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SECTEUR : LETTRES ET LANGUES

NIVEAU D’ÉTUDES : ENSEIGNEMENT UNIVERSITAIRE

 

TRADUCTEUR(TRICE)

TERMINOLOGUE

INTERPRÈTE

 

BACCALAURÉAT SPÉCIALISÉ B.A.

 

Consulte également la page d’informations sur les programmes pré-universitaires en lettres et langues

 

Ainsi que la section "liens recommandés" (dont des vidéos de traducteurs, terminologues et interprètes qui parlent de leur travail).

 

TÂCHES ET RESPONSABILITÉS :

 

En tant que traductrice ou traducteur; tu seras responsable de transposer des textes de toutes sortes de documents d’une langue à une autre, en transmettant le plus fidèlement possible le message. Généralement, tu traduiras d’une deuxième (le plus souvent, l'anglais ou le français) ou d’une troisième langue vers ta langue maternelle.

 

Que ce soit des dépliants publicitaires, des catalogues, des journaux, des manuels d’utilisation d’un appareil, d’un logiciel ou d’un jeu, d’un guide d’informations, d’un guide touristique, d’un contrat commercial, d'un document officiel d'un organisme gouvernemental (ex : certificat de naissance, certificat de mariage, certificat de décès, permis de conduire, relevé de notes, etc.), d’une publication juridique, d'un jugement d'un tribunal, d’un rapport médical ou autre document médical, d’un manuel de référence, d’un livre documentaire ou de référence ou tout autre document nécessitant la traduction.

 

Si tu as acquis la formation nécessaire dans la langue appropriée, tu pourrais aussi être appelée à traduire en français ou en anglais des documents provenant d’autre langue étrangère (comme l’espagnol ou l’allemand notamment).

 

On pourra également faire appel à tes services lorsqu’on aura besoin d’un(e) interprète lors de réunions d’affaires, de conférences, de congrès, de conférences de presse ou autres événements semblables.

 

Tu auras pour tâches de :

En tant que terminologue; tu seras responsable de répertorier les termes propres à une sphère d’activité, les définir et chercher les équivalents dans une autre langue. De plus, tu définiras les termes en usage pour des entreprises, des bases de données, des glossaires, des dictionnaires et des lexiques afin de les uniformiser.

 

Tu auras pour tâches de :

En tant qu'interprète de conférence; tu seras responsable de reformuler oralement d’une langue à une autre un message lors de discours, de réunions, de conférences et de débats, tout en accordant une attention particulière au contenu. En toutes circonstances, tu auras besoin, en plus de ses connaissances générales, d’une préparation propre à la conférence, qui varie selon le domaine. Il existe deux techniques principales d’interprétation de conférence : la consécutive et la simultanée.

 

En tant qu'interprète judiciaire; tu seras responsable d'assurer des services d’interprétation devant des cours de justice ou des tribunaux administratifs. Tu interprèteras tantôt en mode consécutif, tantôt en mode simultané. Le premier, classique, permet une communication bidirectionnelle, par exemple dans le contexte d’un contre-interrogatoire. L’interprétation simultanée s’effectue au moyen de matériel électronique sans fil et permet une traduction continue en direct. Cette méthode sert à établir une communication unidirectionnelle, lorsqu’il s’agit de traduire tout ce qui se dit à la Cour.

 

APTITUDES ET QUALITÉS REQUISES :

-      Capacité d’analyse et de synthèse pour être en mesure de résumer correctement afin d’interpréter à tes auditeurs ou de rédiger des documents-synthèses traduits

-         Sns de l’organisation pour planifier et organiser efficacement ton travail et ton temps (tu devras respecter des délais précis)

-    Bonne méthode de travail et  rigueur professionnelle afin de traduire le plus fidèlement et de la meilleure de qualité les divers documents

-        Bonne locution (langage) et audition pour interpréter correctement à tes auditeurs lors de conférences, réunions, procès, etc.

-        Facilité à utiliser les ordinateurs (logiciels de traduction, de traitement de textes et dictionnaires multimédias) car tu devras travailler régulièrement avec ces outils

-    Curiosité et  ouverture d'esprit afin de t'ouvrir aux différentes formes de langage en tenant comptes des particularités culturelles, des contraites techniques et pour être à l'affût des nouvelles méthodes et techniques de traduction et de rédaction

-        Excellente maîtrise du français et de l’anglais parlés et écrits car tu devras traduire et interpréter de la façon la plus correcte et précise possible les divers documents

-       Aptitudes et facilité à apprendre d’autres langues car tu pourrais être appelé(e) à traduire divers documents écrits dans une langue étrangère (espagnol, allemand, italien, portugais, japonais ou chinois notamment) 

PROFESSIONS APPARENTÉES :

-    Agent(e) fédéral du renseignement (maîtrise nécessaire)

-        Conseiller(ère) linguistique

-        Correcteur(trice) d’épreuves (en édition)

-        Correcteur(trice) linguistique

-        Interprète agréé(e)

-    Officier du renseignement (Forces armées) maîtrise nécessaire

-        Professeur(e) de langue étrangère (sauf au secondaire)

-        Rédacteur(trice) professionnel(le)

-        Rédacteur(trice) publicitaire

-        Réviseur(e) linguistique

-        Terminologue agréé(e)

-        Traducteur(trice) agréé(e)

-        Traducteur(trice) interprète agréé(e)

