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LISTE DES ORGANISMES DE RECHERCHE

 

Note : Voir aussi le répertoires des organismes de recherches Hors-Québec.

 

Agronomie, biologie, biochimie, chimie, informatique, mathématiques, géologie, physique, génie forestier, etc.

Incluant les sciences vétérinaires.

 

Voici quelques organismes de recherches où l’on présente notamment les types de recherches effectuées :

 

EN SCIENCES PURES ET APPLIQUÉES :

 

-        En agronomie

-        En aménagement, développement régional et territorial, architecture du paysage, design industriel et urbanisme

-    En architecture et sciences du bâtiment

-        En biologie

-        En chimie

-        En géographie et géomatique

-        En informatique

-        En mathématiques, statistique et actuariat

-        En microbiologie, biochimie et biotechnologies

-        En physique

-    En sciences de l'atmosphère et océanographie

-        En sciences de la terre

-        En sciences forestières

-        En sciences vétérinaires

 

En agronomie :

 

-    Agrinova : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep d'Alma au Saguenay-Lac-St-Jean qui fournit de l'expertise, de la recherche appliquée et du soutien technique auprès de PME dans le domaine de la production agricole. Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours : productions animales et cultures fourragères (accompagnement pour la production d'un lait enrichi en oméga 3, évaluation de l'impact du retrait des antibiotiques dans un régime de veaux de lait, efficacité énergétique en élevage avicole, établissement d'un service d'innovation de proximité en production laitière, valorisation de la canneberge en production porcine, etc.); production légumière et fruitière (adaptation et implantation de cultures de canneberges sur sable, essais aux champs et aménagement de sites pour la production de mégachiles, effets de systèmes de production sur la gale commune et la communauté microbienne des sols, étude de la culture et de l'enfouissement de la moutarde pour un effet biofumigant pour la pomme de terre, Développement d’un substrat horticole et d’un engrais minéral à base de biocharbon, etc.); agriculture nordique et productions émergentes (utilisation d'un mélange d'engrais verts pour réduire la compaction du sol, valorisation des matières résiduelles fertilisantes, valorisation agronomique des sous-produits de méthanisation, utilisation de la gourgane dans l'alimentation des vaches laitières, essai d’implantation de canola en semis direct en évaluant deux profondeurs d’ensemencement, etc.).

 

-         Bellairs Research Institute : important centre de recherche rattaché à l’Université Mcgill et situé aux Barbades dans les Caraïbes effectuant de nombreuses recherches dans les domaines de la biologie (océanographie, ichtyologie, écologie marine, botanique, primatologie, etc), en géologie (géologie des reliefs, géologie historique, géologie marine, séismologie, etc), en météorologie (météorologie marine, climatologie et prévision d’ouragans), en géographie (géographie maritime, les ouragans, géomorphologie et géographie humaine), en physique (astrophysique, physique des ouragans et océanographie physique), en agronomie (pêcheries, cultures légumières et fruitières, , en anthropologie (notamment en archéologie et paléontologie, mais aussi en ethnologie), en histoire (histoire des sciences naturelles, histoire des Caraïbes), ainsi qu’en sociologie.

 

-    Biopterre : centre collégial de transfert de technologie rattaché à l'Institut de technologie agroalimentaire de La Pocatière et du Cégep de La Pocatière dans le Bas-St-Laurent qui fournit de l'expertise et du soutien technique auprès de PME dans le développement de bioproduits végétaux pour les secteurs de l'agriculture, de la foresterie, de l'horticulture ornementale, de l'environnement, etc.

 

-         Centre d’expertises en production ovine du Québec CEPOQ : organisme privé à but non lucratif situé à La Pocatière dans le Bas-St-Laurent créé par le MAPAQ, Agriculture Canada, la Féddération des producteurs de moutons et d’agneaux du Québec, la Société des éleveurs de moutons de race puce du Québec et l’Université Laval. Il réalise diverses recherches afin d’améliorer les productions ovines du Québec. Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours : supplémentation en acide folique de la ration des brebis prolifiques et non-prolifiques pour améliorer la fertilité et prolificité, projet pilote sur l’identification permanente des ovins, réduction de la mortalité néonatale en production ovine, etc.

 

-    Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité CETAB : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de Victoriaville dans le Centre-du-Québec qui fournit de l'expertise, de la recherche appliquée et du soutien technique auprès de PME dans le domaine de la production agricole biologique. Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours : cultures fruitières et légumières (production de pommes sous filets dits d’exclusion complète, effet de régies d’irrigation optimisées sur la répression de plantes nuisibles dans un champ de canneberges, optimisation de la fertilisation pour la production de tomages en grands tunnels, comparaison de deux systèmes de production pomicole en régie biologique, etc.); grandes cultures céréalières et fourragères (mise au point des méthodes de lutte intégrée contre les mauvaises herbes vivaces, fertilisation écologique des cultures grâce à l'utilisation judicieuse d'engrais verts de légumineuses, etc.); sols et engrais verts (développement d'une nouvelle méthodes de fertilisation écologique avec de l'engrais vert de légumineuses, développement d'un seigle adapté au rôle de couvre-sol pour le semis direct sans herbicide, etc.); productions animales (amélioration des pratiques de pâturage en production laitière biologique, etc.).

 

-    Centre de développement bioalimentaire du Québec : situé à Sainte-Anne-de-La Pocatière dans le Bas-St-Laurent, cet organisme privé de recherche à but non lucratif effectue de la recherche appliquée, fournit de l'expertise technique, de transfert de technologie et du soutien technique aupreso des entreprises agroalimentaires et des producteurs agricoles dans les domaines tels que : le développement des produits de niche ou du terroir, le développement d'aliments fonctionnels, la valorisation de coproduits, la mise en place de systèmes de qualité ou l'expérimentation de nouvelles cultures.

 

-         Centre de développement du porc du Québec inc. : situé à Québec, cet organisme privé de recherche à but non lucratif créé par l’initiative du MAPAQ, la Fédération des producteurs de porcs du Québec, la Société des éleveurs de porcs du Québec et dont participent également l’Université Laval, l’Université Mcgill, l’Université de Montréal (faculté de médecine vétérinaire) et Agriculture Canada; est le plus important centre de recherche en production porcine au Canada.

Ses principaux axes de recherches sont : génétique (évaluation génétique des porcs de race pure, paramètres d’accouplement en sélection et multiplication, dépistage du gène halothane); production (analyse phénotypique d’animaux reproducteurs); qualité du produit (développement de stratégies pour l’amélioration des conditions pré-abattage, développement de stratégies pour l’amélioration de la viande); santé animale (surveillance et contrôle des salmonelles en élevage, utilisation des médicaements en médecine porcine, maladies infectieuses du porc, la gestion sanitaire des centres d’insémination artificielle, etc); techniques d’élevage (maîtrise des contraintes environnementales, effets sur le comportement et la performance des animaux lors de modification aux conditions d’élevage,  besoins alimentaires des animaux, problématiques de logement du porc, impacts des pratiques d’élevage sur le bien-être des animaux, etc); gestion et économie (développement des marchés de l’industrie porcine, développement de stratégies de gestion des exploitations porcines, politiques gouvernementales en production porcine, etc).

 

-    Centre de recherche agronomique Emile A. Lods de l'Université Mcgill (en anglais) : situé à Ste-Anne-de-Bellevue dans l'extrémité ouest de l'Île de Montréal, il est le plus important centre de recherche agronomique en milieu universitaire au Québec et l'un des plus importants au Québec et l'un des plus importants centres de recherche en horticulture et cultures végétales au Canada regroupant des chercheurs en en sciences agronomiques, biologie végétale, biologie, sciences de l'environnement et génie des bioressources. On s'intéresse aux productions horticoles et aux productions de grandes cultures (céréales) comprenant des intérêts tels que : la génomique végétale (cultures génétiques pour le développement de nouvelles variétés de céréales dont notamment le soja, de plantes fourragères et cultures maraîchères); physiologie des cultures (signalisation moléculaire dans des cultures de plantes, production de la biomasse et des réponses physiologiques des cultures horticoles à des pratiques de production en particulier plasticulture et fertigation); interactions plantes-micro-organismes (interactions entre les cultures de légumineuses telles que le soja et les légumineuses fourragères avec des bactéries fixatrices d'azote); agriculture de précision (lien entre l'agriculture de précision et la télédétection afin d'étudier la réponse des cultures sous différentes contraintes telles que l'humidité, les mauvaises herbes et d'azote); gaz à effet de serre et le changement climatiques (émissions de gaz à effet de serre provenant de sources agricoles et sur les effets du changement climatique sur la production agricole); ressources en eau (économies d'eau et de l'efficacité des différents systèmes d'irrigation pour les cultures horticoles).

 

-    Centre de recherche avicole (et Chaire de recherche avicole) : regroupant des chercheurs en médecine vétérinaire de l'Université de Montréal et en sciences animales de l'Université Mcgill; il effectue de la recherche et le développement de nouveaux outils technologiques destinés à l’amélioration de la qualité et de l’innocuité des produits de la volaille et des œufs.

 

-         Centre de recherche, de développement et de transfert technologique acéricole ACER inc. : est un centre de recherche privée à but non lucratif situé à St-Norbert-d'Arthabaska dans le Centre-du-Québec a été mis sur pied par la Fédération des producteurs acéricoles du Québec, le MAPAQ et le Ministère des Ressources naturelles du Québec.  Il réalise diverses  projets de recherches afin d’améliorer les productions acéricoles québécoises, en voici quelques exemples : évaluation des dommages causés par le verglas, évaluation des caractéristiques des outils d’entaillage, développement d’un progiciel d’analyse  technico-économique en acériculture, composition physico-chimique du sirop d’érable du Québec, utilisation des injecteurs d’air lors de l’évaporation de l’eau d’érable, amélioration de la qualité microbiologique de l’eau d’érable à l’entreposage, évaluation de l’efficacité d’agents microbiens utilisés pour le contrôle de la croissance microbienne à l’entaille, etc.

 

-    Centre de recherche en biotechnologies marines : situé à Rimouski au Bas-St-Laurent et rattaché à l'UQAR, ce centre s'intéresse aux propriétés physico-chimiques produits marins et des plantes marines et au développement d'applications de toutes sortes (agriculture, environnement, traitement des eaux, etc) des biotechnologies marines.

 

-    Centre de recherche en économie de l'Environnement, de l'Agroalimentaire, des Transports et de l'Énergie CREATE de l'Université Laval : issu de la fusion du GREEN, du GRAAL et du CEDAT de l'Université Laval; s'intéresse aux 3 axes suivants : l'écnomie agroalimentaire, l'économie des ressources naturelles, l'économie de l'énergie et l'économie des transports. Dans le domaine de l'économie agroalimentaire, les intérêts portent notamment sur le comportement du consommateur en alimentation, l'économie de la production et comportement des producteurs,  l'impact de modifications de structure de marché au niveau des filières agroalimentaires, l'écnomie internationale agroalimentaire, l'agribusiness, les politiques agricoles, etc.

 

-         Centre de recherche en innovation sur les végétaux de l’Université Laval (anciennement connu sous "Centre de recherche en horticulture") : le plus important centre de recherche horticole en milieu universitaire au Canada regroupant des chercheurs de l'Université Laval (en phytologie, en bioloige et en microbiologie), de l'Université de Montréal (biologie), de l'UQTR (biologie), de l'Institut de recherche et développement en agroenvironnement, d'Agriculture Canada et du MAPAQ; effectue des recherches visant à améliorer les productions horticoles : résistance naturelle des plantes au stress, nutrition minérale des plantes, processus de conservation des produits horticoles (principalement les fruits et légumes), la production horticole biologique, etc. Des projets tels que les suivants ont été réalisés ou en cours :

mise en place d'une meilleure régie des matières résiduelles ainsi que du recyclage de l'eau d'arrosage et des substrats de culture en serre; l'amélioration du bilan énergétique des cultures en serre; la mise au point de nouveaux biopesticides comme alternatives aux produits chimiques; développement d'aliments santé issus des industries fruitières et agroalimentaires québécoises; production durable de framboisiers remontants sous grands tunnels; réduction des émissions de fertilisants dans l'environnement; etc.

 

-        Centre de recherche en science et technologie du lait STELA : effectue des recherches sur les propriétés et les protéines des produits laitiers, développement des procédés d’amélioration de la qualité des produits laitiers, développement de nouvelles techniques de fabrication des fromages et autres produits laitiers, etc.

 

-    Centre de recherche en sciences animales de Deschambault : corporation privée sans but lucratif située à Deschambault, au nord de Québec, ce centre rattaché à l'Université Laval et au Gouvernement du Québec (MAPAQ); s'intéresse au développement de nouvelles méthodes de production et aux différents aspects des productions animales (apicoles, avicoles, d'oeufs d'incubâtion, d'oeufs de consommation, cunicoles, caprines, bovines, porcines et laitières de vache ou de chèvre). Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours :

sélection génomique de lignées d'abeilles; étude préliminaire en nutrition des abeilles en milieu de pollinisation; maintien de la biodiversité génétique de l'abeille domestique à l'aide de méthodes de conservation de la semence des faux-bourdons; exploration d'une méthode visant à favoriser le développement printanier des colonies d'abeilles; développement d'une plateforme de fermentation in vitro dans l'alimentation du porcelet; impact de la diète sur la qualité des embryons bovins de race Jersey; valorisation des ressources fourragères chez l'agneau lourd à l'engraissement; élaboration d'un plan d'élevage des chevrettes de races laitières; réduction du risque environnemental associé au phosphore alimentaire chez le poulet de chair; impact sur les composantes du lait et la production de l'usage du carbonate de potassium; etc.

 

-         Centre de recherche et développement d'Ottawa d’Agriculture Canada : situé à Ottawa en Ontario, ce centre effectue divers types de recherches sur les céréales dans les domaines suivants : amélioration génétique et salubrité des aliments (avoine, blé de printemps, blé d’hiver, maïs, orge, soja, pathologie des cultures et qualité des grains); bioproduits et bioprocédés (contrôle de l’expression des gènes, génomique fonctionnelle, pathologie moléculaire, régulation de la fertilité, résistance aux insectes, résistance  au stress environnemental et technologie à valeur ajoutée); sol, eau, air et systèmes de production (évaluation agroclimatique des ressources, gestion du carbone et de l’azote du sol, étude de mise à l’échelle des écosystèmes, étude sur les ressources régionales du sol, agriculture de précision, taxonomie des sols, etc); biodiversité en mycologie et botanique (maladies fongiques des plantes, ressources en plantes cultivées, etc); biodiversité en entomologie (lutte biologique, lutte intégrée, protection animale, ravageurs, etc).

 

-        Centre de recherche et développement de Québec d’Agriculture Canada : situé à Québec, ce centre réalise des travaux de recherches dans les secteurs suivants : ressources sol-air-eau (modes de gestion intégrée des sols et des cultures favorisant la préservation de la qualité du sol, de l'air et de l'eau) et plantes fourragères (développement de nouvelles technologies et les connaissances pour accroître la productivité, abaisser les coûts de production ainsi que développer de nouveaux produits fourragers).

 

-         Centre de recherche et développement de Sherbrooke d’Agriculture Canada: situé à Sherbrooke en Estrie, ce centre effectue des recherches dans les domaines suivants : production porcine (accroissement de la productivité de la truie, en terme de poids total de porcelets sevrés annuellement, par différentes études: endocrinologie, bien-être, régie, nutrition en période de gestation et de lactation); production laitière (optimisation de la fonction ruminale en intervenant sur les microorganismes ou sur leurs substrats, identification des voies métaboliques reliées à la digestion de l'azote, augmentation du transfert des protéines alimentaires vers les protéines du lait, optimisation de l’utilisation des fourrages conservés et des pâturages chez les vaches laitières, effet du gras alimentaire sur la reproduction des vaches laitières, etc.); production bovine (maîtrise du cycle de reproduction pour favoriser l'utilisation maximale de l'insémination artificielle, augmentation de la qualité des fourrages récoltés et d'en assurer une bonne conservation, efficacité de différentes méthodes de conservation et de récolte des ensilages d'herbes et sur l'évaluation nutritive, etc); production ovine (mise au point de techniques de reproduction qui permettront d'augmenter le nombre d’agneaux), etc.

 

-         Centre de recherche et développement de St-Hyacinthe d’Agriculture Canada : situé à St-Hyacinthe en Montérégie, ce centre effectue des recherches dans les domaines suivants : développement de technologies pour accroître l'utilisation alimentaire de protéines végétales; mise au point et optimisation de méthodes de concentration, d’extraction et de détection de microorganismes pathogènes dans le domaine agroalimentaire; développement de technologies permettant la valorisation des rôles fonctionnels des protéines du lait; production, conservation et utilisation de bactéries lactiques; développement des connaissances scientifiques et d’outils de mesure concernant les qualités sensorielles des aliments; qualité des aliments à base de céréales, développement de technologies utilisant la microbiologie, l'enzymologie et la biologie moléculaire afin d'assurer la qualité des viandes, etc.

 

-         Centre de recherche et développement de St-Jean-sur-Richelieu d’Agriculture Canada : situé à St-Jean-sur-Richelieu en Montérégie, ce centre concentre ses recherches en horticulture dans le cadre de projets tels que : recherche et isolement de nouvelles huiles essentielles à partir de la flore québécoise, recherche et isolement de nouvelles sources d'insecticides et de fongicides botaniques à partir d'extraits de plantes, d'extraits de neem et d'huiles essentielles, dynamique des populations d’Ambrosia, écologie comportementale des parasites, biologie, dynamique et développement de seuils de ravageurs des petits fruits, développement de systèmes permettant de prédire l'effet du climat sur le développement de désordres physiologiques au champ et en entrepôt, développement de systèmes visant l'utilisation rationnelle des pesticides et des agents biologiques pour la phytoprotection, étude sur la régie de production de plantes aquatiques et d'espèces ligneuses indigènes, évaluation des propriétés fonctionnelles et des nutraceutiques des fruits et légumes, programme d'amélioration génétique de la laitue pommée, amélioration génétique des rosiers arbustifs, lutte intégrée des insectes d'importance horticole, etc.

 

-    Centre de recherche en reproduction, développement et santé intergénérationnelle de l'Université Laval : regroupant des chercheurs en sciences animales et en obstétrique-gynécologie, le plus important centre de recherche en biologie de la reproduction au Canada s'intéresse aux pratiques de la reproduction assistée tant animale qu'humaine, aux technologies de pointe, à l'utilisation responsable de ces technologies et aux considérations éthiques qui se rattachent à ces recherches afin d'améliorer la performance reproductive chez les mammifères domestiques et les humains. Dans le domaine de la reproduction animale, des projets tels que les suivants sont réalisées ou en cours :

l’influence des radicaux libres et de la cryoconservation sur la structure de la chromatine des spermatozoïdes de bélier, amélioration de la fertilité de la semence ovine par traitement à la cyclodextrine,
éthique et droit de la manipulation génétique, responsabilité sociale des chercheurs et des entreprises privées, l’impact des technologies de reproduction assistée, plus particulièrement de la production in vitro chez les bovins, etc.

 

-    Centre de recherche Les Buissons : situé à Pointe-aux-Outardes en Côte-Nord et fondé par la Fédération des producteurs de pomme de terre du Québec, l'Union des producteurs agricoles de la Côte-Nord et par le MAPAQ; ce centre de recherche sans but lucratif réalise des projets de recherche sur la pomme de terre (amélioration génétique, méthodes de lutte contre les vers et autres insectes nuisibles, développement de nouvelles variétés, etc.) et sur les petits fruits nordiques (mise en valeur des petits fruits nordiques telles que la chicouté, la canneberge, la baie noire, baie rouge, bleuet nordique, etc.).

 

-         Centre de recherche sur les grains inc. : centre de recherche privé à but non lucratif fondé par la Fédération des producteurs de cultures commerciales du Québec, la Coopérative fédérée et le Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec.commerciales du Québec situé à St-Mathieu-de-Beloeil en Montérégie. Ses recherches sont orientées vers les axes suivants : l’innocuité et la qualité des grains, pratiques environnementales en production de grains, la relance de la production de blé et la diversification des productions céréalières. Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours :

évaluation d'insecticides biologiques et à faible risque pour lutter contre la tipule des prairies; détection et répartition de la folle avoine et de la petite herbe à poux résistantes à des herbicides au Saguenay–Lac-Saint-Jean; lutte intégrée contre les ravageurs du canola dans l’Est du Canada; influence des stades de récolte sur la quantité et la qualité de la fibre du chanvre industriel à vocation textile; contrôle naturel du méligèthe des crucifères (insecte nuisible) dans le canola; etc.

 

-    Centre SEVE (centre de interuniversitaire recherche en biologie végétale : centre de recherche interuniversitaire situé à Sherbrooke en Estrie, regroupant des chercheurs des universités de Sherbrooke, Laval, Mcgill, Montréal, UQTR et UQAT, ainsi que d'Agriculture Canada qui s'intéresse aux différents aspects des sciences végétales tels que : conservation des fruits et légumes frais: induction de résistance aux maladies, écologie des micro-organismes végétaux, écologie microbienne des sols, biologie et génétique moléculaire des plantes, biologie cellulaire et moléculaire des plantes, phytopathologie, stratégies de contrôle des insectes nuisibles, Biologie évolutive des insectes parasites, adaptation des plantes aux stress de l’environnement, biodiversité et conservation des pollinisateurs indigènes, pathologie des cultures légumières, amélioration du rendement dans l'utilisation d'engrais, etc.

 

-         Chaire de recherche du Canada en biotechnologie des cultures lactiques d’intérêt laitier et probiotique : cherche à identifier de nouveaux marqueurs, mettre au point de nouvelles méthodes moléculaires et développer de nouveaux procédés technologiques en cultures lactiques et probiotiques.

