SECTEUR :
SCIENCES NATURELLES
BACCALAURÉAT SPÉCIALISÉ B.Sc.
MAITRISE EN SCIENCES M.Sc.
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TÂCHES
ET RESPONSABILITÉS :
En tant que biologiste; tu seras responsable d’étudier, de classer et d’identifier différentes espèces animales ou végétales afin de mieux les connaître et mieux comprendre leurs comportements, leur croissance, leur reproduction, etc. et de les protéger.
Tu auras notamment pour tâches de :
Effectuer de l'animation ou de la vulgarisation des connaissances biologiques auprès de différentes clientèles;
Planifier et effectuer des études sur l'environnement ainsi que sur la population, la répartition, la structure, les caractéristiques fonctionnelles et le comportement des plantes et des animaux;
Réaliser des études sur les répercussions écologiques et environnementales et rédiger des rapports;
Étudier, identifier et classifier des plantes ou des animaux;
Faire des expériences sur la croissance, l'hérédité et la reproduction des plantes ou des animaux;
Participer à des activités visant l'aménagement et la conservation de la faune ou de la flore terrestre et aquatique;
Participer à la réaisation d'études d'impact concernant de multiples projets de développement urbain, rural ou industriel;
Coordonner et superviser une équipe sur le terrain (composée techniciens et technologues en aménagement de la faune, de techniciens et technologues en écologie, d'auxiliaires et assistants de recherche en biologie, de stagiaires en biologie, etc.);
Coordonner et diriger des programmes et des projets visant l'aménagement et la protection des ressources naturelles;
Rédiger des rapports et des plans pour la gestion des ressources renouvelables.
Tu
effectueras également différentes expériences et autres travaux sur le terrain
et en laboratoire pour étudier Selon la spécialisation et le champ d’intérêt que tu auras
choisi, ainsi que le type de milieu où tu travailleras tu auras également les
tâches suivantes :
En conservation et
protection des ressources : tu
travailleras principalement en forêt à effectuer l’inventaire des espèces
animales et de leur population (mammifères, oiseaux ou poissons) se retrouvant
dans une réserve faunique. Tu coordonneras seras charge de projets
d’aménagement des habitats, d’aménagement des sols et des cours d’eau,
d’aménagement de la faune et de la flore, etc. Tu travailleras généralement au
sein des gouvernements (Service canadien de la faune, Environnement et faune
Québec, etc.).
En analyse en laboratoire : Tu auras pour tâches d’analyser en laboratoire
divers cellules, tissus, poils ou plumes d’animaux afin de découvrir leur
évolution, leur croissance, leur reproduction et autres informations pour mieux
les connaître. Tu pourras aussi analyser des fleurs, des plantes ou des écorces
d’arbres pour les mêmes raisons, ainsi qu’analyser divers échantillons d’eau et
de sol pour détecter le degré de pollution qu’ils possèdent afin de prendre les
mesures appropriées pour mieux protéger notre environnement. Tu pourrais
travailler pour les gouvernements (laboratoires en environnement), les
laboratoires privés en environnement, des laboratoires de recherches privés ou
au sein des universités.
En interprétation de la nature et éducation à l’environnement : tu élaboreras des programmes d’interprétation des ressources naturelles et d’éducation à l’environnement. Tu animeras différentes activités d’interprétation et de sensibilisation à la protection de la nature et de l’environnement auprès de clientèles diverses (touristes, groupes scolaires, chasseurs et pêcheurs et autres). Tu les initieras à comprendre la nature, à identifier les espèces végétales et animales, à survivre en forêt et les sensibiliser à protéger notre nature. Tu pourras travailler au sein des centres d’interprétation de la nature, dans les centres éducatifs forestiers, dans les parcs et réserves pour la Société des parcs et réserves du Québec SEPAQ ou pour Parcs Canada.
En tant qu’enseignante ou enseignant en biologie au collégial préuniversitaire; tu seras responsable d’enseigner des notions de base ou des notions intermédiaires de cette discipline auprès de jeunes adultes inscrits à un programme préparatoire aux études universitaires.
Tu les notions de base de la matière à enseigner.
Tu auras pour tâches de :
Planifier et élaborer les plans de cours et le matériel pédagogique;
Planifier, élaborer, organiser et mettre en œuvre des activités pédagogiques selon le rythme d'apprentissage de tes étudiants(es) tout en respectant le programme établi par le Ministère de l’Enseignement supérieur ou par le collège;
Enseigner aux étudiants selon une démarche systématique comprenant des exposés, des démonstrations, des discussions en groupe, des travaux en laboratoire, des ateliers, des séminaires, des études de cas, des travaux sur le terrain et des projets individuels ou en groupe;
Animer et présenter ta matière en classe selon le plan de cours établi;
Aider ceux et celles présentant des difficultés à comprendre la matière et t’assurer que l’ensemble de la classe a pu assimiler toute la matière que tu leur auras appris;
Préparer, administrer et noter les examens et les travaux afin d'évaluer les progrès des étudiants;
Donner un enseignement individualisé, de type tutoriel ou correctif aux étudiants qui en ont besoin;
Renseigner les étudiants sur les programmes d'études et les choix de carrière universitaires en lien avec la matière enseignée;
Superviser les projets individuels ou de groupes, les travaux pratiques et autres activités pédagogiques connexes
Effectuer des activités d'encadrement permettant d'intervenir auprès d’un élève ou d’un groupe d’élèves visant le développement personnel et social de l’élève et l’invitant à assumer ses responsabilités relativement à sa propre formation;
Soutenir des étudiantes et des étudiantes dans la présentation de projets pédagogiques (Expo-sciences, concours et compétitions scientifiques, etc.) ou autres activités ayant un lien avec la matière enseignée;
Etc.
