaliser un projet entrepreneurial;
    Regarde la vidéo promotionnelle du programme.

    Possibilité de bénéficier :

    u D.E.C.-BAC en administration offert conjointement avec l'Université Laval;
    du D.E.C.-BAC en sciences de la consommation offert conjointement avec l'Université Laval;

    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 24,000 ou plus) de se faire reconnaître jusqu'à 24 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration - chemnement marketing profil régulier de l'UQTR (campus de Drummondville);

    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 24,000 ou plus) de se faire reconnaître jusqu'à 24 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration - chemnement marketing profil international de l'UQTR  (campus de Drummondville);
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 24,000 ou plus) de se faire reconnaître jusqu'à 24 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration - cheminement gestion des ressources humaines de l'UQTR  (campus de Drummondville);
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 30 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'UQAR
    (campus de Lévis
    ou campus de Rimouski);
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 28,000 et plus) de se faire reconnaître jusqu'à 24 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'UQAC;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R entre 22,000 et 28,000) de se faire reconnaître jusqu'à
    18 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'UQAC;

    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 28,000 ou plus) de se faire reconnaître jusqu'à 30 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'Université Bishop;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R entre 26,000 et 28,000) de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'Université Bishop
    ;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 21 crédits dans le cadre du Baccalauréat en agroéconomie de l'Université Laval.

  • Cégep de Trois-Rivières
    offert en cheminement régulier à temps complet de jour
    .


    Son programme a été classé au 6e rang au Québec (1er rang des cégeps du centre de l'Ouest du Québec et 3e rang parmi les cégeps francophones du Québec)) des meilleurs programmes en gestion de commerces en 2021 selon le classement sur la performance  des cégeps du Journal de Montréal;
    du programme de tutorat par les pairs qui jumelle un étudiant de 2e ou de 3e année à un étudiant de 1re année;
    Programme axé sur la pratique
    comprenant plusieurs simulations dont des simulations de communication avec rétroaction audiovisuelle, études de cas, conception de plans d'affaires à partir de situations réelles, réaliser des campagnes publicitaires à partir de situations réelles et présentation au Gala de la publicité, des enquêtes sur le terrain auprès de dirigeants de PME qui font du commerce international, etc;
    Possibilité de réaliser une rencontre d’observation auprès d’un représentant des ventes et d’un acheteur au cours de la première année;

    Comprend de nombreuses activités parascolaires et professionnelles (conférences de gestionnaires et d'entrepreneurs de la région, visites d'entreprises, entreprise-école Vision C3R, club d'entrepreneuriat étudiant, Concours intercollégial de publicité, journée carrière, etc.);
    Possibilisté de réaliser des projets étudiants en collaboration avec des étudiants d'autres programmes (techniques de comptabilité et de gestion, logistique du transport, techniques de l'informatique, sciences humaines - profil en administration, etc;);

    Possibilité de réaliser le stage crédité non rémunéré de 3 semaines en France;
    Regarde la vidéo promotionnelle du programme;
    Regarde la vidéo promotionnelle du DEC-BAC.


    Possibilité de bénéficier :

    du D.E.C.-BAC en
    marketing profil régulier offert conjointement avec l'UQTR, voir aussi la page suivante;
    du D.E.C.-BAC en marketing profil international offert conjointement avec l'UQTR
    , voir aussi la page suivante;
    du D.E.C.-BAC en administration offert conjointement avec l'Université Laval;

    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 24,000 ou plus) de se faire reconnaître jusqu'à 24 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration - cheminement gestion des ressources humaines de l'UQTR;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 30 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'UQAR (campus de Lévis)
    ;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 28,000 et plus) de se faire reconnaître jusqu'à 24 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'UQAC;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R entre 22,000 et 28,000) de se faire reconnaître jusqu'à 18 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'UQAC;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration - spécialisation en ressources humaines de l'Université Laval;

    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits dans le cadre du Baccalauréat en relations industrielles de l'Université Laval;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 12 crédits dans le cadre du Baccalauréat en sciences de la consommation de l'Université Laval.

  • Collège Ellis
    campus de Trois-Rivières
    offert en cheminement régulier à temps complet de jour.


