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naturelles
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SECTEUR : CHIMIE ET BIOTECHNOLOGIES
TECHNICIEN(NE) EN MICROBIOLOGIE
DIPLÔME D’ÉTUDES COLLÉGIALES D.E.C.
Va voir également la section « liens recommandés » à la fin de cette page (dont des vidéos de techniciens en biologie qui parlent de leur travail).
Voir aussi les professions suivantes :
technologue en biochimie-biotechnologies,
technicien paysagiste, biologiste,
microbiologiste,
biologiste médical,
professeur de sciences au
secondaire,
architecte paysagiste,
agent de développement
éco-touristique
TÂCHES
ET RESPONSABILITÉS :
En tant que technicien ou technicienne en biologie; tu seras responsable d’effectuer différents travaux d’inventaire écologique, d’échantillonnage, d’analyses sur le terrain, d’analyses en laboratoire de biologie, etc.
Ton travail varie selon le type d’employeur
et le type de milieu :
En industrie biotechnologique : tu auras pour tâches de prélever des échantillons des produits afin de procédés à des essais chimiques, biologiques et microbiologiques, purifier des produits d’intérêt en utilisant les techniques chromatographiques; cultive des microorganismes dans le respect rigoureux des bonnes pratiques de fabrication, conduire des procédés et opérer des équipements servant à la production de la biomasse et des produits d'intérêt comme les bactéries, les levures, les moisissures et autres micro-organismes utilisées pour la fabrication de cosmétiques, parfums, protéines alimentaires, agents de conservation des aliments, médicaments vaccins, produits environnementaux de décontamination des sols, produits de transformation ou de valorisation des déchets. Tes tâches combineront du travail de laboratoire et de production, souvent dans de petites et moyennes entreprises biotechnologiques dans les secteurs des cosmétiques, pharmaceutiques, bioalimentaires et des produits environnementaux.
En laboratoire d’analyse : tu devras analyser
divers échantillons d’eau et de sol pour détecter le degré de pollution qu’ils
possèdent afin de permettre au biologiste ou au microbiologiste d’analyser et interpréter
les résultats obtenus afin qu’ils puissent prendre des mesures appropriées pour
résoudre les problèmes ou de réaliser des projets d’aménagement faunique. Tu
pourrais travailler pour les gouvernements (laboratoires en environnement), les
laboratoires privés en environnement, des laboratoires de recherches privés ou
au sein des universités.
En laboratoire de recherche : tu auras pour tâches d’effectuer divers
tests et analyses en laboratoire de cellules, tissus, poils ou plumes d’animaux
afin de découvrir leur évolution, leur croissance, leur reproduction et autres
informations pour mieux les connaître. Tu pourras aussi analyser des fleurs,
des plantes ou des écorces d’arbres pour les mêmes raisons. Les résultats
obtenus permettront aux chercheurs(es) en biologie ou
en microbiologie de réaliser des projets de recherches qui permettront de
développer les connaissances dans ce domaine et résoudre divers problèmes
reliés à la faune, à la flore et à l’environnement. Tu travailleras
généralement au sein d’universités, mais tu pourrais aussi travailler au sein
de gouvernements ou de laboratoires privés de recherches.
Il y a aussi plusieurs
autres domaines où tu pourrais travailler :
-
Dans les collèges et universités afin de préparer le matériel, les échantillons et les instruments pour
les travaux pratiques des étudiants en laboratoire de biologie.
-
Dans les laboratoires d’inspection des aliments afin d’effectuer des tests et analyses sur
aliments (végétaux ou animaux) afin de t’assurer de la qualité de ces derniers
pour la consommation
-
Dans les centres piscicoles ou les pourvoiries afin d’élever et produire des poissons pour la
pêche sportive
-
Dans les laboratoires de recherches (universitaires, gouvernementaux, industriels ou privés), soigner et
entretenir les animaux utilisés en laboratoire pour des expériences
-
En entreprise d’extermination afin d’effectuer des travaux d’extermination de vermines nuisibles en
utilisant différents procédés ou méthodes selon le type de vermines
-
Etc.