En tant que professeur(e) en techniques biologiques au collégial technique; tu seras responsable d’enseigner des notions de base et les notions intermédiaires auprès d’étudiants(es) inscrits dans un programme en techniques des sciences naturelles (ex : techniques de bioécologie, techniques du milieu naturel, techniques d'aménagement cynégétique et halieutique ou technologie forestière).
Planifier et élaborer les plans de cours et le matériel pédagogique;
Planifier, élaborer, organiser et mettre en œuvre des activités pédagogiques selon le rythme d'apprentissage de tes étudiants(es) tout en respectant le programme établi par le Ministère de l’Enseignement supérieur ou par le collège;
Enseigner aux étudiants selon une démarche systématique comprenant des exposés, des démonstrations, des discussions en groupe, des travaux en laboratoire, des ateliers, des séminaires, des études de cas, des travaux sur le terrain et des projets individuels ou en groupe;
Animer et présenter ta matière en classe selon le plan de cours établi;
Aider ceux et celles présentant des difficultés à comprendre la matière et t’assurer que l’ensemble de la classe a pu assimiler toute la matière que tu leur auras appris;
Préparer, administrer et noter les examens et les travaux afin d'évaluer les progrès des étudiants;
Donner un enseignement individualisé, de type tutoriel ou correctif aux étudiants qui en ont besoin;
Renseigner les étudiants sur les programmes d'études et les choix de carrière en lien avec la profession enseignée;
Superviser les projets individuels ou de groupes, les stages de formation pratique, les travaux pratiques et la formation en cours d'emploi (ex : stages coopératifs);
Effectuer des activités d'encadrement permettant d'intervenir auprès d’un élève ou d’un groupe d’élèves visant le développement personnel et social de l’élève et l’invitant à assumer ses responsabilités relativement à sa propre formation;
Donner, s'il y a lieu, de la formation continue aux travailleurs(euses) de l'industrie sur les nouvelles méthodes ou technologies en lien avec la profession;
Fournir, s'il y a lieu, des services de consultation professionnelle au gouvernement, à des entreprises du secteur privé et à des particuliers.
Etc.
En tant que professeur(e) d'université en biologie cellulaire et moléculaire; tu seras responsable d’enseigner auprès d’étudiantes et d’étudiants de niveau universitaire des notions spécialisées en biologie moléculaire et/ou biologie cellulaire afin de les préparer à poursuivre des études supérieures dans cette discipline ou dans une discipline connexe (biochimie ou microbiologie par exemple).
Tu pourras aussi être appelé(e)
Planifier et élaborer les plans de cours et le matériel pédagogique;
Planifier, élaborer, organiser et mettre en œuvre des activités pédagogiques selon le rythme d'apprentissage de tes étudiants(es) tout en respectant le programme établi par le Ministère de l’Enseignement supérieur ou par le collège;
Enseigner une ou plusieurs matières de niveau universitaire aux étudiants de premier cycle et d'études supérieures;
Enseigner aux étudiants selon une démarche systématique comprenant des exposés, des démonstrations, des discussions en groupe, des travaux en laboratoire, des ateliers, des séminaires, des études de cas, des travaux sur le terrain et des projets individuels ou en groupe;
Animer et présenter ta matière en classe selon le plan de cours établi;
Préparer et donner des conférences aux étudiants et diriger les séances de travaux pratiques en laboratoire et les discussions de groupe;
Préparer, administrer et noter les examens et les travaux afin d'évaluer les progrès des étudiants;
Conseiller les étudiants sur leurs choix de cours, d'études et de professions;
Superviser les projets individuels ou de groupes et s'il y a lieu, les travaux pratiques, les stages de formation pratique, les stages de recherche et la formation en cours d'emploi (ex : stages coopératifs);
Soutenir des étudiantes et des étudiantes dans la présentation de projets pédagogiques (Expo-sciences, concours et compétitions scientifiques, etc), de concours ou autres activités ayant un lien avec la matière enseignée;
Diriger les programmes de recherche des étudiants diplômés et donner des conseils sur les questions concernant les recherches;
Exécuter des recherches dans leur champ de spécialisation et publier les résultats de leurs recherches dans des livres ou des revues scientifiques;
Faire partie, au besoin, des comités de professeurs qui traitent de questions telles que l'élaboration des programmes et les conditions d'obtention des diplômes, et exécuter différentes tâches administratives;
Fournir, s'il y a lieu, des services de consultation professionnelle au gouvernement, à des entreprises du secteur privé et à des particuliers.
