Retour au secteur administration
SECTEUR :
ADMINISTRATION, SECRÉTARIAT ET INFORMATIQUE
DIPLÔME D’ÉTUDES PROFESSIONNELLES
D.E.P.
TÂCHES
ET RESPONSABILITÉS :
La conseillère ou le conseiller en ventes; tu seras responsable de vendre ou louer une gamme de produits et de services directement aux consommateurs.
Peu importe les produits (vêtements, électroménagers, jeux et jouets, meubles, appareils électroniques, ordinateurs et équipements informatiques, accessoires de décoration, produits de quincaillerie, automobiles, produits de jardin, motocyclettes et motoneiges, maisons, etc.) ou les services (assurances, voyages, produits financiers, abonnements à des magazines, journaux, téléphonie cellulaire, câble, Internet ou de la publicité); tu deviendras un expert ou une experte dans ces produits ou services.
Accueillir les clients et établir ses besoins et attentes;
Discuter des caractéristiques, de la qualité et de la quantité des marchandises ou des services qu'ils désirent acheter ou louer;
Renseigner les clients sur l'utilisation et l'entretien des marchandises, et les conseiller sur les produits ou services spécialisés;
Estimer ou indiquer des prix, préciser des modalités de crédit et d'échange, des garanties et des dates de livraison;
Préparer les marchandises à vendre ou à louer;
Préparer les contrats de vente ou de location, et accepter des paiements en espèces, par chèque, par carte de crédit ou par débit automatique;
Tenir à jour des registres des ventes pour l'inventaire;
Utiliser des systèmes informatisés de tenue d'inventaire et de commande de stocks;
Effectuer, au besoin, des transactions par le biais du commerce électronique;
Aider à l'étalage des marchandises.
Faire de la promotion auprès des clients;
Déterminer les clients éventuels et les solliciter;
Présenter aux clients un exposé ou une description des avantages et des utilisations des biens ou des services;
Évaluer et établir les prix, les conditions de crédit ou de contrat, les garanties et les dates de livraison;
Rédiger les contrats de vente ou autres, ou en assurer la rédaction;
Communiquer avec les clients, après la vente ou la signature des contrats, pour résoudre les problèmes et assurer un suivi;
Rechercher la documentation et s'informer au sujet des innovations d'un produit, des concurrents et des conditions du marché, et agir en conséquence
Représenter l'enployeur auprès des entreprises qui exportent et importent des produits ou des services à destination ou en provenance de pays étrangers;
Représenter l'enployeur lors d'événements tels que les salons, foires et expositions commerciales;
Effectuer, s'il y a lieu, des transactions de vente à l'aide du commerce électronique;
Etc.
APTITUDES ET QUALITÉS REQUISES :
-
- Aimer travailler avec le public et
-
Sociable, sourire agréable : la façon de réagir du vendeur pour
avoir un impact sur le client ou la cliente
-
-
- Sens de l'organisation et savoir gérer ton temps pour bien planifier et organiser ta journée de façon optimale (rendez-vous avec les clients, recherche de clients potentiels, vérifier des dossiers de ventes, consultation des bases de données sur les nouveaux modèles, etc.)
- Facilité au travail en équipe car tu devras travailler avec la collaboration de collègues (autres conseillers en ventes, commis, caissiers, etc.)
-
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
- Commis-vendeur(euse)
- Agent(e) de service à la clientèle
- Conseiller(ère) à la vente d'articles de sports
- Conseiller(ère) à la vente d’automobiles (voir
aussi
DEP en ventes d’automobiles)
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
- Tous commerces de vente au détail (du petit magasin à la grande chaîne)
- Toutes entreprise de services (assurances, voyages, immobilier,
communications, publicité, etc.)
EXIGENCES
DES EMPLOYEURS :
- Excellente maîtrise de la langue française
- Connaissance de l’anglais (bilinguisme souvent exigé, surtout dans
les régions de Montréal et de l'Outaouais)
- Bilinguisme obligatoire (pour les représentants)
- Connaissance de logiciels de bureautique
- Connaissance de logiciels de vente est un atout
- Polyvalence
PLACEMENT :
Selon
les données disponibles au 1er juin 2017 :
Pour le D.E.P. en vente-conseil :
Le placement est
moyen, 53 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers
le marché du travail ont obtenu un emploi relié dont la presque
totalité, soit 85 % sont à
temps complet.
Quelques répondants(es), soit 24 % ont choisi de poursuivre leurs études au ASP en représentation ou au DEC en gestion de commerces.
NOMBRE DE
RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE EMPLOI À TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
826 | 335 | 285 | 198 |
Note 1 : baisse du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 61 % en 2015; 68 % en 2013 et 59 % en 2012).
Note 2 : hausse du nombre de répondants(es) poursuivant des études au ASP ou au collégial (était de 8 % en 2013 et 14 % en 2012).
Pour l'A.S.P. en représentation :
Le placement est bon,
65 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers
le marché du travail ont obtenu un emploi relié dont la presque
totalité, soit 88 % sont à
temps complet.
Quelques répondants(es), soit 14 % ont choisi de poursuivre leurs études au collégial en gestion de commerces.
NOMBRE DE
RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE EMPLOI À TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
483 | 271 | 239 | 68 |
Note 1 : taux de placement comparable aux années précédentes (était de 68 % en 2015; 63 % en 2013 et 61 % en 2012).
Note 2 : hausse du nombre de répondants(es) poursuivant des études au collégial (était de 16 % en 2015 et 8 % en 2013).
Sources : Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec
SALAIRE :
Selon
les données en 2018 :
Le salaire
moyen en début de carrière était de :
- 16,20 $/heure (40 hres/sem) en tant que conseiller(ère) en ventes de produits spécialisés ou produits hauts de gamme au sein des PME Note : plusieurs des emplois en vente ont des commissions qui s’ajoutent au salaire de base
- 21,08 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'agent(e) des ventes dans les grands hôtels 4 ou 5 étoiles (Île de Montréal)
- 570,00 $/semaine (40 à 45 hres/sem) en moyenne + commissions et parfois, bonis aux ventes en tant que conseiller(ère) aux ventes au sein de concessionnaires et autres commerces de véhicules d'occasions et des concessionnaires de véhicules récréatifs
Note 1 : légère baisse de la moyenne salariale en vente-conseil dans le secteur privé par rapport aux années précédentes (était de 16,88 $; 16,53 $ en 2013 et 15,90 $ en 2012).
Note 2 : hausse de la moyenne salariale en représentation en comparaison avec les années précédentes (était de 725 $ en 2015; 733 $ en 2013 et 649 $ en 2012).
Note 3 : chez les grands employeurs privés, les augmentations sont établies par les conventions collective
- 17,38 $/heure (40 hres/sem) en tant qu'adjoint(e) de bureau de poste à la Société canadienne des postes
- 18,95 $/heure (35 hres/sem) en tant que commis A (caissier-vendeur) à la Socité des alcools du Québec SAQ
- 19,91 $/heure (35 hres/sem) en tant que préposé(e) aux boutiques à la Société des casinos du Québec
- 23,20 $/heure (35 hres/sem) en tant que commis B (conseiller en vins) à la Société des alcools du Québec SAQ
Note : dans le secteur public et chez les grands employeurs privés, les augmentations sont établies par les conventions collectives.
PORTRAIT DE LA PROFESSION :
Ai
39 % avaient moins de 25 ans
28 % entre 25 et 44 ans
14 % entre 45 et 54 ans
19 % étaient âgés de 55 ans ou plus
L
Autres milieux : 3 %
Ai
5 % avaient moins de 25 ans
45 % entre 25 et 44 ans
27 % entre 45 et 54 ans
23 % étaient âgés de 55 ans ou plus
L
Entreprises de média : 2 %
Autres milieux : 3 %
PERSPECTIVES D'AVENIR :
Les chaînes de magasins et plusieurs autres types commerces au détail subissent de nombreuses difficultés économiques depuis quelque temps surtout causées par les ventes en ligne. Plusieurs commerces dans certains secteurs en particuliers (vêtements, produits électroniques, produits de musique et divertissement, etc.) effectuent des coupures de postes et certains ferment leurs portes.
Or, d'autres types de commerces subissent moins les contre-coups du commerce électronique, comme : les quincailleries et autres commerces de matériaux de construction, les concessionnaires d'automobiles, les concessionnaires de véhicules récréatifs, les pharmacies, etc...
De plus, il existe encore aujourd'hui des milliers de petits commerces qui n'ont pas de site Web, alors que d'autres commerces visent principalement la clientèle touristique qui visitent les attraits de la région en profitent pour acheter des souvenirs sur place.
Selon l'Institut de la statistique du Québec :
seulement 32 % des ventes en ligne auprès d'entreprises québécoises étaient des détaillants;
seulement 26 % des achats en ligne effectués par des Québécois ont été réalisées auprès des entreprises d'ici;
seulement 26 % du chiffre d'affaires des entreprises québécoises proviennent des ventes en ligne;
66 % des québécois ont effectué au moins un achat en ligne au cours des 12 derniers mois de l'enquête;
90 % des adultes québécois consultent Internet pour s'informer avant de faire un achat (rarement réalisé en ligne).
Donc, bien que le commerce électronique a énormément pris de l'ampleur au cours des dernières années, l'achat en magasin reste encore le principal mode de magasinage des québécois qui risque de se poursuivre pendant plusieurs années encore.
Selon Emploi-Québec, le métier de conseiller(ère) aux ventes en commerce de détail figure au 1er rang des métiers les plus en demande tous domaines confondus et tous niveaux d'études confondus.
En 2018, le salaire annuel moyen d'un(e) gérant(e) ou superviseur(e) d'un commerce au détail détenant 10 années d'expérience (à ce poste) au sein d'une PME était de 40 000 $;
le salaire annuel moyen d'un(e) conseiller(ère) en vente d'automobiles détenant 10 années d'expérience avec un niveau de ventes jugé "bon" au sein d'un concessionnaire d'automobiles neuves était de 50 000 $ (incluant les commissions et bonis aux ventes);
et le salaire annuel moyen d'un(e) gérant(e) ou superviseur(e) d'un commerce au détail détenant 10 années d'expérience (à ce poste) au sein d'une grande entreprise de commerce au détail était de 58 000 $.
Pour ce qui est des
La concurrence entre les entreprises d'ici et de plus en plus au niveau international, les entreprises ont besoin de personnel qualifié afin d'élaborer des stratégies marketing innovantes et développer de nouveaux marchés qui leurs permettront de se démarquer de leurs rivales.
Les emplois sont surtout orientés vers les importateurs, grossistes, distributeurs, manufacturiers-grossistes de toutes sortes, ainsi qu'au sein des entreprises de télécommunications.
Dans la plupart des régions du Québec (Montréal, Montérégie, Laurentides, Laval, Québec, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Bas-Saint-Laurent principalement); de nombreux emplois sont disponibles autant dans les grandes entreprises que dans les PME afin d'effectuer de la réprésentation pour leurs produits et services auprès de leurs clients actuels et pour prospecter de nouveaux clients un peu partout au Québec, ailleurs au Canada, aux États-Unis et de plus en plus, un peu partout dans le monde.
En consultant la section "portrait du commerce de gros" tu y découvriras les nombreux types de produits et services vendus par nos distributeurs, grossistes et manufacturiers québécois allant des produits alimentaires, en passant par des produits de soins personnels, des matériaux de construction, des produits de papier, des pièces métalliques en aluminium jusqu'aux produits pharmaceutiques.
En 2018, le salaire annuel moyen d'un(e) représentant(e) aux ventes détenant 10 années d'expérience au sein d'une PME était de 47 200 $ (excluant les commissions et les bonis aux ventes);
le salaire annuel moyen d'un(e) représentant(e) aux ventes - PME détenant 10 années d'expérience au sein d'une grande entreprise de télécommunications était de 58 300 $ (excluant les bonis aux ventes);
le salaire annuel moyen d'un(e) représentant(e) commercial détenant 10 années d'expérience au sein d'un distributeur ou grossistes en produits métalliques (notamment pour le domaine de la construction et la rénovation) était de 64 500 $.
et le salaire annuel moyen d'un(e) représentant(e) commercial détenant 10 années d'expérience au sein d'un fabricant ou d'un distributeur d'aliments et boissons (pour épiceries, dépanneurs et supermarchés) était de 65 400 $.