-        Traducteur(trice)-interprète

-        Traducteur-réviseur ou traductrice-réviseure

-        Autres métiers demandant la connaissance d’une langue étrangère (représentant-e de commerce à l’étranger par exemple) 

EMPLOYEURS POTENTIELS :

-        À ton propre compte (à contrat ou à la pige)

-    Agences de publicité

-        Firmes de traducteurs

-        Gouvernement du Canada : Bureau de la traduction du Canada, Ministère des affaires étrangères et commerce international Canada, Ministère Citoyenneté et Immigration Canada, Service canadien de renseignements et de sécurité SCRS, Agence des services frontaliers du Canada, Commissaire aux langues officielles

-    Gouvernement du Québec Ministère de l'Immigration du Québec Ministère des relations internationales du Québec

-    Ville de Montréal

-        Grandes entreprises (pour la traduction de documents commerciaux et juridiques)

-        Maisons d’édition (pour la traduction de livres)

-    Organismes internationaux gouvernementaux ou non gouvernementaux (UNESCO, Organisation de l'aviation civile internationale OACI, Organisation internationale du tourisme social, Organisation Villes du patrimoine mondial, etc)

EXIGENCES DU MARCHÉ DU TRAVAIL :

et AFFILIATION PROFESSIONNELLE :

 

En traduction  :

 

Aucun permis n'est obligatoire afin de pratiquer en tant que traductrice ou traducteur.

 

En fait, d'excellentes connaissances linguistiques tant en langue maternelle que dans la langue de traduction et l'utilisation d'outils efficaces sont nécessaires.

 

Donc, en théorie, un(e) diplômé(e) du D.E.C. en langues et lettres par exemple, devenir traducteur(trice).

 

Un baccalauréat dans une langue étrangère (ex : études hispaniques, études allemandes, études italiennes, études est-asiatiques, etc.) ou en linguistique d'une  université anglophone (pour un francophone) ou d'une université francophone (pour un anglophone) sont toutefois de très bonnes formations permettant de pratiquer la traduction professionnelle.

 

Mais, certaines compétences techniques relatives aux règles morphologiques, au méthodes et aux techniques de révision linguistique bilingue et aux méthodes et techniques de terminologie seront manquantes afin de réaliser des traductions professionnelles de grande qualité.

 

Bien que ce ne soit pas une obligation pour la pratique professionnelle en tant que traducteur(trice), terminologue ou interprète de conférence, plusieurs employeurs exigent d’être membre de l’Ordre des traducteurs, terminologues et interprètes agréés du Québec afin d'obtenir l'un des 3 titres suivants :

"traducteur(trice) agréé(e) Trad. A." ou "terminologue agréé(e) Term. A." ou "interprète agréé(e) Int. A.".

 

Certains types de documents exigent qu'ils soient traduits par un traducteur(trice) agréé(e), comme par exemple :

D'autres documents n'ont pas nécessairement cette exigence, mais recommandées puisqu'ils peuvent avoir une incidence judiciaire en cas de litige, comme par exemple :

Pour y devenir membre de l'Odre, tu devras répondre aux exigences suivantes :

  1. Avoir obtenu un baccalauréat en traduction, un baccalauréat par cumul de certificats comprenant 2 certificats en traduction ou une maîtrise en traduction (tu peux aussi devenir membre étudiant-e pendant tes études) décerné par une université canadienne ou un diplôme étranger reconnu équivalent

  2.    Suivre et réussir un programme-stage d’une durée de 6 mois sous la supervision d’un(e) traducteur(trice) agréé(e) ou d'un(e) terminologue agréé(e) ou d'un(e) interprète agréé(e) d’expérience et sous la responsabilité de l’Ordre (sauf si tu as suivi le bacc en alternance travail-études ou régime coopératif)

Dans le domaine de l'interprétation :

 

Pour devenir interprète de conférence; aucun permis et aucune formation ne sont exigés pour occuper ce métier.

 

En théorie, il suffit d'avoir d'excellentes compétences linguistiques dans chacunes des langues (langue parlée par le conférencier et la langue de traduction), de bonnes conaissances générales et un excellent sens de la communication orale.

 

Toutefois, des conférences ou des séminaires portant sur des sujets complexes ou spécialisés (scientifique, médical, juridique, etc.) nécessitent des connaissances de base dans ce domaine.

 

Par contre, pour devenir interprète judiciaire, les tribunaux exigent un(e) interprète agréé(e) par l'Ordre.

 

L'Ordre exige que ses membres détiennent une formation reconnue dans le domaine de l'interprétation (telles que : le diplômai de 2e cycle en traduction avec option en interprétation judiciaire de l'Université Concordia, le D.E.S.S. - option interprétation de l'Université de Montréal, la maîtrise en traduction - option interprétation de l'Université de Montréal, la maîtrise en interprétation de conférence de l'Université d'Ottawa ou autre formation équivalente).

 

Dans le domaine de la terminologie :

 

La définition de termes propres à une sphère d’activité, soit la terminologie cherche à trouver les équivalents dans une autre langue.

 

Donc, des connaissances poussées en traduction et/ou dans la sphère d’activité sont nécessaires.

 

Aucun permis n'est nécessaire afin de pratique comme terminologue et aucun programme universitaire entièrement consacré à la terminologie n'eexiste actuellement au Québec.

 

Généralement, une maîtrise ou un doctorat avec la sphère d’activité ou un baccalauréat dans la sphère d’activité + une maîtrise en traduction est exigée par les employeurs.