APTITUDES
ET QUALITÉS REQUISES :
-
Aptitudes en sciences
-
Intérêts pour l’environnement
-
Intérêts autant pour le travail en plein air et celui en laboratoire
- Bonnes habiletés et dextérité manuelles pour manipuler efficacement et
délicatement les contenants de produits chimiques
- Capacité de travailler sous pression dans plusieurs cas, des résultats rapides sont nécessaires afin de ne pas retarder la production ou des travaux sur chantier par exemple
- Très bon sens de l’observation pour y détecter toute anomalie de procédé ou d'analyse
-
Capacité d’analyse et de synthèse pour analyser et résoudre divers problèmes relatifs aux végétaux ou à
l’environnement
- Curiosité scientifique, sens logique et capacité de déduction car tu devras être à l'affut des nouveaux développements scientifiques ou de nouvelles méthodes d'analyses
- Minutie,
précision et
bonne méthode de travail car tu auras à manipuler
des produits parfois dangereux
- Autonomie, débrouillardise et flexibilité car tu seras parfois seul(e) pour exécuter certaines tâches et résoudre certains problèmes sur le terrain ou en laboratoire
- Sens des responsabilités car tu auras la responsabilité des produits
utilisés dans le laboratoire
- Sens de l’organisation car tu auras à gérer des priorités et
respecter des échéanciers, mais également pour entreposer de manière ordonnée les
produits selon les niveaux de danger et particularité de ces produits
-
Sens de l’initiative et facilité à
communiquer pour être capable de proposer tes idées à un projet
- Facilité à travailler en équipe car tu auras à travailler avec des biologistes, des ingénieurs
forestiers, des techniciens de la faune, des techniciens en foresterie, des
techniciens en horticulture, d’autres techniciens en biologie, etc.
- Très bonne connaissance maîtrise de la langue langue française parlée et écrite afin d'expliquer et communiquer clairement et de façon professionnelle les résultats d'analyse auprès des scientifiques ou parfois des clients et parfois, rédiger certains rapports techniques
- Bonne connaissance de la langue langue anglaise car la plupart des manuels et
publications spécialisés sont dans cette langue
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
-
Agent(e) technique
en biologie
-
Agent(e) technique
en environnement
-
Animateur(trice) en sciences naturelles
- Éducateur(trice) en environnement
-
Responsable des
animaux de laboratoire
- Superviseur(e) de laboratoire
- Superviseur(e) de travaux sur le terrain
-
Technicien(ne) de
recherches en biologie
-
Technicien(ne) en
aquaculture
-
Technicien(ne) en
environnement
-
Technicien(ne) en
extermination
- Technicien(ne) en
immunologie
- Technicien(ne) en
laboratoire d’inspection des aliments
- Technicien(ne) en
laboratoire de biologie
- Technicien(ne) en
microbiologie
- Technicien(ne)
en sciences océaniques et marines (Institut Maurice-Lamontagne)
- Technicien(ne) en travaux pratiques pratiques d'enseignement
- Technicien(ne) en
virologie
- Vulgarisateur(trice) en sciences naturelles
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
-
-
Collèges publics et
privés
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Centre interuniversitaire de
recherche en biologie végétale SEVE (Mcgill, Laval, Montréal,
Sherbrooke, U.Q.T.R. et UQAT),
Mcgill Sheldon Biotechnology
Centre,
Mcgill
Nutrition & Food Science Centre,
Centre de
recherche sur les biotechnologies marines de l'UQAR,
Insitut Hydro-Québec en
environnement, développement et société de l'Université Laval,
Regroupement québécois de
recherche sur la fonction, la structure et l'ingénierie des protéines PROTÉO
(Mcgill, Montréal, Laval, Sherbrooke, Concordia, UQTR et Ottawa),
Centre de recherche en
biologie de la reproduction de l'Université Laval,
Centre de recherche en
infectiologie de l'Université Laval,
Centre de recherche en
sciences et technologie du lait STELA de l'Université Laval,
Centre interuniversitaire de
recherche en environnement TOXEN (UQAM et I.N.R.S.),
Institut Armand-Frappier
I.N.R.S.,
Institut de biologie
intégrative des systèmes de l'Université Laval,
Institut
de recherche en pharmacologie de l'Université de Sherbrooke,
Centre de recherche en biologie de l'ARN de l'Université de Sherbrooke
RiboClub,
Groupe de
recherche en oncologie et endocrinologie moléculaires de l'UQTR,
Centre de recherche clinique
Étienne-Lebel de l'Université de Sherbrooke,
Centre de recherche du CHU de
Québec,
Centre de recherche du CHUM,
Centre de recherche du CHU
Ste-Justine,
Institut de recherche en
immunologie et cancérologie de l'Université de Montréal,
Institut de recherche en
santé de Mcgill,
Institut des
recherches cliniques de Montréal.