Pour plus de détails, consulte le Portrait de l'industrie du commerce de détail et le Portrait de l'industrie des technologies de l'information
PORTRAIT DE L'INDUSTRIE DU COMMERCE DE GROS :
Cette industrie comprend les établissements dont l'activité principale consiste à vendre en gros des marchandises généralement sans transformation, et à fournir des services résultant de la vente de marchandises auprès de détaillants.
Les grossistes vendent des marchandises à d'autres entreprises et travaillent habituellement à partir d'entrepôts ou de bureaux. Ces entrepôts et bureaux sont caractérisés par le fait que peu de marchandises y sont exposés, voire aucune. En outre, ni l'aménagement ni l'emplacement des locaux ne visent à attirer les passants. Les grossistes habituellement ne font pas de publicité auprès du grand public.
On peut les nommer "grossiste", "distributeur", "importateur", "importateur-grossiste", "détaillant-grossiste", manufacturier-grossiste" manufacturier-distributeur" "intermédiaire de commerce" ou "agent ou courtier en gros", ce sont toutes des appellations de commerçant de gros.
Ce secteur comprend deux principaux types de grossistes, soit les grossistes-marchands qui vendent des biens pour leur propre compte, et les marchés électroniques de gros et agents et courtiers en gros qui prennent des dispositions pour l'achat et la vente de biens pour le compte de tiers, habituellement moyennant le versement d'une commission ou d'honoraires.
Les grossistes-marchands achètent et vendent des marchandises pour leur propre compte; autrement dit, ils s'approprient les marchandises qu'ils vendent. Ils travaillent habituellement à partir d'entrepôts ou de bureaux et ils peuvent expédier les marchandises qu'ils ont en stock, ou les faire expédier directement du fournisseur au client. En plus de vendre des marchandises, ils peuvent assurer ou faire le nécessaire pour que soient assurés des services de logistique, de marketing et de soutien tels que l'emballage et l'étiquetage, la gestion des stocks, l'expédition, le traitement des réclamations au titre de la garantie, la promotion interne ou la promotion co-op et la formation requise relativement au produit.
Les grossistes-marchands sont connus sous diverses appellations selon les liens qu'ils entretiennent avec les fournisseurs ou les clients, ou selon la méthode de distribution qu'ils emploient. Ils peuvent se faire appeler, par exemple, marchands en gros, distributeurs en gros, intermédiaires en gros, concessionnaires de rayon, marchands d'import-export, groupes d'acheteurs, coopératives de marchands et grossistes d'une bannière particulière.
Les succursales ou bureaux de vente (mais pas les magasins de détail) dont se servent les entreprises de fabrication, de raffinage ou d'exploitation minière pour commercialiser leurs produits et qui sont situés ailleurs qu'à leurs usines ou à leurs mines sont compris dans les différentes catégories de grossistes-marchands.
Les marchés électroniques de gros entre entreprises et les agents et courtiers en gros prennent des dispositions pour l'achat ou la vente de biens appartenant à des tiers, généralement moyennant le versement d'une commission ou d'honoraires. Ils s'appellent marchés électroniques de gros entre entreprises, agents et courtiers du commerce de gros, marchands à commission, agents ou courtiers d'importation/exportation, compagnies de ventes aux enchères et représentants de fabricants. Ces établissements mènent leurs activités à partir de bureaux et, généralement, ne sont pas propriétaires des biens qu'il vendent ou n'en font pas la manutention.
On peut diviser cette industrie en 9 sous-secteurs de distribution, soit :
grossistes-marchands de produits agricoles : on y vend en gros des animaux vivants d'élevage, des graines oléagineuses et grains céréaliers, du lait brut, des fruits et légumes bruts non traités, des produits et plantes de pépinière et autres produits agricoles bruts (ex : cuirs et peaux non traités, de le soie brute, du sucre brut, du tabac brut, etc.).
grossistes-marchands de pétrole et de produits pétroliers : on y vend en gros du pétrole brut, du gaz de pétrole liquéfié, du mazout domestique, du gaz naturel liquéfié, du carburant pour véhicules (essence, diesel, kérosène, etc.) et autres produits pétroliers raffinés (ex : huiles et graisses lubrifiantes, huile à fournaise, gaz propane, pétrole distillé, etc.).
grossistes-marchands de produits alimentaires, de boissons et de tabac : comprend les produits alimentaires pour la consommation humaine (produits laitiers, volailles et œufs, viandes rouges et produits de la viande, fruits et légumes frais, poissons et fruits de mer, produits de boulangerie et pâtisserie, confiseries, aliments congelés emballés, café, thé, marinades/conserves/sauces, confitures/gelées/marmelades, aliments en conserve, aliments santé, gamme complète de produits alimentaires, etc.); les boissons alcoolisées ou non alcoolisées (ex : bières, liqueurs et vins, spiritueux, cidres, rafraîchissements, boissons gazeuses, concentrés de boisson, boissons rafraîchissements et santé, eaux minérales et de source, etc.); ainsi que les cigarettes et autres produits du tabac (cigares, cigarettes, tabac coupé, tabac séché ou transformé, etc.).
grossistes-marchands d'articles personnels et ménagers : regroupe un large éventail de produits tels que : les textiles, les vêtements et les chaussures (bottes, souliers, sandales, sacs à main et portefeuilles, lingerie et sous-vêtements, vêtements-prêt-à-porter, vêtements et mercerie pour hommes et garçons, vêtements de sport, vêtements de travail, chapeaux et casquettes, articles de tricot, autres accessoires vestimentaires, tissus, etc.); matériel de divertissement au foyer et appareils ménagers (systèmes de cinéma maison, systèmes de son, téléviseurs, lecteurs Bluetooth, lecteurs blueray, enregistreurs numériques, appareils électriques de soins personnels, appareils électriques de cuisine, aspirateurs ménagers, climatiseurs électriques, appareils électroménagers, les meubles de maison, etc.); accessoires de maison (lingerie et autres textiles domestiques, revêtements de sol comme les tapis ou les carreaux de parquet, les accessoires de décoration comme les stores, les cadres ou les miroirs, etc.); les articles personnels (bijoux et montres, livres et périodiques, jeux, jouets et articles de passe-temps, articles et équipements de sport, instruments de musique, matériel et fournitures photographiques, autres articles de divertissement, etc.).
grossistes-marchands de véhicules automobiles, et de pièces et d'accessoires de véhicules automobiles : comprend autant les automobiles et camions légers neufs et d'occasion, les véhicules récréatifs et de loisirs (motocyclettes, scooters, motoneiges, VTT, voiturettes de golf, embarcations nautiques motorisées ou non motorisées, véhicules de camping, roulottes, VR, remorques de camping, remorques pour automobiles, etc.) et les pièces et accessoires pour automobiles et camions légers, les pièces et accessoires pour véhicules récréatifs et de loisirs; que les véhicules lourds ou leurs pièces et accessoires (camions, tracteurs de camions, autobus, remorques pour camions, etc.).
grossistes-marchands de matériaux et fournitures pour la construction : regroupe le matériel de chauffage et de climatisation, le matériel, accessoires et produits pour la plomberie, les appareils d'éclairage, le matériel et l'appareillage de distribution électrique, les câbles, fils et autres fournitures électriques; les métaux et produits métalliques pour la construction (ex : charpentes/profilés et plaques, tubes et tuyaux, feuilles métalliques, ouvrages métalliques d'architectures, etc.); le bois d'œuvre, les contreplaqués, les menuiseries préfabriquées, les articles de quincaillerie, les peintures et produits de revêtement, et d'autres fournitures de construction, etc.
grossistes-marchands de machines, matériel et fournitures : regroupe un large éventail de produits tels que : matériel et équipements pour l'entretien paysager; les ordinateurs, périphériques et les logiciels de série; les composants électroniques, matériel de communication et de navigation (ex : équipements commerciaux de sonorisation, systèmes téléphoniques commerciaux, systèmes de câblodistribution, systèmes de radar, systèmes de signalisation, etc.); les machines et équipements de bureau; les équipements, matériel et fournitures pour magasins; le matériel d'ameublement commercial ou institutionnel (pour hôtels, restaurants, immeubles à bureaux, écoles, hôpitaux, etc.); les machines, matériel, fournitures et pièces d'équipements pour l'agriculture; les machines, matériel, fournitures et pièces d'équipements pour la foresterie; les machines, matériel, fournitures et pièces d'équipements pour les carrières et les mines; les machines, équipements, matériel et pièces pour la construction et les travaux publics; les machines, les instruments médicaux, scientifiques et équipements pour laboratoires; les équipements et matériel pour entreprises manufacturières (alumineries, papetières, scieries, usines alimentaires, usines de plastiques, usines de fabrication métallique, etc.); ainsi que tous autres machines, matériel et fournitures pour établissements de services, pour professionnels (médecins, dentistes, ingénieurs, scientifiques, artistes, etc.); etc.
grossistes-marchands de produits et fournitures pharmaceutiques, articles de toilette, de cosmétiques et articles divers : comprend les médicaments sur ordonnance, les médicaments de prescription, les médicaments naturels, les produits biologiques médicaux, les produits radiologiques et isotopes, les parfums et flagrances, les huiles et sels de bain, les produits de soins des cheveux, les produits de soins de la peau, les cosmétiques, autres articles de pharmacie, les produits sanitaires personnels, etc.).
grossistes-marchands de produits divers : regroupe tous les autres produits non inclus dans les catégories précédentes tels que : les papiers et les produits de papier; les produits chimiques et produits similaires; les fournitures agricoles (semences, aliments pour animaux d'élevage, engrais et fertilisants biologiques, etc.); les matières recyclables (métaux recyclables, papiers et cartons recyclables, plastiques recyclables, autres matières recyclables); les minéraux, minerais et métaux précieux; les billes et copeaux de bois; les marchandises d'occasion sauf automobiles et pièces (meubles, vêtements, livres, etc.); tous autres produits non énumérés ailleurs (ex : animaux de compagnie, huiles et graisses animales ou végétales, articles en cuir sauf les chaussures et vêtements, enseignes, articles publicitaires, fusils et autres armes à feu, maisons mobiles, etc.).
commerce électronique de gros entre entreprises, ainsi qu'agents et courtiers : comprend les agents et les courtiers en commerce de gros (les négociants travaillant à commission, les agents ou courtiers d'importation, les agents ou courtiers d'exportation, les représentants de manufacturiers, les agents d'approvisionnement et les agents de vente qui font le commerce de produits de tous genres); ainsi que le commerce électronique de gros entre entreprises (comprend les marchés électroniques de gros entre entreprises, qui servent d'intermédiaires, par Internet ou d'autres moyens électroniques, entre acheteurs et vendeurs, moyennant, en général, le versement d'une commission ou d'honoraires).
En 2016, le Québec a exporté des centaines de marchandises diverses dans de nombreux payés pour une valeur totale de près de 80,4 milliards $, soit plus de 15 % de l'ensemble des exportations canadiennes.
On y retrouvait plus de 6 000 grossistes-marchands dans l'ensemble des sous-secteurs partout au Québec dont :
44 % employaient moins de 5 personnes, 22 % employaient entre 5 et 9 personnes, 17 % employaient entre 10 et 19 personnes, 12 % avaient entre 20 et 49 employés, 4 % avaient entre 50 et 99 employés, alors que seulement 2 % des entreprises employaient 100 travailleurs ou plus.
Elles employaient plus de 142 100 travailleuses et travailleurs (principalement concentrés dans les régions de Montréal 30 %, Montérégie 20 %, Laval 9 %, Laurentides 8 % et Québec 7 %) dont :
24 % dans le sous-secteur des machines et matériel, 21 % dans le sous-secteur des articles personnels et ménagers, 16 % dans le sous-secteur des matériaux de construction, 15 % dans le sous-secteur des aliments, boissons et tabac, 12 % dans le sous-secteur des véhicules et pièces de véhicules et 12 % dans l'ensemble des 4 autres sous-secteurs.
