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SECTEUR : SERVICES SOCIAUX ET JURIDIQUES

NIVEAU D’ÉTUDES : ENSEIGNEMENT UNIVERSITAIRE

 

AVOCAT(E) OU NOTAIRE

BACCALAURÉAT SPÉCIALISÉ L.L.B.

  

Consulte également la page d'informations sur les programmes pré-universitaires en sciences humaines

Va voir également la section « entrevues » à la fin de cette page comprenant des vidéos d'avocats et de notaires qui parlent de leur travail.

Ainsi que la section "juristes inspirants" qui dresse des diplômés(es) en droit pouvant inspirer les futurs(es) juristes.

TÂCHES ET RESPONSABILITÉS : 

 

En devenant une avocate ou un avocat au civil; tu seras responsable de conseiller ta clientèle sur des sujets concernant leurs droits, les responsabilités et leurs obligations relatifs à tous types de contrats d’achat ou location d’un bien ou d’un service ou sur toutes questions juridiques de la vie civile et familiale.

 

Tu pourras t’occuper de litiges en droit familial (divorce, séparation, garde d’enfants, pensions alimentaires, patrimoine familial, médiation familiale, etc), en droit des contrats civils (achat ou location d’un bien ou service), droit du travail (accidents de travail, affaires syndicales, responsabilité professionnelle, etc.), droit social et des personnes (adoption, immigration, accidents de la route, sécurité sociale et chômage, protection des droits de la personne, dommages-intérêts, etc.) autres domaines (responsabilité civile, faillites personnelles, droit international privé, etc.). Selon tes intérêts, tu pourras choisir un de ces secteurs de compétences ou faire de la pratique générale.

 

Tu auras pour tâches de :  

En devenant une ou un Procureur(e) aux poursuites criminelles et pénales (procureur-e de la couronne); tu seras responsable de recevoir et étudier la plainte formulée par une victime d’un acte criminel ou d’un dossier transmis par un(e) enquêteur(e) est fondée et que le dossier de la police est complet et Entreprendre des démarches de poursuites légales envers la personne soupçonnée du crime ou des crimes reproché(s).

 

Tu devras être habile dans l’interprétation des lois et avoir une grande facilité à communiquer et à t’exprimer devant public pour faire connaître ton point de vue et être convaincant(e).

 

Tu pourras traiter exclusivement des dossiers de délinquants adultes ou exclusivement des dossiers de délinquants mineurs.

 

Tu auras pour tâches de :  

Pour plus de détails, consulte le site du Directeur des poursuites criminelles et pénales du Québec où une l’on décrit le travail d’un(e) Procureur(e) aux poursuites criminelles et pénales du Québec et le site du Ministère de la Justice du Québec.
Consulte aussi le site du Service des poursuites pénales du Canada où une l’on décrit le travail d’un(e) substititut du Procureur Général du Canada.

 

En devenant une avocate ou un avocat criminaliste de la défense; tu seras responsable défendre des personnes soupçonnées d’avoir commis un ou des acte(s) criminel(s) et qui font face à des poursuites intentées devant une cour criminelle concernant des actes mineurs (vols, vandalisme, infractions au Code de la route, voies de faits, ivresse, possession de stupéfiants, etc.); des actes graves (homicide, tentative d’homicide, trafic de stupéfiants, fraude, viol, agression sexuelle, vol à main armé, etc.).

 

Tu devras être habile dans l’interprétation des lois et avoir une grande facilité à communiquer et à t’exprimer devant public pour faire connaître ton point de vue et être convaincant(e).

 

Tu pourras travailler soit auprès des mineurs ou des adultes.

 

Tu auras pour tâches de :  

En devenant une avocate ou un avocat en droit des affaires; tu seras responsable de conseiller tes clients (entreprises ou organismes) sur des sujets concernant leurs droits, les responsabilités et leurs obligations relatifs à des contrats ou des ententes commerciales.

 

Tu pourras travailler dans domaines tels que : droit commercial (droits des PME, financement d’entreprises, faillites commerciales, etc.), droit corporatif (propriété intellectuelle, droit industriel, droit commercial international, responsabilité commerciale, etc.), droit du travail (négociations patronales, organisation du travail, etc.), autres domaines (droit immobilier et de la construction, droit des assurances, droit fiscal des corporations, ententes commerciales entreprises-gouvernements, etc.).

 

Tu auras pour tâches de :  

En devenant une avocate ou un avocat en droit public; tu seras responsable de négocier et de conclure des ententes et des contrats avec des entreprises ou organismes publics ou privés, de conseiller les dirigeants de l’organisme sur toutes questions juridiques notamment en ce qui concerne les politiques publiques, les politiques internes, les droits et obligations envers les ententes et contrats et tout ce qui concerne l’application des lois ou règlements dont l’organisme est responsable de faire appliquer.

 

Dans certains cas, tu auras à t’occuper des poursuites judiciaires intentées par un particulier, un groupe ou une organisation contre l’organisme que tu représentes ou le contraire. Tu pourrais même participer à l’élaboration de nouvelles politiques et de nouvelles lois ou règlements, à leur réforme ou aux méthodes et procédures de leur application.

Tu travailleras pour une municipalité, une entreprise d’état, un établissement d’enseignement, un établissement de santé, un gouvernement ou un autre organisme public ou parapublic.

 

En devenant une avocate ou un avocat en droit du travail; tu auras pour tâches soit défendre des travailleuses et travailleuses dont leurs droits ont été lésés par l’employeur.

 

Tu les conseilleras sur les droits et responsabilités en ce qui a trait à leur travail et tu les représenteras auprès du Tribunal du travail ou de la Cour supérieure. Tu seras spécialisé sur les différentes lois en matière de travail, soit : le Code du travail, et la convention collective de travail au sein de l’entreprise (syndiqués), La loi sur normes du travail (non syndiqués), le Code canadien du travail (travailleurs d’entreprises de juridiction fédérale comme les compagnies de télécommunications, les postes de radio et télé, etc.

 

Tu pourras travailler pour des organisations syndicales, pour des associations professionnelles, pour des cabinets d’avocats spécialisés en droit du travail ou à ton propre compte.

 

En devenant une avocate ou un avocate militaire au sein des Forces canadiennes; tu seras responsable de fournir des conseils juridiques auprès des commandants des unités des Forces canadiennes sur des questions reliées aux opérations lors des déploiements à l’étranger pour des missions.

 

Tu auras également à représenter la Défense Nationale et les Forces canadiennes devant la Cour martiale du Canada concernant des poursuites envers des membres des Forces ayant commis des actes criminels dans un territoire militaire (ex : base, quartier général en mission, etc) selon le Code pénal canadien ou ayant commis une infraction professionnelle selon le Code d’éthique militaire effectuée au Canada ou à l’étranger lors d’une mission.

 

Pour plus de détails, consulte la page du secteur armée.

 

En devenant un ou une notaire, tu seras responsable de conseiller les clients sur les différentes aspects juridiques de leur vie quotidienne (mariage, divorce, adoption, signature de contrats, succession, etc.) ou sur les différents aspects juridiques des affaires (contrats, ententes, transactions immobilières, faillite, cession ou transfert, etc.).

 

Tu seras d’abord un conseiller ou conseillère juridique auprès de ta clientèle en donnant toutes les informations nécessaires concernant leurs droits et obligations relatives au contrat ou l’entente qu’elle désire réaliser. Comme exemples de conseils que tu pourras fournir :

-         lors d’un contrat de mariage : informer chacun des époux sur le patrimoine familial

-         lors d’un contrat d’achat d’une maison : informer l’acheteur(euse) s’il existe ou pas déjà une autre hypothèque sur la maison  et les détails sur les titres de propriété de la maison

-         lors de la rédaction d’un testament : informer la personne sur les conséquences de ses décisions et le ou la conseiller sur la façon de léguer son héritage selon ses désirs et ses besoins

-         lors d’un contrat commercial : informer et conseiller chacun des parties sur les droits, les responsabilités et les obligations de chacun d’eux face à ce contrat

Tu joueras également un rôle de conciliateur(trice) lorsqu’il y a un désaccord sur un point ou un aspect du contrat entre les parties. Tu devras les aider à accepter un compromis qui satisfera les deux côtés. Tu auras pour tâches aussi de rédiger les contrats ou les ententes entre les parties afin de les rendre conformes à la loi avec le résultat voulu de 2 parties. Enfin, tu agiras comme officier public, c’est-à-dire que tu seras l’expert(e) qui pourra confirmer la nature et l’étendu d’un contrat ou d’une entente et lors de litiges au tribunal, le juge rendra la décision en vérifiant les droits et obligations de chacun des parties que tu auras établis dans le contrat ou l’entente en question.

 

Tu auras pour tâches de :  

En tant qu’enseignante ou enseignant en techniques sociales au collégial; tu seras responsable d’enseigner des notions de base ou des notions intermédiaires dans une discipline d'enseignement en lien avec ton domaine de compétences et d'expérience auprès de jeunes adultes inscrits à un programme de formation technique (techniques juridiques ou techniques policières).

 

Tu leur fourniras les compétences requises pour qu’ils puissent intégrer le marché du travail afin de pratiquer le métier ou la profession que tu leur auras enseigné.

 

Enseigner un métier c'est davantage que de montrer les tâches à faire comme ce le serait pour une formation en milieu de travail. Il y a des notions théoriques à présenter en lien avec la discipline (ex : terminologie technique appliquée au métier, mathématiques appliquées au métier, notions d'informatique et de logiciels spécialisés appliqués au métier, etc.) et organiser différentes activités de formation pratique (projets, discussions en petits groupes, simulations, etc.) afin de préparer adéquatement les étudiants(es) à intégrer le marché du travail avec toutes les compétences requises ou du moins, toutes celles requises pour occuper un premier emploi dans ce métier. Donc, il faut très bien connaître son métier, mais aussi bien savoir comment l'enseigner à des apprentis(es).

 

Tu les notions de base de la matière à enseigner.

 

Tu auras pour tâches de :

Pour plus de détails, consulte la page de professeur au collégial.

 

En devenant attaché(e) judiciaire dans la fonction publique québécoise; tu auras la responsabilité d'occuper les fonctions de greffier de la Cour du Québec (chambre civile et familiale) ayant l'autorité afin d'exécuter les mariages, homologuer les mandats d'inaptitude, homologuer les testaments, etc); rendre jugement sur vue de l’affidavit et des pièces dans des actions en recouvrement de deniers non contestées; ainsi qu'exercer les pouvoirs de juge de paix dans les limites de sa nomination ou encore les pouvoirs supplétifs du juge en son absence.

 

Tu pourras aussi occuper la fonction de de greffier aux affaires non contentieuses dans les tribunaux judiciaires (Cour du Québec, Cour supérieure) ou de registraire des faillites ou shérif de la Cour pour les procès criminels avec jury, etc.

 

Si tu deviens un(e) juge de tribunal; tu seras responsable d’entendre les causes d’un tribunal soit en matière civile ou en matière criminelle, d’accepter ou pas différentes preuves qui t’auront été présentées, interpréter les contrats et rapports qui t’auront été soumis et d’interpréter les faits selon les témoignages de témoins et autres personnes en cause. Enfin, tu auras à étudier en délibération les faits, témoignages et documents soumis et les lois et règlements qui s’appliquent afin de prononcer une décision. Tu seras responsable de présider les audiences dans un tribunal civil ou criminel et rendre la justice.

 

Qui ne devient pas juge qui veut….. Il faut avoir pratiqué en tant qu’avocat(e) pendant au moins 10 ans et avoir été nommé par une comité de sélection, le Conseil de la magistrature

 

Pour plus de détails, consulte la page suivante du Barreau du Québec et le Conseil de la magistrature du Canada.

 

Si tu deviens un(e) coroner; tu seras responsable d’enquête sur les causes du décès lors de morts violentes, suspectes ou inconnues. Tu devras recueillir tous les faits, preuves et témoignages qui pourront t’apporter des réponses à la cause du décès, ainsi que collaborer avec divers intervenants comme les policiers, les médecins légistes, les spécialistes en identité judiciaire, des médecins traitant et autres professionnels pouvant t’aider à découvrir la cause et les circonstances du décès.

 

Tu seras chargé(e) d’enquêter sur des accidents, des suicides, des morts naturelles et des homicides. Dans ce dernier cas, ton travail se terminera lorsque tu auras établi clairement avec les enquêteurs de police que le décès est causé par un homicide.

 

Dans les autres cas, tu auras responsable de l’enquête du début à la fin. Il est nécessaire d'avoir acquis au moins 4 ans d'expérience en tant qu'avocat(e) ou notaire avant de pouvoir devenir coroner à temps partiel et avoir pratique pendant au moins 8 ans comme coroner à temps partiel afin d'obtenir un poste permanent.

 

Pour plus de détails, consulte le Bureau du Coroner du Québec. Cconsulte aussi un article du site Jobboom sur cette profession

 

QUALITÉS ET APTITUDES NÉCESSAIRES :

-        Aimer la recherche et la résolution de problèmes

-        Grande facilité à communiquer car tu auras de fréquents contacts avec les clients

-         Capacité d’analyse et de synthèse pour analyser et interpréter de façon juste et précise les documents légaux

-        Sens des nuances pour être en mesure de donner ton point de vue sur un problème de droit

-        Sens des responsabilités car tu seras responsable des dossiers qui te seront confiés et qui auront une incidence au point de vue légal

-       Grand sens de l’organisation et très bonne méthode de travail  car tu auras à planifier et organiser ta recherche pour trouver ce que tu as besoin dans les publications légales sans perdre de temps inutile

-        Minutie, précision, souci du détail et rigueur pour trouver les points précis les plus importants lors de tes recherches

-       Sens de l’initiative, perspicacité et autonomie car tu auras à effectuer certaines tâches seul(e) et te débrouiller pour trouver la réponse à un sujet de droit en particulier

-       Méthodique en analyse des faits et convaincant en argumentation car tu auras à convaincre un juge (et des jurés si c’est un procès d’assises criminelles) que ton point de vue est le meilleur

-       Aptitudes à travailler en équipe car tu auras à collaborer non seulement avec un d'autres avocats(es) ou notaires, mais également avec des techniciens juridiques, des huissiers, des officiers de publicité des droits, des enquêteurs privés, des enquêteurs de police (en matiere criminelle), des psychologues et travailleurs sociaux (en droit de la jeunesse par exemple), etc.

-       Excellente maîtrise de la langue française parlée et écrite car tu auras à rencontrer des clients et à rédiger diverses procédures légales et si tu deviens avocat(e) tu devras t’exprimer en public au tribunal

-      Très bonne connaissance de la langue anglaise parlée et écrite car tu devras être capable de rédiger divers documents légaux dans cette langue et lire et interpréter des publications juridiques en anglais (surtout en droit des affaires)

PROFESSIONS APPARENTÉES :

EMPLOYEURS POTENTIELS :

PERMIS DE PRATIQUE :

 

Au Québec, pour devenir avocate ou avocat; tu dois obligatoirement devenir membre du Barreau du Québec. Cette profession est régie par une loi et un code de déontologie qui ne permet qu’aux détenteurs de ce titre de pratiquer dans le domaine.

 

Pour devenir avocat(e), tu devras t’inscrire à l’École du Barreau après avoir obtenu ton diplôme de baccalauréat en droit, pour suivre ta formation spécifique d’avocat(e).

Voir la section « formation post-baccalauréat » pour plus de détails.

 

Au Québec pour devenir notaire; tu dois obligatoirement devenir membre de la Chambre des notaires du Québec. Cette profession est régie par une loi et un code de déontologie qui ne permet qu’aux détenteurs de ce titre de pratiquer dans le domaine.

 

Voir la section « formation post-baccalauréat » pour plus de détails.

 

EXIGENCES DES EMPLOYEURS :

-         Excellente maîtrise du français parlé et écrit

-         Bonne connaissance de l’anglais (bilinguisme un atout)

-         Connaissance de l’informatique

-         Polyvalence

-    Permis de conduire et automobile (souvent nécessaire pour ceux qui doivent voyage entre le cabinet et le palais de justice ou visiter des clients en centre de détention ou chez des clients ou chez d'autres cabinets pour des négociations)

PLACEMENT :

 

Selon les données disponibles au 31 janvier 2021 :

 

Pour le Baccalauréat :

 

Le placement est TRÈS BON, 82 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail (incluant ceux qui se sont dirigés vers l'École du Barreau) ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la presque totalité sont à temps complet.

 

Seulement 3 % de ces répondants(es) en emploi relié ont démarré leur propre cabinet.

 

Plusieurs autres répondants(es), soit 32 % ont choisi de poursuivre leurs études au niveau de la maîtrise en droit,  maîtrise en droit notarial ou dans une autre discipline (ex : criminologie, science politique, relations industrielles).

 

NOMBRE DE  RÉPONDANTS

NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ

NOMBRE À TEMPS COMPLET

NOMBRE À LEUR COMPTE

NOMBRE
 AUX
ÉTUDES

662 371 364 11 212

 

Note 1 :hausse du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 77 % en 2019; 72 % en 2017; 73 % en 2015  et 72 % en 2013).

 

Note 2 : légère hausse du nombre de répondants(es) poursuivant leurs études par rapport aux années précédentes (était de 27 % en 2019; 30 % en 2017; 31 % en 2015 et 28 % en 2013).

 

Pour la Maîtrise :

 

Le placement est TRÈS BON, 86 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail, ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la presque totalité sont à temps complet.

 

Quelques répondants(es), soit 10 % ont choisi de travailler à leur compte (en démarrant leur propre cabinet ou associé dans un cabinet existant).

 

Quelques autres répondants(es), soit 9 % ont choisi de poursuivre leurs études au niveau du doctorat.

 

NOMBRE DE  RÉPONDANTS

NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ

NOMBRE À TEMPS COMPLET

NOMBRE À LEUR COMPTE

NOMBRE
 AUX
ÉTUDES

182 142 139 18 16

 

Note 1 : hausse du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 79 % en 2019; 72 % en 2017; 75 % en 2015 et 75 % en 2013).

Note 2 : baisse du nombre de répondants(es) poursuivant leurs études au niveau du doctorat ou dans une seconde maîtrise.

Pour la Maîtrise en droit notarial :

 

Le placement est TRÈS BON, 88 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail, ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la presque totalité sont à temps complet.

 

Quelques répondants(es), soit 15 % ont choisi de travailler à leur compte (en démarrant leur propre cabinet ou associé dans un cabinet existant).

 

Quelques autres répondants(es), soit 22 % ont choisi de poursuivre leurs études au niveau du doctorat.

 

NOMBRE DE  RÉPONDANTS

NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ

NOMBRE À TEMPS COMPLET

NOMBRE À LEUR COMPTE

NOMBRE
 AUX
ÉTUDES

102 88 87 13 2

Note : le programme est nouveau, donc aucune donnée disponible sur les années précédentes.

Sources : Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec 

SALAIRE :

 

Selon les données 2022 :

 

En droit :

 

Le salaire moyen en début de carrière était de :

 

Avocat(e) ou notaire :

(p.s. stagiaire en droit = durée de 6 mois)

 

Dans le secteur privé :

notaire :

-        935 $/semaine (40 hres/sem) en tant que notaire au sein des cabinets de notaires de petite taille (extérieur de Montréal)

-        1 026 $/semaine (40 hres/sem) en tant que notaire au sein des cabinets de notaires de petite taille (région de Montréal)

-        1 121 $/semaine (40 hres/sem) en tant que notaire au sein des cabinets de notaires de taille moyenne (extérieur de Montréal)

-        1 229 $/semaine (40 hres/sem) en tant que notaire au sein des cabinets de notaires de taille moyenne (région de Montréal)

-        1 478 $/semaine (40 hres/sem) en tant que notaire au sein des cabinets d'avocats de grande taille (extérieur de Montréal)

-        1 621 $/semaine (40 hres/sem) en tant que notaire au sein des cabinets d'avocats de grande taille (région de Montréal)

avocat(e) :

-       721 $/semaine en tant que stagiaire en droit et augmente à 1 135 $/semaine (40 hres/sem) en tant qu'avocat(e) au sein des cabinets d'avocats de petite taille (extérieur de Montréal)

-        764 5 $/semaine en tant que stagiaire en droit et augmente à 1 206 $/semaine (40 hres/sem) en tant qu'avocat(e) au sein des cabinets d'avocats de petite taille (Montréal)

-        879 $/semaine en tant que stagiaire en droit et augmente à 1 352 $/semaine (40 hres/sem) en tant qu'avocat(e) au sein des cabinets d'avocats de taille moyenne (extérieur de Montréal)

-        934 $/semaine en tant que stagiaire en droit et augmente à 1 437 $/semaine (40 hres/sem) en tant qu'avocat(e) au sein des cabinets d'avocats de taille moyenne (Montréal)

-        1 095 $/semaine en tant que stagiaire en droit et augmente à 1 684 $/semaine (40 hres/sem) en tant qu'avocat(e) au sein des cabinets d'avocats de grande taille (extérieur de Montréal)

-        1 170 $/semaine en tant que stagiaire en droit et augmente à 1 800 $/semaine (40 hres/sem) en tant qu'avocat(e) au sein des cabinets d'avocats de grande taille (Montréal)

-       26,25 $/semaine en tant que stagiaire en droit et augmente à 30,20 $/heure (40 hres/sem) en tant que juriste d'entreprise en moyenne au sein des PME en général (commerce au détail, services, distributeurs/importateurs ou manufacturiers) de l'extérieur de Montréal

-       28,85 $/semaine en tant que stagiaire en droit et augmente à 33,18 $/heure (40 hres/sem) en tant que juriste d'entreprise en moyenne au sein des PME en général (commerce au détail, services, distributeurs/importateurs ou manufacturiers) de la région de Montréal

-        30,50 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 33,56 $/heure en tant qu'avocat fiscaliste (35 hres/sem) en moyenne au sein des grands cabinets de comptables ou conseillers en gestion (extérieur de Montréal)

-        33,46 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 37,05 $/heure en tant qu'avocat fiscaliste (35 hres/sem) en moyenne au sein des grands cabinets de comptables ou conseillers en gestion (région de Montréal)

-       32,63 $/semaine en tant que stagiaire en droit et augmente à 46,29 $/heure (40 hres/sem) en tant que juriste d'entreprise en moyenne au sein des grandes entreprises en général (commerce au détail, services, distributeurs/importateurs ou manufacturiers) de l'extérieur de Montréal

-        34,33 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 35,75 $/heure en tant qu'avocat ou conseiller(ère) juridique (35 hres/sem) en moyenne au sein des grandes entreprises de télécommunications

-       35,79 $/semaine en tant que stagiaire en droit et augmente à 49,17 $/heure (40 hres/sem) en tant que juriste d'entreprise en moyenne au sein des grandes entreprises en général (commerce au détail, services, distributeurs/importateurs ou manufacturiers) de la région de Montréal

-        37,49 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 41,56 $/heure en tant qu'avocat ou conseiller(ère) juridique (35 hres/sem) en moyenne au sein des grandes compagnies d'assurances

-        40,63 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 43,57 $/heure en tant qu'avocat ou conseiller(ère) juridique (32,5 ou 35 hres/sem) en moyenne au sein des ordres professionnels

-        45,29 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 48,64 $/heure en tant qu'avocat ou conseiller(ère) juridique (32,5 ou 35 hres/sem) en moyenne au sein des grandes organisations syndicales (fédérations ou centrales)

Note 1 :baisse de la moyenne salariale en pratique privée comme avocat par rapport aux années précédentes (était de 721 $ en 2019; 940 $ en 2017; 1 035 $ en 2015 et 1 001 $ en 2013).