-
Agence canadienne
d'inspection des aliments,
Office de la propriété intellectuelle du Canada,
Environnement Canada,
Ressources naturelles Canada,
Agriculture et
Agroalimentaire Canada,
Agence de santé publique du
Canada, Agence canadienne
des médicaments et des technologies de la santé
Laboratoire
national de microbiologie de l'Agence de santé publique du Canada
Centre de recherche et développement en horticulture d'Agriculture
Canada
à St-Jean-sur-Richelieu
Centre de recherche et développement sur les aliments d'Agriculture Canada à St-Hyacinthe
Centre de recherche et
développement sur les sols et les grandes cultures d'Agriculture Canada à
Québec
Centre national canadien d’hygiène et
sécurité au travail à Ottawa,
Agence canadienne d'évaluation
environnementale
Centre St-Laurent
d'Environnement Canada
à Montréal
Services des laboratoires judiciaires de la G.R.C. à Ottawa
Institut Maurice-Lamontagne (Laboratoire d'expertise en biotechnologie
marine) à Mont-Joli
Institut océanographique de Bedford (le plus grand centre de recherches
océaniques au Canada) à Darmouth en Nouvelle-Écosse
Conseil national de
recherches du Canada CNRC (dont : le Centre canadien de technologies
résiduelles, le Phytotron, le Centre des plantes transgéniques,
l'établissement d'isolation des anticorps
à domaine unique, l'installation de biotraitabilité des matières
résiduelles, l'installation de recherche sur l'environnement intérieur,
l'installation photobioréacteur, Laboratoire des émissions émanant des
matériaux, l'Usine-pilote de biotransformation anaérobie et l'Usine-pilote
en fermentation microbienne
-
Institut national de la santé publique,
Laboratoire
d'expertises et d'analyses alimentaires,
Centre de recherches
industrielles du Québec
EXIGENCES
DES EMPLOYEURS :
- Connaissance de l’anglais
- Bonnes connaissances des logiciels spécialisés
-
Polyvalence
-
Mobilité parfois
nécessaire dans des régions forestières
-
Travail parfois
saisonnier et horaires variables
PLACEMENT :
Selon
les données disponibles au 31 mars 2021 :
En techniques de bioécologie :
Plus du deux-tiers des répondants(es), soit 60 % ont poursuivi leurs études à université, principalement en biologie ou en écologie.
Parmi les répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail, le placement est moyen, seulement 52 % d'entre-eux ont obtenu un emploi relié dont la presque totalité sont à temps complet.
En techniques du milieu naturel (protection de l'environnement) :
Un(e) répondant(e) a poursuivi des études universitaires en études environnementales.
PROGRAMMES | NOMBRE DE RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE À TEMPS PLEIN |
NOMBRE AUX ÉTUDES |
Tech bioécologie | 82 | 17 | 16 | 49 |
Tech milieu naturel (protection environnement) |
10 | 7 | 6 | 1 |
Note : amélioration du taux de placement en protection de l'environnement; alors qu'en bioécologie, le placement reste difficile.
SALAIRE :
Selon les données de 2022 :
Le salaire
moyen en début de carrière était de :
18,88 $/heure (40 hres/sem) au sein des PME
23,22 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) travaux pratiques d'enseignement au sein des établissements privés d'enseignement secondaire
23,30 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en travaux pratiques en laboratoire au sein des collèges préuniversitaires ou techniques privés
Note : baisse importante de la moyenne salariale dans le secteur privé par rapport avec les années précédentes (était de 17,28 $ en 2019; 18,00 $ en 2018; 19,95 $ en 2016 et 22,90 $ en 2014).