 

-         Chaire de recherche du Canada en phytoprotection : recherche de nouvelles méthodes de lutte contre les ennemis naturels des cultures qui permettront de produire des aliments plus sains par des pratiques agricoles moins nocives pour l'environnement.

 

-         Chaire de recherche en salubrité des viandes : ses principaux domaines de recherches sont : l’épidémiologie des pathogénes alimentaires, mise au point de mesures de réduction de la transmission de bactéries pathogènes chez les animaux vivant, mise au point et validation de nouveaux outils diagnostiques pour détecter les animaux ou les produits de viande contaminés.

 

-     Chaire de recherche industrielle CRSNG-Hortau en irrigation de précision : a pour mission de déterminer les mécanismes agissant dans le sol qui assureront une productivité optimale des cultures tout étant développement durable afin d'élaborer une méthode de gestion locale novatrice de l’irrigation.

 

-   Chaire de recherche industrielle du CRSNG-Novalait en efficience des procédés de transformation du lait : Identifie de nouvelles approches permettant d’améliorer l’utilisation des constituants naturels du lait tout en minimisant l’impact environnemental des procédés.

 

-    Chaire de recherche industrielle CRSNG-Novalait-PLC-FPLQ-MAPAQ-Valacta sur le contrôle nutritionnel de la production des constituants du lait chez la vache : développe des mécanismes de contrôle et les outils nécessaires afin de moduler la production du lait selon les objectifs poursuivis par l’industrie laitière.

 

-         Chaire Saputo en valorisation biomédicale des produits laitiers : cherche à découvrir de nouvelles moléculaire du lait d’intérêt pour la microbiologie, l’immunologie et l’agronomie afin d’identifier et de caractériser les effets bénéfiques du lactosérum.

 

-    Cintech agroalimentaire : centre collégial de transfert de technologie rattaché à l'Institut de technologie agroalimentaire de St-Hyacinthe en Montérégie qui fournit de l'expertise, de la recherche appliquée, du transfert technologique et du soutien technique auprès de PME de l'industrie agroalimentaire dans les domaines tels que : développement et adaptation de nouvelles technologies ou de technologies émergentes de fabrication, développement et adaptation de nouvelles méthodes ou procédés de fabrication, développement de nouvelles méthodes de contrôle de la qualité, amélioration des propriétés sensorielles, amélioration de la qualité sensorielle, amélioration de produits existants, développement de nouvelles méthodes de conditionnement ou de conservation, formulation et développement de prototypes de nouveaux aliments, développement de nouvelles méthodes de développement durable en industrie alimentaire, développement de solutions pour la réutilisation de coproduits ou de résidus de transformation et d'agriculture dans les applications alimentaires, etc.

 

-         Groupe de recherche en écologie des tourbières (et  Chaire de recherche industrielle CRSNG en aménagement des tourbières) : réalise des recherches dans les axes suivants : restauration écologique des tourbières après extraction de la tourbe, le réaménagement des tourbières et la production de biomasse de sphaigne.

 

-   Groupe de recherche en recyclage biologique et aquiculture de l'Université Laval (voir aussi la page suivante) : s'intéresse au domaine de l'aquiculture (alimentation et nutrition des poissons, alimentation et nutrition des crustacés) et en biotraitements des eaux (traitement tertiaire d'effluents urbains, agroalimentaires et piscicoles, recyclage biologique des algues, daphnies et poissons, valorisation par biomasse des résidus marins, biotechnologie marine, etc).

 

-    Groupe de recherche intégrée en physiologie et sciences animales (GRIPHA) de l'Université Laval (et Chaire de recherche du Canada en génomique animale) : s'intéresse aux performances des productions animales et des pratiques d'élevage (aviaire, laitière, bovine, ovine, porcine, piscicole ou petites productions) dans un contexte de bien-être animalier et de développement durable par différentes méthodes (génomique, bio-informatique, analyse moléculaire, etc.) et au développement d'aliments sains et salubres provenant d’animaux en santé.

 

-    Groupe de recherche transfert, gestion et établissement en agriculture (TRAGET Laval) : s'intéresse aux différentes questions de la gestion agricole telles que : gestion stratégique, gestion et organisation du travail, dimension des entreprises, performance économique,  relève familiale, non-familiale et relève féminine, méthode d'évaluation de la durabilité des systèmes agricoles, etc.

 

-    Groupe interdisciplinaire de recherche en agroforesterie de l'Université Laval : regroupant des chercheurs de plusieurs disciplines (agronomie, foresterie, biologie, géographie, économie rurale, etc), il s'intéresse aux questions écologiques et techniques reliées à la pratique de l'agroforesterie comme : l'agroforesterie des milieux tropicaux et subtropicaux, l'agroforesterie des milieux tempérés, etc.

 

-    Groupe des technologies de l'information laitière de Mcgill (en anglais) : s'intéresse au développement de systèmes d'information dans la gestion de bovins laitiers; l'utilisation de l'intelligence artificielle dans le développement d'outils d'aide à la décision à la ferme; les techniques de visualisation de données agricoles et agronomiques et l'exploration des grandes banques de données agronomiques.

 

-         Institut de recherche et de développement en agroenvironnement inc : situé à Québec, ce centre de recherche privé à but non lucratif à la suite d’une initiative du Ministère de l’agriculture, pêcheries et alimentation du Québec, du Ministère du développement économique et régional et de la recherche du Québec, du Ministère de l’environnement du Québec et de l’Union des producteurs agricoles du Québec. Les principaux domaines de recherche sont : développement et amélioration des systèmes de production animale (impact des systèmes de traitement des lisiers sur la qualité microbiologique du sous-produit liquide, qualité de l'air dans les bâtiments pour l'élevage des veaux de lait, effets des bioaérosols des porcheries sur la santé respiratoire des travailleurs et sur la qualité microbiologique de l'air en périphérie des bâtiments, développement d'un nouveau concept d'enclos pour les élevages porcins « sans lattes », etc); fertilisation intégrée des ressources (caractérisation des charges fertilisantes des élevages de poules pondeuses etc); régie et protection intégrée des cultures (amélioration de la lutte contre le carpocapse de la pomme par l'utilisation de nouveaux moyens à risque réduit, etc); gestion intégrée de l’eau (développement d'un système agroenvironnemental d'aide à la décision pour la réduction de la pollution de l'eau par des sources agricoles diffuses, etc); gestion intégrée des sols (Développement d’agro-indicateurs permettant d'évaluer rapidement les risques de dégradation des ressources en milieu agricole, etc); qualité et innocuité des produits (effets des engrais de ferme et des matières résiduelles fertilisantes sur la qualité et l'innocuité des cultures, influence des conditions d'élevage sur la performance zootechnique et la qualité des produits animaux, techniques de conservation des fourrages et qualités nutritionnelles, etc).

 

-    Institut sur la nutrition et les aliments fonctionnels de l'Université Laval INAF : plus important regroupement de chercheurs au Canada entièrement dédié à l’étude des aliments et de leurs composantes dans le contexte des liens entre la nutrition, la santé et la prévention des maladies chroniques par de la recherche fondamentale, appliquée et clinique.

Il regroupe près de 50 chercheurs de différentes disciplines (agronomie, nutrition, sciences et technologie des aliments, biochimie, chimie, microbiologie, pharmacologie, physiologie, médecine expérimentale, sciences biomédicales, sciences de l'activité physique, sciences pharmaceutiques, psychologie, santé publique, médecine interne, etc.) et 25 chercheurs associés provenant des universités Laval, Montréal, Sherbrooke et UQAM qui s’intéressent tout particulièrement à 3 principaux domaines de recherche, dont :

découverte et caractérisation des aliments : physico-chimie des matières grasses pour la formulation de produits alimentaires et non alimentaires; l'extraction, l'analyse et le dosage de molécules bioactives d'origine végétale; la valorisation de la biomasse marine par les bioprocédés; l'identification de molécules actives naturelles et fonctionnelles; les acides gras oméga-3 des fourrages et leur contenu dans le lait chez la vache laitière; les facteurs alimentaires et hormonaux affectant la qualité et la composition du lait chez la vache; la modification du profil lipidique du lait via l'alimentation de la vache; le rôle des bactéries probiotiques dans la prévention et la résistance aux infections; les souches de bactéries lactiques à fort potentiel probiotique; l’évaluation des composés nutraceutiques de la canneberge; la régie des cultures des petits fruits et légumes; la sélection d'espèces horticoles démontrant un intérêt nutraceutique ou fonctionnel; chimie du vin; analyses sensorielles des aliments; caractérisation des propriétés aromatiques des ferments lactiques; sélection et formulation de ferments lactiques aromatiques; fromages à activité antihypertension; fromages enrichis en vitamine D; boissons laitières fonctionnelles; potentiel nutraceutique des algues; etc.

technologies et procédés : séparation par membranes des constituants laitiers; propriétés fonctionnelles des ingrédients laitiers; les procédés de transformation du lait, notamment sur l’impact des traitements thermiques sur les constituants du lait; développement et l’utilisation optimale des ingrédients issus du lait et des sous-produits laitiers; la formulation de biofongicide pour la conservation des fruits et légumes; le développement de procédés hautes-pressions pour la pasteurisation des jus de fruits; le développement d’une nouvelle génération de séchoir pour la production de fruits, fines herbes, plantes médicinales; etc.

 

-    Mcgill Institute for global food security (en anglais) : recherche des solutions et d'aider à faire progresser la croissance annuelle de la productivité agricole dans le monde tout permettant la conservation des ressources naturelles et de minimiser la dégradation de l'environnement. Les projets actuellement en cours portent sur l'accroissement de l'utilisation de pommes de terre nutritifs, résistantes aux maladies en Colombie et la réduction les obstacles à la production et la consommation du mil en Inde. D'autres projets ont été réalisés tels que : le renforcement des capacités et des moyens de production durable des cultures au Ghana, l'amélioration de la sécurité alimentaire par des systèmes agricoles innovants au Kenya, la réduction de l'insécurité alimentaire notamment par le développement de méthodes adaptés en contrôle de la qualité des aliments au Guatemala, etc.

 

-    Mérinov : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de la Gaspésie dont le mandat est de fournir de l'expertise, de la recherche appliquée et du soutien technique auprès de PME dans le développement de nouveaux produits issus de la pêche commerciale ou de l'aquaculture, ainsi qu'au soutien technique en développement durable des entreprises de l'industrie.

 

-    Novalait : situé à Québec, ce centre d'expertise en développement et valorisation des connaissances pour l'industrie laitière a été créé par la Fédératio n des producteurs du lait, le Conseil des industriels laitiers du Québec et Agropur Coopérative; founit de l'expertise, de la recherche appliquée, du transfert technologique et du soutien technique auprès des producteurs laitiers et des transformateurs laitiers du Québec. Au niveau de la recherche, des recherches sont effectuées dans le cadre de projets tels que : biologie des systèmes appliquée au cheddar, développement d’une biotechnologie verte innovatrice pour valoriser des résidus fromagers, amélioration du confort des vaches en stabulation entravée pour augmenter leur longévité, développement d’une approche novatrice pour l’étude de la fabrication et de, amélioration de l’éco-efficience des procédés de transformation du lait par une utilisation optimale des constituants du lait, etc.

 

-    Réseau québécois en reproduction : situé à St-Hyacinthe en Montérégie, il est plus important centre de recherche en biologie de la reproduction animale et humaine au Canada et l'un des plus importants au monde regroupant plus de 80 chercheurs de différentes disciplines (agronomie, biochimie, biologie, médecine vétérinaire, microbiologie, obstétrique-gynécologie, génétique médicale, microbiologie médicale) provenant des universités de Montréal, Mcgill, Laval, Sherbrooke, UQTR, UQAM et INRS-Armand-Frappier, ainsi que d'Agriculture Canada, MAPAQ et de partenaires privés (clinique OVO, de Fertilys, de Conception et de Boviteq).

On y  développe des outils génomiques, moléculaires, cellulaires et cliniques pour répondre aux principaux problèmes en production animale, en santé animale et en santé humaine. Ses intérêts portent sur la fonction ovarienne, la reproduction masculine, ainsi que l'embryogenese et interaction avec l'utérus lors de la gestation.

 

-    Ressources aquatiques du Québec RAQ : regroupant une quarantaine de chercheurs de différentes disciplines (biologie, agronomie, géographie, microbiologie, biochimie, génie civil, génie chimique et économique) provenant des universités : UQAR, Laval, Montréal, Sherbrooke, Mcgill, UQAC, UQAM, INRS-Armand-Frappier et Polytechnique; ainsi que des institutions suivantes : Cégep de la Gaspésie et des Îles (École des pêcheries et de l'aquaculture du Québec et Mérinov), Pêches et Océans Canada, Agriculture et Agroalimentaire Canada, Ministère des Forêts, Faune et Parcs Québec, du Musée canadien de la nature et du Biodôme de Montréal; a pour mandat le développement durable de l’industrie aquacole et de l’industrie des pêches du Québec autant en en eau douce et en milieu côtier, de même que les compétences sur les mollusques et les poissons tout en s’ouvrant sur les aspects biotechnologiques, économiques, légaux et éthiques.

Ses principaux intérêts en lien avec l'agronomie portent sur l'environnement en production aquacole (évaluation des interactions entre l’aquaculture et les espèces envahissantes); l'exploitation des ressources aquatiques (évaluation des effets des composantes biotiques et abiotiques sur la dispersion, la croissance et la récolte d’espèces produites en milieu ouvert); la santé des espèces (validation des outils utiles pour estimer la vitalité et l’état de santé des animaux et des plantes en élevage, etc.); la nutrition des élevages (développement de la nourriture moins polluante pour l’industrie du poisson d’eau douce, identification des besoins nutritionnels et la physiologie digestive afin de définir des régimes alimentaires plus adéquats pour les différentes espèces en production, développement d'aliments à base de sous-produits de la pêche pour l’alimentation des poissons marins, etc.); amélioration génétique (accroissement de la résolution de la carte génétique de l’omble de fontaine, séquençage du génome entier de l’omble de fontaine et réaliser une étude génomique comparative avec celui d’autres salmonidés en cours de séquençage, etc.); techniques de production (détermination des conditions d'opération des systèmes en recirculation, amélioration des techniques de production des microalgues pour produire plus rapidement une biomasse plus riche en nutriments (ou de meilleure qualité) pour les stades larvaires, etc.); développement de sous-produits à valeur ajoutée (identification des sources alternatives d’ingrédients pour les moulées aquacoles, développement de méthodes de transformation pour extraire les composés protéiques et lipidiques, vérification de l’impact de l’utilisation de nouveaux ingrédients sur la performance zootechnique des animaux qui les consomment, etc.); amélioration des pratiques d'exploitation (caractérisation de la performance en croissance et survie des stades larvaires et post-larvaires des espèces d’intérêt, étude des facteurs qui déterminent le succès de recrutement, etc.).

 

-    Station de recherche agroalimentaire de l'Abitibi-Témiscamingue de l'UQAT : réalisée des projets de recherche appliquée directement sur les fermes dans le domaine de la production bovine éco-efficiente en milieu nordique (ethnologie et bien-être animal en production bovine, développement de stratégies pour la mise en place de systèmes de production de pâturages flexibles adaptés à la réalité de chaque ferme, développement d’outils pour évaluer en temps réel le rendement, la valeur nutritionnelle et la composition botanique des pâturages, développement de systèmes de pâturages, de sylviculture intensive et de production de biomasse afin de développer une production bovine durable et réduire les gaz à effet de serre).

 

-    Transbiotech : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de Lévis-Lauzon en Chaudière-Appalaches qui fournit de l'expertise et du soutien technique auprès de PME dans le développement de nouveaux produits en biotechnologie dans les domaines de l'alimentation fonctionnelle, les nutraceutiques, les produits pharmaceutiques et les produits de santé naturels

 

-         Unité de recherche et de développement en agroalimentaire : réalise des projets de recherches sur les conditions biophysiques de la région de l’Abitibi-Témiscamingue dans la valorisation des  ressources agricoles et le développement des marchés.

 

-    Valacta : reconnu mondialement, il est le centre d'expertises en production laitière Québec-Atlantique situé à Ste-Anne-de-Bellevue sur l'Île de Montréal, a été fondé il y a 40 ans par l'Université Mcgill, la Fédération des producteurs de lait du Québec et le MAPAQ; a pour mission de fournir de l'expertise, développer les connaissances, effectuer du transfert technologique, la collecte de données, le prélèvement d’échantillons et la certification à des fins génétiques, des analyses en laboratoire et des services-conseils aux producteurs. Dans le domaine de la recherche appliquée, ses intérêts portent sur l'amélioration de la performance et de la rentabilité des troupeaux laitiers, le développement de variétés génétiques de bovins laitiers, le développement de nouvelles technologies pour la traite, le développement de nouvelles méthodes de contrôle de la qualité du lait, le développement de bases de données d'information laitière, développement d'outils de gestion de troupeaux laitiers, développement d'outils d'aide à la décision à la ferme, etc.

 

En aménagement, développement régional et territoral, architecture du paysage et urbanisme :

 

Voir aussi la section « géographie et géomatique » un peu plus bas.

 

-    Centre d'études et de recherches sur le Brésil : centre interuniversitaire et interdisciplinaire d'études et de recherches sur les aspects historiques, sociaux, culturels, géographiques, économiques, politiques et juridiques concernant cet important pays d'Amérique latine d'origine portugaise qu'est le Brésil.

Il regroupe 15 professeurs-chercheurs réguliers de différentes disciplines (didactique des langues, études littéraires, sociologie, géographie, études touristiques, gestion internationale, science politique, sciences des religions, théâtre) provenant de 4 universités (UQAM, Concordia, UQTR, UQO); ainsi que 20 chercheurs associés provenant de 5 universités (UQAM, Concordia, UQTR, UQO, HEC Montréal).

En aménagement et développement urbain; on y retrouve 1 chercheur dont les intérêts portent sur la coopération, recherche, formation et intervention en matière d’environnement urbain au Brésil; etc.

-    Centre d'études nordiques : centre interuniversitaire de recherche regroupant une quarantaine de chercheurs provenant de diverses disciplines (biologie, géographie, géomatique, aménagement du territoire, biochimie, géologie, sciences de l'atmosphère, sciences forestières, physique, phytologie, génie civil et histoire) des universités Laval, UQAR, Sherbrooke, UQTR, UQAC, Mcgill, Montréal, UQAM, Concordia et INRS; il s'intéresse au développement durable et aux impacts environnementaux des régions nordiques, ainsi que l'aménagement et le développement des territoires nordiques respectant son patrimoine naturel.

Les intérêts portent notamment sur : la télédétection du couvert nival nordique, développement de méthodes de suivi de l'environnement; pergélisol et les variations climatiques; impact des changements climatiques sur les milieux humides nordiques et sur l'occupation humaine dans l'Arctique; évaluation du risque associé à la dégradation du pergélisol au Nunavik; géomorphologie marine en milieu nordique; causes et conséquences des perturbâtions naturelles et anthropiques en forêt nordique; etc.

 

-    Centre de développement des transports de Transports Canada : centre de recherche du Gouvernement du Canada situé à Ottawa qui réalise de nombreuses recherches dans le domaine des transports. Parmi les intérêts en lien avec l'aménagement du territoire, il y a : développement de nouvelles stratégies pour les réseaux routiers de transport urbain; études des facteurs de sécurité des passages pour piétons; amélioration du réseau routier selon les données recueillies par un système de gestion de données électroniques; analyse avantages-coûts de la modification des facteurs de correction pour atterrissage sur pistes mouillées des aéroports; etc.

 

-         Centre de recherche en aménagement et développement CRAD : important centre de recherche interdiscplinaire et interuniversitaire qui se penche sur les principaux enjeux liés à l’aménagement et au développement durables des espaces urbains et ruraux : les transformations de la ville, la viabilité des régions, le développement durable et la protection de l’environnement et l’innovation et l’amélioration des pratiques.

Il regroupe 20 chercheurs réguliers de différentes disciplines (anthropologie, géographie, économique, science politique, sociologie, architecture, aménagement du territoire et génie civil); ainsi que 19 chercheurs associés provenant de 11 universités et organismes (Laval, UQAM, UQTR, INRS, UBC, Marseille - Paul Cézanne, ENSAM en France, Louis-Pasteur en France, Haute École d'ingénierie et de gestion du canton de Vaud en Suisse, INSPQ et CHUM).

Dans le domaine de l'aménagement du territoire et du développement régional; on y retrouve 10 chercheurs dont les intérêts portent sur l'aménagement durable de la ville; la gouvernance locale et développement du territoire; les enjeux actuels du développement durable; les impacts de l'automobile sur la société et l'environnement, notamment en ce qui a trait aux accidents, à la consommation énergétique, à la pollution atmosphérique et aux politiques publiques; l’adaptation de la ville aux changements climatiques; l'aménagement du territoire et le patrimoine urbain; les comportements de déplacements et de localisation résidentielle et leurs impacts sur la forme urbaine; les approches d’analyses morphologiques et leur apport dans la conceptualisation de projets d’aménagement en général et d’urbanisme en particulier; le rôle des dimensions sensibles et esthétiques, de la prise en charge de l’existant et du patrimoine urbain dans la réactualisation des pratiques urbanistiques; le processus de décision en aménagement du territoire et aux outils d’aide à la décision territoriale; le développement d'une approche intégrée de la gestion de la qualité de l'eau potable; l'introduction des nouvelles technologies en milieu urbain et métropolitain; etc.

 

-         Centre de recherche en développement territorial : regroupant plus de 60 chercheurs de l’UQAR, l’UQAC, l’UQO, l’UQAT et l'INRS, ce centre réalise des recherches dans les axes suivants : aménagement et gestion durables du territoire et des ressources (recompositions et les mutations territoriales, notamment l’évolution des rapports urbains-ruraux, stratégies et les pratiques des acteurs locaux et régionaux en gestion efficace de l'aménagement et la gestion durable du territoire et des ressources, etc.).