 

Note 2 : légère hausse de la moyenne salariale dans le secteur privé comme notaire par rapport aux années précédentes (était de 835 $ en 2019; 885 $ en 2017; 692 $ en 2015 et 775 $ en 2013).

Note 3 : selon une enquête effectuée par le Barreau du Québec auprès de ses membres, un(e) avocat(e) en pratique privée travaille en moyenne 45 heures par semaine pour près de 60 % d'entre-eux et même plus de 50 heures pour près de 30 % des avocats(es).

 

Dans le secteur public et parapublic :

-        27,17 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 28,13 $/heure (35 hres/sem) en tant qu'avocat(e) ou notaire dans les centres de services scolaires

-         31,16 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 32,49 $/heure (35 hres/sem) en tant qu'avocat(e) (affaires civiles et administratives) ou notaire dans la fonction publique québécoise

-         32,45 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 33,75 $/heure (35 hres/sem) en tant que juriste à l'Autorité des marchés financiers

-         32,66 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 34,03 $/heure (35 à 40 hres/sem) en moyenne en tant qu’avocat(e)  dans les centres communautaires juridiques (aide juridique)

-         32,66 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 34,03 $/heure (35 à 40 hres/sem) en tant que Procureur(e) aux poursuites criminelles et pénales du Québec au sein du Directeur des poursuites criminelles et pénales DPCP

-        32,70 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 35,33 $/heure (33,45 ou 33,75 ou 35 hres/sem) en moyenne en tant que procureur(e) municipal ou greffier(ère)-adjoint(e) au sein des grandes municipalités (100 000 habitants et plus)

-         32,96 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 34,34 $/heure (35 hres/sem) en tant qu'avocat(e) dans le réseau de la santé et des services sociaux

-         32,97 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 34,29 $/heure (35 hres/sem) en tant que conseiller(ère) juridique à Loto-Québec

-         33,07 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 34,46 $/heure (35 hres/sem) en tant qu'avocat(e)-fiscaliste ou notaire à Revenu Québec

-        33,15 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 36,03 $/heure (35 hres/sem) en tant qu'avocat(e) ou notaire à la Ville de Montréal

-        33,81 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 35,06 $/heure (33,45 ou 33,75 ou 35 hres/sem) en moyenne en tant que greffier et procureur municipal au sein des municipalités de taille moyenne (50 000 à 99 999 habitants)

-         35,18 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 37,03 $/heure (35 hres/sem) en tant qu'avocat(e) ou notaire à la SAQ

-         35,61 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 37,03 $/heure (35 hres/sem) en tant qu'avocat(e) ou notaire à Hydro-Québec

-        36,42 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 37,88 $/heure (35 hres/sem) en tant que juriste à Investissements Québec

-       41,55 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 45,34 $/heure (33 ou 33,75 ou 35 hres/sem) en moyenne au sein des grandes entreprises publiques de transport urbain

-    41,65 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 43,61 $/heure (37,5 hres/sem) en tant qu'avocat(e) fiscaliste ou notaire à Revenu Canada

-    41,65 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 43,61 $/heure (37,5 hres/sem) en tant qu'avocat(e) ou notaire (affaires civiles ou adminitratives) dans la fonction publique fédérale

-         41,65 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 43,61 $/heure (37,5 à 40 hres/sem) en tant que Procureur(e) aux poursuites criminelles et pénales du Canada dans la fonction publique fédérale

-       43,75 $/heure en tant que stagiaire en droit et augmente à 47,98 $/heure (33 ou 33,75 ou 35 hres/sem) au sein de la Société de transport de Montréal STM

-         7 360 $/mois en tant qu’avocat(e) militaire (JAG) au sein de la Force régulière des Forces canadiennes (grade de capitaine ou lieutenant de vaisseau) et augmente à 11 235 $/mois au grade de major après 4 ans (environ, tout dépendant du rendement)

-         224,56 $/jour  en tant qu’avocat(e) militaire (JAG) au sein de la Réserve des Forces canadiennes (grade de capitaine ou lieutenant de vaisseau) et augmente à 342,78 $/jour au grade de major après 4 ans (environ, tout dépendant du rendement)

Note : dans le secteur public et parapublic, les augmentations sont établies par les conventions collectives.

 

Autres emplois connexes :

 

Secteur privé :

-         24,63 $/heure (40 hres) en moyenne en tant qu'analyste en support aux litiges ou ediscovery specialist au sein des cabinets d'avocats de taille moyenne (extérieur de Montréal)

-         25,65 $/heure (40 hres) en moyenne en tant qu'analyste en conformité au sein des cabinets d'avocats de taille moyenne (région de Montréal)

-         27,01 $/heure (40 hres) en moyenne en tant qu'analyste en support aux litiges ou ediscovery specialist au sein des cabinets d'avocats de taille moyenne (région de Montréal)

-         27,79 $/heure (40 hres) en moyenne en tant qu'analyste en conformité au sein des cabinets d'avocats de grande taille (extérieur de Montréal)

-         27,91 $/heure (40 hres) en moyenne en tant qu'analyste en conformité ou analyste des litiges ou analyste des réclamatiion au sein d'une grande compagnie d'assurances

-         30,48 $/heure (40 hres) en moyenne en tant qu'analyste en conformité au sein des cabinets d'avocats de grande taille (région de Montréal)

-         32,34 $/heure (40 hres) en moyenne en tant qu'analyste en support aux litiges ou ediscovery specialist au sein des cabinets d'avocats de grande taille (région de Montréal)

-    39,93 $/heure en moyenne (32 ou 35 heures) en tant qu'analyste de conventions collectives au sein des grandes organisations syndicales (centrales ou autres)

Secteur public et parapublic :

-    25,61 $/heure (35 hres/sem) en tant qu'agent(e) de recherche en fiscalité ou professionnel(le) en traitement des litiges fiscaux ou professionnel(le) en enquêtes fiscales (maîtrise en fiscalité nécessaire) à Revenu Québec

-        25.72 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que conseiller(ère) spécialisé(e) en mesures fiscales aux entreprises à Investissements Québec (maîtrise en fiscalité nécessaire)

-         26,64 $/heure (35 hres) en tant qu’attaché(e) judiciaire (analyste en renseignements criminels, enquêteur en déontologie policière, enquêteur en corruption et collision, greffier spécial, juge de paix-magistrat, etc.) dans la fonction publique québécoise

-         27,04 $/heure (35 hres/sem) en tant qu'analyste aux réclamations ou analyste aux pratiques de distribution ou analyste à la conformité financière ou enquêteur(euse) à l'Autorité des marchés financiers

-         28,17 $/heure (35 hres/sem) en tant que professionnel(e), agent(e), assistant(e) ou attaché(e) de recherche en droit au sein des universités (avec une maîtrise)

-    28,70 $/heure (37,5 hres) en tant qu’enquêteur(trice) en matières frauduleuses – stagiaire et augmente à 31,03 $ en tant qu'enquêteur(trice) après 2 ans dans la fonction publique fédérale

-         29,18 $/heure (40 hres) en moyenne en tant qu'analyste en support aux litiges ou ediscovery specialist au sein des cabinets d'avocats de grande taille (extérieur de Montréal)

-         29,24 $/heure (35 hres/sem) en tant que conseiller(ère) en droits et ententes à Hydro-Québec

-    29,68 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que fiscaliste (sans titre d'avocat) à l'Agence du revenu du Canada (maîtrise en fiscalité nécessaire)

-    29,72 $/heure (37,5 hres) en tant qu’analyste en renseignements criminels ou analyste des enquêtes dans la fonction publique fédérale (GRC, SCRS, Sécurité publique Canada, Agence du revenu du Canada, etc.)

-        29,81 $/heure (35 hres/sem) en tant que professionnel(e), agent(e), assistant(e) ou attaché(e) de recherche en droit au sein des universités (avec une scolarité de doctorat)

-         31,87 $/heure (35 hres/sem) en tant qu'analyste au soutien à règlementation ou analyste en réclamations ou chargé(e) de soutien - contentieux ou officier de liaison auprès des cours de justice à la Ville de Montréal

-    32,67 $/heure (33,45 ou 33,75 ou 35 hres/sem) en moyenne en tant qu'analyste en renseignements criminels ou analyste ou conseiller(ère) en prévention de la criminalité ou conseiller(ère) en pratiques policières ou conseiller(ère) en sécurité civile au sein des grandes municipalités (100 000 habitants et plus)

-         34,06 $/heure (35 hres/sem) en tant que conseiller(ère) à l'ombudsman ou conseiller(ère) aux normes à la Ville de Montréal

-         36,53 $/heure (37,5 hres/sem) en tant qu'agent(e) d’immigration du Service extérieur Canada dans la fonction publique fédérale

-         1 045,00 $/semaine en tant qu'agent(e) - stagiaire aux services de protection ou en collecte de renseignements et augmente à 1 553,58 $/semaine (après le stage) au Service canadien de renseignement de sécurité SCRS

-         5 521 $/mois (au grade de lieutenant/enseigne de vaisseau 1re classe) et augmente à 6 999 $/mois (au grade de capitaine/lieutienant de vaisseau) après 5 ans en tant qu'officier du renseignement ou officier de police militaire (bénéficiaires du Programme d'enrôlement direct des officiers PEDO) au sein des Forces canadiennes (Force régulière)

-         166,40 $/jour (au grade de lieutenant/enseigne de vaisseau 1re classe) et augmente à 213,54 $/jour (au grade de capitaine/lieutienant de vaisseau) en tant qu'officier du renseignement ou officier de police militaire au sein des Forces canadiennes (Réserve)

 

Sources : Ministère de l’Enseignement supérieur du Québec, Ressources humaines et Développement des compétences Canada, Conseil du Trésor du Québec, Commission de la fonction publique du Canada, Forces canadiennes, Fédération des avocats de l'Aide juridique du Québec, Chambre des huissiers de justice du Québec, Syndicat de la fonction publique du Québec - section locale juristes de la SQI, conventions collectives des professionnels de la plupart des universités, conventions collectives collectives des professionnels de recherche de la plupart des universités, conventions collectives des employés municipaux de plusieurs grandes municipalités, conventions collectives des professionnels de plusieurs grandes entreprises publiques de transport urbain,  conventions collectives des chargés de cours de la plupart des universités, conventions collectives des professeurs de la plupart des universités, conventions collectives des employeurs de plusieurs grandes compagnies d'assurances, conventions collectives des employés de plusieurs grandes entreprises de télécommunications, conventions collectives des employés de plusieurs grandes organisations syndicales, Guide salarial Robert Half sur les carrières en comptabilité et Guide salarial Robert Half sur les carrières juridiques.

 

PORTRAIT DES PROFESSIONS :

Être avocat(e)

Selon le Barreau du Québec;  il y avait 25 605 avocates et avocats actifs dans l'ensemble des régions du Québec au 31 mars 2020.
(soit 1 190 de plus qu'en 2018; 2 081 de plus qu'en 2016 et 2 836 de plus qu'en 2014).

De ce nombre, elle a accueillie 1 068 nouvelles avocates et nouveaux avocats au cours de cette année (dont 64 % étaient des femmes).
(soit 54 de moins qu'en 2018; 28 de plus qu'en 2016 et 33 de plus qu'en 2014).

Au cours des cinq dernières années, le nombre d'avocats a augmenté de 1,3 à 2,6 % par année (en 2017, la hausse moyenne était de 1,8 %).
C'est l'une des professions libérales ayant connu la forte hausse.

Parmi ces membres; 61 % étaient des femmes (elles représentaient 53 % en 2018; 52 % en 2016; 50,5 % en 2014; 49 % en 2012 et 47 % en 2010).

En effet, depuis 2014, le Barreau du Québec compte plus de femmes que d'hommes parmi ses membres.
C'est le barreau le plus féminisé en Amérique du Nord.

L'âge moyen était de 45 ans (42 ans pour les femmeset 49 ans pour les hommes).

Le nombre moyen d'années d'expérience était de 18 ans (15 ans chez les femmes et 22 ans chez les hommes ).

La répartition des membres selon l'âge était :

note : les femmes sont majoritaires dans toutes les tranches d'âge jusqu'au 35-49 ans.

La relève juridique est très bien représentée au Québec, puisque les avocats(es) qui comptaient moins de 10 années d'expérience représentaient 35 % des membres de la profession (étaient 34 %  en 2018; 33 % en 2016 et 31 % en 2012) et les femmes représentaient 64 % d'entre-eux.

L'une des professions libérales dont les groupes minoritaires et la diversité de genre sont les plus représentées, puisque :

  1. 10 % provenaient de groupes interculturels (d'une vingtaine de nationalités différentes, étaient de moins de 8 % en 2016), par contre, parmi les jeunes avocats(es) ayant moins de 10 années de pratique, cette proportion s’élèvait à 14 %, ce qui en fait l'une des professions libérales les plus multiculturelles au Québec

  2. 3 % étaient LGBT (étaient à peine 1,5 % en 2016) ;dont  65 membres  considéraient que leur identité de genre était différente de leur sexe

  3. 0,5 % appartenaient aux Premières Nations (de 6 communautés différentes), ce taux s'élevait à 17 % chez les jeunes avocats(es) de moins de 10 ans d'expérience (ce taux n'a pas changé depuis 2016)

  4. 0,6 % s'identifiaient comme handicapés (non-voyants, malentendants, amputés, déficients intellectuels légers, autistes ...)

Plus de 82 % des avocats(es) utilisaient le français comme principale langue de travail, 10 % utilisaient majoritairement l'anglais, alors que 8 % utilisaient une autre langue (parmi une quinzaine de langues),
dont notamment ceux travaillant en droit international ou en droit des affaires et les membres des groupes interculturels.
Entre 26 % et 42 % avocats(es) selon les régions (avec une moyenne de 37 %) étaient des jeunes avocats(es) en pratique privée

Près du tiers des avocats(es) détenaient un deuxième baccalauréat s'ajoutant à leur baccalauréat en droit.
(notamment : études internationales, science politique, relations industrielles, criminologie, psychologie, sociologie et biologie);

Alors que plus de 35 % des jeunes avocats(es) détenaient une maîtrise ou un doctorat en droit (ou dans une discipline connexe au droit).

Parmi les membres, 1 710 d'entre-eux étaient accrédités en médiation, ce qui représente 7 % des membres du Barreau, soit :
1 108 en matière civile, commerciale et du travail dont 631 accrédités en médiation aux petites créances; ce qui représente 4 % des avocats(es) et 81 % des médiateurs(trices);
ainsi que 602 en matière familiale (dont 110 avec engagement et 492 avec accréditation définitive), ce qui représente 2 % des avocats(es) et 51 % des médiateurs(trices) familiaux au Québec.

Il existe près de 80 domaines d'activités regroupés en 7 branches du droit, soit :

droit commercial et corporatif (droit des contrats et obligations, droit des fusions et acquisitions, droit de l'insolvabilité, droit de la propriété intellectuelle, litiges commerciaux, médiation et arbitrage commercial, responsabilité commerciale, droit de la concurrence, droit immobilier, droit de la construction, transactions commerciales internationales, etc.);

droit économique et financier (droit fiscal, droit des marchés financiers, droit des investissements, droit bancaire, droit des assurances, droit des relations économiques internationales, etc.);

droit public (droit de l'éducation, droit de la santé, droit de la jeunesse, droit de l'immigration, droits et libertés de la personne, droit municipal, droit de l'environnement, droit des ressources naturelles, droit des administrations publiques, droit constitutionnel, droit international public et humanitaire, etc.);

droit social et du travail (droit de la sécurité sociale et des indemnisations publiques, droit de l'emploi, droit de la santé et sécurité au travail, droit syndical, droit des relations de travail, droit international du travail, etc.);

droit civil et privé (droit familial et matrimonial, droit de la protection de la vie privée, droit de la consommation, droit de la responsabilité civile, preuve et procédure civile, droit international privé, etc.);

droit criminel et pénal (droit pénal, droit des assises criminelles, droit carcéral, droit des jeunes contrevenants, preuve et procédure pénale, droit pénal international, etc.);

autres (droit judiciaire public, droit judiciaire privé, droit judiciaire criminel, droit militaire, journalisme juridique, rédaction juridique, traduction juridique, enseignement du droit, etc.).

La répartition des avocats(es) actifs selon le domaine de pratique ou de spécialisation était :
note : certains membres pratiquaient dans plus d'un domaine

La répartition des avocats(es) actifs selon leur milieu de pratique était :

  1. 40 % pratiquaient en pratique privée dans les différents cabinets d'avocats (48 % à leur compte, 32 % salariés et 20 % membres/associés)

  2. 16 % travaillaient dans la fonction publique québécoise (soit près de 1 000 procureurs aux poursuites criminelles et pénales et plus de 850 juristes civils)

  3. 15 % exerçaient dans les entreprises privées (contentieux d'entreprise)

  4. 13 % travaillaient au sein d'une entreprise publique ou un organisme public ou parapublic (sociétés d'état, universités, centre de santé et services sociaux, centre de services scolaires, organismes publics internationaux, etc.)

  5. 4 % travaillaient dans la fonction publique fédérale (soit près de 1 000 juristes civils surtout dans la région de l'Outaouais et une centaine de procureurs fédéraux)

  6. 3 % travaillaient pour la fonction publique municipale (soit plus de 500 juristes vivils et environ 250 procureurs municipaux)

  7. 2 % œuvraient en permanence au sein de l'Aide juridique (soit plus de 400 avocats-es)

  8. 2 % pratiquaient au sein des compagnies d'assurances et autres institutions financières

  9. 2 % exerçaient au sein des sociétés de comptables et sociétés de conseils en gestion

  10. 2 % occupaient une fonction en enseignement et/ou recherche en milieu universitaire

  11. 1 % étaient dans d'autres milieux (Forces canadiennes, organismes internationaux non gouvernementaux situés au Québec, OSBL, autres, etc.)

Quelques particularités régionales ...

Sources : Barreau du Québec

 

Pour plus de détails, consulte la page suivante du Barreau du Québec qui décrit la profession et quelques infos sur les perspectives

 

Une carrière dans la fonction publique t'intéresse ?

 

Consulte les pages suivantes sur les conseillers juridiques à l'emploi de la fonction publique fédérale :

leaders en politique, carrière au Ministère de la Justice du Canada

 

Consulte la page suivante sur les carrières juridiques dans la fonction publique québécoise (attaché judiciaire, conseiller juridique, avocat civil plaidant, substitut du procureur)

 

Consulte également la page suivante sur les occasions d'emploi au Ministère de la Justice du Québec

 

Tu es intéressé(e) par une carrière en droit international ?

 

Consulte l'entrevue avec Roselyne Beausoleil, stagiaire en droit international (2008)

 

Les technologies de l'information de passionnement autant que le droit ?

 

Consulte le Portrait de l'industrie des technologies de l'information et le Portrait de l'industrie du multimédia

 

Une carrière en contentieux d'entreprise t'attire ?

 

Consulte le blogue de Majorie (2013), finissante en droit à l'Université de Sherbrooke

 

Une carrière en droit de l'assurance et des services financiers t'attire ?

 

Consulte le Portrait de l'industrie de l'assurance et de la sécurité financière et le Portrait de l'industrie des services financiers (bancaire, fonds de placement)

 

Une carrière militaire t'intéresse ?

 

Consulte le Bureau du JAG des Forces canadiennes sur les occasions d'emploi civiles ou militaires comme avocat du JAG

Être notaire

Selon la Chambre des notaires du Québec;  il y avait plus de 3 830 notaires actifs dans l'ensemble des régions du Québec au 31 mars 2020.
(soit : 9 de plus qu'en 2018; 50 de plus qu'en 2016 et 25 de plus qu'en 2014)
.

Parmi ces membres, on y retrouvait 134 nouvelles et nouveaux notaires.
(soit 6 de moins qu'en 2018; 78 de plus qu'en 2016 et 44 de moins qu'en 2014).

 Profession en majorité féminine puisque les femmes représentaient 66 % des membres de la profession

 Ce qui en fait l'organisme de règlementation juridique le plus féminisé en Amérique du Nord.

Cette proportion augmente au cours des années (étaient 65 % en 2018; 63 % en 2016 et 61 % en 2014).

La moyenne d'âge des notaires était de 43 % chez les femmes et 52 ans chez les hommes.

La répartition selon le nombre d'années d'expérience était :

La majorité des notaires détenait au moins une accréditation, soit :

Plua de 74 % des notaires œuvraient dans une étude de notaire comme salarié(e) ou associé(e).

 

La répartition selon leur milieu de pratique était :

Une carrière comme notaire t'attire ?

 

Pour plus de détails, consulte la page suivante de la Chambre des notaires qui décrit la profession et les perspectives

Être coroner

Tu envisages de devenir coroner ?

 

il faut tout d'abord acquérir au moins 4 années d'expérience comme avocat ou médecin et ensuite, tu peux porter ta candidature comme coroner-investigateur ou coroner à temps partiel. Il faut avoir pratique pendant 8 ans comme coroner avant d'obtenir un poste permanent.

 

Il y a actuellement 94 coroners à temps partiel dans toutes les régions du Québec (dont 52 sont avocats et 42 sont médecins),

ainsi que 6 coroners permanents situés à Montréal et Québec (5 avocats et 1 médecin)

 

Pour plus de détails, consulte le site du Bureau du Coroner du Québec, ainsi que la page suivante du site Jobboom

Être juge

Rêves-tu de devenir juge ?

 

Beaucoup de juristes rêvent un jour de devenir juge, mais ne devient pas juge qui veut !

 

Il y a des juges judiciaires (qui entendent les poursuites civiles ou criminelles de la Cour du Québec, Cour supérieure ou Cour fédérale),

 

Il y a des juges militaires (qui entendent des poursuites de militaires en vertu du Code de justice militaire),

 

Il y a des juges administratifs (aussi appelés "commissaire", entendent les demandes d'appel sur les décisions d'organismes administratifs, sauf dans le cas de la Tribunal administratif du logement qui concernent les désaccords en locataires et propriétaires et le Tribunal administratif du travail qui concernent les désaccords employés travailleurs et employeurs en matière de relations de travail),

 

Il y a des juges municipaux (entendent les demandes concernant les règlements municipaux d'une ville ou d'un MRC),

 

Il y a des officiers judiciaires (aussi appelés "juges de paix-magistrats" ou "protonotaires", qui entendent les demandes d'autorisation judiciaire des corps policiers, les auditions en première instance, comparutions par téléphone les fins de semaine et jours fériés en dehors des grands centres urbains, etc),

 

Il faut tout d'abord avoir pratiqué comme avocat(e) pendant au moins 10 ans avant de pouvoir porter sa candidature comme juge.