    Un D.E.C. accéléré de 2 ans pour titulaires d'un autre DEC ou ayant complété tous les cours de la formation générale du collégial également offert;
    Les groupes-classes sont de petite taille permetant un  enseignement personnalisé et un meilleur encadrement et suivi des professeurs;
    Offert selon une approche pédagogique axée sur la pratique comprenant des simulations, études de cas, rédaction de plans d'affaires, séminaires de professionnels de la gestion, projets communautaires, projets réels avec des entreprises partenaires de la région, etc;
    Comprend des cours axés sur l’apprentissage des langues et l’ouverture sur le monde;
    Comprend des cours spécialisés en commerce numérique notamment en médias sociaux et tendances web;
    Un accompagnement personnalisé en entrepreneuriat pour ceux désirant démarrer leur entreprise.

    Possibilité de réaliser des stage
    s rémunérés dans la fonction publique fédérale au cours des trimestres d'été, voir la page suivante;
    Possibilité de réaliser des stages rémunérés dans la fonction publique québécoise au cours des trimestres d'été, voir la page suivante
    ;

Estrie :

  • Cégep de Sherbrooke

    offert en régime régulier à temps complet de jour
    OU selon la formule en alternance travail-études ATE à temps complet de jour
    (comprenant 2 stages rémunérés de 12 semaines chacun en milieu professionnel au cours des trimestres d'été), voir la page suivante;
    OU selon la formule en coexistence travail-études CTE à temps complet de jour unique au Québec
    (permet d’étaler la dernière année de formation sur deux ans, afin de pouvoir combiner, dans une même semaine, un travail rémunéré en entreprise et la formation en classe), voir la page suivante
    .


    Possibilité de bénéficier du service de tutorat dans les disciplines fondamentales des centres d'aide à l'apprentissage (mathématiques, français ou anglais);
    Programme axé sur la pratique (plusieurs travaux pratiques en classe et en laboratoire);
    Comprend de nombreuses activités parascolaires et professionnelles : conférences de gestionnaires, d'experts en stratégie média et entrepreneurs de la région, visites d'entreprises, club d'entrepreneuriat étudiant, entreprise-école, Club PME, journée carrière, etc;
    Possibilité de suivre le cheminement Sports-études reconnu par l'Alliance Sports-Études;
    Possibilité de réaliser un projet de mission commerciale au Maroc; qui inclut un cours en commerce international;

    Possibilité de réaliser le second stage rémunéré
    ou le stage crédité de fin d'études en France;
    Regarde la vidéo promotionnelle du programme et le webinaire.

    Possibilité de bénéficier :


    du D.E.C.-BAC en administration offert conjointement avec l'Université Laval;
    du D.E.C.-BAC en sciences de la consommation offert conjointement avec l'Université Laval;

    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 30 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'UQAR (campus de Lévis)
    ;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 28,000 et plus) de se faire reconnaître jusqu'à 24 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'UQAC;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R entre 22,000 et 28,000) de se faire reconnaître jusqu'à
    18 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'UQAC;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 24,000 ou plus) de se faire reconnaître jusqu'à 24 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration - chemnement marketing profil régulier de l'UQTR (campus de Drummondville);
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 24,000 ou plus) de se faire reconnaître jusqu'à 24 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration - chemnement marketing profil international de l'UQTR  (campus de Drummondville);
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 24,000 ou plus) de se faire reconnaître jusqu'à 24 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration - cheminement gestion des ressources humaines de l'UQTR  (campus de Drummondville);

    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 28,000 ou plus) de se faire reconnaître jusqu'à 30 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'Université Bishop;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R entre 26,000 et 28,000) de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'Université Bishop;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 21 crédits dans le cadre du Baccalauréat en agroéconomie de l'Université Laval
    .

Outaouais :

  • Cégep de l’Outaouais
    offert en cheminement régulier à temps complet de jour
    seulement.


    Possibilité de bénéficier du tutorat par les pairs afin de soutenir les étudiants dans leur cheminement scolaire via les centres d'aide à l'apprentissage (français, anglais ou philosophie);
    Les groupes-classes sont de petite taille permetant un  enseignement personnalisé et un meilleur encadrement et suivi des professeurs;
    Comprend de nombreuses activités parascolaires et professionnelles (conférences de gestionnaires et entrepreneurs de la région, visites d'entreprises,  Club entrepreneurs étudiants, journée carrière, etc.);
    Possibilité de participer aux activités d'une entreprise-école offrant des services à la population, aux PME et aux organismes sans but lucratif OBNL de la région;
    Possibilité d'effectuer une session d'études en France;

    Regarde la vidéo promotionnelle du programme.

