SECTEURS : ÉLECTROTECHNIQUE ET
DESSIN ET FABRICATION
MÉCANIQUE
BACCALAURÉAT
SPÉCIALISÉ B.ing
Consulte également la page d’informations sur les programmes pré-universitaires en sciences
Va voir également la section « liens recommandés » à la fin de cette page (dont des vidéos d'ingénieurs en production automatisée qui parlent de leur travail).
TÂCHES ET RESPONSABILITÉS :
Les systèmes de production automatisée permettent de remplacer des travailleurs(euses) qui devaient exécuter des tâches dangereuses, ce qui pourra minimiser les risques d'accidents et autres blessures, elles permettent de remplacer les travailleurs(euses) qui devaient exécuter des tâches routinières et ennuyantes, ce qui pourra réduire le risque d'erreurs et enfin, exécuter des tâches trop difficiles pour les travailleurs(euses) comme lever des charges de milliers de kilos ou souder une puce de quelques millimètres.
Ces machines nécessitent l'intervention de l'humain pour les programmer,
pour résoudre des problèmes techniques imprévus et pour entretenir les
machines, ce qu'elles ne peuvent pas faire. Donc, elles ne remplacent
l'humain au travail, mais l'aide plutôt à améliorer la qualité, la sécurité
et l'efficacité de son travail.
En tant qu’ingénieure ou ingénieur en production automatisée; tu seras responsable de planifier, élaborer, concevoir, réaliser, contrôler, coordonner et gérer différents projets de conception, de fabrication et de modification de divers types de systèmes de production industrielle afin de les rendre partiellement ou totalement automatisés et ensuite, les implanter et les intégrer aux autres systèmes de la chaîne de production d'une usine.
Tu auras pour tâches de :
Diriger des études en matière de faisabilité de conception de systèmes automatisés;
Élaborer et concevoir des circuits, des composants, de l'appareillage ou des systèmes automatisés;
Mener des simulations, des caractérisations, des modélisations de processus et de l'intégration de micro ou de nanodispositifs dans l'élaboration de systèmes automatisés sur mesure répondant aux besoins des clients;
Surveiller et vérifier l'installation, la modification, la mise à l'essai et le fonctionnement des systèmes automatisés;
Élaborer des normes d'entretien et d'exploitation pour les systèmes automatisés;
Rechercher la cause des défaillances des systèmes automatisés;
Coordonner, superviser, inspecter et assurer le soutien en matière de conception pendant la fabrication, et la mise en implantation de systèmes automatisés;
Coordonner et superviser le personnel affecté à un département de conception (des dessinateurs techniques, des techniciens, des technologues, des programmeurs et des analystes) ou d'un département de fabrication (manœuvres, assembleurs, opérateurs d'équipements de production, techniciens, superviseurs de production, etc.);
Coordonner et gérer toutes les opérations et les ressources financières et matérielles d'un département de conception ou d'un département d'assemblage;
Préparer des documents contractuels et évaluer des soumissions portant sur des travaux de construction ou d'entretien industriels;
Forger et entretenir des relations avec les fournisseurs et les clients;
Préparer et rédiger des rapports techniques.
Que ce soit au sein d'une usine déjà automatisée, où tu seras appelé(e) à résoudre des problèmes et réaliser des projets permettant d'améliorer et d'optimiser l'automatisation; que ce soit au sein d'une usine partiellement automatisée où tu seras appelé(e) à résoudre des problèmes et réaliser des projets permettant d'automatiser d'autres systèmes afin d'augmenter la performance de production de l'usine ou au sein d'une usine peu ou automatisée afin d'adapter les systèmes de production actuels ou en implanter de nouveaux en les automatisant en partie ou en totalité.
De nombreuses entreprises industrielles, autant les grandes que les PME, qu'elles soient entièrement automatisées ou partiellement ou pas du tout automatisées (dont les propriétaires désirer implanter un système d'automatisation) dans la plupart des domaines industriels peuvent avoir besoin d'ingénieurs en production automatisée.
En tant qu’ingénieure ou ingénieur en systèmes électromécaniques; tu seras responsable de planifier, élaborer, concevoir, réaliser, contrôler, coordonner et gérer différents projets de conception, de fabrication et de modification de divers types de systèmes électromécaniques industriels c'est- à-dire des machines et équipements industriels comportant des éléments mécaniques, mais fonctionnement par l'électricité. Plusieurs de ces systèmes sont également dotés de composants électroniques et deviennent des systèmes mécatroniques.
Tu auras pour tâches de :
Diriger des études en matière de faisabilité de conception de systèmes électromécaniques;
Élaborer et concevoir des circuits, des composants, de l'appareillage ou des systèmes électromécaniques;
Mener des simulations, des caractérisations, des modélisations de processus et de l'intégration de micro ou de nanodispositifs dans l'élaboration de nouveaux produits et dispositifs électromécaniques;
Surveiller et vérifier l'installation, la modification, la mise à l'essai et le fonctionnement des systèmes électromécaniques;
Élaborer des normes d'entretien et d'exploitation pour les systèmes électromécaniques;
Rechercher la cause des défaillances des systèmes électromécaniques;
Coordonner, superviser, inspecter et assurer le soutien en matière de conception pendant la fabrication, et la mise en implantation de systèmes électromécaniques;
Coordonner et superviser le personnel affecté à un département de conception (des dessinateurs techniques, des techniciens, des technologues, des programmeurs et des analystes) ou d'un département de fabrication (manœuvres, assembleurs, opérateurs d'équipements de production, techniciens, superviseurs de production, etc.);
Coordonner et gérer toutes les opérations et les ressources financières et matérielles d'un département de conception ou d'un département d'assemblage;
Préparer des documents contractuels et évaluer des soumissions portant sur des travaux de construction ou d'entretien systèmes électromécaniques industriels;
Forger et entretenir des relations avec les fournisseurs et les clients;
Préparer et rédiger des rapports techniques.
Tu pourras réaliser des systèmes électromécaniques non automatisés tels que : systèmes de contrôle des procédés, compacteurs, consoles hydrauliques et pneumatiques, manipulateurs pneumatiques, ponts roulants, pompes et valves, presses hydrauliques, vibrateurs industriels, etc. Tu pourras également réaliser des systèmes électromécaniques automatisés (aussi appelés "systèmes mécatroniques") tels que : machine-outil à commande numérique, roulements à billes instrumentés, automates programmables, servomoteurs de machines industrielles, appareils d'imagerie industrielle, systèmes d'inspection industrielle, systèmes d'imagerie médicale, systèmes de contrôle de bâtiments, mais également des composants pour véhicules de transport (ex : freins ABS pour automobiles, directions assistées pour automobiles, systèmes anticollision pour automobiles, servocommandes de gouvernes d'aéronefs, servocommandes des pales d'hélicoptères, servocommandes des trains d'atterrissage pour aéronefs, systèmes de contrôle des mouvements d'un train, etc).
En tant qu’ingénieure ou ingénieur en robotique; tu seras responsable de planifier, élaborer, concevoir, réaliser, contrôler, coordonner et gérer différents projets de conception, de fabrication et de modification de divers types de systèmes robotisés impliquant l'intégration de composants mécaniques, électriques et informatiques, pour un contexte d'application donné.
Tu auras pour tâches de :
Diriger des études en matière de faisabilité de conception de systèmes robotiques;
Élaborer et concevoir des circuits, des composants, de l'appareillage ou des systèmes robotiques;
Mener des simulations, des caractérisations, des modélisations de processus et de l'intégration de micro ou de nanodispositifs dans l'élaboration de nouveaux produits et dispositifs robotisés;
Surveiller et vérifier l'installation, la modification, la mise à l'essai et le fonctionnement des systèmes robotiques;
Élaborer des normes d'entretien et d'exploitation pour les systèmes robotiques;
Rechercher la cause des défaillances des systèmes robotiques;
Coordonner, superviser, inspecter et assurer le soutien en matière de conception pendant la fabrication, et la mise en implantation de systèmes robotiques;
Coordonner et superviser le personnel affecté à un département de conception (des dessinateurs techniques, des techniciens, des technologues, des programmeurs et des analystes) ou d'un département de fabrication (manœuvres, assembleurs, opérateurs d'équipements de production, techniciens, superviseurs de production, etc.);
Coordonner et gérer toutes les opérations et les ressources financières et matérielles d'un département de conception ou d'un département d'assemblage;
Préparer des documents contractuels et évaluer des soumissions portant sur des travaux de construction ou de maintenance de systèmes robotiques industriels;
Forger et entretenir des relations avec les fournisseurs et les clients;
Préparer et rédiger des rapports techniques.
Tu pourras réaliser des systèmes tels que : instruments biomédicaux (ex : instruments d’analyse du mouvement, électromyographie, électrocardiographie, microscopie, échographie, tomographie, résonance magnétique); systèmes aéronautiques (ex : commandes de vol d'avion et mécanismes associés, commandes de vol d'hélicoptère et mécanismes associés, systèmes hydrauliques des avions, etc.); sécurité informatique (ex : applications de sécurité des transactions Web, systèmes de cryptographie, systèmes de télématique, etc.); télécommunications (ex : circuits pour systèmes de communication hautes fréquences ou très hautes fréquences, etc.); systèmes électroniques de traction de force puissance (ex : convertisseurs électroniques pour trains, métros, TGV, etc.); intelligence artificielle (ex : systèmes intelligents pour des applications en reconnaissance d'images, de formes, de signaux audio, en télédétection, etc.); automatisation industrielle (ex : systèmes de contrôle des procédés, systèmes électromécaniques automatisés(aussi appelés "systèmes mécatroniques" tels que : machine-outil à commande numérique, roulements à billes instrumentés, automates programmables, servomoteurs de machines industrielles, appareils d'imagerie industrielle, systèmes d'inspection industrielle, etc.).