 

Toutefois, lorsqu'il s'agit de la rédaction d'un manuel de référence ou d'une publication de nature spécialisée (médical, juridique, ingénierie, scientifique, etc.), l'expertise d'un(e) terminologue agréé(e) est souvent exigée.

 

L'Ordre exige de ses membres de détenir un baccalauréat en traduction ou une maîtrise en traduction d'une université canadienne ou un diplome étranger reconnu équivalent.

 

EXIGENCES DES EMPLOYEURS :

-        Polyvalence

-        Très bonne maîtrise de l’informatique

-        Excellente maîtrise de la langue française parlée et écrite

-        Excellente maîtrise de la langue anglaise parlée et écrite

-        Connaissance d’une 3e langue un atout important (principalement l’espagnol) 

-    Plusieurs employeurs exigent d'être membre de l'Ordre des traducteurs

PLACEMENT :

 

Selon les données disponibles au 31 janvier 2021 :

 

Le placement est bon, 62 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la presque totalité sont à temps complet.

 

Quelques répondants(es), soit 18 % ont choisi de travailler à leur propre compte (à contrat).

 

Quelques répondants(es), soit 10 % ont choisi de poursuivre leurs études en langues modernes ou à la maîtrise en traduction.

 

NOMBRE DE  RÉPONDANTS

NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ

NOMBRE À TEMPS COMPLET

NOMBRE
 A
LEUR COMPTE

NOMBRE
 AUX
ÉTUDES

177 98 83 18 18

 

Note : légère baisse du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 66 % en 2019; 66 % en 2017; 63 % en 2015 et 65 % en 2013).

 

Source : Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec

 

SALAIRE :

 

Selon les données de 2022 :

 

Le salaire moyen en début de carrière était de :

Dans le secteur privé :

-        972,00 $/semaine en tant que traducteur(trice) ou traducteur(trice) agréé(e) en  pratique privée

-         24,30 $/heure (40 hres/sem) en tant que traducteur(trice) ou terminologue au sein des PME (incluant les petits et moyens cabinets de traduction)

-         26,55 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que traducteur(trice) ou terminologue au sein des grands cabinets de traduction

-         27,14 $/heure (40 hres/sem) en tant que préposé(e) au sous-titrage à TVA (incluant ses canaux spécialisés : LCN, Moi & Cie, CASA, TVA sports, Yoopa !)

-         30,17 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que spécialiste en conformité ou terminologue ou traducteur(trice) au sein des grands cabinets d'avocats

-         30,59 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que traducteur(trice) ou terminologue au sein des grandes sociétés de conseils en gestion

-         32,81 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que rédacteur(trice) technique ou terminologue au sein des grandes entreprises de développement d'applications ou entreprises de jeu vidéo ou de multimédia ou des grandes sociétés de conseils en TI

-         40,84 $/heure (30 ou 32,5 ou 35 hres/sem) en moyenne en tant que traducteur(trice) au sein des grandes organisations syndicales

Note : légère hausse de la moyenne salariale au sein des PME par rapport aux années précédentes (était de 24,05 $ en 2019; 21,40 $ en 2017; 21,56 $ en 2015 et et 20,24 $ en 2013).

Dans le secteur public et parapublic :  

-         25,62 $/hre (35 hres/sem) en tant que traducteur(trice) dans la fonction publique québécoise

-    25,81 $/heure (35 hres/sem) traducteur(trice) ou traducteur(trice) agréé(e) dans le réseau de la santé et des services sociaux

-    25,90 $/heure (35 hres/sem) traducteur(trice) ou traducteur(trice) agréé(e) dans un centre de services scolaires

-         34,82 $/hre (35 hres/sem) en moyenne en tant que traducteur(trice) ou interprète ou terminologue au sein des universités

-         30,49 $/hre (37,5 hres/sem) en tant que traducteur(trice) ou traducteur(trice) agréé(e) dans la fonction publique fédérale

-         31,80 $/hre (35 hres/sem) en tant que traducteur(trice) à la Ville de Montréal

-         1 114,62 $/semaine en tant qu'agent(e) - stagiaire aux services de protection ou en collecte de renseignements et augmente à 1 355,77 $/semaine (après le stage) au Service canadien de renseignement de sécurité SCRS

-     2 301 $/mois en 1re année et augmente à 2 440 $/mois en 4e année (grade d'élève-officier pendant tes études universitaires au Collège militaire)

-         4 488 $/mois (au grade de lieutenant/enseigne de vaisseau 1re classe) et augmente à 6 596 $/mois (au grade de capitaine/lieutienant de vaisseau) après 5 ans en tant qu'officier du renseignement (bénéficiaires du Programme d'enrôlement direct des officiers PEDO) au sein des Forces canadiennes (Force régulière)

-         5 202 $/mois (au grade de lieutenant/enseigne de vaisseau 1re classe) et augmente à 6 596 $/mois (au grade de capitaine/lieutienant de vaisseau) après 5 ans en tant qu'officier du renseignement (bénéficiaires du Programme d'études universitaires subventionnées PFOR) au sein des Forces canadiennes (Force régulière)

-         147,62 $/jour (au grade de lieutenant/enseigne de vaisseau 1re classe) et augmente à 184,38 $/jour (au grade de capitaine/lieutienant de vaisseau) en tant qu'officier du renseignement au sein des Forces canadiennes (Réserve)

Note : dans le secteur public et parapublic, les augmentations sont établies par les conventions collectives.