 

-    Centre de recherche sur les milieux insulaires et maritimes de l'UQAR : situé aux Îles-de-la-Madeleine, il réalise des projets tels que : développement d'une stratégie énergétique des Îles-de-la-Madeleine; étude des facteurs de risques naturels, économiques et politiques constituant des sources de vulnérabilité pour les petits milieux insulaires et des stratégies pour en développer la résilience; étude de préfaisabilité pour un parc régional réunissant les terres publiques des îles de la Madeleine dans un cadre de gouvernance et de développement des ressources naturelles cohérent; étude pour une vaste AMP (aire maritime protégée) autour de l’archipel des îles de la Madeleine; élaboration du Plan régional de développement intégré des ressources et du territoire pour les Îles-de-la-Madeleine; etc.

 

-    Centre de recherches interdisciplinaires en études montréalaises : s'intéresse aux différents aspects historiques, sociaux, culturels, géographiques, environnementaux, économiques, politiques et juridiques concernant la ville de Montréal et sa périphérie, sa seconde métropole du pays, 16e plus aire urbaine en Amérique du Nord et seconde plus ville francophone au monde.

Il regroupe 47 chercheurs de différentes disciplines (anthropologie, histoire, géographie, sociologie, linguistique, littérature française, architecture, urbanisme et aménagement, études environnementales, droit, économique science politique et travail social) provenant de 4 universités montréalaises (Mcgill, Concordia, Montréal et UQAM).

En géographie, aménagement et architecture; on y retrouve 4 professeurs-chercheurs dont les intérêts portent sur les formes urbaines et les représentations territorales de Montréal; la représentatio des espaces urbains; le développement urbain et immobilier; la mobilité résidentielle et logement dans les métropoles; l'aménagement urbain de Montréal; l'histoire de l'architecture de Montréal; la gouvernance municipale et métropolitaine; etc.

 

-    Centre des sciences de la biodiversité du Québec : important centre de recherche regroupant plus d'une centaine de chercheurs de différentes disciplines (biologie, géographie, architecture du paysage, aménagement, sciences forestières) provenant de presque toutes les universités québécoises qui découvrent, étudient et utilisent la biodiversité du Québec. Dans le domaine de l'aménagement, de la géographie de l'architecture du paysage, ce sont 4 chercheurs de Montréal, Laval et Concordia qui s'intéressent notamment à l'implantation en milieu urbain de systèmes végétalisés de contrôle à la source des eaux pluviales comme option d’adaptation aux changements climatiques; conception d’un écran antibruit végétalisé adapté aux normes de Transports Québec sur les abords des autoroutes; biogéographie des invasions biologiques, particulièrement le long des cours d'eau et en bordure de routes et ses impacts sur la biodiversité urbaine; etc.

 

-         Centre interuniversitaire de recherche sur les réseaux d'entreprise, de logistique et le transport CIRRELT : le plus important centre de recherche en matière de transport au Québec et parmi les plus importants au Canada regroupant des chercheurs de l’Université de Montréal, l’École Polytechnique et de HEC Montréal. Les principaux axes de recherche abordés concernant l’aménagement sont les suivants : planification et exploitation des réseaux de transport et la planification et exploitation des réseaux de communication, etc.

 

-    Centre SEVE (centre de interuniversitaire recherche en biologie végétale : centre de recherche interuniversitaire situé à Sherbrooke en Estrie, regroupant des chercheurs des universités de Sherbrooke, Laval, Mcgill, Montréal, UQTR et UQAT, ainsi que d'Agriculture Canada qui s'intéresse aux différents aspects des sciences végétales tels que : écologie du paysage et écologie comportementale (Sherbrooke).

 

-         Chaire de recherche du Canada en aide à la décision territoriale : rattaché au Centre de recherche en aménagement et développement de l’Université Laval, cette chaire développe des instruments et des outils à la gestion territoriale notamment aux niveaux des choix stratégiques et opérationnels dans le domaine de l’habitation, les systèmes d’indicateurs spatiaux dans le processus décisionnel, etc.

 

-    Chaire de recherche du Canada en développement régional et territorial : s'intéresse aux questions de développement des régions non métropolitaines comprend des intérêts portant sur le développement territorial et paysage (impacts de la proximité des parcs éoliens sur la qualité des paysages; développement territorial et dynamiques agroalimentaires en région (facteurs déterminants de réussite des entreprises de produits de spécialité); développement territoral des petites collectivités (contraintes, défis et résistances liés à la mise en œuvre de la démarche de revitalisation Rues principales dans les municipalités de moins de 10 000 habitants), etc.

 

-         Chaire de recherche du Canada en patrimoine urbain de l’UQÀM : regroupant des chercheurs en urbanisme, design de l’environnement, histoire, histoire de l’art et sociologie, cett chaire s’intéresse aux différents aspects du patrimoine urbain et du patrimoine bâti. Les principaux thèmes de recherches sont les suivants : le patrimoine et l’identité urbaine : le rôle du paysage construit, sa conservation et sa valorisation dans les villes du 21e siècle, les églises canadiennes-françaises et le patrimoine religieux, l’idée de la ville en Nouvelle-France, histoire critique de l’architecture ecclésiale à Montréal, les paysages de la métropolisation : montréalité et projet urbain à l’aube du 21e siècle, les représentations de la ville au Québec du XVIIe au 20e siècles, collection modélisation et mise en réseau interactives des données sur le paysage architectural, etc.

 

-    Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal : s'intéresse aux différentes problématiques contemporaines de conception et d'aménagement en milieu urbain (densité de population, changements climatiques, qualité des sols, etc.). Les intérêts portent sur les aspects environnementaux, techniques et d’acceptabilité sociale de l’implantation de divers aménagements techniques avec les végétaux (systèmes végétalisés de gestion des eaux pluviales, toits verts etc.) et d’infrastructures conventionnelles telles que les écrans acoustiques;  l’évaluation et la gestion des espaces naturels en milieu urbain et périurbain; le développement et l’amélioration les mécanismes urbanistiques qui favorisent la qualité du design en architecture et en design urbain; la caractérisation des paysages et sur les processus d’invention et de réinvention des paysages, etc.

 

-         Chaire multifacultaire de recherche et d’intervention sur la Gaspésie et les Îles : chaire de l’Université Laval réalisant des projets visant le développement et la mise des valeurs des ressources, du patrimoine, des paysages et de la culture, ainsi que la protection des écosystèmes naturels de cette région.

 

-    Chaire de recherche industrielle CNRSG en gestion et surveillance de la qualité de l'eau potable de l'Université Laval : développe des stratégies de protection des sources d’eau potable à l’échelle du bassin versant; développe des procédés novateurs pour l’enlèvement des contaminants et des précurseurs de ceux-ci; développe des stratégies de gestion de la désinfection avec une attention particulière à la réduction des sous-produits de la désinfection potentiellement cancérigènes et développe des outils de contrôle la qualité de l’eau en réseau de distribution.

 

-         Chaire UNESCO en paysage et environnement : s'intéresse au développement durable des territoires urbains à travers la complexité des enjeux de la mondialisation. Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours : réaménagement paysager du Parc olympique de Montréal, développement de stratégies de mise en valeur du territoire de Qingdao en Chine, réalisation de projets de jardin lors d'expositions internationales, etc.

 

-    Groupe de recherche en aménagement et développement de l'Université de Montréal GRAD : ce groupe de recherche en design s'intéresse sur le processus créatif et la conception de produits, d'équipements d’interfaces et d’espaces de vie afin d'identifier des nouvelles opportunités de design, à élaborer des stratégies court, moyen et long-terme, et à proposer des solutions innovantes.

 

-         Groupe de recherche en conception et dessin assistés par ordinateur de l'Université de Montréal GRCAO : réalise différents projets d’outils informatiques de nouvelle génération pour des applications à l’architecture et au design. Quelques exemples de projets actuels ou passés effectués par ce groupe : création d’une plate-forme virtuelle de création des artistes des nouveaux Complexes Cirque du Cirque du Soleil, Création d’assistants informatiques d’aide à la conception et à la réalisation de la Station spatiale internationale, modélisation de la  Cathédrale de Chartres, création d’un environnement numérique pour les ateliers de l'École d'architecture, etc.

 

-         Groupe de recherche et d’intervention régionales de l’UQAC : ce groupe de recherche interdisciplinaire s’intéresse aux problèmes de développement des collectivités locales et régionales. Ses principaux domaines de recherches sont : aménagement intégrée du territoire et des ressources, environnement et récréotourisme médio-nordique, évaluation des ressources en régions, mise en valeur des espaces nordiques, évaluation environnementale, etc.

 

-         Groupe de recherche interdisciplinaire sur le développement régional, de l’Est du Québec GRIDEQ : groupe de recherche de l’UQAR  réputé étudie les processus et les conditions de développement des régions tant sur les plans sociaux, économiques, culturelles que géographiques et environnementaux. Les travaux de recherches portent sur les thèmes suivants : mise en valeur des ressources naturelles, évolution du système urbain, organisation et amélioration des situations de travail en général et plus spécifiquement en transport routier des marchandises, aménagement urbain développement des régions semi-urbaines ou rurales, etc.

 

-       Groupe de recherche sur les espaces de travail : groupe de l’École de design industriel de l’Université de Montréal dont son objectif est d'entreprendre des recherches sur les effets de l'environnement physique de travail sur le comportement, le moral et la performance des occupants.

 

-    Groupe de recherche sur les processus intégrés et d'innovation sur l'environnement bâti de l'Université de Montréal : explore les processus impliqués dans le développement de projets d’aménagement (architecture, urbanisme, paysage, design d'intérieur, etc.), dont : le montage, la planification et la gestion de projets d’architecture, d’urbanisme et de développement soutenable; la gouvernance et le design organisationnel des projets d’aménagement; les processus impliqués dans le développement de l’habitat dans les pays en voie de développement, incluant la reconstruction à la suite de catastrophes naturelles.

 

-    Groupe interdisciplinaire de recherche sur les banlieues de l'Université Laval : regroupant des chercheurs de différentes disciplines telles que l’architecture, l’aménagement, l’urbanisme, la psychologie sociale et la sociologie; s'intéresse notamment à la revitalisation des milieux ruraux; le verdissement des villes; l'analyse et la conservation de l'environnement bâti des banlieues; caractéristiques des espaces publics dans les banlieues urbaines et rurales; changements climatiques et transformations urbaines dans les banlieues; caractéristiques urbaines des régions nordiques; etc.

 

-   Institut Concordia pour l'eau, l'énergie et les systèmes durables : développe des  technologies innovantes pour capturer, stocker, distribuer, et d'optimiser les ressources énergétiques renouvelables (tels que biocarburants, procédés de bioraffinage, systèmes énergétiques pour bâtiments, développement de technologies et stratégies de traitement des eaux usées, développement de technologies pour l'assainissement et de restauration des eaux contaminées, modélisation et simulation hydrologique des bassins versants, développement de technologies pour l'aménagement des eaux souterraines, etc.).

 

-   Institut Hydro-Québec en environnement, développement et société de l'Université Laval : important centre de recherche regroupant 94 chercheurs de plus d'une trentaine de disciplines reliées au domaine de l'environnement et du développement durable (dont chimie, biologie, agronomie, géographie, sciences de la terre, sciences forestières, génie agroenvironnement, génie civil, génie chimique, génie minier, etc.) dans une perspective interdisciplinaire.

Parmi le intérêts reliés à l'aménagement et aux sciences géographiques; on retrouve : aménagement du territoire durable, développement local et régional et développement durable, analyse des politiques d'aménagement, gestion intégrée de l'eau, planification des transports dans un contexte de développement durable, dynamique du climat et changements climatiques dans les milieux tropicaux, sciences de l'information géographique, modélisation des dynamiques urbaines et régionales, géo-simulation des dynamiques urbaines, etc.

 

-         Laboratoire d’écodesign : Son objectif est d'évaluer les impacts sur l'environnement d'un système comprenant l'ensemble des activités associées à un produit, un procédé ou à un service, depuis l'extraction des matières premières jusqu'à l'élimination des déchets.

  

-    Laboratoire d'études multidisciplinaires en gestion de projets de l'UQAC : on s'intéresse notamment sur la gestion des relations entre les différents acteurs, sur le long terme, la gestion de projet dans un contexte multiculturel, la gestion des ressources humaines dans un contexte de projet, les compétences collectives en gestion de projet, ainsi que l’évaluation de la valeur ajoutée économique dans les projets à fort potentiel de développement territorial.

 

-    Laboratoire de planification intégrée des transports de Concordia TRIP : se concentre sur la modélisation des transports, l'environnement, l' utilisation des terres et de leurs liens notamment par le développement d'outils permettant de recueillir des données sur l' endroit où les gens décident de vivre et comment ils se déplacent autour de la ville. Des applications en aménagement du territoire, en sécurité publique, en gestion de flottes de véhicules, en tourisme, etc. sont envisageables.

 

-         Observatoire de recherches internationales sur l’eau : rattaché à l’Institut Hydro-Québec en environnement, développement et société de l'Université Laval; on y étudie les divers problématiques de la gestion des ressources en eau, de surface comme souterraines, dans le contexte des relations internationales et des écosystèmes transfrontaliers.

 

-         Observatoire sur la ville intérieure : s'intéresse à l'aménagement des espaces souterrains en milieu urbain. Ses axes portent sur l’élaboration d’un système d’informations à références spatiales (SIRS) sur la ville et l’aménagement des espaces restreints et à densité élevée du centre-ville de Montréal.

 

-    Réseau de recherche et de connaissances sur la ville et l'urbain : se penche sur les problématiques et les enjeux contemporains de la gouvernance, de l'aménagement et du développement du milieu urbain sous 4 grandes thématiques, soit : action publique et démocratie; changements sociodémographiques, vie quotidienne, pratique et représentations culturelles; infrastructures, innovation et développement économique; ainsi que courants et pratiques d'aménagement et de développement durable.

Il regroupe 65 chercheurs réguliers de différentes disciplines (études urbaines, anthropologie, géographie, histoire, économique, science politique, droit, sociologie, gestion immobilière, administration publique, design, architecture, architecture du paysage, urbanisme, etc.) provenant de 9 universités (UQAM, INRS, Laval, Montréal, Sherbrooke, Concordia, UQTR, UQO et ÉNAP); ainsi que 14 praticiens-chercheurs collaborateurs provenant de différents milieux de pratique (Ville de Montréal, Ville de Québec, Transports Québec, Communauté métropolitaine de Montréal, Communauté métropolitaine de Québec, Ministère des affaires municipales et de l'occupation du territoire, Conseil régional de l'environnement de Montréal, Société de transports de Montréal, Réseau de transport de la Capitale, etc.).

Dans le domaine de l'aménagment et du développement urbain; on y retrouve 18 chercheurs dont les intérêts portent sur la dynamique territoriale; l évolution des formes urbaines; le développement durable et développement urbain; la conservation des terres agricoles; l'agriculture périurbaine; l'agriculture urbaine; l'adaptation aux changements et à la variabilité climatique; la gestion de la qualité de l'eau potable; le patrimoine naturel; le patrimoine bâti; le patrimoine urbain; la nature en ville; les politiques publiques en environnement urbain; les morphologies métropolitaines, les politiques de revitalisation urbaine; le processus de décision en aménagement du territoire; les processus par lesquelles les pratiques de de planification et d’aménagement se transforment; le développement d’outils pour faciliter la prise en compte d’enjeux environnementaux complexes; les paysages urbains; la gestion des paysages; etc.

 

-    Réseau Villes Régions Monde : regroupant des chercheurs de plusieurs disciplines (urbanisme, aménagement, études urbaines, architecture, architecture du paysage, administration publique, géographie, histoire, sociologie, science politique, anthropologie) des universités de Montréal, UQAM, Laval et INRS; il se penche sur les problématiques des formes urbaines contemporaines ou les nouvelles modalités d’urbanisation sont déployées afin de permettre une cohésion au sein des grands ensembles urbains; le rôle de l'environnement bâti et la matérialité de l'espace urbain comme interface entre les villes et ses habitants; les courants et les pratiques d'aménagement dans un contexte de développement durable, etc.

 

-    Transportation Research at Mcgill Group TRAM (en anglais) : groupe interdisciplinaire de recherche regroupant des chercheurs en génie civil, génie industriel, géographie et urbanisme dans le domaine de la planification des opérations de transport.

 

-    Trottier Institute for Sustainability in Engineering & Design TISED (en anglais) : ce centre interdisciplinaire de recherche regroupant des chercheurs de plusieurs disciplines de Mcgill (architecture, planification urbaine, génie civil, génie bioressources, génie élecrique, génie mécanique, etc.) s'intéresse à l'aménagement et planification environnementale des infrastructures agricoles et rurales, la planification et l'aménagement des réseaux de transport, approches interdisciplinaires en design urbain, etc.

 

En architecture et sciences du bâtiment :

 

-         Centre de recherche en aménagement et développement CRAD : important centre de recherche interdiscplinaire et interuniversitaire qui se penche sur les principaux enjeux liés à l’aménagement et au développement durables des espaces urbains et ruraux : les transformations de la ville, la viabilité des régions, le développement durable et la protection de l’environnement et l’innovation et l’amélioration des pratiques.

Il regroupe 20 chercheurs réguliers de différentes disciplines (anthropologie, géographie, économique, science politique, sociologie, architecture, aménagement du territoire et génie civil); ainsi que 19 chercheurs associés provenant de 11 universités et organismes (Laval, UQAM, UQTR, INRS, UBC, Marseille - Paul Cézanne, ENSAM en France, Louis-Pasteur en France, Haute École d'ingénierie et de gestion du canton de Vaud en Suisse, INSPQ et CHUM).

En architecture; on y retrouve 4 chercheurs réguliers et 2 chercheurs associés dont les intérêts portent sur les nouveaux mode de vie et besoins résidentiels en émergence; les comportements résidentiels : choix, usages et significations des territoires urbains; le parc locatif de la banlieue : formes, usages et représentations; le rôle de la religion dans les sociétés humaines, passées et présentes, principalement à travers l’analyse de l’environnement bâti et de son évolution à travers le temps; l'exploration architecturale et urbaine des territoires intermédiaires;  le patrimoine et l’histoire de l’architecture au Québec, et en particulier dans la tradition résidentielle; le patrimoine bâti; l'architecture bioclimatique; le confort thermique et adaptabilité environnementale; la neutralité carbonique architecturale et urbaine; le design participatif; l'aménagement participatif; etc.

 

-   Centre for Zero Energy Building Studies of Concordia (en anglais) : effectue des différentes recherches reliées à la construction des bâtiments qui permettront d’améliorer la santé, la sécurité et le confort des occupants. Ses principaux axes de recherche sont : la performance des enveloppes des bâtiments (matériaux, structures, sciences du bâtiment, etc); l’environnement intérieur (acoustique, éclairage, qualité de l’air intérieure, confort thermique); soutien aux technologies du bâtiment (ventilation naturelle, sources d’énergie renouvelables, le rendement énergétique, etc); les effets du vent sur les bâtiments (la pression du vent, dispersion des polluants, environnement du vent, etc) et le design de bâtiment assisté par ordinateur.

 

-         Chaire de recherche du Canada en patrimoine bâti : cette chaire a pour objectif d'étudier la problématique de la perception évolutive de la notion de patrimoine culturel et de la signification qui en résulte, de même que les conséquences de cette évolution sur divers processus.

 

-         Chaire de recherche du Canada sur le patrimoine religieux bâti : tente de mieux connaître le patrimoine religieux bâti du Québec et développer de nouvelles stratégies de conservation et de gestion de ce dernier.

 

-    Chaire industrielle de recherche sur la construction éco responsable en bois : regroupant des chercheurs de différentes disciplines (génie du bois, génie civil, génie industriel, architecture, design de produits) de l'Université Laval; développe des nouvelles méthodes de construction et le développement de nouveaux matériaux écoresponsables pour la construction d'éléments de structure en bois pour bâtiments ou autres infrastructures.

 

-    Facility for Architectural Research in Media and Mediation FARMM de Mcgill : réalise des projets de recherche-action afin de développer de nouvelles approches et de nouvelles technologies pour la conception éthique et réfléchi par rapport aux questions de durabilité culturelle (patrimoine architectural) et au développement durable.

 

-         Groupe de recherche en ambiances physiques de l'Université Laval : ses recherches dans le domaine de l’architecture portent sur le confort thermique et sur la nature du contrôle des ambiances physiques et naturelles dans les immeubles non-résidentiels.

 

-         Groupe de recherche en conservation de l’environnement bâti de l’Université de Montréal : ce groupe s’intéresse aux thèmes de recherches suivants : processus de conservation de l’environnement bâti: politiques et législation, valeurs patrimoniales et planification, normes et méthodes de conservation, etc.

 

-         Groupe de recherche en conception et dessin assistés par ordinateur de l'Université de Montréal GRCAO : réalise différents projets d’outils informatiques de nouvelle génération pour des applications à l’architecture et au design. Quelques exemples de projets actuels ou passés effectués par ce groupe : création d’une plate-forme virtuelle de création des artistes des nouveaux Complexes Cirque du Cirque du Soleil, Création d’assistants informatiques d’aide à la conception et à la réalisation de la Station spatiale internationale, modélisation de la  Cathédrale de Chartres, création d’un environnement numérique pour les ateliers de l'École d'architecture, etc.

 

-    Groupe de recherche en illumination et design de l'Université de Montréal GRID : étudie les relations complexes entre les formes, les couleurs et la lumière dans divers environnements intérieurs et extérieurs des bâtiments.

 

-    Groupe de recherche en intégration et développement durable en environnement bâti de l'ÉTS (et chaire de recherche industrielle Pomerleau sur l'intégration des pratiques et des technologies en construction) : s'intéresse à la conception intégrée avec l'optique de développement durable, développement de projets de construction selon l'approche Lean, ainsi que la modélisation et simulation 3D, 4D et 5D en conception de bâtiments.