APTITUDES ET QUALITÉS REQUISES :
-
Aptitudes en
sciences
-
Intérêts pour la nature,
l’environnement et le travail en plein air
-
Curiosité
scientifique pour être appelé(e)
à chercher la solution à un problème scientifique relié à la biologie
-
Sens de
l’observation pour détecter un
problème spécifique relié à ton domaine de compétences
-
Souci du détail et
minutie car tu auras à prendre le
plus d’informations détaillées possibles lors d’inventaire d’espèces animales
-
Capacité d’analyse
et de synthèse pour être en mesure
d’analyse et de résoudre divers problèmes sur le terrain reliés à la biologie
ou lors de la réalisation d’activités de recherches sur des problèmes
spécifiques en biologie
-
Sens des
responsabilités car tu seras
responsable de diriger, d’encadrer et de coordonner des projets
-
Sens de l’initiative et facilité à communiquer pour participer
activement à des projets d’aménagement ou des projets de recherches
-
Sens de
l’organisation pour planifier,
organiser et diriger des projets techniques ou de recherches en biologie
-
Facilité à
travailler en équipe car tu auras à
collaborer avec d’autres biologistes, techniciens en biologie ou en faune,
chercheurs en biologie, etc.
-
Être prêt à
entreprendre de longues études supérieures (au niveau de la maîtrise, parfois même au doctorat)
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
- Agent(e) de conservation de la faune (fonction publique québécoise)
- Agent(e) de gestion des ressources (fonction publique fédérale)
- Agent(e) technique en environnement (Ville de Montréal)
- Agent(e) technique en horticulture (Ville de Montréal)
- Animateur(trice) d’activités en
sciences naturelles
- Assistant(e)
biologiste
- Assistant(e) de recherche en biologie
- Biologiste cellulaire
- Biologiste de terrain
- Biologiste moléculaire
- Botaniste
- Chargé(e) de projet
en biologie (avec une maîtrise)
- Chercheur(e) en biologie (avec un doctorat)
- Consultant(e) en
biologie
- Consultant(e) en
environnement
- Écologiste
- Éducateur(trice) en
environnement
- Entomologiste
- Garde-parc (Parcs Canada)
- Gérant(e) de
pourvoirie
- Gérant(e) de ZEC
- Guide-interprète de
la nature
- Professeur(e) d’université en biologie
(avec
un doctorat)
- Professeur(e)
de biologie au collégial
- Professeur(e) de biologie au secondaire
- Professeur(e) en conservation de la faune en formation professionnelle
- Professeur(e) en techniques de la faune au collégial
- Professeur(e) en technologie forestière au collégial
- Professionnel(e) de recherche en biologie
- Reboiseur(euse)
- Responsable des collections naturelles
- Spécialiste en
écosystèmes nordiques (fonction publique fédérale)
- Spécialiste en environnement
- Technicien(ne) de la
faune
- Technicien(ne) en
écologie
- Technicien(ne) en
environnement
- Technicien(ne) en
extermination
- Technicien(ne)
pépiniériste
- Vulgarisateur(trice) scientifique
- Zoologiste
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
- Centres
d’interprétation de la nature
- Centres éducatifs
forestiers
- Collèges publics et
privés
- Compagnies
biomédicales
- Compagnies
forestières
- Compagnies
pharmaceutiques
- Entreprises
d’aménagement forestier
- Firmes de biologistes
- Firmes de
consultants en biologie
- Firmes de
consultants en environnement
- Firmes de
consultants en faune
- Laboratoires de
recherches privés
- Laboratoires privés d’analyses
et d’essais (environnement)
- Magazines
scientifiques (ex : Agence
Science Presse, Québec Sciences,
Les Débrouillards)
- Musées en sciences
naturelles et écomusées
- Pourvoieries chasse
et pêche
- Ville de Montréal (Organisme Espace pour la vie comprenant le Jardin Botanique de Montréal, le Biodôme de Montréal et l'Insectarium de Montréal)
- Zones d’exploitations contrôlées ZEC
- Gouvernement du Canada :
carrières en sciences
et technologies,
Parcs
Canada,
Environnement Canada,
Service canadien des forêts,
Service canadien des
glaces,
Centre St-Laurent
d'Environnement Canada
à Montréal,
Agence
canadienne d’inspection des aliments,
Centre de foresterie des
Laurentides de Ressources naturelles Canada à Québec,
Institut océanographique de Bedford (le plus grand centre de recherches
océaniques au Canada) à Darmouth en Nouvelle-Écosse,
Conseil
national de recherches Canada (incluant : les installations pour la
croissance des plantes et des algues,
l'installation de criblage du poisson zèbre, l'installation de partenariat
en développement des cultures et des ressources aquatiques et
l'Usine-pilote pour cellules animales).