- 21,48 $/heure (32 à 35 hres/sem) en moyenne en tant qu'animateur(trice) en loisirs scientifiques au sein des municipalités de taille moyenne (40 000 habitants et plus)
- 21,55 $/heure (38,75 hres/sem) en tant que technicien(ne) en milieu naturel à la SEPAQ (parcs et réserves)
-
22,02 $/heure (35 hres/sem)
- 22,79 $/heure (37,5 hres/sem) en tant qu'animateur(trice)-guide en sciences naturelles ou interprète de la nature à Parcs Canada
-
23,57 $/heure (35 hres/sem)
-
-
Note 1 : dans le secteur public et chez les grands employeurs privés, les augmentations sont établies par les conventions collectives.
Sources :
Ministère de l’Enseignement supérieur du Québec, Conseil du Trésor du Québec, Commission de la
Fonction Publique du Canada, Syndicat des fonctionnaires municipaux de
Montréal,
Oon y comptait plus de 2 500 techniciennes et techniciens en biologie dans l'ensemble des régions du Québec.
Profession composée à 51 % de femmes et de 49 % d'hommes, l'une des rares professions de technologues scientifiques ayant une répartition presque égale entre les sexes.
Plus de 66 % des membres de cette profession étaient âgés de moins de 45 ans.
Plus de 90 % occupaient un poste à temps complet.
La répartition des types d'employeurs était :
Sociétés de génie conseil, firmes de consultants en environnement et entreprises en services environnementaux : 22 %
Administrations publiques (municipales, provinciales et fédérale) : 21 %
Centres de recherches privés, gouvernements et parapublics : 12 %
Fabricants d'aliments et de boissons : 11 %
Fédérations et autres associations de producteurs agricoles : 10 %
Laboratoires privés d'analyses et essais : 10 %
Entreprises de biotechnologies : 6 %
Universités : 6 %
autres milieux : 2 %
La répartition selon la région était :
22 % en Montérégie (principalement au sein de firmes de consultants en biologie ou en environnement et des institutions zoologiques)
10 % dans la région de Capitale Nationale (principalement pour la fonction publique québécoise et de la SÉPAQ)
7 % en Abitibi-Témiscamingue (principalement au sein de Parcs Canada ou d'entreprises forestières)
7 % dans le Bas-Saiint-Laurent (principalement pour la SÉPAQ)
6 % dans les Laurentides (principalement au sein de firmes de consultants en biologie ou environnement et de la SÉPAQ)
6 % au Saguenay Lac-Saint-Jean (principalement au sein de la SÉPAQ et du Zoo de St-Félicien)
6 % en Chaudière-Appalaches (principalement au sein de firmes de consultants en biologie ou en environnement)
5 % en Estrie (principalement pour la SÉPAQ)
4 % en Mauricie (principalement au sein de Parcs Canada)
3 % en Outaouais (principalement dans la fonction publique fédérale)
3 % dans le Centre-du-Québec (principalement au sein d'OBNL en aménagement de la nature)
2 % en Côte-Nord (principalement au sein de Parcs Canada)
2 % en Gaspésie (principalement au sein de Parcs Canada et de la SÉPAQ)
2 % dans la région de Montréal (principalement dans les firmes de consultants, la fonction publique et Espace pour la vie)
PERSPECTIVES D’AVENIR :
Les préoccupations environnementales sont de plus en plus grandes tant pour les décideurs publics (gouvernements, municipalités) que chez les gestionnaires des entreprises (PME ou grandes sociétés). Donc, de bonnes perspectives sont à prévoir dans le domaine de l'environnement.
Avec les exigences de plus en plus grandes de la part des consommateurs, l'industrie de la transformation alimentaire a des besoins de ces spécialistes afin d'assurer la bonne qualité des produits fabriqués ou transformés.
Le secteur biomédicale offre également de très bonnes perspectives pour ces techniciens(nes) qui sont recherchés(es) dans les domaines de la santé publique et environnementale et en recherche médicale.