 

-    Groupe de recherche sur les processus intégrés et d'innovation sur l'environnement bâti de l'Université de Montréal : explore les processus impliqués dans le développement de projets d’aménagement (architecture, urbanisme, paysage, design d'intérieur, etc.), dont : le montage, la planification et la gestion de projets d’architecture, d’urbanisme et de développement soutenable; la gouvernance et le design organisationnel des projets d’aménagement; les processus impliqués dans le développement de l’habitat dans les pays en voie de développement, incluant la reconstruction à la suite de catastrophes naturelles.

 

-   Installation d'essais sur l'environnement intérieur du CNRC : ce centre de recherche du Gouvernement du Canada situé à Ottawa s'intéresse à la  transmission acoustique au travers des planchers et des murs, à la  transmission indirecte du son (bruits aériens, bruits d'impact, etc.).

 

-    Laboratoire d'acoustique du bâtiment de Concordia (en anglais) : s'intéresse à la mesure de l'intensité acoustique des pieces, l'évaluation du coefficient de l'absorption acoustique, la transmission du son, la qualité des matériaux acoustiques, etc.

 

-    Laboratoire d'éclairage et d'énergie solaire de Concordia (en anglais) : se concentre sur l'intégration des systèmes d'énergie solaire dans les bâtiments pour produire de l'électricité, de la chaleur utile et de l'éclairage naturel.

-    Laboratoire d'efficacité énergétique du bâtiment de Concordia (en anglais) : s'intéresse à la performance thermique des bâtiments, dont : l'évaluation de l'étanchéité des bâtiments, l'analyse et la surveillance énergétique des bâtiments des et des systèmes de CVC, paramètres thermiques de l'air intérieur, le confort thermique, estimation des fuites d'air des enveloppes du bâtiment par thermographie infrarouge, etc.

 

-    Laboratoire d'enveloppe du bâtiment de Concordia (en anglais) : s'intéresse à l'analyse et la conception de l'environnement intérieur d'un bâtiment comprenant la durabilité, le transfert de chaleur, l'isolation, l'humidité, l'efficacité énergétique et la conservation de l'énergie, la qualité de l'air et la ventilation, la qualité des matériaux de construction, etc.

 

-         Laboratoire d’étude de l’architecture potentielle de l'Université de Montréal : réalise des recherches dans les axes suivants : histoire critique de l'architecture canadienne contemporaine, développement de dispositifs pédagogiques pour l'enseignement de la conception architecturale et le support des pratiques réflexives en aménagement, documentation numérique raisonnée et analyse des concours canadiens d'architecture et d'aménagement, formulation de propositions potentielles d'aménagement, etc.

 

-    Laboratoire d'études multidisciplinaires en gestion de projets de l'UQAC : on s'intéresse notamment sur la gestion des relations entre les différents acteurs, sur le long terme, la gestion de projet dans un contexte multiculturel, la gestion des ressources humaines dans un contexte de projet, les compétences collectives en gestion de projet, ainsi que l’évaluation de la valeur ajoutée économique dans les projets à fort potentiel de développement territorial.

-    Laboratoire de recherche L'Action parallèle de l'UQAM : ce laboratoire de recherche et de création se penche sur l'histoire et l'actualité du design d'événements et dont les cadres de réflexion sont issus de la sémiotique, de l’anthropologie, de la sociologie, de la philosophie et de l'histoire de l'architecture et du design.

Il s'intéresse notamment aux méthodes de projet et de design en architecture; au concept, conception et architecture des savoirs; l'espace public et l'imaginaire urbain; etc.

 

-    Minimum Cost Housing Group : ce groupe de recherche de Mcgill s'intéresse aux problèmes d'habitation dans les pays en voie de développement, mais également dans les quartiers défavorisés des pays "riches". Il a réalise plusieurs projets de recherche-action de coopération internationale en Argentine, au Sri Lanka, en Ouganda, aux Philippes, au Mexique, au Nigeria, en Inde et en Chine.

Ses intérêts portent notamment sur la qualité de le choix des matériaux de construction et le développement de nouveaux matériaux de construction mieux adaptés à la région ou au quartier, la construction de petits éléments de construction, la planification et la conception de projets, la mise en valeur du patrimoine architectural local, etc.

 

-    Réseau de recherche et de connaissances sur la ville et l'urbain : se penche sur les problématiques et les enjeux contemporains de la gouvernance, de l'aménagement et du développement du milieu urbain sous 4 grandes thématiques, soit : action publique et démocratie; changements sociodémographiques, vie quotidienne, pratique et représentations culturelles; infrastructures, innovation et développement économique; ainsi que courants et pratiques d'aménagement et de développement durable.

Il regroupe 65 chercheurs réguliers de différentes disciplines (études urbaines, anthropologie, géographie, histoire, économique, science politique, droit, sociologie, gestion immobilière, administration publique, design, architecture, architecture du paysage, urbanisme, etc.) provenant de 9 universités (UQAM, INRS, Laval, Montréal, Sherbrooke, Concordia, UQTR, UQO et ÉNAP); ainsi que 14 praticiens-chercheurs collaborateurs provenant de différents milieux de pratique (Ville de Montréal, Ville de Québec, Transports Québec, Communauté métropolitaine de Montréal, Communauté métropolitaine de Québec, Ministère des affaires municipales et de l'occupation du territoire, Conseil régional de l'environnement de Montréal, Société de transports de Montréal, Réseau de transport de la Capitale, etc.).

Dans le domaine de la gestion urbaine; on y retrouve 4 chercheurs dont les intérêts portent sur les finances publiques locales; la gouvernance urbaine et régionale; la gouvernance territoriale et développement local; l'évaluation foncière; la fiscalité municipale; la gestion urbaine et le développement durable; le processus de décision en aménagement du territoire; la gestion de la diversité en contexte municipal; l'économie publique et urbaine; l'entrepreneuriat immigrant; la planification stratégique urbaine; etc.

 

-    Réseau de recherche sur le bâtiment solaire (en anglais) : regroupant 29 chercheurs de 15 universités canadiennes et relevant de Concordia, développe un système technologique de pointe par énergie solaire intégrant une approche de consommation nette d'énergie de zéro tout en étant rentable et confortable.

 

-    Trottier Institute for Sustainability in Engineering & Design TISED (en anglais) : ce centre interdisciplinaire de recherche regroupant des chercheurs de plusieurs disciplines de Mcgill (architecture, planification urbaine, génie civil, génie bioressources, génie élecrique, génie mécanique, etc.) s'intéresse notamment au développement de nouveaux matériaux de construction durables, les techniques de fiabilité et les niveaux de microarchitecture, l'efficacité énergétique et les énergies renouvelables pour les bâtiments, etc.

 

En biologie :

 

Voir aussi la section « foresterie » un peu plus bas.

 

-    Arctic Ecology Lab (et Chaire de recherche du Canada en écologie arctique) (en anglais) : s'intéresse sur l'interaction entre l'individualité (comportement et la physiologie) des proies et des prédateurs. J'étudie ces interactions principalement dans les oiseaux prédateurs supérieurs, en particulier les oiseaux de mer et les oiseaux de proie.

 

-         Bellairs Research Institute : important centre de recherche rattaché à l’Université Mcgill et situé aux Barbades dans les Caraïbes effectuant de nombreuses recherches dans les domaines de la biologie (océanographie, ichtyologie, écologie marine, botanique, primatologie, etc), en géologie (géologie des reliefs, géologie historique, géologie marine, séismologie, etc), en météorologie (météorologie marine, climatologie et prévision d’ouragans), en géographie (géographie maritime, les ouragans, géomorphologie et géographie humaine), en physique (astrophysique, physique des ouragans et océanographie physique), en agronomie (pêcheries, cultures légumières et fruitières, , en anthropologie (notamment en archéologie et paléontologie, mais aussi en ethnologie), en histoire (histoire des sciences naturelles, histoire des Caraïbes), ainsi qu’en sociologie.

 

-    Bell Laboratory (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill s'intéresse sur la façon dont les populations se sont adaptées à des environnements changeants afin de comprendre et de prédire comment les populations vont réagir aux changements.

 

-    Bennett Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill étudie les interactions entre l'homme et l'environnement afin d'améliorer la gestion des écosystèmes.

 

-    Biopterre : centre collégial de transfert de technologie rattaché à l'Institut de technologie agroalimentaire de La Pocatière et du Cégep de La Pocatière dans le Bas-St-Laurent qui fournit de l'expertise et du soutien technique auprès de PME dans le développement de bioproduits végétaux pour les secteurs de l'agriculture, de la foresterie, de l'horticulture ornementale, de l'environnement, etc.

 

-    Centre canadien des eaux intérieures : cet institut de recherches d’Environnement Canada est le plus important organisme de recherche sur l’eau au pays et est situé à Burlington en Ontario. Les principaux domaines de recherches effectuées en lien avec la biologie sont : assainissement des écosystèmes aquatiques, rétablissement des écosystèmes aquatiques touchées par les pluies acides, effets des changements climatiques sur les écosystèmes, causes des concentrations assez élevées de mercure dans des poissons prédateurs de divers lacs des Territoires du Nord-Ouest, propagation et la persistance des OGM dans les écosystèmes aquatiques, etc.

 

-    Centre d'études nordiques : un des plus importants centres de recherches sur le milieu nordique au monde, ce centre interuniversitaire de recherche regroupant une quarantaine de chercheurs provenant de diverses disciplines (biologie, géographie, géomatique, aménagement du territoire, biochimie, géologie, sciences de l'atmosphère, sciences forestières, physique, phytologie, génie civil, histoire et archéologie) des universités Laval, UQAR, Sherbrooke, UQTR, UQAC, Mcgill, Montréal, UQAM, Concordia et INRS; il s'intéresse au développement durable et aux impacts environnementaux des régions nordiques, ainsi que l'aménagement et le développement des territoires nordiques respectant son patrimoine naturel.

Les intérêts de recherche portent notamment sur : l'écologie animale, l'écologie comportementale, l'écologie végétale, l'écologie forestière, l'écologie des milieux aquatiques, l'écologie des milieux terrestres, l'écologie de la régénération, l'écologie historique, l'écologie hivernale, la dynamique des populations, les relations plantes/animaux, la botanique, l'entomologie, l'écophysiologie, la paléoécologie aquatique, gestion et conservation des ressources naturelles, etc. 

Voici quelques exemples de thèmes de projets réalisés ou en cours : écologie de la régénération en milieu nordique; processus écologiques responsables du maintien de la biodiversité; gestion des populations animales et conservation de la biodiversité dans les écosystèmes de montagne; impacts de l’altération des habitats sur l’écologie des grands mammifères (caribou forestier, loup gris, orignal, coyote et ours noir); bioénergétique de la croissance chez les jeunes nidifuges en fonction de la qualité de la nourriture et des dépenses énergétiques; effets des fluctuations de lemmings sur les interactions prédateurs/proies entre les oies, les rapaces et les renards à l'Île Bylot au Nunavut; stratégies de reproduction, démographie, migration, bilan énergétique, autécologie et relations trophiques chez la Grande Oie des neiges; biodiversité et biogéographie de l'activité des microorganismes et de leur gènes dans les océans, les lacs et les mares; dynamique séculaire de l'habitat estival du caribou dans le nord du Québec; relations plantes/animaux herbivores; impacts à long terme des interactions entre les perturbations et les changements climatiques sur la forêt boréale; dynamique des habitats d'interface en milieu subarctique et subalpin; structure et fonctionnement des écosystèmes lacustres et fluviaux des hautes latitudes; impacts du rayonnement ultraviolet sur les écosystèmes aquatiques; etc.

 

-    Centre d'études sur la forêt : regroupant plus de 70 chercheurs réguliers de différentes disciplines (sciences forestières, biologie, géographie, entomologie) provenant des universités Laval, UQAC, UQAT, UQAR, UQAM, Sherbrooke, UQO, Mcgill, Montréal, Concordia et Téluq; ainsi que des chercheurs associés provenant notamment des universités de Fribourg, Helsinki, Moncton, Alberta, Regina, UBC,  Ressources naturelles Canada, Environnement Canada, Ministère des Forêts du Québec; il est le plus important centre de recherche en foresterie en milieu universitaire au Canada et l'un des plus importants en Amérique du Nord et ... le seul au Québec.

Il s'intéresse notamment à la sélection et occupation des habitats forestiers, les liens fonctionnels de la faune et de la flore en foret, les stress environnementaux sur la faune et la flore forestière, le flux génétique et structure des populations, lutte contre les champignons pathogènes et les insectes ravageurs, dynamique naturelle des écosystèmes forestiers, impacts des changements climatiques et humains sur l'écologie des écosystèmes forestiers, etc.

 

-         Centre de conservation et des sciences aviaires de Mcgill : ce centre est spécialisé dans la recherche sur les oiseaux. Des travaux sont effectués notamment sur comportement, l'écologie, la nutrition, la toxicologie, la physiologie reproductrice et la parasitologie d'oiseaux domestiques et sauvages et la gestion d’espèces en voie de disparition.

 

-    Centre de foresterie des Laurentides (voir aussi la page de l'Insectarium René-Martineau) : situé à Québec, ce centre de recherche de Ressources naturelles Canada regroupant plus de 25 chercheurs de différentes disciplines (sciences forestières, biologie, microbiologie, biochimie, entomologie). On tente de mieux comprendre la dynamique des écosystèmes forestiers pour le développement de pratiques forestières qui tiennent compte des perturbations naturelles; les maladies s’attaquant aux essences d’arbres dont le bois possède des caractéristiques recherchées par l’industrie; le niveau de résistance des arbres face aux ravageurs ou aux stress environnementaux; la présence de ravageurs exotiques ou indigènes afin de minimiser leurs impacts; et l'études des arbres les mieux adaptés au changement climatique. Ces travaux appuient l’optimisation de l’ensemble de la chaîne de valeur forestière.

 

-    Centre de la biodiversité de l'Université de Montréal (ne pas conforme avec le Centre des sciences de la biodiversité du Québec) : voir Institut de recherche en biologie végétale.

 

-    Centre de recherche agronomique Emile A. Lods de l'Université Mcgill (en anglais) : situé à Ste-Anne-de-Bellevue dans l'extrémité ouest de l'Île de Montréal, il est le plus important centre de recherche agronomique en milieu universitaire au Québec et l'un des plus importants au Québec et l'un des plus importants centres de recherche en horticulture et cultures végétales au Canada regroupant des chercheurs en en sciences agronomiques, biologie végétale, biologie, sciences de l'environnement et génie des bioressources.

On s'intéresse aux productions horticoles et aux productions de grandes cultures (céréales) comprenant des intérêts tels que : la génomique végétale (cultures génétiques pour le développement de nouvelles variétés de céréales dont notamment le soja, de plantes fourragères et cultures maraîchères); physiologie des cultures (signalisation moléculaire dans des cultures de plantes, production de la biomasse et des réponses physiologiques des cultures horticoles à des pratiques de production en particulier plasticulture et fertigation); interactions plantes-micro-organismes (interactions entre les cultures de légumineuses telles que le soja et les légumineuses fourragères avec des bactéries fixatrices d'azote); etc.

 

-         Centre de recherche en biologie forestière de l’Université Laval : voir le Centre d'études sur la forêt.

 

-    Centre de recherche en biotechnologies marines de l'UQAR : situé à Rimouski au Bas-St-Laurent et rattaché à l'UQAR, ce centre s'intéresse aux propriétés physico-chimiques produits marins et des plantes marines et au développement d'applications de toutes sortes (agriculture, environnement, traitement des eaux, etc) des biotechnologies marines.

 

-    Centre de recherche en écologie terrestre de l'Université de Sherbrooke : tente de comprendre les effets de l'environnement sur la biodiversité et les écosystèmes naturels. Les intérêts portent sur l'écologie comportementale, l'écologie des paysages, l'écologie de la conservation en milieu tropical, l'écologie évolutive et moléculaire, la génétique des populations, l'écologie animale, l'évolution et dynamique des populations, la conservation des mammifères, l'écologie des populations et communautés végétales, la biogéographie des réseaux d'interactions écologiques, la modélisation de la dynamique forestière, biologie de la conservation et écologie historique, intégration de l'écologie et de l'évolution, rétroactions sols-plantes, etc.

 

-         Centre de recherche en eau, terre et environnement de l’I.N.R.S. : important organisme multidisciplinaire de recherche regroupant des chercheurs de disciplines variées. Ses principaux domaines de recherches reliés à la biologie sont : biogéochimie et contamination (écotoxicologie marine, effets et changements des polluants environnementaux dans les écosystèmes aquatiques, limnologie du plancton, écologie aquatique, écophysiologie, etc).

 

-    Centre de recherche en innovation sur les végétaux de l’Université Laval (anciennement connu sous "Centre de recherche en horticulture") : le plus important centre de recherche horticole en milieu universitaire au Canada regroupant des chercheurs de l'Université Laval (en phytologie, en bioloige et en microbiologie), de l'Université de Montréal (biologie), de l'UQTR (biologie), de l'Institut de recherche et développement en agroenvironnement, d'Agriculture Canada et du MAPAQ; effectue des recherches visant à améliorer les productions horticoles : résistance naturelle des plantes au stress, nutrition minérale des plantes, processus de conservation des produits horticoles (principalement les fruits et légumes), la production horticole biologique, etc. Les intérêts en biologie touche l'horticulture, l'entomologie, la physiologie végétale, la physiopathologie et l'environnement. Des projets tels que les suivants ont été réalisés ou en cours en lien avec la biologie :

revégétalisation des zones dénudées dans les bleuetières; stimulation par les champignons de la synthèse de composés nutraceutiques et aromatiques dans les fruits et légumes; mise au point d'une méthode de lutte intégrée contre les acariens en pépinières; adaptation de la lutte biologique contre les tétranyques (acariens) en framboisière; mise au point d'une méthode de lutte biologique intégrée contre les pucerons dans le soya; impacts des paysages urbains et suburbains sur la conservation des abeilles indigènes et la pollinisation des cultures; développement d'une nouvelle approche pour améliorer la résistance des plantes aux stress biotiques et abiotiques; production durable de framboisiers remontants sous grands tunnels; etc.

 

-    Centre de recherche et développement d'Ottawa d’Agriculture Canada : situé à Ottawa en Ontario, ce centre effectue divers types de recherches sur les céréales dans les domaines suivants : amélioration génétique et salubrité des aliments (avoine, blé de printemps, blé d’hiver, maïs, orge, soja, pathologie des cultures et qualité des grains); sol, eau, air et systèmes de production (évaluation agroclimatique des ressources, gestion du carbone et de l’azote du sol, étude de mise à l’échelle des écosystèmes, étude sur les ressources régionales du sol, agriculture de précision, taxonomie des sols, etc); biodiversité en mycologie et botanique (maladies fongiques des plantes, ressources en plantes cultivées, etc); biodiversité en entomologie (lutte biologique, lutte intégrée, protection animale, ravageurs, etc).

 

-    Centre de recherche et développement de Québec d’Agriculture Canada : situé à Québec, ce centre réalise des travaux de recherches dans les secteurs suivants : ressources sol-air-eau (modes de gestion intégrée des sols et des cultures favorisant la préservation de la qualité du sol, de l'air et de l'eau) et plantes fourragères (développement de nouvelles technologies et les connaissances pour accroître la productivité, abaisser les coûts de production ainsi que développer de nouveaux produits fourragers).

 

-    Centre de recherche et développement de St-Jean-sur-Richelieu d’Agriculture Canada : situé à St-Jean-sur-Richelieu en Montérégie, ce centre concentre ses recherches en horticulture dans le cadre de projets tels que : recherche et isolement de nouvelles huiles essentielles à partir de la flore québécoise, recherche et isolement de nouvelles sources d'insecticides et de fongicides botaniques à partir d'extraits de plantes, d'extraits de neem et d'huiles essentielles, dynamique des populations d’Ambrosia, écologie comportementale des parasites, biologie, dynamique et développement de seuils de ravageurs des petits fruits, développement de systèmes permettant de prédire l'effet du climat sur le développement de désordres physiologiques au champ et en entrepôt, développement de systèmes visant l'utilisation rationnelle des pesticides et des agents biologiques pour la phytoprotection, étude sur la régie de production de plantes aquatiques et d'espèces ligneuses indigènes, évaluation des propriétés fonctionnelles et des nutraceutiques des fruits et légumes, programme d'amélioration génétique de la laitue pommée, amélioration génétique des rosiers arbustifs, lutte intégrée des insectes d'importance horticole, etc.

 

-    Centre de recherche en reproduction, développement et santé intergénérationnelle de l'Université Laval : regroupant des chercheurs en sciences animales et en obstétrique-gynécologie, le plus important centre de recherche en biologie de la reproduction au Canada s'intéresse aux pratiques de la reproduction assistée tant animale qu'humaine, aux technologies de pointe, à l'utilisation responsable de ces technologies et aux considérations éthiques qui se rattachent à ces recherches afin d'améliorer la performance reproductive chez les mammifères domestiques et les humains. Dans le domaine de la reproduction animale, des projets tels que les suivants sont réalisées ou en cours :

l’influence des radicaux libres et de la cryoconservation sur la structure de la chromatine des spermatozoïdes de bélier, amélioration de la fertilité de la semence ovine par traitement à la cyclodextrine,
éthique et droit de la manipulation génétique, responsabilité sociale des chercheurs et des entreprises privées, l’impact des technologies de reproduction assistée, plus particulièrement de la production in vitro chez les bovins, etc.