- Gouvernement du
Québec :
Ministère des Forêts, faune et parcs,
Ministère du Développement durable et de l’environnement,
Ministère de
l’agriculture, pêcheries et alimentation MAPAQ,
Bellairs
Research Institute de l'Université Mcgill (situé aux Barbades),
Brace
Centre for Water Resources Management de l'Université Mcgill,
Institut de recherche en biologie végétale de
l'Université de Montréal,
Centre d'études de la forêt (Concordia, McGill, UQAC, UQAM, UQAT, UQO,
UQAR, Montréal, Sherbrooke et Laval),
Centre interuniversitaire de recherche en études nordiques (Laval, UQAR, UQAM et I.N.R.S.),
Centre de biologie
synthétique appliquée de l'Université Concordia,
Centre de recherche en eau,
terre et environnement de l'I.N.R.S.,
Centre de
recherche en écologie terrestre de l'Université de Sherbrooke,
Centre de recherche en horticulture de l'Université Laval,
Centre de recherche interinstitutionnel en sciences du végétal SEVE
(Sherbrooke, Laval, Montréal, Mcgill, U.Q.T.R. et UQAT),
Centre de recherche sur la
boréalie de l'UQAC,
Centre de recherche sur les interactions bassins versants - écosystèmes
aquatiques de l'U.Q.T.R.,
Centre interuniversitaire de recherche en toxicologie de l'environnement
(UQAM et U.Q.T.R.),
Centre interuniversitaire de
recherche sur le saumon d'Atlantique (Laval, UQAR, U.Q.T.R., Mcgill,
Montréal et I.N.R.S.),
Centre sur la biodiversité de l'Université de Montréal,
Équipe de recherche du
Biodôme de Montréal,
Équipe de recherche du Jardin Botanique de Montréal,
Gault Nature Reserve de
l'Université Mcgill,
Groupe de recherche en biologie végétale de l'UQTR,
Groupe de recherche en écologie des tourbières (Université Laval)
Groupe de recherche sur les environnements nordiques BOREAS de l'UQAR,
Groupe interuniversitaire de
recherche en limnologie et environnements aquatiques (Montréal, U.Q.T.R.
et UQAR),
Groupe interuniversitaire de
recherches océanographiques Québec-Océan (UQAR, Laval, Mcgill et
I.N.R.S.),
Institut de
biologie intégrative des systèmes de l'Université Laval,
Institut
canadien des innovations en photonique (Université Laval et Gouvernement du
Canada)
Mcgill Centre
for Bioinformatics,
Mcgill
University Phytotron,
Station de
biologie des Laurentides de l'Université de Montréal,
Station de recherche
forestière du Lac Duparquet de l'UQAT,
Unité de recherche et de
développement forestiers de l'UQAT,
Consortium en
foresterie Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine de l'UQAR
EXIGENCES DES EMPLOYEURS :
- Détenir une maîtrise
en biologie au minimum souvent exigé
- Polyvalence
- Disponibilité
- Mobilité en régions
éloignées parfois nécessaire
- Travail saisonnier
et horaires variables pour certains postes
ASSOCIATION PROFESSIONNELLE :
Si tu le désires, tu pourras devenir membre de l’Association des biologistes du Québec.
Tu pourras obtenir un sceau pouvant accompagner ta signature professionnelle en tant que biologiste pour une meilleure reconnaissance professionnelle, ex :
Jos Bleau, Biol ABQ M.Sc.
L’Association des biologistes du Québec travaille à la reconnaissance de la profession au niveau de l’Office des professions du Québec afin qu'un ordre professionnel des biologistes soit créé pour mieux encadrer l’accès et l’exercice de la profession par une loi afin de garantir l’exécution compétente et intègre des activités à risque qui la caractérisent dans un contexte où une société a fait des choix et des mesures pour mieux préserver ses écosystèmes naturels et protéger son environnement.
PLACEMENT :
Selon les données disponibles au 31 janvier 2021 :
Pour le
Baccalauréat
en biologie ou en écologie :
Plus du deux-tiers des répondants(es), soit 64 % ont poursuivi leurs études au niveau de la maîtrise (notamment en biologie) ou autres spécialités connexes.
Parmi les répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail, seulement 49 % d'entre-eux ont obtenu un emploi relié dont la presque totalité sont à temps complet.
NOMBRE DE
RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE À TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
381 | 67 | 60 | 244 |
Note 1 : légère hausse du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 46 % en 2019; 31 % en 2017; 34 % en 2015 et 60 % en 2013).
Pour les Maîtrises :
En biologie :
Le placement est bon, 72 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la presque totalité sont à temps complet.
Quelques autres répondants(es), soit 17 % ont choisi de poursuivre leurs études au niveau du doctorat en biologie ou dans une discipline connexe.
NOMBRE DE
RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE À TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
77 | 46 | 39 | 13 |
Note 1 : légère hausse du taux de placement en comparaison avec les années précédentes (était de 66 % en 2019; 63 % en 2017; 50 % en 2015 et 63 % en 2013).
En environnement :
Le placement est bon, 74 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travailont obtenu un emploi relié à leurs études dont la presque totalité sont à temps complet.
Seulement quelques répondants(es), soit 8 % ont poursuivi leurs études au niveau du doctorat.
En biologie cellulaire et moléculaire :
Près de la moitié des répondants(es), soit 45 % ont poursuivi leurs études au niveau du doctorat.
Le placement est très bon, 83 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi relié dont la totalité sont à temps complet.
En océanographie :
En sciences forestières :
Le placement est très bon, 48 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la totalité sont à temps complet.
En sciences animales :
Le placement est bon, 75 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la totalité sont à temps complet.
Plusieurs répondants(es), soit 43 % ont choisi de poursuivre ses études au niveau du doctorat.
En sciences végétales :
Le placement est excellent, 100 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la totalité sont à temps complet.
Quelques répondants(es), soit 33 % ont choisi de poursuivre ses études au niveau du doctorat.
En sciences de l'eau :
PROGRAMMES |
NOMBRE DE RÉPONDANTS |
NOMBRE |
NOMBRE À TEMPS COMPLET |
NOMBRE AUX |
Environnement |
93 |
64 |
60 |
7 |
Bio cell. et moléc |
23 |
4 |
4 |
15 |
Génétique |
11 |
5 |
5 |
5 |
Océanographie |
13 |
8 |
8 |
2 |
Sc de l'eau |
6 |
4 |
4 |
1 |
Sc animales |
7 |
3 |
3 |
3 |
Sc forestières |
11 |
7 |
6 |
2 |
Sc végétales |
6 |
4 |
4 |
2 |
Pour les Doctorats
En biologie :
Le placement est bon, 76 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi reliè à leurs études dont la presque totalité sont à temps complet.