Le Diplôme d’études collégiales en gestion de l'environnement et de la faune (anciennement appelé "techniques de bioécologie") D.E.C. a une durée totale de 3 ans offert à temps complet de jour seulement.
Enfin, si tu as choisi la formule en alternance travail-études (Cégep de Sainte-Foy); tu réaliseras ton premier stage rémunéré de 8 à 12 semaines au cours du trimestre d'été.
Tu auras des cours tels que : chimie appliquée à la bioécologie, initiation à la profession en bioécologie, taxonomie des végétaux, écologie des écosystèmes, instrumentation en milieux naturels, techniques de travail en laboratoire, informatique appliquée à la bioécologie, cartographie numérique, taxonomie des vertébrés, botanique et inventaire de la flore 1, introduction à la chimie de l'environnement appliquée à la bioécologie et survie et secourisme en milieu naturel.
Enfin, si tu as choisi la formule en alternance travail-études (Cégep de Sainte-Foy); tu réaliseras ton second stage rémunéré de 8 à 12 semaines au cours du trimestre d'été.
Tu auras des cours tels que : analyse statistique en bioécologie, caractérisation des habitats terrestres, caractérisation des milieux humides, caractérisation des milieux aquatiques, taxonomie et inventaire des invertébrés terrestres, botanique et inventaire de la flore 2, étude de la microfaune (microbiologie), écologie et aménagement, taxonomie et inventaire des poissons et crustacés, taxonomie et inventaire des mammifères marins, taxonomie et inventaire des oiseaux, amphibiens et reptiles, écologie aquatique, écologie de la conservation, travaux de culture et d'élevage, systèmes d'information géographique SIG en écologie, planification des travaux de terrain en écologie et chimie du vivant.
tu appliqueras une démarche écosystémique afin de réaliser un projet technique en bioécologie (pouvant être un projet de recherche de nature appliquée sur le terrain ou d'un projet d'aménagement d'un site naturel ou le développement d'une nouvelle méthode d'inventaire terrain ou un mandat réel pour une entreprise ou un organisme partenaire);
et enfin, tu intègreras les connaissances acquises et de mettre en pratique les diverses techniques acquises dans le cadre d'un stage en milieu professionnel d'une durée de 5 ou 6 semaines à temps complet.
Tu auras des cours tels que : caractérisation des habitats en eau douce, biologie marine du Saint-Laurent, analyse écosystémique et géomatique, écosystèmes terrestres, écosystèmes marins, techniques d'étude de la végétation, techniques d'étude des animaux terrestres (oiseaux, mammifères et reptiles), techniques d'étude du milieu aquatique (poissons, crustacés, amphibiens, mammifères marins), aménagement du milieu naturel, introduction à l'entomologie, microbiologie de l'environnement, initiation à la biotechnologie interprétation de la nature et écotourisme, production végétale, communication scientifique, enjeux environnementaux en écologie, problèmes écosystémiques, écotoxicologie, synthèse écologique, projet technique en bioécologie, ainsi qu'un stage en milieu professionnel d'une durée de 6 semaines.
Note : le nom et le contenu des cours et leur répartition par session peuvent varier d'un cégep à un autre, mais les objectifs de formation sont les mêmes.
Pour plus de détails sur ce programme, regarde les vidéos suivants :
la vidéo promotionnelle réalisée par le Cégep de Saint-Laurent lors d'une sortie sur le terrain des finissants dans la région de Rimouski;
la vidéo promotionnelle réalisée par le Cégep de La Pocatière;
une vidéo présentant des sorties sur le terrain en inventaire des mammifères terrestres effectuées par les étudiants et enseignants du Cégep de La Pocatière;
une vidéo présentant des sorties sur le terrain en inventaire des mammifères marins effectuées par les étudiants et enseignants du Cégep de La Pocatière;
une vidéo présentant des sorties sur le terrain en inventaire des poissons du Fleuve St-Laurent effectuées par les étudiants et enseignants du Cégep de La Pocatière;
une vidéo présentant des sorties sur le terrain en étude de la migration des oiseaux marins effectuées par les étudiants et enseignants du Cégep de La Pocatière;
une vidéo présentant des sorties sur le terrain en étude d'un lac effectuées par les étudiants et enseignants du Cégep de La Pocatière;
une vidéo présentant des sorties sur le terrain en étude d'une rivière effectuées par les étudiants et enseignants du Cégep de La Pocatière;
une vidéo présentant des sorties sur le terrain en étude des algues marines effectuées par les étudiants et enseignants du Cégep de La Pocatière;
une vidéo présentant des sorties sur le terrain en surveillance biologique des cours d'eau effectuées par les étudiants et enseignants du Cégep de La Pocatière.