 

Sources : Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec, Conseil du Trésor du Québec, Commission de la Fonction publique du Canada, Forces canadiennes, Syndicat des professionnels municipaux de Montréal, conventions collectives des professionnels de plusieurs universités, conventions collectives des professionnels de plusieurs grandes compagnies d'assurances, conventions collectives des employés de plusieurs grandes organisations syndicales, Guide salariale Robert Half du secteuret financier et Guide salariale Robert Half du secteur juridique.

 

PORTRAIT DES PROFESSIONS :

Selon Emploi-Québec; il y avait plus de 9 000 traducteurs(trices), terminologues et interprètes SANS titre professionnel dans l'ensemble du Québec en 2020.

Professions en majorité féminine, puisque plus de 70 % des étaient des femmes, alors que les hommes représentaient 30 %;

Plus de 75 % occupaient un poste à temps complet, mais plusieurs étaient à contrat ou à la pige.

Plus de 44 % étaient des travailleurs(euses) autonomes.

Puisque plusieurs traducteurs(trices) travaillent par contrat, 47 % d'entre-eux travaillent une partie de l'année, soit une moyenne de 35 semaines.

L'âge moyen était de 46 ans.

La répartition des membres de la profession selon l'âge était :

La répartition de ses membres par domaine de pratique ou le type d'employeur était :

Selon l'Ordre des traducteurs, terminologues et interprètes agréés du Québec; il y avait 2 404 membres actifs partout Québec au 31 mars 2022.
(soit 407 de plus qu'en 2020; 551 de plus qu'en 2018; 541 de plus qu'en 2016 et 449 de plus qu'en 2014)
.

Parmi ces derniers, on retrouvait :

2 301 traducteurs(trices) agréés(es),

42 terminologues-traducteurs(trices) agréés(es) (soit 8 de plus qu'en 2020, 6 de plus qu'en 2018 et de plus qu'en 2016);

27 terminologues agréés(es) (soit 5 de plus qu'en 2020 et de plus qu'en 2018);

22 interprètes agréés(es) (soit 2 de plus qu'en 2020, 2 de plus qu'en 2018 et 3 de plus qu'en 2016);

ainsi que 12 traducteurs(trices)-interprètes agréés(es) (soit 1 de plus qu'en 2018).

Il faut ajouter aux membres actifs au Québec que 338 membres de l'Ordre pratiquaient à l'extérieur du Québec
(ailleurs au Canada ou ailleurs dans le monde), mais travaillaient
pour une entreprise, une organisation privée ou une organisme gouvernemental du Québec.

Au cours de cette année, l'Ordre a accueilli 356 nouveaux membres (dont 349 traducteurs, 2 interprètes, ainsi que 5 terminologues).

Parmi les nouveaux membres, 306 sont diplômés au Québec, 16 diplômés ailleurs au pays et 34 diplômés hors-Canada.

Parmi les nouveaux membres; 75 ont obtenu un permis par la reconnaissance d'équivalence du diplôme obtenu autre qu'en traduction (33 au Québec, 8 ailleurs dans une autre province et 34 hors-Canada).

Il faut également ajouter 423 candidates et candidats à l'exercice de la profession et 246 étudiantes et étudiants qui étaient inscrits au registre au cours de cette année.

Profession majoraitement composée de femmes, puisqu'elles représentaient 72 % des membres. Cette proportion continue d'augmenter d'année en année, puisqu'elles représentaient 72 % des membres en 2020; 71 % en 2018; 71 en 2016 et 71 % en 2014.

La répartition des membres par région était :

Seulement 3 % des membres exerçaient au sein d'une société par actions,

Alors que plus de 75 % des traductrices et traducteurs agréé(es) travaillaient à leur compte, généralement seuls(es), mais parfois associés(es) avec 1 ou quelques autres traducteurs(trices).

Parmi les 34 interprètes agréés(es) (certains peuvent avoir plus d'un domaine de pratique), il y avait :

-    29 pouvaient interpréter de l'anglais au français ou vice-versa pour les conférences

-    6 pouvaient interpréter de l'anglais au français ou vice-versa pour les tribunaux

-    4 pouvaient interpréter de l'espagnol au français ou vice-versa pour les conférences

-    1 pouvaient interpréter de l'italien au français ou vice-versa pour les conférences

-    1  pouvait interpréter du chinois au français ou vice-versa ET du vietnamien au français et vice-versa pour les tribunaux et les conférences

-    1 pouvait interpréter de l'allemand au français ou vice-versa pour les conférences

-    1 pouvait interpréter du russe au français ou vice-versa pour les conférences

-    1 pouvaient interpréter de l'arabe au français ou vice-versa ou de l'arabe à l'anglais et vice-versa pour les conférences

Bien que la majorité des traducteurs(trices) agréés(es) se concentrent dans la traduction générale de tous types de documents, plusieurs se sont concentrés dans un champ de spécialisation (certains peuvent avoir plus d'un domaine de pratique) :

Bien que la majorité des traducteurs(trices) agréés(es) effectuent de la traduction de l'anglais vers le français ou du français vers l'anglais; plusieurs autres se sont spécialisés dans la traduction d'une langue étrangère.

La clientèle des traducteurs(trices) travailleurs(euses) autonomes était de composée de :

Selon le Portrait du réseau québécois de l'enseignement collégial réalisé par le Ministère de l'Enseignement supérieur du Québec; il y avait près de 19 800 enseignantes et enseignants de l'enseignement régulier au collégial (dont près de 1 100 dans le secteur privé) dans l'ensemble du Québec au cours de l'année scolaire 2021-2022.