Plusieurs autres répondants(es), soit 32 % ont poursuivi leurs études au niveau du stage postdoctoral.
Un(e) seul(e) répondant(e) a poursuivi ses études dans un autre doctorat.
NOMBRE DE
RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE À TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
OMBRE |
74 | 37 | 35 | 1 | 24 |
Note : baisse du taux de placement en biologie par rapport aux années précédentes (était de 90 % en 2017; 62 % en 2014; 90 % en 2012 et 74 % en 2010).
Autres programmes :
Le placement est TRÈS BON, 80 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi reliè à leurs études dont la totalité sont à temps complet.
Plus du tiers des répondants(es), soit 29 % ont poursuivi leurs études au niveau du stage postdoctoral.
Plusieurs
En sciences de l'eau :
En océanographie :
PROGRAMMES |
NOMBRE DE RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE À TEMPS COMPLET |
NOMBRE AUX ÉTUDES |
NOMBRE EN STAGE |
Bio moléc et cell. |
7 |
4 |
3 |
0 |
2 |
Environnement |
13 |
6 |
6 |
0 |
4 |
Sciences de l'eau |
6 |
3 |
3 |
0 |
2 |
Océanographie |
6 |
3 |
3 |
0 |
2 |
Sources : Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec
SALAIRE :
Selon
les données en 2022 :
Le salaire
moyen en début de carrière était de :
pour l'enseignement au secondaire, consulte la page de professeur de sciences au secondaire
Dans le secteur privé :
30,
Note 1 : légère hausse de la moyenne salariale en biologie au sein des PME ou OBNL par rapport aux années précédentes (était de 23,99 $ en 2019; 23,40 $ en 2017; 22,48 $ en 2015 et 21,05 $ en 2013).
Note 2 : hausse de la moyenne salariale en environnement au sein des PME ou OBNL en comparaison avec les années précédentes (était de 27,44 $ en 2019; 26,09 $ en 2017; 25,30 $ en 2015 et 24,68 $ en 2013).
Dans le secteur public et parapublic :
26,64 $/heure (35 hres/sem) en tant qu'agent(e) de planification et recherche socioéconomique - développement de programmes écotouristiques dans les parcs et réserves dans la fonction publique québécoise
29
30,36 $/heure (37,5 hres/sem) en tant qu'agent(e) de développement écotouristique à Parcs Canada
33,28 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que biologiste ou conseiller(ère) scientifique à Parcs Canada
33
4
Note : Dans le secteur public et parapublic, les augmentations sont établies par les conventions collectives.
En enseignement collégial et universitaire :
(32,5 heures/sem réparties sur 40 semaines pour le collégial, mais le salaire est calculé sur 52 semaines)
1
1
116
1 275,97 $/semaine en moyenne en tant que chargé(e) d'enseignement, professeur(e) assistant(e), professeur(e) suppléant(e) ou lecturer dans une université
1 568,11 $/semaine en moyenne en tant que professeur(e) adjoint(e), professeur(e) régulier ou adjunct professor dans une université
Sources : Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec, Conseil du Trésor du Québec, Commission de la Fonction publique du Canada, Alliance de la fonction publique du Canada - section locale Parcs Canada, Syndicat de la fonction publique du Québec - division SÉPAQ, Syndicat des fonctionnaires municipaux de Montréal, Syndicat des fonctionnaires municipaux de Québec, Syndicat des fonctionnaires municipaux de Laval, Syndicat des professsionnels municipaux de Montréal, Alliance des professionnels de la Ville de Québec, Alliance du professonnel et administratif de la Ville de Laval, conventions collectives des fonctionnaires et professionnels de plusieurs municipalités de taille moyenne, conventions collectives des employés municipaux de la plupart des grandes municipalités, conventions collectives des professionnels de la plupart des grandes municipalités, conventions collectives des employés de soutien et professionnels plusieurs collèges privés, conventions collectives des professeurs de plusieurs collèges privés, conventions collectives des conventions collectives des employés de soutien de la plupart universités, conventions collectives des professionnels de recherche de la plupart universités, conventions collectives des professionnels de la plupart universités, conventions collectives des chargés de cours de la plupart des universités, conventions collectives des professeurs de la plupart des universités.
