Retour à la page du secteur santé

Retour à la page du secteur électrotechnique
Retour à la page d’accueil

 

 

SECTEURS : ELECTROTECHNIQUE

NIVEAU D’ÉTUDES : ENSEIGNEMENT UNIVERSITAIRE

 

INGÉNIEUR(E) BIOMÉDICAL(E)

BACCALAURÉAT SPÉCIALISÉ B.ing

Maîtrise M.ing ou M.Sc.A

 

Consulte également la page d’informations sur les programmes pré-universitaires en sciences

 

Voir aussi le métier de technologue en génie biomédical

 

Va voir également la section « liens recommandés » à la fin de cette page (dont des vidéos d'ingénieurs biomédicaux qui parlent de leur travail).

 

TÂCHES ET RESPONSABILITÉS :

 

En tant qu’ingénieure ou ingénieur en biomédical; tu seras responsable de fournir du soutien scientifique et technologique aux utilisateurs des technologies de la santé, ainsi qu'aux gestionnaires des organisations dispensant des soins de santé.

 

Tu auras pour tâches de :

Au sein des manufacturiers d'équipements médicaux, tu seras responsable d’élaborer et de concevoir des appareils, des équipements et des instruments servant aux diagnostics, à la surveillance des fonctions physiologiques, aux traitements médicaux, à l'assistance chirurgicale ou à la réadaptation dans les établissements de santé. Tu pourras notamment être appelé(e) à concevoir par exemple : des systèmes de radiologie et autres appareils d’imagerie médicale, des systèmes d'imagerie par résonnance magnétique, , des stimulateurs cardiaques, des équipements de réadaptation   appareils d’ophtalmologie, des instruments chirurgicaux, des applications informatiques spécialisées pour le domaine médical, des équipements de fabrication de produits pharmaceutiques, etc. Tu pourras aussi être appelé(e) à concevoir des cœurs artificiels et divers types d’orthèses ou de prothèses orthopédiques. Enfin, tu seras responsable de gérer des opérations de production, d’assurer la qualité des produits et de coordonner les ressources humaines en production, ainsi que les ressources matérielles et financières nécessaires pour réaliser ces activités.

  

Au sein des établissements de santé; tu seras responsable de coordonner et de gérer les ressources technologiques et du personnel affecté à l'achat, à l'installation et à la maintenance des appareils, des équipements et systèmes médicaux que l’on retrouve dans un hôpital. Tu seras aussi chargé(e) d'élaborer des programmes de maintenance préventive, des programmes de gestion et de prévention des risques biologiques, radiologiques ou nucléaires et autres risques à la santé et sécurité du personnel et des usagers des systèmes et des programmes de formation continue destinés au personnel de maintenance ou au personnel technologique chargé d'utiliser ces systèmes.

 

Au sein des organismes de recherche; tu seras responsable de réaliser des recherches poussées dans un domaine spécifique du génie biomédical visant à mieux comprendre les effets et les réactions du corps lors des anomalies du mouvement des activités électriques du cerveau, des articulations, du travail musculaire, etc. Tu travailleras avec la collaboration d’autres chercheurs et avec des médecins afin de développer des outils ou des méthodes de traitement appropriés pour des blessures ou des maladies d’ordre musculaires, articulatoires, circulatoires (sang), squelettiques ou autres.

 

Tu pourras réaliser des recherches telles que : étudier les mouvements de l’articulation du genou par la modélisation 3D pour mieux traiter les blessures à cette articulation, étudier les mouvements de la colonne vertébrale par la modélisation 3D pour mieux comprendre les blessures et déformations au dos, études des mouvements du tronc humain par la modélisation 3D pour mieux comprendre et traiter les déformations musculaires ou squelettiques, la simulation par électrocardiogramme sur l’étude des réactions cœur-thorax pour mieux comprendre et traiter les arythmies et les maladies du système nerveux autonome, études  et modélisation 3D de l’écoulement sanguin dans les artères coronaires pour mieux traiter les maladies coronariennes, analyse la dynamique de la transition assis-debout chez personnes âgées, etc.

 

APTITUDES ET QUALITÉS REQUISES :

 

-         Être attiré(e) par les technologies qui nous entourent

-         Aptitudes pour les mathématiques, les sciences, l'informatique et la recherche

-         Aptitudes pour le dessin technique et capacité de lire des plans d'assemblage

-    Capacité d’analyse et de synthèse et sens logique pour analyser un problème de fabrication ou de conception et tenter de le résoudre

-         Bonne méthode de travail et gestion du temps car tu auras à planifier efficacement et de façon optimale les activités de production

-        Curiosité scientifique, sens logique et capacité de déduction car tu devras être à l'affut des nouveaux développements scientifiques et des nouvelles technologies

-         Sens des responsabilités car tu responsable de gérer la maintance des systèmes (en milieu hospitalier) ou de gérer toutes les opérations de fabrication ou conception en industrie

-    Autonomie, débrouillardise et flexibilité car tu seras parfois seul(e) pour exécuter certaines tâches et résoudre différents problèmes

-         Sens de l’initiative car tu devras prendre des décisions seul(e) lorsqu’il y a des problèmes

-         Facilité à travailler en équipe et leadership pour réussir à réaliser de façon efficace des projets, tu devras collaborer avec des techniciens et d’autres ingénieurs, des médecins, des chercheurs en médecine et autres professionnels de la santé

-   Très bonne connaissance maîtrise de la langue langue française parlée et écrite afin d'expliquer et communiquer clairement et de façon professionnelle au sein d'une équipe de projets et pour rédiger des rapports techniques de qualité

-     Bonne connaissance de la langue langue anglaise  afin d'expliquer et communiquer clairement et de façon professionnelle au sein d'une équipe de projets et pour rédiger des rapports techniques de qualité et de plus, la plupart des manuels et publications spécialisés sont dans cette langue

PROFESSIONS APPARENTÉES :

-    Chargé(e) de projet (avec de l’expérience)

-         Chercheur(e) en génie biomédical

-    Concepteur(trice) d'équipements

-    Gestionnaire de parc d'équipements médicaux

-    Ingénieur(e) de maintenance biomédicale

-    Ingénieur(e) en biomécanique

-    Ingénieur(e) en génie biomédical clinique

-    Ingénieur(e) en qualité

-    Ingénieur(e) en recherche et développement

-         Professeur(e) d’université en génie 

EMPLOYEURS POTENTIELS :

-         Centres de réadaptation

-         Entreprises de logiciels qui conçoient des applications médicales

-         Entreprises de recherche médicale

-         Hôpitaux

-         Industries biomédicales

-         Industries de l’électronique qui fabriquent des composantes pour appareils médicaux

-         Industries mécaniques qui fabriquent des composantes pour équipements hospitaliers

-         Industries pharmaceutiques

-         Laboratoires de fabrication d’orthèses et prothèses

-       Gouvernement du Canada : carrières en sciences et technologies, Conseil national de recherches Canada, Santé Canada (évaluation des technologies médicales)

-         Universités ((consulte la page suivante pour avoir une liste des organismes de reccherche dans le domaine du génie biomédical), dont :