En tant que professeur(e) en technologies du génie électrique au collégial technique; tu seras responsable d’enseigner des notions de base et les notions intermédiaires auprès d’étudiants(es) inscrits à un programme en technologies du génie électrique (ex : technologie de l'électronique programmable et robotique, technologie de l'électronique industrielle, technologie de systèmes ordinés, technologie de la mécanique industrielle ou technologie du génie physique).
Tu leur fourniras les compétences requises pour qu’ils puissent intégrer le marché du travail dans leur domaine.
Tu auras pour tâches de :
Planifier et élaborer les plans de cours et le matériel pédagogique;
Planifier, élaborer, organiser et mettre en œuvre des activités pédagogiques selon le rythme d'apprentissage de tes étudiants(es) tout en respectant le programme établi par le Ministère de l’Enseignement supérieur ou par le collège;
Enseigner aux étudiants selon une démarche systématique comprenant des exposés, des démonstrations, des discussions en groupe, des travaux en laboratoire, des ateliers, des séminaires, des études de cas, des travaux sur le terrain et des projets individuels ou en groupe;
Animer et présenter ta matière en classe selon le plan de cours établi;
Aider ceux et celles présentant des difficultés à comprendre la matière et t’assurer que l’ensemble de la classe a pu assimiler toute la matière que tu leur auras appris;
Préparer, administrer et noter les examens et les travaux afin d'évaluer les progrès des étudiants;
Donner un enseignement individualisé, de type tutoriel ou correctif aux étudiants qui en ont besoin;
Renseigner les étudiants sur les programmes d'études et les choix de carrière en lien avec la profession enseignée;
Superviser les projets individuels ou de groupes, les stages de formation pratique, les travaux pratiques et la formation en cours d'emploi (ex : stages coopératifs);
Effectuer des activités d'encadrement permettant d'intervenir auprès d’un élève ou d’un groupe d’élèves visant le développement personnel et social de l’élève et l’invitant à assumer ses responsabilités relativement à sa propre formation;
Donner, s'il y a lieu, de la formation continue aux travailleurs(euses) de l'industrie sur les nouvelles méthodes ou technologies en lien avec la profession;
Etc.
APTITUDES ET QUALITÉS REQUISES :
- Être attiré(e) par les technologies qui nous entourent
- Aptitudes pour les mathématiques, les sciences, l'informatique et la
recherche
- Aptitudes pour le dessin technique et capacité de lire des plans
d'assemblage
- Capacité d’analyse et de synthèse et sens logique pour analyser un problème de fabrication ou de conception et tenter de
le résoudre
- Bonne méthode de travail et gestion du temps car tu
auras à planifier efficacement et de façon optimale les activités de production
- Curiosité scientifique, sens logique et capacité de déduction car tu devras être à l'affut des nouveaux développements scientifiques et des nouvelles technologies
- Sens des responsabilités car tu responsable de gérer la maintance des systèmes ou de gérer toutes les opérations de fabrication ou conception en
industrie
- Autonomie, débrouillardise et flexibilité car tu seras parfois seul(e) pour exécuter certaines tâches et résoudre différents problèmes
- Sens de l’initiative car tu devras prendre des décisions seul(e) lorsqu’il y a des problèmes
- Créativité et imagination pour concevoir des systèmes originaux qui
répondront aux besoins actuels et futurs des utilisateurs
- Facilité à travailler en équipe et leadership pour réussir à réaliser de façon efficace des projets, tu devras collaborer avec des ouvriers, des technologues et parfois, d'autres ingénieurs
PROFESSIONS APPARENTÉES :
- Ingénieur-électromécanicien ou
ingénieure-électromécanicienne
- Ingénieur(e) d'application
- Ingénieur(e) en production industrielle
- Ingénieur(e) en robotique
- Officier du génie des systèmes de combat aérien (Forces armées)
- Officier du génie des systèmes de combat naval (Forces armées)
- Officier du génie électrique et des communications (Forces armées)
- Officier du génie électrique et mécanique (Forces armées)
EMPLOYEURS POTENTIELS :
- Industries du matériel de transport (autobus, camions, matériel ferroviaire, etc)
- Industries aéronautiques
- Industries des technologies spatiales
- Industries de la plasturgie, du caoutchouc et des composites
- Industries des pâtes et papiers
- Manafacturiers d'appareillage et équipements de commutation et de distribution d'électricité
- Manufacturiers d'appareillage et équipements électriques industriels
- Manufacturiers d'appareillage et équipements électroniques industriels
- Manufacturiers d'équipements de télécommunications
- Manufacturiers d’équipements électroniques ou informatiques
- Manufacturiers d'équipements de production industrielle
- Manufacturiers de systèmes automatisés industriels
- Manufacturiers de systèmes d'imagerie médicale ou industrielle
- Compagnies de télécommunications
- Usines de traitement des eaux
- Entreprises d’entretien industriel
- Firmes d’ingénieurs-conseils
PERMIS DE PRATIQUE :
Au Québec, Pour pratiquer la profession d’ingénieur(e); tu dois obligatoirement devenir membre de l’Ordre des ingénieurs du Québec. Cette profession est régie par une loi et un code de déontologie qui ne permet qu’aux détenteurs de ce titre de pratiquer dans le domaine.
À partir du 1er avril 2022, le programme de juniorat sera aboli et les titres d’ingénieur junior et d’ingénieur stagiaire ne seront plus reconnus. Ce qui veut dire que vous ne pourrez plus vous réinscrire au tableau comme membre junior ou stagiaire.
Il sera remplacé par le programme de Candidat(e) à la profession d'ingénieur CPI
Après avoir complété tes études universitaires en génie, tu devras compléter le Programme de candidat(e) à la profession d'ingénieur ET
acquérir une expérience professionnelle rémunérée en milieu professionnel sous la supervision d’un(e) ingénieur(e) senior(e) expérimenté(e).
Par la suite, tu auras à subir l'examen professionnel et sa réussite te permettra d’obtenir le permis d’ingénieur(e).
Voici un tableau démontrant la comparaison entre l'ancien programme de juniorat et le nouveau programme de CPI :
|
Juniorat | Programme CPI |
Titre |
|
|
Durée de l’expérience pratique |
36 mois, dont 12 mois canadiens, avec possibilité d’équivalences et crédits. |
24 mois, en plus de l’atteinte des compétences requises, avec possibilité d’équivalences et crédits |
Limite de temps |
Aucune (Jusqu’au 31 mars 2022) |
5 ans pour réussir le programme d’accès à la profession |
Parrainage |
Parrainage facultatif |
Accompagnement intégré dans le rôle du superviseur |
Certification de l’expérience |
Expérience certifiée par 2 ingénieurs |
Expérience certifiée par 1 ingénieur (le superviseur) |
Examen professionnel |
Réussite de l’examen professionnel |
Formation en ligne (près de 30 heures) + réussite de l’examen professionnel |
Toutefois, des crédits d'expérience peuvent être accordés pour un stage rémunéré ou non rémunéré d'au moins 4 mois réalisé au cours des études universitaires en génie, voir la page suivante.
Des crédits d'expérience peuvent aussi être accordés pour études supérieures complétées dans un programme de maîtrise en génie, voir la page suivante.
EXIGENCES DES EMPLOYEURS :
- Connaissance de l’anglais (bilinguisme souvent exigé)
- Polyvalence
- Facilité d’adaptation aux nombreux changements technologiques
- Bonne maîtrise de l'informatique connaissance de plusieurs logiciels spécialisés en ingénierie (CAO, DAO, FAO)
PLACEMENT :
Selon
les données disponibles au 31 janvier 2019 :
Pour le Baccalauréat en génie de la production automatisée :
Plusieurs répondants(es),
soit 25 % ont choisi de poursuivre leurs études au niveau de la maîtrise en
génie de la production automatisée ou dans une discipline connexe.