Parmi les produits les plus exportés, on retrouve :
aéronefs : 7,24 milliards $
aluminium et alliages d'aluminium sous forme brute : 5,33 milliards $
minerais et concentrés de fer : 2,29 milliards $
pièces pour aéronefs et autres matériels pour aéronefs : 2,11 milliards $
papier (sauf papier journal) : 1,80 milliards $
produits pharmaceutiques et médicinaux : 1,72 milliards $
moteurs et pièces de moteurs d'aéronefs : 1,70 milliards $
porc frais et surgelé : 1,47 milliards $
papier journal : 1,46 milliards $
machines et équipements pour les entreprises de services et le commerce : 1,43 milliards $
cuivre et alliages de cuivre sous forme brute : 1,36 milliards $
circuits électroniques et assemblage de circuits imprimés : 1,33 milliards $
bois d'œuvre de résineux : 1,32 milliards $
l'électricité : 1,27 milliards $
camions, autobus et carrosseries de véhicules lourds : 1,26 milliards $
pâte de bois : 1,19 milliards $
pièces pour machines et équipements industriels : 1,11 milliards $
métaux non ferreux (sauf aluminium) : 981 millions $
appareils électriques, électroniques, médicaux, scientifiques et techniques : 976 millions $
fer, acier et ferroalliages sous forme brute : 921 millions $
produits de confiseries : 760 millions $
pièces pour automobiles et véhicules lourds : 720 millions $
turbines et groupes turbo-alternateurs et autres équipements hydro-électriques : 648 millions $
ameublement de maison : 603 millions $
chocolat (sauf confiseries) : 600 millions $
Les principaux pays importateurs de produits canadiens sont :
les États-Unis : 71 %
la Chine : 4 %
le Mexique : 2 %
la France : 2 %
le Japon : 1,5 %
l'Allemagne : 1,5 %
le Royaume-Uni : 1,5 %
l'Espagne : 1 %
les Pays-Bas : 1 %
la Belgique : près de 1 %
PORTRAIT DE L'INDUSTRIE DU COMMERCE DE DÉTAIL :
L'industrie québécoise du commerce au détail est le deuxième plus grand employeur privé au Québec (derrière le secteur des services pour le grand public), il un moteur essentiel à la vitalité économique du Québec et ce, malgré les bouleversements et les changements qu'elle subie depuis quelques années.
Par le passé, la croissance continue du revenu des ménages stimulait les dépenses de consommation, ce qui faisait augmenter les effectifs dans le commerce de détail. Aujourd’hui, cette chaîne d’influence positive s’est amenuisée en raison de la faible dynamique de la population québécoise et des marchés qui ont atteint une certaine maturité. Il est désormais impossible pour le commerce de détail de maintenir un rythme de croissance aussi élevé que par le passé puisque la croissance des ventes n’entraîne plus automatiquement celle de l’emploi dans ce secteur d’activités.
L’offre de service est déjà très développée au Québec. Dans certains segments, la capacité d’augmenter les revenus repose désormais sur l’habileté à attirer les dépenses que les consommateurs réalisent ailleurs. Il ne s’agit pas de nouvelles dépenses en biens et services, mais plutôt d’enlever des dépenses à la concurrence. Dans cet environnement, on ne s’étonne pas que la compétition soit très forte. Cette situation est amplifiée d’importants investissements dans le commerce de détail au Québec. Cela entraîne, à tout le moins, un impact positif : les services de publicité profitent de la volonté des entreprises de se démarquer et de rivaliser, et cela se réalise de plus en plus via les médias électroniques et sociaux.
Enfin, le commerce électronique connaît une forte croissance au Québec et touche tous les groupes d’âges. Si près d’un Québécois sur deux est un adepte de cette façon d’acheter, seulement 14,5 % des commerces de détail de la province font des affaires électroniques et peu ont l’intention d’investir dans un proche avenir pour améliorer cette situation. C’est dire qu’une part importante du commerce électronique échappe aux commerces québécois puisque les achats doivent être réalisés par l’intermédiaires de sites internet américains ou d’ailleurs. Le commerce électronique connaît une croissance supérieure au rythme de la vente au détail en ce moment. En n’étant pas en mesure de profiter de cette dynamique, le commerce de détail du Québec perd des parts de marchés au profit d’entreprises localisées hors province.
Certains sous-secteurs du commerce de détail subissent les contrecoups du commerce électronique puisque les consommateurs ont le choix d'acheter par le biais de sites Internet étrangers offrant des prix alléchants plutôt que d'appuyer l'économie d'ici en achetant des produits de détaillants québécois dont les prix sont parfois plus élevés (mais pas toujours le cas en tenant compte de la qualité/prix, des frais de transport et manutention, etc.). C'est le cas des vêtements prêt-à-porter, des accessoires vestimentaires (tels que les bijoux), des jeux et jouets, des appareils électroniques, du matériel informatique, de l'ameublement, des produits pour le bureau et des produits pour la décoration. Malgré cela, plusieurs détaillants québécois sont présents dans le commerce en ligne et font de nombreuses affaires via ce nouveau mode de vente.
Or, d'autres sous-secteurs sont peu touchés par ce nouveau mode d'achat, c'est le cas du commerce d'alimentation, des véhicules automobiles, des véhicules récréatifs et de loisirs, des vêtements hauts de gamme, des articles et équipements de sport, des produits de quincaillerie et de rénovation, ainsi que des produits pharmaceutiques. Bien que les consommateurs magasinent sur le net afin de comparer les prix entre les détaillants, la plupart préfèrent se rendre chez le commerçant choisi afin d'acheter leur bien.
Donc, malgré les fermetures de plusieurs magasins à surface (Zellers, Future Shop, Target, Sears, etc.) depuis quelques années et les nombreuses pertes d'emploi qu'elles ont engendré, l'industrie continue à se maintenir puisque ce sont les PME qui occupent la grande part du marché et qu'une grande partie des emplois perdus sont récupérés par ces dernières.
En effet, de 2012 à 2016, on constate une hausse de 13 % du nombre d'entreprises œuvrant dans le commerce au détail au Québec et un gain de 0,2 % de nouveaux emplois, soit plus de 2 400 travailleuses et travailleurs.
En 2016, on comptait plus de 27 300 entreprises (comptant plus de 56 000 magasins et succursales) dans toutes les régions du Québec ayant généré des revenus de plus de 94 milliards $, soit :
37 % employaient moins de 5 personnes
28 % employaient entre 5 et 9 personnes
17 % employaient entre 10 et 19 personnes
11 % employaient entre 11 et 49 personnes
4 % comptaient entre 50 et 99 employés
2 % avaient entre 100 et 199 employés
seulement 1 % comptaient plus de 200 employés.
En 2016, ces entreprises employaient près de 322 200 travailleuses et travailleurs, soit 8 % de la main-d'œuvre totale du Québec. Parmi ceux-ci :
32 % avaient moins de 25 ans
29 % entre 25 et 34 ans
15 % entre 35 et 44 ans
20 % entre 45 et 54 ans
13 % entre 54 et 65 ans
3 % étaient âgés de plus de 65 ans.
Il faut également préciser que 22 % des travailleurs(euses) du commerce au détail sont des travailleurs indépendants, soit près de 70 900 personnes.
Enfin, il faut ajouter plus de 150 000 emplois indirects que génèrent l'industrie dans le secteur des services notamment (auprès des entreprises de camionnage, firmes de consultants en gestion, des firmes de consultants en TI, des agences de publicité et marketing, les agences de recrutement, les cabinets de comptables, les cabinets d'avocats, etc.).
Plus de 60 % des travailleurs de l'industrie occupaient un emploi dans le domaine des ventes et services (incluant le marketing), 16 % dans le domaine de la administration autre qu'en vente et marketing (comptabilité, finance, gestion ressources humaines, gestion de la chaîne d'approvisionnement), 10 % dans le domaine de la gestion (gestionnaires, cadres de direction, propriétaires-gérants, etc.), alors que 14 % occupaient un emploi dans un autre domaine (ex : manutention, transport, communications, technologies de l'information, etc.).
Bien que l'industrie soit présente dans toutes les régions du Québec, ce sont les régions les plus populeuses qui comptaient le plus grand nombre d'entreprises et d'emplois, soit : Montréal, Montérégie, Québec, Laurentides, Laval Lanaudière et Chaudière-Appalaches.
Par contre, les régions ayant connu la plus forte croissance de l'industrie sont : Laurentides (1 %), Lanaudière (0,7 %), Montérégie (0,4 %), ainsi que Chaudière-Appalaches (0,4 %).
Il existe plus d'une soixantaine de types de commerces au détail répartis dans 10 sous-secteurs différents. Depuis quelques années, les commerces au détail se diversifient dans les types de produits offerts afin de mieux faire face à la concurrence des grandes chaînes et aux changements des habitudes de consommation de la clientèle. Contrairement aux entreprises de la plupart des autres industries, celles du commerce au détail offrent un éventail de produits qui vont au-delà de l'activité principale du commerçant.
Par exemple, le marchand de meubles, vend maintenant des appareils électroniques grand public et des électroménagers ou le quincailler offre également des produits pour le jardinage et la décoration intérieure ou le pharmacien propriétaire offre une variété de marchandises de toutes sortes et l'épicier ne vend plus que des aliments et des articles de cuisine, mais aussi des produits de jardinage, de décoration intérieure, des jeux et jouets, etc. Quant aux librairies, on y vend pas seulement des livres, mais aussi des jeux, des jouets, des passe-temps, etc.
Voici un petit portrait de chacun des sous-secteurs :
produits alimentaires,
articles personnels et produits
domestiques : comprend tous les marchands spécialisés en
produits alimentaires, articles personnels et articles divers la maison,
soit : supermarchés, épiceries fines, dépanneurs, magasins d'alimentation
spécialisée comme les boucheries de détail, les boulangeries-pâtisseries,
les marchés de fruits et légumes, les poissonneries, les magasins de
boissons alcoolisées et les confiseries). Bien que plusieurs détaillants de
marchandises dont certaines grandes surfaces offrent également des produits
alimentaires, ils ne sont inclus dans ce secteur.
Annuellement, un
ménage dépense en moyenne plus de 5 750 $ pour l'achat d'aliments en
magasin, alors qu'il était de 5 220 $ en 2003.
En 2016, les
commerces d'alimentation généraient des revenus de plus de 28,1 milliards $,
soit une hausse de 2,9 % par rapport à 2015 et une hausse de 7,9 % par
rapport à 2013. Donc, si le commerce au détail dans certains secteurs vont
moins bien, c'est loin d'être le cas pour le secteur de l'alimentation. Par
contre, il subit lui aussi de nombreux changements (parts de marchés que
s'approprient les grandes surfaces, parts de marché des épiceries en ligne,
etc.) qui affectent les plus petits détaillants comme les dépanneurs et les
épiceries spécialisées.
La part de marché pour les aliments selon le
type de commerce en 2016 était de :
épiceries et supermarchés traditionnels :
76 % (était de 82 % en 2010 et 87 % en 2004)
magasins de marchandises
diverses (dont les grandes surfaces) : 20 % (était de 14 % en 2010 et 10 %
en 2004)
pharmacies : 2 % (était de 2 % en 2010 et 1,5 %)
magasins
d'alimentation spécialisée : 2 % (aucun changement depuis les dernières
années).
On y comptait plus de 1 600 supermarchés et hypermarchés
dans plusieurs centaines de municipalités dans toutes les régions employant
plus de 72 000 personnes.
Par ceux-ci, plus de la moitié étaient des
détaillants indépendants associés (franchisés) dans une dizaine de bannières
de l'une des 4 grandes chaînes d'alimentation, plus de 40 % appartenaient
aux grandes chaînes, alors que moins de 10 % étaient des détaillants
indépendants associés à aucune bannière.
On y comptait près
de 1 100 autres épiceries (sauf dépanneurs), majoritairement indépendants
qui comprennent notamment les magasins généraux dans les petites
municipalités et villages, les épiceries du coin, les coopératives
d'alimentation (sauf celles associées à une bannière) et autres magasins
dont l'activité principale est la vente de produits alimentaires (sauf les
magasins d'alimentation spécialisée). Ils employaient plus de 12 700
personnes.
On y
comptait près de 5 550 dépanneurs et épiciers situés dans quelques
miliers de municipalités dans toutes les régions du Québec (dont plus de 1
800 étaient des stations-service avec dépanneurs) qui employaient plus de 46
000 personnes.
Parmi ceux-ci, plus de 3 500 appartenaient à l'une des
12 grandes chaînes sous l'une des 58 bannières présentes au Québec et
employaient plus de 38 000 personnes.
On y comptait 445 magasins de
boissons alcoolisées qui employaient plus de 7 100 personnes, dont 405
succursales de la SAQ employant plus de 7 000 travailleuses et travailleurs.