Le Diplôme d’études collégiales en techniques du milieu naturel D.E.C. a une durée totale de 3 ans offert à temps complet de jour seulement.
Tu devras suivre les cours suivants : composantes abiotiques, écosystèmes, végétal dans son milieu, faune terrestre 1, cartographie, séjour en milieu naturel, profession et législation, environnement abiotique, plan d'échantillonnage, la flore du Québec, faune terrestre 2 et photographie aérienne.
Enfin, si tu as choisi la formule en alternance travail-études (Cégep de Sainte-Foy); tu réaliseras ton premier stage rémunéré de 8 à 12 semaines au cours du trimestre d'été.
Spécialisation en protection de l'environnement :
Tu auras les cours suivants : sécurité en milieu naturel, inventaire abiotique, inventaire de la faune terrestre, inventaire de la faune aquatique, inventaire de la végétation, développement durable 1, micro-organismes, chimie de la matière 1 et mesures d'intervention.
Enfin, si tu as choisi la formule en alternance travail-études (Cégep de Sainte-Foy); tu réaliseras ton second stage rémunéré de 8 à 12 semaines au cours du trimestre d'été.
Tu auras les cours suivants : développement durable 2, caractérisation d'un site, chimie de la matière 2, pollution du sol, pollution de l'eau, essais biologiques, développement durable 3, soutien technique en environnement, matière résiduelle, pollution de l'air, décontamination d'un lieu, ainsi qu'un stage d'intégration de 150 heures, soit 5 semaines en milieu professionnel.
Pour plus de détails sur ce programme, regarde les vidéos suivants réalisés par le Cégep de St-Félicien :
la vidéo promotionnelle du programme;
une seconde promotionnelle du programme;
une présentation "mimée" des projets en développement durable réalisés par les finissants de ce programme.
Le programme de D.E.C.-BAC en biologie a une durée totale de 5 ans offert à temps complet de jour seulement.
Ce programme combine la formation en techniques de bioécologie avec le Baccalauréat en biologie. Les 3 premières années correspondent au D.E.C., alors que les 2 dernières années correspondent au Baccalauréat en biologie.
Il
est
destiné aux étudiants du D.E.C. ayant obtenu les meilleurs résultats. La
structure des cours correspondent au D.E.C., ainsi
qu’au 2 premières années du Bacc en biologie (voir le métier de
biologiste).
L'Attestation d'études collégiales en conduite des procédés biologiques et chimiques en discontinu A.E.C. a une durée totale de 1 785 heures, soit 11 mois à temps complet de jour.
Elle vise à former des techniciens travaillant en industries à la culture de microorganismes à grande échelle afin de produire de la biomasse et des produits d'intérêt (bactéries, levures et moisissures) pour les industries bioalimentaires, des cosmétiques et pharmaceutiques. Les tâches combinent du travail de laboratoire et de production, souvent dans de petites et moyennes entreprises.
Elle comporte des cours d'introduction au milieu de la production des industries biologiques et chimiques, utilisation de l'informatique en industrie, bonnes pratiques de fabrication, hygiène, salubrité, santé et sécurité au travail, instrumentation et régulation, fonctionnement des équipements thermiques, conduite des équipements mécaniques, réactions chimiques, composés organiques dans les procédés, préparation des mélanges, conduite d'un procédé chimique discontinu, fondements cellulaires des techniques et procédés biologiques, techniques et procédures microbiologiques dans les procédés, conduite d'une fermentation en discontinu, ainsi qu'un stage industriel non rémunéré d'une durée de 3 semaines.
Par la suite, tu pourras choisir de te diriger vers
le marché du travail ou poursuivre tes études à l’université.