NOMBRE DE
RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE EMPLOI A TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
75 | 56 | 56 | 19 |
Sources : École de technologie supérieure ÉTS et Réseau Génium 360
SALAIRE :
Selon les données de 2019 :
Le salaire hebdomadaire moyen en
début de carrière était de :
- 28,84 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 41,41 $/heure en tant qu'ingénieur(e) au sein des grands manufacturiers de matériel électronique
- 32,90 $/heure (40 hres/sem) en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 38,05 $/heure en tant qu'ingénieur(e) au sein des PME
- 32,19 $/heure (40 hres/sem) en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 42,69 $/heure en tant qu'ingénieur(e) chez Hydro-Québec
- 29,55 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 36,65 $/heure en tant qu'ingénieur(e) au sein des grandes industries du matériel de transport terrestre
- 30,28 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 36,86 $/heure en tant qu'ingénieur(e) au sein des grandes industries de la plasturgie, du caoutchouc et des composites
- 30,92 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 39,97 $/heure en tant qu'ingénieur(e) au sein des grandes sociétés de génie conseil
- 32,15 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 38,36 $/heure en tant qu'ingénieur(e) au sein des grandes industries de fabrication métallique industrielle
- 34,53 $/heure (40 hres/sem) en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 38,60 $/heure au sein des grands manufacturiers de l'aérospatial
- 36,65 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 43,13 $/heure en tant qu'ingénieur(e) au sein des grandes industries papetières
- 41,12 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 47,22 $/heure en tant qu'ingénieur(e) au sein des grandes industries du matériel électrique
- 42,50 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 42,76 $/heure en tant qu'ingénieur(e) au sein des grandes industries de première transformation des métaux
- 44,34 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 59,81 $/heure en tant qu'ingénieur(e) au sein des grandes compagnies minières
- 45,89 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 53,00 $/heure en tant qu'ingénieur(e) au sein des grandes industries chimiques et pétrochimiques
- 2 301 $/mois en 1re année et augmente à 2 440 $/mois en 4e année (grade d'élève-officier pendant tes études universitaires au Collège militaire) au sein des Forces canadiennes
- 5 521 $/mois (au grade de lieutenant/enseigne de vaisseau 1re classe) et augmente à 6 999 $/mois (au grade de capitaine/lieutenant de vaisseau) après 5 ans en tant qu'officier du génie des systèmes de combat aérien ou officier du génie électrique et mécanique ou officier du génie des systèmes de combat maritime ou officier du génie électrique et des communications au sein des Forces canadiennes (Force régulière)
- 166,40 $/jour (au grade de lieutenant/enseigne de vaisseau 1re classe) et augmente à 213,54 $/jour (au grade de capitaine/lieutenant de vaisseau) en tant qu'officier du génie des systèmes de combat aérien ou officier du génie électrique et mécanique ou officier du génie des systèmes de combat maritime ou officier du génie électrique et des communications au sein des Forces canadiennes (Réserve)
Sources : Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec, Réseau des ingénieurs du Québec (enquête sur la rémunération 2013), Syndicat des professionnels de la Société de transport de Montréal STM, Syndicat professionnel des ingénieurs d’Hydro-Québec, Forces canadiennes, ainsi que conventions collectives des ingénieurs et scientifiques de plusieurs grandes industries.
PORTRAIT DE LA PROFESSION :
Ainsi que 11 29
6 ingénieurs(es) juniors actifs (dont 927 nouveaux membres diplomés) au 31 mars 2020 (soit 1 995 de moins qu'en 2018; 807 de moins qu'en 2016 et 1 438 de moins qu'en 2014).
Fait intéressant, la profession a également accueilli 27 nouveaux ingénieurs(es) juniors et plus de 600 nouveaux ingénieurs(es) diplômés(es) en ingénierie d'universités étrangères dont 440 détenant un permis restrictif selon l'entente France-Québec.
Plus de 85 % des membres de cett profession étaient des hommes, mais pourrait accueillir davantage de femmes.
Par contre, la tendance est une hausse de la féminisation de la profession, puisqu'elles représentaient 13 % en 2012; 14 % en 2014; 14 % en 2015; alors qu'en 2018, plus de 15 % des ingénieurs étaient des femmes.
Une hausse du nombre de femmes dans les cohortes étudiantes des universités québécoises laissent prévoir que près du quart des ingénieurs seront des femems au cours des prochaines années.
Plus de 39 % des ingénieurs étaient âgés de moins de 40 ans (dont 10 % avaient moins de 30 ans).
Seulement 15 % des ingénieurs étaient âgés de 60 ans et plus, donc peu de départs à retraite prévus pour les prochaines années.
Plus de 90 % des ingénieurs(es) juniors avaient le français comme langue première au travail et 10 % avaient l'anglais;
Plus de 82 % des ingénieurs(es) avaient le français comme langue première au travail et 28 % avaient l'anglais.
Autre fait intéressant, il y avait près de 3 200 ingénieurs(es) membres de l'Ordre des ingénieurs du Québec qui exerçaient à l'étranger (USA, France, UK, Allemagne, Espagne, Chine, Japon et bien d'autres...).
48 % au sein de manufacturiers de matériel de transport
31 % au sein de manufacturiers de machines et d'équipements industriels
21 % au sein des manufacturiers de produits en plastique ou caoutchouc
10 % au sein des manufacturiers de produits métalliques
4 % au sein de manufacturiers de systèmes et équipements pour le bâtiment
3 % au sein des manufacturiers d'équipements médicaux
3 % au sein des sociétés de génie conseil
1 % au sein d'autres milieux (autrs manufacturiers, distributeurs de produits mécaniques, sociétés d'État, collèges et universités, fonction publique, Forces armées, etc.)
PERSPECTIVES D'AVENIR :
L’automatisation des entreprises est
de plus en plus grandissante, alors le besoin accru d’ingénieurs(eures)
entièrement spécialisés(es) dans ce domaine se fait sentir. Ce qui promet de
très bonnes perspectives d’avenir dans ce domaine.
La demande pour les ingénieurs électromécaniciens est également forte notamment dans les régions suivantes :
la Mauricie, l'Abitibi-Témiscamingue, la Côte-Nord, le Saguenay-Lac-St-Jean (surtout les ingénieurs électromécaniciens), Laval, Chaudière-Appalaches, l'Estrie, les Laurentides et la Montérégie..
Le placement des diplômés(es) de l'UQAT et de l'UQAR tourne en moyenne autour de 100 % dont les employeurs proviennent de la région, mais également l'extérieur. Certains(nes) finissants(es) ont obtenu emploi avant de terminer leurs études, mais la plupart ont obtenu un emploi au cours de leur stage.
l
BREF PORTRAIT DE QUELQUES SECTEURS INDUSTRIELS :
L'industrie minière québécoise :
Le Québec est l’un des 10 territoires miniers les plus explorés au monde. Depuis le début des années 90, la moitié des mines ont commencé à être exploitées ce qui a permis au Québec de connaître une des plus grandes croissance de son industrie minière de toute son histoire. De plus, un grand nombre de géologues actuellement en emploi sont âgés et devront prendre leur retraite dans les prochaines années.
Pour toutes ces raisons, les perspectives de découvertes nouvelles et par le fait même des emplois pour des spécialistes des mines sont excellentes pour les 10 prochaines années. Maintenant, les exploitations minières du Québec représentent plus de 60 % de tous les minerais exploités au Canada.
Le sous-sol québécois est constitué à 90 % de roches précambriennes du Bouclier canadien. Il s’agit d’un ensemble géologique réputé mondialement pour ses gisements d’or, de cuivre, de zinc, de nickel, de fer et d’ilménite.
Le Québec recèle aussi un potentiel minéral significatif pour des gisements d’autres substances, telles ceux du Mont Wright (fer) à Fermont, du Lac Tio (fer et titane) à Havre-Saint-Pierre, de Niobec (niobium) au Saguenay, de Stratmin (graphite) à Mont-Laurier, Raglan (nickel-cuivre) en Ungava et de Renard (diamant) au nord du Québec.
Par ailleurs, les secteurs miniers bien établis, tels ceux de Val-d’Or, Rouyn-Noranda, Matagami et Chibougamau, recèlent toujours d’importants gisements, notamment en profondeur.
Parmi les ressources minérales exploitées, on retrouve :
les minéraux métalliques : or, nickel, cuivre, zinc, argent, mais aussi le niobium, le magnésium, le palatine, et la tellure
les minéraux non métalliques : le charbon, le sable, le gravier, la pierre architecturale, incluant, le graphite, le titane, le quartz ou la silice, mais aussi le soufre, le sel, la tourbe, le mica, la stéatité et la chrysolite.
Pour ce qui des minéraux en exploration (la découverte de gîtes détenant potentiellement des ressources), il y a :
les minerais métalliques (des métaux non ferreux rares comme : la tantale, le lithium, le béryllium, le zirconium, le hafnium, le germanium, le gallium, ainsi que l’yttrium et le scandium);
les minerais non métalliques (pierres gemmes comme : le diamant, mais également l'aigue-marine, l'apatite, le quartz enfumé, la labradorite, la cordiérite, la pyope, l'amazonite, la gaspéite, la scapolite, etc.).
En 2015, l'ensemble de l'industrie minière a généré des revenus de 5,8 milliards, regroupait une cinquantaine d'entreprises et employait plus de 45 600 personnes.
En ce qui concerne le secteur de l'exploitation et du traitement des minerais, on y retrouvait 21 compagnies d'exploitation minière qui employaient plus de 13 600 travailleuses et travailleurs.
Près de 30 % de la main-d’œuvre de l’industrie minière devrait prendre sa retraite au cours des cinq prochaines années. Cet important besoin de main-d’œuvre pose aussi le défi d’intégrer rapidement un grand nombre de travailleurs aux particularités de l’emploi dans le secteur minier.
Selon le Comité sectoriel de la main-d'œuvre des mines; la profession d'ingénieur(e) électromécanicien(ne) figure au 4e rang des professions de niveau universitaire les plus en demande dans l'industrie minière.
L'industrie québécoise de la première transformation des métaux :
En 2016, elle générait des revenus de plus de 5,5 milliards $, soit 40 % de la production canadienne de métaux et 12 % du secteur manufacturier québécois.
Elle comptait 118 entreprises qui employaient plus de 20 300 travailleuses et travailleurs principalement concentrés dans les régions de la Montérégie, du Saguenay-Lac-St-Jean et de Montréal, mais également dans les régions de la Côte-Nord, du Centre-du-Québec et de Québec.
Plus de 41 % des entreprises de l'industrie emploient moins de 50 personnes, 17 % entre 50 et 99 personnes, 20 % entre 100 et 199 personnes, alors que seulement 22 % sont des entreprises de grande taille ayant 200 employés et plus.
Par contre, ce sont les grandes entreprises qui employaient la majorité des travailleurs(euses) de cette industrie avec une part de 72 %.