Enfin, on y comptait plus de 2 200 magasins d'alimentation spécialisée qui
employaient plus de 16 200 personnes, soit :
près de 800 boucheries
de détail qui employaient plus de 5 400 personnes.
plus de 400
boulangeries-pâtisseries commerciales qui employaient plus de 3 200
personnes.
près de 320 marchés de fruits et légumes qui employaient plus
de 2 600 personnes.
plus de 150 confiseries, chocolateries et magasins de
noix qui employaient plus de 900 personnes.
près de 140 poissonneries qui
employaient plus de 900 personnes.
plus de 400 autres magasins
d'alimentation spécialisée (incluant les magasins de café ou de thé, bars
laitiers, les marchés de produits diététiques ou de santé, etc.) qui
employaient plus de 3 200 personnes.
L'ensemble du commerce de détail
en alimentation au Québec comptait plus de 10 900 commerces (dont : 4 700
appartenaient aux grandes chaînes, soit 43 %; plus de 950 étaient des
détaillents franchisés, soit 9 %; alors que plus de 5 200 étaient des
détaillants indépendants, soit 48 %.
Il employaient plus de 154 000
travailleuses et travailleurs, soit 48 % de l'ensemble des emplois de
l'industrie du commerce au détail au Québec.
véhicules motorisés et pièces et
accessoires : comprend autant les automobiles et les camions légers,
les véhicules récréatifs et de loisirs sur route ou hors-route (motos,
scooters, motoneiges, VTT, véhicules de camping, les embarcations nautiques
et avions ultralégers) que les pièces et accessoires pour ces véhicules.
Parmi ces entreprises, plus de 4 500 étaient des commerces au détail
(marchands de véhicules, de pièces ou d'accessoires) qui employaient plus de
67 800 travailleuses et travailleurs, ce qui représente 21 % de la
main-d'œuvre totale de l'industrie du commerce au détail du Québec.
On comptait 900
concessionnaires d'autos neuves ayant généré des revenus de plus de 550
millions $ et qui qui employaient plus de 33 500 personnes; plus de 2500 marchands d'autos d'occasion (dont 45 % n'avaient pas d'employé) ayant
généré des revenus de plus de 250 millions $ et qui employaient plus de 17
200 personnes; plus de 1 380 marchands, de pièces et
accessoires pour automobiles (dont 36 % n'avaient pas d'employé) ayant
généré des revenus totalisant près de 910 millions $ et employaient plus de
14 300 travailleuses et travailleurs; ainsi que plus de 320 marchands de
pneus.
En 2016, on y comptait de plus
de 250 marchands et concessionnaires de véhicules de loisirs neufs et
d'occasion qui employaient plus de 2 500 personnes; ainsi qu'une
cinquantaine de commerçants de véhicules récréatifs de camping qui
employaient quelques centaines de personnes.
En 2014, il y avait 1 932
pharmaciens(nes) propriétaires des 1 790
pharmacies privées au Québec, soit :
Au niveau de la
superficie; 50 % d'entre-elles ont moins de 1 000 pi2,
29 % ont entre 1 000 et 2 000 pi2, 8
% ont entre 2 001 et 3 000 pi2, 5 %
ont entre 3 001 et 5 000 pi2, alors
que seulement 8 % ont plus de 5 000 pi2.
Il existe au
Québec 20 bannières différentes de pharmacies (dont appartenant
à quelques chaînes)
et quelques pharmaciens propriétaires indépendants. Leur répartition est la
suivante :
66 % sont
affiliées
(franchisées) à l'une des 4 plus grandes chaîne de pharmacies,
28 % sont
affiliées
(franchisées) à une autre chaîne de pharmacies,
4 %
appartiennent à une
chaîne de magasins grande surface,
seulement 2
% sont indépendants sans bannière.
En 2016, ce sont 13 % de la
main-d'œuvre totale du commerce au détail québécois, soit plus de 41
000 personnes qui travaillaient au sein des pharmacies dans toutes les
régions du Québec dont plus de 95 % pour le compte de pharmaciens
propriétaires détenant une franchise d'un chaîne.
Dans ce
sous-secteur, on y retrouve également plus de 180 parfumeries et autres
magasins de parfums, flagrances et produits cosmétiques et de beauté dont 80
% sont des succursales ou franchises 10 chaînes. Plus de 97 % employaient
moins de 5 personnes.
Il regroupe également
12 chaînes de lunetterie ou réseau d'optométristes au Québec qui comptaient
plus de 370 cliniques partout au Québec et plus de 350 centres de lunetterie
indépendants (dont la presque totalité employaient moins de 5 personnes).
quincaillerie, produits de
rénovation et produits de jardinage et d'entretien paysager : les ventes au détail des produits
de quincaillerie, de rénovation et de jardinage ainsi que des matériaux de
construction au Québec sont estimées à plus de 8 milliards de dollars par
année. Parmi celles-ci, des ventes d’environ 6 milliards de dollars sont
réalisées par les quincailleries et les centres de rénovation.
Au
Québec, les détaillants de produits de quincaillerie, de rénovation et de
jardinage ainsi que de matériaux de construction regroupent 1 696
établissements, dont quelque 800 font partie de grandes chaînes. Le reste
est composé de commerces indépendants de matériaux de construction, de
produits d’aménagement, de rénovation résidentielle ou d’outils. Dans
l’ensemble, ce secteur représente 7 % des établissements commerciaux au
Québec et compte 28 900 employés, ce qui représente près de 10 % des emplois
totaux du
commerce de détail au Québec.
Les détaillants de produits de
jardinage et plusieurs grandes chaînes généralistes dont Walmart, Costco et
Loblaws offrent aussi des produits de quincaillerie, de rénovation et de
jardinage ainsi que des matériaux de construction au Québec. Notamment, plus
de 40 % des ventes de Canadian Tire au Québec correspondent à des produits
de quincaillerie.
Dans ce sous-secteur, on y regroupe également 36
jardineries et centres de jardin et autres commerces de produits
d'aménagement paysager et de jardinage, ainsi que près de 500 fleuristes et
autres magasins de fleurs (dont la moitié environ n'avait aucun employé et
la majorité des autres employaient moins de 5 personnes).
ameublement, produits de
décoration, appareils ménagers, produits électroniques grand public et
autres produits pour la maison :
regroupe tous les commerçants de meubles de maison meubles de salle à
manger, de chambre à coucher; meubles audio-vidéo; mobilier de salon
(rembourré ou non); le mobilier de bureau pour la maison; ainsi que le
mobilier de rangement); les produits électroniques grand public (systèmes de
cinéma maison, systèmes de son, téléviseurs, enregistreurs numériques,
etc.); les appareils ménagers (appareils électriques de soins personnels,
appareils électriques de cuisine, aspirateurs ménagers, climatiseurs
électriques, appareils électroménagers, etc.), les produits pour
l'aménagement intérieur (armoires de cuisine et de salles de bain, les
portes et fenêtres); les articles de décoration pour la maison (lingerie et
autres textiles domestiques, revêtements de sol comme les tapis ou les
carreaux de parquet, les accessoires de décoration comme les stores, les
cadres ou les miroirs, etc.).
En 2016, les produits électroniques
grand public et les appareils ménagers (petits et gros) ont généré des
revenus totalisant près de 3,1 milliards $; les meubles de maison ont généré
des revenus de plus de 2,2 milliards $ et les accessoires pour la maison
(produits de décoration et articles domestiques) ont généré des revenus de
1,4 milliards $.
On y comptait plus de 525 commerçants de meubles et
autres produits d'ameublement (dont plusieurs vendent également des produits
électroniques grand public et appareils ménagers). Plus de 36 % employaient
moins de 5 personnes, 44 % entre 6 et 49 personnes, 19 % entre 50 et 99
personnes et seulement 1 % (les 5 plus important employeurs) comptaient 100
employés ou plus.
Près de 70 de ces magasins étaient des succursales de
8
grandes chaînes et le reste étaient des commerces indépendants. Ils
employaient près de 15 200 personnes dont plus de 4 500 au sein des grandes
chaînes.
En 2016, on y comptait plus de 826 magasins d'accessoires de
maison et de décoration intérieure dans toutes les régions du Québec dont 9
petites, moyennes et grandes chaînes ayant plus de 236 succursales ou
franchisés.
Plus de 44 % employaient moins de 5 personnes, plus de 51 % employaient
entre 10 et 49 personnes, 5 % employaient entre 50 et 99 personnes et moins
de 1 % avaient 100 employés ou plus.
Ils employaient plus de 13 000
travailleuses et travailleurs dont seulement un millier au sein des grandes
chaînes.
En 2016, on y comptait également plus de 240 détaillants ou
fabricants-détaillants d'armoires de cuisine et de salle de bain, ainsi que
64 détaillants de couvre-planchers un peu partout au Québec.
articles de sport, de
divertissement et de loisirs : regroupe les commerçants
d'articles et équipements de sport (ski, golf, cyclisme, hockey, chasse et
pêche, etc.); les articles de loisirs (piscines, spas, jeux vidéo, jeux de
société et autres jeux pour la famille, jeux pour enfants, jeux pour
adultes, jouets pour enfants, jouets pour adultes, instruments de musique,
etc.) et autres articles de divertissement (livres, magazines et
périodiques, fournitures pour la musique, matériel pour artistes,
fournitures et matériel photographique, articles
de collection, etc.).
L'ensemble du sous-secteur de la vente au
détail d'articles de sport, de passe-temps, de musique et de livres regroupe
plus de 1 200 magasins ayant généré
des revenus de près de 2,5 milliards $ en 2016, ce qui représente une légère
hausse par rapport aux années précédentes (était de 2,4 milliards $ en 2015
et 2,15 milliards $ en 2013). Ils employaient près de 20 000 travailleuses
et travailleurs, soit 6 % des emplois du commerce au détail du Québec.
Les ventes d'articles de sport et de plein air sont
principalement la cause de cette légère hausse des revenus de ce
sous-secteur. Elles sont notamment moins touchées par les ventes en ligne
chez des détaillants hors-Québec que les ventes de jeux et jouets ou de
livres et autres articles de passe-temps plusieurs articles vendus chez nous
sont adaptés à nos conditions hivernales, mais également plusieurs
manufacturiers sont québécois.
En 2016, il y avait plus de 900
détaillants d'articles et de vêtements de sport et de plein air (dont 103
détaillants de piscines et spas) dont 235 magasins franchisés ou appartenant
à l'une des 10 petites, moyennes ou grandes de détaillants, alors que les
autres sont des détaillants indépendants.
Plus de 36 % employaient
moins de 5 personnes, 32 % employaient entre 5 et 49 personnes, 31 %
employaient entre 50 et 99 personnes et seulement 1 % avaient 100 employés
ou plus.
Elles employaient prés de 14 000 travailleuses et
travailleurs dans toutes les régions du Québec dont plus de 8 000 au sein
des moyennes et grandes chaînes.
Bien que l'industrie du jeu, du jouet et du passe-temps
ne roule pas sur l'or et ses hausses ne progressent pas énormément d'année
en année, le commerce au détail des jeux, jouets et passe-temps semble mieux
aller au Québec qu'aux États-Unis. Avec la disparition de quelques chaînes
de grandes surfaces et les problèmes financiers actuels rencontrés chez certains grands
détaillants de jouets et la fermeture de d'autres; l'avenir semble prometteur pour les détaillants
indépendants, puisque les manufacturiers et distributeurs se tourneront vers
eux afin d'assurer leurs revenus, mais rien n'est certain.
L'autre problème est que plusieurs
détaillants spécialisés de d'autres secteurs (alimentation, pharmacie,
librairie, sans oublier les magasins de matériel informatique et les
boutiques de matériel de télécom qui vendent
des jeux vidéo), font également concurrence aux détaillants de jouets.
En 2016, on y comptait près de 200 magasins de jeux, jouets et
passe-temps dont 97 % employaient moins de 10 personnes. Donc, elles
employaient près de 3 300 travailleuses et travailleurs dont 2 300 au sein
de 5 chaînes (regroupant 74 magasins).
On y comptait également une
centaine de magasins spécialisés en instruments de musique (presque tous
indépendants) qui employaient quelques centaines de personnes dont plusieurs
conseillers détenant une formation en musique ou en lutherie.