De ce nombre, on y comptait près de 1 500 en français langue et littérature (dont près d'une centaine dans le secteur privé);
et près de 300 en anglais langue et littérature (dont près d'une vingtaine dans le secteur privé).

Ainsi que plus de 600 enseignantes et enseignants en anglais langue seconde (dont une trentaine dans le secteur privé);
et plus de 160 enseignantes et enseignants en français langue seconde (dont une dizaine dans le secteur privé).

94 % enseignaient dans le réseau public et 6 % enseignaient dans le réseau privé.

84 % enseignaient dans le secteur francophone et 16 % enseignaient dans le secteur anglophone.

Profession avec légère majorité féminine, puisqu'elles reperésentaient 56 % du personnel enseignant au collégial.

Près de 69 % détenaient un baccalauréat, plus de 23 % détenaient une maîtrise et près de 9 % étaient titulaires d'une scolarité de 3e cycle ou d'un doctorat.

Plus de 82 % occupaient un poste à temps complet.

Contrairement au secteur technique, la majorité des enseignants(es) au préuniversitaire occupaient un poste permanent.

L'âge moyen d'un(e) enseignant(e) en géographie au collégial était de 43 ans
(48 ans chez hommes et 43 ans chez les femmes).

Selon la Fédération québécoise des professeures et des professeurs d'université; il y avait près de 9 900 professeures et professeures et professeurs permanents ou candidats(es) à la permanence (excluant les professeurs invités ou visiteurs) dans l'ensemble des universités québécoises en 2022, soit :

5 % des chargés(es) d'enseignement, professeurs(es) assistants(es) et professeurs(es) subventionnels(les) (ou adjuncts professors dans les universités anglophones)
17 % des professeurs(es) adjoints(es) (ou assitants professors dans les universités anglophones)
36 % des professeurs(es) agrégés(es) (associates professors dans les universités anglophones)
42 % des professeurs(es) titulaires (professors ou full professors dans les universités anglophones).

Ainsi que près de 11 800 chargés(es) de cours et maîtres de langues dans l'ensemble du Québec (dont plus de 180 en langues modernes dans 8 universités).

On y comptait notamment plus d'une quarantaine de professeures et professeurs de carrière en traduction dans 5 universités québécoises.

Plus de 76 % exerçaient dans université francophone et 24 % pratiquaient dans une université anglophone.

Plus de 42 % étaient des femmes, mais cette proportion augmente d'année en année depuis 1999.
(les femmes représentaient 40 % en 2019; 38 % en 2017 et 37 % en 2011).

Selon le rang, les femmes représentaient 31 % chez les titulaires, 46 % chez les agrégées, 52 % chez les adjointes et 54 % chez les assistantes et chargées d'enseignement.

Les femmes étaient majoritaires (ou du moins assez nombreuses) dans les disciplines des sciences paramédicales (soins infirmiers, ergothérapie, physiothérapie, orthophonie, etc.) avec une proportion de 66 %, en sciences de l'éducation avec 53 %, dans le domaine des lettres avec 51 %, en droit avec 46 % et en arts avec 44 %.

Alors qu'en médecine et en génie, elles ne représentaient que moins de 20 % du corps professoral, on peut prévoir que ce nombre augmentera au cours des années puisque les cohortes étudiantes de ces disciplines des universités sont actuellement composées de femmes en majorité.

Près de 13 % du corps professoral s'identifiait était d'une minorité visible et moins de 1 % était reconnu autochtone.

Près de 83 % des professeurs(es) permanents ou candidats(es) à la permanence occupaient un poste à temps complet.

Plus de 78 % des professeurs(es) de carrière détenaient un doctora dont plus de 40 % détenaient une formation post-doctorale.

L'âge moyen était de 51 ans pour les professeurs(es) enseignant à temps complet et de 49 ans pour les chargés(es) de cours.

L'âge moyen d'un(e) professeur(e) adjoint(e) était de 39 ans, d'un(e) professeur(e) agrégé(e) de 49 ans et d'un(e) professeur(e) titulaire de 57 ans.

La répartition du corps professoral à temps plein selon l'âge était :

  1. 0 % avaient moins de 25 ans

  2. 9 % avaient de 25 à 34 ans

  3. 29 % avaient de 35 à 44 ans

  4. 27 % avaient de 45 à 54 ans

  5. 23 % avaient de 55 à 64 ans

  6. 13 % étaient âgés de 65 ans et +

PERSPECTIVES D’AVENIR :

 

Au cours des dernières années, le nombre de traducteurs, terminologues et interprètes a augmenté de façon notable. La croissance des besoins en information explique en bonne partie cette augmentation. Comme cette tendance devrait se maintenir, on prévoit que leur nombre continuera à augmenter de façon notable au cours des prochaines

 

Avec l'essor des communications virtuelles et de l'internet et l'accroissement des contenus traduits, les langagiers touchent à de nombreux domaines généraux ou spécialisés : industrie, services, ressources humaines, administration, transports, télécommunications, technologie de l'information, finance, secteur médical et pharmaceutique, services juridiques, science et technique, environnement, localisation, jeu vidéo, multimédia et d'autres.