 

-    Centre de recherche en sciences animales de Deschambault : corporation privée sans but lucratif située à Deschambault, au nord de Québec, ce centre rattaché à l'Université Laval et au Gouvernement du Québec (MAPAQ); s'intéresse au développement de nouvelles méthodes de production et aux différents aspects des productions animales (apicoles, avicoles, d'oeufs d'incubâtion, d'oeufs de consommation, cunicoles, caprines, bovines, porcines et laitières de vache ou de chèvre). Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours en lien avec la biologie :

sélection génomique de lignées d'abeilles; étude préliminaire en nutrition des abeilles en milieu de pollinisation; maintien de la biodiversité génétique de l'abeille domestique à l'aide de méthodes de conservation de la semence des faux-bourdons; exploration d'une méthode visant à favoriser le développement printanier des colonies d'abeilles; réduction du risque environnemental associé au phosphore alimentaire chez le poulet de chair; etc.

 

-    Centre de recherche en toxicologie de l'environnement TOXEN de l'UQAM : regroupant 15 chercheurs de différentes disciplines (biologie, chimie, santé publique, sciences de l'atmosphère et sciences de la terre) provenant principalement de l'UQAM, mais également de l'INRS, Université de Montréal et Environnement Canada) a pour objectif de mieux comprend les effets des contaminants et de certains facteurs physiques afin de prévoir la toxicité et ainsi être en mesure d’identifier les situations potentiellement à risque pour les organismes vivants. Ses principaux axes de recherches sont les suivants :toxicologie moléculaire, cellulaire et biochimique, toxicologie et physiologie et l’écotoxicologie.

 

-         Centre de recherche interdisciplinaire sur la biologie, la santé, la société et l’environnement CINBIOSE : regroupe une trentaine de chercheurs de plusieurs disciplines (biologie, kinanthropologie, sociologie, gestion, sciences juridiques, communications et danse) provenant des universités : UQAM, Laval, Sherbrooke, UQO, Montréal, Ottawa, Moncton, INRS et Téluq; effectue des recherches sur les liens entre la santé, la société et l'environnement par une approche écosystémique en santé environnementale et de la santé au travail. Les principaux axes de recherches sont : neurotoxicologie humaine, ergonomie, la santé des travailleurs, etc.

 

-    Centre de recherche sur la boréalie de l'UQAC (et Chaire en éco-conseil) : s'intéresse aux ressources renouvelables et sur la forêt boréale. Ses intérêts portent notamment sur les changements climatiques de la forêt boréale, le développement d'outils et de méthodologies en éco-conseil, la conservation des lacs sans poisson en forêt boréale, etc.

 

-    Centre de recherche sur les grains inc. : centre de recherche privé à but non lucratif fondé par la Fédération des producteurs de cultures commerciales du Québec, la Coopérative fédérée et le Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec.commerciales du Québec situé à St-Mathieu-de-Beloeil en Montérégie. Ses recherches sont orientées vers les axes suivants : l’innocuité et la qualité des grains, pratiques environnementales en production de grains, la relance de la production de blé et la diversification des productions céréalières. Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours :

évaluation d'insecticides biologiques et à faible risque pour lutter contre la tipule des prairies; détection et répartition de la folle avoine et de la petite herbe à poux résistantes à des herbicides au Saguenay–Lac-Saint-Jean; lutte intégrée contre les ravageurs du canola dans l’Est du Canada; influence des stades de récolte sur la quantité et la qualité de la fibre du chanvre industriel à vocation textile; contrôle naturel du méligèthe des crucifères (insecte nuisible) dans le canola; etc.

 

-    Centre de recherche sur les interactions bassins versants - écosystèmes aquatiques RIVE de l'UQTR : cherche à mieux comprendre les interactions entre le milieu terrestre et les écosystèmes aquatiques afin d'en « prédire » leurs comportements face aux changements naturels ou anthropiques (par les humains). Ses intérêts portent notamment sur l'influence de l'hétérogénéité spatio-temporelle sur le fonctionnement des écosystèmes aquatiques; les échanges aquatiques-terrestres et leurs impacts sur les réseaux trophiques et les communautés aquatiques;les conséquences des impacts anthropiques sur les bassins versants et l'intégrité des écosystèmes aquatiques; ainsi que l'impact des changements climatiques sur les écosystèmes aquatiques.

 

-    Centre des sciences de la biodiversité du Québec : situé sur le campus de l'Université Mcgill, cet important centre de recherche regroupant plus de 120 chercheurs de différentes disciplines (biologie, géographie, architecture du paysage, aménagement, sciences forestières) provenant de presque toutes les universités québécoises qui découvrent, étudient et utilisent la biodiversité du Québec.

Dans le domaine de la biologie, les intérêts de recherche portent notamment sur : l'écologie animale, l'écologie comportementale, l'écologie végétale, l'écologie forestière, l'écologie des milieux aquatiques, l'écologie des milieux terrestres, l'écologie de la régénération, l'écologie historique, l'écologie hivernale, la dynamique des populations, les relations plantes/animaux, la botanique, l'entomologie, l'écophysiologie, la paléoécologie aquatique, génétique des populations, ethnobiologie, diversité animale, gestion et conservation des ressources naturelles, etc. 

Voici quelques exemples de thèmes ou de projets réalisés ou en cours :

en biologie animale :

écologie comportementale; écologie des mammifères; impacts des changements climatiques sur la faune aviaire; migration et reproduction chez les oiseaux de l'Arctique (oies, canards et limicoles); écologie alimentaire des carnivores terrestres arctiques; relations entre les porcs-épics et l'écosystème forestier nordique; étude des déterminants physiologiques et métaboliques de la performance chez les organismes ectothermes; origine et évolution de invertébrés marins; écologie et comportement des primates; taxinomie, nomenclature, phylogénie, et spéciation des pucerons; systématique des insectes; effets des changements environnementaux (naturels et artificiels) sur la dynamique de population et l'évolution des mammifères (mouflons d'Amérique, le chamois, le caribou et les kangourous gris); morphologie fonctionnelle chez les rongeurs et d'autres mammifères;  écologie des insectes pollinisateurs et agents de lutte biologique; facteurs qui déterminent la taille des groupes et les conséquences de la vie en groupe pour l’approvisionnement chez les oiseaux (moineaux, pigeons, étourneaux, goélands argentés); biologie de la conservation des espèces menacées; développement squelettique et nerveux de poissons; physiologie de la croissance, de la nutrition et de la reproduction chez des espèces de poissons marins et anadromes en mariculture d'eau froide (ex. loup tacheté, loup atlantique, ombre chevalier); etc.

en biologie végétale :

relations plantes-insectes et lutte biologique; répartition et conservation de la flore nordique du Québec-Labrador et de Terre-Neuve; implantation en milieu urbain de systèmes végétalisés de contrôle à la source des eaux pluviales; taxonomie des champignons mycorhiziens arbusculaires; identification de champignons et formation spécialisée en mycologie; multifonctionnalité des plantations forestières à haute diversité; effets de changements comme l’augmentation du CO2 atmosphérique ou l’urbanisation sur la croissance des arbres; écologie des perturbations (feu et coupe) en pessière noire et changements climatiques; l’écologie et la biodiversité du zooplancton; conservation des plantes rares; interactions entre les plantes et les propriétés abiotiques et biotiques des sols; plantes médicinales des Premières Nations du Canada; plantes antidiabétiques et à potentiel antioxydant; etc.

sur les écosystèmes :

les impacts de l'introduction d'espèces exotiques dans les écosystèmes; échanges dans la nature entre animaux et/ou végétaux; fonctionnement des écosystèmes nordiques; écologie des populations et communautés; impact des changements climatiques sur la dynamique trophique de la toundra arctique; effets des changements climatiques sur la biodiversité du Québec; écologie de la conservation en milieu tropical; influence des activités humaines sur les réponses écologiques de la faune; mécanismes qui touchent la répartition la biodiversité et les conséquences de celle-ci sur les écosystèmes; l'écologie des communautés et des écosystèmes aquatiques et aux concepts écologiques de biodiversité; écologie des milieux humides; conséquences des activités humaines sur les populations (animales et végétales) sauvages; etc.

autres :

effets des processus évolutifs sur les populations; réponses de la faune aux perturbations naturelles et anthropiques du paysage; etc.

 

-    Centre interinstitutionnel de recherche en écotoxicologie du Québec CIREQ : important centre interuniversitaire et interdisciplinaire de recherche ayant pour objectif d’identifier et de gérer les risques reliés à la présence de rejets des activités industrielles et domestiques pour la santé humaine et l'équilibre des écosystèmes du fleuve Saint-Laurent et de ses tributaires regroupe plus de 80 chercheurs de plusieurs disciplines (biologie, chimie, biochimie, microbiologie, géographie, informatique, génie civil, génie des eaux et sciences de l'eau) provenant des universités : UQAR, Concordia, Montréal, Mcgill, UQAM, INRS-Armand-Frappier et INRS-ÉTE; ainsi que des institutions gouvernementales : Environnement Canada (Centre St-Laurent et Biosphère Canada), Pêches et Océans Canada (Institut Maurice-Lamontagne), Ville de Montréal (Biodôme), MAPAQ (Centre d'expertise en analyse environnementale) et SEPAQ (Parc aquarium du Québec).

Ses principaux intérêts portent sur l'évaluation du potentiel toxicologique des effluents urbains; l'évaluation du potentiel toxicologique des cours d'eau; l'évaluation des effets de la contamination environnementale chez les mammifères marins; évaluation de la conamination environnementale chez les poissons, crustacés et mollusques; évaluation de la contamination environnementale chez les plantes aquatiques; effets de la consommation de poissons contaminés sur la santé des organismes fauniques et des humains; etc.

 

-    Centre de interuniversitaire recherche en biologie végétale : voir Centre SEVE

 

-    Centre interuniversitaire de recherche sur le saumon d’Atlantique CIRSA : regroupant 15 chercheurs en biologie, écologie, géographie et sciences de l'eau provenant des universités Laval, UQAR, UQTR, Mcgill, Sherbrooke, Montréal, Concordia et INRS; on y effectue des recherches sur les facteurs environnementaux et génétiques qui contrôlent la production du saumon d’eau douce (habitats et productivité, caractéristiques des stocks de saumon québécois, conservation de la biodiversité génétique des salmonidés, impacts des changements des écosystèmes aquatiques sur les salmonidés, développement d'outils et d'intervention en restauration des sites d'élevage, etc.).

Les intérêts en biologie portent notamment sur l'écologie des poissons, l'écologie moléculaire comportementale et évolutive, l'écologie et limnologie, l'écophysiologie et aquaculture, biologie intégrative et génomique du comportement, etc.

 

-    Centre national de la recherche faunique : situé à Ottawa, ce centre de recherche d'Environnement Canada est le point central de l'expertise gouvernementale relatives aux effets des substances toxiques sur les végétaux et les animaux sauvages, la recherche sur les oiseaux migrateurs et les relevés de population à l’échelle internationale, et la santé des espèces sauvages comme indicateur de la qualité de l’environnement. On y effectue des études sur les inventaires d'espèces animales et végétales vulnérables ou en péril; des recherches sur des espèces animales (oiseaux, poissons, algues, plantes, arbres, etc.) encore jamais identifiées; des opérations nationales de recherche et de surveillance des oiseaux de mer, des oiseaux de rivage et des oiseaux chanteurs; la surveillance de l'état de l'environnement sur les écosystèmes; etc.

 

-    Centre SEVE (centre de interuniversitaire recherche en biologie végétale : centre de recherche interuniversitaire situé à Sherbrooke en Estrie, regroupant des chercheurs des universités de Sherbrooke, Laval, Mcgill, Montréal, UQTR et UQAT, ainsi que d'Agriculture Canada qui s'intéresse aux différents aspects des sciences végétales tels que : induction de résistance aux maladies; biologie et génétique moléculaire des plantes; biologie cellulaire et moléculai re des plantes; phytopathologie, stratégies de contrôle des insectes nuisibles; biologie évolutive des insectes parasites; adaptation des plantes aux stress de l’environnement; biodiversité et conservation des pollinisateurs indigènes; pathologie des cultures légumières, etc.

 

-      Centre St-Laurent : important organisme de recherche d’Environnement Canada situé à Montréal, il est entièrement consacré aux écosystèmes fluviaux du St-Laurent. On y effectue des recherches sur la biodiversité fluviale (introduction d’espèces non indigènes et l’évaluation de l’impact sur la biodiversité); qualité de l’eau et la santé des écosystèmes aquatiques dans le fleuve Saint-Laurent; impact des rejets urbains sur la santé des poissons, etc.).

 

-    Chaire d'excellence en recherche du Canada en télédétection de la nouvelle frontière arctique du Canada : a pour objectif de renforcer, de diversifier, d'organiser, de géo-référencer et d'intégrer dans des modèles, la base croissante d'observations des écosystèmes des eaux arctiques canadiennes afin de favoriser la synthèse et la diffusion de ces connaissances aux instances décisionnelles à travers le Canada.

 

-    Chaire de recherche du Canada - biodiversité et interactions des plantes et de la vie microbienne : tente de mieux comprendre l'écologie, l'évolution et la biodiversité ainsi que ses impacts sur la santé et la croissance des arbres afin de prévoir les interactions entre la biodiversité végétale et les écosystèmes au Québec.

 

-         Chaire de recherche du Canada en biocontrôle : les principes écologiques et les mécanismes qui régissent les interactions avec les communautés d’anthropodes. Ces recherches permettront d’élaborer des méthodes de biocontrôle viables comme solution de rechange à l’usage des pesticides chimiques en agriculture, en horticulture et en foresterie.

 

-         Chaire de recherche du Canada en biodiversité : étudie les effets de la perte de biodiversité sur les écosystèmes de la Terre afin de mieux comprendre les causes de disparition d’espèces et ses effets sur le fonctionnement des écosystèmes.

 

-    Chaire de recherche du Canada en biodiversité nordique : mieux comprendre le fonctionnement des écosystèmes nordiques et à obtenir une meilleure connaissance des impacts des activités humaines sur la biodiversité nordique. Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours : écologie de la reproduction du faucon pelerin nichant dans le Bas Arctique canadien, phénologie et physiologie de la reproduction de l'eider à duvet nichant dans l'Arctique, disponibilité des ressources alimentaires pour les oiseaux insectivores arctiques, effets du climat sur la dynamique de la population animale de l'île Bylot dans le Nunavut, étude expérimentale des choix alimentaires chez le cerf de Virginie, relations entre le porc-épic et les écosystèmes forestiers nordiques, écologie comportementale des écureuils roux de la forêt boréale au Yukon, etc.

 

-         Chaire de recherche du Canada en conservation génétique des ressources aquatiques : effectue la gestion et conservation génétiques des espèces d’eau douce afin de permettre une meilleure gestion de cette ressource naturelle.

 

-   Chaire de recherche du Canada en écologie aquatique boréale : Étudier l’origine et le sort du carbone dans les lacs boréaux pour comprendre les interactions entre les lacs et les bassins versants afin de mieux comprendre l’effet qu’ont l’exploitation forestière, la fonte du pergélisol et d’autres changements des bassins versants sur les lacs et leurs réseaux alimentaires.

 

-         Chaire de recherche du Canada en écologie comportementale : on y étudie les caractéristiques du comportement et des cycles biologiques d'animaux sauvages.

 

-         Chaire de recherche du Canada en écologie des eaux douces : étudie la structure et du fonctionnement des communautés de poissons dans les lacs du bouclier laurentien afin de mieux connaître et mieux protéger es écosystèmes d’eau douce (Fleuve St-Laurent, lacs et rivières).

 

-         Chaire de recherche du Canada en écologie et en conservation aquatiques : on y étudie les conséquences écologiques et évolutionnaires des stratégies respiratoires des poissons et le rôle des eaux pauvres en oxygène dans le maintien, le déclin et le rétablissement de la diversité aquatique.

 

-    Chaire de recherche du Canada en écologie forestière : tente de définir des stratégies d’aménagement forestier qui amélioreront la durabilité de la forêt boréale.

 

-    Chaire de recherche du Canada en écologie intégrative : cherche à développer un modèle global de fonctionnement des écosystèmes afin de reconstruire les complexes réseaux d’interactions entre poissons marins à l’échelle du globe, dans le présent et dans le futur

 

-    Chaire de recherche du Canada en écologie respiratoire et en conservation aquatique : étudie les conséquences écologiques et évolutionnaires des stratégies respiratoires des poissons et le rôle des eaux pauvres en oxygène dans le maintien, le déclin et le rétablissement de la diversité aquatique.

 

-         Chaire de recherche du Canada en écosystèmes marins arctiques et changements climatiques : étudie les flux biogéochimiques de l’écosystème de la marge continentale du Mackenzie (Mer de Beaufort).

 

-         Chaire de recherche du Canada en études des écosystèmes aquatiques : cherche à mieux comprendre le rôle fonctionnel et structural de la biodiversité à la base du réseau alimentaire dans l'écosystème, des réponses de la communauté aquatique face aux changements environnementaux et des implications de ces réponses sur la préservation et la gestion future des ressources aquatiques.

 

-    Chaire de recherche du Canada en foresterie autochtone : élabore desstratégies d'aménagement forestier durable respectueuses du point de vue et de la culture autochtones.

 

-         Chaire de recherche du Canada en génomique fonctionnelle de la transduction de signaux chez les plantes : étude les mécanismes du développement des plantes, ce qui permettra de développer des applications biotechnologiques en agriculture particulièrement.

 

-    Chaire de recherche du Canada en lutte biologique :  identifie les principes écologiques et les mécanismes qui gouvernent les interactions entre les espèces des communautés d’arthropodes; applique ces principes au développement de stratégies et de programmes en lutte biologique et fait la promotion de la lutte biologique.

 

-    Chaire de recherche du Canada en modélisation spatiale et biodiversité : s’intéresse à l’écologie de communauté, notamment sur les liens entre la répartition des espèces dans l’espace, leurs environnement et leurs relations évolutives.

 

-    Chaire de recherche du Canada en toxicologie comparée des espèces aviaires : examine les sources, le devenir et l'impact des nouveaux contaminants organiques sur les oiseaux des régions tempérées et nordiques.

-         Chaire de recherche en conservation des écosystèmes nordiques de l'UQAR : les recherches de cette chaire visent à mieux comprendre fonctionnement des écosystèmes nordiques et les impacts des activités humaines sur ceux-ci.

 

-         Chaire de recherche du Canada sur l’écologie et la conservation des primates : étudie de quelle façon la synergie de la nutrition et du parasitisme influe sur la taille des populations de primates.

-    Chaire de recherche du Canada sur la réponse des écosystèmes marins arctiques au réchauffement climatique : Étudier les maillons clés des écosystèmes marins arctiques pour déterminer les répercussions que le réchauffement climatique afin d'aider les scientifiques à prévoir les répercussions que le réchauffement de l’Arctique pourrait avoir sur les services rendus par les écosystèmes marins arctiques.

 

-    Chaire de recherche du ministère des Pêches et des Océans Canada en acoustique marine appliquée à la recherche sur l’écosystème et les mammifères marins de l'UQAR : rattaché au Groupe interuniversitaire de recherche océonographique et l’Institut Maurice Lamontagne de recherche en sciences de la mer de Rimouski, cette chaire s’intéresse aux différentes sons émis par les baleines et autres espèces animales dans les fonds sous-marins en faisant appel à des méthodes d’acoustique passive, telles la détection, l’identification et la localisation des baleines d’après leurs vocalisations spécifiques, ainsi que d’acoustique active pour l’estimation et la cartographie des poissons et du krill en trois dimensions dans leur environnement.

 

-         Chaire de recherche industrielle CRSNG en aménagement intégré des ressources de l'île d'Anticosti : au cœur d’une des plus riches régions fauniques et forestières du Québec, cette chaire rattachée au Centre d'études nordiques regrouant des chercheurs en biologie, phytologie et sciences forestières de l'Université Laval et du Ministere des Forêts, Faune et Parcs Québec; effectue des recherches sur l’impact les densités animales élevées sur les écosystèmes forestiers (notamment les cerfs), sélection de l’habitat et quête alimentaire du Cerf de Virginie, recherche et développement de stratégies sylvicoles adaptées aux populations animales herbivores, etc.

 

-    Chaire de recherche industrielle CRSNG-Hydro-Québec sur la Biogéochimie du Carbone des Écosystèmes Aquatiques Boréaux de l'UQAM :  explore les lacs et les rivières dans le Nord du Québec, des écosystèmes peu connus à cause de leur éloignement et leur inaccessibilité afin de mieux décoder les transformations actuelles en fonction de différents scénarios de changements climatiques et environnementaux.

 

-    Chaire de recherche industrielle CRSNG-Université laval en sylviculture et faune : cherche à évaluer les impacts des plans d’aménagement du caribou répondent aux préoccupations du maintien des habitats et des populations sur des territoires allouant la récolte de bois.

 

-    Chaire de recherche industrielle CNRSNG – UQAT – UQÀM en aménagement forestier durable : élabore, développe et applique de stratégies et des pratiques d’aménagement forestier durable. Ses intérêts portent sur la dynamique forestière et l'historique des perturbations naturelles; les facteurs clés nécessaires au maintien de la biodiversité; etc.

 

-    Chaire de recherche industrielle Hydro-Québec sur le contrôle de la croissance des arbres de l'UQAM : s’intéresse aux communautés d’arbres afin d’améliorer leur cohabitation avec les constructions humaines et les équipements de distribution électrique.

 

-    Chaire de recherche sur la Forêt habitée de l’UQAR : effectue des recherches telles que : utilisation de diverses techniques de paléoécologie pour comprendre le développement à long terme des écosystèmes forestiers, des populations animales le long des gradients d'habitats dans le milieu forestier, études fondamentales liées à la compréhension de la régénération après perturbâtion et les relations climat-reproduction chez les arbres, etc.