Les ventes au détail de livres, magazines
et périodiques totalisaient 602,8 millions $ en 2016 en baisse de 0,9 %
par rapport aux 608,2 millions de 2015. Mais entre ces deux années, l’apport
des ventes globales des librairies indépendantes a augmenté de 4,5 %, alors
que les chaînes ont reculé de 4,2 %.
Si le nombre de librairies
indépendantes a aussi chuté, c’est dans une plus faible proportion. Dans la
grande répartition des différents points de vente, les librairies
indépendantes gagnent 36 % des parts, et les chaînes de librairies 29 %,
alors que les grandes surfaces occupent 35 % du marché.
En 2016, on y
comptait 107 librairies indépendantes générales et spécialisées et
plus de 120 magasins de 5 grandes chaînes librairies dans toutes les régions du Québec.
Elles employaient plus de 2 200 travailleuses et travailleurs dont plus de 1
000 au sein des grandes chaînes.
vêtements et accessoires vestimentaires
: regroupe tous les magasins de vêtements (lingerie
et sous-vêtements, prêt-à-porter, hauts de gamme, en fourrure véritable ou
synthétique, en cuir véritable ou synthétique ou suède, pour le sport et le
plein air, pour le travail pour femmes, hommes, enfants et bébés); les
chaussures (souliers, bottes, sandales, pantoufles et accessoires pour
chaussures); les bijoux et les montres; les autres accessoires
vestimentaires (chapeaux, casques, casquettes, gants, tuques, foulards,
etc.).
En 2016, elle a généré des revenus de plus de 7,2 milliards $,
comptait près de 4 600 entreprises (dont une soixantaine de chaînes détenant
une centaine de bannières) qui employaient près de 40 600 travailleuses et
travailleuses dans toutes les régions du Québec, ce qui représente 17 % des
entreprises, 13 % des emplois et 7 % des revenus de l'ensemble de
l'industrie du commerce au détail.
Le sous-secteur de la vente de vêtements prêt-à-porter et de
la lingerie est étouffé par la multiplication de magasins à grande surface
qui offrent des vêtements mode à prix doux et les commerces en ligne
provenant de l'étranger (notamment de l'Asie) offrant leurs produits à des
prix dont les détaillants d'ici sont incapables de concurrencer; plusieurs
chaînes québécoises, autres chaînes canadiennes et autres géants de la vente ont de la difficulté à
suivre le pas. Depuis la fin de 2014, la liste des magasins en difficultés
financières s’est multipliée et plus d'une centaine de boutiques de quelques
chaînes ont fermé leurs portes, sans oublier quelques dizaines de commerces
indépendants.
Les ventes de ces types de vêtements ont généré des
revenus de plus de 5,3 milliards $ en 2016 au Québec (soit 25 % des ventes
canadiennes) chez l'ensemble des détaillants (incluant les grandes surfaces
et les ventes en ligne de détaillants québécois).
Néanmoins, on y comptait plus de 1
250 magasins
appartenant à 25 chaînes québécoises de détaillants prêt-à-porter et de la lingerie
(détenant près de 60 bannières) qui employaient près de 13 000 personnes
(dont plus de 9 500 dans les boutiques et 3 500 dans les sièges sociaux en
2016.
Il faut ajouter quelques centaines de boutiques appartenant à
une dizaine d'autres chaînes canadiennes et des chaînes étrangères
(américaines ou françaises notamment) qui employaient plus d'un millier de
personnes.
Enfin, plus de 2 500 magasins indépendants de vêtements prêt-à-porter et de
la lingerie qui employaient plus de 12 500 personnes.
Le sous-secteur
des vêtements hauts de gamme (mercerie, vêtements sur mesure,
vêtements pour le mariage, vêtements de soirée, autres vêtements habillés)
connait aussi son lot de problèmes. Le commerce en ligne et le plus grand
choix de vêtements de ce type offert par les grandes surfaces ont eu pour
effet que plusieurs magasins indépendants ont fermé leurs postes ou
rencontrent des difficultés financières dont la fermeture de l'un des géants
québécois de la mercerie qui occupait une part importante du marché.
Néanmoins, il a généré des revenus de près de 480 millions $ en 2016 (soit
22 % des ventes canadiennes) et comptait 107 magasins de 9 chaînes
(canadiennes ou américaines), ainsi qu'une soixantaine de merceries,
boutiques de tailleur et autres magasins d'indépendants, principalement
concentrés dans les régions de Montréal, Québec, Laurentides
(Mont-Tremblant) et Gatineau qui employaient près d'un millier de personnes.
Le
sous-secteur de la chaussure a généré des revenus de plus de 998
millions $ en 2016 (soit 25 % des ventes canadiennes), ce qui représente une
légère hausse par rapport à 2015, 2014 et 2013, mais des baisses significatives
depuis 2009.
En 2016, on y comptait plus de 875 magasins de
chaussures qui employaient plus de 7 900 travailleuses et travailleurs dans
toutes les régions du Québec dont plus de 600 appartenant à une dizaine de
chaînes de détaillants.
Enfin, le sous-secteur des accessoires
vestimentaires (incluant les bijoux et montres) est peut-être celui qui
génère les plus importants revenus et qui procure le plus grand nombre
d'emplois, mais est probablement celui qui se porte le mieux dans cette
industrie qui subit de nombreux bouleversements qu'est celle du vêtement et
des accessoires vestimentaires.
En 2015, il a généré des revenus de
plus de 443 millions $ (bijoux, bagages, maroquinerie et autres accessoires)
et comptait plus de 890 entreprises qui procuraient de l'emploi pour plus de
6 200 travailleuses et travailleurs.
Parmi ces derniers, on comptait
plus de 146 succursales ou franchisés de 6 chaînes de détaillants, ainsi que
plus d'une centaine de bijouteries indépendantes et boutiques de joailliers
un peu partout au Québec qui employaient près de 2 000 personnes.
matériel informatique et produits
de télécommunications : les détaillants spécialisés de
produits informatiques vendent des micro-ordinateurs (de table, portable) et
leurs périphériques, des pièces et accessoires informatiques, des logiciels
grand public, etc.). Mais, souvent, ces détaillants offrent également du
matériel informatique pour les PME, un service de support aux particuliers,
travailleurs autonomes et PME et parfois, effectuent de l'assemblage de
produits sur mesure.
En 2016, les produits informatiques ont généré
des revenus totalisant plus de 4,7 milliards $ provenant des détaillants de
meubles et produits électroniques grands publics (principalement les grandes
chaînes) avec 36 % des parts du marché; les détaillants de produits de
bureau et matériel de bureautique avec 20 %, les grandes surfaces avec 14 %,
alors que les détaillants spécialisés de produits informatiques n'occupaient
que 30 % des parts du marché, soit des revenus de 1,4 milliards.
On y
comptait plus de 580 détaillants spécialisés de produits informatiques
(presque tous les commerçants indépendants) un peu partout au Québec qui
employaient plus de 5 400 personnes.
Sont inclus également dans ce
sous-secteur, plus de 200 magasins de vente et location de produits de
télécommunication (téléphones, tablettes, enregistreurs numériques, jeux
vidéo, films, accessoires résidentiels pour les télécom, etc.) appartenant
aux 4 principales entreprises de télécommunications.
produits pétroliers :
regroupe tous détaillants de carburants traditionnels, mais aussi les
détaillants de biocarburants; ainsi que les distributeurs de mazout et
lubrifiants; qu'elles soient sous une bannière d'une compagnie pétrolière ou
indépendantes. En 2016, le commerce au détail de produits pétroliers au
Québec a généré des revenus totalisant plus de 12,1 milliards $, soit plus
de 20 % des revenus totaux du commerce au détail.
Contrairement à ce
que l'on peut croire, la majorité des points de service de carburants ne
sont pas la propriété des grandes compagnies pétrolières, mais plutôt d'une
vingtaine de grands détaillants (chaînes de dépanneurs, groupes de détail en
alimentation, groupes pétroliers indépendants ou chaînes de
stations-service).
En 2016, on y comptait près de 2 800
stations-service partout au Québec (c'est davantage qu'Ontario) qui
employaient plus de 17 000 travailleuses et travailleurs.
Plus de 500
d'entre-elles sont la propriété de 5 grandes pétrolières,
plus de 1
600 appartenaient aux groupes indépendants de distribution de produits
pétroliers dont plus de 750 au sein des 5 plus grandes entreprises,
alors que près de 630 stations-service indépendantes étaient détenues par
un(e) propriétaire unique (souvent des entreprises familiales) et dont la plupart n'ont aucun salarié.
autres produits divers :
sont inclus dans ce sous-secteur, les détaillants spécialisés de produits
non classés ailleurs comme les fournitures de bureau, papeterie et matériel
de bureautique; les fleuristes, les articles de fantaisie, cadeaux et
souvenirs; animaux de compagnies, les fournitures et aliments pour animaux
de compagnie; les antiquités; les marchandises d'occasion (marchés aux
puces, friperies, etc.); les articles d'artisanat et œuvres d'art; les
maisons et autres bâtiments préfabriqués (chalets, cabanons, garages, abris,
gazébos, solariums, roulottes, etc.), etc.
Selon Industrie Canada, on
comptait plus de 2 800 détaillants d'autres produits divers qui employaient
plus de 23 500 personnes un peu partout au Québec en 2016. Ils ont généré
des revenus de plus de 3,1 milliards au cours de cette même année.
On
y comptait notamment plus de 500 détaillants de fournitures de bureau et
matériel de bureautique (dont 86 appartenant à 3 chaînes) qui
employaient plus de 6 000 personnes (dont plus de 3 800 au sein des grands
détaillants);
Près de 700 animaleries et autres magasins de
fournitures et aliments pour animaux de compagnie qui employaient près de 4
000 personnes;
Une centaine de détaillants de bâtiments préfabriqués
dont 12 manufacturiers-détaillants de maisons, une soixantaine
d'antiquaires, 27 galeries d'art contemporain, etc.
marchandises diverses : regroupe
les entreprises qui vendent au détail une gamme générale et variée de
marchandises de toutes sortes qui peuvent comprendre des articles
d'épicerie, mais excluant les marchés d'alimentation, les pharmacies, les
commerçants de marchandises d'occasion et les détaillants hors-magasin).
Elle comprend principalement les grandes surfaces, bien que le nombre de
chaînes a diminué au cours des dernières années, elles restent parmi les
plus importants employeurs du commerce au détail.
En 2016, on y
comptait 220 magasins à grande surface propriétés de 4 grandes chaînes (WalMart, Costco, Canadian Tire,
Hart et Tigre Géant, mais excluant Sears)
dans la presque toutes les régions du Québec.
Les magasins de
liquidation et outlets (sauf d'occasion). Ces magasins vendent
généralement des marchandises provenant de surplus de distributeurs ou
grossistes, de marchandises non vendus provenant de d'autres magasins dont
les grandes surfaces qui veulent de l'espace pour leurs nouvelles
marchandises, de commerces ayant fermés leurs postes, faits faillite ou
saisis par des créanciers, etc. Les outlets (ou "magasins d'usine" ou
"magasin-entrepôt") sont des magasins de manufacturiers qui vendent
directement des produits du fabricant au consommateur afin d'écouler des
surstocks.
On peut estimer à plus 200 magasins de liquidation,
principalement situés dans les grandes villes du Québec et dans les
municipalités où l'on retrouve des grands manufacturiers de produits de
consommation générale (ex : vêtements, articles ménagers, articles de
cuisine, literie, jeux et jouets, etc.). Ils employaient approximativement
plus de 3 000 personnes en 2016.
Pour ce qui est des magasins
d'escompte et d'articles à bas prix ou à prix unique, ils vendent des
produits de grande consommation à prix unique ou à prix inférieur aux autres
magasins.
Surtout dominé par quelques grandes chaînes, on y comptait
plus de 420 magasins propriétés de 3 grandes chaînes qui employaient près de
8 000 travailleuses et travailleurs dans toutes les régions du Québec.
Enfin, les magasins généraux (eh ! oui, il en existe encore !) et les
dépanneurs comptent pour tous les autres magasins de ce sous-secteur, soit
plus de 700 commerces, surtout situés dans les petites municipalités, les
villages, les centres récréotouristiques dans la plupart des régions du
Québec.
ntes de produits d'assurance, de vêtements hauts de gamme, en équipements sportifs professionnels, de Or, les emplois sont surtout offerts en ventes de produits d'assurance, de vêtements hauts de gamme, en équipements sportifs professionnels, de meubles commerciaux et institutionnels, de véhicules (automobiles, récréatifs, etc.) neufs ou d'occasion et autres produits plutôt spécialisés (vêtements hauts de gamme, vêtements et équipements spécialisés pour les travailleurs, équipements de sport hauts de gamme, meubles pour bureaux et magasins, etc.) qui ne subissent pas cette tendance et offrent de meilleures perspectives pour les conseillers(ères) en ventes.