 

Au Québec, il y a plus de 1 000 juges dont :

(note : certains tribunaux fédéraux n'ont pas de greffe au Québec)

Pour plus de détails, consulte la page suivante du Barreau du Québec, ainsi que celles du

du Conseil de la magistrature du Québec (Cour du Québec, cours municipales et tribunaux administratifs du Québec)

et du Conseil de la magistrature du Canada (Cour supérieure, Cour fédérale, Cour d'appel des cours martiales, tribunaux administratifs canadiens).

PERSPECTIVES D'AVENIR :

Les procédures légales sont devenues de plus en plus complexes, les lois et règlements sont en constant changement rendant nécessaire l'embauche de spécialistes en droit plutôt que confier des tâches de recherche juridique ou de rédaction de procédures à des secrétaires comme il y a plusieurs années.

La forte concurrence dans le monde des affaires a eu pour effet que les différends et litiges commerciaux sont de plus en plus fréquents et nécessite davantage de personnel compétent au sein des contentieux d'entreprise.

 

La croissance de la population vieillissante a pour effet que les besoins de clients désirant faire rédiger un testament, un mandat d'inaptitude, une procuration sont plus grands qu'auparavant.

 

Pour ces différentes raisons, les perspectives d'avenir pour les avocats(es), notaires et autres professionnels(les) du droit sont bonnes pour les prochaines années dans le secteur privé.

 

Selon l'enquête Barreau-Mètre 2017 réalisée par le Barreau du Québec, au cours des sept dernières années, le nombre d'avocats a augmenté de 1 à 2,6 % par année, ce qui a pour effet une plus grande concurrence entre avocats en pratique privée et du même fait, une baisse des revenus par avocat.

 

Près de 55 % des avocats interrogés lors de cette enquête, travaillaient plus de 40 heures par semaine, parfois jusqu'à 60 heures.

 

Il ne faut surtout pas croire que tous les avocats(es) gagnent au-delà de 100 000 $ et vivent dans le luxe.

 

Il ne faut surtout pas croire non plus que seuls(es)  les meilleurs(es) trouveront un emploi au sein des grands cabinets et des grandes entreprises par exemple.

 

Toutefois, est-ce que les diplômés(es) les plus travaillants et les plus persévérants trouveront un emploi où ils seront heureux et gagneront bien leur vie, c'est fort probable.

 

Dans le secteur public et parapublic, les perspectives sont relativement bonnes au sein des centres communautaires juridiques, au sein des organismes de règlementation financière (Investissements Québec, Autorité des marchés financiers), mais également en tant que procureur(e) aux poursuites criminelles et pénales.

 

Toutefois, les emplois seront davantage concentrés vers les petits cabinets ou les cabinets de taille moyenne.

 

L'accès aux postes au sein des grands cabinets et des grandes entreprises sont toutefois beaucoup plus difficiles.

 

Et le notariat ?

 

Le marché de l’emploi du notariat a tendance à suivre celui des avocats.

 

Avec la différence qu’il y a beaucoup moins d’ouvertures en notariat, mais il y aussi beaucoup moins de candidats. Toutes proportions gardées, les marchés se ressemblent beaucoup.

 

Le rôle du notaire est bien ancré au Québec et il est pratiquement impensable qu’il soit modifié dans le futur. Il y a des actes protégés et ce sera toujours la chasse gardée de ces juristes et en plus, il y a un bon nombre d’actes juridiques qui leur revient traditionnellement sans pour autant leurs être réservés.

 

La majorité des notaires pratiquent en société nominale ou en petit cabinet et sont appelés très tôt dans leur carrière à voler de leurs propres ailes en termes de clientèle.

 

Le boom immobilier des dernières années a permis aux notaires d'obtenir une croissance de leurs revenus, mais la hausse des taux d'intérêt et la possible récession économique risque de freiner cette croissance.

 

Toutefois, d'autres domaines de pratique offrent de très bonnes perspectives pour les prochaines années tel que le secteur des sucesssions.

 

Également, la pratique des notaires en droit des affaires pourrait prendre de l'essor dans les années à venir. En effet, le nombre d'entreprises qui vont être transférées dans les prochaines années dans le contexte de relève des baby-boomers, le notaire en droit des affaires a un rôle à jouer, car il a une vision globale.

 

Il est de plus en plus fréquent que des notaires en droit des affaires soient recrutés par des cabinets d'avocats. «C'est une tendance depuis quelques années, car les cabinets d'avocats veulent offrir toute la gamme de services afin de satisfaire leur clientèle qui souhaite avoir un guichet unique et pouvoir faire le maximum de démarches au même endroit.

 

Il faut ajouter à cela le fait que plusieurs notaires œuvrent au niveau du droit transactionnel et pour eux, les perspectives sont encore meilleures que celles de leurs confrères dont la pratique est plus traditionnelle. Ils se trouvent à agir à titre de juriste d’affaires en plus de pouvoir exercer comme notaire. Ce qui m’amène à votre prochaine question.

En 2022, la rémunération annuelle moyenne d'un(e) avocat(e) ou d'un(e) notaire ayant 10 années d'expérience était la suivante :

Sources : Enquête Baromètre du Barreau du Québec et Guide salariale Robert Half sur les carrières juridiques 2022

 

PASSERELLES :

 

Un programme passerelle permet aux titulaires du DEC de se faire reconnaître un certain nombre de crédits par une université dans cadre de son programme de baccalauréat. Par contre, aucune garantie d'admission est faite lors de la demande et aucune préférence ou priorité n'est accordée à l'admission.

 

Pour plus de détails, consulte la page suivante

 

Voici la entente actuellement offerte :

LES PROGRAMMES D’ÉTUDES : 

 

Note : le nom, le contenu et la séquence des cours par session peuvent varier d'une université à une autre, mais toutes répondent aux exigences du Barreau du Québec et de la Chambre des notaires du Québec.

 

Le Baccalauréat spécialisé en droit (L.L.B.) a une durée totale de 3 ans offert à temps complet seulement dans toutes les universités. Il comporte des cours obligatoires d’introduction au droit, histoire du droit québécois et canadien, théories et fondements du droit, philosophie du droit, droit des contrats et  obligations, droit des biens, droit constitutionnel, droit de l'entreprise, droit criminel, procédure civile, droit de la famille, responsabilité civile, droit administratif, preuve civil et administrative, droits et libertés de la personne, droit des obligations avancé, droit des sûretés, droit social, droit du travail, droit des sociétés, droit fiscal général, droit commercial international ou droit international public, droit judiciaire, méthodologie de la recherche en droit, communication et documentation juridique, rédaction juridique, interprétation des lois, développement des habiletés de juriste, au moins 1 cours de langue (anglais selon ton niveau évalué par un test de classement ou un cours d'une autre langue si tu as atteint le niveau avancé), etc.

Tu auras également à choisir plusieurs cours optionnels offerts selon tes intérêts et le ou les secteurs du droit que tu voudras pratiquer (le nombre de cours varie selon les universités) : droit civil et privé, droit familial et matrimonial, droit commercial, droit criminel et pénal, droit des institutions publiques, droit social et du travail, droit public, droit international, droit économique et financier, tribunal-école, concours de droit, clinique juridique, stage en droit, stage international, stage de coopération, etc.

 

Note : si tu es titulaire du D.E.C. en techniques juridiques, l’Université Laval reconnaîtra un certain nombre de crédits à ce programme.

 

Il te sera également possible d'effectuer une session d'études en droit (12 crédits) dans une université étrangère partenaire.

 

Le Baccalauréat intégré en droit L.L.B. (common law) / Baccalauréat en droit civil B.C.L. + Maîtrise en administration des affaires M.B.A. offert à McGill a une durée totale de 4 ans (incluant les trimestres d'été) offert en cheminement régulier à temps complet seulement. Ce programme te permettra d'obtenir les 3 diplômes et les 3 grades.

 

Il comprend les cours obligatoire set optionnels suivants du baccalauréat en droit (common law) :

 

les associations en affaires (partnership), fondements du droit, introduction à la recherche légale, obligations contractuelles (droit civil et droit commun), obligations extracontractuelles (droit civil et droit commun), droit constitutionnel, droit criminel, droit commun des propriétés, droit criminel, droit commun des propriétés avancé, éthique légale et déontologie professionnelle et essai de baccalauréat, ainsi qu'1 cours parmi les suivants : recours de droit privé, transactions immobilières, fiducies et équité ou testaments et successions);

 

Il comprend les cours obligatoires et optionnels suivants du baccalauréat en droit civil :

 

institutions judiciaires et procédure civile, droit civil des propriétés, droit civil des obligations avancé, ainsi qu'1 cours parmi les suivants : droit des assurances, successions, droit des personnes, locations, entreprise et cautionnement ou administration des propriétés d'autrui et fiducies;

 

Tu devras également choisir 10 cours optionnels parmi plus d'une cinquantaine de cours proposés en droit (ex : droit commercial, droit du consommateur, droit des relations de travail, droit de la faillite, droit des communications, l'environnement et le droit, contrôle gouvernemental des affaires, transactions sécurisées, preuve civile, etc.;

 

Il comprend les cours obligatoires et optionnels suivants du M.B.A. :

 

leadership global, outils commerciaux, gestion des ressources, création de valeur, marchés et mondialisation, commerce international, finance corporative moderne, investissement et gestion de portefeuille, séminaire en droit et gestion, ainsi que 6 cours optionnels en gestion parmi l'ensemble des cours optionnels du M.B.A.

 

Le Baccalauréat - maîtrise en droit et administration des affaires L.L.B-M.B.A. offert à Sherbrooke a une durée totale de 4 ans (incluant les trimestres d'été) offert à temps complet seulement. Tout au long des 4 années du programme, les trimestres sont entrecoupées de sessions du bacc en droit, de sessions du MBA et de sessions de travail afin d'inclure les 6 sessions d'études en droit, les 4 sessions d'études du M.B.A. et les 3 trimestres de stages coopératifs (3 à 4 mois à temps complet chacun).

 

L'agencement des sessions d'études et de travail est la suivante :

 

Au cours de la 1re année, tu auras 2 sessions d'études du baccalauréat en droit + 1 session d'études du M.B.A. (été),

 Au cours de la 2e année, tu auras 2 sessions d'études du baccalauréat en droit + 1 trimestre de travail en droit (été),

Au cours de la 3e année, 1 session d'études en droit (automne), 1 trimestre de travail en droit (hiver) et 1 trimestre du M.B.A. (été),

Au cours de la  4e année, 1 trimestre de travail en administration (automne), 1 session d'études en droit (hiver) et 1 session du M.B.A. (été).

 

Le baccalauréat en droit comporte les cours obligatoires et optionnels suivants : 

 

obligations 1, droit constitutionnel 1, droit pénal 1 : droit pénal général, procédures civile 1, droit des personnes et droit de la famille, biens et prescription, droit international public, droit des entreprises 1, méthodologie juridique, recherche documentaire 1, communication juridique 1, obligations 2, droit constitutionnel 2, responsabilité civile, droit patrimonial des conjoints, fondements du droit, interprétation juridique, droit de l'entreprise 2, droit de la preuve civile, droit des sûretés, recherche documentaire 2 et communication juridique 2 : négociation commerciale;

 

Tu devras également choisir 10 cours optionnels en droit parmi près de 80 cours proposés (ex : droit des contrats, droit des assurances, droit de la propriété intellectuelle, droit des relations économiques internationales, droit des valeurs mobilières,  droit du commerce électronique, droit du divertissement, droit de la construction, droit de l'arbitrage commercial au Québec, innovations et ententes internationales, droit de la faillite, procédure civile 2, droit fiscal des sociétés, etc.;

 

La maîtrise en administration des affaires M.B.A. comporte les cours obligatoires et optionnels suivants :

 

travail en équipe, comprendre les états financiers, décisions de marketing, gestion et stratégie des technologies de l'information, aide à la prise de décision, méthodes analytiques de gestion, gestion des opérations, décisions relatives aux ressources humaines, éthique des affaires, le changement dans l'organisation, environnement économique de l'entreprise, décisions financières relatives à la gestion, management et comportement, leadership, gestion de projet, évaluation financière de projet, analyse de marché, la pensée et la pratique stratégiques, stratégie financière, stratégie en gestion des ressources humaines, stratégie de marketing  et stratégie d'opérations;

 

Tu devras également choisir 3 cours optionnels en gestion parmi 18 cours proposés (ex : pratiques d'affaires de classe mondiale, fiscalité des affaires, évaluation d'entreprise, décision et valeurs mobilières, entrepreneurship et plan d'affaires, essai en administration (qui avoir un lien avec une problématique juridique), etc.

 

Le Baccalauréat-maîtrise intégré en droit - sciences de la vie L.L.B. + M.Sc. offert à Sherbrooke a une durée totale de 4 ans offert en régime à temps complet seulement (pour le volet baccalauréat en droit) et en cheminement régulier ou en régime coopératif à temps complet (pour le volet maîtrise en biologie avec essai).  Ce programme te permettra d'obtenir les 2 diplômes et les 2 grades.

 

Il comporte tous les cours obligatoires et optionnels du baccalauréat en droit, soit :

 

obligations 1, droit constitutionnel 1, droit pénal 1 : droit pénal général, procédures civile 1, droit des personnes et droit de la famille, biens et prescription, droit international public, droit des entreprises 1, méthodologie juridique, recherche documentaire 1, communication juridique 1, obligations 2, droit constitutionnel 2, responsabilité civile, droit patrimonial des conjoints, fondements du droit, interprétation juridique, droit de l'entreprise 2, droit de la preuve civile, droit des sûretés, recherche documentaire 2 et communication juridique 2 : négociation commerciale;

 

Le Baccalauréat en droit avec cheminement en sciences de la vie Plus les cours obligatoires propres au cheminement en sciences de la vie : biologie cellulaire, génie génétique 1, méthodes analytiques en biologie, enjeux juridiques en sciences de la vie, droit pharmaceutique, bio-industries et marchés. De plus, il comporte quelques cours optionnels en droit parmi un liste proposée;

Tu devras également choisir 10 cours optionnels en droit parmi près de 80 cours proposés (ex :

 

La Maîtrise en biologie - cheminement en sciences de la vie et droit avec essai comporte les cours obligatoires suivants : biologie cellulaire des eucaryotes, biochimie générale, travaux pratiques de biologie moléculaire, génétique, génie génétique 2, génétique moléculaire humaine, immunologie, microbiologie, travaux pratiques de biochimie et microbiologie, biologie moléculaire des eucaryotes, physiologie animale, biologie végétale, virus des eucaryotes, éthique des sciences de la vie, séminaire d'intégration et enfin, la rédaction d'un essai sur une problématique juridique ou un sujet d'intérêt juridique en lien avec les sciences de la vie.

 

FORMATION POST-BACCALAURÉAT :

 

Par la suite, tu auras plusieurs possibilités :

 

-         Soit poursuivre tes études à l’École du Barreau pour devenir avocat ou avocate (voir ci-dessous)

 

-         Soit poursuivre tes études au diplôme de 2e cycle en droit notarial pour devenir notaire (voir ci-dessous)

 

-         Soit poursuivre tes études au niveau des études supérieures dans le cadre de la maîtrise en droit ou dans un domaine connexe voir section « études supérieures »)

 

-         Soit te diriger directement vers le marché du travail afin d’obtenir un poste d’assistant(e) juridique, recherchiste en droit ou autres métiers connexes (voir section « professions apparentées »)

 

Pou être avocat(e) : tu devras étudier à l’École du Barreau, où tu auras à effectuer les 6 étapes suivantes (après avoir obtenu ton baccalauréat) :

  1. Soumettre ta demande d'admission au Barreau en fournissant les documents requis;

  2. Suivre les cours préparatoires facultatifs (mais recommandés) comprenant 42 cours offerts en ligne sous forme de webinaires notamment par des études de cas factuelles et des travaux en équipe (offerts à la session d'automne seulement et ne font l’objet d’aucune évaluation);

  3. Suivre et réussir les cours du Programme de formation professionnelle de l'École du Barreau d'une durée de 72 jours (4 mois) à temps complet ou échelonnés sur une période maximale de 3 ans à temps partiel; comprenant des conférences thématiques, ateliers et autres activités pratiques qui agissement comme compléments aux études de baccalauréat, ainsi que 2 évaluations en cours de programme (offerts à la session d'automne ou d'hiver);

  4. Suivre et réussir l'examen final d'une durée de 9 heures et échelonné sur 2 jours est nécessaire pour accéder au stage;

  5. Réaliser un stage professionnel en droit d'une durée de 6 mois à temps complet dans un milieu de travail de ton choix sous la supervision d'un(e) avocat(e) d'expérience membre en règle et sous la responsabilité de l'École du Barreau en exécutant la plupart des tâches professionnelles d'un(e) avocat(e) (sauf certaines comme autoriser une plainte au criminel, assermenter une personne, signer un document juridique officiel, etc.) en tant que stagiaire en droit (tu ne pourras te désigner comme avocat à stade);

  6. T'inscrire au Tableau de l'Ordre du Barreau du Québec et obtenir ton permis de pratique : bravo ! tu es devenu(e) avocat(e)....

Pour être notaire : après avoir terminé le baccalauréat en droit, tu devras compléter les 4 étapes suivantes :

  1. Compléter la Maîtrise en droit notarial d'une durée de 2 ans (54 semaines) à temps complet offert par les universités de Laval, Montréal, Sherbrooke ou Ottawa;

    Pour plus de détails, voir la section "études supérieures" ci-dessous;

  2. Soumettre ta demande d'admission auprès de la Chambre des notaires en fournissant les documents requis;

  3. Suivre le Programme de formation professionnelle de la Chambre des notaires (comprenant 15 journées de formation et un cas pratique tous deux avec évaluations et généralement suivi pendant le stage professionnel);

  4. Réussir l'Examen d'admission de la Chambre des notaires (après avoir terminé les volets 1 et 2 de la maîtrise et le Programme de formation professionnelle);

  5. Réaliser un stage professionnel en notariat une durée de 4 mois (16 semaines) à temps complet au sein d’une étude de notaires, en entreprise ou au gouvernement sous la supervision d’un(e) notaire d’expérience membre en règle et sous la responsabilité de la Chambre des notaires qui correspond au volet 3 de la Maîtrise en droit notarial;

  6. Subir une épreuve finale qui consiste en la réalisation, soit une opinion écrite sur un cas pratique en droit professionnel suivie d’une épreuve orale;

  7. T'inscrire au Tableau de l'Ordre de la Chambre des notaires et obtenir ton permis de pratique : bravo ! tu es devenu(e) notaire...

ÉTUDES SUPÉRIEURES :

 

Ces programmes visent à t’intégrer au marché du travail, mais il te sera également possible poursuivre tes études au niveau de la maîtrise en droit soit vers la voie de perfectionnement professionnel (droit international, des entreprises, droit notarial, droit public, droit civil, droit du travail ou droit pénal), soit vers la voie de recherches en droit.

 

Il te sera aussi possible d’étudier dans un autre programme de maîtrise comme : maîtrise en fiscalité, maîtrise criminologie ou autre programme connexe en autant que tu possèdes les préalables requis. Il existe également plusieurs programmes courts de 2e cycle d’une durée d’1 an appelés « D.E.S.S. de 2e cycle » ou diplômes de 2e cycle qui portent sur des sujets particuliers du droit (droit international, droit des entreprises, fiscalité, éthique, politiques publiques, etc).

 

Pour plus de détails, consulte la page suivante où sont décrits les différents programmes de maîtrise offerts (en droit et administration). Consulte aussi la page suivante où d'autres maîtrises (en sciences sociales) sont décrits.

 

Consulte également la page suivante où sont répertoriés divers organismes de recherche en droit.

Voici quelques exemples de programmes :

La MAÎTRISE EN DROIT NOTARIAL L.L.M. a une durée de 2 ans (54 semaines) à temps complet seulement offert par les universités de Montréal, Laval, Sherbrooke et Ottawa. C'est le nouveau programme obligatoire exigé par la Chambre des notaires du Québec afin d'obtenir le permis de pratique du notariat.

Elle vise à fournir une formation approfondie couvrant les différents domaines du droit notarial appliqués au milieu professionnel nécessaires à l'exercice de la profession de notaire et qui tiennent compte de l'évolution de la profession et des tendances actuelles de la pratique.

Tu auras des cours suivants (identiques dans les 3 universités québécoises) : introduction à la pratique notariale, publicité des droits, financement et sûretés, modalités et démembrements de la propriété, libéralités et successions, protection des personnes, examen des titres, procédures non contentieuses, patrimoines d'affection, mutations de propriété et baux commerciaux, droit des sociétés, droit fiscal et taxes à la consommation, droit international privé, droit municipal et urbanisme, zonage agricole, expropriation et environnement, études de cas en droit immobilier, études de cas en planification et liquidation successorales,ainsi qu'études de cas en droit des affaires.

Enfin, tu devras compléter le programme par la réalisation d'un stage professionnel en notariat une durée de 4 mois (16 semaines) à temps complet au sein d’une étude de notaires, en entreprise ou au gouvernement sous la supervision d’un(e) notaire d’expérience membre en règle et sous la responsabilité de la Chambre des notaires.

Endroits de formation : 

Université de Montréal

Université Laval

Université de Sherbrooke

Université d'Ottawa.

La MAÎTRISE EN DROIT L.L.M. axée sur la recherche a une durée totale de 3 trimestres (1 an) offert en cheminement régulier à temps complet ou en cheminement régulier offert à temps partiel dans toutes les universités.

Elle vise à fournir une formation approfondie en droit et s'il y a lieu, une spécialisation dans l'un des domaines du droit pour la pratique professionnelle, ainsi que d'initier à la recherche notamment en vue de poursuivre des études au niveau du doctorat de 3e cycle en droit ou dans une discipline connexe. Cette formation te prépareras à une carrière en enseignement au collégial technique ou universitaire ou comme avocat(e) conseil ou consultant(e) dans un domaine légal.

Tu auras des cours tels que : méthodologie avancée de la recherche en droit, séminaire de recherche en droit, lectures dirigées en droit, élaboration du projet de recherche et quelques cours optionnels en lien avec le projet de recherche. Par contre, la plus grande partie du programme est consacrée à la réalisation d'un projet de recherche appelé "mémoire" dans l'un des principaux champs de recherche du droit.