 

Être membre de l’Ordre des traducteurs peut s’avérer un excellent atout, surtout pour obtenir des contrats auprès des gouvernements qui exigent d’être membre de l’Ordre.

 

Deux avenues sont possibles pour les traducteurs : être employé pour une entreprise ou être travailleur autonome. À cet effet, des statistiques de l'OTTIAQ démontrent que plus de 40 % choisissent la seconde option.

 

Il faut prévoir en début de carrière plus de travail à temps partiel et occuper un autre emploi, par exemple en rédaction. Cependant, avec la pandémie, on peut prévoir une augmentation du télétravail chez les traducteurs qui peuvent bénéficier de la possibilité de travailler auprès d'une entreprise hors Québec.

 

Les traducteurs(trices) en pratique privée (ton propre cabinet ou pigiste) sont de plus en plus nombreux (on estime que 41 % des traducteurs sont des travailleurs autonomes). Il faut donc être en mesure d’ajouter à ses fonctions celle de réviseur(e) et de développer vos propres ressources terminologiques. Il est également important d’être un bon vendeur et d'avoir des forces en administration afin de promouvoir et d'offrir un service de qualité.

 

Dans cette situation, généralement, en début de carrière, on peut prévoir travailler à temps partiel en traduction et occuper un autre emploi, par exemple en rédaction. Si tu optes pour la pige, il serait donc intéressant de développer des compétences en révision. De plus, des habiletés en vente et des connaissances ou de l'expérience en service à la clientèle seront des atouts. Tu devras composer avec un horaire varié et un salaire instable dans les premières années, le temps de constituer ta clientèle.

 

Un bon nombre de langagiers exercent au sein de nombreuses organisations publiques et privées : services de traduction ou de communication d'entreprises privées, cabinets de traduction, bureaux d'avocats ou d'experts-comptables, agences de publicité ou de marketing, maisons d'édition, administration publique, stations de radio et de télévision, organisations internationales.

 

Si tu envisages de travailler pour une entreprise ou une organisation publique en tant que traducteur(trice) salarié(e), la polyvalence est de mise, car il y a souvent plus à faire que des tâches de traduction (par exemple, de la rédaction ou de la révision).

 

Il peut donc être avantageux de te spécialiser dans un domaine (par exemple, le droit, la finance ou l'informatique) lorsqu'il existe une demande suffisante pour permettre d'y travailler à temps plein. Il est généralement plus facile pour les traducteurs de se spécialiser, contrairement aux interprètes ou aux terminologues. Les principaux champs de spécialisation d'un traducteur comprennent la traduction administrative, littéraire, scientifique ou technique. De leur côté, les interprètes peuvent se spécialiser en interprétation judiciaire, parlementaire ou de conférence.

 

Les emplois seront surtout orientés vers des emplois au sein des cabinets de traduction ou comme travailleur(euse) autonome (pigiste).

 

De plus, plusieurs entreprises ont besoin de traducteurs(trices) afin de traduire des contrats, des guides d'installation, des sites Web transactionnels, etc. compte tenu du développement des marchés au niveau international en forte croissance au sein des entreprises québécoises et canadiennes.

 

Par contre, les gouvernements (notamment le Gouvernement du Canada au sein du Bureau de traduction du Canada), les possibilités d'emploi sont plus rares.

 

Meme constat chez les médias d'information qui n'embauchent presque plus de traducteurs(trices) et d'interprètes.

 

Donc, les perspectives d’emploi sont bonnes pour les prochaines années.

 

La rémunération moyenne après expérience en 2022 ...

Le salaire annuel moyen d'un(e) traducteur(trice) ayant 10 années d'expérience dans un petit cabinet de traduction, au sein d'une PME ou à son comspte comme pigiste était de 61 400 $.

Le salaire annuel moyen d'un(e) traducteur(trice) ayant 10 années d'expérience dans le réseau de la santé et des services sociuaux (CISSS, CIUSSS ou CHU) tait de 69 900 $.

Le salaire annuel moyen d'un(e) traducteur(trice) ayant 10 années d'expérience au sein d'un grand cabinet de traduction était de 71 800 $.

Le salaire annuel moyen d'un(e) traducteur(trice) ayant 10 années d'expérience dans la fonction publique québécoise était de 75 000 $.

Le salaire annuel moyen d'un(e) traducteur(trice), rédacteur(trice) ou terminologue ayant 10 années d'expérience au sein d'une grande entreprise du jeu vidéo ou du multimédia ou d'une grande sociétés de conseils en TI était de 82 500 $.

Le salaire annuel moyen d'un(e) traducteur(trice) ayant 10 années d'expérience au sein d'une grande société de conseils en gestion était de 89 000 $.

Le salaire annuel moyen d'un(e) traducteur(trice) ayant 10 années d'expérience dans la fonction publique fédérale était de 99 600 $.

Sources : Emploi-Avenir Québec, Service de placement de l'Université Laval et Université de Montréal

 

LES PROGRAMMES D’ÉTUDES :

 

Note : pour les formations permettant de devenir interprète judiciaire ou de conférence, consulte la section "études supérieures".

 

Le Baccalauréat spécialisé en traduction B.A. offert dans les universités anglophones a une durée totale de 3 ans offert à temps complet, mais peut aussi être suivi à temps partiel. Il comporte des cours en grammaire anglaise, lexicologie anglaise, grammaire française, lexicologie française, grammaire et stylistique comparées de l’anglais et du français, étude des difficultés de la langue anglaise, étude des difficultés de la langue française, problèmes linguistiques de l’anglais et du français, techniques de traduction de documents généraux en anglais et français, terminologie, techniques de traduction de documents spécialisés, révision linguistique bilingue, etc.