Plus de 42 % des emplois sont au sein des grands producteurs et transformateurs d'aluminium, 21 % au sein des grands producteurs et transformateurs de métaux non ferreux (cuivre, zinc), 19 % au sein des grandes producteurs sidérurgique (acier), alors que 17 % sont au sein des fonderies.
Le secteur de la première transformation des métaux reprend confiance après avoir subi les impacts de la crise économique et boursière de 2008 et 2009. La forte remontée des prix des métaux industriels au cours des derniers mois de 2016, les signes d’accélération de l’économie mondiale encourageants qui se sont traduits par une demande plus forte des métaux en 2017 et la tendance à la hausse des prix des métaux de base devrait ainsi se poursuivre au cours des prochains.
Selon le Comité sectoriel de la main-d'œuvre de la métallurgie; le métier d'ingénieur(e) électromécanicien(ne) figure au 2r rang des professions de niveau universitaire les plus en demande dans l'industrie de première transformation des métaux.
Ces signes laissent prévoir de très bonnes perspectives d'emploi au cours des prochaines années au sein de cette industrie.
L'industrie aérospatiale québécoise
Elle représente à elle-seule près de 56 % de toute l'industrie aérospatiale canadienne et figure en 6e position au niveau mondial (après l'État de Washington aux USA, la région des Midi-Pyrénées en France, le comté de Hampshire en UK, l'État d'Hessen en Allemagne et la région de Madrid en Espagne).
Ce sont principalement des industries de l'aéronautique pour l'aviation civile que l'on retrouve (systèmes, composantes, pièces et assemblage d'aéronefs), mais également quelques entreprises sont liées à l'industrie spatiale (satellites ou ses composantes ou pièces).
Quelques entreprises québécoises fabriquent des composantes et pièces pour aéronefs civils, mais également pour des aéronefs militaires, mais le marché de la Défense au Québec n'est pas très importante.
Au Québec; on y assemble des avions long courrier, avions régionaux, des avions d'affaires, des hélicoptères civils, des aubes de moteurs d'aéronefs, des turbines à gaz pour moteurs d'aéronefs, des trains d'atterrisssages pour aéronefs, des simulateurs de vol professionnels pour avions régionaux et avions d'affaires, des composantes de structures pour aéronefs et bien d'autres.
En 2016, l'industrie aéronautique québécoise, c'était :
2e rang en Amérique du Nord pour la concentration des activités de l'industrie aérospatiale derrière Seattle
6e rang mondial sur le plan des emplois (derrière les États-Unis, la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et l'Espagne)
205 entreprises de toutes tailles (dont 180 PME)
39 100 emplois (dont la plupart sont spécialisés ou ultra-spécialisés)
un chiffre d'affaires de 14,4 milliards $
55 % des ventes aérospatiales canadiennes
70 % des dépenses totales en recherche et développement canadienne
L'industrie québécoise du matériel de transport terrestre :
Elle est le plus important secteur de l'industrie de la fabrication mécanique et l'un des plus importants secteurs industriels au Québec.
En 2015, son marché génère des revenus de plus de 11,4 milliards $.
Elle regroupait plus de 680 entreprises qui employaient près de 38 000 travailleuses et travailleurs dans différentes régions du Québec.
Elles étaient principalement concentrées dans les régions suivantes : Laurentides, Estrie, Centre-du-Québec, Montérégie, Chaudière-Appalaches, Bas-St-Laurent, Lanaudière, Île-de-Montréal et Laval.
On peut diviser cette industrie en 6 sous-secteurs, soit :
Véhicules commerciaux, spéciaux et
utilitaires : comprend les constructeurs de camions
lourds, de véhicules industriels et de véhicules utilitaires (sauf les
machineries lourdes), ainsi que ainsi que de tous systèmes, composantes
ou pièces pour ces véhicules.
On y retrouvait plus de
400 entreprises (dont plus du deux-tiers y
consacrent au moins la moitié de leurs activités dans ce sous-secteur)
qui généraient des revenus de plus de 2,3 milliards $
et qui employaient plus de 16 800 travailleuses et
travailleurs, concentrés principalement dans les régions de la
Montérégie, de Chaudière-Appalaches, du Centre-du-Québec, des
Laurentides et de Laval.
On y assemble de fourgons, camions moyens et autres
véhicules commerciaux (camions à déchets, camions à benne basculante,
camions à grue, camions à nacelle, camions à plateforme, camions
aspirateurs, camions blindés, camions cellulaires, camons citernes,
camions cubes moyens, camions cubes lourds (sur tracteurs semi-remorque,
camions d'élagage, camions de déneigement, camions de lignes, camions
incendie, camions isothermes, camions manipulateurs de tourets à câble,
camions ravitailleurs d'aéroport, camions militaires, camions
réfrigérés, camions vacuum, dépanneurs pour véhicules légers,
dépanneuses pour véhicules lourds, unités mobiles, véhicules
ambulanciers, etc.); des remorques pour camions; ainsi que toutes sortes
de systèmes, composantes ou pièces pour ces véhicules.
Autobus et autocars :
comprend les constructeurs d'autobus urbains, d'autobus scolaires,
d'autocars, de minibus scolaires, de minibus adaptés, de minibus
commerciaux, ainsi que de tous systèmes, composantes ou pièces pour ces
véhicules.
On y retrouvait plus de 100
entreprises (dont plus du deux-tiers y consacrent au moins la
moitié de leurs activités dans ce sous-secteur) qui généraient des
revenus de plus de 2 milliards $ et qui employaient plus de
5 600 travailleuses et travailleurs, principalement concentrés dans
les régions des Laurentides, de Chaudière-Appalaches, du
Centre-du-Québec et de la Montérégie.
Véhicules récréatifs : Le
Canada, principalement le Québec est reconnu mondialement pour ses
produits récréatifs figurant au 6e rang mondial (derrière les
USA, le Japon, la Chine, l'Allemagne et l'Italie), principalement pour
ses motoneiges et ses quads et leurs composantes.
Il comprend les
manufacturiers de tous véhicules, systèmes, composantes ou pièces pour
véhicules pour usage récréatif sur route ou hors-route. On y comptait
près d'une centaine de manufacturiers qui
généraient des revenus de plus de 1,5 milliards $
et qui employaient plus de 5 100 travailleuses et
travailleurs, principalement concentrées dans les régions de
l'Estrie (61 % et du Centre-du-Québec (17 %). Par contre, presque la
moitié (48 %) des entreprises de l’industrie exercent moins de 25 % de
leurs activités dans ce secteur.
On y assemble des véhicules
récréatifs (motoneiges, motocyclettes à 3 roues à essence,
motocyclettes à 3 roues électriques, motocyclettes électriques, quads
(VTT), VR motorisés de classe A, B ou C pour le camping, bicyclettes
électriques, des karts, des voiturettes électriques de golf, des
voiturettes électriques utilitaires, etc.); ainsi que toutes sortes de
systèmes, composantes ou pièces pour ces véhicules.
Pièces pour automobiles :
bien qu'aucune usine d'assemblage d'automobiles n'est présente au
Québec, on y fabrique plusieurs pièces destinées aux usines de
constructeurs américains, japonais ou allemands. On y compte plus de
130 manufacturiers (principalement des PME)
ayant chiffre d'affaires de plus de 1,2 milliards
et qui employaient près de 5 700 travailleuses et
travailleurs.
Les entreprises sont principalement
concentrées en Estrie, en Montérégie et en Chaudière-Appalaches, mais
aussi dans le Centre-du-Québec et sur l'Île-de-Montréal.
On y
fabrique notamment : des composants électroniques ou électromécaniques
pour automobiles, des pièces en métal, des pièces en plastique, en
caoutchouc ou en composites pour automobiles, ainsi que des remorques
utilitaires pour automobiles et camionnettes, etc.
Matériel ferroviaire : le
Canada, principalement le Québec est bien connu comme un fournisseur
leader mondial dans le matériel ferroviaire allant des trains de
banlieue, en passant par les tramway jusqu'au TGV.
Il comprend
165 entreprises (dont 70 qui consacrent au moins
la moitié de leurs activités dans le domaine ferroviaire) qui généraient
un chiffre d'affaires de près de 1 milliard de $
et qui employaient plus de 4 900 travailleuses et
travailleurs, principalement concentrés dans les régions de la
Montérégie (34 %), de Montréal (31 %) et du Bas-St-Laurent (15 %).
On y assemble des voitures de passagers de trains et
métros, d'autres véhicules ferroviaires (automotrices électriques et
véhicules de service ou d'entretien sur rails); des composants,
instruments ou systèmes, ainsi que des pièces pour voitures de trains,
tramways et métros, etc.
Véhicules électriques et
hybrides : bien qu'il ne forme pas un secteur industriel
distinct; de nombreux fournisseurs des usines de montage des véhicules
électriques traitent aussi avec les usines de montage des véhicules à
moteur à combustion interne et font partie, par conséquent, du secteur
du matériel de transport terrestre. Actuellement, on retrouve une
vingtaine de manufacturiers de véhicules électriques ou de leurs pièces
ou composantes.
On y assemble des véhicules
électriques ou hybrides (bicyclettes électriques, motocyclettes
électriques, micro-camion entièrement électrique, camions à déchets
hydrides, camions électriques camions à benne basculante, camions
électriques à nacelle camions électriques camions à plateforme, camions
légers, autobus urbains hybrides, minibus touristiques électriques,
tracteurs de camion hybrides, trains et rames de métro électriques,
etc.).