 Groupe de recherche en sciences et technologies biomédicales de Polytechnique, Laboratoire de biophotonique et d'opto-électronique de Sherbrooke,
 Groupe de recherche sur la performance et la sécurité de l'Homme de Sherbrooke, Laboratoire de recherche en imagerie et orthopédie de l'ÉTS
 Centre de recherche sur le vieillissement de l'Université de Sherbrooke, Groupe de recherche sur les déformations musculo-squelettiques de Polytechnique,
 Centre interdisciplinaire de recherche en réadaptation et intégration sociale de Québec, Laboratoire de biorhéologie et d'ultrasonographie médicale,
 Groupe de Recherche en Appareillage Médical de Sherbrooke, Centre de recherche de l'Institut de cardiologie de Montréal,
 Centre de recherche de l'Institut universitaire de gériatrie de Montréal, McConnel brain imaging Centre de Mcgill,
 Centre interdisciplinaire de recherche en réadaptation du Montréal Métropolitain, Centre de recherche du CHU Ste-Justine

PERMIS DE PRATIQUE :

 

Au Québec, Pour pratiquer la profession d’ingénieur(e); tu dois obligatoirement devenir membre de l’Ordre des ingénieurs du Québec. Cette profession est régie par une loi et un code de déontologie qui ne permet qu’aux détenteurs de ce titre de pratiquer dans le domaine.

 

À partir du 1er avril 2022, le programme de juniorat sera aboli et les titres d’ingénieur junior et d’ingénieur stagiaire ne seront plus reconnus. Ce qui veut dire que vous ne pourrez plus vous réinscrire au tableau comme membre junior ou stagiaire.

 

Il sera remplacé par le programme de Candidat(e) à la profession d'ingénieur CPI

 

Après avoir complété tes études universitaires en génie, tu devras compléter le Programme de candidat(e) à la profession d'ingénieur ET

acquérir une expérience professionnelle rémunérée en milieu professionnel sous la supervision d’un(e) ingénieur(e) senior(e) expérimenté(e).

 

Par la suite, tu auras à subir l'examen professionnel et sa réussite te permettra d’obtenir le permis d’ingénieur(e).

 

Voici un tableau démontrant la comparaison entre l'ancien programme de juniorat et le nouveau programme de CPI :

 


Juniorat Programme CPI
Titre
  • Ingénieur junior (ing. jr)
  • Ingénieur stagiaire (ing. stag.)
  • Candidat à la profession d’ingénieur (CPI)
Durée de l’expérience pratique

36 mois, dont 12 mois canadiens, avec possibilité d’équivalences et crédits.

24 mois, en plus de l’atteinte des compétences requises, avec possibilité d’équivalences et crédits

Limite de temps

Aucune

(Jusqu’au 31 mars 2022)

5 ans pour réussir le programme d’accès à la profession

Parrainage

Parrainage facultatif

Accompagnement intégré dans le rôle du superviseur

Certification de l’expérience

Expérience certifiée par 2 ingénieurs

Expérience certifiée par 1 ingénieur (le superviseur)

Examen professionnel

Réussite de l’examen professionnel

Formation en ligne (près de 30 heures) + réussite de l’examen professionnel

Toutefois, des crédits d'expérience peuvent être accordés pour un stage rémunéré ou non rémunéré d'au moins 4 mois réalisé au cours des études universitaires en génie, voir la page suivante.

 

Des crédits d'expérience peuvent aussi être accordés pour études supérieures complétées dans un programme de maîtrise en génie, voir la page suivante.

 

EXIGENCES DES EMPLOYEURS :

 

-        Connaissance de l’anglais (bilinguisme souvent exigé)

-    Excellente maîtrise de la langue francaise parlée et écrite

-        Facilité d’adaptation aux nombreux changements technologiques

-        Bonne maîtrise de l'informatique connaissance de plusieurs logiciels spécialisés en ingénierie (CAO, DAO, FAO) et dans le domaine biomédical

PLACEMENT :

 

Selon les données disponibles au 31 Janvier 2021 :

 

Pour le Baccalauréat en génie biomédical :

Le placement est TRÈS BON, 88 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la presque totalité sont à temps complet.

Plusieurs répondants(es), soit 24 % ont choisi de poursuivre leurs études au niveau de la maîtrise en génie biomédical.

NOMBRE DE  RÉPONDANTS

NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ

NOMBRE À TEMPS COMPLET

NOMBRE
 AUX
ÉTUDES

34 23 22 8

Note 1 : hausse du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 70 % en 2019; 47 % en 2017; 73 % en 2015 et 72 % en 2013).

Note 2 : baisse du nombre de répondants(es) poursuivant des études supérieures (était de 17 % en 2019; 42 % en 2017; 44 % en 2015 et 24 % en 2013).

Pour la Maîtrise en génie biomédical :

 

Le placement est bon, 63 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la presque totalité sont à temps complet.

 

La moitié des épondants(es), soit 50 % ont choisi de poursuivre leurs études au niveau du doctorat.

 

NOMBRE DE  RÉPONDANTS

NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ

NOMBRE À TEMPS COMPLET

NOMBRE
 AUX
ÉTUDES

16 5 5 8

 

Note 1  baisse du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 71 % en 2019; 57 % en 2017; 72 % en 2015 et 61 % en 2013).

Note 2 : hausse du nombre de répondants(es) poursuivant des études au doctorat par rapport aux années précédentes (était de 23 % en 2019; 9 % en 2017; 28 % en 2015 et 14 % en 2013).

Sources : Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec

SALAIRE :

 

Selon les données de 2022 :

 

Le salaire moyen en début de carrière était de :

-         27,46 $/heure (35 hres/sem) en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 29,59 $/heure en tant qu'ingénieur(e) en milieu hospitalier

-        30,25 $/heure (35 ou 40 hres/sem) en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 33,28 $/heure en tant qu'ingénieur(e) au seindes PME

-         30,92 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 39,97 $/heure en tant qu'ingénieur(e) au sein des grandes sociétés de génie conseil

 -    31,23 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 42,65 $/heure en tant qu'ingénieur(e) au sein des grands manufacturiers de matériel électronique

-         36,59 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 40,54 $/heure en tant qu'ingénieur(e)  dans la fonction publique fédérale 

-    5 521 $/mois en tant qu’officier des sciences biologiques (pendant le préceptorat de 12 à 24 mois, selon la formation, l'expérience et les compétences) et ensuite augmente à 6 999 $/mois (grade de capitaine/lieutenant de vaisseau) au sein des Forces canadiennes (Force régulière)

Note 1 : hausse de la moyenne salariale au sein des PME avec le Bacc par rapport aux années précédentes (était de 27,46 $ en 2019; 27,68 $ en 2017; 25,41 $ en 2015 et 22,98 $ en 2013).

Note 2 : Dans les secteurs public et parapublic, les augmentations sont établies par les conventions collectives.

Sources : Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec, École Polytechnique, Conseil du trésor du Québec, Commission de la fonction publique du Canada, Forces canadiennes et Réseau des ingénieurs du Québec.

PORTRAIT DE LA PROFESSION :  

Selon l'Ordre des ingénieurs du Québec; il y avait près de 53 800 ingénieurses et ingénieurs en exercice- toutes spécialités confondues dans l'ensemble des régions du Québec au 31 mars 2022
(soit 5 940 de plus qu'en 2020; 8 508 de plus qu'en 2018; 9 993 de plus qu'en 2016 et 10 700 de plus qu'en 2014)
.