 

Ensuite, pour la plupart des universités tu auras à choisir parmi des cours optionnels parmi une liste de cours qui te seront proposés. Par exemple, tu pourrais choisir parmi des cours en traduction commerciale, traduction médicale, traduction juridique, traduction technique et scientifique, traduction littéraire, traduction économique, traduction sociologique, des cours de rédaction spécialisée en français langue seconde ou anglais langue seconde, des cours dans une ou des langue(s) étrangère(e) comme l’espagnol, l’allemand, l’italien, etc.span>

  

Le Baccalauréat avec majeure en traduction B.A. offert dans les universités francophones a une durée totale de 2 ans offert à temps complet, mais peut aussi être suivi à temps partiel. Il comporte des cours en difficultés du français écrit, méthodologie de la traduction, interférences linguistiques, analyse de textes, techniques de rédaction, concepts clés en traductologie, traduction générale, outils informatiques des langagiers, terminologie et terminographie, rédaction professionnelle, ainsi que quelques cours optionnels en traduction, linguistique, langue française et langue anglaise. Enfin, tu pourras ajouteras un programme de mineure d'une durée d'1 an dans une langue étrangère parmi les suivantes :  études allemandes, études arabes, études hispaniques, philologie française et romane, langue portugaise et cultures lusophones, études italiennes, études européennes, etc.

 

Le Baccalauréat avec double spécialisation en traduction avec une autre discipline B.A. offert à McGill et Montréal a une durée totale de 3 ans offert à temps complet, mais peut aussi être suivi à temps partiel. Il permet de combiner une majeure en traduction avec une majeure dans une discipline connexe des arts ou lettres (ex : études classiques, linguistique, études allemandes, études hispaniques, langue et littérature italiennes, anglais : littérature, anglais : dramaturgie et théâtre, anglais : études sur la culture, russe ou histoire de l'art), des sciences humaines (ex :  anthropologie, géographie, histoire, études juives, science politique, études religieuses, études sur le développement international, études canadiennes, études sur l'Asie de l'Est ou études sur le Moyen-Orient), des sciences sociales (psychologie, sociologie ou sciences économiques) ou en mathématiques. Il prépare notamment à faire carrière en traduction spécialisée avec de bonnes connaissances avec cette spécialisation (ex : traduction économique, traduction historique, traduction religieuse, traduction d'une langue étrangère au français, traduction d'une langue étrangère à l'anglais, etc.).

 

AUTRES PROGRAMMES :

 

Pour plus de détails, sur les programmes en langues modernes, voir la page suivante

 

Note : ces programmes ne permettent d'accéder à l'Ordre des traducteurs, terminologues et interprètes agréés du Québec.

 

ÉTUDES SUPÉRIEURES :

 

Si tu envisages une carrière en tant qu'interprete de conférence ou interprete judiciaire, tu devras compléter un programme d'études supérieures de 2e cycle, soit :

Si tu le désires, tu pourras poursuivre des études supérieures dans l’un des programmes suivants :

 

Pour plus de détails, consulte la page sur les études supérieures en lettres et langues

EXIGENCES D’ADMISSION :

 

-    Soit détenir un D.E.C. ou l'équivalent et avoir atteint l'un des objectifs suivants ou leurs équivalents :

0008, 000N, 000P ou 0104 ou suivre une activité pédagogique hors-programme à l'université (ANS 500 Anglais avancé II)
(Sherbrooke)

avoir réussi 2 cours de langue seconde avancée de niveau collégial de la série 600 (avancé) ou posséder un degré équivalent
(Concordia)


avoir réussi un cours d'anglais avancé de niveau collégial de la série 600 ou posséder un degré équivalent
(UQO et UQTR, pour titulaires d'un DEC d'un collège francophone)

avoir réussi un cours de français avancé de niveau collégial de la série 600 ou posséder un degré équivalent
(UQO et UQTR, pour titulaires d'un DEC d'un collège anglophone)

aucun cours préalable exigé
(Mcgill, Montréal, Laval et UQAC)

 

-    Soit avoir réussi un minimum de crédits universitaires et avoir atteint l'un des objectifs suivants ou leurs équivalent
(12 crédits à Montréal, 15 crédits à l'UQAC, 30 crédits à l'UQO, Concordia et Mcgill)  :

avoir réussi 2 cours de langue seconde avancée de niveau collégial de la série 600 (avancé) ou universitaire ou posséder un degré équivalent
(Concordia)


et avoir réussi un cours d'anglais avancé de niveau collégial de la série 600 ou posséder un degré équivalent
(UQO, pour titulaires d'un DEC d'un collège francophone)

et avoir réussi un cours de français avancé de niveau collégial de la série 600 ou posséder un degré équivalent
(UQO, pour titulaires d'un DEC d'un collège anglophone)

aucun cours préalable exigé
(Mcgill, Montréal, Laval et UQAC)

 

-    Soit être âgé d'au moins 21 ans, avoir quitté le système scolaire depuis au moins 2 ans, posséder les connaissances appropriées et une expérience jugé pertinente et satisfaisante d'au moins 1 an dans un domaine ayant permis de s'adonner à la traduction, à la rédaction ou à la révision de textes
(toutes les universités)
 