L'industrie de la fabrication de machines et équipements industriels :
L'industrie québécoise de la fabrication de machines et d'équipements industriels est le 3e principal secteur de l'industrie de la fabrication mécanique. Bien qu'il ne soit pas aussi important que les précédents, c'est un secteur important car c'est elle qui permet à plusieurs autres secteurs de fonctionner dans leur domaine.
Bien qu'elle soit généralement intégrée à l'industrie de la fabrication métallique industrielle, elle peut être un secteur indépendant.
En 2015, elle a généré des revenus totalisant plus de 6,1 milliards $ dans l'économie québécoise.
Elle compte plus de 1 050 entreprises qui employaient plus de 32500 travailleuses et travailleurs dans plusieurs régions du Québec.
Bien que majoritairement concentrées majoritairement concentrées dans les régions de la Montérégie et de Montréal, on les retrouve également dans plusieurs autres régions, telles que : Chaudière-Appalaches, Lanaudière, Saguenay-Lac-St-Jean, Mauricie, Centre-du-Québec, Laurentides, Laval, Estrie et Bas-St-Laurent.
Elle est divisée en 6 sous-secteurs, soit :
Machines et équipements industriels :Ce
sous-secteur permet aux industries de tous les secteurs de produire de
façon optimale leurs biens grâce à des machines et équipements modernes
et performants. Par contre, elle fonctionne bien dépendamment de la
santé économique du secteur de ses clientes.
Le marché était
évalué à 1,8 milliards de dollars. On retrouvait plus de 250
manufacturiers qui employaient plus de 9 200 travailleuses et
travailleurs. Ce sont surtout les machines pour les industries
alimentaires, papetières, pharmaceutiques, de la métallurgie (notamment
pour les alumineries), de la plasturgie, des cosmétiques, ainsi que pour
les centrales hydroélectriques qui sont produits au Québec.
Ces entreprises sont majoritairement concentrées dans les régions de la
Montérégie et de Montréal, mais aussi au Saguenay-Lac-St-Jean (notamment les
fournisseurs d'équipements pour alumineries), Mauricie, Chaudière-Appalaches, Laval, Québec, Centre-du-Québec et Estrie.
Parmi les types de machines et équipements fabriqués au Québec, il y a :
machines et équipements pour centrales hydroélectriques;
machines et
équipements pour
industries alimentaires; machines et équipements pour l'industries
papetières); machines et
équipements pour les
scieries (déchiqueteuses
stationnaires, ponceuses stationnaires, dresseuses, scies à ruban, machines à
traiter le bois, raboteuses, dégauchisseuses, tours à bois, machines à
façonner les contre-plaqués, séchoirs à bois, etc); machines et équipements pour industries mécaniques ou du
transport;
machines pour usines de traitement ou filtration de l'eau;
etc.
Matériel et Équipements de
manutention : Ce sous-secteur avait un marché de près de 1,4
milliards de dollars dont la majorité des produits sont exportés, bien
que plusieurs autres sont vendus au pays.
Il comptait plus de 300
entreprises qui employaient un peu plus de 2 900 travailleuses et
travailleurs réparties dans différentes régions de la province dont notamment
: Montérégie, Montréal, Bas-St-Laurent, Saguenay-Lac-St-Jean,
Chaudière-Appalaches, Laval, Centre-du-Québec, Mauricie, Estrie, Laurentides
et Québec.
On y fabrique notamment : des convoyeurs; du matériel de levage;
de systèmes et équipements
de manutention; d'autres matériel de manutention; etc.
Machineries lourdes et machines connexes :
dans ce sous-secteur, on y produit des machineries pour l'agriculture,
pour la construction de génie civil, pour la production agricole, pour
l'exploitation forestière, minière, gazière et pétrolière, pour les
carrières et pour l'entretien routier.
Le marché a généré des revenus de plus de 1,1
milliards de dollars. On y retrouvait plus de 150 manufacturiers qui
employaient plus de 4 500 travailleuses et travailleurs partout au
Québec. Ce sont les machines agricoles qui occupent la plus grande part
du marché avec la moitié de toute la production de machineries.
Elles sont concentrées dans les régions de la Montérégie, de
Chaudière-Appalaches, du Centre-du-Québec, de Montréal, de
l'Abitibi-Témiscamingue et du Bas-St-Laurent.
On y fabrique des machines et équipements agricoles;
des machines et
équipements pour la construction et l'entretien routier; des machines
et équipements forestiers; des machines
et équipements miniers et de carrières; etc.
Outillage hydraulique, mécanique
et pneumatique industriel : ce sous-secteur comprend tous les
types d'outils et de matrices industriels, des outils de coupe pour le
travail du bois, du métal ou du plastique, des outils pour l'exploitation
forestière, des outils agricoles, des outils pour la construction, des
outils pour le forage et l'industrie minière, des machines-outils
conventionnels pour l'usinage et autres types d'outils mécaniques,
hydrauliques et pneumatiques.
ll y a plus de 200 entreprises, majoritairement des PME
ayant généré des revenus de plus de 900 millions $ qui employaient plus
7 300 travailleuses et travailleurs. Elles sont principalement concentrées
dans les régions du Centre-du-Québec, de Chaudière-Appalaches, de l'Estrie,
du Saguenay et Lac-St-Jean, de la Montérégie et de Montréal.
Matériel de
transmission d'énergie mécanique et turbines : a généré des revenus
de plus de 400 millions $, on
y retrouvait plus de 80 entreprises qui employaient plus de 6 000 travailleuses et
travailleurs. Par contre, la plupart de ces entreprises sont aussi présentes
dans d'autres secteurs.
On y fabrique notamment les produits suivants
: accumulateurs hydrauliques, boîtes de vitesse, multiplicateurs ou
réducteurs, contrôleurs pneumatiques, moteurs diesels stationnaires, moteurs freins, moteurs rotatifs
à combustion continue, moteurs rotatifs à vapeur, moteurs rotatifs pneumatiques, moto-réducteurs, turbines à
gaz pour moteurs d'aéronefs, turbines hydrauliques, turbocompresseurs, unités de puissance
hydraulique, unités de puissance pneumatique, vérins hydrauliques pour
barres hydroélectriques, vérins
hydrauliques pour ascenseurs, vérins hydrauliques pour industries, vérins hydrauliques télescopiques, vérins
pneumatiques, etc.
Compresseurs, pompes et
ventilateurs : C'était un marché évalué à plus de 400 millions de
dollars, comprenait plus de 70 entreprises qui employaient près de 1 800
travailleuses et travailleurs principalement concentrées dans les régions de
Montréal, Laval, Lanaudière et Québec.
On y fabrique : des aérateurs
et extracteurs d'air pour toits, des groupes compresseurs et
surcompresseurs d'air ou de gaz, des ventilateurs et soufflantes
centrifuges industriels, des contrôleurs pour pompes, des postes de
pompage d'eaux usées, des conduits d'air industriels, des fours
industriels, des dépoussiéreurs, des capteurs de fumée, de poussières ou
autres particules, des systèmes de récupération de chaleur, des systèmes
de traitement d'air industriels, des pompes (à condensat, à turbines
verticales, d'égout submersibles, de puisard d'égout, de puisard pour
eau claire, d'incendie, horizontales à aspiration par le bout,
horizontales à double aspiration, verticales en ligne, etc.); etc.
L'industrie québécoise de l'optique et de la photonique :
En 2015, elle comptait environ 70 entreprises en photonique ayant généré des revenus de plus de 360 millions $ et qui employaient près de 3 000 personnes.
Du côté de la recherche universitaire et institutionnelle en photonique, on y retrouvait plus d’une vingtaine de laboratoires, centres et instituts de recherche principalement universitaires, mais également gouvernementaux et privés.
les composants optiques
les senseurs optiques
Mais, elle recherche également des technologues en génie physique, des technologues en génie physique, des technologues en génie microélectronique, des technologues en électroniques industrielles, des technologues en génie mécanique, etc.
Pour plus de détails, consulte le portrait des secteurs suivants :
Portrait de l'industrie de la fabrication de machines et équipements industriels
Portrait de l'industrie de la fabrication de produits électriques
Portrait de l'industrie de la fabrication de produits mécaniques (autres que plastiques, machines et équipements industriel et matériel de transport)
Portrait de l'industrie de la production et du transport d'électricité
Sources :
Comité sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie aérospatiale du Québec,
Comité sectoriel de la main-d'œuvre en métallurgie du Québec, Comité
sectoriel de la main-d'œuvre en fabrication métallique industrielle, Comité
sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie minière, Industrie Canada, Ministère
de l'Économie, de la Science et de l'Innovation, Emploi-Québec, Pôle
d'excellence de l'industrie du matériel de transport terrestre du Québec,
PASSERELLES :
Un programme passerelle permet aux titulaires d'un programme de D.E.C. technique de se faire reconnaître un certain nombre de crédits par une université dans cadre de son programme de baccalauréat. Par contre, aucune garantie d'admission est faite lors de la demande et aucune préférence ou priorité n'est accordée à l'admission.