Les candidats(es) à la profession d'ingénieur(e) :

Au 31 mars 2022, il y avait près de 12 200 ingénieurs(es)  juniors, maintenant appelés "candidats-es à la profession d'ingénieur" (dont 2 074 femmes).
(soit 904 de plus qu'en 2020; 1 091 de moins qu'en 2018 et 308 de moins qu'en 2016).

De ce nombre, on y comptait 226 nouvelles candidates et nouveaux candidats (dont 39 femmes) ont été accueillis au cours de cette année.

Profession en majorité masculine, puisqu'ils représentaient 83 % des membres, alors que les femmes ne représentaient que 17 %.

C'est la seconde profession libérale ayant la plus faible proportion de femmes (derrière les arpenteurs-géomètres avec 15 %)

Une hausse du nombre de femmes dans les cohortes étudiantes des universités québécoises laissent prévoir que près du quart des ingénieurs seront des femems au cours des prochaines années.

L'âge moyen était de 29 ans.

Plus de 94 % avaient le français comme langue première au travail et 6 % avaient l'anglais.

Près de 35 % des personnes récemment diplômées en génie étaient issues de l'immigration.

Les ingénieurs(es)

De ce nombre, 1 249 personnes (dont 258 femmes) ont obtenu le titre "ingénieur-e" au cours de cette année.
(soit 1 995 de moins qu'en 2018; 807 de moins qu'en 2016 et 1 438 de moins qu'en 2014)..

Parmi ceux-ci, 854 ont obternu leur diplôme d'ingénieur à l'étranger.

Plus de 93 % avaient le français comme langue première au travail et 7 % avaient l'anglais.

La profession a également accueilli 27 nouveaux candidats(es) à la profession d'ingénieur(e) et plus de 600 nouveaux ingénieurs(es) diplômés(es) en ingénierie d'universités étrangères dont 440 détenant un permis restrictif selon l'entente France-Québec.

Plus de 85 % des membres de cett profession étaient des hommes, mais pourrait accueillir davantage de femmes.

Par contre, la tendance est une hausse de la féminisation de la profession, puisqu'elles représentaient 13 % en 2012; 14 % en 2014; 14 % en 2015; 15 % en 2018; alors qu'en 2018, plus de 15 % des ingénieurs étaient des femmes.

Plus de 17 % des ingénieurs(es) étaient issus de l'immigration.
(en comparaison avec l'Ontario qui était de 51 %., la BC qui était de 41 % et la moyenne canadienne qui était de 40 %).

Toutefois, ce sont 24 % des immigrants qui ont choisis la profession d'ingénieur(e).

Plus de 97 % occupaient un poste à temps complet.

Près de 9 % étaient des travailleurs(euses) autonomes.

Autre fait intéressant, il y avait près de 3 200 ingénieurs(es) membres de l'Ordre des ingénieurs du Québec qui exerçaient à l'étranger (USA, France, UK, Allemagne, Espagne, Chine, Japon et bien d'autres...).

L'âge moyen d'un(e) ingénieur(e) était de 44 ans.

La répartition des ingénieurs(es) selon leur âge était :

La répartition des ingénieurs(es) selon leur niveau de scolarité était :

La répartition des ingéneiurs(es) selon la spécialité était :

La répartition des ingénieurs(es) - toutes spécialités confondues selon le type d'employeur était :

Selon Emploi-Québec; il y avait plus de 600 ingénieurs(es) biomédicaux en Àu Québec en 2022.

Plus de 76 % étaient des hommes, alors que les femmes représentaient 24 %.

C'est LA spécialité du génie qui est composée du plus grand nombre de femmes, puisque la moyenne des spécialités était de 15 %.

Plus de 57 % des membres de la profession étaient âgés de moins de 45 ans.

Plus de 96 % occupaient un poste à temps complet.

La répartition selon le type d'employeurs était :

PERSPECTIVES D’AVENIR :

 Les tendances démographiques est l'une des tendances qui aura le plus impact sur la pratiquie du génie dans le secteur biomédical au cours des prochaines années.

 En effert, le nombre de personnes âgées de 65 ans et plus augmentera de +562 900 personnes entre 2020 et 2030 au Québec, tandis que le nombre de personnes
âgées de 85 ans et plus s’accroîtra de + 102 000 personnes. Cette tendance démographique aura un impact majeur dans plusieurs pans de la société et de l’économie. Les services de santé devront faire preuve de créativité et de souplesse pour répondre à une demande sans cesse croissante avec des ressources limitées.

Les services de santé devront faire preuve de créativité  et de souplesse pour répondre à une demande sans cesse croissante  avec des ressources limitées. Les compétences des professionnels en  génie seront mises à contribution afin d’accroître la productivité et l’agilité du système.

Des ingénieurs(nes) mécanciens(nes)  seront recherchés sur le  développement et la fabrication de technologies et d’équipements facilitant la vie des  personnes âgées dans leur domicile. Le désir des personnes âgées de demeurer le plus  longtemps à domicile s’intensifie depuis quelques années, et la pandémie COVID-19  risque d’amplifier cette tendance.

Grâce au développement de nouvelles technologies dans le secteur de la santé et l’augmentation du niveau de complexité des équipements, les établissements hospitaliers ont davantage besoin d’ingénieurs biomédicaux.

Selon l'Ordre des ingénieurs du Québec; plus de 40 % des ingénieurs biomédicaux prendront leur retraite au cours des prochaines années et devront être remplacés.

La majorité des ingénieurs(es) biomédicaux travaillant dans le réseau de la santé sont principalement au sein des établissements hospitaliers universitaires et de certains centres intégrés de santé et de services sociaux CISSS de l'extérieur des grands centres.

Plusieurs petits établissements de santé n'ayant pas les ressources nécessaires pour avoir un ingénieur biomédical, ils font affaires avec une société de génie conseil qui emploient de plus en plus d'ingénieurs(es) biomédicaux.

Pour toutes ces raisons, les perspectives d’emploi pour les prochaines années semblent bonnes.

Voici les perspectives par régions :

Montréal : avec la présence des nombreux hôpitaux universitaires, affiliés universitaires et instituts spécialisés de santé; pas surprenant que la majorité des ingénieurs biomédicaux œuvrent dans cette région.

Les établissements hospitaliers (CUSM, CHUM, CHU Sainte-Justine, Institut de cardiologie de Montréal, CIUSSS du Nord-de-l'Île-Hôpital du Sacré-Coeur, le CIUSSS de l'Ouest-de-l'Île-Hôpital Général juif, CIUSSS de l'Est-de-l'Île-Hôpital Maisonneuve-Rosemont et Institut de réadaptation de Montréal) emploient la plus forte proportion d'ingénieurs(es) biomédicaux, soit plus de 45 %;

Toutefois, les firmes de génie conseil emploient un nombre important d'ingénieurs(es) biomédicaux;

Alors que les centres de recherche hospitaliers, les entreprises pharmaceutiques, les entreprises agroalimentaires et les matériels de matériel médical se partagent quelques dizaines de ces professionnels(les).