LES
PROGRAMMES D’ÉTUDES :
Le Diplôme d’études professionnelles en vente-conseil D.E.P. a une durée totale de 900 heures, soit 9 mois à temps complet. Il comporte des cours sur les relations professionnelles, le comportement de la clientèle, service à la clientèle, techniques de vente, transactions liées à la vente, organisation du temps, initiation au métier, lois et règlements touchant le domaine de la vente, service après-vente, communication en langue seconde, connaissance des produits et services, gestion des approvisionnements, présentation visuelle, marketing de la vente, ainsi qu'un stage non rémunéré en milieu de travail d'une durée de 4 semaines.
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette
formule (voir la section "endroits de
formation" pour une liste complète) :
CFP de Val-d'Or en
Abitibi-Témiscamingue
CFP Pavillon de l'Avenir dans le Bas-St-Laurent
CFP Rimouski-Neigette dans le Bas-St-Laurent
CFP Paul-Rousseau dans
le Centre-du-Québec
CFP Carrefour Formation Mauricie en Mauricie
CFP L'Oasis au Saguenay-Lac-St-Jean
CFP 24-Juin en Estrie
CFP
Gabriel-Rousseau en Chaudière-Appalaches
CFP des Riverains dans
Lanaudière
CFP des Nouvelles-Technologies dans les Laurentides
Centre d'études professionnelles de St-Jérôme dans les Laurentides
CFP Maurice-Barbeau dans la région de Québec
CFP Samuel-de-Champlain
dans la région de Québec
CFP Paul-Émile Dufresne dans la région de
Laval
CFP Compétences de-la-Rive-Sud en Montérégie
CFP de la
Pointe-du-Lac en Montérégie
CFP des Patriotes en Montérégie
École
professionnelle de St-Hyacinthe en Montérégie
CFP Pierre-Dupuy en
Montérégie
CFP Léonard-de-Vinci dans la région de l'Île-de-Montréal
CFP des Carrefours dans la région de l'Île-de-Montréal.
Voici quelques
exemples d'établissements offrant cette formule (voir la section "endroits
de formation" pour une liste complète) :
CFP L'Oasis au
Saguenay-Lac-St-Jean
CFP Gabriel-Rousseau en Chaudière-Appalaches
CFP des Carrefours dans la région de l'Île-de-Montréal.
Elle
est offerte au CFP L'Oasis au Saguenay-Lac-St-Jean.
Plusieurs établissements offrent cette
formule, voir la section "endroits de
formation" pour une liste complète.
Cette formule te permettra la
poursuite simultanée d’un programme en formation professionnelle et
d’une formation générale secondaire, soit 3 jours en formation
professionnelle et 2 jours en formation générale à l’école
secondaire ou au centre d’éducation des adultes.
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette formule (voir la
section "endroits de formation"
pour une liste complète) :
CFP Gabriel-Rousseau en Chaudière-Appalaches
CFP des Patriotes en
Montérégie
CFP Daniel-Johnson
CFP des Carrefours
Pour plus
de détails, consulte la section "DEP-DEC".
Le Diplôme d’études professionnelles en vente-conseil intégré et représentation D.E.P./A.S.P. a une durée totale de 1 350 heures, soit 13 mois à temps complet. En fait le programme d'A.S.P. en représentation est intégré au D.E.P. en vente-conseil contrairement au cheminement régulier qui exige d'avoir complété le D.E.P. en vente-conseil pour être admis au programme d'A.S.P.
Il comporte des cours sur les relations professionnelles, le comportement de la clientèle, service à la clientèle, techniques de vente, transactions liées à la vente, organisation du temps, initiation au métier, lois et règlements touchant le domaine de la vente, service après-vente, communication en langue seconde, connaissance des produits et services, gestion des approvisionnements, présentation visuelle, marketing de la vente, gestion du temps, calculs commerciaux, techniques de représentation, prospection de la clientèle, ainsi qu'un stage non rémunéré en milieu de travail d'une durée de 6 semaines.
Cette formule est offerte dans les établissements suivants :
CFP L'Oasis au Saguenay-Lac-St-Jean
CFP Pozer en Chaudière-Appalaches (Beauce)
CFP Samuel-de-Champlain dans la région de Québec
CFP des Riverains dans Lanaudière
Le Diplôme d’études professionnelles en vente-conseil automobile D.E.P. a une durée totale de 900 heures, c’est-à-dire 8 mois à temps complet. Il prépare spécifiquement à une carrière comme conseiller(ère) en vente automobile pour un concessionnaire d'automobiles neuves ou un concessionnaire d'automobiles d'occasion, mais aussi au sein de concessionnaires de véhicules légers, de véhicules récréatifs ou de véhicules lourds.
Il comporte des cours de communication au travail, comportements des consommateurs dans l’industrie automobile, l’approche qualité en vente, processus de conseil en vente appliqué au domaine automobile, caractéristiques des automobiles, opérations financières, informatique appliquée à la vente automobile, stratégies de promotions des véhicules et produits automobiles, services après-vente dans le domaine automobile, prospection et relance de la clientèle, stage d’intégration à l’emploi d’une durée de 4 semaines.
Pour plus de détails, consulte la page de conseiller en vente automobile.
Le Diplôme d’études professionnelles en
décoration d’intérieure D.E.P. a une durée totale de 1 800 heures, c’est-à-dire 2 ans offert à
temps plein. Il comporte des cours sur les bases de la couleur, tracés
géométriques et projections orthogonales (dessin technique), lecture de plans
de construction, réalisation de croquis, étude des matériaux pour la
décoration, projet simple en décoration intérieure résidentielle, projet simple
de vitrine, réalisation de maquettes, techniques de recouvrement de surface,
fabrication d’éléments de décor, projet de vente en décoration intérieure,
étalage intérieur, dessin assisté par ordinateur, mannequins et présentoirs,
techniques d’éclairage, techniques d’habillage de portes et fenêtres,
présentation visuelle : médias, projet complexe de vitrine, techniques de
lettrage et reproduction graphique, aménagement d’un espace commercial,
aménagement d’un bureau de professionnel, projet de stand d’exposition, 2 stages
pratiques en milieu de travail (le 1er d’une durée de 2 semaines en
1ère année et le second d’une durée de 3 semaines en fin de
programme), etc.
Le Diplôme d’études professionnelles en vente de voyages D.E.P. a une durée totale de1 245 heures, c’est-à-dire de 1½ an (ou 1 an en formation intensive) offert à temps plein. Il comporte des cours d'initiation au métier et initiation à l'industrie du voyage, le contexte géographique propre à une destination, croisières et circuits, analyse des besoins de la clientèle, produits de voyage en Amérique du Nord, produits de voyage soleil, vente de voyages d'affaires, système de réservation des compagnies aériennes, traitement informatique des données, produits de voyage de l'Amérique centrale et de l'Amérique du Sud, communication en langue seconde, produits de voyage en Europe, produits de voyage en Asie, produits de voyage en Afrique et en Océanie, préparation des documents administratifs, sollicitation de la clientèle, ainsi qu'un stage en milieu de travail d'une durée de 3 semaines.
Pour plus de détails, consulte la page de conseiller en voyages.
Le Diplôme d’études professionnelles en
fleuristerie D.E.P. a une
durée totale de 1035 heures, c’est-à-dire 9 mois offert à temps plein. Il
comporte des cours de notions de botanique, caractéristiques des fleurs et
verdures, caractéristiques des plantes, entretien des plantes, techniques de
communication avec la clientèle, réception de la marchandise, préparation du
matériel de base, courants et tendances en fleuristerie, techniques de
composition florale simple, techniques de composition florale élaborée,
réalisation de corbeilles, réalisation de couronnes, réalisation d’accessoires
floraux, arrangement floraux pour occasions spéciales, projet de création
florale pour des funérailles, projet de création florale pour un mariage, stage
en milieu de travail d’une durée de 2 semaines, etc.
Le Diplôme d’études professionnelles en
conseil et vente de pièces d'équipements motorisés D.E.P. a une durée totale
1095 heures (1 an) offert à temps plein. Il comporte des cours en techniques de
recherches dans les catalogues et microfiches, réception, entreposage et
expédition de la marchandise, connaissances des pièces de moteurs, connaissances
des pièces des systèmes d’allumage et d’alimentation, connaissances des pièces
des systèmes de charge, de démarrage et d’éclairage, connaissances des pièces
de rouage d’entraînement, connaissances des pièces de suspension, de direction
et de freins, connaissances des pièces de carrosserie et du châssis,
connaissances des pièces d’équipements de garage, techniques de communications
avec la clientèle, techniques de ventes, techniques de facturation et
perception des paiements, stage en milieu de travail d’une durée de 90 heures,
etc.
Qu'est-ce qu'un programme DEP-DEC ?
Il permet aux titulaires d'un DEP de se faire reconnaître ses acquis au collégial dans le cadre d'un DEC ou d'une AEC dans une même discipline et ainsi, compléter sa formation en 3 ans (au lieu de 4) et obtenir 2 diplômes, soit le D.E.P. et le D.E.C.
Pour plus de détails, consulte la page suivante
Voici la seule entente actuellement offerte :
Le Cégep Montmorency peut reconnaître quelques heures de formation aux titulaires du DEP en vente-conseil du CFP Paul-Émile Dufresne dans le cadre de son DEC en gestion de commerces
PERFECTIONNEMENT :
Il te possible par la suite si tu le désires, de poursuivre ta formation dans l'un des programmes suivants :
L'Attestation de spécialisation professionnelle en représentation A.S.P. a une durée totale de 450 heures, soit 4 mois à temps complet. Il comporte des cours d'introduction au métier de représentant de commerce, relations professionnelles, gestion du temps, calculs commerciaux, techniques de représentation, techniques de prospection de la clientèle, ainsi qu'un stage non rémunéré en milieu de travail d'une durée de 2 semaines.
Alors que si tu désires te lancer en affaires, il est possible de poursuivre tes études dans le cadre du programme d’A.S.P. en lancement d’entreprise d’une durée de 330 heures à temps partiel (14 semaines) qui te permettra d’apprendre les notions nécessaires à la bonne gestion d’une entreprise et des outils pour démarrer. Pour plus de détails, consulte ma page « te lancer en affaires ».
ÉTUDES COLLÉGIALES :
Il te sera également
possible de suivre tes études au collégial dans le cadredu D.E.C. en
gestion de commerces.
EXIGENCES D’ADMISSION :
-
Soit détenir le D.E.S.
-
Soit avoir 16 ans réussi les cours de français, anglais et mathématiques
de 4e secondaire ou leurs équivalents
-
Soit avoir 18 ans et posséder des connaissances équivalentes
AUTRES EXIGENCES D'ADMISSION :
- Subir un test de sélection (CFP Val-d'Or)
STATISTIQUES D’ADMISSION :
Ce programme n'est pas contingenté
Les candidats(es) répondant aux conditions d'admission sont généralement admis.
Le programme est généralement offert au trimestre d’automne,
Mais également offert au trimestre d’hiver dans
certains centres
Note : sauf mention contraire, les admissions sont ouvertes de jour à l’automne
Demande
d’admission via Internet, consulte
Admission FP
Qu'est-ce que l'alternance travail-études ?
Qu'est-ce que l'enseignement individualisé ?
Pour le D.E.P. en vente
d’automobiles : voir le métier de
conseiller en vente d’automobiles
Pour le D.E.P. en
fleuristerie : voir le métier de
fleuriste
Pour le D.E.P. en bijouterie-joaillerie (vente et réparation) : voir le métier de bijoutier
Pour le D.E.P. en conseil et vente de
pièces et accessoires de véhicules motorisés : voir la description de
vendeur de pièces
d’équipements motorisés
Pour le D.E.P. en décoration d’intérieure : voir le métier de
conseiller vente de
produits de décoration
Pour le D.E.P. en vente de
voyages : voir le métier d’agent de voyages
Pour le D.E.P. en vente de
produits de quincaillerie : voir le
métier de
vendeur en quincaillerie
Est et
Nord du Québec
(Bas-St-Laurent, Saguenay-Lac-St-Jean, Gaspésie-Iles, Côte-Nord) :
Bas-St-Laurent et Gaspésie :
-
Centre de formation
professionnelle L’Envol, Carleton-sur-Mer (C.S.S.S. René-Lévesque)
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
-
Centre de formation
professionnelle Pavillon de l’Avenir, Rivière-du-Loup (C.S.S.S.