Pour plus de détails, consulte la page suivante
l'UQAT pourra reconnaître jusqu'à 16 crédits aux titulaires du D.E.C. en technologie du génie mécanique dans le cadre de son Baccalauréat en génie électromécanique
l'UQAT pourra reconnaître jusqu'à 14 crédits aux titulaires du D.E.C. en technologie de l'électronique industrielle dans le cadre de son Baccalauréat en génie électromécanique
l'UQAT pourra reconnaître jusqu'à 12 crédits aux titulaires du D.E.C. en technologie de la maintenance (ou mécanique) industrielle dans le cadre de son Baccalauréat en génie électromécanique
l'UQAT pourra reconnaître jusqu'à 12 crédits aux titulaires du D.E.C. en technologie du génie mécanique dans le cadre de son Baccalauréat en génie électromécanique
l'UQAT pourra reconnaître jusqu'à 6 crédits aux titulaires du D.E.C. en technologie minérale dans le cadre de son Baccalauréat en génie électromécanique
l'UQAT pourra reconnaître jusqu'à 5 crédits aux titulaires du D.E.C. en technologie du génie civil dans le cadre de son Baccalauréat en génie électromécanique
l'UQAT pourra reconnaître jusqu'à 2 crédits aux titulaires du D.E.C. en sciences de la nature dans le cadre de son Baccalauréat en génie électromécanique
LES PROGRAMMES D’ÉTUDES :
Le Baccalauréat spécialisé en génie de la production automatisée B.ing. offert à l'École de technologie supérieure ÉTS a une durée totale de 3½ à 4 ans (10 à 12 sessions incluant les trimestres de stages) offert en régime coopératif à temps complet seulement;
Programme unique au Québec à orientation appliquée permettant d'intégrer les différentes technologies (provenant de l'électronique et de la commande, de la mécanique, de l'informatique et du génie industriel) afin de concevoir, de fabriquer et de modifier les systèmes de production afin de les rendre partiellement ou totalement automatisés;
De nombreuses entreprises sont partenaires de l'ÉTS dans le cadre de ce programme, dont :
Bombardier Aéronautique, Bell Helicopters Textron, Pratt & Whitney, General Electric, Nova Bus, Kenworth, Bombardier Transport, CAE Électronique, Rio Tinto Alcan, Alstom Énergie, MDA Corporation, Siemens Canada, Lockhead Martin, Esterline CMC Électronique, etc;
Si tu choisis le stage industriel à l'international, tu pourras réaliser ton stage dans l'un des entreprises partenaires suivantes :
Alstom Power à Grenoble en France,
Siemens America (centre
de recherche technologique) à Princeton NJ aux USA,
Airbus à Seville en Espagne
(concentration en aéronautique),
Volvo Ærø à Göteborg aux Pays-Bas (concentration en
aéronautique seulement);
Si tu choisis le profil international; tu devras remplacer les cours optionnels par 12 crédits suivis dans l'une des 79 universités étrangères partenaires de l'ÉTS de 20 pays, dont :
l'International Space
University (Strasbourg) en France,
l'Ecole
Centrale d'Electronique en France,
l'École
d'ingénieurs Télécom ParisTech (anciennement l'École Nationale
Supérieure des Télécommunications) en France,
l'Institut
national des sciences appliquées de Strasbourg en France,
l'Institut
des sciences appliquées de Lyon en France,
l'Institut
National des Sciences Appliquées de Toulouse en France,
l'Institut
Polytechnique de Grenoble (Grenoble INP) en France,
l'École
nationale supérieure d'arts et métiers ParisTech en France,
l'Ecole
Supérieure d'Ingenieurs en Informatique et Génie des Télécommunications
ÉSIGETEL en France,
l'Ecole
Internationale des Sciences du Traitement de l'Information en France,
Télécom Bretagne en France,
TELECOM Lille1 en France,
Télécom Physique Strasbourg
(de l'Université de Strasbourg) en France,
l'Université
Claude-Bernard Lyon 1 en France,
l'Université
de Lorraine en France (Nancy a une forte concentrations de
manufacturiers en télécommunications),
l'Université
de Mons en Belgique,
l'University College London en UK (3e
meilleure université du pays et l'une des meilleures au monde),
l'Universitat
Politècnica de Catalunya (Barcelona Tech) en Espagne,
l'Universidad Politécnica de
Valencia en Espagne,
l'Universidad de Sevilla -
Escuela técnica superior de ingeniera à Seville en Espagne,
l'Università degli Studi di
Cagliari en Italie,
l'Università degli
Studi di Padova en Italie,
l'Universidade Federal de Santa
Catarina au Brésil,
Pontificia Universidade Católica do Rio Grande do Sul au Brésil,
l'India
Institute of Technology Delhi en Inde,
l'India
Institute of Technology Bombay en Inde,
Guangxi University en Chine;
Il est destiné principalement aux titulaires d’un D.E.C. technique dans une spécialité liée aux technologies industrielles (voir exigences d’admissions ci-dessous),
mais, il y a un cheminement adapté au profil d'admission au cours de la première année;
Seul établissement au Québec ayant adapté tous ses programmes aux titulaires d'un DEC technique;
Il également destiné aux titulaires d'un DEC en sciences de la nature, en sciences mathématiques et informatiques ou en sciences-arts-lettres, mais devront suivre au préalable, une année préparatoire appelé "cheminement universitaire en technologie". Par contre, tous les cours de cheminement ne peuvent pas être reconnus dans le cadre d'un programme de baccalauréat;
Le cheminement universitaire en technologie comprend les cours obligatoires suivants : science et technologie, communication graphique (théorie + travaux pratiques + labo), matériaux (théorie + labo), informatique (théorie + labo), circuits (théorie + labo), automates programmables et logique séquentielle, projet1 (étapes de conception d'un objet technique), projet 2 (réaliser un robot mobile évoluant dans un environnement contrôlé par un automate programmable);
Ensuite, tu suivras des cours obligatoires selon la spécialisé choisie, dans le cas de la spécialité en génie de la production automatisée, tu auras le choix entre les 2 profils suivants :
Profil électricité : tu auras les cours obligatoires suivants : électronique, électronique analogique, électronique numérique, projet multidisciplinaire (réalisation en équipe d'un projet de conception d'un robot ou d'une machine réunissant les étudiants de toutes les spécialités du cheminement universitaire en technologie), ainsi qu'un stage optionnel d'intégration en entreprise (stage non rémunéré d'initiation au milieu technique d'une durée de 4 mois au sein d'une entreprise industrielle);
Profil mécanique : tu auras les cours obligatoires suivants : éléments d'usinage et de métrologie dimensionnelle, procédés de fabrication et d'assemblage, mécanismes et éléments de machines, projet multidisciplinaire (réalisation en équipe d'un projet de conception d'un robot ou d'une machine réunissant les étudiants de toutes les spécialités du cheminement universitaire en technologie), ainsi qu'un stage optionnel d'intégration en entreprise (stage non rémunéré d'initiation au milieu technique d'une durée de 4 mois au sein d'une entreprise industrielle);
Tu auras les cours
obligatoires suivants : équations différentielles, électricité et magnétisme
(théorie + labo), analyse de rentabilité de projets, éléments de résistance
des matériaux (théorie + labo, profil E) OU introduction à l'électronique (théorie + labo, profils M, P et
I), thermodynamique et mécanique des fluides (théorie + labo), conception
assistée par ordinateur CAO (théorie + labo), techniques d'optimisation en
production automatisée (théorie + labo), systèmes d'exploitation et
programmation de systèmes (théorie + labo),
Au cours de la 4e année, tu
réaliseras un projet final d'envergure te permettant d'intégrer les
connaissances acquises dans les années précédentes et tu acquerras une
formation complémentaire en génie, en plus d'approfondir tes connaissances
dans la concentration choisie. Tu auras les cours obligatoires suivants :
microélectronique appliquée (théorie + labo), entrepreneuriat et innovation
ou outils de développement durable pour ingénieurs, environnement,
technologie et société (ou santé, technologie et société pour ceux ayant
choisi la concentration en technologies de la santé), ainsi que le profil de
fin d'études en génie de la production automatisée (réalisation d'un projet
de conception de systèmes, procédés et processus d'automatisation en lien
avec le stage industriel 3) OU ainsi que le profil de fin d'études
international en génie de la production automatisée (réalisation d'un projet
de conception de systèmes, procédés et processus d'automatisation en lien
avec le stage industriel international 3) et s'il y a,
Enfin, au cours de la 4e année, tu devras choisir l'une des concentrations suivantes :
Systèmes manufacturiers; s'intéresse au développement et l'implantation de systèmes de production pour une chaine automatisée d'assemblage de produits. Tu devras choisir 6 cours optionnels parmi 11 cours proposés (ex : ergonomie et sécurité en milieu de travail, assurance de la qualité, systèmes flexibles de production, hydraulique et pneumatique, cellules de production automatisée, capteurs et actionneurs, fabrication assistée par ordinateur FAO, etc.);
Informatique industrielle; s'intéresse à la conception et au développement de logiciels intégrés aux systèmes automatisés et robots industriels. Tu auras choisir 6 cours optionnels parmi 11 cours proposés (ex : vision artificielle, introduction au génie logiciel, bases de données, réseaux de neurones et intelligence artificielle, téléinformatique et réseaux, microsystèmes, analyse et conception orientées objet, conception et simulation de circuits électroniques, etc.);
Production aéronautique; s'intéresse à la conception et au développement de nouveaux outils et systèmes automatisés pour l'industrie aéronautique. Tu auras choisir 6 cours optionnels parmi 11 cours proposés (ex : conception assistée par ordinateur CAO de composants aéronautiques, usinage, outillage et inspection pour l'aéronautique, matériaux et procédés pour l'aéronautique, systèmes et commandes des avions, ordonnancement des systèmes de production aéronautique, assurance de la qualité, etc.), le projet de fin d'études et le stage industriel devra porter sur le domaine aéronautique et le stage industriel 3 devra s'effectuer au sein d'une entreprise aéronautique;
Technologies de la santé; s'intéresse à la conception et au développement de technologies automatisées pour le milieu hospitalier ou l'industrie pharmaceutique et biomédicale. Tu devras suivre les cours suivants : ingénierie des systèmes humains, risques dans le secteur de la santé : sources et techniques d'évaluation, technologies de la santé : normes et homologation, 2 cours optionnels parmi 5 cours proposés (introduction à l'ingénierie de la réadaptation, principes de l'imagerie médicale, conception d'orthèses et prothèses, modélisation et traitement des signaux biomédicaux, instrumentation biomédicale ou biomatériaux pour dispositifs médicaux), ainsi qu'un cours optionnel parmi les cours des autres concentrations. Enfin, le projet de fin d'études devra porter sur les technologies de la santé et le stage industriel 3 devra s'effectuer en technologies de la santé;
Si tu choisis le stage industriel à l'international, tu pourras réaliser ton stage dans l'un des entreprises partenaires suivantes :
Alstom Power à Grenoble en France,
Siemens America (centre de recherche technologique) à Princeton NJ aux USA,
Airbus à Seville en Espagne (concentration production aéronautique seulement),
MTU Aero Engines à Munich en Allemagne (concentration production aéronautique seulement),
Volvo Aero à Göteborg aux Pays-Bas (concentration production aéronautique seulement)
Si tu choisis le profil international; tu devras remplacer les cours optionnels par 12 crédits suivis dans l'une des 79 universités étrangères partenaires de l'ÉTS de 20 pays, dont :
l'Institut
national des sciences appliquées de Strasbourg en France, l'Institut
des sciences appliquées de Lyon en France, l'Université
de Mons en Belgique,
l'University
College of London au Royaume-Uni, l'India
Institute of Technology Delhi en Inde, l'Universidad
Politécnica de Valencia en Espagne,
Universidad de Sevilla -
Escuela técnica superior de ingeniera à Seville en Espagne,
Università degli Studi di
Cagliari en Italie,
Universidade Federal de Santa Catarina au Brésil, Guangxi University en Chine.