Montérégie : la majorité des ingénieurs biomédicaux sont à l'emploi de l'un des 3 centres intégrés de santé et services sociaux CISSS de la région (principalement à l'Hôpital Charles Lemoyne, Hôpital Pierre-Boucher et Centre montérégien de réadaptation).

Toutefois, on y retrouve de nombreux établissements de santé dans cette région, mais la plupart n'ont pas le budget et les ressources nécessaires pour avoir un ingénieur biomédical à leur À permanence.

Donc, ce sont les firmes de génie conseil qui fournissent des services de génie biomédical à ces établissements;

Enfin, les entreprises pharmaceutiques, les manufacturiers de matériel électronique biomédical, les manufacturiers d'équipements de réadaptation et même certaines entreprises agroalimentaires emploient quelques ingénieurs(es).

Capitale Nationale et Chaudière-Appalaches : les ingénieurs(es) biomédicaux sont surtout à l'emploi des établissements de santé (CHU de Québec, CIUSSS de la Capitale Nationale-Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec et Institut de réadaptation en déficience physique de Québec IRDPQ).

Estrie : les quelques dizaines d'ingénieurs(es) biomédicaux sont à l'emploi du CIUSSS Estrie-CHUS.

La rémunération moyenne après expérience en 2022...

Le salaire annuel moyen d'un(e) ingénieur(e) biomédical détenant 10 années d'expérience au sein d'une PME était de 68 000 $.

Le salaire annuel moyen d'un(e) ingénieur(e) biomédical détenant 10 années d'expérience au sein du réseau de la santé était de 91 700 $.

Le salaire annuel moyen d'un(e) ingénieur(e) biomédical détenant 10 années d'expérience au sein d'un grand manufacturier de matériel mécanique biomédical était de 105 000 $.

Le salaire annuel moyen d'un(e) ingénieur(e) biomédical détenant 10 années d'expérience au sein d'un grand manufacturier de matériel électronique biomédical était de 107 600 $.

LE PROGRAMME D’ÉTUDES :

  

Le Baccalauréat spécialisé en génie biomédical B.ing a une durée totale de 4 ans offert à temps complet seulement. C'est un programme exclusif au Québec  qui couvre des connaissances scientifiques et technologiques spécialisées en biochimie, en biologie cellulaire et moléculaire, en physiologie, en mathématiques, en physique, en chimie, en informatique et en génie.

 

Plusieurs établissements hospitaliers universitaires (CHUM, CHU Ste-Justine, Hôpital Maisonneuve-Roseront, Hôpital du Sacré-Cœur), centres de réadaptation (Institut de réadaptation Gingras-Lindsay de Montréal, Hôpital de réadaptation Marie-Enfant, Institut Raymond-Dewar pour les malentendants et Institut Nazareth-et-Louis-Braille) et plusieurs manufacturiers importants d'équipements médicaux (Medtronic, Essilor Canada, etc) sont parmi les partenaires de ce programme.

 

Au cours de la 1re année, tu acquerras des connaissances dans les disciplines fondamentales nécessaires au génie tels que : mathématiques, physique, informatique, santé et sécurité au travail, ainsi que des connaissances fondamentales (biochimie, biologie cellulaire et moléculaire) et de base en génie biomédical. Tu auras les cours obligatoires suivants : calcul 1, algèbre linéaire, biochimie pour ingénieurs (théorie + labo), mécanique pour ingénieurs (théorie + labo), programmation pour ingénieurs (théorie + labo), calcul 2, équations différentielles, biologie cellulaire et moléculaire pour ingénieurs (théorie + labo), circuits électriques (théorie + labo) et projet intégrateur en génie biomédical 1 : projets et travail en équipe en génie biomédical (réalisation en équipe d'un projet concret simple en génie biomédical);

 

Au cours de la 2e année, tu approfondiras les connaissances fondamentales et de base nécessaires au génie biomédical, tu apprendras les bases physiologiques et les fonctions des principaux systèmes du corps humain et tu seras initié(e) à la conception en génie biomédical, ainsi qu'au milieu industriel. Tu auras les cours obligatoires suivants : probabilités et statistique, champs électromagnétiques, physiologie, systèmes et technologie (notions de physiologie des cardiovasculaire, respiratoire, neuromusculaire, auditif, visuel et rénal), instrumentation et mesure biomédicales, mécanique des milieux continus, biomécanique (théorie + labo), thermodynamique statistique biomoléculaire (théorie + labo), réglementation et normes des instruments médicaux, projet intégrateur en génie biomédical 2 : projets d'instrumentation biomédicale (conception d'un prototype d'instrument biomédical destiné à recueillir et analyser des signaux physiologiques), ainsi que le stage industriel (expérience professionnelle rémunéré de 4 mois consécutifs à temps complet en industrie au cours du trimestre d'été);

 

Au cours de la 3e année, tu apprendras des notions théoriques et pratiques de la physique médicale et de la biologie médicale appliquées au génie biomédical, les applications des différentes technologies médicales, les méthodes de conception et de réalisation d'un projet et tu seras initié(e) à la conception réelle d'un outil biomédical par la réalisation d'un projet individuel. Tu auras les cours obligatoires suivants : biomatériaux, physique moderne en génie biomédical (théorie + labo), immunité et interactions moléculaires (théorie + labo), laboratoire de biologie cellulaire et moléculaire, traitement numérique d'images médicales (théorie + labo), modélisation et contrôle des systèmes physiologiques (théorie + labo), principes d'imagerie biomédicale (théorie + labo), conception et fabrication assistées par ordinateur CFAO en biomédical et réadaptation (théorie + labo), communication écrite et orale pour ingénieurs (théorie + travaux pratiques de rédaction de rapports techniques), économique de l'ingénieur, ainsi que le projet intégrateur en génie biomédical 3 : projet individuel en génie biomédical (travail de conception en ingénierie biomédicale réalisé par l'étudiant);

 

Au cours de la 4e année, tu approfondiras tes connaissances avec le choix de l'une des orientations de spécialisation proposées, tu acquerras une formation complémentaire au génie et tu intègreras les connaissances acquises au cours des années précédentes par la réalisation d'un projet final d'envergure en génie biomédical. Tu auras les cours obligatoires suivants : biomicrosystèmes (théorie + labo + projet de conception d'un dispositif sur puce), introduction aux réseaux informatiques (théorie + labo), sociologie de la technologie, éthique appliquée à l'ingénierie, projet intégrateur 4 : projet final en génie biomédical (mandat d'ingénierie de conception d'un produit ou d'un procédé ou d'un système réalisé en équipe multidisciplinaire dont le sujet généralement en lien avec l'orientation choisie peut provenir de l'industrie, des hôpitaux, des étudiants ou des professeurs), ainsi que les cours de l'une des orientations de spécialité suivantes :

 

Technologies émergentes; s'intéresse au développement de technologies biomédicales émergentes comme la biophotonique, le génie tissulaire et la nanotechnologie. Tu devras suivre les cours suivants : initiation à la biophonique, nanotechnologies biomédicales, médecine régénérative et nanomédecine (théorie + labo), ainsi qu'1 cours optionnel en génie biomédical ou autres spécialités du génie (ex : introduction à la commande par ordinateur, dispositifs médicaux intelligents, robotique, matériaux composites, modélisation avancée en CFAO, techniques de modélisation en biomécanique, fabrication mécanique avancée, caractérisation des matériaux de pointe, rayonnement et radioprotection, microfabrication, dispositifs électroniques, innovation technologique et industrielle, gestion de la recherche et développement et de l'innovation, commercialisation de nouveaux produits et services, etc.);