 

-    Chaire de recherche sur les espèces aquatiques exploitées de l'UQAC : s'intéresse au suivi des populations exploitées (développement un modèle d’évaluation du rendement halieutique de l’omble de fontaine, détermination d'une stratégie de reproduction de l’alose savoureuse du Saint-Laurent et du nombre de populations existantes, détermination de l’utilisation de l’habitat et de la diète des post-saumoneaux de la ouananiche du lac Saint-Jean et de l’importance du cannibalisme comme facteur de régulation de l’abondance de l’éperlan arc-en-ciel du Lac-Saint-Jean); la préservation, restauration et aménagement des habitats fauniques (détermination de la capacité de support du Lac-Saint-Jean pour l’éperlan arc-en-ciel, détermination de l’importance relative des populations d’éperlans arc-en-ciel dans l’alimentation de la ouananiche, étudie de l’adaptation du saumon atlantique aux changements environnementaux, etc.); ainsi que le suivi de l'exploitation de la ressource (évaluation des effets bénéfiques des actions de restauration et d’aménagement sur la qualité des activités de prélèvement).

 

-    Chaire UNESCO en analyse intégrée des systèmes marins de l'UQAR : analyse l’impact des pêcheries sur la structure de l’écosystème, aussi bien au niveau des effets directs sur les espèces ciblées que des effets indirects sur la biodiversité et sur l’habitat.

 

-    Chaire UNESCO en changements environnementaux à l'échelle du globe de l'UQAM : s’intéresse aux rôles passé, actuel et futur des écosystèmes aquatiques continentaux dans les bilans régionaux et global du carbone et des conséquences sur le développement et l’utilisation durable des ressources.

 

-    Chapman Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill étudie les conséquences évolutives et écologiques des stratégies respiratoires chez les poissons en intégrant l'écologie morpho et physiologique pour faire progresser notre compréhension de la production, la maintenance, la perte et le rétablissement de la biodiversité aquatique.

 

-    Équipe de recherche de l'Insectarium de Montréal (voir aussi la page suivante) : rattaché au Centre de la biodiversité de l'Université de Montréal et ayant un chercheur permanent qui est le conservateur de l'Insectarium, ainsi que 3 chercheurs associés; les recherches portent sur les techniques d'élevage des insectes et sur la culture des plantes-hôtes; ainsi que le programe Monarch Watch comprenant : l'étiquetage et l'observation des monarques l'étude particulière du comportement des monarques québécois est importante puisque le Québec se trouve à l'extrême nord de leur aire de répartition.

 

-    Équipe de recherche du Biodôme de Montréal : regroupe 5 chercheurs permanents qui s'intéressent aux domaines suivants : l'écologie des habitats côtiers estuariens et marins; l'éco-physiologie d’espèces de poissons phares des milieux nordiques; la diversification et sélection d'espèces; la conservation, restauration et dynamique des populations; le le contrôle des populations de castors; la conservation de la tortue géographiqueet de la rainette faux- grillon de l’ouest; la restauration d'habitats dégradés; l'agroforesterie et sylviculture tropicales; les relations sols-plantes; la gestion d'espèces floristiques menacées dans les emprises routières; la préparation, développement et mise en oeuvre de plans de conservation; etc.

 

-    Équipe de recherche du Jardin botanique de Montréal : rattaché au Centre de biodiversité de l'Université de Montréal, il regroupe 7 chercheurs permanents qui s'intéressent aux domaines suivants : l'écologie et sylviculture des espèces d’arbres feuillus; l'écologie des milieux humides; la conservation des plantes rares; l'écologie urbaine; la dynamique des écosystèmes; l'évolution du système de reproduction des plantes; la biodiversité et écologie microbienne du sol; la biologie des arbres; la productivité et rendement de plantations d’arbres à croissance rapide pour des fins de production de biomasse; les relations sols-plantes; la phytorémédiation; l'ethnobotanique; l'ethnoécologie; les plantes médicinales; etc.

 

-    Fraser Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Concordia tente de faire la lumière sur la façon dont l'écologie et l'évolution génétique médie la diversification de la population, la productivité, la persistance et les réponses aux changements environnementaux.

 

-    Fyles Lab (et Chaire de recherche du Canada en écologie forestière) (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill se concentre sur les interrelations entre les plantes, le sol, la perturbation et le climat, et sur le fonctionnement des systèmes écologiques et socio-écologiques complexes qui varient sur plusieurs échelles.

 

-    Gault Nature Reserve : réserve naturelle privée de 1 000 hectares situé au Mont-St-Hilaire en Montérégie accessible au public et rattachée à l’Université Mcgill, ce véritable laboratoire naturel en milieu protégé s’effectue de nombreuses recherches sur le terrain pour différentes disciplines comme l’aménagement, la biologie, la géologie, la géographie, l’astrophysique, l’archéologie, etc.

Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours dans le domaine de la biologie : effets du morcellement forestier sur les insectes herbivores qui vivent dans la canopée forestière; biodiversité et influence du paysage sur les communautés de bourdon; évolution de la communauté végétale de la Réserve naturelle Gault; contrainte environnementale des espèces d’arbres de la Réserve naturelle Gault; diversité des oiseaux et des insectes selon l'échelle d'un degré de perturbation urbaine; entomologie forestière de la Réserve naturelle Gault; effets combinés des changements climatiques et de la détérioration de l’habitat sur l’évolution génétique de la souris à pattes blanches du sud du Québec; émission d'oxyde nitreux et dynamique des tourbières et marais; effets des changements climatiques ou l’urbanisation sur la croissance des arbres; causes et les conséquences de la perte de la biodiversité et la stabilité et le fonctionnement des écosystèmes; etc.

 

-    Genorem : regroupant 16 chercheurs de différentes disciplines (microbiologie-immunologie, biochimie, biologie, géographie, phytologie, science politique et droit) des universités de Montréal, Mcgill et du Conseil national de recherches du Canada; ce centre de recherche tente de trouver des solutions afin d'améliorer les techniques vertes de décontamination des sols pollués en utilisant la génomique pour mieux comprendre les interactions plantes-microorganismes lorsque ceux-ci sont en présence de contaminants afin de déterminer les meilleures approches pour favoriser leur extraction ou leur dégradation.

Dans le domaine de la biologie, les intérêts portent sur l'évolution et la biodiversité des champignons; l'évolution des plantes afin de comprendre les mécanismes végétaux impliqués dans la décontamination des sols; écophysiologie des plantes lorsqu’elles sont soumises à divers stress environnementaux; physiologie végétale (principalement en biologie moléculaire des arbres); biodiversité microbienne associée aux systèmes végétaux; etc.

 

-    Gonzalez Lab (et Chaire de recherche du Canada sur la biodiversité) (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill étudie les causes du changement de la biodiversité et de ses conséquences pour la stabilité et le fonctionnement des écosystèmes.

 

-    Gregory-Eaves Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill  un contexte à long terme et à grande échelle afin de comprendre comment les activités humaines modifient les écosystèmes aquatiques.

 

-         Groupe de recherche BioNord : voir Groupe de recherche sur les environnements nordiques BORAS.

 

-    Groupe de recherche du Musée canadien de la nature : situé à Ottawa sur le site du plus grand musée de sciences naturelles au pays, ce musée public national du Gouvernement du Canada regroupe une quinzaine de chercheurs permanents en biologie, géographie, sciences de la terre et archéologie qui réalisent des recherches sur les animaux, les plantes, les algues, les fossiles et les minéraux.

Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours en biologie : volet animaux (caractéristiques morphogénétiques des grands carnivores du Canada et implications pour la conservation; écologie et taxonomie des espèces marines de l'Atlantique nord-ouest; études de taxonomie, de distribution et de conservation des moules d'eau douces et moules de mer du Canada; systématique, faunistique et conservation des poissons du Canada; taxonomie des charançons des Amériques; etc.); volet plantes et algues (algues unicellulaires et autres protistes marins de l'Arctique; flore de l'Arctique canadien : Biodiversité et changements; taxonomie et phylogénétique des herbes (Poaceae) et des apparentées; composition, la distribution et la conservation de la biodiversité des bryophytes au Canada; etc.).

 

-    Groupe de recherche en biologie du développement et de l'adaptation des plantes de l'UQAM : regroupant des chercheurs de l'UQAM principalement, mais aussi de Mcgill et Concordia; ses travaux visent à comprendre les mécanismes impliqués dans le développement de la tolérance aux stress de plantes ayant une importance économique. Il s'intéresse notamment aux études de génomique fonctionnelle, les facteurs de régulation impliqués dans l’expression génique, la régulation épigénétique, la régulation hormonale, l’interaction entre la réponse au froid et la floraison et le stress oxydatif .

 

-         Groupe de recherche en biologie végétale de l’UQTR : s'intéresse à la compréhension des systèmes végétaux ou des molécules issues des végétaux. Ces investigations sont conduites à toutes les échelles : les gènes, les molécules, les plantes, les interactions plantes–micro-organismes, la photosynthèse, l'écologie et les écosystèmes. Ses principaux domaines de recherches sont : conception et analyse de macromolécules d’intérêt pour le monde végétal, dynamique et écologie des populations et communautés végétales en milieu arctique, études de composés d'origine végétale possédant un intérêt en phytoprotection ou phytothérapie, analyse spectroscopique des pigments végétaux et synthétiques, etc.

-         Groupe de recherche en écologie comportementale et animale de l'UQAM : effectue diverses recherches sur le comportement d’animaux sauvages, la gestion des espèces menacées et la gestion d’organismes nuisibles tels que : études sur les impacts des chenilles folivores sur le milieu agricole et forestier et développement de méthodes de lutte biologique, contrôle des populations d’oies blanches, études des comportements de diverses espèces menacées de disparition, etc.

 

-    Groupe de recherche en écologie des tourbières de l'Université Laval (et Chaire de recherche industrielle CRSNG en aménagement des tourbières) : réalise des recherches en gestion intégrée et durable des tourbières au Canada. Les intérêts portent notamment sur la conservation des tourbieres, la regénération naturelle des tourbières exploitées, l'écologie des sphaignes, les plantes envahissantes dans les tourbières, insectes nuisibles dans les tourbières, etc.

 

-    Groupe de recherche en recyclage biologique et aquiculture de l'Université Laval (voir aussi la page suivante) : ) : s'intéresse au domaine de l'aquiculture (alimentation et nutrition des poissons, alimentation et nutrition des crustacés).

 

-         Groupe de recherche et d’éducation sur les mammifères marins : organisme privé à but non lucratif situé à Tadoussac en Côte-Nord et relié au Centre d’interprétation des mammifères marins; ce groupe se consacre à la conservation des mammifères marins dans leur habitat naturel; à l’étude du comportement de ces mammifère; à  l’étude du comportement et du fonctionnement des écosystèmes marins et au développement d’outils éducatifs pour l’interprétation des mammifères marins.

 

-    Groupe de recherche interuniversitaire en écologie forestière : voir le Centre d'études sur la forêt

 

-    Groupe de recherche sur les ressources renouvelables en milieu boréal : voir le Centre de recherche sur la boréalie de l'UQAC

 

-         Groupe de recherche interuniversitaire en limnologie et en environnement aquatique (voir aussi la page de l'UQAM) : regroupant une quarantaine de chercheurs en biologie provenant des universités suivantes : UQAM, UQTR, UQAC, Mcgill, Montréal, Laval, Concordia, Sherbrooke et INRS; il effectue des recherches sur les écosystèmes aquatiques sains et pollués, en écologie des espèces animales marines, en écotoxicologie, etc. Il est le seul centre de recherche en écologie des eaux douces de l’Est du Canada.

Les intérêts portent sur la relations entre les facteurs climatiques et l'abondance des espèces végétales dans les milieux humides en rivières naturelles; communautés naturelles de zooplancton; la relation entre la diversité génétique et la diversité des communautés de zooplancton des lacs dans divers environnement du paysage; la croissance des poissons et des invertébrés répond aux changements de conditions dans leurs milieux; l'étude du plancton et des espèces envahissantes (ou exotiques); étude de la chaîne alimentaire aquatique; étude du cycle du carbone dans les lacs et de l'eutrophisation des lacs; l'écologie plancton; la génétique des populations aquatiques et leur évolution dans nos paysages québécois; la qualité de l'habitat des poissons;la dynamique des cours d'eau et sur l'impact des changements environnementaux sur les rivières du Québec; l'évolution des lacs dans le temps en utilisant plusieurs indicateurs biologiques; ml'impact de l'introduction d'espèces de poisson sur les espèces déjà présentes dans le milieu, etc.

 

-    Groupe de recherche sur les environnements nordiques BOREAS de l'UQAR : regroupant une vingtaine de chercheurs en biologie, en géographie et en chimie de l'UQAR; il s'intéresse à la diversité et à la conservation des géoécosystèmes nordiques soumis à une longue saison froide.

Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours : interactions entre les perturbations (feux, coupes) et les changements climatiques et à leurs impacts à long terme sur la forêt boréale; écologie d'une population de porcs-épics d'Amérique; dynamique trophique de la toundra arctique canadienne; quantification de la réponse aux changements climatiques de mammifères vivant dans la forêt boréale; migration et la reproduction chez les oiseaux de l'Arctique (oies, canards et limicoles); évolution des systèmes physiologiques chez les organismes marins et aquatiques;  la conservation d'espèces de poissons vulnérables et menacées (chevalier cuivré, fouille-roche gris, tortue des bois); écologie, la physiologie et le comportement des oiseaux en général mais particulièrement des oiseaux côtiers; le rôle de la biodiversité sur le fonctionnement des écosystèmes aquatiques; origine et dynamique du chêne rouge (Quercus rubra) à sa limite nordique de distribution, dans le Parc Forillon en Gaspésie; les impacts sur les perturbations naturelles des habitats sur l’écologie du caribou forestier, du caribou de la Gaspésie, du loup gris, de l'orignal, du coyote et de l’ours noir; défis énergétiques que les oiseaux doivent relever pour faire face aux contraintes imposées dans les environnements froids; etc.

 

-    Groupe interdisciplinaire de recherche en agroforesterie de l'Université Laval : regroupant des chercheurs de plusieurs disciplines (agronomie, foresterie, biologie, géographie, économie rurale, etc), il s'intéresse aux questions écologiques et techniques reliées à la pratique de l'agroforesterie comme : l'agroforesterie des milieux tropicaux et subtropicaux, l'agroforesterie des milieux tempérés, etc.

 

-    Groupe interinstitututionnel de recherches océanographiques Québec Océan : regroupant des chercheurs de l'UQAR, de l'UQAC, de Laval, de Mcgill, et de l'INRS; s'intéresse aux grandes problématiques qui touchent les océans concernent le maintien de l’intégrité environnementale planétaire, de la biodiversité et des services qu’ils procurent à l’humanité.

Les intérêts en lien avec la biologie sont : le fonctionnement des écosystèmes marins, écotoxicologie marine, climat des écosystèmes marins arctiques, écologie des algues nuisibles, reproduction des moules, la géologie des océans, la décontamination des polluants, etc.

 

-    Hekimi Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill utilise des souris mutantes afin de mieux comprendre le processus du vieillissement tant que chez les animaux que chez les humains.

 

-    Hendricks Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill étudie la neurobiologie et le comportement d'un petit ascaris (vers détenant un systeme nerveux complètement cartographié) afin de mieux comprendre les facteurs génétiques et environnementaux qui provoquent des changements dans le fonctionnement du cerveau et le comportement.

 

-    Herbier Louis-Marie de l'Université Laval : assure la conservation des collections de plantes acquises au fil des années, voire des siècles, fidèles reflets de notre patrimoine végétal. Regroupant 1 chercheur (professeur de biologie et conservation de l'Herbier), ainsi que 2 chercheurs associés; on réalise ou a réalisé des projets tels que :  la description taxonomique d'environ 800 taxons présents dans la région du Québec-Labrador située au nord du 54° 00’ N; établissement d'une carte de répartition des espèces arctiques-alpines au Québec et d'en faire un suivi écologique de leur dynamique à travers le temps; changements phénologiques des plantes printanières indigènes causés par le réchauffement climatique; etc.

 

-    Humphries Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill s'intéresse sur la façon dont l' environnement, la physiologie et le comportement influence l'abondance, la distribution et la coexistence des populations de mammifères.

 

-         Institut de l’environnement de l’Université d’Ottawa :important organisme de recherche dans le domaine de l’environnement au Canada. Il réalise de nombreuses recherches couvrant tous les secteurs de l’environnement (effets des contaminants chimiques, biologiques,  physiques, radiologiques et autres sur l’environnement géographie, biologique, géophysique et atmosphérique). Il s’intéresse également aux effets biologiques du rayonnement ionisant, (il abrite le Centre international de recherche sur les faibles doses de radiation).

 

-         Institut de recherche en biologie végétale de l'Université de Montréal (incluant le Centre de la biodiversité de l'Université de Montréal, voir aussi la page d'Espace pour la vie) : situé sur le site du Jardin Botanique à Montréal, comprenant les collections suivantes : Herbier Marie-Victorin et Collection entomologique Ouellet-Robert de l’Université de Montréal), la Collection entomologique de l’Insectarium de Montréal et le Fungarium du Cercle des mycologues de Montréal; l'un des plus centres de recherche en biologie au Canada regroupe une vingtaine de chercheurs en biologie; il effectue des recherches dans les domaines de la biologie végétale, l'écologie végétale et la biologie moléculaire et génétique des plantes, de la mycologie (étude des champignons) et de l'entomologie (étude des insectes).

Ses principaux intérêts portent sur la morphologie végétale, le fonctionnement et la structures des cellules des plantes, physiologie végétale, la biologie moléculaire de la reproduction chez les végétaux, la reproduction et génétique végétale, la fécondation des plantes à fleurs, la génomique et évolution des champigons, le métabolisme primaire des plantes et sa régulation, l'évolution des végétaux, l'écologie des végétaux, l'écologie des milieux humides, l'écologie fonctionnelle végétale, l'écologie et sylviculture d'espèces d'arbres feuillus, l'écologie végétale urbaine, l'écophysiologie des plantes ligneuses, l'aménagement des écosystèmes végétaux, la capacité naturelle d'épuration des eaux par les plantes aquatiques, les relations plantes-insectes, les relations plantes-animaux herbivores, interactions plantes-sols, méthodes de lutte biologique contre les insectes nuisibles, la biologie des arbres; la productivité et rendement de plantations d’arbres à croissance rapide pour des fins de production de biomasse, la phytorémédiation; l'ethnobotanique,  l'ethnoécologie; la conservation des plantes rares,les plantes médicinales; etc.

 

-    Institut de recherche sur les forêts de l'UQAT : important centre de recherche sur les écosystèmes forestiers, principalement sur la forêt boréale ayant des laboratoires situés au campus de Rouyn et dans la Forêt d'enseignement et de recherche du lac-Duparquet. Les intérêts portent sur la ligniculture et la sylviculture intensive, la génétique forestière, sols et nutrition forestière, foresterie autochtone, aménagement forestier, dendroécologie, opérations forestières, écologie des écosystèmes forestiers, physiologie végétale, restauration écologique, télédétection appliqué au domaine forestier, etc.

 

-    Institut des sciences de la forêt tempérée de l'UQO : étudie les processus naturels qui gouvernent le fonctionnement de l’écosystème forestier de la forêt tempérée afin d’assurer le maintien des couverts forestiers en termes de quantité, de qualité et de diversité. Ses intérêts portent sur le fonctionnement des organismes et écosystèmes des milieux naturels et aménagés de la forêt tempérée; la caractérisation et monitoring des ressources naturelles; ainsi que le développement d'approches novatrices pour la mise en valeur des ressources naturelles.

 

-        Institut des sciences de la mer de Rimouski : l’un des plus grands centres de recherche en océanographie au monde et situé à Rimouski dans le Bas-St-Laurent, l’ISMER regroupe une vingtaine de chercheurs réguliers provenant de plusieurs disciplines (océanographie, biologie, géographie, chimie, géologie, archéologie, aquaculture) provenant de l'UQAR et plus de 70 chercheurs associés provenant de nombreux établissements universitaires, collégiaux et gouvernements (Université Laval, UQAC, UQAM, INRS, Université de Moncton, University of P-E-I, Université de Montpellier en France, University of Liverpool en UK, Environnement Canada, Pêches et Océans Canada, Institut Maurice-Lamontagne, ainsi que de Mérinov de l'École des pêcheries et de l'aquaculture) ayant une expertise dans ce grand et large secteur de recherches.

Les principaux domaines de recherches reliés à la biologie sont : développement de nouvelles de décontamination des polluants du St-Laurent, Les effets du rayonnement ultraviolet sur les premiers maillons de la chaîne alimentaire, L'étude de l'impact de contaminants sur les écosystèmes côtiers, L'importance des changements climatiques aux échelles locale et globale, écotoxicologie en milieux côtiers, la détection et localisation des baleines d'après leurs vocalisations spécifiques, développement de pratiques d'élevage  aquicoles, etc.

 

-    Institut Hydro-Québec en environnement, développement et société de l'Université Laval : important centre de recherche regroupant 94 chercheurs de plus d'une trentaine de disciplines reliées au domaine de l'environnement et du développement durable (dont chimie, biologie, agronomie, géographie, sciences de la terre, sciences forestières, génie agroenvironnement, génie civil, génie chimique, génie minier, etc.) dans une perspective interdisciplinaire.

Parmi les intérêts reliés à la biologie; on retrouve : l'écologie des lacs et rivières, les écosystèmes arctiques et antarctiques, les impacts des changements environnementaux sur les écosystèmes d'eau douce, l'écologie tropicale, l'écologie et restauration des habitats nordiques, la biologie de la conservation, l'écologie des tourbières boréales, la restauration terrestre en milieu nordique, la diversité végétale dans le paysage agricole, la réponse de la biodiversité des forêts et tourbières face aux perturbations, la dynamique des peuplements forestiers, la planification de la conservation de la forêt boréale, l'aménagement écosystémique, l'aménagement intégré des forêts, etc.