ENTENTES DEC-BAC :
Qu'est-ce qu'un programme DEC-BAC ?
Consulte la page suivante
Il permet de terminer la formation technique et ton baccalauréat dans un temps plus court, soit en 5 ans (au lieu de 6 ans) et obtenir les 2 diplômes.
Voici les ententes actuellement offertes :
DEC-BAC en biologie
(DEC en techniques de bioécologie 145.C0 + Bacc en biologie) :
Entente entre le Cégep de La Pocatière et l'UQAR
Entente entre le
Cégep de La Pocatière
et l'
Entente entre le Cégep de Sainte-Foy et l'UQAR
Entente entre le
Cégep de Sainte-Foy
et l'
Entente entre le
Cégep
Vanier
et l'
EC-BAC en agronomie
(DEC en techniques de bioécologie 145.C0 + Bacc en agronomie - productions animales) :
· Entente entre le Cégep de La Pocatière et l'Université Laval
· Entente entre le Cégep de Sainte-Foy et l'Université Laval
· Entente entre le Cégep de Saint-Laurent et l'Université Laval
· Entente entre le Cégep de Sherbrooke et l'Université Laval
DEC-BAC en écologie
(DEC en techniques de bioécologie 145.C0 + Bacc en écologie) :
Entente entre le Cégep de Sherbrooke et l'Université de Sherbrooke (en régime régulier ou en régime coopéraif)
DEC-BAC en développement durable et zone côtière
(DEC en techniques de bioécologie 145.C0 + Bacc développement durable et zone côtière) :
Entente entre le Cégep de La Pocatière et l'Université de Moncton au Nouveau-Brunswick (en régime régulier ou en régime coopéraif);
PASSERELLES :
Un programme passerelle permet aux titulaires d'un D.E.C. dans une discipline en particulier de se faire reconnaître un certain nombre de crédits par une université dans le cadre de son baccalauréat. Par contre, aucune garantie d'admission n'est offerte lors de la demande.
D.E.C. en techniques de bioécologie 145.C0 :
l
l
l'Université de Sherbrooke pourra reconnaître jusqu'à 25 crédits aux titulaires de ce D.E.C. (diplômés des cégeps Sainte-Foy, La Pocatière, Saint-Laurent et Vanier seulement, pour le Cégep de Sherbrooke voir le "DEC-BAC") dans le cadre de son Baccalauréat en biologie
l'Université de Sherbrooke pourra reconnaître jusqu'à 25 crédits aux titulaires de ce D.E.C. (diplômés des cégeps Sainte-Foy, La Pocatière, Saint-Laurent et Vanier seulement, pour le Cégep de Sherbrooke voir le "DEC-BAC") dans le cadre de son Baccalauréat en écologie
l'Université de Sherbrooke pourra reconnaître jusqu'à 9 crédits aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat en biologie cellulaire et moléculaire
l'Université de Sherbrooke pourra reconnaître jusqu'à 9 crédits aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat en microbiologie
l'Université de Sherbrooke pourra reconnaître jusqu'à 9 crédits aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat en géomatique appliquée à l'environnement
l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 30 crédits aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat en biologie (offre des DEC-BAC avec tous les collèges offrant ce programme, voir la section "DEC-BAC ci-haut)
l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 27 crédits aux titulaires de ce D.E.C. (diplômés du Cégep Vanier seulement, pour les autres cégeps voir la section "DEC-BAC") dans le cadre de son Baccalauréat en agronomie - productions animales
l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 18 crédits aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat en environnements naturels et aménagés
l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 18 crédits aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat en aménagement et environnement forestiers
l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 12 crédits aux titulaires de ce D.E.C. (diplômés du Cégep Saint-Laurent seulement) dans le cadre de son Baccalauréat en microbiologie
l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 6 crédits aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Certificat en productions animales
l'Université Laval reconnaîtra automatiquement 3 crédits (le cours "organisation et physiologie des plantes") aux titulaires de ce D.E.C. (diplômés des cégeps La Pocatière, Sainte-Foy et Saint-Laurent seulement) dans le cadre de son Certificat en horticulture et gestion d'espaces verts
DEC en techniques du milieu naturel (spécialisation protection de l'environnement) :