 

Interactions humain-ordinateur; s'intéresse au développement d'appareils et instruments d'assistance médicale comme les instruments chirurgicaux, etc. Tu devras suivre les cours suivants : interfaces humain-ordinateur, ergonomie des sites Web, analyse de la conception des interfaces utilisateurs OU interfaces humain-ordinateur spécialisées, ingénierie des systèmes d'information OU conception de sites Web dynamiques;

 

Génie clinique; s'intéresse à la maintenance, au développement et à la gestion des banques de données informatiques, de l’équipement et de l’instrumentation médicale en milieu hospitalier. Elle n'est toutefois accessible qu'aux étudiants(es) qui s'engagent dans l'option génie clinique de la maîtrise en génie biomédical dans le cadre du baccalauréat-maîtrise en génie biomédical. Tu devras suivre les cours suivants : services de santé et hospitaliers, ingénierie industrielle des systèmes de santé, labos, services et équipements cliniques, introduction à l'évaluation des technologies de la santé (cours de l'Université de Montréal) OU évaluation des technologies de la santé (cours de Polytechnique);

 

Si tu as choisi le cheminement baccalauréat-maîtrise, les 12 crédits de l'orientation de spécialité seront remplacés par les crédits de cours du programme de maîtrise. Par la suite, tu pourras compléter les crédits de cours nécessaires de la maîtrise, s'il y a lieu, ainsi que réaliser le projet d'envergure ou réaliser le projet de recherche (mémoire) dans le domaine de ton choix.

 

Si tu choisis le profil international; tu devras remplacer 4 cours optionnels parmi 12 crédits de cours suivis dans une université étrangère partenaire de Polytechnique, comme par exemple :

l'Université de technologie de Compiègne en France,

l'Université de Lorraine en France,

l'Institut national des sciences appliquées de Lyon en France,

l'École polytechnique fédérale de Lausanne en Suisse,

RWTH Aachen University en Allemagne,

Linköpings Universitet en Suède,

University of Illinois at Chicago aux USA.

 

AUTRES PROGRAMMES :

 

Voici également d'autres programmes de baccalauréat offrant une concentration en génie biomédical :

 

Le Baccalauréat spécialisé en génie mécanique (B.ing) a une durée totale de 4 ans offert à temps complet. Pour plus de détails, consulte la page de la profession d’ingénieur mécanicien. Choisis ce programme si tu es davantage intéressé(e) à concevoir et fabriquer des équipements biomécaniques tels que : monte-charges pour handicapés, bains thérapeutiques, fauteuils roulants, véhicules adaptés pour personnes handicapées, des équipements hospitaliers pour personnes à mobilité réduite, etc.

 

Consulte notamment la concentration en technologies de la santé offerte à l’ÉTS, la concentration en biomécanique-biomatériaux offerte à l’École Polytechnique, la concentration en bio-ingénierie offerte à Sherbrooke et la concentration conception en génie biomédical à Ottawa.

 

Le Baccalauréat spécialisé en génie électrique (B.ing) a une durée totale de 4 ans offert à temps complet. Pour plus de détails, consulte la page de la profession d’ingénieur électricien. Choisis ce programme si tu es davantage intéressé(e) à concevoir des équipements électroniques médicaux tels que : systèmes d'imagerie médicale, systèmes d'électrophysiologie, tomodensitomètres, etc.

 

Consulte notamment la concentration en technologies de la santé offerte à l’ÉTS,

la concentration en bio-instrumentation offerte à l’École Polytechnique

ou la concentration microélectronique et bioingénierie offerte à Sherbrooke.

 

Le Baccalauréat spécialisé en génie informatique (B.ing) a une durée totale de 4 ans offert à temps complet. Choisis ce programme si tu es davantage intéressé par la conception et le développement de systèmes d'information médicale tels que : les systèmes d'archivage médical, les systèmes de gestion de bases de données médicales (ex : données génétiques), les systèmes de traitement de l'imagerie médicale, les systèmes de télémédecine, etc.

 

Consulte notamment l'orientation en informatique médicale offerte à Polytechnique

ou Consulte la concentration en bioingénierie offerte à Sherbrooke.

 

Pour plus de détails, consulte la page de la profession d’ingénieur informaticien.

 

Le Baccalauréat spécialisé en génie de la production automatisée (B.ing) concentration en technologies de la santé offert à l'ÉTS a une durée totale de 3½ ans offert à temps complet. Choisis ce programme si tu es davantage intéressé(e) à la conception et au développement de technologies automatisées pour le milieu hospitalier ou l'industrie pharmaceutique et biomédicale.

 

Pour plus de détails, consulte la page de la profession d’ingénieur en production automatisée.

 

Le Baccalauréat spécialisé en génie physique (B.ing) a une durée totale de 4 ans offert à temps complet. Choisis ce programme si tu es davantage intéressé(e) à la conception d’équipements médicaux reliés utilisant les technologies physiques (comme les appareils de médecine nucléaire, par exemple).

 

Consulte notamment la concentration en technologies biomédicales offerte à l’École Polytechnique ou la concentration en génie médical et biophotonique offerte à l'Université Laval.

 

Pour plus de détails, consulte la page de la profession d’ingénieur physicien.

 

Le Baccalauréat spécialisé en génie logiciel (B.ing) a une durée totale de 4 ans offert à temps complet. Choisis ce programme si tu es davantage intéressé par la conception et le développement de technologies logicielles appliquées au domaine médical tels que : pour les systèmes de contrôle automatisé des systèmes médicaux (comme les systèmes de contrôle des émissions radioactives des appareils médicaux), les systèmes d'information et d'archivage médical, les systèmes de télémédecine, etc. Par contre, aucune université n'offre une concentration en génie biomédical.

 

Pour plus de détails, consulte la page de la profession d’ingénieur en logiciel.

 

Le Baccalauréat spécialisé en génie biotechnologique (B.ing) a une durée totale de 4 ans offert à temps complet. Choisis ce programme si tu es davantage intéressé sur le développement d’applications médicales de la biotechnologie (développement de biomatériaux). Par contre, aucune concentration n'est offerte en génie biomédical. Pour plus de détails, consulte la page de la profession d’ingénieur biotechnologiste.

  

ÉTUDES SUPÉRIEURES :

 

Pour plus de détails, consulte la page sur les études supérieures en génie et les études supérieures en sciences de la santé.

 

Consulte également la page suivante où des organismes de recherches ont été répertoriés.

 

Après avoir complété un programme de baccalauréat de 1er cycle de 3 ou 4 ans, tu pourras poursuivre tes études au niveau de :

 

La Maîtrise en génie biomédical a une durée de 2 ans offert à temps complet. Il a pour but d’approfondir tes connaissances scientifiques et technologiques en te fournissant une formation spécialisée pour les applications biomédicales, ainsi qu’initiation à la recherche dans ce domaine. Il existe 2 voies possibles, soit la voie axée sur les cours avec projet et stage (destiné uniquement aux détenteurs d’un diplôme en génie); soit la voie axée sur la recherche avec projet de recherche (accessible à tous).