PORTRAIT DE LA BIOLOGIE :
la génétique du développement : étudie des acteurs moléculaires (et les gènes qui les codent) impliqués dans la formation de l'organisme à partir du stade unicellulaire d'œuf fécondé;
la génomique : étudie la structure, la composition et l'évolution des génomes (la totalité de l'ADN, trois milliards de paires de bases chez l'être humain, organisées en chromosomes), et tente d'identifier des motifs dans l'ADN pouvant avoir un sens biologique;
la génétique de l'évolution : étudie les signatures de la sélection naturelle sur le génome des espèces, et tente d'identifier les gènes qui ont joué un rôle essentiel dans l'adaptation et la survie des espèces dans des environnements changeants;
la génétique des populations : étudie les forces (et leurs effets) qui influencent la diversité génétique des populations2 et des espèces (mutation, dérive, sélection) par (entre autres) le développement de modèles mathématiques et statistiques.
la biotechnologie humaine : étudie les gènes, les cellules et les moléculaires d'animaux ou de végétaux pouvant être modifiés pour des applications scientifiques permettant d'améliorer la santé humaine pour le développement de nouveaux vaccins, le développement de nouveaux médicaments, améliorer la résistance des animaux de consommation à certaines maladies ou l'utilisation permettant d'améliorer pour le développement de nouveaux vaccins, le développement de nouveaux médicaments, le remplacement des valvules cardiaques que le corps tolère mieux aux traitements de l'infertilité humaine, le développement d'organes naturels pour les transplantations, etc.
la toxicologie humaine : étudie les effets néfastes d'une source (molécule, radiation, nanomatériaux, déchets, émanations, etc.) pour la santé humaine.
La conservation des espèces animales et leurs habitats (écosystèmes) :
Comprend :
l'entomologie : étudie l'évolution, la génétique, les comportements, les modes de survie, les habitats et la santé des populations des insectes;
l'herpétologie : étudie l'évolution, la génétique, les comportements, les modes de survie, les habitats et la santé des populations des amphibiens;
l'ichtyologie : étudie l'évolution, la génétique, les comportements, les modes de survie, les habitats et la santé des populations des poissons (d'eau douce ou d'eau salée);
l'ornithologie : étudie l'évolution, la génétique, les comportements, les modes de survie, les habitats et la santé des populations des oiseaux migrateurs, des oiseaux de proie;
la carcinologie : étudie l'évolution, la génétique, les comportements, les modes de survie, les habitats et la santé des populations des crustacés;
la mammologie : étudie l'évolution, la génétique, les comportements, les modes de survie, les habitats et la santé des populations des mammifères terrestres ou marins;
la biologie évolutive : cherche à comprendre les scénarios et les mécanismes de l’évolution des espèces;
la biodiversité : étudie la variété et variabilité des organismes vivants de toute origine y compris, entre autres, les écosystèmes terrestres, marins et autres écosystèmes aquatiques et les complexes écologiques dont ils font partie;
la bioologie de la conservation : étudie questions de perte, maintien ou restauration de biodiversité, notamment en ce qui a trait à la protection des espèces menacées, la protection des habitats naturels, etc.
la biotechnologie animale : étudie les gènes, les cellules et les moléculaires d'animaux ou de végétaux pouvant être modifiés pour des applications scientifiques la biologie évolutive : cherche à comprendre les scénarios et les mécanismes de l’évolution des espèces;
la toxicologie animale : étudie les effets néfastes d'une source (molécule, radiation, nanomatériaux, déchets, émanations, etc.) pour la santé animale.
La conservation des écosystèmes végétaux:
la botanique : étudie et classifie les plantes (terrestres ou marines), les fleurs et des algues marines ;
la dendrologie : étudie et classifie les espèces d'arbres et d'arbustes;
la biologie évolutive : cherche à comprendre les scénarios et les mécanismes de l’évolution des espèces;
la biodiversité : étudie la variété et variabilité des organismes vivants de toute origine y compris, entre autres, les écosystèmes terrestres, marins et autres écosystèmes aquatiques et les complexes écologiques dont ils font partie;
la biologie de la conservation : étudie questions de perte, maintien ou restauration de biodiversité, notamment en ce qui a trait à la protection des espèces menacées, la protection des habitats naturels, etc.
l'anatomie, la
morphologie et physiologie végétales : étudie les structures comme les tissus et les
organes et les parties, ainsi que les principes mécaniques, physiques et
biochimiques chez les végétaux,
la biotechnologie végétale : étudie les gènes, les cellules et les moléculaires de plantes pouvant être modifiés pour des applications scientifiques permettant d'améliorer pour le développement de nouveaux vaccins, le développement de nouveaux médicaments, améliorer la résistance des animaux de consommation à certaines maladies ou l'utilisation permettant d'améliorer les pratiques des cultures horticoles ou céréalières, le développement de nouveaux insecticides biologiques plus efficaces, l'implantation de végétaux plus résistants (par exemple aux bords des autoroutes), la décontamination naturelle des sols et des eaux, etc.
la taxonomie végétale : décrire les végétaux et de les regrouper en entités appelées taxons afin de les identifier puis les nommer et enfin les classer et de les reconnaitre via des clés de détermination (espèce, genre, famille, classe, etc.)
la toxicologie végétale : étudie les effets néfastes d'une source (molécule, radiation, nanomatériaux, déchets, émanations, etc.) pour la santé et la croissance des végétaux.
La gestion des ressources naturelles :
la biologie de la conservation : étudie questions de perte, maintien ou restauration de biodiversité, notamment en ce qui a trait à la protection des espèces menacées, la protection des habitants naturels, etc.;
l'écologie comportementale (ou écoéthologie) : étudie le comportement animal, principalement en milieu naturel, plus particulièrement la manière dont les animaux assurent leurs fonctions vitales;
l'écologie forestière : étudie l'évolution, les caractéristiques et le développement des différents types de forêts et les interactions avec les différentes espèces d'animaux et de végétaux qui y vivent;
l'écologie marine et des eaux douces : étudie les interactions entre les différents être vivants animaux et végétaux dans les cours d'eau, principalement d'eau douce (lacs, rivières, étangs, etc.);
l'écologie des populations (ou démoécologie) : étudie et quantifie les populations et leurs variations au fil des temps;
la limnologie : étudie les aspects physiques, chimiques et biologiques et les impacts des changements climatiques, des interventions humaines et de l'évolution naturelle sur les eaux continentales » (eaux douces ou salées, stagnantes ou mouvantes, dans les lacs, rivières, marécages...);
la gestion intégrée des ressources : étudie le mode de gestion de certaines activités qui intègre, dès la phase de conception, l'ensemble des facteurs écologiques, économiques et sociaux qui leur sont liés dans la gestion des ressources naturelles.