Le Baccalauréat spécialisé en génie des systèmes électromécaniques B.ing. offert par l’UQAR a une durée de 4 ans (8 sessions) offert en régime régulier à temps complet ou en régime régulier à temps partiel (comprenant un stage obligatoire non rémunéré en industrie) ou en alternance travail-études à temps complet (11 sessions incluant les trimestres de stage) au campus de Rimouski seulement (comprenant 3 stages industriels rémunérés et crédités de 4 mois chacun) offert au campus de Rimouski seulement.
Il permet de combiner une formation dans le domaine du génie mécanique avec celle du génie électrique, qui est particulièrement utile dans la conception de systèmes automatisés industriels et autres systèmes de robotique.
Il est accessible autant aux détenteurs d’un DEC en sciences de la nature ou sciences-arts-lettres qu’aux détenteurs d’un DEC technique (technologies du génie électrique, technologies de la mécanique, technologies de la production). Un cheminement d'études adapté aux titulaires d'un DEC technique est également offert.
De nombreuses activités pratiques en laboratoires (automatisation, électricité, instrumentation, microprocesseurs, mécatronique, imagerie numérique, CAO, centre d'usinage, cellule robotisée, parc éolien de 4 MW, etc), les différents projets virtuels et réels, ainsi que le ou les stage(s) industriel(s) viennent s'ajouter à la formation théorique.
Plusieurs grandes entreprises et organisations de la région (Premier Tech Aqua, Uniboard Canada, Prelco, Telus Québec, Groupe Cascades - div Norampac, Technologie Axion, ISMER, Transports Québec, Centre de recherche appliquée en technologies maritimes du Cégep de Rimouski, le Centre OPTECH de transfert de technologie en optique-photonique du Cégep de La Pocatière, Centre de transfert de technologie en électromécanique Solutions Novika du Cégep de La Pocatière, TechnoCentre Éolien) et plusieurs PME de la région sont partenaires de l'UQAR dans le cadre des projets d'ingénierie et des stages industriels rémunérés ou non rémunérés que doivent réaliser les étudiants(es) de ce programme;
Au niveau de la recherche, son Laboratoire de recherche en productique s'intéresse notamment au développement de produits, de procédés de production et aux systèmes; l’amélioration des performances des produits et des équipements industriels et l'instrumentation et la commande industrielle dont les connaissances nécessitent l'intégration de l'électronique, de la mécanique, de l'informatique et du génie industriel.
CHEMINEMENT TYPE :
ainsi qu'un cours au choix en dehors du champ de spécialisation par l'ensemble des cours de 1er cycle de l'UQAR accessibles comme cours au choix.
Le Baccalauréat spécialisé en génie électromécanique B.ing. offert par l’UQAT a une durée de 4 ans (8 sessions) offert en régime régulier à temps complet ou en régime régulier à temps partiel au campus de Rouyn-Noranda seulement (mais peut comprendre 1 à 3 stages industriels rémunérés ou non rémunérés au cours des trimestres d'été).
Il permet de combiner une formation dans le domaine du génie mécanique avec celle du génie électrique, qui est particulièrement utile dans la conception de systèmes automatisés industriels et autres systèmes de robotique.
Il est accessible autant aux détenteurs d’un DEC en sciences de la nature ou sciences-arts-lettres qu’aux détenteurs d’un DEC technique (technologies du génie électrique, technologies de la mécanique, technologies de la production).
De nombreuses activités pratiques en laboratoires (robotique, machines électriques, réseaux électriques, automatisation, biomatériaux), les différents projets virtuels et réels, ainsi qu'un ou des stage(s) industriel(s) facultatifs viennent s'ajouter à la formation théorique;
De plus, au cours de la 3e année, tu pourras choisir l'une des orientations suivants : conception mécanique, instrumentation et contrôle, production/transport et distribution électrique ou électromécanique minière;
Plusieurs grandes entreprises et organisations de la région (Iam Gold, Agnico-Eagle, Groupe Xstrata, Produits forestiers Résolus, Tembec, Centre technologique des résidus industriels du Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue) et plusieurs PME de la région sont partenaires de l'UQAT dans le cadre des projets d'ingénierie et des stages industriels rémunérés ou non rémunérés que peuvent réaliser les étudiants(es) de ce programme;
De plus, de nombreuses autres entreprises partout au Québec offrent la possibilité aux étudiants d'y effectuer leur stage (et peut-être un emploi) comme par exemple : Arcelor-Mittal, Alcoa, Rio Tinto Alcan, Cliffs Natural Ressources, IOC, Kruger, etc;
Au niveau de la recherche, on retrouve :
l'Unité de recherche en électromécanique de l'UQAT s'intéresse aux différents aspects et problématiques de l'automatisation des entreprises manufacturières par l'intégration des différentes technologies de la mécanique, de l'électronique, de l'informatique et du génie industriel, principalement :
la synthese optimale des machines, la transmission optimale de l'énergie mécanique dans les mécanismes complexes élastiques et la conception de robots industriels à liaisons intelligentes;
l'Unité de recherche et de service en technologie minérale de l'Abitibi-Témiscamingue s'intéresse notamment au développement d'outils technologiques d'optimisation des procédés de récupération et d'automatisation des procédés de transformation des minéraux.
CHEMINEMENT TYPE :
Conception mécanique; tu devras suivre les cours suivants : résistance des matériaux 2 (théorie + labo), systèmes hydrauliques et lubrification (théorie + labo), dynamique des mécanismes complexes (théorie + labo), fabrication mécanique (théorie + labo et réalisation d'un produit de complexité moyenne) OU conception et sélection des équipements miniers (théorie + labo + réalisation d'un projet de conception d'une machine ou équipement minier), 0 à 1 cours optionnel parmi 28 cours proposés (ex : mécanique du bâtiment, conception et sélection des équipements miniers, instrumentation industrielle, électronique industrielle, commande numérique des systèmes, etc.), ainsi qu'un 1 cours au choix en sciences humaines parmi les cours de l'UQAT accessibles comme cours au choix;
Instrumentation et contrôle; tu devras suivre les cours suivants : instrumentation industrielle (théorie + labo), électronique industrielle (théorie + labo), commande numérique des systèmes, l'un des 3 cours suivants (commandes optimales et adaptives, électricité du bâtiment ou microprocesseurs 1), 0 à 1 cours optionnel parmi 28 cours proposés (ex : principes de télécommunications, circuits passifs micro-ondes, systèmes de communications, télécommunications mobiles, transmission de données et réseau de communication numérique, production d'énergie électrique, fabrication mécanique, ondes électromagnétiques, etc.), ainsi qu'un 1 cours au choix en sciences humaines parmi les cours de l'UQAT accessibles comme cours au choix;
Production, transport et distribution de l'énergie électrique; tu devras suivre les cours suivants : électronique industrielle (théorie + labo), production d'énergie électrique (théorie + visite d'une centrale hydroélectrique + réalisation d'une composante d'un système électromécanique d'une centrale), conception et analyse en exploitation d'un réseau électrique (théorie + labo), l'un des 3 cours suivants (électricité du bâtiment, microprocesseurs 1 ou commande numérique des systèmes), 0 à 1 cours optionnel parmi 28 cours proposés (ex : ondes électromagnétiques, transmission numérique, circuits passifs micro-ondes, etc.), ainsi qu'un 1 cours au choix en sciences humaines parmi les cours de l'UQAT accessibles comme cours au choix;
Électromécanique minière; tu devras suivre les cours suivants : procédés de séparation minéralurgique (théorie + labo), dynamique des mécanismes complexes (théorie + labo), conception et sélection des équipements miniers (théorie + labo + réalisation d'un projet de conception d'une machine ou équipement minier), l'un des 3 cours suivants : fabrication mécanique (théorie + labo et réalisation d'un produit de complexité moyenne), instrumentation industrielle (théorie + labo) ou électronique industrielle (théorie + labo), 0 à 1 cours optionnel parmi 28 cours proposés (ex : systèmes hydrauliques et lubrification, systèmes de communications, principes de télécommunications, ondes électromagnétiques, etc.), ainsi qu'un 1 cours au choix en sciences humaines parmi les cours de l'UQAT accessibles comme cours au choix.