Endroits de formation : 

Université  Mcgill (sans option ou avec option : droit de l'air et de l'espace, droit-bioéthique, droit comparé, droit de l'environnement, études féministes et de genre, études du développement),

Université de Montréal (sans spécialisation ou avec spécialisation : common law comparé, droit des affaires ou droit international),

Université de Montréal (maîtrise en droit des technologies de l'information - concentrations offertes : générale, droit de l'information et de la communication ou droit du commerce électronique, programme unique au Québec),


Université Laval (sans concentration, voir aussi la page suivante),

Université de Sherbrooke (sans concentration ou parcours bidiplômant LLM-Master 2 offert conjointement avec l'Université de Grenoble-Alpes ou avec l'Université de La Rochelle),

Université de Sherbrooke (maîtrise en droit et politiques de la santé offert aux campus de Sherbrooke et Longueuil, programme unique au Québec),

UQAM (concentrations offertes : droit du travail, droit et société ou droit international),

Université d'Ottawa (concentrations offertes : générale, commerce international et investissements étrangers, droit de l'environnement et du développement durable, droit et justice sociale, droit et technologie, droit humanitaire et droit de la sécurité internationale, études féministes et de genre, études législatives ou droit, politiques et éthique de la santé),

Université d'Ottawa (spécialités offertes : droit et justice sociale, droits de la personne, droit international et européen ou théorie du droit, offert conjointement avec l'Université de Paris Ouest - Nanterre La Défense en France permettant d'obtenir 2 diplômes : LLM et Master),

Université d'Ottawa (spécialités offertes : droit constitutionnel et administratif de l'Union européenne, droit international ou théorie du droit, offert conjointement avec l'Aix-Marseille Université en France permettant d'obtenir 2 diplômes : LLM et Master),

Université d'Ottawa (spécialisation en droit du commerce international et investissements étrangers, offert conjointement avec l'Université de Rennes 1 en France permettant d'obtenir 2 diplômes : LLM et Master).

La MAÎTRISE EN DROIT L.L.M. axée sur la pratique professionelle a une durée totale de 3 ou 4 trimestres (1 an ou 1½ an) offert en cheminement régulier à temps complet seulement dans la plupart des universités.

Elle vise principalement à fournir une formation approfondie en droit par le choix d'une spécialisation dans un domaine spécifique du droit ou par une formation juridique multidisciplinaire avancée. Elle prépare à une carrière de juriste, en enseignement au collégial technique ou au sein d'un service des affaires contentieuses d'une organisation.

Tu auras des cours tels que : méthodologie avancée de la recherche en droit, séminaire de maîtrise en lien avec la concentration choisie, lectures dirigées, des cours obligatoires propres à la concentration choisie (s'il y a lieu), ainsi qu'un choix de cours optionnels en lien avec concentration choisie et/ou dans les autres domaines du droit. Enfin, tu devras également rédiger un essai (ou travail dirigé) sur une problématique ou sujet d'intérêt ou un sujet d'actualité en droit en lien avec la concentration choisie.

Endroits de formation : 

Université  Mcgill (options offertes : bioéthique, droit comparé, droit de l'air et de l'espace, droit de l'environnement, études européennes, traduction juridique ou sans option),

Université de Montréal (maîtrise en droit privé comparé - sans concentration avec travail dirigé, programme unique au Québec),

Université de Montréal (maîtrise en droit - fiscalité avec projet de recherche supervisé ou avec stage de pratique exclusive en fiscalité, offert conjointement avec HEC Montréal),

Université Laval (maîtrise en droits fondamentaux avec essai obligatoire et stages facultatifs, voir aussi la page suivante),

Université Laval (maîtrise en droit de l'environnement et du développement durable avec essai obligatoire et stages facultatifs, voir aussi la page suivante),


Université de Sherbrooke (cheminement avec essai ou cheminement avec stage obligatoire de 4 mois dans une organisation internationale ou parcours bidiplômant LLM-Master 2 avec une université partenaire en France ou cheminement en droit international et politique internationale appliquées avec stage ou avec mandat professionnel, offert au campus de Sherbrooke seulement),

Université de Sherbrooke (maîtrise en droit et politiques de la santé avec essai ou avec mandat professionnel OU profil recherche avec mémoire offert aux campus de Sherbrooke et Longueuil, programme unique au Québec),

Université de Sherbrooke (maîtrise en pratique du droit criminel et pénal sans concentration avec rédaction de mémoires de plaidoiries pourdes procès simulés, offert au campus de Sherbrooke, programme unique au Québec),

UQAM (avec essai - concentration en droit international et politique internationale)

Université d'Ottawa (avec essai - concentrations offertes : générale ou droit et technologie ou sans concentration avec cours seulement, voir aussi la page suivante).

La MAÎTRISE EN DROIT DES AFFAIRES L.L.M. axée sur la pratique professionelle a une durée totale de 3 ou 4 trimestres (1 an ou 1½ an) offert en cheminement régulier à temps complet seulement dans la plupart des universités.

Elle vise principalement à fournir une formation approfondie dans les différents aspects reliés au droit des affaires touchant les contrats commerciaux, litiges commerciaux, l'arbitrage commercial, les fusions et acquisitions, les relations professionnelles, la faillite, insolvabilité et restructuration, le financement des entreprises, le droit commercial international et aux domaines le droit corporatif et le droit des sociétés.

Tu auras des cours tels que : méthodes de recherche et rédaction en droit des affaires, fondements du droit canadien et québécois des affaires, structure / gouvernance et financement, aspects contractuels des affaires, fusions / acquisitions et transmission d'entreprise, transactions commerciales internationales, régimes de redressement d'entreprises, prévention et gestion des différends, valeurs mobilières, fiscalité des sociétés, ainsi qu'un grand de cours optionnels.

Endroits de formation : 

Université de Montréal (avec travail dirigé - concentrations offertes : droit nord-américain des affaires, droit international des affaires et des relations économiques internationales, droit des produits et marchés financiers, droit et pratiques contractuelles des affaires ou droit des affaires comparé),

Université Laval (sans concentration avec profil international ou sans profil avec essai obligatoire et stages facultatifs, voir aussi la page suivante),

Université de Sherbrooke (parcours bidiplômant LLM / D.E.S.S-Master 2 en droit des affaires et risques de l'entreprise avec essai offert conjointement avec l'Université Lumière Lyon 2 en France, voir aussi la page suivante).

La MAÎTRISE EN DROIT INTERNATIONAL L.L.M. axée sur la pratique professionelle a une durée totale de 3 ou 4 trimestres (1 an ou 1½ an) offert en cheminement régulier à temps complet seulement dans la plupart des universités.

Elle vise principalement à fournir une formation approfondie dans les différents domaines juridiques touchant les relations internationales tant en droit commercial international, en droit des relations économiques internationales, le droit international public et même le droit pénal international et le droit international privé.

Tu auras des cours tels que : méthodologie avancée du droit et de la recherche juridique, le Canada et l'espace international, organisation internationale du commerce, droit international économique, politique internationale, droit international public appliqué, droit international des droits de la personne, ainsi qu'un grand choix de cours optionnels.

Endroits de formation : 

Université de Montréal (sans concentration avec travail dirigé),

Université Laval (sans concentration avec essai obligatoire et stages facultatifs, voir aussi la page suivnate),

Université de Sherbrooke (cheminement en droit international et politique internationale appliquées avec stage ou avec mandat professionnel, offert au campus de Sherbrooke seulement OU parcours bidiplômant LLM-Master 2 avec essai offert conjointement avec l'Université Lumière Lyon 2 en France),

Université d'Ottawa (profil recherche avec mémoire - concentration en droit international humanitaire et de la sécurité internationale),

Maîtrise en droit (profil recherche avec mémoire - spécialisation en droit international et européen, offert conjointement avec l'Université de Paris Ouest - Nanterre La Défense en France permettant d'obtenir 2 diplômes : LLM et Master),

Maîtrise en droit (profil recherche avec mémoire - spécialisation en droit international, offert conjointement avec l'Aix-Marseille Université en France permettant d'obtenir 2 diplômes : LLM et Master).

Baccalauréats et autres maîtrises :

Autres programmes :

 

Programmes de 1er cycle

(accessibles aux diplomés en droit)

Programmes de 2e cycle en droit :

Autres programmes de 2e cycle :

EXIGENCES D’ADMISSION :

 

-         Soit détenir un D.E.C. ou l’équivalent (peut importe la concentration ou la spécialité)
(toutes les universités)
 

-         Soit avoir complété un minimum de crédits universitaires au moment de la demande (Montréal : 12 crédits sont exigés; UQAM : 30 crédits sont exigés)
(toutes les universités)
 

-         Soit être âgé d’au moins 21 ans, posséder les connaissances équivalentes et avoir acquis une expérience pertinente dans un domaine connexe au droit depuis au moins 2 ans
(toutes les universités)

 

-         Soit détenir un D.E.C. ou l’équivalent (peut importe la concentration ou la spécialité) ET avoir complété au moins 1 année d'études universitaires (30 crédits) peut importe la discipline (Université d'Ottawa pour droit civil)

 

-    Soit détenir un baccalauréat (cheminement régulier) ou un baccalauréat + 2 ans d'expérience  à temps complet en gestion (cheminement coopératif) (Sherbrooke pour le programme conjoint LLB-MBA)

 

-     Soit détenir un baccalauréat + un minimum de 3 ans d'expérience de travail  à temps complet (excluant tout stage coop ou internat d'études) (Ottawa pour le programme conjoint Bacc droit civil + M.B.A.)

 

-    Soit détenir un D.E.C. en sciences et avoir réussi les cours ou les objectifs suivants ou leurs équivalents :
00UN et 00UP (maths 103 et 203); 00UL et 00UM (chimie 101 et 201), 00UR, 00US et 00UT (physique 101, 201 et 301) et  00UK (biologie 301) (Sherbrooke pour le cheminement en sciences de la vie)

 

-    Soit détenir un D.E.C. en techniques biologiques ou techiques de la chimie et avoir réussi les cours ou les objectifs suivants ou leurs équivalents :
00UN et 00UP (maths 103 et 203); 00UL et 00UM (chimie 101 et 201) (Sherbrooke pour le cheminement en sciences de la vie)

Note : à Mcgill et Ottawa, les programmes conjoints (B.C.L./L.L.B.-MBA ou B.C.L./L.L.B.-MSW ou L.L.B.-J.D., etc.) ne sont pas accessibles aux candidats(es) en provenance du collégial.

AUTRE EXIGENCE D'ADMISSION :

 

-    Subir le Mcgill Law School Test Admission LSAT offert en anglais seulement (Mcgill : non obligatoire, mais fortement recommandé)

 

-    Soumettre ton curricum vitae décrivant tes expériences de travail (temps partiel ou temps plein, rémunérés ou bénévoles) (Mcgill)

 

-    Soumettre un maximum de 2 lettres de recommandations de professeurs actuels ou récents et/ou de façon facultative, d'un organisme communautaire ou d'un employeur récent (Mcgill)

 

-    Subir des tests obligatoires en scolaptitudes et en connaissances et culture générale ET une entrevue de sélection (UQAM pour les candidats de la base d'admission "expérience" seulement)

 

-    Subir une entrevue de sélection obligatoires ( Mcgill pour tous les candidats et UQAM pour les candidats de la base d'admission "études universitaires" seulement)

 

-    Possibilité d'entrevue, au besoin (toutes les universités) pour les candidats de la base d'admission "expérience" ou "études universitaires" seulement)

 

-    Aucune exigence particulière d'admission - admission basée sur le dossier scolaire et la cote de rendement seulement pour les candidats(es) du collégial (Montréal, Laval, Sherbrooke)

 

STATISTIQUES D’ADMISSION :

 

Ce programme est très contingenté dans toutes les universités.

 

Note : sauf à Mcgill, les autres universités ont comme seul critère d'admission l'excellence de ton dossier scolaire (candidats en provenance du collégial). À Mcgill, on tient compte également des "autres exigences à l'admission".

 

À l’automne 2023 :

 

UNIVERSITÉS

DEMANDES

NOMBRE DE PLACES

TAUX D’ADMISSION

EN %

COTE R

Dernier candidat admis

Cote R


en 2022

Cote R


en 2021

Cote R


en 2020

Cote R


en 2019

Cote R


en 2018

Montréal

2 398

400 **

17

31,880

31,303

31,632

31,520

31,436

32,126

Laval

1 452

240

17

30,204

30,001

30,007

30,602

29,702

29,714

UQAM

1 234

120

10

30,600

30,600

31,000

30,600

30,600

31,200

Sherbrooke

(régulier)

1 010

230

23

30,100

30,100

30,100

29,500

29,800

30,100

Sherbrooke

(coopératif)

445

40***

9

31,600

31,600

31,500

33,100

32,800

33,500

Sherbrooke

(common law)

204

20

10

29,800

29,800

30,100

29,500

29,900

30,100

Sherbrooke

(droit sc de la vie)

65

10

15

30,300

30,300

30,000

30,000

31,100

30,500

Sherbrooke

(droit-MBA)

140

25

18

29,400

31,300

31,300

30,400

31,300

32,600

Mcgill  *

1 782

181

10

31,100

31,100

32,340

31,520

30,664

32,150

Ottawa

2 843

326

11

note 1

note 1

note 1

note 1

note 1

note 1

* seulement 3 places sont réservées aux candidats(es) adultes

* si tu choisis de subir le LSAT, l'admission sera basée sur le résultat de ce test + la cote R

** 65 places ont été ajoutées en 2019

*** 5 places ont été ajoutées en 2021 (en plus des 6 places ajoutées en 2020)

note 1 : cette université ne prend pas en considération la cote R, elle calcule plutôt une moyenne d'admission à partir de tous les cours complétés dans une même année.
             la moyenne minimale d'admission pour le Baccalauréat en droit civil était de 80 % pour les candidats(es) du collégial et de 78 % pour les candidats(es) universitaires

             la moyenne minimale d'admission pour le double Baccalauréat en droit common law et développement international et mondialisation était de 82 % pour les candidats(es) du collégial et de 80 % pour les candidats(es) universitaires

             la moyenne minimale d'admission pour le Juris Doctor était de 80 % pour les candidats(es) universitaires (non accessible aux candidats du collégial).

N-D = donnée non disponible

 

Le programme est également contingenté à l'UQO, mais aucune donnée disponible sur la capacité d'accueil pour l'automne 2023.

 

Note : le programme est aussi ouvert au trimestre d’hiver dans les universités suivantes :

Pour le programme conjoint droit civil-common law, la moyenne minimale d'admission doit se situer entre 80 et 85 % et une comporte une limite de 20 places disponibles (incluant les demandes provenant des ontariens).

ENDROITS DE FORMATION :

ENTREVUES :

 

Tu veux avoir l'avis d'avocats(es), de notaires et autres professionnels(les) du droit sur leur profession ?, alors regarde les vidéos suivants :

DES JURISTES INSPIRANTS :

Voici quelques exemples de juristes québécois inspirants pour de futurs(es) avocats(es) et autres juristes. Cette liste est NON exhautsive.

Des juristes reconnus comme des pionnières ou pionniers du monde juridique québécois et canadien :

UQAM :

Romeo Saganash (LLB 1989) : ancien Vice-Grand-Chef du Grand Conseil des cris et vice-président de l'Administration régionale crie. Il est le premier diplômé cri d'une faculté de droit au Québec en 1989. De plus, il a joué un rôle déterminant dans l'élaboration de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtone.

Université d'Ottawa :

Honorable Réjean Paul (LLL 1966) : a été juge à la Cour supérieure de 2003 à 2015. A nommé présidé le mégaprocès des Hells Angels et a présidé la Commission d'enquête sur le crime organisé. Il est le premier juge d'origine autochtone à être nommé à la Cour supérieure du Québec.

Université de Sherbrooke :

Honorable Julie Philippe (LLB 2003) : juge à la Cour du Québec - chambre civile depuis 2020. Elle est la première femme autochtone à accéder à la magistrature au Québec;

Joëlle Boisvert (LLB 1987) : première associée-directrice du prestigieux cabinet d’avocats Gowling WLG, division du Québec en 2014 jusqu'en 2017 et maintenant, chef du développement international au sein du même cabinet;

Monique Gagnon-Tremblay (LLL 1972) : première femme à occuper les postes de présidente du Conseil du Trésor, de ministre des finances et de chef de l'opposition officielle à l'Assemblée nationale du Québec.

Université Mcgill :

Annie MacDonald Langstaff (LLL 1914) : la première femme diplômée d'une faculté de droit au Québec et l'une des premières au Canada;

John L. O'Brian (LLL 1923) :  l'un des premiers associés et co-fondateurs de la célèbre société d'avocats Lavery et l'un des premiers juristes diplômés d'une université québécoise à occuper une fonction dans un grand cabinet d'avocats au Québec. Il a contribué à faire rayonner le Québec dans le milieu juridique canadien;

Francis Reginald F.R. Scott (BCL 1927 et LLD 1967) : a été professeur de droit et a occupé la fonction de doyen de la Faculté de Mcgill, fondateur du premier parti social-démocrate canadien , la Fédération du Commonwealth coopératif , et son successeur, le Nouveau Parti démocratique, a été connue notamment lors de son combat à Cour suprême contre le régime Duplessis, a siégé à la Commission royale d'enquête sur le bilinguisme et le biculturalisme, a été représentant résident de l'assistance technique des Nations Unies en Birmanie, aidant à construire un État socialiste dans ce pays et enfin, reconnu comme un grand poète;

John-Peters Humphreys (BCL 1929, Ph.D. 1945 et LLD 1976) : directeur fondateur de la Commission des droits de l'homme des Nations Unies et auteur du premier jet de la Déclaration universelle des droits de l'homme adoptée en 1948 et président fondateur d'Amnesty International (Canada), a été professeur de science politique à Mcgill, Toronto et Western Ontario et doyen de la Faculté de droit de Mcgill. Il est nommé membre de l'Ordre du Canada en 1974 et récipiendaire du Prix des Droits de l'Homme en 1988;

Albert-Jean de Grandpré (LLL 1943) : l'un des plus éminents avocats associés de la célèbre société d'avocats Lavery pendant plus de 20 ans, devenu cadre juridique chez Bell pour en devenir président et chef de direction du Groupe BCE Entreprises pendant 13 ans, a été Bâtonnier du Québec, a été chancelier de l'Université Mcgill pendant 7 ans. Il est nommé Compagnon de l'Ordre du Canada, Docteur Honoris Causa de 4 universités québécoises et membre du Temple de la Renommée des hommes d'affaires canadiens;

  (BCL 1946 LLM 1963 et LLD 1994) : a été professeur de droit et occupé le poste de doyen de faculté de Mcgill où il a élaboré le premier programme national de droit - droit civil + common law au Canada, a joué aussi un rôle prépondérant dans la réforme de l'administration des universités au Canada et fait oeuvre de pionnier dans la création d'instituts spécialisés d'études de droit, préside cinq commissions royales d'enquête, dont le Comité spécial de la propagande haineuse, membre fondateur de la Fondation canadienne des droits de la personne, a été président canadien de la Commission mixte internationale, Canada-États-Unis et juge ad hoc à la Cour internationale de Justice de La Haye. Il est récipiendaire de plusieurs prix et reconnaissances dont le Prix du Gouverneur Général du Canada et nommé membre de l'Ordre du Canada;

Très Honorable Gérald Fauteux (LLL 1925 Montréal et LLD 1955 Mcgill) : ancien juge en chef de la Cour Suprême du Canada, l'un des plus éminents professeurs de droit de Mcgill et l'un des fondateurs de la Faculté de droit de l'Université d'Ottawa;

Honorable Rosalie Abella (LLB 1970 Toronto et LLD 1999 Mcgill) : juge à la Cour suprême du Canada depuis 2004, considéré comme l'une des plus grandes experts en droits humains au Canada, première femme d'origine juive à être nommée juge au Canada, récipiendaires de doctorats honoris causa de 37 universités canadiennes, britanniques et étrangères, et détentrice de la Médaille Queen Elizabeth II Golden Jubilee en 2002;

Margaret Somerville (LLB 1963 Sydney et LLD 1978 Mcgill) : professeure de droit à l'Université Mcgill et fondatrice du centre de médecine, d'éthique et de droit de l'université, qu'elle a dirigé pendant 10 ans, elle a travaillé comme consultante à l'ONUSIDA et à l'Organisation mondiale de la santé, elle a écrit une dizaine d'ouvrages touchant la bioéthique. Elle est considérée comme l'une des plus éminentes juristes en bioéthique au monde. Elle nommée membre de l'Ordre de l'Australie et de la Société royale du Canada et des Doctorats honoris causa de 5 universités canadiennes et australiennes;

Honorable David Platts (BCL 1989) : juge à la Cour supérieure du Québec - div civile, a été avocat en litiges et chef de l'inclusion chez McCarthy, a été président du GRIS-Montréal, première personne qui s'est identifiée homosexuelle à accéder à la magistrature au Canada;

Honorable Sylviane Borenstein (BCL 1989) : juge à cour supérieure du Québec - division civile. Elle est la première personne juive à devenir Bâtonnière du Québec et à devenir juge au Québec;

Brian Mitchell (BCL/JD 1986) : avocat en droit corporatif, associé et co-fondateur du cabinet Mitchell Gatuso. Il est la personne qui s'est identifiée LBGT à être élu Bâtonnier de Montréal en 2017;

Feu John O'Brien (BCL 1923) : l'un des plus éminents avocats québécois de son histoire, co-fondateur de Lavery O'Brien (devenu Lavery) en 1926, le premier grand cabinet d'avocats qui est maintenant le plus important cabinet d'avocats indépendant au Québec.