 

-    Institut Maurice-Lamontagne (et le Centre d'expertise sur les mammifères marins) : situé à Mont-Joli dans le Bas-St-Laurent, ce centre de recherche de Pêches et Océans Canada et l'un des plus importants centres de recherche en sciences de la mer au monde. Il s'intéresse à la conservation des ressources halieutiques marines, pour la protection de l'environnement marin et la sécurité des voies navigables, principalement dans le fleuve, l'estuaire et le golfe du Saint-Laurent. Ses principaux intérêts en lien avec la biologie sont : écosystèmes aquatiques sains et productifs (impacts des activités de développement sur les écosystèmes, impacts des changements climatiques sur les écosystèmes, gestion des écosystèmes aquatiques du St-Laurent, santé et monitorage des espèces de poissons et crustacés du St-Laurent, santé et monitorage des mammifères marins du St-Laurent, etc.); Pêches et aquaculture durables (évaluation des populations, espèces en péril, espèces aquatiques envahissantes, interactions aquaculture-environnement, etc.).

 

-    Laboratoire d'analyse de l'activité biologique des produits naturels LASEVE de l'UQAC (anciennement "Laboratoire d'analyse et de séparation des essence végétales LASEVE"): cherche à découvrir les potentiels pharmacologiques de molécules issues des ressources végétales de la forêt boréale notamment par l'extraction des produits naturels et l'identification des composés responsables de l'activité biologique et la mise au point de méthodes pour caractériser le potentiel biologique de produits naturels.

 

-    Laboratoire d'écologie communautaire et de biogéographie de l'Université Concordia (en anglais) : étudie les forces permettant le maintien, et régissant la distribution, de la diversité biologique afin de comprendre comment le climat, les limites de dispersion et les interactions biotiques affectent la distribution des espèces et de la structure des communautés.

 

-    Laboratoire d'écologie comportementale et chimique aquatique de l'Université Concordia (en anglais) : s'intéresse au comportement des prédateurs dans leur recherche de nourriture dans les écosystèmes d'eau douce.

 

-    Laboratoire d'études des écosystèmes aquatiques de l'Université Laval (et Chaire de recherche du Canada en études des écosystèmes aquatiques) : rattaché au Centre d'études nordiques, il étudie les lacs, les rivières et les océans côtiers, avec une emphase sur les écosystèmes situés aux hautes latitudes.

 

-    Laboratoire de démographie évolutive et conservation de l'Université de Sherbrooke (et Chaire de recherche du Canada en démographie évolutive et conservation) : s'intéresse aux effets des changements évolutifs rapides sur la dynamique des populations sauvages de vertébrés.

 

-    Laboratoire de Pascale B. Beauregard de l'Université de Sherbrooke : cherche à comprendre les interactions entre les racines des plantes et les bactéries bénéfiques à la santé de celles-ci.

 

-    Laboratoire de recherche en sciences aquatiques de l'Université Laval : regroupant 13 chercheurs de l'Université Laval principalement, mais également de l'INRS; s'intéresse aux populations animales et végétales aquatiques. Ses principaux intérêts portent sur l'amélioration génétique des stocks de poissons, au comportement et physiologie chez les poissons, aux effets d'une alimentation carencée en phosphore sur le système osseux des poissons, dynamique des métaux traces dans les tissus des poissons, simulation d'une migration chez les poissons anadromes, croissance de micro-algues, effets du rayonnement ultraviolet sur le phytoplancton, etc.

 

-    Laboratoire des sciences aquatiques de l'UQAC : s'intéresse aux différents aspects des écosystemes aquatiques en milieux boréaux, arctiques et subarctiques, soit : l'écologie des poissons, la biologie marine et lacustre, ainsi que la paléolimnologie.

 

-         Laboratoire national des essais environnementaux : laboratoire de recherche d’Environnement Canada situé à Gatineau. De nombreuses recherches et des expertises dans le domaine de l’environnement y sont effectuées sur les écosystèmes prioritaires, la conservation de la diversité biologique, la réduction des menaces que représentent les substances toxiques, la réduction des impacts humains sur les écosystèmes, les urgences environnementales et la bonne gestion environnementale. 

 

-         Laboratoire régional des sciences aquatiques de l’Université Laval : effectue des recherches afin de développement de nouvelles technologies et expertises en sciences marines, principalement dans les secteurs des pêches et de l’agriculture. Les projets actuellement en cours portent sur : amélioration génétique des stocks de poissons, étude des mécanismes d'utilisation des oligo-éléments dans la bouche microbienne, effet du rayonnement ultraviolet sur la phytoplanton, comportement et physiologie chez les poissons, croissance des micros-algues, élevage de jeunes stades (larves, juvéniles) de poissons et d'invertébrés, etc.

 

-    Laboratoire Velland de l'Université de Sherbrooke : s'intéresse à l’écologie, l’évolution et la conservation – particulièrement des plantes, notamment les patrons de biodiversité à multiples niveaux (diversité des espèces, diversité génétique) et les processus responsables de ces patrons.

 

-    Lefebvre Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill étudie le comportement animal chez les oiseaux : apprentissage et transmission culturelle.

 

-    Lyman Entomological Museum & Research Laboratory : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill situé au campus Macdonald à Ste-Anne-de-Bellevue sur l'Île-de-Montréal est le plus grand laboratoire de recherche universitaire en entomologie au Canada et détient la seconde plus grande collection d'insectes au pays après l'Insectarium René-Martineau d'Agriculture Canada. Ses intérêts portent sur la systématique et zoogéographie des diptères; la biodiversité des insectes et la zoogéographie dans les prairies.

 

-         Mcgill Arctic Research Station MARS : situé au Nunavut, cette station de recherche est un véritable laboratoire naturel en milieu arctique située à 8 km à l'intérieur de Expedition Fiord, Nunavut, Axel Heiberg Central Island dans l'Extrême-Arctique canadien et elle est l'une des plus grandes installations de recherche dans cette région. Elle concentre ses projets sur tout ce qui concerne la région arctique tels que : la glaciologie, les changements de climats, l’hydrologie polaire, la géologie, la géomorphologie, les écosystèmes, la limnologie, la faune, la flore, l’archéologie et la microbiologie nordique.

 

-    McGill Bird Observatory (en anglais) : située sur un territoire de 22 hectares et adjacent au Morgan Arboterum (réserve forestière de 245 hectares) au campus Macdonald à Ste-Anne-de-Bellevue sur l'Île-de-Montréal qui compte plus de 250 spécimens de 34 espèces d'oiseaux, mais également de nombreuses espèces de plantes, d'insectes, d'arbres et d'arbustes. Des recherches sont effectuées sur la nutrition, la reproduction, le comportement, la migration de la faune aviaire, les interactions oiseaux/végétaux, la gestion d'espèces menacées, les effets des changements climatiques et de l'urbanisation sur la croissance et le développement des oiseaux, etc.

 

-    Mcgill Ecotoxicology Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill étudie les effets des produits chimiques environnementaux sur la santé des oiseaux en intégrant les aspects de la toxicologie moléculaire et l' écologie aviaire.

 

-    McGill Herbarium (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill situé au campus Macdonald à Ste-Anne-de-Bellevue sur l'Île-de-Montréal est le plus ancien musée et laboratoire de recherche de spécimens de plantes séchées au Canada. Les recherches portent sur la biodiversité végétale des plantes herbacées, incluant les plantes médicinales.

 

-    McGill Subarctic Research Station MSARS (en anglais) : située à Schefferville en Côte-Nord près de la frontiere du Labrador, est un véritable laboratoire naturel nordique comprenant une forêt, de nombreux lacs, les étangs, les cours d' eau et les zones humides. Des recherches sont effectuées sur la nature et la distribution de la glace de sol et de son rôle dans le développement du paysage; sur les interactions des eaux souterraines du pergélisol; les environnements polaires comme analogues planétaires; ainsi que l'écologie microbienne du pergélisol;. Mais, des recherches peuvent aussi être effectuées dans les domaines de la géologie, de la géomorphologie, les écosystèmes, la limnologie, la faune, la flore et l’archéologie subarctiques.

 

-    McGill University Phytotron (en anglais) : ce centre de recherche en biologie végétale expérimentale (comprenant 37 chambres de croissance et de culture des plantes et une serre de 1 750 pi2) situé au campus principal de Mcgill. Il regroupe des chercheurs en biologie, en phytologie et en microbiologie. On s'intéresse aux domaines de la morphologie végétale, le fonctionnement et la structures des cellules des plantes, physiologie végétale, la biologie moléculaire de la reproduction chez les végétaux, la reproduction et génétique végétale, l'évolution des végétaux, méthodes de lutte biologique contre les insectes nuisibles, l'étude expérimentale des effets des changements climatiques sur le développement des plantes, etc.

 

-    Mérinov : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de la Gaspésie et unité de recherche de l'UQAR dont le mandat est de fournir de l'expertise, de la recherche appliquée et du soutien technique auprès de PME dans le développement de nouveaux produits issus de la pêche commerciale ou de l'aquaculture, ainsi qu'au soutien technique en développement durable des entreprises de l'industrie.

 

-    Morgan Aborterum (en anglais) : réserve forestière aménagée de 245 hectacles  de l'Université Mcgill situé au campus Macdonald à Ste-Anne-de-Bellevue sur l'Île-de-Montréal où l'on retrouve la plupart des espèces d'arbres indigènes du Québec, ainsi que 18 collections d'arbres et arbustes de partout dans le monde. Des recherches y sont effectuées dans le domaine de la biologie des arbres, l'écologie forestière, la génétique forestière, les pratiques sylvicoles, les effets des changements climatiques et environnementaux et de l'urbanisation sur la croissance et le développement des arbres et arbustes, diversité des oiseaux et des insectes selon l'échelle d'un degré de perturbation urbaine; entomologie forestière du Morgan Arboretum, les méthodes de lutte biologique contre les insectes nuisibles, les méthodes de lutte biologique contre les champignons nuisibles, comportements et effets sur les petits mammifères, reptiles et amphibiens aux changements climatiques, comportements et effets sur les plantes sauvages de la réserve sur les changements climatiques, etc.

 

-    Nilson Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill cherche à comprendre comment une seule cellule, l'œuf fécondé, peut donner lieu à toute la complexité de la forme et la fonction observée dans un organisme multicellulaire par l'étude de la mouche.

 

-         Observatoire de l’environnement et du développement durable : effectue de nombreuses recherches reliées à l’environnement telles que : analyse des changements climatiques à l’échelle du continent, développement d’indicateurs du changement de l’environnement, la toxicité des mieux aquatiques, l’amélioration des eaux et des sols contaminés, utilisation optimale des biotechnologies à l’environnement, études sur les risques et les impacts de catastrophes environnementales, gestion des déchets industriels, développement des énergies renouvelables, etc.

 

-    Potvin Lab (et Chaire de recherche sur les changements climatiuqes des forêts tropicales) (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill s'intéresse à l'écologie des forêts tropicales et de leur conservation et étudie les effets des changements climatiques sur leur croissance et leur développement.

 

-    Redpath Museum - McGill University : ce musée de sciences naturelles situé sur le campus principal de Mcgill héberge également une équipe de recherche regroupant 6 chercheurs en biologie et anthropologie intéressés aux domaine de la paléobiologie, de l'ichtyologie, de la paléontologie des invertébrés, de la paléontologie des vertébrés (zooarchéologie), de l'ethnobiologie et de la minéralogie.

 

-    Reader Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill étudie les causes et les conséquences de l'innovation et l'apprentissage social chez les animaux et les humains.

 

-    Regroupement québécois de recherche sur la fonction, la structure et l'ingénierie des protéines PROTEO : il regroupe près de 40 chercheurs de différentes disciplines (biochimie, biologie cellulaire et moléculaire, bio-informatique, biophysique, chimie, génie chimique, microbiologie - sciences, microbiologie-immunologie, sciences et technologie des aliments, nutrition humaine, physiologie, pharmacologie, sciences pharmaceutiques, etc.) provenant de 10 universités (Laval, Sherbrooke, Montréal, Mcgill, UQTR, Concordia, UQAM, INRS-Armand-Frappier, Polytechnique et Ottawa), ainsi que des chercheurs associés provenant d'Héma-Québec et de centres collégiaux de transfert de technologie (Transbiotech, Oléatek et CNETE) ayant pour objectif la compréhension de la relation entre la structure des protéines et leurs fonctions biologiques (protéines de reconnaissance des acides nucléiques, métalloprotéines, protéines et peptides membranaires, protéines d'intérêt appliqué, etc).

Ses principaux intérêts de recherche dans le domaine des sciences pures portent sur les protéines de reconnaissance des acides nucléiques, les métalloprotéines, les protéines et peptides membranaires, les protéines de pertinence antimicrobienne, ainsi que les protéines d'intérêt appliqué.

 

-    Réseau québécois en reproduction : situé à St-Hyacinthe en Montérégie, il est plus important centre de recherche en biologie de la reproduction animale et humaine au Canada et l'un des plus importants au monde regroupant plus de 80 chercheurs de différentes disciplines (agronomie, biochimie, biologie, médecine vétérinaire, microbiologie, obstétrique-gynécologie, génétique médicale, microbiologie médicale) provenant des universités de Montréal, Mcgill, Laval, Sherbrooke, UQTR, UQAM et INRS-Armand-Frappier, ainsi que d'Agriculture Canada, MAPAQ et de partenaires privés (clinique OVO, de Fertilys, de Conception et de Boviteq).

On y  développe des outils génomiques, moléculaires, cellulaires et cliniques pour répondre aux principaux problèmes en production animale, en santé animale et en santé humaine. Ses intérêts portent sur la fonction ovarienne, la reproduction masculine, ainsi que l'embryogenese et interaction avec l'utérus lors de la gestation.

 

-    Ressources aquatiques du Québec RAQ : regroupant une quarantaine de chercheurs de différentes disciplines (biologie, agronomie, géographie, microbiologie, biochimie, génie civil, génie chimique et économique) provenant des universités : UQAR, Laval, Montréal, Sherbrooke, Mcgill, UQAC, UQAM, INRS-Armand-Frappier et Polytechnique; ainsi que des institutions suivantes : Cégep de la Gaspésie et des Îles (École des pêcheries et de l'aquaculture du Québec et Mérinov), Pêches et Océans Canada, Agriculture et Agroalimentaire Canada, Ministère des Forêts, Faune et Parcs Québec, du Musée canadien de la nature et du Biodôme de Montréal; a pour mandat le développement durable de l’industrie aquacole et de l’industrie des pêches du Québec autant en en eau douce et en milieu côtier, de même que les compétences sur les mollusques et les poissons tout en s’ouvrant sur les aspects biotechnologiques, économiques, légaux et éthiques.

Ses principaux intérêts en lien avec la biologie portent sur l'environnement en production aquacole (évaluation de l’impact des activités aquacoles en milieu marin sur la productivité des habitats, évaluation de l’abondance et la diversité des espèces benthiques et planctoniques, évaluation des interactions entre l’aquaculture et les espèces envahissantes, développement de méthodes afin de contrer la prédation sur les moules en culture par les oiseaux migrateurs, etc.); l'environnement et l'exploitation des ressources aquatiques (évaluation des impacts de l'exploitation sur les habitats, modélisation des habitats benthiques sensibles aux activités de pêche, évaluation des effets des composantes biotiques et abiotiques sur la dispersion, la croissance et la récolte d’espèces produites en milieu ouvert, etc.); amélioration génétique (accroissement de la résolution de la carte génétique de l’omble de fontaine, etc.); diversité des populations naturelles exploitées (état des populations et de la qualité de la pêche sportive des eaux intérieures du Québec, évaluation de l’impact de l’application des limites de taille sur l’intégrité des populations exploitées, structure génétique des populations de plusieurs espèces exploitées, notamment le touladi, l’anguille, le homard et le saumon de l'atlantique, etc.).

 

-    Sakata Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill sur les sons des oiseaux utilise des outils neurophysiologiques, immunocytochimiques et neurochimiques pour révéler les mécanismes sous-jacents de l'apprentissage vocal, le contrôle moteur et le comportement social chez les oiseaux.

 

-    Schoen Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill s'intéresse à la compréhension de l'évolution des systèmes de reproduction des plantes et des caractéristiques de l'histoire de la vie.

 

-    Solomon Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche en écologie aquatique de l'Université Mcgill tente de comprendre la façon dont fonctionne l'écosystème des lacs et autres écosystèmes aquatiques et comment nous pouvons les gérer et les conserver.

 

-         Station de biologie des Laurentides de l'Université de Montréal (ne pas confondre avec le Centre de foresterie des Laurentides de Ressources naturelles Canada) : située à St-Hippolyte dans un région boisée et montagneuse, dans les Basses-Laurentides; ce véritable laboratoire naturel en milieu protégé de 1 640 hectares est l'un des plus importants centres de recherches en biologie au Canada qui regroupe de nombreux chercheurs en biologie et en géographie de l'Université de Montréal qui effectue des recherches en biologie animale, biologie végétale, les écosystèmes aquatiques, les écosystèmes terrestres, en développement durable ou sur les changements climatiques.

On y réalise notamment des recherches sur le terrain en écologie marine (on y a acquis une expertise sur les algues aquatiques, étude sur la qualité de l'eau et les écosystèmes aquatiques des 3 principaux lacs sur le territoire); en écologie terrestre (on y a acquis une expertise concernant les études des sols forestiers et les conséquences de la pollution atmosphérique dans la croissance des arbres); en écologie animale (comportements, évolution, génétique des amphibiens et reptiles ou des oiseaux ou des poissons ou des mammifères se retrouvant sur le territoire); en écologie végétale (évolution, génétique des fleurs ou des plantes ou des algues ou des arbres et arbustes se retrouvant sur le territoire); en écotoxicologie (une expertise a été développée sur la toxicité des métaux lourds dans les lacs) et en sciences de l'atmosphère (des études sur la concentration des pluies en métaux, des études sur effets des changements climatiques sur les écosystèmes du territoire).

 

-    Station de recherche de la Forêt d'enseignement et de recherche du Lac Duparquet : située au milieu de la forêt boréale du bouclier canadien dans la région de l'Abitibi-Ouest en Abitibi-Témismingue, ce centre de recherche regroupant 15 chercheurs de l'UQAT, de l'UQAM, de l'UQAC et du Service canadien des forêts qui effectuent des travaux de recherche appliquée sur le terrain dans le domaine des sciences forestières boréales.

Les principaux intérêts portent sur l'étude des population de frênes noires au lac Duparquet, la dispersion des graines et le recrutement chez les conifères, les épidémies de la tordeuse des bourgeons de l'épinette, régime des feux chez le pin rouge, régime des feux chez le pin gris, processus et mécanismes de régénération du peuplier faux-tremble, l'aménagement forestier écosystémique dans la Forêt du lac Duparquet, géomorphologie et aménagement des sols argileux, impacts des changements climatiques sur la forêt boréale, etc.

 

-    Station de recherche des Îles Mingan : est un organisme à but non lucratif consacré à l'étude écologique des mammifères marins situé à Longue-Pointe-de-Mingan en Côte-Nord. Il s'intéresse au comportement et la structure des populations de mysticètes (baleines à fanons) fréquentant le golfe du Saint-Laurent; l'écologie sensorielle et comportement alimentaire des baleines à fanons; la différenciation des niches trophiques des rorquals dans le golfe du Saint-Laurent; la mesure des hormones de reproduction et de stress chez les rorquals à bosse; la reproduction et condition corporelle des rorquals à bosse; la génétique des populations des dauphins à flancs blancs de l'Atlantique et des dauphins à nez blanc; etc.

 

-    Takuvik : Unité mixte internationale de recherche située à Québec et regroupant une quinzaine de chercheurs de l'Université Laval et du Conseil National de Recherches Scientifiques CNRS de France; elle s'intéresse aux perturbations environnementales de l'Arctique provenant des changements climatiques, des facteurs anthropiques (causés par les humains), sur les écosystèmes et géosystèmes arctiques, marins et terrestres.

 

-    Watt Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill se focalise sur le développement des circuits du cerveau à la fois dans le cervelet en bonne santé et chez des modèles animaux malades afin de comprendre le rôle de l'activité neuronale spontanée dans le cervelet en développement.

 

-    Weladji's Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Concordia s'intéresse à l'influence des conditions environnementales (y compris le changement climatique global) sur l'histoire de la vie et de la dynamique des populations d'ongulés, principalement les grands herbivores (par exemple le renne / caribou, moutons).

 

-    Western Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill utilise des cellules sécrétrices mucilage comme modèle pour étudier les processus et la réglementation de la production de la paroi cellulaire et la modification au cours du développement de la plante afin de comprendre la structure des parois cellulaires et d'identifier les mécanismes et les protéines qui sont nécessaires pour synthétiser et de les modifier.

 

-    Wilder and Helen Penfield Nature Conservancy (en anglais) : situé sur le lac Memphrémagog en Estrie (long de 42 km et d'une superficie de 102 km2); cette station de recherche en milieu naturel comprend 1 km de forêt maintenant gérée par la Réserve naturelle Gault de Mcgill. De nombreuses recherches en limnologie y sont effectuées telles que : étude des écosystèmes aquatiques, l'écologie des milieux humides, l'écologie microbienne aquatique, l'écologie végétale des plantes et algues aquatiques, l'écologie des poissons, l'écologie animale des petits mammifères et amphibiens, effets des changements climatiques et environnementaux et de l'urbanisation sur les écosystèmes, l'entomologie, la restauration environnemental du site, etc.

 

-    Woolley Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill sur le son des oiseaux étudie la production et la perception de la chanson dans le pinson de zèbre, une espèce où les mâles utilisent la chanson pour attirer et faire la cour aux femelles.

 

En chimie :

 

-   Ariya Atmospheric & interfacial chemistry research group (en anglais) : ce groupe de recherche de Mcgill étudie les processus chimiques et physiques impliquant des aérosols, ainsi que les polluants organiques et de métaux présentant un intérêt pour l'atmosphère de la Terre et de ses interfaces.