AUTRE EXIGENCE À L’ADMISSION :

 

-         Subir un test obligatoire d'aptitudes en anglais écrit ET en français écrit
(toutes les universités)

 

-         Subir un test obligatoire d'aptitudes en logique verbale en anglais oral ET en français oral
(toutes les universités)

 

-    Présenter une lettre décrivant tes motisations à entreprendre des études en traduction (Concordia)

 

-    Subir un test obligatoire de classement ou d'équivalences dans la langue choisie
(toutes les universités : si tu choisis un cours de niveau intermédiaire ou avancé d'une langue étrangère)

 

-    Subir une entrevue, au besoin (toutes les universités pour les candiats admis sur la base de l'expérience)

 

STATISTIQUES D’ADMISSION :

 

Ces programmes ne sont pas contingenté :

 

Les candidats(es) admissibles (qui répondent aux exigences d'admission et ayant réussi les tests) sont généralement admis

la cote R du dernier candidat admis en 2019 était de :

Admissions ouvertes au trimestre d'automne et d'hiver dans toutes les universités (et au trimestre d'été également à Concordia)

  

ENDROITS DE FORMATION :

LIENS RECOMMANDÉS :

 

Tu veux avoir l'avis de traducteurs(trices), terminologues et interprètes sur leur profession ?, alors consulte les vidéos suivants :

Divers :

-    Association canadienne de l'industrie de la langue : portrait de l'industrie, ainsi que des infos et ressources pratiques

-    Association canadienne des traducteurs littéraires : regroupement de traducteurs spécialisés en littératures de diverses langues étrangères 

-    Portrait de l'industrie culturellle québécoise

-         Comité sectoriel de l’industrie canadienne de la traduction : infos sur le portrait de l’industrie canadienne de la traduction

-         Dictionnaires bilingues Larousse en ligne : la meilleure ressource en ligne...

-         ARTF : site de l’Institut National de la langue française de l’University of Chicago, accès une banque de données de mots traduits à partir du français ou de l’anglais

-    Google Traduction  : outil gratuit de traduction en ligne (63 langues) de cet important moteur de recherche

-    Translator Reference : outil gratuit de traduction en ligne (56 langues) de cet important site de traduction

-    Lexilogos : outil gratuit de traduction en ligne (42 langues) de cet importantsite de traduction

-    Bing Translator : outil gratuit de traduction en ligne (41 langues) de cet important moteur de recherche

-    Free Translation : outil gratuit de traduction en ligne (41 langues) de cet important site de traduction

-    Babylon : outil gratuit de traduction en ligne (26 langues) de ce concepteur de logiciels de traduction

-    Systranet : outil gratuit de traduction en ligne (15 langues) de ce concepteur de logiciels de traduction

-    Worldlingo : outil gratuit de traduction en ligne (13 langues) de ce concepteur de logiciels de traduction

-    Reverso : outil gratuit de conjugaison et de traduction en ligne (7 langues) de ce concepteur de logiciels de traduction

-    Verbix : outil gratuit de conjugaison de verbes en ligne (33 langues)

-    Logos : outil gratuit de conjugaison de verbes en ligne (22 langues)

-    Ilanguages.org : important site d'apprentissage parmi 107 langues (en français)

-    Learn 101 : important site d'apprentissage parmi 75 langues (en français)

-    Busuu : site en français d'apprentissage parmi 7 langues (anglais, allemand, espagnol, italien, japonais, portugais, russe, chinois, arabe, polonais ou turc)

-    Langues faciles : sites d'apprentissage de langues pour le grand public (anglais, espagnol, allemand, italien, néerlandais ou japonais)

-    Real Academia Espanola : organisme responsable de la normalisation de la langue espagnole (l'équivalent de l'Office de la langue française), la meilleure ressource en langue espagnole sur le Web (en espagnol seulement)

-    Spanish Dict : le plus important site Web indépendant de référence en conjugaison et de traduction en espagnol

-    Espagnol online : site d'apprentissage de l'espagnol (en français)

-    Learn spanish online : site d'apprentissage de l'espagnol (en anglais)

-    Study spanish : important site d'apprentissage de l'espagnol (en anglais)

-    Canoonet : important site de conjugaison et de traduction en allemand

-    German grammar : site d'apprentissage de la langue allemande (en anglais)

-    Deutsch.info : site d'apprentissage de l'allemand (en français)

-    Italian Verbs : important site de conjugaison de verbes en italien

-    One World Italiano : important site d'apprentissage de la langue italienne (en français ou en anglais)

-    Portugais brésilien : site francophone d'apprentissage du portugais brésilien

-    Chine informations : site francophone d'apprentissage du chinois + guide linguistique + dictionnaire

-    Chine nouvelle : site francophone d'apprentissage du chinois + dictionnaire

-    Parlez chinois : site francophone d'apprentissage du chinois mandarin

-    Ici Japon : site francophone d'apprentissage du japonais

-    Japonais.eu : site francophone d'apprentissage du japonais + dictionnaire et traduction

-    Coréen actuel : site francophone d'apprentissage du coréen

-    Cours coréen.fr : site francophone d'apprentissage du coréen

-    Apprendre l'arabe.com : site francophone d'apprentissage de l'arabe

-    J'apprends l'arabe.net : site francophone d'apprentissage de l'arabe

-    Cyberrusse : site francophone d'apprentissage du russe

-    Shabdkosh : site de dictionnaire et traduction en langue hindi (en anglais)

 

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