 

Le cheminement axé sur la recherche M.ing ou M.Sc.A. te préparera aux études de doctorat afin de devenir chercheur en génie biomédical. Il comporte quelques cours consacrés au génie biomédical tels que : les bases du génie biomédical, méthodes de recherche en ingénierie, séminaire de recherche en génie biomédical et 2 cours optionnels parmi une trentaine de cours proposés en lien la spécialisation choisie et le projet de recherche. Enfin, la plus grande partie du programme est consacrée à la réalisation d’un projet de recherche d’importance en génie biomédical appelé « mémoire de maîtrise » qui te permettra d’effectuer des recherches poussées dans un domaine spécifique du génie biomédical. Voici les principaux domaines de recherches : biomécanique, biophotonique et nanotechnologie biomédicale, électrophysiologie, génie tissulaire et biomatériaux, instrumentation et imagerie biomédicale, musculo-squelettique ou sciences de l'information en santé.

 

Le cheminement axé sur les cours M.ing.  te préparera à intégrer le marché du travail en tant qu’ingénieur(e) biomédical. Il comporte des cours suivants : bases du génie biomédical, séminaire de génie biomédical et 9 à 11 cours optionnels parmi une trentaine de cours proposés en génie biomédical, spécialités connexes du génie, sciences médicales fondamentales ou sciences de la santé en lien avec la concentration choisie). Une partie importante du programme est consacrée à la réalisation d'un ou des projets de conception relié au génie biomédical, ainsi qu’à stage en industrie biomédicale. Voici les concentrations offertes : biomécanique, biophotonique et nanotechnologie biomédicale, électrophysiologie, génie tissulaire et biomatériaux, instrumentation et imagerie biomédicale, musculo-squelettique ou sciences de l'information en santé.

Le cheminement avec spécialisation en génie clinique Ming te préparera à pratiquer le génie clinique : gestion, évaluation et sécurité des technologies de la santé dans le réseau hospitalier (généralement suivi dans le cadre du baccalauréat-maîtrise - concentration en génie clinique). Il comporte les cours suivants : services de santé et hospitaliers, évaluation des technologies de la santé, labos, services et équipements cliniques, processus et configuration de projets technologiques, ingénierie industrielle des systèmes de santé, réseaux informatiques, 1 cours optionnel de niveau des études supérieures en génie biomédical ou dans une spécialité connexe (génie ou sciences de la santé), stage en génie clinique (en milieu hospitalier) et projets de maîtrise en ingénierie 3.

Tu pourras choisir de te spécialiser dans l’un des domaines suivants du génie biomédical :

 Biomécanique (surtout destiné aux étudiants ayant choisi la voie recherche)

Électrophysiologie (surtout destiné aux étudiants ayant choisi la voie recherche)

Génie tissulaire et biomatériaux (surtout destiné aux étudiants ayant choisi la voie recherche)

Génie de la réadaptation (surtout destiné aux étudiants ayant choisi la voie recherche)

Instrumentation et imagerie médicales (surtout destiné aux étudiants ayant choisi la voie recherche)

Sciences de l’information en santé (destiné uniquement aux étudiants ayant choisi la voie cours)

Endroits de formation :

Université de Montréal (M.Sc.A.) offert conjointement avec l'École Polytechnique de Montréal (M.ing ou M.Sc.A.) (avec mémoire, avec projet ou  avec stage et projet ou avec travail dirigé, concentrations biomécanique, électrophysiologie, génie tissulaire et biomatériaux, musculo-squelettique, instrumentation et imagerie biomédicale, biophotonique et nanotechnologie médicales, sciences de l'information en santé ou génie clinique),

Université McGill (sans concentration avec mémoire ou avec projet),

Université d'Ottawa (concentrations : génie clinique avec stage et projet ou sans concentration avec projet ou sans concentration avec cours seulement M.ing.) offert conjointement avec Carleton University,

Université d'Ottawa (M.Sc.A. sans concentration ou spécialisation en bio-informatique avec mémoire) offert conjointement avec Carleton University,

La Maîtrise en génie – concentration en technologies de la santé offert à l’ÉTS vise à former des spécialistes tant sur le plan du transfert technologique que de l’intégration des technologies, principalement dans le domaine des technologies médicales.

 

Le cheminement axé sur la recherche (M.ing ou M.Sc) qui te préparera aux études de doctorat afin de devenir chercheur en génie biomédical. Il comporte les cours obligatoires suivants : atelier d'intégrité intellectuelle : un savoir-être et un savoir-faire, évaluation des technologies de la santé, ainsi que 2 cours optionnels en génie en lien avec les technologies de la santé parmi une liste de 20 cours proposés. Enfin, la plus grande partie du programme est consacrée à la réalisation d’un projet de recherche d’importance en technologies de la santé appelé « mémoire de maîtrise » qui te permettra d’effectuer des recherches poussées dans un domaine spécifique des technologies de la santé.

 

Le cheminement axé sur les cours (M.ing) qui te préparera à intégrer le marché du travail en tant qu’ingénieur(e) biomédical. Il comporte l'atelier obligatoire suivant intégrité intellectuelle : un savoir-être et un savoir-faire, 2 à 5 cours optionnels en génie en lien avec les technologies de la santé parmi une liste de 20 cours proposés et 3 à 6 cours optionnels en gestion. Une partie importante du programme est consacrée à la réalisation d’un projet d'intervention en entreprise ou d'un projet d'application en technologies de la santé et peut également comprendre un stage optionnel rémunéré ou non rémunéré en industrie biomédicale.

 

Endroit de formation :

École de technologie supérieure ÉTS (Maîtrise en génie – concentration en technologies de la santé avec mémoire),

École de technologie supérieure ÉTS (Maîtrise en génie – concentration en technologies de la santé avec projet d'intervention en entreprise ou avec projet d'application ou avec projet technique avec stage industriel rémunéré facultatif de 4 mois),

 

Autres programmes :

Il y a également d'autres programmes possibles au niveau des études supérieures, voici quelques exemples :

EXIGENCES D’ADMISSION :

 

Pour le Baccalauréat en génie biomédical (ou bio-ingénierie) :

 

Pour les autres baccalauréats :

 

Consulte la page de description correspondant au programme de 1er cycle choisi (voir la section "autres programmes d’études" ci-haut)

 

STATISTIQUES D’ADMISSION :

 

Pour le Baccalauréat en génie biomédical :

 

Ce programme est contingenté

 

À l’automne 2023

 

Nombre total de demandes 

PLACES DISPONIBLES

TAUX D’ADMISSION

En %

COTE R

Dernier candidat admis

COTE R

en 2022

COTE R

en 2021

COTE R

en 2020

COTE R

en 2019

333

96

29

33,176

34,620

33,747

31,550

31,230

* 6 places ont été ajoutées

Aucune donnée disponible à Mcgill (bio-ingénierie)  : il faudra prévoir une cote R minimale d'au moins 34,200

Aucune donnée dipsonible à Ottawa (génie mécanique biomédical)  :
une moyenne générale de 70 % si 17 cours collégiaux ou plus réussis OU une moyenne de 75 % si 12 à 16 cours collégiaux complétés