Kamouraska-Rivière-du-Loup)
offert en
alternance
travail-études
Admissions à temps complet de jour à l’automne.
-
Centre de formation
professionnelle Rimouski-Neigette
Rimouski (C.S.S.S. des Phares)
Offert en
alternance
travail-études (3
jours/sem en classe présentiel ou en ligne +
2 jours/semaines de stages en entreprise),
Offert en formule en présentiel en classe ou en
formule en ligne en temps
réel,
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
Saguenay et Lac St-Jean :
-
Centre de formation
professionnelle du Grand Fjord (Pavillon Oasis), Saguenay- secteur Chicoutimi (C.S.S.S. des Rives-du-Saguenay)
offert en
alternance
travail-études,
A.S.P. en
représentation
intégré au programme,
Pour plus de détails, regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps complet de jour à l'automne et à l'hiver.
-
Centre formation
professionnelle du Grand Fjord (Pavillon CFOR@distance),
Saguenay - secteur La Baie (C.S.S.S. des Rives-du-Saguenay)
Offert en
enseignement
individualisé
ET
formule en ligne,
A.S.P. en
représentation
intégré au programme,
Rythme hebdomadaire
variant de 20 heures à 35 heures,
du lundi au vendredi,
Aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P. (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
Admissions à temps complet de jour
avec entrées à toutes les semaines à l'automne,
Admissions à temps partiel de soir avec entrées à toutes les semaines à
l'automne.
Ouest et centre du Québec (Mauricie-Bois-Francs, Estrie,
Centre-du-Québec, Abiti-Témiscamingue, Outaouais) :
Abitibi-Témiscamingue :
-
Centre de formation professionnelle de
Val-d’Or, Val-d’Or (C.S.S.S. de l’Or-et-des-Bois)
offert en
alternance
travail-études, en présentiel en classe,
A.S.P. en
représentation
intégré au programme,
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions
à temps complet
de jour à l’automne.
Centre-du-Québec
et Mauricie :
-
Centre de formation professionnelle Carrefour Formation
Mauricie, Shawinigan (C.S.S.S. de l’Énergie)
offert en
alternance
travail-études en présentiel en classe,
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
Auussi offert en
formule en ligne en temps
réel
pour personnes avec expérience en vente avec contenu
adaptée,
A.S.P. en
représentation également offerte (en ligne en temps réel, regarde la vidéo
promotionnelle),
Admissions
à temps complet
de jour à l’automne (formule régulière),
Admissions à temps complet
de jour ou de soir avec entrées périodiques tout au long
de l'année
(formule avec expérience).
-
Centre de formation professionnelle
Paul-Rousseau, Drummondville
(C.S.S.S. des Chênes)
offert en
formule en ligne en temps
réel (sauf
pour certains travaux pratiques et examens),
offert en
alternance
travail-études en présentiel en classe,
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions
à temps complet
de jour à l’automne.
-
Centre de formation professionnelle Vision 2020,
Victoriaville (C.S.S.S. des Bois-Francs)
Programme combiné
D.E.P. en vente-conseil
+
A.S.P. en représentation,
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
Admissions
à temps complet
de jour à
l’automne.
Estrie :
-
Centre de formation professionnelle 24 juin, Sherbrooke (C.S.S.S. Région-de-Sherbrooke)
Programme combiné
D.E.P. en vente-conseil
+
A.S.P. en représentation,
Offert en
alternance
travail-études en présentiel en classe,
Aussi offert en parcours
concomitance D.E.S./D.E.P. (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
Possibilité de suivre en
l'ASP en représentation
en continuité,
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions
à temps complet
de jour à l’automne.
-
Lennoxville
Vocationnal Training Centre,
Sherbrooke
(C.S.S.S. Eastern Townships)
Formation offerte en
anglais,
Offert en
enseignement
individualisé
ET
alternance
travail-études en présentiel en classe,
Aussi offert en parcours
concomitance D.E.S./D.E.P. (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
A.S.P. en représentation offert en enseignement
individualisé également offerte,
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps complet
de jour avec entrées continues
aux 2 semaines.
Outaouais :
-
Centre de formation professionnelle Compétences Outaouais,
Gatineau (C.S.S.S. des Draveurs)
Admissions à temps complet de jour à l'automne.
Région
de la Capitale Nationale (Québec-métro,
Chaudière-Appalaches, :Beauce) :
Québec-métro :
-
Centre de formation professionnelle
Maurice-Barbeau, Québec - arrondissement Sainte-Foy
Offert en
formule duale
(50 % formation théorique en classe + 50 %
formation pratique et stages en entreprise),
Regarde
la
vidéo promotionnelle du programme,
A.S.P. en représentation également offerte (regarde la
vidéo
promotionnelle),
A.S.P. en lancement d'une entreprise du
secteur du numérique (regarde la
vidéo
promotionnelle),
Admissions à temps complet de jour à l’automne.
-
Centre de formation professionnelle
Samuel-de-Champlain, Québec - arrondissement Beauport (C.S.S.S. des
Premières-Seigneuries)
Programme combiné
D.E.P. en vente-conseil
+
A.S.P. en représentation,
Offert en
alternance
travail-études en présentiel en classe,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P.
(permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
A.S.P. en
représentation également offerte en ligne
(regarde la
vidéo
promotionnelle),
Admissions à temps complet de jour à
l'automne.
Chaudière-Appalaches :
Offert en
enseignement
individualisé ET en
alternance travail-études
en classe régulière OU en
formule en ligne
(classe virtuelle en temps réel),
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P.
appelé "formule
métier-études" (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
A.S.P. en représentation offert en enseignement
individualisé et en ligne
également offerte,
Admissions à temps complet de
jour avec entrées continues tout au long de l'année scolaire.
-
Centre
de formation professionnelle Pozer, St-Georges-de-Beauce (C.S.S.S. de la
Beauce-Etchemins)
Programme combiné
D.E.P. en vente-conseil
+
A.S.P. en représentation,
Offert en
alternance
travail-études en présentiel en classe,
Regarde la
vidéo promotionnelle du programme,
A.S.P. en
représentation également offerte,
Admissions à temps complet de jour à l'automne.
Lanaudière :
-
Centre
de formation professionnelle des Riverains,
Repentigny (C.S.S.S. des affluents)
Offert en
alternance
travail-études,
Cours adaptés en
vente automobile
et en
stratégies de vente en ligne
intégrés au programme,
Offert selon la méthode de
pédagogie active
gràce
à une salle immersive 360 et réalité virtuelle,
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
A.S.P. représentation
également offerte (regarde la
vidéo
promotionnelle),
Le DEP-DEC en
gestion de commerces offert conjointement avec le
Cégep Montmorency,
Admissions à temps
complet de jour à l'automne.
Laval :
-
École hôtelière et
d'administration de Laval (anciennement CFP Paul-Émile Dufresne), Laval (C.S.S.S. de Laval)
Programme combiné
D.E.P. en vente-conseil
+
A.S.P. en représentation,
Offert en
alternance
travail-études en présentiel en classe
OU
en ligne en temps
réel,
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
Admissions à temps complet de jour à l'automne.
Formation
bilingue,
Offert en
alternance
travail-études,
Le DEP-DEC en
gestion de commerces offert conjointement avec le
Cégep Montmorency,
Admissions
à temps complet de
jour à l’automne.
Laurentides :
-
Centre de formation professionnelle
des Nouvelles Technologies, Sainte-Thérése
(C.S.S.S. de la Seigneuries des Milles-Iles)
Offert en
alternance
travail-études,
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
A.S.P. en représentation
également offerte,
A.S.P. en lancement d'une entreprise également
offerte,
Le DEP-DEC en
gestion de commerces offert conjointement avec le
Cégep Montmorency,
Admissions
à temps complet de jour à l’automne.
-
Centre de formation professionnelle
L'Émergence, Deux-Montagnes (C.S.S.S. Seigneurie des Milles-Îles)
Offert en
alternance
travail-études,
A.S.P. en lancement d'une
entreprise également offerte,
Le DEP-DEC en
gestion de commerces offert conjointement avec le
Cégep Montmorency,
Admissions
à temps complet de jour à l’automne.
-
Centre d'études
professionnelles de Saint-Jérôme, Saint-Jérôme (C.S.S.S. Rivière-du-Nord)
Offert en
alternance
travail-études,
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
A.S.P. en
représentation également offerte,
A.S.P. en lancement d'une
entreprise également offerte (regarde la
vidéo
promotionnelle),
Le DEP-DEC en
gestion de commerces offert conjointement avec le
Cégep Montmorency,
Admissions à temps complet de jour à l'automne.
Montérégie :
-
Centre
Access, Brossard (C.S.S.S. Riverside)
Formation offerte en
anglais,
Offert en
alternance
travail-études,
Offert
en
formule en ligne
(classe virtuelle en temps réel),
A.S.P. en représentation également offerte,
Admissions
à temps complet de soir à l’hiver.
-
Centre de formation
professionnelle à La Prairie (anciennement le CFP Compétence de la Rive-Sud), La Prairie
(C.S.S.S. des Grandes-Seigneuries)
Programme combiné
D.E.P. en vente-conseil
+
A.S.P. en représentation,
Offert en
alternance
travail-études (3
jours/sem en classe présentiel ou en ligne +
2 jours/semaines de stages en entreprise),
Offert en présentiel en classe
OU en
formule en ligne
(classe virtuelle en temps réel),
Regarde la
vidéo promotionnelle du programme,
A.S.P. en représentation également
offerte,
A.S.P. en lancement d'une
entreprise également offerte,
Admissions à temps complet de jour à l'automne.
-
Centre de formation
professionnelle du Suroît,
campus de
Salaberry-de-Valleyfield
(C.S.S.S. de la Vallée-des-Tisserands)
Programme combiné
D.E.P. en vente-conseil
+
A.S.P. en représentation,
Offert en
alternance
travail-études,
A.S.P. en lancement d'une
entreprise également offerte,
Admissions à temps complet de jour à l'automne.
-
Centre de formation
professionnelle des Patriotes,
Sainte-Julie (C.S.S.S. des Patriotes)
Offert en
alternance
travail-études,
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
A.S.P. en représentation également offerte (regarde la
vidéo
promotionnelle),
Admissions à temps complet de jour à l'automne.
-
Centre de formation
professionnelle Pierre-Dupuy, Longueuil (C.S.S.S.
Marie-Victorin)
Offert en
alternance
travail-études,
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
A.S.P. en représentation également
offerte,
A.S.P. en lancement d'une
entreprise également offerte,
A.S.P. en lancement d'une entreprise dans le secteur de
l'alimentation aussi offerte à l'École hôtelière de la Montérégie (regarde la
vidéo
promotionnelle),
Admissions à temps complet de jour à l'automne et au printemps.
-
École
professionnelle de Saint-Hyacinthe, Saintt-Hyacinthe (C.S.S.S. de Saint-Hyacinthe)
Offert en
alternance
travail-études,
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
A.S.P. en représentation également offerte,
A.S.P. en lancement d'une
entreprise également offerte,
Admissions à temps complet de jour à l'automne.
Île de Montréal :
-
Centre de services aux
entreprises (),
Montréal - arrondissement
Mercier-Hochelaga-Maisonneuve
(C.S.S.S.
de la Pointe-de-l'Île)
Spécialisation en vente de produits cosmétiques
exclusive au Québec;
Offert en
alternance travail-études
en
présentiel en classe,
Un partenariat avec
plus de de
25 entreprises du domaine des cosmétiques;
Un partenariat avec des bannières de pharmacies, magasins spécialisés et grandes
surfaces pour les stages en milieu de travail;
Admissions à temps complet
de soir à l'automne.
-
Centre de
formation professionnelle Léonard-de-Vinci (Édifice Côte-Vertu),
Montréal - arrondissement
Saint-Laurent
(C.S.S.S. Marguerite-Bourgeoys)
Offert en
enseignement
individualisé ET en
alternance travail-études
en
présentiel en classe,
Regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
Admissions à temps complet de jour
avec entrées continues tout au long de l'année scolaire.