Université Laval :

Feu Très Honorable Louis-Philippe Pigeon (LLL 1928) : ex-juge en chef de la Cour suprême du Canada, a été juge à la Cour suprême pendant 12 ans, a été conseiller juridique pour 2 premiers ministres du Québec (Godbout et Lesage), a été professeur de droit à l'Université Laval. Il l'est l'un des instigateurs de la loi ayant donné naissance à Hydro-Québec, a été nommé compagnon de l'Ordre du Canada et détient un doctorat honoris causa de 3 universités canadiennes (Laval, Ottawa et Bishop) et enfin, il est considéré comme l'un des plus éminents juristes de l'histoire canadienne. Le prix du Jeune Barreau, une chaire de recherche de l'Université Laval, le journal des étudiants en droit de l'Université Laval, ainsi que l'immeuble du siège social du Ministère de la Justice du Québec portent son nom en son honneur;

Feu Jean-Lesage (LLL 1933) : a été Premier ministre du Québec pendant près de 6 ans et Chef du Parti libéral du Québec pendant 11 ans et occupa divers postes de ministre pendant 13 ans et député à l'Assemblée nationale du Québec pendant 18 ans. Il est le principal instigateur de la nationalisation des richesses naturelles du Québec, de la création d'Hydro-Québec, mais également de la Caisse de dépôt et de placement du Canada, des régimes publics d'assurance-hospitalisation, du régime des rentes du Québec et du régime d'assurance-automobile du Québec. A été nommé Grand officier de l'Ordre de la Pléiade de l'Organisation internationale de la Francophonie, Chevalier du Très honorable Ordre de Saint-Jean de l'UK, compagnon de l'Ordre du Canada et détient un doctorat honoris causa de 12 universités canadiennes et de l'École des sciences politiques d'Athènes en Grèce;

Feu Honorable Thérèse Lemay (LLL 1949) : première femme nommée juge au Québec en 1961, au sein de la Cour provinciale (maintenant, la Cour du Québec);

Honorable Claire L'Heureux-Dubé (LLL 1951) : a été juge à la Cour suprême du Canada pendant 15 ans, juge à la Cour d'appel du Québec pendant 6 ans et juge à la Cour supérieure pendant 8 ans et président de la Commission internationale des juristes. Elle détient un doctorat honoris causa de 10 universités canadiennes (dont Laval, Toronto, Montréal et Ottawa), du Prix Yves Pélicier de l'Académie internationale du droit de la santé mentale, membre honoraire de l'American College of Trial Lawyers et compagnon de l'Ordre du Canada. Elle est une pionnière dans l'instauration d'une législation en droit des personnes souffrant de troubles mentaux au Canada et l'une des plus éminentes juristes canadiennes en droits des enfants et de la famille;

Feu Honorable Gabrielle Vallée (LLL 1953) : première femme bâtonnière du Québec en 1973, et la première femme à devenir juge en chef associée à la Cour supérieure en 1976;

Honorable Louis LeBel (LLL 1961) : a été juge à la Cour suprême du Canada pendant 14 ans et juge à la Cour d'appel pendant 6 ans et Bâtonnier du Québec à 2 reprises. Il est considéré comme l'un des éminents juristes et un pionnier en droit du travail au Canada et a été nommé compagnon de l'Ordre du Canada;

Édith Deleury : (LLL 1963, LLM  1964 et LLD 1967) : professeure émérite en droit à l'Université Laval, a été professeure de droit pendant 36 ans à l'Université Laval, l'une des plus éminentes juristes en droits des personnes et des droits des enfants au Canada, a été experte consulte dans la réforme de la protection de la jeunesse en France, a été présidente de l'Association canadienne pour la santé mentale, première diplômée au Doctorat en droit d'une université québécoise, première femme à devenir professeure de droit dans une université québécoise

Honorable France Thibault (LLL 1971) : juge à la Cour d'appel du Québec depuis 1998, première québécoise à devenir présidente de l'Association internationale des femmes juges;

Renée Dupuis (LLL 1971) : sénatrice indépendante depuis 2016, a été membre du comité chargé de la révision de la Loi canadienne sur les droits de la personne, a été commissaire à la Commission canadienne des droits de la personne de 1989 à 1995, a été vice-présidente de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse du Québec,a présidé la Commission fédérale des revendications particulières des Indiens, et participe depuis 30 ans à titre professionnel et à titre personnel à des activités de formation à l’intention des femmes et à des organismes de soutien aux femmes;

Thérèse Rousseau Houle (LLL 1972 et LLM 1973) : a été professeure de droit à l'Université Laval. Elle la première doyenne d'une faculté de droit au Canada en 1985, soit celle de l'Université Laval. Elle est maintennt juge à la Cour d'appel du Québec depuis 1990;

Honorable Louis Otis (LLL 1974) : présidente du Tribunal administratif de l'Organisation de coopération et de développements économiques OCDE et du Tribunal d'appel de l'Organisation internationale de la Francophonie OIF, a été juge à la Cour d'appel du Québec pendant 16 ans, instigatrice de la médiation judiciaire au Québec, membre du Conseil de justice interne de l’Organisation des Nations Unies depuis 2020, a été nommée Officière de l'Ordre national du Québec;

Linda Goupil (LLB 1984) : première femme à devenir ministre de la Justice du Québec dans le gouvernement de Lucien Bouchard, en novembre 1998 pendant 3 ans;

Honorable Johanne Brodeur (LLB 1987) : juge à la Cour supérieure du Québec - div civile depuis 2020, première femme provenant de contentieux d'entreprise à devenir Bâtonnière du Québec.

Université de Montréal :

Très Honorable Gérald Fauteux (LLL 1925 Montréal et LLD 1955 Mcgill) : ancien juge en chef de la Cour Suprême du Canada, l'un des plus éminents professeurs de droit de Mcgill et l'un des fondateurs de la Faculté de droit de l'Université d'Ottawa;

Pauline Cazelais (LLL 1945) : première femme d’origine canadienne à obtenir un doctorat en droit en 1949 (Sorbonne) et fondatrice de l'Assocation des avocates de la province de Québec en 1952;

eu Paul-André CrépeauF (LLL 1950) : a été l'un des plus éminents professeurs de droit de Mcgill et président de l'Office de révision du code civil, a été l'un des 3 principaux instigateurs de la réforme du Code civil du Québec dans les années soixante;

Feu Honorable Réjane Laberge-Colas (LLL 1951) : première femme à obtenir le 1er rang à l'examen du Barreau du Québec en 1952, première femme à devenir juge à la Cour supérieure du Québec en 1969, elle est la fondatrice et première présidente de la Fédération des femmes du Québec et et a été nommée arbitre à un comité de l’ALÉNA (Accord de libre-échange nord-américain) chargé d’arbitrer les différends commerciaux;

Honorable Alice Desjardins (LLL 1957) : a été négociatrice canadienne pour l'ALENA et a été juge à la Cour d'appel fédérale de 1987 à 2009. Elle est la première femme nommée professeure à temps plein d’une faculté de droit au Canada en 1961 et la première femme nommée juge de la Cour d’appel fédérale;

Bérangère Gaudet (LLL 1959) : première femme à pratiquer le notariat au Québec en 1960;

Feu Raymonde Verreault (LLL 1965) : a été juge en chef de la Cour municipale de Montréal de 1994 à 2001. Elle est la première femme à être nommée juge en chef d'une cour au Québec;

Honorable Juanita Juanita Westmoreland-Traoré (LLL 1966) : juge à la Cour du Québec - chambre civile depuis 1999. Elle la première femme diplômée de la en droit de la communauté noire de l'Université de Montréal et la première femme de race noire à devenir juge dans un cour au Québec;

Honorable Nicole Duval-Wesler (LLL 1966) : a été juge en chef du Québec et juge en chef de la Cour d'appel du Québec de 2011 à 2020. Elle est la première femme à accéder au poste de juge en chef du Québec;

Honorable Huguette St-Louis (LLL 1968) : a été juge en chef de la Cour du Québec de 1988 à 1996. Elle est la première femme à être nommée à ce poste;

Honorable Louise Arbour (LLL 1970) : représentante spéciale du secrétaire général des Nations unies pour les migrations, a été Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l'homme pendant 4 ans, a été juge à la Cour suprême du Canada, ; a été procureur en chef du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie et du Tribunal pénal international pour le Rwanda. Première femme nommée professeure à temps plein d’une faculté de droit au Canada en 1961, première femme nommée juge de la Cour d’appel fédérale et détient 25 Doctor Honoris Causa dont 4 provenant d'universités étrangères;

Hélène Dumont (LLL 1970) : professeure émérite en droit à l'Université de Montréal, a été professeure de droit pendant plus de 35 ans au sein de cette université, première femme à occuper le poste de doyenne de la Faculté en 1988, l'une plus éminents spécialistes en droit criminel et pénal au Canada, pionnière en droit correctionnel au Canada;

Louise Harel (LLB 1977) : chef de l'opposition officielle au Conseil municipale de la Ville de Montréal, a été ministre de l'immigration, ministre des affaires municipales et ministre de l'Emploi et de la Solidarité sociale au Gouverneent du Québec et a été chef de l'opposition officielle à l'Assemblée nationale du Québec. Elle est également la première femme à être nommée présidente de l'Assemblée nationale du Québec;

Annick Murphy (LLB 1979) : a été Directrice principale des poursuites criminelles et pénales DPCP de 2015 à 2021. Elle est la première femme à occuper ce poste;

Honorable Guylaine Beaugé (LLB 1984) : juge à la Cour supérieure du Québec - division civile depuis 2007. Elle est la première femme de la communauté noire à être nommée juge à cette cour;

Contre-amiral Geneviève Bernatchez (LLB 1992) : Juge-avocate Général des Forces canadiennes JAG depuis 2017 est la première femme à accéder à ce poste;

Yolande James (LLB 2000) : commentatrice politique à la CBC et avocate médiatrice. A été députée à l'Assemblée nationale depuis 2004 à 2014 et ministre de l'immigration et des communautés culturelles de 2007 à 2012. Elle est la première femme de la communauté noire à être nommée ministre au Gouvernement du Québec.

Des juristes reconnus pour leur implication sociale :

 

Université d'Ottawa :

 

Hélène Sioui-Trudel (LLL 1998) : avocate-conseil principale et médiatrice accréditée, directrice fondatrice de l'Alliance droit et médecine sociale, membre du Conseil de la Fondation du Dr Julien voulé à la pédiatrie sociale. Elle a élaboré des programmes visant à contribuer au respect des droits de l'enfant, a fondé et présidé les Services juridiques Atsienha inc., un organisme qui contribue au développement et à la pratique de la justice sociale et communautaire, a contribué à promotion de la défense des droits des peuples autochtones. Elle est récipiendaire du Prix de la Justice 2013 pour son apport exceptionnel à la promotion d'une plus grande équité pour les enfants les plus vulnérables de notre société et Chevalière de l'Ordre nationale du Québec en 2016;

 

UQAM :

Marie-Livia Beaugé (LLB 2018) : fondatrice de la Clinique juridique de Montréal-Nord, militante québécoise active contre le racisme, honorée par l'Assemblée nationale du Québec en 2021;

Claudette Barthélémy-Asner (LLB 1990) : avocate en droit de l'immigration chez Silver, Sandiford et a été avocate et enseignante à l'École d'éducation internationale Saint-Edmond à Longueuil. Elle est récipiendaire du Prix de la Justice pour son grand engagement social auprès des personnes vulnérables et isolées, principalement dans les communautés ethniques;

Margherita Morsella (LLB 1985) : avocate et associée chez Kalhmans Samuels, récipiendaire prix Paris-Québec 2020 pour engagement prono et engagement social;

Jean-Pierre Ménard (LLB 1978) : avocat, associé et cofondateur de Ménard Martin, l'un des plus éminents avocats en responsabilité médicale au Québec. Il est récipiendaire du Prix Justice du Québec en 2018 pour sa contribution et son engagement auprès des victimes d'erreurs médicales et des personnes malades.

Université de Sherbrooke :

Élisabeth Brosseau (LLB 2010) : avocate associée en litiges civils et commerciaux chez McCarthy. récipendaire du Prix Chambers Diversty Canadaen 2015 et du Prix de l'inclusion de McCarthy en 2019 pour son implication sociale pour la défense des personnes LBGT principalement en milieu de travail;

Louis Charron (LLB 1988) : avocat et associé chez Gilbert, Séguin & Guilbaut, a été impliquée au sein du Groupe Rézo, au sein de la Chambre de commerce gaie de Montréal, membre fondateur du groupe LBGT du Barreau du Québec et président fondateur de la Conférence sur l’identité et l’orientation sexuelle (CORIS) de l’Association du Barreau Canadien. Enfin, il est récipiendaire de la Médaille de l'Assemblée nationale pour son implication sociale.

Université de Montréal :

Selenu Lu (LLB 2009) : avocate et associée en fusions et acquisitions chez Lavery, reconnue par le Magazine Entreprendre dans le Top 100 des Femmes Leaders au Québec, récipiendaire du prix du Lys de la Diversité pour son engagement social et communautaire auprès de la communauté ethnique, a été élue présidente de l’Association des jeunes professionnels chinois et asiatiques (YCPA) et été reconnue comme « Jeune élite chinois d’outre-mer » par le Consulat de Chine à Montréal, mommée « Personnalité de la diversité de l’année » dans le classement annuel du Top 20 de la Diversité par Média Mosaïque en 2019;

Jean-François Arteau (LLB 1997) : avocat et associé chez Kesserwan Arteau et a été directeur général adjoint et chef des contentieux à l'Administration régionale Kativik. Il est récipiendaire du Mérite du Barreau 2013 pour sa remarquable implication sociale auprès des Inuits du Nunavik dont il a élaboré des politiques touchant aux questions environnementales, à l’impact des changements climatiques sur le mode de vie des Inuits et à l’accès aux ressources de la région;

Ariane Charbonneau (LLB 1992) : directrice générale du Portail web Éducaloi depuis 2017, récipiendaire du Prix Justice Pro Bono pour son implication dans la vulgarisation et l'information juridique auprès du grand public;

Nathalie Roy (LLB 1989) : directrice de la formation et développement chez Lavery et membre fondatrice du Portail Educaloi. Elle est récipiendaire du Mérite du Barreau 2014 pour son engagement social dans l'accès aux services de justice et à la vulgarisation et l'information juridique destiné au grand public;

Paul Brunet (LLB 1982) : directeur général bénévole et porte-parole du Conseil pour la protection des malades depuis 1999 et avocat au sein de l'organisation depuis 1983;

Feu Honorable Réjane Laberge-Colas (LLL 1951) : première femme à obtenir le 1er rang à l'examen du Barreau du Québec en 1952, première femme à devenir juge à la Cour supérieure du Québec en 1969, elle est la fondatrice et première présidente de la Fédération des femmes du Québec. Elle est récipiendaire du mérite Christine-Tourigny du Barreau du Québec en 2009 pour sa grande contribution à la défense des droits des enfants et des droits des femmes.

Université Mcgill

Brian Mitchell (BCL/JD 1986) : avocat en droit corporatif, associé et co-fondateur du cabinet Mitchell Gatuso. Il est la personne qui s'est identifiée LBGT à être élu Bâtonnier de Montréal en 2017. Reconnue comme un militaire actif de la défense des droits des personnes LBGT principalement en milieu de travail;

Anne Sodan (BCL 1981) : directrice et fondatrice clinique juridique des aînés à Montréal depuis 2007;

Honorable Sheila Martin (BCL 1981) : juge à la Cour suprême du Canada depuis 2017, a été professeure de droit à l'University of Alberta, est reconnue comme l'une des plus grandes juristes militaires de la défense des droits des femmes au pays.

Université Laval :

Gabrielle Brochu (LLB 2000) : avocate et associée en responsabilité professionnelle et droit de la construction chez Langlois avocats. Récipiendaire du Mérite du Barreau pour son implication sociale dans la cause de la prévention du suicide depuis une dizaine d’années;

prof Pascale Fournier (LLB 1997) : professeure titulaire de droit et titulaire de la de la Chaire de recherche sur le pluralisme juridique et le droit comparé  à l'Université d'Ottawa, présidente et chef de direction de la Fondation Pierre-Elliot-Trudeau. A agi à titre d’experte consultante auprès du Programme des Nations Unies pour le développement sur la question du droit à l’égalité des femmes musulmanes en Tunisie, en Égypte, en Malaisie et au Nigéria. Reconnue comme une sommité dans la défense des droits des femmes, des droits des enfants et des droits à religion, elle a été reçue Fellow du prestigieux Forum international des femmes pour son rôle de leader dans la profession juridique;

Pascal Paradis (LLB 1993) : directeur général et co-fondateur de l'organisme Avocats sans frontière Canada en 2002,  boursier au Cours de droit international de l’Organisation des États américains et récipiendaire de plusieurs prix et distinctions pour son implication sociale dans la défense des droits humains partout dans le monde;

Lise Malouin (LLB 1989) : avocate de l'Aide juridique, Bâtonnière du Québec en 2002-2003, avocate émérite en droit des personnes. Elle est récipiendaire du Mérite Christine-Tourigny du Barreau du Québec en 2008 pour sa grande implication dans la défense des droits des femmes, du Prix Robert-Sauvé du Barreau du Québec en 2019 pour sa grande contribution à la défense des droits des démunis et de la Médaille du Lieutenant-Gouverneur du Québec pour mérite exceptionnel en 2019;

prof Pierre Rainville (LLB 1985) : professeure de droit à l'Université Laval depuis 1993, récipiendaire de plusieurs prix en enseignement pour la grande contribution dans l'enseignement auprès de futurs(es) juristes;

Anne Soden (BCL-LLB 1982) : directrice et fondatrice clinique juridique des aînés à Montréal;

Marie-Josée Brodeur (LLL 1978) : avocate en droit familial chez Brodeur Prémont Lavoie, a été présidente du Comité ad hoc sur la Réforme du Code de procédure civile en matière familiale- Barreau du Québec, a été membre du Comité consultatif sur le droit de la famille du Ministère de la Justice du Québec. Elle est récipiendaire du Mérite du Barreau 2009 pour sa grande contribution au développement du droit de la famille au Québec;

Honorable Louise Otis (LLB 1974) : présidente du Tribunal administratif de l'Organisation de coopération et de développements économiques et du Tribunal d'appel de l'Organisation internationale de la Francophonie depuis 2019 et a été juge à la Cour d'appel du Québec pendant 16 ans. Elle est l'instigatrice de la médiation judiciaire au Québec et a conçu et implanté dans une cour d'appel l'un des premiers systèmes de conciliation judiciaire au monde, elle a contribué à la création d'un nouveau système de justice administrative à l'ONU.Elle est récipiendaire du Prix de la Justice sociale du Québec en 2015, du Distinguished Service Award décerné par le Strauss Institute for Dispute Resolution de Californie, Canadian National Mediation Advocacy Competition (CNMAC) lui rend hommage en créant le prix Louise Otis Award for excellence in ADR et officière de l'Ordre du Canada.

Des juristes inspirants ayant acquis une réputation enviable dans leur domaine :

UQAM :

prof Geneviève Dufour (LLB 1998) : professeure titulaire de droit à l'Université de Sherbrooke, juriste réputée en droit international économique et en droit international public. Récipiendaire du Prix Tremplin en recherche de l'Université de Sherbrooke remis à un(e) professeur pour sa contribution exceptionnelle à la recherche.

Université de Sherbrooke :

Joëlle Boisvert (LLB 1987) : avocate, associée et cheffe du développement international chez Gowling WLG, hautement reconnue parmi les meilleures juristes en litiges commerciaux à l'échelle canadienne;

Patrick Ouellet (LLB 1998) : avocat spécialisé en litiges et règlement des différends commerciaux chez Woods depuis 2006. Depuis 2020, il est reconnu parmi les meilleurs juristes en litiges commerciaux au Canada selon Lexpert, Chambers, Benchmark Litigation et Best Lawyers in Canada et fait partie des 50 meilleurs avocats plaidants au Canada selon Benchmark Litigation. Il est également Fellow du American College of Trial Lawyers (ACTL) et du Litigation Counsel of America, prestigieux regroupements des meilleurs plaideurs des États-Unis et du Canada;

Sophie Martin (M.Fisc 1999) : avocate, associée et directrice chez Stein Monast à Québec. Reconnue parmi les meilleurs avocats en droit fiscal au Canada;

prof Julie Biron (LLB 2000) : professeure agrégée en droit à l'Université de Montréal, directrice de l'Observatoire du droit québécois en valeurs mobilières depuis 2006 et chercheuse au Centre de droits des affaires et du droit commercial international. Elle est récipiendaire du Prix d'excellence en enseignement de l'Université de Montréal en 2017;

Josée Thibault (LLB 2003) : avocate spécialisée en droit du travail et de l'emploi au sein du cabinet Delorme Lebel Savoie à Sherbrooke. Elle est reconnue parmi les meilleures plaideuses devant la Cour d'appel du Québec et la Cour supérieure du Québec en litiges civils depuis 2017 selon la firme d'analyse algorithmique des litiges Premonition A1;

Anne-Frédérique Bourret (M.Env. 2010) : avocate spécialisée en droit de l’environnement, de l’énergie et des changements climatiques selon BCFAvocats d'affaires. Depuis 2018, elle est reconnue parmi les meilleures juristes en droit de l'environnement au pays selon le classement Best Lawyers Canada;

Université d'Ottawa :

François Alepin (LLL 1977) : avocat associé co-fondateur du cabinet réputé Alepin Gauthier. Il est reconnu l'un des leaders en droit de la franchise au Canada;

Éric Bédard (LLB 1988) : avocat, associé et directeur pour la région du Québec chez Fasken Martineau. Reconnu parmi les meilleurs avocats en litiges au Canada depuis 2018 chez Benchmark Canada et reconnu parmi les meilleurs avocats en relations de travail depuis 2018 selon Lexpert.