Les évaluations environnementales :
Comprend les disciplines telles que la gestion des déchets (agricoles, urbains, etc.), la gestion de l'énergie, la gestion des ressources en eau, les études d'impacts environnementales, l'inventaire et la caractérisation des milieux naturels, etc.
La formation et l'éducation à l'environnement et à la protection des ressources naturelles :
Comprend les disciplines telles que la vulgarisation scientifique, le journalisme scientifique, l'éducation et l'interprétation du milieu naturel, l'enseignement postsecondaire des sciences biologiques, etc.
La certification :
Comprend les domaines peu connues, mais en expansion tels que les achats responsables, la géomatique appliquée à l'environnement, le droit des biotechnologies, etc.
La recherche scientifique en environnement et en ressources biologiques :
Il existe de nombreux domaines de recherche en sciences biologiques, que ce soit :
la biologie évolutive
la biologie marine
la biologie végétale
l'océanographie biologique
la physiologie animale
la physiologie végétale
la botanique
la zoologie
la biotechnologie
la biologie cellulaire et moléculaire
l'écologie animale
l'écologie végétale
l'écophysiologie végétale
la génétique animale
la génétique humaine
la génétique végétale
la génomique intégrative
l'écologie continentale
l'entomologie
les sciences de l'eau
les sciences des sols
les sciences forestières
etc.
Sources : Association des biologistes du Québec, départements de biologie de plusieurs universités et Wikipedia
PORTRAIT DE LA PROFESSION :
Profession composée avec une majorité de femmes avec 58 % des membres de la profession, alors que les hommes représentaient 42 % des biologistes.
Plus de 67 % des membres de la profession étaient âgés de moins de 45 ans. Donc, le veillissement de la population n'est pas un problème dans cette profession.
2
12 % travaillaient au sein des sociétés d'État (Parcs Canada, SÉPAQ, Hydro-Québec, Agence canadienne d'évaluation environnementale, etc.)
12 % œuvraient au sein d'entreprises dans le domaine de l'environnement ou de la foresterie (entreprises d'aménagement forestier, compagnies forestières, entreprises de services environnementaux, laboratoires privées d'analyses environnementales, sociétés de gestion de forêts privées, etc.)
6 % étaient dans le secteur industriel (industries pharmaceutiques, biomédicales, cosméceutiques, chimiques et biotechnologiques, etc.)
4 % au sein des établissements de santé (incluant les centres de recherche hospitaliers)
5 % étaient au sein d'entreprises ou d'organismes sans but lucratif (centres d'interprétation de la nature, centres éducatifs forestiers, organismes pour la protection de l'environnement, etc.)
4 % étaient dans d'autres milieux (jardins zoologiques, musées de sciences naturelles, magazines scientifiques, clubs de loisirs scientifique, etc.)
- 33 % dans la région de l'Île de Montréal
- 18 % dans la région de la Capitale Nationale
- 13% en Montérégie
40
1
6
5 % en enseignement / recherche en milieu universitaire ou collégial
3 % pratiquaient au sein d'organismes parapublics (ex : SÉPAQ, Parcs Canada, Hydro-Québec, Espace pour la vie)
2 % étaient dans d'autres milieux
Près d'une centaine d'enseignantes et enseignantes en technologie des analyses biomédicales;
Ainsi qu'une terntaine d'enseignantes et enseignants en techniques de la chimie (dont technologie de laboratoire -biotechnologie et technologie de la production pharmaceutique).
94 % enseignaient dans le réseau public et 6 % enseignaient dans le réseau privé.
84 % enseignaient dans le secteur francophone et 16 % enseignaient dans le secteur anglophone.
Profession avec légère majorité féminine, puisqu'elles reperésentaient 56 % du personnel enseignant au collégial.
Près de 69 % détenaient un baccalauréat, plus de 23 % détenaient une maîtrise et près de 9 % étaient titulaires d'une scolarité de 3e cycle ou d'un doctorat.
Plus de 82 % occupaient un poste à temps complet.
Contrairement au secteur technique, la majorité des enseignants(es) au préuniversitaire occupaient un poste permanent.
L'âge moyen d'un(e) enseignant(e) en
géographie au collégial était de
43 ans
(48 ans chez hommes et 43 ans chez les femmes).
Selon la Fédération québécoise des professeures et des professeurs d'université; il y avait près de 9 900 professeures et professeures et professeurs permanents ou candidats(es) à la permanence (excluant les professeurs invités ou visiteurs) dans l'ensemble des universités québécoises en 2022, soit :
5 % des chargés(es) d'enseignement, professeurs(es) assistants(es) et professeurs(es) subventionnels(les) (ou adjuncts professors dans les universités anglophones)
17 % des professeurs(es) adjoints(es) (ou assitants professors dans les universités anglophones)
36 % des professeurs(es) agrégés(es) (associates professors dans les universités anglophones)
42 % des professeurs(es) titulaires (professors ou full professors dans les universités anglophones).