Admissions ouvertes à l'automne seulement dans les 2 universités

Pour les autres baccalauréats :

 

Consulte la page de description correspondant au programme de 1er cycle choisi (voir section programmes d’études ci-haut)

 

ENDROITS DE FORMATION 

Pour les autres baccalauréats :

-    École de technologie supérieure de Montréal ÉTS : Baccalauréat en génie mécanique - concentration en technologies de la santé

-    École de technologie supérieure de Montréal ÉTS : Baccalauréat en génie électrique - concentration en technologies de la santé

-    École Polytechnique de Montréal :  Baccalauréat en génie mécanique - orientation en biomécanique-biomatériaux

-    École Polytechnique de Montréal : Baccalauréat en génie électrique - orientation en bioinstrumentation

-    École Polytechnique de Montréal : Baccalauréat en génie physique - orientation en technologies biomédicales

-    École Polytechnique de Montréal : Baccalauréat spécialisé en génie chimique - orientation en génie biopharmaceutique

-    Université de Sherbrooke : Baccalauréat en génie biotechnologique - sans concentration (offert en régime régulier ou en régime coopératif comportant 5 stages rémunérés en entreprise  de 4 mois/ch.)

-    Université de Sherbrooke : Baccalauréat en génie mécanique - concentration en bio-ingénierie (offert en régime régulier ou en régime coopératif comportant 5 stages rémunérés en entreprise  de 4 mois/ch.)

-    Université de Sherbrooke : Baccalauréat en génie électrique - concentration microélectronique et bioingénierie (offert en régime régulier ou en régime coopératif comportant 5 stages rémunérés en entreprise  de 4 mois/ch.)

-    Université Laval : Baccalauréat en génie physique - concentration en génie médical et biophotonique (possibilité de suivre la formule SIGMA + comprenant un stage obligatoire de 12 à 16 semaines au trimestre d'été de la 2e année  + possibilité de 3 stages optionnels rémunérés)

-     Université d’Ottawa, Ontario : Baccalauréat spécialisé approfondi en génie mécanique - option en génie biomédical

-    Université Mcgill : mineure en génie biomédical peut s'ajouter à un baccalauréat en génie (génie mécanique, génie électrique ou génie physique) comme partie intégrante du programme (concentration) ou comme formation complémentaire

LIENS RECOMMANDÉS :

 

Tu veux un avis d'ingénieurs(es) biomédicaux sur leur profession ?, alors consulte les vidéos suivants

  • l'entrevue avec Jessika Dakkak; étudiante au baccalauréat en génie biomédical à l'École Polytechnique de Montréal et réalisée par l'Ordre des ingénieurs du Québec;

  • l'entrevue avec Martine Blouin, étudiante au baccalauréat en génie biomédical à l'École Polytechnique qui parle de son stage de 4 mois à l'Institut de cardiologie de Montréal et réalisée par Polytechnique;

  • l'entrevue avec Jaëlle Tremblay, étudiant à la maîtrise en génie - concentration en technologies de la santé de l'École de technologie supérieure de Montréal et réalisée par l'ÉTS;

  • les entrevues Étienne Lareau et Philippe Laporte, le premier est étudiant à maîtrise en génie biomédical à l'École Polytechnique et le second est coordonnateur pour l'entreprise Groupe Biomédical Montérégie et réalisées par l'École Polytechnique de Montréal;

  • l'entrevue avec Catherine Desrosiers, B.ing (génie biomédical); développeuse junior chez Object Research Systems (ORS), une entreprise de Montréal qui développe des systèmes d'imagerie 3D pour pour la recherche et les applications industrielles et réalisée par l'École Polytechnique de Montréal;

  • l'entrevue écrite avec Nicolas Tremblay; ingénieur biomédical, PDG et fondateur de NeuroServo,a une enteprise qui a développé un dispositif de capture des ondes cérébrales EEG pour les soins intensifs et les urgences et réalisée par l'Ordre des ingénieurs du Québec;

  • l'entrevue avec Simon Lapointe; B. ing (génie mécanique), candidat à la profession d'ingénieur CPI et étudiant à la maîtrise en génie mécanique (bio-ingénierie) à l'Université de Sherbrooke (au moment de l'entrevue) et maintenant, M.Sc.A., PDG et fondateur de EncephalX, une entreprise qui développe une expertise dans le domaine des chirurgies crâniennes et réalisée par l'Université de Sherbrooke;

  • l'entrevue avec Geneviève Gaschard-Wahart, ingénieure biomédical au CHU de Poitiers dans la région de Poitou-Charentes en France et réalisée par le Cenre Inffo;

  • l'entrevue avec Philippe, ingénieur biomédical en centre hospitalier universitaire de Rennes en France;

  • l'entrevue avec Nicola Rivest, B.ing (génie biomédical) et M.Env (gestion de l'environnement et écologie industrielle); conseiller en écologie industrielle pour la MRC de la Vallée-du-Richelieu et réalisée par l'Université de Sherbrooke;

  • l'entrevue avec Joannie Desroches; B.ing (génie physique), M.Sc. (physique médicale), candidate au doctorat en génie biomédical à l'École Polytechnique au sein du Centre de recherche du CHUM et réalisée par le CHUM;

  • une présentation de Catherine Tremblay; candidate au doctorat en génie mécanique au sein du Laboratoire de recherche - bureau de design à l'Université Laval qui nous explique ses recherches dans le développement de techniques de construction de valves aortiques par génie tissulaire et réalisée par l'ACFAS;

  • l'entrevue avec Pierre-Alexandre Fournier, M.Sc.A. (génie électrique); président directeur général et fondateur de Hexoskin, une entreprise de développement de solutions numériques dans le domaine de la santé et réalisée par Montréal InVivo;

  • l'entrevue avec Faten M'hiri, M.ing (génie logiciel), étudiante au doctorat en génie - concentration technologies médicales à l'École de technologie supérieure de Montréal (au moment de l'entrevue) et maintenant, chargée d'enseignement en science informatique à l'Université Mcgill et réalisée par l'ÉTS;

  • l'entrevue avec Michèle Kanhonou, B.Sc.A. (science informatique), M.ing (génie de la production automatisée, étudiante au doctorat en génie - spécialisation en technologies de la santé à l'École de technologie supérieure (au moment de l'entrevue) et maintenant, enseignante-chercheuse à l'École supérieure d'ingénieurs Léonard de Vinci à Paris en France et réalisée par l'ÉTS;

  • les entrevues avec Michèle Demers et Éric Clément; la première est B.ing (génie biomédical), chargée de projet en TI (au moment de l'entrevue) et maintenant, cheffe de service en sécurité opérationnelle et le deuxième est diplômé en technologie de l'électronique - télécommunication, coordonnateur technique en génie biomédical au CHU Sainte-Justine et réalisées par le CHU Sainte-Justine;

  • l'entrevue avec Benjamin De Leener; B.ing et M.Sc.A. (génie biomédical), étudiant au doctorat en génie biomédical à l'École Polytechnique de Montréal et réalisée par l'Ordre des ingénieurs du Québec;

  • l'entrevue avec major Gabrielle Chafé; officier des sciences biologiques au Centre de médecine environnementale des Forces canadiennes à Toronto en Ontario et réalisée par les Forces canadiennes;