Université Laval :

Jean-François Gagnon (LLB 1986) : associé principal et chef de la direction du cabinet Langlois avocats, est reconnu comme un l'un des meilleurs avocats en litiges commerciaux au Canada;

Normand Therrien (LLB 1987) : avocat, associé et chef de direction du Groupe TCJ Therrien Couture Jolicoeur. Reconnu parmi les plus éminents avocats en financement corporatif et en accompagnement stratégique au Canada;

Michel Paradis (LLB 1992) : avocat associé au sein du Groupe TCJ Therrien Couture Jolicoeur. Reconnu parmi les plus éminents avocats en droit immobilier au Canada et reconnu parmi les meilleurs plaideurs au Canada (cour fédérale, cour d'appel et cour supérieure) selon le classement Best Lawyers;

Dominique Babin (LLB 1996) : avocate spécialisée en fusions & acquisitions chez BCF, reconnue parmi les meilleurs avocats en droit des biotechnologie selon Best Lawyers Canada;

Mélanie Vincent (LLB 1996) : vice-présidente aux normes du travail au sein de la CNESST depuis 2020;

prof Pascale Fournier (LLB 1997) : professeure titulaire de droit et titulaire de la de la Chaire de recherche sur le pluralisme juridique et le droit comparé  à l'Université d'Ottawa, présidente et chef de direction de la Fondation Pierre-Elliot-Trudeau. A agi à titre d’experte consultante auprès du Programme des Nations Unies pour le développement sur la question du droit à l’égalité des femmes musulmanes en Tunisie, en Égypte, en Malaisie et au Nigéria. Reconnue comme une sommité dans la défense des droits des femmes, des droits des enfants et des droits à religion, elle a été reçue Fellow du prestigieux Forum international des femmes pour son rôle de leader dans la profession juridique;

Julie Doré (LLB 1997) : avocate et associée spécialisée en fusions et acquitions chez BCF. Reconnue parmi les meilleurs avocats en droit corporatif du domaine agroalimentaire au Canada selon Lexpert en 2020 et parmi les meilleurs avocats en fusions et acquisitions au Canada selon Lexpert en 2020;

Eugénie Brouillet (LLB 1998, LLM 1999 et LLD 2002) : vice-rectrice recherche, création & innovation Laval depuis 2017, professeure de droit à l'Université Laval depuis 2002 (dont doyenne de la Faculté droit pendant 5 ans);

Gabrielle Brochu (LLB 2000 et LLM 2010) : avocate et associé responsable en responsable professionnelle et droit de la construction chez Langlois avocats. Classée parmi les meilleurs plaideurs à la Cour d'appel du Québec et à la Cour supérieure du Québec selon Premonition A1;

Mathieu Laflamme (LLB 2001) : avocat spécialisé en fusions et acquisitions, associé responsable du bureau de Québec et coresponsable de la pratique nationale en capital-investissement chez McCarthy Trétault. Il reconnu comme avocat de premier plan âgé de moins de 40 ans selon Lexpert en 2018 et reconnu parmi les meilleurs avocats en capital-investissement selon Lexpert et selon Chambers Canada;

André Lepage (LLB 2002) : avocat spécialisé en droit du travail chez BCF Avocats d'affaires à Québec (travaille notamment avec une quinzaine d'équipes de la LNH). Il est reconnu parmi les meilleurs juristes en droit sportif et en droit du divertissement au pays selon le classement de Best Lawyers Canada et parmi les meilleurs juristes en droit du travail et de l'emploi selon Best Lawyers Canada depuis 2016;

Vincent Bergeron (LLB 2009) : avocat et agent de marques de commerce spécialisé en droit des technologies et en droit de la propriété intellectuelle chez Robic à Québec (dont il est cofondateur du bureau de Québec) depuis 2011. Reconnu parmi les meilleurs juristes en droit des technologies au pays selon le classement Best Lawyers Canada depuis 2018;

Audrey-Ann Fex (LLB 2012) : avocate spécialisée en droit fiscal chez Daigle avocats à Trois-Rivières. Classée par les meilleurs plaideurs devant la Cour d'appel du Québec et la Cour supérieure selon Premonition A1;

Université de Montréal :

Marc Bellemare (LLL 1978) : avocat propriétaire de Bellemare avocats, a été l'un des plus éminents avocats en droit social SAAQ / CNESST au Québec, a été ministre de la justice et procureur général du Québec pendant 1 an;

Luc Beaulieu (LLB 1981) : associé principal et directeur pour la région du Québec chez Norton Rose Fulbright, a été classé parmi les meilleurs avocats droit de l'emploi et du travail selon Chambers Canada, Best Lawyers Canada et Lexpert depuis 2017;

Pierre Pilote (LLB 1987) : associé directeur pour la région du Québec au sein du cabinet Gowling WLG depuis 2018 et avocat spécialisé en droit des relations des travail au sein de ce cabinet depuis 2012. Il est classé parmi les meilleurs avocats en relations de travail au Canada depuis 2017 selon Best Lawyers Canada et Lexpert;

Julie Desroyers (LLB 1990) : avocate et associée spécialisée en litiges de brevets et membre du Conseil d'administration chez Fasken Martineau. Reconnue parmi les plus éminents avocats en droit de la propriété intellectuelle au Canada;

Mireille Fontaine (LLB 1992) : avocate associée coresponsable des groupes Financement corporatif et Investissements étrangers et croissance internationale chez BCF, classée parmi les meilleurs avocats en financement corporatif selon best lawyers;

Mario Charpentier (LLB 1993) : associé directeur et fondateur et coresponsable du groupe financement corporatif du cabinet BCF Avocats de 1995 à 2019. Il est reconnu parmi les plus éminents jurisites en financement corporatif au Canada en figurant par le prestigieux palmarès Chambers and Partners Québecm a été sélectionné en droit des fusions et acquisitions dans le répertoire Best Lawyers en 2020 reconnu en droit commercial et dans le secteur des sociétés à moyenne capitalisation au sein du palmarès Canadian Legal Lexpert;

Magali Cournoyer Proulx (LLB 1995) : avocate & associée chez Fasken Martineau, reconnue comme l'une des meilleurs avocats en drroits de l'emploi et en droits des personnes et de la santé;

François Brais (LLB 1997) : avocat et associé spécialisé en droit des placements et membre du Conseil d'administration chez Fasken Martineau. L'un des rares avocats au Canada à être reconnu pour son expertise en fonds d'investissement et gestion d'actifs et reconnu parmi les éminents avocats en droit des placements au Canada;

Marie-Ève Sylvestre (LLB 1999) : professeure de droit à l'Université d'Ottawa depuis 2007, doyenne de la faculté de droit civil de l'Université d'Ottawa depuis 2017, membre-fondatrice de l’Observatoire sur les profilages et du Réseau d’Ottawa pour la réduction des méfaits et collaboratrice au Centre international de criminologie comparée, a été experte en matière de justice pour la Commission d’enquête publique sur les relations entre les Autochtones et certains services publics du Québec, reconnue parmi les plus grandes juristes en matière de droit des autochtones et en droit de la personne au Canada;

Marie-Louise Delisle (LLB 1999) : avocate associée en arbitrage et litiges commerciaux & civils chez Woods, classée parmi les meilleurs plaideurs cour appel et cour supérieure selon Premonition agence d'analyse algorithmique en litiges;

Caroline Harnois (LLB 2000) : avocate et associé en droit de la famille chez Lavery, a travaillé comme avocate à la Conférence de La Haye de droit international privé, aux Pays-Bas, au sein de l'équipe de droit des enfants, des personnes et de la famille, reconnue comme l'une des meilleurs avocats en droit de la famille et en droit des enfants au Québec;

Anne-Frédérique Bourret (LLB 2004 et scolarité de doctorat 2015) : avocate spécialisée en droit de l’environnement, de l’énergie, des changements climatiques chez BCF, reconnue par les meilleurs avocats en droit environnement selon best lawyers Canada;

Antoine Piché (LLB 2004) : Procureur(e) aux poursuites criminelles et pénales du Québec à Montréal, classé parmi les meilleurs plaideurs en matière criminelle auprès de la Cour appel et de la Cour supérieure selon Premonition A1, une agence d'analyse algorithmique en litiges;

Karine Chênevert (LLB 2004) : avocate en litiges des recours collectives et valeurs mobilière chez BLG, classée parmi les meilleurs plaideurs auprès de la Cour appel et de la Cour supérieure selon Premonition A1, une agence d'analyse algorithmique en litiges;

prof Julie Biron (LLM 2005 et LLD 2011) : professeure agrégée en droit à l'Université de Montréal, directrice de l'Observatoire du droit québécois en valeurs mobilières depuis 2006 et chercheuse au Centre de droits des affaires et du droit commercial international. Elle est récipiendaire du Prix d'excellence en enseignement de l'Université de Montréal en 2017.

Université Mcgill :

Tina Hobday (BCL-LLB 1993) : avocate associée en régimes de retraite chez Langlois avocats depuis 2002, membre du Comité d’administration des retraites (CAR) de l’Université McGill, a obtenu plusieurs distinctions dont best lawyers Canada depuis 2017;

Catherine McKenzie (BCL-LLB 1999) :  associée chez Irving Mitchell Kalichman et auteure de romans dont un best seller acclamé par la critique tant que québécoise que canadienne;

Dominique Babin (LLM 2000) : avocate spécialisée en fusions & acquisitions chez BCF, reconnue parmi les mielleurs avocats droit biotechno selon best lawyers;

Dominique Lapierre (BCL 2008) : directrice nationale, Administration des programmes du Fonds des médias du Canada depuis 2016, récipiendaire du Prix Charles Gonthier de Mcgill pour jeune diplômé exceptionnel;

Alexandre Bien-Aimé  (BCL-LLB 2010) : avocat criminaliste et associé chez Shadley Bien-Aimé, classé parmi les meilleurs criminalistes de Montréal, récipiendaire du Prix Charles Gonthier pour jeune diplômé exceptionnel;

Bogdan-Alexandru (Alex) Dobrota (BCL-LLB 2010) : avocat et associé en litiges transfrontaliers et arbitrage international chez Woods, reconnu parmi les meilleurs avocats en droit de l’insolvabilité et de la restructuration financière selon le classement best lawyers et élu avocat de l'année en litiges commerciaux par le Jeune Barreau Montréal en 2019;

Michael Shott  (BCL-LLB 2010) : avocat et agent de marques de commerces chez Fasken Martineau et fondateur du groupe jeux vidéo au sein de ce prestigieux cabinet. Reconnu parmi les meilleurs avocats en propriété intellectuelle dans le domaine du jeu vidéo et du divertissement numérique au Canada;

Tanya De Mello  (BCL-LLB 2011) : a été directrice des droits de la personne à Ryerson University à Toronto, maintenant, vice-doyenne aux affaires étudiantes, au développement et à l'équité pour la même université, récipiendaire du Prix Charles Gonthier de Mcgill pour jeune diplômé exceptionnel.

Des juristes inspirants occupant un poste actuel important (en date du 1er avril 2021) :

UQAM :

Honorable Lucie Fournier (LLB 1989) : juge à la Cour d'appel du Québec depuis 2019. A été juge à la Cour supérieure - div civile pendant 19 ans;

Honorable Claudie Bélanger (LLB 1989) : juge en chef-adjointe de la Cour du Québec pour les cours municipales depuis 2018 et juge à la Cour du Québec -division civile depuis 2017;

Honorable Guy Cournoyer (LLB 1986) : juge à la Cour d'appel du Québec depuis 2020. A été juge à la Cour supérieure pendant 13 ans;

Honorable Carole Therrien (LLB 1991) : juge à la Cour supérieure - division criminelle - district de Gatineau depuis 2011;

Honorable Janick Perreault (LLB 1993) : juge à la Cour supérieure - division civile depuis 2019;

Honorable Marie Albanese (LLB 2001) : juge à la Cour du Québec - chambre criminelle et pénale depuis 2018;

Jean-François Lisé (LLB 1979) : député à l'Assemblée nationale du Québec depuis 2012. A été ministre des relations internationales pendant 4 ans, chef du Parti Québécois PQ et chef de l'opposition officielle pendant 2 ans;

Diane Poitras (LLB 1985) : Présidente de la Commission d'accès à l'information du Québec depuis 2018;

Anne-Marie Jones (LLB 1978) : juge et Présidente du Tribunal des droits de la personne depuis 2014;

Élaine Zakaib (LLB 1983) : Vice-présidente, stratégies et finances et chef de la restructuration aux Boutiques Jacob inc;

Karolyne Gagnon (LLB 1991) : Vice-présidente - travail et affaires juridiques au Conseil du patronat depuis 2018;

Julie Rochette (LLB 1993) : Vice-présidente et chef des affaires réglementaires de la Division de la réglementation de la Bourse de Montréal;

Louise Rozon (LLB 1996) : Vice-présidente de la Régie de l'énergie du Québec depuis 2015 et régisseure depuis 2005 au sein de cet organisme;

Louise Chabot (LLB 1999) : Vice-président du bureau national du Bloc Québécois depuis 2019. A été présidente de la CSQ pendant 7 ans;

Kaven Bissonnette (LLB 2011) : Vice-président à la Centrale des syndicats démocratiques CSD;

Mélissa Plourde (LLB 2001) : coroner à temps partiel au Bureau du coroner du Québec depuis 2014;

Marie-Michèle Daviau (LLB 2009) : directrice des affaires juridiques chez RÉMAX depuis 2019.

Université de Sherbrooke :

Pierre Cardin (LLB 1982) : Vice-président senior et chargé de la conformité des activités avec la réglementation pour le Groupe Airbus;

Gabrielle Marceau (LLB 2008) : conseillère juiridique principale à la Division des affaires juridiques de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et professeure associée en droit à l'Université de Genève en Suisse;

Simon Jolin-Barrette (LLB 2009, LLM 2011) : ministre de la justice du Québec et Procureur général du Québec depuis 2020 et député à l'Assemblée nationale du Québec depuis 2014;

Honorable Michel Beaupré (LLB 1985, LLM - droit de la santé 1986) : juge à la Cour d'appel du Québec depuis 2019;

Honorable Marie-Josée Hogue (LLB 1986) : juge à la Cour d'appel du Québec depuis 2015;

Honorable Charles Ouellet (LLB 1986) : juge coordonnateur de la Cour supérieure du Québec - district St-François (Estrie);

Honorable Chantal Tremblay (LLB 1994) : juge coordonnatrice de la Cour supérieure du Québec - district de Montréal;

Honorable Lucie Rondeau (LLL 1979) : juge en chef de la Cour du Québec depuis 2016. A été juge à la chambre de la jeunesse pendant 21 ans;

Honorable Jean Faullem (LLB 1993) : juge à la Cour supérieure depuis 2019, a été juge à la Cour du Québec pendant 6 ans;

Honorable Janick Perreault (LLM - droit de la santé 1994) : juge à la Cour supérieure du Québec - division civile depuis 2019;

Honorable Katheryne Desfossés (LLB 2002) : juge à la Cour supérieure du Québec - division civile - district de Montréal depuis 2020. A été professeure de droit à l'Université de Sherbrooke pendant 13 ans;

Honorable Tiziana Di Donato (LLB 1993) : juge à la Cour supérieure du Québec - division civile depuis 2020;

Michel Coutu (LLB 1980) : Président de MMC depuis 2006, a été été président et chef de la direction de Jean Coutu USA du Groupe PJC;

Lucie Lamarre (LLB 1981) : juge en chef-adjointe de la Cour canadienne de l'impôt depuis 2015 et juge à cette même cour depuis 1993;

Denis Marsolais (LLB 1980, DDN 1981), notaire : Curateur public du Québec depuis 2018;

Louis Marquis (LLB 1987) : doyen de la faculté de droit de l'Université de Sherbrooke depuis 2019 (second mandat), a été doyen d'un premier mandat pendant 4 ans, a été vice-recteur de l'Université pendant 4 ans et professeur de droit au sein de cette université depuis 1989;

Robert F. Hall (LLB 1983) : Chef de la stratégie, des affaires juridiques et secrétaire corporatif pour le Groupe Cascades;

Nicole Martineau (LLB 1989) : Vice-présidente et juge administratif du Tribunal adm serv financiers depuis 2020;

Patrice Guay (LLB 1988) : directeur des affaires juridiques à la Ville Montréal depuis 2018;

Frédéric Cotnoir (LLB 1997) : Premier vice-président, Services corporatifs et juridiques, et secrétaire d’Intact Corporation financière depuis 2016;

Jenny Ross (LLB 1997) : Vice-présidente - affaires juridiques chez Ivanohé Cambridge Serv immobiliers depuis 2019;

Sophie Martin (M.Fisc 1999) : avocate, associée et directrice du cabinet Stein Monast depuis 2021 et avocate spécialisée en droit fiscal des sociétés au sein de ce cabnet depuis 2007;

Xavier Fontaine (LLB 2005) : Directeur des affaires juridiques de la société de génie conseil EBC depuis 2017

Gabriel Gaudreault (LLB 2011) : juge administratif permanent au Tribunal canadien droit de la personne depuis 2018;

Julie-Kim Godin (LLB 2005 et LLM-M.Sc. droit - biotechnologies) : coroner permanent au Bureau du coroner du Québec depuis 2018.

Université d'Ottawa :

Très Honorable Richard Wagner (LLL 1979) : juge en chef du Canada et juge en chef de la Cour suprême du Canada depuis 2017 et juge à la Cour suprême depuis 2012;

Honorable Marc Noël (LLL 1976) : juge en chef de la Cour d'appel fédérale du Canada depuis 2014 et juge à la Cour fédérale depuis 1998;

Honorable Richard Boivin (LLL 1988) : juge à la Cour d'appel fédérale du Canada depuis 2014;

Honorable Martin Cauchon (LLB 1984) : avocat conseil au sein de DS Welch Bussières, a été ministre de la Justice et procureur général du Canada pendant 1 ans et députée à la Chambre des communes pendant 11 ans;

Honorable Luc Martineau (LLL 1977 et LLM 1985) : juge à la Cour d'appel fédérale du Canada depuis 2003, juge à la Cour d'appel des cours martiales du Canada depuis 2002 et juge à la Cour fédérale du Canada depuis 2002;

Honorable Sylvie Roussel (LLL 1987) : juge à la Cour fédérale du Canada depuis 2015;

Honorable Lyne Décarie (LLL 1990) : juge à la Cour supérieure - division criminelle - district de Montréal depuis 2018, a été procureure aux crimes graves au Tribunal pénal international et procureure fédérale en chef pour le Québec;

Honorable Nancy Bonsaint (LLL 1993) juge à la cour supérieure - division civile depuis 2020, a été avocate générale aux affaires civiles au Bureau du Procureur général du Canada pendant 11 ans;

Stéphanie Vallée (LLL 1993) : députée à l'Assemblée nationale du Québec depuis 2007, a été ministre de la justice et procureure générale du Québec pendant 4 ans;

Marc M. Tremblay (LLL 1982) : chef de l’exploitation et des affaires juridiques de Québecor depuis janvier 2007;

Sylvain Choinière (LLL 2003) : Vice-président aux affaires juridiques chez Aéroports de Montréal depuis 2018;

Éric Bédard (LLL 1988) : avocat spécialisé en droit du travail et droit administratif et associé directeur pour la région du Québec chez Fasken Martineau;

Luc Malouin (LLL 1979) : Coroner en chef-adjoint au Bureau du Coroner du Québec depuis 2017 et coroner permanent depuis 2001;

Colonel Bruce MacGregor (LLM 2006) : directeur des poursuites militaires au Cabinet du JAG des Forces canadiennes depuis 2014;

Vincent Martineau (LLL 1985) : directeur principal des poursuites criminelles et pénales DPCP au Ministère de la Justice du Québec depuis 2021, a été cadre juridique pendant 10 ans et Procureur(e) aux poursuites criminelles et pénales pendant 10 ans;

Anniève Rivard (LLL 2001) : Directrice de la conformité réglementaire chez Beneva (SSQ + La Capitale) depuis 2020.

Université Mcgill :

Honorable Rosalie Abella (LLB 1970 Toronto et LLD 1999 Mcgill) : juge à la Cour suprême du Canada depuis 2004, considéré comme l'une des plus grandes experts en droits humains au Canada;

Honorable Sheilah L. Martin (BCL-LLL 1981) : juge à la Cour suprême du Canada depuis 2017, a été juge à la Cour d'appel de l'Alberta et à la Cour du Banc de la Reine de l'Alberta pendant 16 ans;

Honorable Nicolas Kasimer (BCL 1985) : juge à la Cour suprême du Canada depuis 2019, a été professeur de droit à l'Université Mcgill pendant 20 ans;

Honorable Marie Deschamps (LLM 1983) : membre de l'Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale du Canada depuis 2019 et professeure associée en droit à l'Université de Sherbrooke depuis 2006, a été juge à la Cour suprême du Canada de 2002 à 2012 Elle est récipiendaire du Prix F.R. Scott Mcgill pour service exemplaire;

Honorable Clément Gascon (BCL 1981) : avocat-conseil chez Woods depuis 2020, a été juge à la Cour suprême du Canada de 2014 à 2019;

Honorable David Lametti (LLL 1989) : ministre de la justice et procureur général du Canada depuis 2019, a été professeur de droit à l'Université Mcgill pendant 23 ans dont 2 ans en tant que vice-doyen de la faculté de droit;

Honorable Geneviève Marcotte (LLL 1986) : juge à la Cour d'appel du Québec depuis 2014, a été juge à la Cour supérieure - division civile pendant 8 ans et avocate en litiges en propriété intellectuelle et responsabilité professionnelle pendant 20 ans;

Honorable Patrick J. Healy (BCL 1981) : juge à la Cour d'appel du Québec depuis 2016, a été juge à la Cour du Québec - chambre criminelle et pénale pendant 9 ans et professeur de droit à l'Université Mcgill pendant 20 ans;

Honorable Eva Poitras (LLB 1980) : juge en chef-adjointe de la Cour supérieure du Québec depuis 2015 et juge à la Cour supérieure - division civile depuis 2006;

Honorable Marc Miller (BCL/JD 1994) : ministre des services autochtones du Canada depuis 2019, a été avocat en droit international pendant de nombreuses années;

John Harrison (LLM 1992) : avocat général pour le Groupe Airbus;

Josée Fecteau (BCL 1988 et LLM 1989) : directrice des affaires juridiques pour l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE);

Norman Steinberg (LLL 1976) : Vice-président du conseil d'administration de BFL Insurance Canada depuis 2019, ancien président national de Ogilvy Renault / Norton Rose Fullbright. récipiendaire du Prix F.R. Scott Mcgill pour servicd exemplaire;

Benoit Dubé (BCL-LLB 1990) : Vice-président exécutif, affaires juridiques et économiques, et secrétaire général du Groupe CGI depuis 2003;

Marie Giguère (LLL 1975) : Première vice-présidente, chef des Services juridiques et secrétaire chez Molson inc., a été vice-présidente aux affaires juridiques et secrétaire générale de la Caisse de dépôt et de placement du Québec;

Hillel Rosen (BCL-LLB 1985) : avocat et associé en fusions et acquisitions chez Davis. Il est considéré comme l'un des meilleurs avocats en fusions et acquisitions au Canada;

Robert Leckey (BCL 2002) : doyen de la Faculté de droit de l'Université Mcgill depuis 2016 et professeur titulaire de droit à l'Université Mcgill depuis 2006, récipiendaire du Prix du Recteur pour l'excellence en enseignement en 2010. Il est des plus éminents juristes en droit constitutionnel et en droit comparé au Canada;

Trudo Lemmens (LLM 1995) : professeur titulaire de droit à l'University of Toronto, la meilleure faculté de droit au Canada et 20e au monde.