    Possibilité de réaliser des stage
    s rémunérés dans la fonction publique fédérale au cours des trimestres d'été, voir la page suivante;
    Possibilité de réaliser des stages rémunérés dans la fonction publique québécoise au cours des trimestres d'été, voir la page suivante
    ;

    Possibilité de bénéficier :

    du D.E.C.-BAC en sciences de la consommation offert conjointement avec l'Université Laval;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration - autres concentrations de l'Université Laval;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration - spécialisation en ressources humaines de l'Université Laval;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. (cote R de 24,000 ou plus) de se faire reconnaître jusqu'à 24 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration de l'UQTR (campus de Drummondville ou campus de Trois-Rivières);

    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à
    30 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration - cheminement régulier de l'UQO
    ;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 30 crédits dans le cadre du Baccalauréat en administration - cheminement coopératif de l'UQO;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. de se faire reconnaître jusqu'à 30 crédits dans le cadre du Baccalauréat en sciences compta
    bles de l'UQO
    ;
    de la passerelle permettant aux titulaires de ce D.E.C. jusqu'à 6 crédits dans le cadre du Baccalauréat en relations industrielles et en ressources humaines de l'UQO.

Région de Québec (Québec, Chaudières-Appalaches, Beauce) :

Chaudière-Appalaches :

  • Cégep de Thetford
    aussi offert au Centre d'études collégiales de Lotbinière à Saint-Agapit.

    offert
    en cheminement régulier à temps complet de jour
    OU selon la formule en alternance travail-études ATE à temps complet de jour
    (comprenant 2 stages rémunérés de 8 à 12 semaines chacun en milieu professionnel)
    .


    Possibilité de bénéficier du D.E.P.-D.E.C. permettant aux titulaires du D.E.P. en comptabilité ou du D.E.P. en soutien administratif de se faire reconnaître quelques cours dans le cadre du D.E.C.;
    Possibilité d'obtenir une bourse de mobilité interrégionale de 3 000 $ accordée à un(e) étudiant(e) de l'extérieur de Chaudière-Appalaches en provenance du secondaire admis en première année au D.E.C. en techniques de l'informatique par la Fondation du Cégep, voir la page suivante;

    Possibilité de bénéficier du service de tutorat dans les disciplines fondamentales des centres d'aide à la réussite (mathématiques, français ou anglais, ainsi qu'un centre d'autocorrection en français unique au Québec);
    Comprend un tronc commun en première session permettant d'explorer les 2 programmes en techniques administratives (techniques de comptabilité et de gestion et gestion de commerces);

    Les classes sont de petite taille permettant un enseignement personnalisé un meilleure encadrement des professeurs,
    Offert selon la formule DEC portable permettant d'avoir accès en ligne aux documents nécessaires à la formation en tout temps et mise à jour régulièrement permettant d'obtenir la mention spéciale "ProfilTI";
    Formation axée sur la pratique : réalisation d’un test de produits alimentaires, simulation marketing, pitch de vente et négociation, concours de vitrines de magasin, conception d’un plan d’affaires, implication dans l’organisation des matchs des Filons football, cours d'entrepreneuriat donné à l’Espace entrepreneuriat région de Thetford (E2RT), conception d’un plan d’affaires, organisation de divers événements sportifs et culturels,planification et réalisation d'un projet événementiel, réalisation d'un projet entrepreneurial, etc;
    Possibilité de suivre un cheminement musique-études unique au Québec;

    Comprend de nombreuses activités parascolaires et professionnelles : rencontres et échanges avec des entrepreneurs de la région, des gestionnaires de grandes entreprises et d'organismes publics de la région, visites d'entreprises, club d'entrepreneurial étudiant, etc;

    Comprend la réalisation de plusieurs projets tout au long du programme dont certains en collaboration avec des entreprises
    et organismes communautaires partenaires
    ;
    Réalisation de travaux et de projets en collaboration avec les entreprises du milieu.

    Possibilité de réaliser des stages rémunérés dans la fonction publique fédérale au cours des trimestres d'été, voir la page suivante;
    Possibilité de réaliser des stages rémunérés dans la fonction publique québécoise au cours des trimestres d'été, voir la page suivante;
     

    Regarde la vidéo promotionnelle du programme.


    Possibilité de bénéficier :