  • l'entrevue avec Christian Dansereau, B.ing (génie électrique), M.Sc.A. (génie biomédical) et Ph.D. (informatique); spécialiste en intelligence artificielle en santé, président directeur général et fondateur de Perceiv Al, une entreprise de développement de solutions en intelligence artificielle pour le domaine de la santé et réalisée par Montréal InVivo;

  • l'entrevue avec Félix Chénier; B.ing (génie électrique), M.ing (génie microélectronique), Ph.D. (génie - technologie de la santé), professeur en sciences de l'activité physique à l'UQAM et chercheur au Groupe de recherche en activité physique adaptée et au Centre interdisciplinaire de recherche en réadaptation du Montréal Métropolitain CRIR nous explique ses recherches sur la biomécanique de la propulsion en fauteuil roulant manuel et réalisée par l'UQAM;

  • l'entrevue avec Réjean Fontaine; Ph.D. (génie électrique), professeur en génie électrique à l'Université de Sherbrooke, chercheur à l'Institut interdisciplinaire d'innovation technologique et directeur de la Chaire de recherche sur la tomographie d'émission par positrons basé sur le temps de vol des photons nous explique ses recherches sur un nouveau scanner pour le cerveau humain et réalisée par l'Université de Sherbrooke;

  • les entrevues avec Alexandre Campeau Lecours, Véronique Flamand, François Routhier et Philippe Turgeon; le premier est Ph.D. génie mécanique (robotique), ingénieur, professeur adjoint en génie mécanique à l'Université Laval et chercheur au Centre interdisciplinaire de recherche en réadaptation de Québec CIRRIS; la seconde est ergothérapeute, B.Sc. (ergothérapie) et Ph.D. (médecine expérimentale), professeure adjointe en ergothérapie à l'Université Laval et chercheuse au CIRRIS; le troisième est B.Sc. & M.Sc. (génie mécanique) et Ph.D. (médecine expérimentale); professeur agrégé en ergothérapie et chercheur au CIRRIS et le quatrième est étudiant à la maîtrise en génie mécanique (concentration en robotique) à l'Université Laval qui nous décrivent leur projet de conception d'un bras mécanisé pour faciliter l'alimentation de personnes ayant des incapacités motrices aux membres supérieurs et réalisées par l'Université Laval;

  • les entrevues avec Ève Langelier et Fatina Boussadra; la première est Ph.D. en génie bioédical, professeure agrégée en génie mécanique, titulaire de la Chaire pour les femmes en sciences et en génie du CRSNG au Québec, chercheuse au Laboratoire de performance et de sécurité humaines et chercheuse au Laboratoire de biomécanique et mécanbiologie tissulaires de l'Université de Sherbrooke et la seconde est Ph.D. éducation, professeure adjointe en pédagogie et chercheuse au Centre de recherche sur l'enseignement et l'apprentissage des sciences de l'Université de Sherbrooke, coconceptrices d'une trousse didactique d’éveil technologique pour les élèves du primaire et réalisées par l'Université de Sherbrooke;

  • les entrevues avec Martin Brouillette et Steven Dion; le premier est Ph.D. en génie mécanique, professeur titulaire en génie mécanique à l'Université de Sherbrooke et directeur du Laboratoire d'ondes de choc de l'Université de Sherbrooke et le second est étudiant au doctorat en génie mécanique à l'Université de Sherbrooke inventeur du SoundBite, un marteau-piqueur pour déboucher des artères, l'une des 10 découvertes de l’année 2017 de Québec Science ! et réalisées par l'Université de Sherbrooke;

  • l'entrevue avec Caroline Boudoux (et le vidéo suivant); Ph.D. génie/sciences biomédicales, professeure adjointe (au moment de l'entrevue, maintennant, professeure titulaire) en génie physique et en génie biomédical à l'École Polytechnique de Montréal, chercheure régulier au Centre de recherche du CHU Sainte-Justine, chercheure régulier au Centre de recherche en sciences et technologies biomédicales, chercheure et responsable du Laboratoire d'optique diagnostique et d'imagerie et co-fondatrice de Castor Optics, une entreprise de haute technologie en conception et développement de coupleurs à fibre optique et réalisée par l'École Polytechnique de Montréal;

  • l'entrevue avec Jacques A. De Guise, Ph.D. génie - technologies de la santé, professeur titulaire de génie de la production automatisée à l'ÉTS, professeur associé en chirugie à l'Université de Montréal, chercheur régulier, fondateur et directeur du Laboratoire de recherche en imagerie et orthopédie au Centre de recherche du CHUM, titulaire de la Chaire Marie-Lou et Yves Cotrel de recherche en orthopédie et titulaire de Chaire de recherche du Canada en imagerie 3D et ingénierie biomédicale et réalisée par l'ÉTS;

  • l'entrevue avec Sophie Lerouge, Ph.D. génie biomédical, professeure titulaire de génie mécanique à l'ÉTS, chercheuse régulière et directrice du Laboratoire de biomatériaux endovasculaires et membre du Laboratoire d'imagerie orthopédique au Centre de recherche du CHUM, titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les biomatériaux et implants endovasculaires à l'École de technologie supérieure, membre du Groupe de recherche en sciences et technologies biomédicales de Polytechnique, membre associée au Groupe de recherche orthopédique de l'Institut Lady Davis pour la recherche médicale de l'Université Mcgill et professeure associée en radiologie à l'Université de Montréal et réalisée par l'ÉTS;

  • l'entrevue avec Carl-Éric Aubin (et une seconde entrevue), Ph.D. génie mécanique, professeur de génie mécanique et de génie biomédical, chercheur au CHU Sainte-Justine et titulaire de la Chaire de recherche CRSNG-Medtronic en biomécanique de la colonne vertébrale de l'École Polytechnique de Montréal et réalisée par l'École Polytechnique;

  • l'entrevue avec Frédéric Leblond, Ph.D. génie physique, professeur de génie physique et de génie biomédical, chercheur au CHU Sainte-Justine et titulaire de la Chaire de recherche CRSNG-Medtronic en biomécanique de la colonne vertébrale de l'École Polytechnique de Montréal et réalisée par l'École Polytechnique;

  • l'entrevue avec Yvan Petit, Ph.D. génie mécanique, professeur de génie mécanique, chercheur la Laboratoire de recherche en imagerie et orthopédie et titulaire de la chaire de recherche du Canada en génie pour l'innovation en traumatologie spinale de l'École de technologie supérieure et réalisée par l'ÉTS;

  • l'entrevue avec Ismail Ben Ayed, Ph.D. télécommunications, ingénieur, professeur en génie de la production automatisée, membre du Laboratoire d'imagerie, de vision et d'intelligence artificielle, membre du Laboratoire de recherche en imagerie et orthopédie, et titulaire de la Chaire de recherche ÉTS sur l'intelligence artificielle en imagerie médicale à l'ÉTS et réalisée par l'École de technologie supérieure

Autres :

 

Pour une liste d'établissements hospitaliers, consulte le Portrait du réseau de la santé

organismes de loisir scientifique :

Les grands manufacturiers de systèmes médicaux :

 


Retour à la page du secteur santé

Retour à la page du secteur électrotechnique
Retour à la page d’accueil