Université Laval :

Honorable Louis Otis (LLL 1974) : présidente du Tribunal administratif de l'Organisation de coopération et de développements économiques OCDE et du Tribunal d'appel de l'Organisation internationale de la Francophonie OIF, a été juge à la Cour d'appel du Québec pendant 16 ans, instigatrice de la médiation judiciaire au Québec, membre du Conseil de justice interne de l’Organisation des Nations Unies depuis 2020, a été nommée Officière de l'Ordre national du Québec;

Honorable Catherine La Rosa (LLB 1985) : juge en chef associée de la Cour supérieure du Qébec depuis 2019 et juge à cette cour depuis 2006;

Jean-François Gagnon (LLB 1986) : associé principal et chef de la direction du cabinet Langlois avocats, est reconnu comme un avocat de haut niveau en litiges commerciaux au Canada;

Marc Samson (LLB 1986) : Vice-président et directeur général de la législation à Revenu Québec depuis 2019;

François Cholette (LLB 1986) : Directeur principal aux Affaires juridiques, Gestion de patrimoine et Assurance de personnes et Secrétaire institutionnel chez DSF Assurances depuis 1993;

Honorable Johanne Brodeur (LLB 1987) : juge à Cour supérieure du Québec - division civile - district de Granby depuis 2020;

Line Drouin (LLB 1987): Sous-ministre justice du Québec depuis 2019;

Diane Simard (LLB 1987) : avocate asociée BHL Avocats & directrice des Affaires juridiques à l’Union des producteurs agricoles depuis 2018

Gina Doucet (LLB 1988) : associée directrice nationale du cabinet Cain Lamarre depuis 2017;

Honorable Claudia P. Prémont (LLB 1989) : juge à la Cour supérieure du Québec - division civile - district de Québec depuis 2020;

Alain Carrier (LLB 1989) : responsable européen Office d’investissement du régime de pensions du Canada à Londres en UK depuis 2008;

Catrin Kronstrom (LLB 1990) : Directrice Principale aux Affaires Juridiques chez Beneva Assurances (fusion de SSQ + La Capitale) depuis 2020;

Stéphane Labrie (LLB 1990) : Président Commission protection territoire agricole depuis 2018;

Nathalie Drouin (LLB 1991) : sous-ministre de la justice et procureure générale adjointe du Canada depuis 2017;

Marc-André Dowd (LLB 1992, LLD 2013) : commissaire à la déontologie policière du Québec depuis 2017;

capitaine de frégate Martin Pelletier (LLB 1992) : juge militaire à la Cour martiale des Forces canadiennes depuis 2014;

Lise Girard (LLB 1992) : Sous-ministre de la sécurité publique du Québec depuis 2020;

Pascal Paradis (LLB 1993) : cofondateur et directeur général Avocats sans frontière;

Honorable Suzanne Gagné (LLB 1994) : juge à la Cour d'appel depuis 2017;

Jean-François Bernier (LLB 1994) : Président de la Commission québécoise des libérations conditionnelles depuis 2019;

Honorable Sophie Lavallée (LLB 1995, LLM 1998) : juge à la Cour d'appel du Québec depuis 2020, a été professeure de droit de l'environnement et de l'aménagement du territoire à l'Université Laval pendant 20 ans;

Jean-François Routhier (LLB 1995) : Commissaire au lobbyisme du Québec depuis 2017, a été sous-ministre-adjoint et directeur général aux affaires juridiques au Ministère de la Justice du Québec;

Philippe Lebel (LLB 1995) : secrétaire et directeur général des affaires juridiques à l'Autorité des marchés financiers depuis 2019;

Patrick Simard (LLB1995) : Président du Tribunal administratif du logement depuis 2017, régisseur et juge à ce tribunal depuis 2007;

Marjorie Forgues (LLB 1996) : sous-ministre associée des services de justice, des registres et de la transformation depuis 2020;

Normand Therrien (LLB 1996) : associé, président & chef de la direction du cabinet Tremblay Lacasse Jolicoeur TCJ

Hélène Potvin (LLB 1996, DDN 1997) : présidente de la Chambre des notaires du Québec depuis 2020;

Annie Caron (LLB 1996) : Directrice des affaires juridiques et institutionnelles chez CIUSSS de la Capitale-Nationale depuis 2015;

Honorable Marie-Hélène Montminy (LLB 1998) : juge à la Cour supérieure du Québec depuis 2020;

Honorable Isabelle Germain (LLB 1999) : juge à la Cour supérieure du Québec - division civile - district de Saguenay depuis 2020, a été avocate en responsabilité médicale et professionnelle pendant 15 ans;

Éric Meunier (LLB 2000) : directeur, Affaires juridiques - responsable des litiges chez Québecor Média depuis 2018;

Isabelle Dufresne (LLB 2000) : directrice aux affaires juridiques pour Industrie Alliance IA depuis 2016;

Dre Louise Nolet (M.D. 1971 et LLB 2001) : juge administratif au Tribunal administratif du Québec depuis 2015, a été coroner au Bureau du Coroner du Québec pendant 29 ans dont 8 ans en tant que Coroner en chef du Québec;

Louis Leclerc (LLB 2001) : Avocat et chef de service du contentieux CIUSS Centre Sud Ile de Montréal depuis 2016;

Olivier Dussault (LLB 2003) : Direction des affaires litigieuses et du conseil juridique à SAAQ depuis 2017;

Marie-Josée Létourneau (LLB 2008) : vice-présidente principale - affaires juridiques pour la Coop fédéré du Québec;

Université de Montréal  :

Honorable Yves-Marie Morrissette (LLL 1971 et LLM 1972) : a été professeur de droit administratif à l'Université Mcgill et y a ocupé le poste de doyen pendant 5 ans, titulaire de la Chaire Arnold Wainwright et directeur de l'Institut de droit comparé au moment de sa nomination à la magistrature en 2002 comme juge à la Cour d'appel. Il a été président de l'Association des professeurs de droit du Québec, président du Conseil des doyens et doyennes des facultés de droit du Canada, vice-président de la Fondation du Barreau du Québec et président du University Appeals Committee de l'Université McGill;

Honorable Marie Deschamps (LLM 1983) : membre de l'Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale du Canada depuis 2019 et professeure associée en droit à l'Université de Sherbrooke depuis 2006, a été juge à la Cour suprême du Canada de 2002 à 2012 Elle est récipiendaire du Prix F.R. Scott Mcgill pour service exemplaire;

Honorable Manon Savard (LLB 1985) : juge en chef du Québec et juge en chef de la Cour d'appel du Québec depuis 2020 et juge à la Cour d'appel depuis 2013;

Honorable Jocelyne Gagné (LLB 1989) : juge en chef-adjointe de la Cour fédérale du Canada depuis 2018, juge à la Cour fédérale du Canada depuis 2013 et juge au Tribunal canadien de la concurrence depuis 2016;

Honorable Lucie Lamarre (LLL 1978) : juge en chef-adjointe de la Cour canadienne de l'impôt depuis 2015 et juge à cette cour depuis 1993;

Lieutenant-colonel Louis-Vincent d'Auteuil (LLB 1988) : juge militaire en chef par intérim des Forces canadiennes depuis 2020;

Honorable Martine Tremblay (LLB 1982) : juge en chef-adjointe de la Cour du Québec pour la chambre civile depuis 2019 et juge à cette cour depuis 2012;

Honorable Denis Gascon (LLB 1988) : juge à la Cour fédérale du Canada depuis 2015, Président et juge au Tribunal canadien de la concurrence depuis 2015, est reconnu parmi les plus éminents juristes en droit de la concurrence au Canada;

Honorable Scott Hugues (LLB 1987) : juge en chef associé de la Cour du Québec depuis 2017 et juge à la chambre criminelle et pénale depuis 2012;

Honorable Martine St-Louis (LLB 1987) : juge à la Cour fédérale du Canada depuis 2014;

Honorable Sébastien Grammond (LLB 1992 et LLM 1993) : juge à la Cour fédérale du Canada depuis 2017, a été professeur de droit à l'Université d'Ottawa pendant 13 ans et il est l'un des plus grands juristes en droit des autochtones et en droit de la jeunesse au Canada;

Honorable Sophie Lavallée (LLD 1999) : juge à la Cour d'appel du Québec depuis 2020, a été juge à la Cour supérieure pendant 13 ans;

Honorable Jacques Fournier (LLL 1977) : juge en chef de la Cour supérieure du Québec depuis 2015 et juge à la Cour supérieure depuis 2004;

Honorable Domique Bélanger (LLL 1979) : juge à la Cour d'appel du Québec depuis 2012;

Contre-amiral Geneviève Bernatchez (LLB 1992) : juge-avocat général des Forces canadiennes depuis 2017. Elle est la première femme à occuper cette fonction;

Luc Beaulieu (LLB 1981) : associé principal et directeur pour la région du Québec chez Norton Rose Fulbright, a été classé parmi les meilleurs avocats droit de l'emploi et du travail selon Chambers Canada, Best Lawyers Canada et Lexpert depuis 2017;

Martin Chagnon (LLB 1995) : Chef de la direction des acquisitions et du développement stratégique depuis 2019, a été vice-président - fusions et acquisitions chez Saputo;

Diane Bertrand (LLB 1987) : vice-président - affaires juridiques et coopération chez Agropur depuis 2019;

Sonia Lebel (LLB 1990) : Présidente du Conseil du Trésor du Québec depuis 2020 et députée à l'Assemblée nationale du Québec depuis 2018. A été ministre de la justice et procureure générale du Québec pendant 2 ans;

Anik Trudel (LLB 1987) : associée et chef de la direction du cabinet Lavery depuis 2017, avocate spécialisée en litiges civils et commerciaux depuis 21 ans, a été présidente du conseil d'administration du Port de Montréal pendant 9 ans et membre du conseil d'administration de plusieurs fondations et organismes communautaires;

Pierre Pilote (LLB 1987) : associé directeur pour la région du Québec au sein du cabinet Gowling WLG depuis 2018 et avocat spécialisé en droit des relations des travail au sein de ce cabinet depuis 2012. Il est classé parmi les meilleurs avocats en relations de travail au Canada depuis 2017 selon Best Lawyers Canada et Lexpert;

François Bibeau (LLB 1987, DDN 1988) : président de l'Association professionnelle des notaires du Québec depuis 2020, a été président de la Chambre des notaires du Québec pendant 3 ans et a été nommé en tant que notaire émérite;

Yvan Niquette (LLB 1987) : président de la Commission des services juridiques du Québec depuis 2016, a été avocat de l'Aide juridique début le début de sa carrière;

Michel Lalande (LLB 1988) : premier vice-président, Affaires juridiques et Secrétariat à la Caisse de dépôt et placement du Québec depuis 2021 et a été vice-président aux affaires juridiques au sein du Groupe BCE pendant 19 ans;

Honorable Stéphane Lacoste (LLB 1988) : juge à la Cour supérieure - division civile - district de Montréal depuis 2019, a été avocat général du réputé syndicat Teamsters Canada pendant 15 ans;

Honorable Philippe Bélanger (LLB 1988) : juge à la Cour supérieure - division civile - district de Longueuil depuis 2020, a été avocat spécialisé en insolvabilité pendant 30 ans et a été reconnu parmi les meilleurs avocats de son domaine au Québec;

Sylvain Bourassa (LLB 1990) : président du Tribunal administratif du Québec depuis 2020 et juge administratif au sein de ce tribunal depuis 2014;

Honorable François-Philippe Champagne (LLB 1992) : ministre Innovation, science et industrie Canada depuis 2019, a été ministre aff étrangères, infrastructures & secrétaire parlementaire du ministre des finances et a été avocat général de la multinationale ABB;

Mireille Fontaine (LLB 1992) : avocate associée coresponsable des groupes Financement corporatif et Investissements étrangers et croissance internationale chez BCF, classée parmi les meilleurs avocats en financement corporatif selon best lawyers;

Honorable Chantal Châtelain (LLB 1992) : juge à la Cour supérieure - division civile district de Laval depuis 2015, a été associée directrice du bureau de Montréal du cabinet Langlois avocats. Elle a été élue parmi les meilleures plaideuses en litiges civils au cours de sa carrière d'avocate;

Mario Charpentier (LLB 1993) : associé directeur et fondateur et coresponsable du groupe financement corporatif du cabinet BCF Avocats de 1995 à 2019. Il est reconnu parmi les plus éminents jurisites en financement corporatif au Canada en figurant par le prestigieux palmarès Chambers and Partners Québecm a été sélectionné en droit des fusions et acquisitions dans le répertoire Best Lawyers en 2020 reconnu en droit commercial et dans le secteur des sociétés à moyenne capitalisation au sein du palmarès Canadian Legal Lexpert;

Honorable Marie-Claude Armstrong (LLB 1993) : juge à la Cour supérieure - division civile - district de Montréal depuis 2014, a été avocate en droit de la famille chez Lavery, reconnue parmi les meilleurs avocats en droit de la famille au Québec;

Honorable Martin Vauclair (LLB 1994) : juge à la Cour d'appel du Québec depuis 2013, a été juge à la Cour supérieure et Cour du Québec - div criminelle pendant 8 ans, avocat criminaliste pendant 11 ans et ... intervenant en réinsertion sociale des délinquants avant de débuter sa carrière juridique;

Sophie Martin (LLB 1994) : avocate, associée et directrice du cabinet Stein Monast depuis 2021 et avocate spécialisée en droit fiscal des sociétés au sein de ce cabnet depuis 2007;

Pascale Descary (LLB 1992) : coroner en chef du Québec depuis 2018;

Louis Morrisset (LLB 1995) : PDG de l'Autorité des marchés financiers depuis 2013;

Karl Tabbakh (LLB 1996) : associé directeur pour la région du Québec chez McCarthy Tétrault et avocat spécialisé en fusions et acquisitions et capital d'investissement privé et vice-président du conseil de la Chambre de commerce du Canada. Classé par les avocats de premier plan selon Chambers Canada et Lexpert;

Guy Bilodeau (LLB 1998) : syndic du Barreau du Québec depuis 2014;

Yolandes James (LLB 2000) : commentatrice politique à la CBC depuis 2014, a été députée à l'Assemblée nationale du Québec pendant 10 ans dont 5 ans en tant que ministre de l'immigration et des communautés culturelles du Québec;

Philippe-André Tessier (LLB 2000) : président de la Commission de protection des droits de la personne et de la jeunesse du Québec depuis 2019;

Honorable Sophie Lavallée (LLD 2002) : juge à la Cour d'appel du Québec depuis 2020, a été professeure de droit de l'environnement et de l'aménagement du territoire à l'Université Laval pendant 20 ans;

Linda Simard (LLB 2003) : vice-présidente - affaires juridiques du Fonds Solidarité FTQ depuis 2004;

Catherine Ouimet (LLB 2007) : directrice générale du Barreau du Québec depuis 2016;

Marie-Claude Fournier (LLB 2016) : traductrice juridique à son compte, a été avocate et spécialiste en droits humains à la Commission interaméricaine des droits de l'homme, à l’Organisation des États américains pendant 2 ans, a été juriste au Tribunal pénal international pour la Yougoslavie et conseillère juridique pour Avocats sans frontière.

LIENS RECOMMANDÉS :

Les liens sont répertoriées dans les catégories suivantes :

Les Tribunaux :

 

Il existe plusieurs types de tribunaux provinciaux et fédéraux :

 

-       Tribunaux municipaux :

la Cour municipale de Montréal,

la Cour municipale de Québec,

la Cour municipale de Longueuil,

la Cour municipale de Sherbrooke,

la Cour municipale de Trois-Rivières,

la Cour municipale de Sherbrooke (dir aff juridiques et cour municipale),

la Cour municipale de Lévis (dir affaires juridiques et greffe),

la Cour municipale de Saguenay (dir affaires juridiques et greffe),

la Cour municipale de Terrebonne (dir affaires juridiques et greffe),

la Cour municipale de Repentigny

la Cour municipale de St-Jérôme,

la Cour municipale de Châteauguay,

la Cour municipale de Drummondville,

la Cour municipale de Shawinigan,

la Cour municipale de St-Hyacinthe,

la Cour municipale de Ste-Thérèse (serv juridiques),

la Cour municipale de Valleyfield, Cour municipale de Victoriaville,

la Cour municipale et contentieux de Blainville,

la Cour municipale régionale de la MRC Marguerite-d'Youville en Montérégie (dont Ste-Julie et Varennes),

la Cour municipale régionale de la MRC Vaudreuil-Soulanges en Montérégie (dont Vaudreuil-Dorion),

la Cour municipale de Rimouski,

la Cour municipale de Joliette,

la Cour municipale de Rivière-du-Loup,

la Cour municipale d'Alma,

la Cour municipale de la MRC de Val-St-François en Estrie,

la Cour municipale de la MRC de Pierre-de-Saurel en Montérégie (dont Sorel-Tracy)

la Cour municipale de Mont-Tremblant.

 

-       Tribunaux administratifs du Québec :

le Tribunal administratif du Québec entend les recours administratifs concernant les expropriations, les appels des décisions sur les prestations publiques tels la SAAQ, RRQ, IVAC, Aide sociale, etc,

la Commission de l’équité salariale entend les recours relatifs à la loi sur l’équité salariale

la Commission des lésions professionnelles appels des décisions rendues par la CSST,

le Tribunal de la Régie du logement entend les litiges relatifs à la loi sur logement locatif,

la Commission des relations de travail qui remplace le Tribunal du travail (entend les recours relatifs au Code du travail et la loi sur les normes du travail),

la Commission d’accès à l’information entend les litiges concernant la loi sur la protection des renseignements personnels dans le secteur privé et la loi d’accès aux documents des organismes publics,

la Commission québécoise des libération conditionennelles entend les demandes de libération conditionnelle des détenus des centres de détention provinciaux,

le Tribunal des professions entend les appels des décisions en matière d'éthique et de déontologie professionnelle rendues par le comité de discipline d’un ordre professionnel comme le Barreau, le Collège des médecins, l’Ordre des CA, l’Ordre des ingénieurs, l'Ordre des infirmiers, la Chambre des notaires, etc,

le Tribunal québécois des droits de la personne (infractions envers la Charte québécoise des droits et libertés de la personne.

 

-      Tribunaux administratifs canadiens :

la Cour canadienne de l’impôt entend les causes concernant les poursuites civiles et criminelles relatives à la loi canadienne de l’impôt, les appels des décisions rendues par le Gouvernement concernant l’assurance-emploi, la sécurité de la vieillesse, les autres pensions fédérales, etc), la Cour de la citoyenneté canadienne,

le Comité des griefs des Forces canadiennes entend et étudie des griefs du personnel militaire des Forces canadiennes

le Comité externe d'examen de la G.R.C. entend et étudie les griefs provenant des agents et employés civils de la G.R.C.,

la Commission de l'immigration et du statut de réfugié du Canada statue sur les demandes d'asile au Canada et entend les demandes d'appels de décisions de renvoi envers les résidents permanents et réfugiés du Canada,

la Commission des libération conditonnelles du Canada entend les demandes de libération conditonnelle des détenus des pénintenciers fédéraux,

la Commission des relations de travail dans la fonction publique du Canada entend et étudie les griefs provenant des fonctionnaires et employés fédéraux,

le Conseil canadien des relations industrielles qui remplace le Tribunal fédéral du travail entend les litiges reliés au Code canadien du travail pour ceux à l’emploi d’entreprises de juridiction fédérale contre les entreprises de transport maritime, aérien et ferroviaire, les banques, etc,

le Tribunal des anciens combattants entend les appels et demandes de révision des décisions rendues par le Ministère des Anciens Combattants,

le Tribunal de la concurrence entend les causes concernant lese pratiques commerciales douteuses, pratiques de concurrence déloyale, pratiques commerciales dites de monopole, etc,

le Tribunal de la dotation de la fonction publique fédérale est un organisme quasi judiciaire indépendant qui entend les plaintes liées aux nominations internes et aux mises en disponibilité au sein de la fonction publique fédérale,

le Tribunal canadien des droits de la personne entend les causes relatives aux infractions relatives à la Loi canadienne des droits de la personne du Gouvernement du Canada, les sociétés fédérales d’État comme les Postes ou la SRC, les banques, les entreprises de transport aérien, ferroviaire et maritime, entreprises de télécommunications, etc

le Tribunal canadien du commerce extérieur entend les causes relatives à la Loi sur les douanes, la Loi sur les taxes d’accise, les réglements ou lois canadiennes concernant le classement tarifaire, etc.

 

-      Tribunaux judiciaires civils :

la Cour du Québec : (chambre des petites créances) entend les causes concernant les réclamations de moins de 7 000 $ par un particulier, une petite association ou une petite entreprise (qui emploie au plus 5 personnes),

la Cour du Québec : (chambre civile) entend les causes concernant les réclamations par un particulier ou une entreprise individuelle de plus de 7 000 $ et de de moins de 70 000 $, toutes réclamations civiles d'une société de moins de 70 000 $ (sauf les pensions alimentaires et l'impôt fédéral sur le revenu), les dépôts volontaires, les demandes d'examen psychiatrique, les demandes d'homologation de testaments, les poursuites civiles relatives à la Loi sur l'impôt du Québec, les appels des décisions rendues par une cour municipale, les appels de certaines décisions rendues par les tribunaux administratifs du Québec (Tribunal administratif du Québec et Régie du logement),

la Cour supérieure du Québec (division civile) entend des causes où l'on retrouve les cas de divorce, d’adoption, les demandes d'homologation de mandats d'inaptitude (curatelle et tutelle), de recours collectifs, les faillites, les fusions de sociétés, les pensions alimentaires, les réclamations financières de plus de 70 000 $ provenant de particuliers ou de sociétés, les poursuites entre sociétés (ex : concurrrence, marques de commerce, etc), les appels des décisions de la Cour du Québec, les appels de certaines décisions rendues par certains tribunaux administratifs (Tribunal québécois des droits de la personne, Tribunal des professions et Commission des relations de travail), les réclamations contre le Gouvernement du Québec ou l’une de ses sociétés d’État comme Hydro-Québec, Loto-Québec ou la SAQ, etc,

la Cour fédérale du Canada entend des causes où l'on retrouve des cas de poursuites entre sociétés par actions, causes concernant la concurrence, réclamations contre le Gouvernement du Canada ou de l'une de ses sociétés d’État comme Postes Canada ou la SRC, les demandes provenant des communautés autochtones, les dossiers de droit constitutionnel entre le Gouvernement du Canada et le gouvernement d’une province, les appels des décisions rendues par un tribunal administratif fédéral, etc,

la Cour d’appel du Québec entend les appels des décisions civiles rendues par la Cour supérieure du Québec - division civile,

la Cour d’appel fédérale du Canada entend les appels des décisions rendues par la Cour fédérale du Canada,

la Cour suprême du Canada, la plus haute instance judiciaire du pays entend les appels des décisions rendues en matière civile ou criminelle par la Cour d’appel fédérale, la Cour d’appel des cours martiales du Canada et les cours d’appel des provinces dont la Cour d’appel du Québec.

 

-       Tribunaux judiciaires criminels québécois et canadiens :

la Cour du Québec (chambre de la jeunesse) entend toutes les causes concernant les poursuites criminelles et pénales contre les mineurs relatives à la Loi sur jeunes contrevenants (allant du vol jusqu'au meutre), de certains lois fédérales, ainsi que les infractions criminelles relatives aux lois et règlements du Québec et aux règlements municipaux,

la Cour du Québec (chambre criminelle et pénale) qui entend toutes les causes concernant poursuites criminelles contre des adultes devant un juge seul (allant du simple vol, des fraudes, jusqu'à homicide volontaire),

la Cour supérieure du Québec (division juridictions criminelles) entend toutes les causes concernant les poursuites criminelles contre adultes devant juge et jury (généralement pour les infractions majeures comme le trafic de stupéfiants, les agressions sexuelles, les homicides, etc)

Les Cour martiales des Forces candiennes entendent les causes concernant les poursuites criminelles et pénales de militaires du rang et officiers des Forces canadiennes (régulière et réserve) selon la Loi martiale canadienne, le Code d’éthique et de déontologie militaire et le Code criminel canadien,

la Cour d’appel du Québec entend les appels des décisions rendues par la Cour du Québec (chambre criminelle et pénale), la Cour du Québec (chambre de la jeunesse) et la Cour supérieure du Québec (div juridictions criminelles,

la Cour d’appel des cours martiales du Canada entend les appels des décisions rendues par les cours martiales des Forces canadiennes,

la Cour suprême du Canada, la plus instance judiciaire du pays entend les appels des décisions rendues en matière civile ou criminelle par la Cour d’appel fédérale, la Cour d’appel des cours martiales du Canada et les cours d’appels des provinces dont la Cour d’appel du Québec.