On y comptait notamment plus de 260 professeures et professeurs de carrière en sciences biologiques dans 12 universités québécoises.
T
outefois, un(e) diplômé(e) en biologie peut également enseigner la biologie dans plusieurs autres disciplines (agronomie, génie forestier, sciences environnementales, etc.).Plus de 76 % exerçaient dans université francophone et 24 % pratiquaient dans une université anglophone.
Plus de 42 % étaient des femmes, mais
cette proportion augmente d'année en année depuis 1999.
(les femmes représentaient 40 % en 2019; 38 % en 2017 et 37 % en
2011).
Selon le rang, les femmes représentaient 31 % chez les titulaires, 46 % chez les agrégées, 52 % chez les adjointes et 54 % chez les assistantes et chargées d'enseignement.
Les femmes étaient majoritaires (ou du moins assez nombreuses) dans les disciplines des sciences paramédicales (soins infirmiers, ergothérapie, physiothérapie, orthophonie, etc.) avec une proportion de 66 %, en sciences de l'éducation avec 53 %, dans le domaine des lettres avec 51 %, en droit avec 46 % et en arts avec 44 %.
Alors qu'en médecine et en génie, elles ne représentaient que moins de 20 % du corps professoral, on peut prévoir que ce nombre augmentera au cours des années puisque les cohortes étudiantes de ces disciplines des universités sont actuellement composées de femmes en majorité.
Près de 13 % du corps professoral s'identifiait était d'une minorité visible et moins de 1 % était reconnu autochtone.
Près de 83 % des professeurs(es) permanents ou candidats(es) à la permanence occupaient un poste à temps complet.
Plus de 78 % des professeurs(es) de carrière détenaient un doctora dont plus de 40 % détenaient une formation post-doctorale.
L'âge moyen était de 51 ans pour les professeurs(es) enseignant à temps complet et de 49 ans pour les chargés(es) de cours.
L'âge moyen d'un(e) professeur(e) adjoint(e) était de 39 ans, d'un(e) professeur(e) agrégé(e) de 49 ans et d'un(e) professeur(e) titulaire de 57 ans.
La répartition du corps professoral à temps plein selon l'âge était :
0 % avaient moins de 25 ans
9 % avaient de 25 à 34 ans
29 % avaient de 35 à 44 ans
27 % avaient de 45 à 54 ans
23 % avaient de 55 à 64 ans
13 % étaient âgés de 65 ans et +
PERSPECTIVES D’AVENIR :
La biologie est au cœur des principaux problèmes que devront affronter et résoudre les sociétés de demain: pollution de toutes sortes, conservation de la biodiversité, développement des biotechnologies, etc.
Au cours des dernières années, le nombre de biologistes et autres scientifiques a augmenté de façon notable. Compte tenu de la croissance de la recherche et du développement sur les questions liées à la biologie (biodiversité, génome humain, organismes génétiquement modifiés (OGM), biotechnologies, pharmacologie, etc.), le nombre de biologistes et autres scientifiques devrait continuer à augmenter de façon notable au cours des prochaines années.
Les débouchés proviendront en premier lieu des postes qui seront libérés par les biologistes et autres scientifiques qui prendront leur retraite, même si la proportion de personnes âgées de 55 ans et plus est bien plus basse que pour l'ensemble des professions.
Les biologistes compétents ayant acquis une solide formation de base et suffisamment motivés à relever les défis nombreux qu'offre la société contemporaine peuvent se tailler une carrière de choix et mener une vie professionnelle extrêmement intéressante.
Les développements importants dans plusieurs secteurs de pointe de la
biologie tels que : la génétique de l’environnement, la génétique animale,
la génétique végétale, les biotechnologies, la biologie moléculaire et la
pharmacologie permettent de prévoir de bonnes perspectives d’emploi dans ces
secteurs.
De plus, selon les données recueillies sur le site Emploi-Avenir Québec, les perspectives sont plutôt favorables pour ceux et celles qui se destinent à l'enseignement collégial de la biologie au cours des prochaines années compte tenu de nombreux départs à la retraite d'enseignants(es) dans le réseau de l'enseignement collégial.
Le salaire annuel moyen d'un(e) biologiste ayant 10 ans d'expérience au sein d'une PME ou d'un OSBL était de 63 900 $.
Le salaire annuel moyen d'un(e) professionnel(le) de recherche (détenant un doctorat) ayant 10 ans d'expérience au sein d'une université était de 71 100 $.
Le salaire annuel moyen d'un(e) biologiste ou conseiller(ère) en environnement ayant 10 ans d'expérience au sein d'une municipalité de de taille moyenne était de 78 200 $.
Le salaire annuel moyen d'un(e) responsable ou d'un(e) chargé(e) ou d'un(e) coordonnateur(trice) de laboratoire d'enseignement ayant 10 ans d'expérience au sein d'une université était de 79 000 $.
Le salaire annuel moyen d'un(e) chercheur(e) en biologie dans un centre de recherche privé sans but lucratif était de 79 100 $.
Le salaire annuel moyen d'un(e) biologiste ayant 10 ans d'expérience dans la fonction publique québécoise était de 81 200 $.