Le Baccalauréat spécialisé en génie robotique B.ing. offert par l’Université de Sherbrooke a une durée de 4 ans offert en régime régulier à temps complet (7 trimestres) ou en régime coopératif à temps complet (11 trimestres).
Ce nouveau programme unique au Canada est axé sur la conception et la fabrication de systèmes robotisés répondant aux besoins de diverses industries impliquant l'intégration de composants mécaniques, électriques et informatiques, pour un contexte d'application donné.
Il repose sur une approche pédagogique innovatrice à l’UdeS : l’apprentissage par problèmes et par projets en ingénierie (APPI) pemettant la réalisation de projets au cours de chaque année. Cette méthode est fondée sur un apprentissage actif, basé sur des rencontres en petits groupes plutôt que sur des leçons magistrales. Elle permet l’acquisition de compétences techniques, en mettant l’étudiant au centre de ses apprentissages. Résolument axé sur la pratique, le programme permet d’effectuer cinq stages rémunérés en industrie d'une durée de 4 mois chacun.
Comme la plupart des baccalauréats génie offerts par cette université, il est également possible de choisir le cheminement baccalauréat-maîtrise, soit en génie électrique, soit en génie mécanique.
Profil SN (pour les titulaires du D.E.C. en sciences de la nature ou du D.E.C. en sciences informatiques et mathématiques ou du D.E.C. en sciences, lettres et arts) :
Tu auras les cours obligatoires suivants : équations
différentielles linéaires, introduction aux matériaux, dessin technique et
prototypage, introduction à la programmation, circuits électriques 1,
introduction à la robotique, résolution de problèmes et conception en génie,
programmation et algorithmes, circuits électriques 2, réalisation et mesure
de circuits électriques, systèmes numériques séquentiels, algèbre linéaire,
mathématiques discrètes 1, statique, modélisation de robots manipulateurs,
gestion de projet avec cycle en V, systèmes numériques combinatoires,
mathématiques discrètes 2, robotique industrielle et usinage, mise en forme
de matériaux,
Profil TE (pour les titulaires d'un DEC en technologie du génie électrique : électronique, électronique industrielle, génie physique ou avionique) :
Tu auras les cours obligatoires suivants : équations
différentielles linéaires, mathématiques de base pour l'ingénieur, dessin
technique et prototypage, introduction aux matériaux, électricité et
magnétisme, introduction à la programmation, circuits électriques 2,
introduction à la robotique, programmation et algorithmes, réalisation de
problèmes et conception en génie, physique mécanique, systèmes numériques
séquentiels, algèbre linéaire, mathématiques discrètes 1, statique,
modélisation de robots manipulateurs, gestion de projet avec cycle en V
robotique industrielle, propriétés physiques et chimiques des matériaux et
usinage, mise en forme des matériaux,
Profil TM (pour les titulaires du D.E.C. en technologie du génie mécanique ou du D.E.C. en technologie de la construction aéronautique) :
Tu auras les cours obligatoires suivants : équations
différentielles linéaires, mathématiques de base pour l'ingénieur, lois
fondamentales de l'électricité, circuits électriques 1, introduction à la
programmation, introduction à la robotique, circuits électriques 2,
réalisation de problèmes et conception en génie, programmation et
algorithmes, réalisation et mesure de circuits électriques, physique des
ondes, systèmes numériques combinatoires, mathématiques discrètes 1,
systèmes numériques séquentiels, algèbre linéaire, mathématiques discrètes
2, statique, propriétés physiques et chimiques des matériaux, modélisation
de robots manipulateurs, gestion de projet avec cycle en V, robotique
industrielle,
Profil TO (pour titulaires du D.E.C. en technologie de systèmes ordinés ou du nouveau DEC en technologie de l'électronique programmable et robotique) :
Tu auras les cours obligatoires suivants : équations
différentielles linéaires, mathématiques de base pour l'ingénieur, lois
fondamentales de l'électricité, dessin technique et prototypage,
introduction aux matériaux, physique des ondes, algèbre linéaire,
mathématiques discrètes 1, systèmes numériques séquentiels, physique
mécanique, physique des ondes, statique, propriétés physiques et chimiques
des matériaux, usinage et mise en forme de matériaux, modélisation de robots
manipulateurs, gestion de projet avec cycle en V, robotique industrielle,
ÉTUDES SUPÉRIEURES :
Si tu le désires, il te sera possible de poursuivre des études supérieures dans l'un des programmes de maîtrise suivants :
Pour plus de détails, consulte la page sur les études supérieures en génie
Maîtrise en génie de la production automatisée à l'ÉTS (profil professionnel - concentration intégration et automatisation des systèmes ou concentration en systèmes intelligents avec projet d'intervention en entreprise ou avec projet d'application ou avec projet technique, avec possibiité d'un stage industriel rémunéré OU profil recherche - concentration intégration et automatisation des systèmes ou concentration en systèmes intelligents avec mémoire)
Maîtrise en génie aérospatial à Polytechnique (concentration avionique et commande ou concentration en technologies spatiale avec projet, avec stage industriel, avec stage et projet ou profil en environnement virtuel ou avec mémoire), ÉTS (profil professionnel - profil professionnel - concentration en développement de produits et intégration de systèmes avec projet environnement virtuel OU profil recherche avec concentration en automatisation et contrôle en aérospatiale avec mémoire), Concordia (concentration : avionique ou ingénierie spatiale avec stage industriel ou avec projet)
Maîtrise en génie biomédical à Polytechnique (M.ing ou M.Sc.A.) (avec mémoire, avec projet ou avec stage et projet ou avec travail dirigé, concentrations biomécanique, électrophysiologie, génie tissulaire et biomatériaux, musculo-squelettique, instrumentation et imagerie biomédicale, biophotonique et nanotechnologie médicales, sciences de l'information en santé ou génie clinique), Ottawa (M.ing. sans concentration avec projet ou sans concentration avec cours seulement), ÉTS (génie des technologies de la santé profil professionnel - concentration intégration et automatisation des systèmes ou concentration en systèmes intelligents avec projet d'intervention en entreprise ou avec projet d'application ou avec projet technique, avec possibiité d'un stage industriel rémunéré OU profil recherche - sans concentration avec mémoire) et Ottawa (M.Sc.A. sans concentration avec mémoire)
Maîtrise en génie des des risques de santé et sécurité au travail offerte à l'École de technologie supérieure ÉTS (profil professionnel avec projet d'intervention en entreprise ou avec projet d'application ou avec projet technique, avec possibilité d'un stage industriel rémunéré OU profil recherche avec mémoire)
M
Maîtrise en génie industriel à Polytechnique (concentrations en économie circulaire, ergonomie, génie et entrepreneuriat technologique, logistique, gestion de la technologie et de l'innovation, gestion de projets technologiques, ingénierie de la sécurité au travail, ingénierie des systèmes de santé, innovafion technologique et commercialisation, production à valeur ajoutée, résilience organisationnelle ou valorisation des données industrielles avec mémoire ou avec projet ou avec stage et projet), Concordia (sans concentration avec projet ou avec essai), Concordia (sans concentration avec mémoire), U.Q.T.R. (concentrations : qualité et fiabilité, ingénierie des services ou opérations et logistique avec essai), U.Q.T.R (concentrations : gestion des risques professionnels, qualité et fiabilité, ingénierie des services ou opérations et logistique avec mémoire), Laval (maîtrise en génie mécanique - concentration en génie industriel)
Maîtrise en gestion en ingénierie à Sherbrooke (avec essai-projet) et Ottawa (avec projet ou avec cours seulement)
M
Maîtrise en sécurité et hygiène industrielles à l'UQTR (avec essai)
Maîtrise en biophotonique à Laval (avec mémoire)
Maîtrise en communication publique - concentration en journalisme scientifique à Laval (avec essai)
Maîtrise en mathématiques à Polytechnique (mathématiques appliquées avec mémoire), Montréal (option mathématiques appliquées ou mathématiques industrielles avec mémoire ou avec stage), Mcgill (M.Sc. sans concentration avec mémoire), Concordia (options : physique mathématique, probabilités et statistique, mathématiques pures et appliquées ou systèmes dynamiques avec mémoire ou avec projet), Laval (concentration en mathématiques appliquées avec mémoire), Laval (concentration en mathématiques appliquées avec essai), Sherbrooke (cheminement général avec mémoire avec mémoire), UQAM (concentration en informatique mathématique avec mémoire), U.Q.T.R. (mathématiques et informatique appliquées avec mémoire) et Ottawa (sans concentration avec mémoire)
Maîtrise en gestion manufacturière à Mcgill (avec projet)
M
M.B.A. - sciences et génie (aucune expérience nécessaire) à l'UQAM
M.B.A. - gestion des opérations et logistique offerte à HEC Montréal (expérience nécessaire)
M.B.A. - gestion manufacturière et logistique (concentration en gestion des systèmes manufacturiers) offerte à Laval (expérience nécessaire)
Ou dans un programme de courte durée tels que les suivants :