 

-       Tribunaux d’autres provinces :

Alberta Appeal Court,
British Columbia Courts,
Law Courts of Newfoundland and Labrador,
Manitoba Court of appeal,
Northwest Territories Courts,
Nova Scotia Court of appeal,
Prince Edouard Island Supreme Court,
Saskatchewan Courts
tribunaux de l’Ontario,

tribunaux du Nouveau-Brunswick,
Yukon Courts

-       Tribunaux américains :

tribunaux aux USA,
U.S. Supreme Court,
United States Court of Federal Claims,
United States Court of International Trades,
United States Tax Court,
U.S. Court of Appeal for the Army Forces,
California Supreme Court,
Colorado State Judicial Branch,
Connecticut Court,
Florida State Courts,
Florida Supreme Court,
Georgia Courts,
Kansas Judicial Branch,
Illinois Courts,
Indiana Court System,
Louisiana Supreme Court,
Maine Judicial Branch,
Michigan Supreme Court,
Maryland Court System,
Massachussets Supreme Court
Missouri Courts,
Nevada Judiciary System,
New-Jersey Supreme Court,
New York City Civil Court,
New-York Court of Appeal
New York State Court of Appeals,
New York State Supreme Court,
New York State Unifed Courts System,
Ohio Judicial System & Supreme Court of Ohio,
Pennsylvania Unified Judicial System,
Superior Court of California, County of LA
Supreme Court of California,
Supreme Court of Georgia,
Supreme Court of Texas,
Texas Courts Online,
Vermont Judiciary,
Virginia Court System,
Washington State Courts,
Wisconsin Courts System

 

-    Tribunaux d'autres pays :

cours suprêmes européennes : répertoire des cours supremes de la plupart des pays européens

Cour de cassation de Belgique : la plus haute instance judiciaire de ce pays

Cour de cassation de France : la plus haute instance judiciaire de ce pays

Federal Court of Justice of Germany (en anglais) : la plus haute instance judiciaire de ce pays

UK Supreme Court : la plus haute instance judiciaire de ce pays

Supreme Court of India (en anglais) : la plus haute instance judiciaire de ce pays

Supreme Court of New-Zeland : la plus haute instance judiciaire de ce pays

Supreme Court of Spain (en anglais) : la plus instance judiciaire de ce pays

Supreme Court of Japan (en anglais) : la plus haute instance judiciaire de ce pays

Supreme Court of Netherlands (en anglais) : la plus haute instance judiciaire de ce pays

Tribunal fédéral de Suisse : la plus haute instance judiciaire de ce pays

Tribunaux en France : répertoire des tribunaux en France

Her Majesty Courts Service : répertoire des tribunaux fédéraux britanniques

Scottish Courts : répertoire des tribunaux en Écosse

Quennsland Courts (Australie) : répertoire des tribunaux de cet état australien

Supreme Court of Australian Capital Territory (tribunal d'État),

Supreme Court of Tasmania (Australie) : répertoire des tribunaux de cet état australien

 

-      Tribunaux internationaux :

Cour internationale de justice entend les différends entre pays concernant une entente ou un traité international comme par exemple la détermination de la propriété d’un territoire ou le non-respect d’une clause; des avis juridiques demandées par des organes de l’ONU comme l’UNICEF,  l’Organisation mondiale de la santé OMS, l’Organisation mondiale du commerce OMC, etc,

Cour pénale internationale entend des poursuites pénales d’envergure internationale telles que
des crimes de génocide, des crimes contre l'humanité et des crimes de guerre,

Cour permanente d'arbitrage : entend les causes concernant des conflits ou litiges relatives aux conventions économiques, politiques ou sociaux entre un ou certains des 107 pays membres,

Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie entend les poursuites criminelles de crimes contre l’humanité concernant spécifiquement l'ex-Yougoslavie

Tribunal pénal international sur le Rwanda entend les poursuites criminelles de crimes contre l’humanité concernant spécifiquement le Rwanda,

Tribunal pénal international spécial pour le Liban entend les poursuites criminelles de crimes contre l’humanité concernant spécifiquement le Liban,

Tribunal international du droit de la mer entend les différends entre pays concernant les juridictions territoriales maritimes, les accords commerciaux en matière maritime et les règlements internationaux de la navigation,

Tribunal de l’Organisation mondiale du commerce entend les différends entre les pays concernant les accords de commerce international,

Tribunal arbitral du sport entend les litiges juridiques internationaux ayant un lien direct ou indirect avec le sport amateur ou professionnel (que ce soit au niveau commercial comme par exemple un contrat de sponsoring ou au niveau disciplinaire comme une affaire de dopage),

Cour européenne des droits de l'homme entend les recours et litiges concernant les traités et ententes entre les pays membres de la CEE au niveau de la Convention européenne des droits de la personne,

Cour de justice de l'Union européenne entend les recours et litiges entre les pays membres de la CEE en ce qui concerne le Droit de l'Union (ou Traité de Lisbonne) qui est la convention entre les pays membres,

Cour européenne de conciliation et d’arbitrage entend des litiges en matières économique et politique entre les pays membres de la CEE, mais aussi de certains autres pays avec les pays européens

 

Organismes gouvernementaux du Canada :

-    Justice Canada

-    Agence du revenu du Canada

-    Affaires étrangères et Commerce international Canada

-         Bureau du surintendant aux faillites (Canada)

-         Cabinet du Juge-Avocat Général des Forces canadiennes

-         Défense Nationale (emplois civils)

-         Conseil canadien de la magistrature

-    Commission du droit du Canada

-    Commission nationale des libérations conditionnelles

-         Commission canadienne des droits de la personne

-    Gendarmerie Royale du Canada GRC

-    Patrimoine Canada (programme de droits de la personne)

-    Service correctionnel du Canada

-    Service Canadien du renseignement de sécurité SCRS

Organismes gouvernementaux du Québec gouvernementaux du Québec :

-         Bureau du Coroner

-         Commissaire à la déontologie policière

-         Commission de la santé et sécurité au travail CSST

-         Commission des lésions professionnelles du Québec

-         Commission des normes du travail du Québec

-         Commission des relations de travail du Québec (anciennement Tribunal du Travail)

-         Commission des services juridiques du Québec

-    Conseil de la magistrature du Québec

-         Curateur public du Québec

-         Directeur de l’état civil du Québec

-         Laboratoire des sciences judiciaires et de médecine légale du Québec

-         Ministère de la Justice du Québec

-         Ministère de la Sécurité publique du Québec

-         Office de la protection du consommateur

-         Protecteur du citoyen du Québec

-         Régie du logement du Québec

 

Organismes juridiques québécois :

 

            -    Association des avocates et avocats de province

            -    Association des avocats en droit familial du Québec

            -    Association des avocats en droit de la défense de Montréal

            -    Association des juristes pour l'avancement de la vie artistique

            -    Association des juristes de l'État

            -    Association du jeune barreau de Montréal

            -    Association professionnelle des notaires du Québec

            -    Association québécoise des avocats en droit de l'immigration

            -    Association québécoise du droit comparé

            -    Association québécoise des avocats de la défense

            -    Avocats sans frontières - section Québec

            -    Barreau du Québec

            -    Chambre des huissiers de justice du Québec

            -    Chambre des notaires du Québec

            -         Institut de médiation et d’arbitrage du Québec : organisme sans but lucratif voué la promotion des méthodes non judiciaires aux conflits

 

           -    Pro Bono Québec : organisme à but non lucratif ayant pour objectif de promouvoir et de coordonner le travail juridique pro bono afin d’apporter une solution aux dossiers à caractère exceptionnel, d’intérêt public ou ceux pour lesquels un tort irréparable pourrait être causé à un citoyen ou à un groupe de citoyens incapables économiquement de faire valoir leurs droits.

 

Autres organismes juridiques canadiens :

-         Association du Barreau canadien

-    Association canadienne des avocats du mouvement syndical

-    Association canadienne des libertés civiles

-    Association canadienne du droit des technologies de l'information

-    Jeunes avocats du Barreau canadien

-         Barreau du Haut-Canada (Ontario)

-    Collège canadien des avocats en droit de la construction

-         Criminal Lawyers Association (en anglais)

-   Association des juristes d'expression française de la Colombie-Britannique

-    Association canadienne des conseillers juridiques d'entreprises

-    Avocats sans frontière Canada

-    Law Society of Alberta (Barreau) en anglais

-    Law Society of British Columbia (Barreau) en anglais

-     Law Societe of Manitoba (Barreau) en anglais

-    Ministère de la Justice du Canada

-    Ontario Trial Lawyer’s Association

-    Service canadien de renseignement criminel (anciennement centre d’information de la Police canadienne)

-    Services correctionnels du Canada

-    Solliciteur Général du Canada

Organismes juridiques américains :

-    National Lawyer’s Association USA en anglais

-    Connecticut Bar Association (Barreau) en anglais

-    Florida Bar Association (Barreau) en anglais

-    Maine State Bar Association (Barreau) en anglais

-    Maryland Bar Association (Barreau) en anglais

-    Massachussetts Bar Association (Barreau) en anglais

-    New Jersey State Bar Association (Barreau) en anglais

-    New York State Bar Association (Barreau) en anglais

-    North Carolina Bar Association (Barreau) en anglais

-    Ohio State Bar Association (Barreau) en anglais

-    Pennsylvania Bar Association (Barreau) en anglais

-    State Bar of California (Barreau) en anglais

-    The District of Columbia Bar (Barreau) en anglais

-    Vermont Bar Association (Barreau) en anglais

-    Virginia Bar Association (Barreau) en anglais

Organismes juridiques étrangers :

-    Barreaux français : répertoires des sites web du barreau de chaque région française

-    British Law Society (en anglais)

-    Ordre français des avocats du Barreau de Bruxelles, Belgique

-    European Bars Associations : répertoire des barreaux  de chacun des pays européens

-    Australian Bar Association (en anglais)

Organismes juridiques internationaux :

-    Association internationale du droit pénal

-    Association internationale des avocats de la défense

-    Commission des Nations Unies pour le droit commercial international

-    Haut-Commissariat de l’ONU pour les droits de l’homme (en anglais)

-    Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (en anglais)

-    International Bar Association

-    Organisation des Nations Unies ONU : infos sur le droit international

-    Organisation internationale du Travail

-    UNICEF

-    Répertoire des sites web des organismes officiels des Nations Unies

Répertoires de cabinets :

Voir aussi les organismes juridiques québécois et organismes juridiques canadiens

-    Barreau du Québec

-    Chambre des notaires du Québec

-    Notarial Plus : répertoire d'études de notaires

-    Réseau juridique du Québec

-    Avocat virtuel

-    Toile du Québec

-    Tout Montréal

-    Canadian Law : répertoire d'avocats partout au pays

Cabinets d'avocats :

(liste non exhautsive des plus grands cabinets à titre informatif seulement selon les informations datant de 2021)

-    DLA Piper : second plus grand cabinet juridique international au monde selon le magazine The Lawyer en 2020 comptant plus de 4 200 avocats situés dans 80 bureaux dans 40 pays et l'un des seuls du top 10 ayant un bureau au Québec. Son bureau de Montréal compte 17 avocats.

-    Border Ladner Gervais BLG : fondé en 1823, il est le plus ancien des grands cabinets actifs au Canada, mais également présent dans quelques autres pays. Il est classé au 1er rang des plus cabinets juridiques au Canada selon LExpert comptant plus de 800 avocats et parmi les 10 plus importants cabinets au Québec avec plus de 150 avocats (dont 65 associés).

-    Fasken : classé second plus grand au Canada en 2020 selon LExpert, mais également présent dans 4 autres pays, comptant plus de 760 avocats. Au Québec, il figurait au 1er rang des plus grands cabinets au Québec en 2021 selon le classement du Journal Les Affaires avec plus de 220 avocats (dont 150 associés).

-    Gowling WLG : classé au 3e rang des plus grands cabinets juridiques au Canada en 2020 (en plus de sa présence dans 8 autres pays) comptant plus de 700 avocats. Au Québec, il figurant au 15e rang en 2021 (au 13e rang en 2020) selon le Journal Les Affaires et comptait plus de 80 avocats (dont une cinquantaine d'associés).

-    Blakes : figurant au 4e rang des plus grands cabinets juridiques du pays en 2020 comptant près de 700 avocats siués dans 4 pays. Au Québec, il figurant au 14e rang en 201 selon le Journal Les Affaires et on y retrouvait environ 80 avocats (dont seulement une trentaine d'associés).

-    McCarthy : classé au 5e rang des plus grands cabinets juridiques au pays selon LExpert en 2020 avec près de 700 avocats (majoritairement au Canada, mais également à Londres). Au Québec, il se classait au 6e rang en 2021 et en 2021 selon le Journal Les Affaires avec plus de 160 avocats (dont plus de 80 associés).

-    Norton Rose Fulbright : ce cabinet juridique international d'originale britannique est classé comme étant le 10e plus grand cabinet juridique au monde selon le magazine The Lawyer, il est classé au 6e rang au pays selon LExpert en 2020 (et présent dans une vingtaine d'autres pays), il comptait plus de 650 avocats. Au Québec, il figurant au 1er rang en 2019 et 2020, mais devenu au second rang en 2021 (derrière Fasken) selon le Journal Les Affaires qui comptait plus de 165 avocats (dont 100 associés).

-    Dentons : cinquième plus grand cabinet juridique au monde en 2020 selon Business Week comptant plus de 10 000 avocats dans plus de 160 pays. Au Canada, il se hisse au 7e rang avec plus de 560 avocats à travers le pays. Au Québec, il se classait au 11e rang en 2021 selon le Journal Les Affaires avec près de 100 avocats (dont une quarantaine d'associés).

-    Miller Thomson : classé au 8e rang des plus grands cabinets au pays en 2020 comptant près de 550 avocats. Au Québec, il se trouve dans le top 20 selon le classement du Jounal Les Affaies en 2021 avec près de 80 avocats (dont 47 associés).

-    Stikeman Elliott : neuvième plus grand cabinet au pays en 2020 selon LExpert comptant plus de 500 avocats (Au Canada, aux USA, en UK et en Australie). Au Québec, il figurant au 9e rang en 2021 (au 7e rang en 2020 et au 6e rang en 2019) selon Le Journal Les Affaires avec plus de 150 avocats (dont 55 associés).

-    Osler Hoskin & Harcourt : dixième plus grand cabinet juridique au pays en 2020 selon LExpert avec près de 500 avocats. Au Québec, moins présent, il comptait une soixantaine d'avocats (dont 27 associés) et se retrouvait dans le top 20 du classement 2021 du Journal Les Affaires.

-    Davis Ward Philips & Vineberg : classé au 14e rang canadien des plus grands cabinets juridiques avec plus de 250 avocats. Au Québec, il se situait au 11e rang en 2021 (au 12e rang en 2020) avec près de 100 avocats (dont une cinquantaine d'associés).

-   Cain Lamarre : se classant dans le top 25 des plus grands cabinets juridiques au pays en 2020 selon LExpert comptant plus de 200 avocats majoritairement situés au Québec (dont 94 associés), ce qui le classe au 3e rang des plus grands cabinets juridiques du Québec en 2021 selon le Journal Les Affaires (derrière Fasken et Norton Rose).

-    Lavery : se classant dans le top 25 des plus grands cabinets juridiques au pays en 2020 selon LExpert comptant plus de 175 avocats. Au Québec, il se classait au 4e rang en 2019, 2020 et 2021 et au 2e rang des cabinets régionaux indépendants au Québec en 2020, selon le Journal Les Affaires avec plus de 130 avocats (dont 96 associés).

-    BCF Avocats : le plus important cabinet juridique d'origine québécoise fondée se classant dans le top 25 des plus grands cabinets juridiques au pays en 2020 selon LExpert cxomptant plus de 170 avocats. Au Québec, il se hisse au 5e rang en 2021 (3e rang en 2019 et 2020) et au 3e rang des cabinets régionaux indépendants au Québec en 2020, avec plus de 170 avocats (dont 99 associés).

-    Groupe TCJ (Therrien Couture Joli-Coeur) : le second plus important cabinet juridique d'origine québécoise se classant dans le top 25 des plus grands cabinets juridiques au pays en 2020 selon LExpert cxomptant plus de 170 avocats. Au Québec, il se hisse au 8e rang en 2021 (était au 9e rang en 2020 et au 16e rang en 2019) avec près de 120 avocats (dont 40 associés).

-    Langlois Avocats : le troisième plus important cabinet juridique d'origine québécoise se classant dans le top 30 des plus grands cabinets juridiques au pays en 2020 selon LExpert et au 10e rang selon le classement du Journal Les Affaires en 2021 et 2020 (était au 9e rang en 2019) et au 1er rang des cabinets régionaux indépendants au Québec en 2020,, comptait une centaine d'avocats (dont près de 70 associés) tous situés au Québec.

-    Dunton Rainville : l'un des plus importants cabinets d'avocats au Québec se classant au 12e rang en 2021 (était au 11e rang en 2019 et 2020) et au 6e rang des cabinets régionaux indépendants au Québec en 2020, selon le Journal Les Affaires et dans le top 50 au pays selon LExpert 2020, il comptait plus d'une centaine d'avocats (dont 40 associés).

-    RSS Robinson Sheppard Shapiro : comptant plus de 90 avocats (dont une cinquantaine d'associés), ce cabinet québécois de taille moyenne se classe au 19e rang en 2021 (était au 18e rang en 2019 et 2020) et au 8e rang des cabinets régionaux indépendants au Québec en 2020, selon le Journal Les Affaires.

-    ROBIC : l'un des plus anciens cabinets juridiques d'origine québécoise fondée en 1892, le 16e plus grand cabinet juridique au Québec en 2021  (était au 17e rang en 2019 et 2020) selon le Journal Les Affaires est également le 4e plus important déposant de marques de commerce au Canada comptait une trentaine d'avocats (en plus de ses nombreux autres professionnels agents de brevets).

-    Stein Monast : comptant plus de 70 avocats (dont une quarantaine d'associés), ce cabinet juridique québécois se classe dans le top 25 selon le classement 2021 et 2021 des plus grands cabinets juridiques au Québec et au 7e rang des cabinets régionaux indépendants au Québec en 2020, selon le Journal Les Affaires.

-    Morency Avocats : l'un des plus importants cabinets d'avocats de la région de Québec, mais aussi présent à Montréal, en Montérégie et en Chaudière-Appalaches, il se classait dans le top 25 des grands cabinets juridiques au Québec en 2019, 2020 et 2021 selon le Journal Les Affaires. Il comptait plus de 70 avocats (dont 26 associés).

-    Bélanger Sauvé : comptant une cinquantaine d'avocats (dont 29 associés), ce cabinet se classe dans le top 25 des plus importants cabinets juridiques au Québec et au 9e rang des cabinets régionaux indépendants au Québec en 2020, selon le Journal Les Affaires.

-    Lapointe Rosenstein Marchand Melançon : comptant plus de 70 d'avocats (dont 40 associés), ce cabinet se classe dans le top 25 des plus importants cabinets juridiques au Québec et au 10e rang des cabinets régionaux indépendants au Québec en 2020, selon le Journal Les Affaires.

-    Clyde & Cie Canada : comptant près de 200 avocats dans 15 bureaux situés dans 5 pays figurant dans le top 30 au Québec, ce cabinet juridique international comptait une cinquantaine d'avocats (dont 35 associés) à son bureau de Montréal

-    Spiegel Sohmer : comptant une cinquantaine d'avocats (dont 16 associés), ce cabinet se classe dans le top 25 des plus importants cabinets juridiques au Québec selon le Journal Les Affaires.

-    PFD Avocats : :comptant une cinquantaine d'avocats (dont 17 associés), ce cabinet se classe dans le top 25 des plus importants cabinets juridiques au Québec selon le Journal Les Affaires.

-    LJT Avocats : comptant une quarantaine d'avocats (dont 18 associés), ce cabinet se classe dans le top 25 des plus importants cabinets juridiques au Québec depuis 2021 selon le Journal Les Affaires.

-    McMillan : figurant dans le top 50 des plus grands cabinets juridiques canadiens comptant plus de 260 avocats selon LExpert, il ne compte toutefois qu'une trentaine d'avocats son bureau de Montréal.

-    De Grandpré Chait : comptant une trentaine d'avocats associés, ce cabinet se classe dans le top 25 des plus importants cabinets juridiques au Québec et au 5e rang des cabinets régionaux indépendants au Québec en 2020, selon le Journal Les Affaires.

-    Woods : reconnu comme étant le meilleur cabinet en litiges, arbitrage et d'insolvabilité de Montréal comptant 36 avocats.

-    Alepin Gauthier : figurant parmi les meilleurs cabinets juridiques au Québec et le plus important cabinet lavallois, reconnu un comme un leader dans le domaine du droit de la franchine au Canada comptant 31 avocats.

-    Poudrier Bradet : l'un des plus importants cabinets juridiques entièrement spécialisés en droit du travail au Québec comptant 23 avocats.

-    Ratelle : l'un des plus importants cabinets juridiques indépendants de Lanaudière situé à Repentigny et Joliette comptant 24 avocats.

-    Fortier, D'Amour, Goyette : situé à Longueuil, le plus important cabinet juridique en Montérégie et figurait dans le top 30 au Québec jusqu'en 2019, compte 19 avocats dont 5 associés.

-    Tremblay Boies : l'un des plus importants cabinets juridiques indépendants de la région de Québec comptant 44 avocats.

-    Doyon Avocats : l'un des plus importants cabinets d'avocats criminalistes de la région de Québec comptant 11 avocats.

-    Simard Boivin Lemieux : l'un des plus importants cabinets juridiques indépendants du Saguenay-Lac-Saint-Jean comptant 39 avocats.

-    Bernard & Bernard avocats d'affaires : l'un des plus importants cabinets juridiques indépendant de la Montérégie situé à Longueuil comptant 17 avocats.

-    Letellier Gosselin Duclos : l'un des plus importants cabinets juridiques indépendants de l'Outaouais situé à Gatineau comptant 11 avocats.

-    Delorme LeBel Bureau Savoie :  l'un des plus importants cabinets juridiques indépendants de l'Estrie situé à Sherbrooke comptant 10 avocats.

-    Lambert Therrien : l'un des plus importants cabinets juridiques indépendants de la Mauricie situé à Trois-Rivières comptant 10 avocats.

-    Blanchet & Associés : l'un des plus importants cabinets juridiques indépendants de la Montérégie situé à Beloeil comptant 9 avocats.

-    LGR Avocats : l'un des plus importants cabinets juridiques des Laurentides situé à Saint-Jérôme comptant 8 avocats.

-    Cliche Avocats : l'un des plus importants cabinets juridiques indépendants de l'Abitibi-Témiscamingue situé à Val-d'Or comptant 8 avocats.

-    Castonguay avocats : l'un des plus importants cabinets juridiques indépendants du Bas-Saint-Laurent comptant 6 avocats.

Autres liens :

-         Annuaire du droit familial au Québec

-    Avocats sans frontières Canada

-         Charte canadienne des droits et libertés

-         Code civil du Québec

-         Code criminel canadien

-         Droits des enfants : site d’infos en droit de la jeunesse

-         Éducaloi : organisme voué à l’éducation juridique de la population

-         Juriscom.net : site juridique dédié aux droits des technologies de l’information

-         Obiter2 : répertoire de liens québécois du domaine du droit

-         Parc JuriSites : répertoire de ressources dans le domaine du droit au Canada

-         Portail du droit : portail mondial francophone en droit

-    Réseau juridique du Québec : portail québécois sur le droit

-    Village de la Justice : Carrefour Internet d’infos en droit (France)

-    Vos droits.ca : portail canadien en droit

 

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