-
Offert
en
enseignement
individualisé
en présentiel en classe
ET en alternance
travail-études,
OU en
enseignement
individualisé
en ligne (classe virtuelle en temps réel)
ET en alternance
travail-études,
Aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P. (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
A.S.P. en représentation également offerte,
A.S.P. en lancement d'une
entreprise également offerte,
Admissions
à temps complet de jour avec entrées continues tout au long de l'année
scolaire (présentiel),
Admissions à temps complet de jour ou de
soir avec entrées continues tout au long de l'année scolaire (présentiel).
-
École
des métiers de l’informatique, du commerce et de l’administration de Montréal ÉMICA,
Montréal Quartier Rosemont (C.S.S.S. de Montréal)
offert en présentiel en classe,
A.S.P. en représentation également offerte,
A.S.P. en lancement d'une
entreprise également offerte (regarde la
vidéo promotionnelle),
Admissions
à temps complet
de jour à l’automne.
-
Pius Culinary & Business Centre, Montréal (C.S.S.S. English Montreal)
Formation offerte en
anglais,
A.S.P. en représentation également offerte,
Admissions à temps complet de jour à l'automne.
-
Verdun
Adult & Career Centre, Pierrefonds (C.S.S.S.
Lester-B-Pearson)
Formation offerte en
anglais,
Admissions à temps
complet de jour à l'automne,
à l'hiver et au printemps.
Il existe
d’autres programmes d’études menant à la formation de vendeur, notamment
certains A.E.C. au collégial, ainsi. Par contre, la plupart sont destinés aux
personnes ayant quitté les études à temps plein et
ayant acquis quelques années d’expérience sur le marché du travail. Voici
quelques exemples de programmes :
Note : voir aussi d’autres types de formation plus bas
dans la page
Vente et représentation :
Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue (à Val-d'Or) : Représentation commerciale (795 heures, 39 semaines)
Cégep de Limoilou : Vente et représentation commerciale (885 heures, 36 semaines dont 1 stage de 5 semaines)
Cégep de Sainte-Foy : Représentation-conseil et marketing (945 heures, 42 semaines)
Cégep de St-Laurent : Représentation commerciale et technique (1 144 heures, 46 semaines)
Cégep Garneau : Représentation et ventes techniques (1 200 heures, 48 semaines)
Marketing
général :
Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue (à Rouyn) : Gestion de commerces (1 230 heures, 12 mois dont un stage de 4 semaines)
Cégep de Baie-Comeau : Administration des affaires (1 050 heures, 12 mois)
Cégep de Drummondville : Gestion de commerces (1 140 heures, 12 mois)
Cégep de Granby-Haute-Yasmaska : Gestion de commerces (1 200 heures, 12 mois) offert en alternance travail-études
Cégep de Jonquière : Gestion de commerces (1 200 heures, 12 mois)
Cégep de Matane : Gestion de commerces (1 200 heures, 12 mois)
Cégep de Sorel-Tracy : Gestion de commerces (1 140 heures, 13 mois)
Cégep de St-Jérôme : Gestion de commerces (1 200 heures, 12 mois)
Cégep de Trois-Rivières : Gestion de commerces (1 200 heures, 49 semaines)
Cégep de Valleyfield : Gestion de commerces (1 200 heures, 52 semaines dont un stage de 4 à 6 semaines)
Cégep John-Abbott : Marketing (480 heures à temps partiel)
Cégep Lionel-Groulx : Gestion de commerces (1 140 heures, 46 semaines)
Cégep Montmorency : Gestion de commerces (1 200 heures, 12 mois dont un stage de 5 semaines)
Cégep régional de Lanaudière à Terrebonne : Gestion de commerces (1 200 heures, 50 semaines dont 1 stage de 6 semaines)
Cégep Vanier : Marketing (offert à temps partiel)
Collège Herzing : Gestion des affaires - vente et marketing (1 380 heures, 55 semaines)
Collège Lasalle : Gestion de commerces
Vente de
produits spécifiques :
Fleuristerie : voir la description du métier de fleuriste
Vente d'automobiles : voir la description du métier de conseiller en vente d'automobiles
Vente de pièces et accessoires de véhicules motorisés : voir la description du métier de commis-vendeur de produits de véhicules motorisés
Vente de produits en décoration intérieure : voir la description du métier de décorateur d'intérieurs
Vente de produits de quincaillerie : voir la description du métier de commis-vendeur en quincaillerie
Vente de produits d'horticulture et d'aménagement paysager : voir la description du métier d'horticulteur
Vente de produits de sommellerie (vins et spiritueux) : voir la description du métier de sommelier
Vente de produits en informatique : voir la description du métier de soutien technique en informatique
Vente de produits mode : voir la description du métier de conseiller-vendeur en produits de la mode
Vente et service en bijouterie : voir la description du métier de bijoutier
Vente en poissonnerie : voir la description du métier de poissonnier
Vente de voyages : voir la description du métier d'agent de voyages
Autres types
de formation :
Note : ces formations ne mènent pas à un diplôme du
Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec. Seule une attestation de formation est émise par
l’établissement concerné.
- Formation de vendeur professionnel offerte par l’École Les As de la vente à Charlesbourg (Québec)
- Formation de vendeur d’automobiles offerte par le Centre de formation automobile du Québec à Montréal
- Formation de vendeur d'automobiles offerte par l'Institut de formation automobile du Québec à Montréal
- Formation de vendeur d'automobiles offerte par l'Institut de l'automobile du Québec à Montréal
- Formation de technicien-vendeur d'articles de sports offert par l'Institut des articles de sport à Montréal
- Formation de commis-vendeur en quincaillerie et matériaux de construction offert par l'Institut de la quincaillerie du Québec à Montréal
Tu veux avoir l'avis de conseillers(ères) en ventes et de représentants(es) sur leur métier ?, alors consulte l'entrevue écrite et les vidéos suivants :
les entrevues avec Sabrina et Diane; la première est étudiante et la seconde est enseignante en vente-conseil au CFP Pavillon-de-l'Avenir et réalisées par la Commission scolaire Rivière-du-Loup-Kamouraska;
les entrevues avec Félix et Frédérique; étudiants en vente-conseil au CFP Rimouski-Neigette et réalisées par la Commission scolaire des Phares;
l'entrevue avec Audrey-Ann Gagnon; gérante d'un magasin Sportium à Saint-Jean-sur-Richelieu et réalisée par Détail Québec;
l'entrevue avec Véronique Fournier; directrice de magasin chez DeSerres à Trois-Rivières et réalisée par Détail Québec;
l'entrevue avec Julien Crevier; gérant de magasin de produits photographiques Lozeau et réalisée par Détail Québec;
l'entrevue avec Audrey-Ann Gagnon; directrice de magasin chez Sportium et réalisée par Détail Québec;
l'entrevue avec Maryse Goyette; directrice de magasin pour La Vie en Rose et réalisée par Détail Québec;
l'entrevue avec Alexandre Brochu, directeur commercial et des ventes pour Sport motorisé Honda Mont-Laurier dans les Laurentides et réalisée par la Commission scolaire des Laurentides;
l'entrevue avec Alex Latreille, représentant aux ventes chez Leblanc Volkswagen à Mont-Laurier dans les Laurentides et réalisée par la Commission scolaire des Laurentides;
les entrevues avec Danielle Lemieux et David Beauvais; la première est enseignante en vente-conseil au CFP des Sommets et le second est conseiller en ventes chez RONA St-Jérôme et réalisées par la Commission scolaire des Laurentides;
l'entrevue avec Félix Gagné, conseiller aux ventes chez Le Phare Nautique à Sherbrooke et réalisée par la Commission scolaire Région-de-Sherbrooke;
l'entrevue avec Molly Labrecque, conseillère en vente chez Lunetterie New York de Lévis et réalisée par la Table d'éducation Chaudière-Appalaches;
les entrevues avec Claudine Brisebois, Cindy Tremblay-Lechasseur et Jean-Luc Tremblay; la première est enseignante et la seconde est étudiante en vente-conseil au CFP des Patriotes et le troisième est directeur des ventes et marketing pour les téléboutiques Bell et réalisées par la Commission scolaires des Patriotes;
l'entrevue avec Patricia Jobin et Charles Cantin; la première est représentante aux ventes chez Laurendeau Portes et fenêtres à Québec et le second est directeur des ventes pour l'Industrielle-Allance et réalisées par la Commission scolaire des Premières-Seigneuries;
l'entrevue avec Julien de la Sablonnière, conseiller aux ventes chez Procycle Charny, un commerce spécialisé en vélos de Lévis et réalisée par la Commission scolaire des Découvreurs;
les entrevues avec Corina et Leanne, conseillères aux ventes pour Télus et réalisées par Telus (en anglais, sous-titré en français);
l'entrevue avec Marie-Pierre Duchesne, conseillère en vente de véhicules neufs chez H. Grégoire Saguenay et réalisée par la Commission scolaire des Rives-du-Saguenay;
l'entrevue avec Suzanne Martel, agente du service à la clientèle pour les Industries de la Rive-Sud à Lévis et réalisée par le Clic Emploi, le Comité sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie du meuble du Québec;
l'entrevue avec Frédéric Jean, responsable du développement des affaires et du marketing (représentant) chez Réflex Paysage, une entreprise des services paysagers de Chicoutimi et réalisée par la Commission scolaire des Rives-du-Saguenay;
l'entrevue avec Natasha St-Gelais, représentante aux ventes et gérante de territoire pour Van Houtte et réalisée par la Commission scolaire des Rives-du-Saguenay;
l'entrevue avec Mathieu Boulianne, représentante aux ventes pour ABM Enviro et réalisée par la la Commission scolaire des Rives-du-Saguenay;;
l'entrevue avec Christine, représentante aux ventes pour la Laiterie Liberté à Longueuil (St-Hubert) en Montérégie et réalisée par cette entreprise;
l'entrevue avec Mélissa Daigle, représentante sur la route chez Inter-LED, un manufacturier de luminaires de Repentigny dans Lanaudière et réalisée par le CFP des Riverains;
l'entrevue avec Jenny Veilleux, représentante aux ventes pour Lise Watier cosmétiques et réalisée par le CFP Maurice-Barbeau;
l'entrevue avec un conseiller en ventes chez Procycle Charny, un commerce spécialisé en vélos de Lévis et réalisée par le CFP Maurice-Barbeau;
l'entrevue avec Sébastien Bertrand, propriétaire et fondateur de Cyclo Sportif G.M. Bertrand, un commerce de vélos de Gatineau en Outaouais et réalisée par le Portail entrepreneurial "J'entreprends.ca";
l'entrevue avec Patrick Trottier, propriétaire de Alternative Sports, un commerce d'équipements de sports de Rimouski dans le Bas-St-Laurent et réalisée par Cogeco TV;
l'entrevue avec Maxime St-Hilaire, propriétaire de Jeux vidéo L'Expérience, un commerce de vente et location de jeux vidéo de Saguenay et réalisée par la C.S.S.S. des Rives-du-Saguenay;
les entrevues avec Maxime-André Pimparé et Julien Desnoyers; le premier est conseiller technique et le second est conseiller aux ventes chez 440 Ford Lincoln Laval et réalisées par la Commission scolaire de Laval;
l'entrevue avec Alex Latreille, représentant aux ventes chez Leblanc Volkswagen à Mont-Laurier dans les Laurentides et réalisée par la Commission scolaire des Laurentides;
l'entrevue avec Nelson Audet, conseiller en vente de véhicules neufs chez Galerie Ford de Jonquière et réalisée par le Centre des services scolaires des Rives-du-Saguenay.
Autres :
-
Association de la relève en assurance
du Québec : organisme sans but lucratif qui fait la promotion des
carrières en assurances
-
Auto-Jobs.ca : site de
recherches d’emploi dans le domaine de la vente automobile
-
C3Job : pour
trouver un emploi dans Centre de service à la clientèle (vente, après-vente,
relations avec la clientèle, etc)
-
HC Careers Retail : site de recherche d’emploi
dans le secteur du commerce de détail partout au pays
-
Isarta : agence spécialisée
dans le placement de personnel dans le domaine du marketing, de la vente ou de
la publicité
- Jobs Wings : site de recherche d’emploi dans les différents secteurs de l’administration