 

-         Badia Research Group (et Chaire de recherche du Canada sur les nanostructures et interfaces conductrices d’électricité) (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université de Montréal met au point de nouveaux matériaux pour l’électronique et recherche d’applications nouvelles en électronique, optoélectronique, capteurs et dispositifs pour la conversion d’énergie.

 

-    Barrett Research Group (en anglais) : ce laboratoire de recherche de Mcgill en chimie des matériaux et des polymères; vise à concevoir, préparer et caractériser des polymères contenant des groupes fonctionnels nouveaux et verts, avec laquelle on peut façonner des dispositifs micro-optiques pour diverses applications industrielles ou des biomatériaux pour applications médicales.

 

-   Centre d'études des matériaux optiques et photoniques de l'Université de Sherbrooke CEMOPUS : conçoit, modélise, synthétise et caractérise des matériaux organiques pour des applications en optique et photonique. Les intérêts portent sur les interactions laser-molécules, hydrogénation électro-catalytique, polymères organométalliques, synthèse organique, spectroscopie de la matière condensée, interactions moléculaires dans la matière molle, aspects optiques et photoniques des cristaux liquides et des polymères, etc.

 

-    Centre d'études des procédés chimiques du Québec : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de Maisonneuve dont l'objectif est d'accompagner les entreprises pour les aider à convertir leurs idées novatrices en procédé économiquement viable par la recherche appliquée dans les domaines des procédés chimiques verts, de la bioéconomie et du développement durable.

 

-    Centre de chimie verte et de catalyse : important centre interuniversitaire de recherche (Mcgill, Montréal, Sherbrooke, Concordia, Polytechnique et UQAM) consacré au développement de nouveaux procédés dans une optique environnementale. On y développe notamment des solvants écologiques en synthèse pour divers procédés et réactions chimiques, le développement de nouveaux systèmes catalytiques chimiques et biochimiques (procédés) pour générer des biocarburants et autres produits chimiques écologiques à valeur ajoutée.

 

-    Centre de développement des composites du Québec : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de St-Jérôme dans les Laurentides ayant pour mission de fournir de l'expertise, de recherche appliquée et du soutien technique auprès des PME dans le développement de nouveaux matériaux composites pour diverses applications industrielles.

 

-         Centre de recherche en énergie, plasma et électrochimie CREPE de l'Université de Sherbrooke : regroupant des chercheurs en chimie et en génie chimique, il tente de développer de nouveaux matériaux électrocatalyseurs qui serviront à des applications de piles à combustible, de batteries et d’électrolyseurs et développe de nouveaux procédés plasmas pour le traitement ou la synthèse de matériaux qu’ils soient nano ou micro.

 

-         Centre de recherche en science et technologie du lait STELA : effectue des recherches sur les propriétés et les protéines des produits laitiers, développement des procédés d’amélioration de la qualité des produits laitiers, développement de nouvelles techniques de fabrication des fromages et autres produits laitiers, etc.

 

-     Centre de recherche en eau, terre et environnement de l’I.N.R.S.. : important organisme multidisciplinaire de recherche regroupant des chercheurs de disciplines variées. Ses principaux domaines de recherches reliés à la chimie ou à la biochimie sont : biogéochimie et contamination (écotoxicologie des métaux principalement en milieu aquatique, bio-accumulation des résidus des éléments traces dans le milieu aquatique, contaminants chimiques dans l’eau, biogéochimie des contaminants organiques, etc).

 

-   Centre de recherche en biotechnologies marines : situé à Rimouski au Bas-St-Laurent et rattaché à l'UQAR, ce centre s'intéresse aux propriétés physico-chimiques produits marins et des plantes marines et au développement d'applications de toutes sortes (agriculture, environnement, traitement des eaux, pharmaceutique, cosméceutique, etc) des biotechnologies marines

 

-         Centre de recherche en optique, photonique & laser COPL : regroupe une quarantaine de chercheurs de plusieurs disciplines (physique, chimie, génie physique, génie électrique, génie informatique) provenant des universités Laval, Mcgill, Polytechnique, Sherbrooke, ÉTS, Concrdia, UQAM et INRS; on y effectue notamment des recherches en physique pour les technologies du laser, ainsi que sur les aspects physiques pour les domaines de l’optique, de la photonique et la microélectronique. Dans le domaine de la chimie, des recherches y sont effectuées en chimie analytique, spectrocopie laser, chimie des polymères et chimie théorique.

 

-    Centre de recherche en toxicologie de l'environnement TOXEN de l'UQAM : regroupant 15 chercheurs de différentes disciplines (biologie, chimie, santé publique, sciences de l'atmosphère et sciences de la terre) provenant principalement de l'UQAM, mais également de l'INRS, Université de Montréal et Environnement Canada) a pour objectif de mieux comprend les effets des contaminants et de certains facteurs physiques afin de prévoir la toxicité et ainsi être en mesure d’identifier les situations potentiellement à risque pour les organismes vivants. Ses principaux axes de recherches sont les suivants :toxicologie moléculaire, cellulaire et biochimique, toxicologie et physiologie et l’écotoxicologie.

 

-         Centre de recherche en toxicologie de l’environnement TOXEN : ses principaux axes de recherches sont les suivants :toxicologie moléculaire, cellulaire et biochimique, toxicologie et physiologie et l’écotoxicologie.

 

-    Centre de recherche et d'innovation en catalyse de l'Université d'Ottawa : l'un des plus importants centres de recherche dans le domaine de la catalyse au pays regroupe 30 chercheurs en chimie, biochimie et génie chimique couvrant les intérêts suivants : catalyse homogene, catalyse hétérogene, biocatalyse, modélisation et simulation des catalyseurs, ainsi que le génie et le traitement des catalyseurs pour la caractérisation des matériaux, le criblage haut débit et la chimie computationnelle.

 

-    Centre de recherche sur la conception, les mécanismes d'action et la vectorisation des médicaments Pharmaqam : regroupant plus de 50 chercheurs de plusieurs disciplines (biochimie, biologie, chimie, informatique, génie chimique, physiologie, pharmacie et médecine vétérinaire) provenant des universités UQAM, Mcgill, Montréal, UQTR, Laval, Sherbrooke, UQAC, UQAR et INRS); a pour objectif de mettre au point des approches innovantes permettant d'améliorer l'ensemble des processus menant au développement de nouveaux médicaments, en amont des études cliniques, et dédiés au cancer, aux infections virales et bactériennes ainsi qu'aux maladies orphelines et dégénératives.

Dans le domaine de la chimie, les intérêts portent sur la synthèse organique et bio-organique, chimie des biomolécules, synthèse de molécules ayant un potentiel d'agents thérapeutiques, criblage de médicaments, spectrométrie de masse bioanalytique, structures moléculaires de fibres biologiques, systèmes membranaires, etc.

 

-         Centre de recherche sur le pétrole, le gaz et les autres énergies extracôtières : situé à Darmouth (Nouvelle-Écosse), ce centre de recherche de Pêches et Océans Canada unique au Canada s’intéresse aux impacts environnementaux et océanographiques causés par l’exploration, la production et le transport du pétrole extracôtier. Voici quelques exemples de projets réalisés : identification et évaluation de la toxicité des composantes toxiques du pétrole résiduel, le devenir et les effets du pétrole chimiquement dispersé, la dégradation améliorée de résidus d’hydrocarbures par l’utilisation de méthodes d’oxydation à la fois chimique et biologique, développement de nouvelles méthodes de nettoyage des littoraux après un déversement (par des agrégats par exemple), etc.

 

-         Centre de recherche sur les infrastructures en béton CRIB : important centre de recherche  regroupant une trentaine de chercheurs en génie civil, génie industriel, génie chimique, génie géologique et chimie provenant des universités de Sherbrooke, Mcgill, Polytechnique, Laval, Concordia et UQAT dont l’objectif des recherches sont d’améliorer la durée de vie des structures neuves et améliorer l’entretien et la réparation de structures existantes comme les ponts, les barrages, les tunnels, les bâtiments, etc. Dans le domaine de la chimie, on y effectue des recherches sur  les caractéristique et les propriétés du béton, développement de méthodes d'analyse de la qualité du béon et en développement de nouveaux types de béton.

 

-    Centre de recherche sur les interactions hôte-parasites : situé à Ste-Anne-de-Bellevue sur le campus Macdonald de l'Université Mcgill, il regroupe plus de 35 chercheurs de différentes disciplines (microbiologie, microbiologie-immunologie, biochimie, parasitologie, chimie, génie chimique, nutrition, microbiologie vétérinaire, microbiologie médicale et infectiologie et virologie-immunologie) provenant des universités Mcgill, Laval, Montréal (faculté de médecine vétérinaire), INRS et UQAM; cherche de nouvelles méthodes de lutte contre les maladies parasitaires; tdéveloppe nouveaux tests diagnostiques et de développer de nouvelles thérapies (vaccins, médicaments) afin d’améliorer la santé humaine et animale dans les pays industrialisés et en voie de développement.

 

-         Centre de recherche sur les matériaux auto-assemblés : regroupant plus de 40 chercheurs en chimie des universités Mcgill, Montréal, Concordia,  Laval, Sherbrooke et de l’INRS; il réalise des recherches processus par lequel de petites unités chimiques se retrouvent dans un milieu, atteignent un état d'équilibre, et produisent des structures à plus grande échelle, ce que sont appelés les matériaux auto-assemblés. Les applications sont surtout orientées dans le développement de nouveaux composants électroniques (transistors, diodes, cellules mémoire, portes logiques, etc.).

 

-    Centre de recherche sur les matériaux avancés de l'Université Laval (anciennement "centre de recherche en science et ingénierie des macromolécules" : développe de nouveaux matériaux à valeur ajoutée tels que : biomatériaux (nouveaux implants biocompatibles, nouveaux bioréacteurs optiques et électrochimiques pour la détection rapide d'ADN et de protéines, substitus cutanés, etc.); nanomatériaux (nanomatériaux poreux pour la capture de différents gaz à effet de serre, caractérisation de nanoparticules hybrides qui peuvent servir comme marqueurs dans le domaine de la bio-photonique ou d’agents de contraste en imagerie médicale); macromolécules synthétiques et naturelles (utilisation de la cellulose dans divers matériaux composites, nouveaux polymères pour le développement de transistors ou de piles solaires, etc.).

 

-    Centre de recherche sur les matériaux lignocellulosiques de l'UQTR (anciennement connu sous Centre de recherche sur les pâtes et papiers) à Trois-Rivières, le plus important organisme de recherche en génie papetier en Amérique du Nord. Il s'intéresse aux domaines suivants en lien avec la chimie : désencrage, blanchiement, développement de nouveaux produits de papier,

 

-    Centre de recherche sur les matériaux quantiques de l'Université de Sherbrooke : regroupant des chercheurs en chimie, en physique, en génie électrique et en génie mécanique; cherche à découvrir, comprendre et inventer des matériaux quantiques (supraconducteurs, informatique quantique, nanotechnologie, conducteur organique, etc.), c’est-à-dire des dispositifs où les effets quantiques déterminent le comportement physique (électrique, magnétique, thermodynamique, etc.).

 

-         Centre de recherche sur les matériaux renouvelables : regroupant des chercheurs des anciens centre de recherche sur le bois de l'Université Laval, centre de recherche sur matériaux lignocellulosiques de l'UQTR, ainsi que de l'Institut de recherche sur les forêts de l'UQAT, du Groupe de recherche en thermotranforamtion du bois de l'UQAC, du centre de recherche privé sans but lucratif FPInnovations, du centre collégial de transfert de technologie Innofibre du Cégep de Trois-Rivières, du centre collégial de transfert de technologie SEREX du Cégep de Rimouski, ainsi que le Centre d'expertise en construction commerciale en bois CECObois du Ministère des Forêts, Faune et Parcs du Québec; ce centre s'intéresse au bois, plantes agricoles et autres fibres végétales.

Il cherche à développer de nouveaux procédés de transformation de la matière ligneuse et de la biomasse; développer des procédés de valorisation des déchets de l'industrie de transformation du bois et de l'industrie papetière; concevoir des produits et des systèmes innovants et écoresponsables (tels que : de nouveaux produits de bois massif, de composites à base de bois, de fibres de bois ou autres fibres lignocellulosiques et coproduits à valeur ajoutée); étudier les propriétés physiques, mécaniques, chimiques et thermiques du bois, des plantes agricoles et d'autres fibres végétales.

 

-    Centre de recherche sur les nanomatériaux et l'énergie NanoQAM de l'UQAM : regroupant 12 chercheurs en chimie, informatique et sciences de la terre; il développe de nouveaux nanomatériaux pour diverses applications : énergétique (matériaux d'électrodes pour supercondensateurs électrochimiques et matériaux semi-conducteurs nanocristallins pour cellules photovoltaïques d'énergie solaire); biomatériaux (nanoparticules pour le développement de médicaments neurologiques, nanomatériaux pour les tests de perméabilité des médicaments, etc.) et chimie verte (nanoparticules de polyoféline, un polymère ayant des propriétés d'inertie chimique et le développement de méthodes analytiques pour le latex naturel).      

 

-         Centre de recherche sur les polymères et les composites à haute performance de Polytechnique CREPEC : regroupant une cinquantaine de chercheurs de l’École Polytechnique, de l’Université Mcgill, de l’École de technologie supérieure ÉTS, de l’Université Concordia, de l’Université Laval, de l’Université de Sherbrooke, du Cégep de St-Jérôme (centre des matériaux composites) du Conseil national de recherches du Canada CNRC; ce centre s’intéresse aux domaines des plastiques, des matériaux composites à haute performance, les nanocomposites, ainsi qu’aux matériaux intelligents qui serviront pour les industries du transport, des équipements de sports, du plastiques, etc), l’élaboration de nouveaux procédés de mise en œuvre des matériaux, études des propriétés des matériaux, etc.

 

-         Centre de recherches industrielles du Québec CRIQ : situé à Québec et à Montréal, cet important centre de recherches du Gouvernement du Québec regroupant une centaine de chercheurs dans de nombreuses disciplines des sciences et du génie qui réalises des projets de recherche fondamentale et appliquée, fournit de l'expertise et du soutien technique, ainsi que du transfert technologique dans l'améloration des procédés actuels et le développement de nouveaux procédés industriels, le développement de nouveaux matériaux et le développement de nouvelles technologies  dans différents secteurs industriels afin de les aider à optimiser leur production et à devenir de plus en plus concourrentionnel face à la mondialisation des marchés.

Dans le grand secteur « technologies de l’environnement »; on y développe des solutions durables et innovatrices afin de résoudre des problèmes environnementaux pour des entreprises du secteur, industriel et municipal. Voici quelques exemples de projets réalisés : mise au point de méthodes d’analyses de l’eau, mise au point de méthodes d’analyses des sols contaminés, mise au point de méthodes d’analyses de l’air, développement et mise au point de méthodes de traitement des matières contaminées par les métaux lourds, synthèse de nouvelles molécules pour les industries du plastique et du caoutchouc, formulation d’additfs pétroliers pour les industries pétrochimiques, mise au point d’additifs pour les centrales thermiques,  mise au point de procédés d’extraction de produits naturels par solvants volatils à partir de biomasse ou de résidus de biomasse; etc.

Dans le grand secteur « matériaux plastiques et composites »; on y développe de nouveaux procédés de moulage; on y développe de nouvelles formulations de plastiqes ou de composites et on y développe de nouveaux matériaux plastiques et de nouveaux matériaux composites.

 

-    Centre de technologie minérale et de plasturgie : centre collégial de recherche appliquée et de transfert de technologie rattaché au Cégep de Thetford en Chaudière Appalaches ayant pour mission de fournir de l'expertise, de recherche appliquée et du soutien technique auprès des PME dans le développement de nouveaux matériaux dans le domaine de la plasturgie (caractérisation et formulation de polymères biodégradables et biosourcés, développement de matériaux hybrides et avancés, développement de nanoplastiques et de nanocomposites, développement de thermoplastiques renforcés, valorisation des plastiques recyclés, etc.).

 

-    Centre des sciences pour la sécurité : centre de recherche de Recherche et Développement pour la Défense Canada situé à Ottawa effectue des recherches qui visent à renforcer la capacité du Canada à réagir (anticipation, prévention, préparation, intervention et rétablissement) à  des accidents graves, à des catastrophes naturelles ou à des actes  terroristes et criminels par la convergence de la science et de la technologie.

Dans le domaine de la chimie; des recherches sont  réalisées dans la mise en place de ;solutions afin d'intervenir à des menaces chimiques, biologiques, radionucléaires et  explosives, à des catastrophes naturelles et à des accidents graves,  notamment par le développement d'outils de détection et de méthodes d'analyse en laboratoire de chimie de contaminants ou des substances pouvant causer un risque pour santé et sécurité des intervenants et de la population, développement de méthodes d’identification d’agents chimiques et biologiques, développement d’un nouveau de neutralisation d’armes chimiques, etc).

 

-    Centre interinstitutionnel de recherche en écotoxicologie du Québec CIREQ : important centre interuniversitaire et interdisciplinaire de recherche ayant pour objectif d’identifier et de gérer les risques reliés à la présence de rejets des activités industrielles et domestiques pour la santé humaine et l'équilibre des écosystèmes du fleuve Saint-Laurent et de ses tributaires regroupe plus de 80 chercheurs de plusieurs disciplines (biologie, chimie, biochimie, microbiologie, géographie, informatique, génie civil, génie des eaux et sciences de l'eau) provenant des universités : UQAR, Concordia, Montréal, Mcgill, UQAM, INRS-Armand-Frappier et INRS-ÉTE; ainsi que des institutions gouvernementales : Environnement Canada (Centre St-Laurent et Biosphère Canada), Pêches et Océans Canada (Institut Maurice-Lamontagne), Ville de Montréal (Biodôme), MAPAQ (Centre d'expertise en analyse environnementale) et SEPAQ (Parc aquarium du Québec).

Ses principaux intérêts portent sur l'évaluation du potentiel toxicologique des effluents urbains; l'évaluation du potentiel toxicologique des cours d'eau; effets de la consommation de poissons contaminés sur la santé des organismes fauniques et des humains; écotoxicologie des matériaux énergétiques; les contamination aux métaux dans le Nunavik; impacts et enjeux de l'incinération des déchets dangeureux; etc.

 

-    Centre national en électrochimie et en technologies environnementales : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de Shawinigan, il a pour mandat de réaliser des activités de recherche appliquée, d’aide technique et d’information à l’entreprise afin de contribuer à l’élaboration et à la réalisation de projets d’innovation et de développement de nouvelles applications technologiques, dans les domaines des bioprocédés, de biopesticides, de biocarburants des technologies de séparation par membrane et de l’électrochimie.

 

-    Centre québécois des matériaux fonctionnels : développe de nouveaux matériaux organiques ou hybrides présentant des fonctions spécifiques pour différentes applications : biomédicales (biomatériaux et implants permettant l'intégration in vivo et ayant une biodégradation contrôlée, matériaux permettant l'image des phénomènes biologiques en signaux optiques pour des diagnostics, élaboration de dispositifs de détection d'agents infectieux); environnementales (matériaux pour la conception de systèmes pour le traitement, la purification et la filtration de l'eau potable ou de l'air, création de matériaux fonctionnels à partir de la biomasse et de résidus post-production, etc.)

 

-      Centre St-Laurent : important organisme de recherche d’Environnement Canada situé à Montréal, il est entièrement consacré aux écosystèmes fluviaux du St-Laurent. On y effectue des recherches notamment en chimie environnementale des rejets urbains.

 

-    Centre technologique des résidus industriels CTRI : centre collégial de recherche appliquée et de transfert de technologie rattaché au Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue ayant pour mandat  de réaliser des activités de recherche appliquée, d'expertise et de soutien technique en valorisation des résidus industriels, de ses ressources sous-utilisées en assaissement de l'environnement auprès d'entreprises des secteurs forestier, agricole et minier.

 

-    Chaire de recherche du Canada en biogéochimie boréale : étudie la dynamique des éléments chimiques (macro- et micronutriments) à l’interface sol-organismes et de leur impact sur le fonctionnement et l’évolution des écosystèmes continentaux.

 

-    Chaire de recherche du Canada en biologie chimique : étudie des molécules discrètes dans les systèmes biologiques complexes qui permettront des progrès importants dans la mise au point de nouveaux médicaments et d'agents catalyseurs.

 

-         Chaire de recherche du Canada en chimie biologique : effectue des études de synthèse et de radiocrystallographie sur l’ADN modifié afin de traiter et d’étudier les maladies des êtres humains

 

-    Chaire de recherche du Canada en chimie computationnelle et photonique : modélise et développe de nouvelles applications des lasers modernes à la chimie-physique.

 

-         Chaire de recherche du Canada en chimie thérapeutique de l’UQÀM : s’intéresse tout particulièrement aux mécanismes moléculaires impliqués dans certaines infections bactériennes ou lors de la transplantation d'organes.

 

-         Chaire de recherche du Canada en chimie verte : recherche de solutions sans danger pour l’environnement aux effets nocifs des procédés chimiques industriels.

 

-         Chaire de recherche du Canada en décontamination environnementale : cette chaire développement des procédés chimiques et biologiques pour décontaminer les boues, les sols et autres rejets industriels et urbains.

 

-    Chaire de recherche du Canada en nanoscience de l'ADN : utilise l’ADN afin de construire des nanostructures pour la mise au point de systèmes d’administration des médicaments, d’outils de diagnostic et de sondes cellulaires pouvant servir à prévenir et à traiter la maladie.

 

-         Chaire de recherche du Canada en photochimie appliquée : étudie les mécanismes de réaction dans les systèmes hétérogènes, de la catalyse et de la photochimie induite par laser en vue d’applications en photonique, en catalyse et dans le domaine de la santé.

 

-    Chaire de recherche du Canada sur la synthèse stérésélective des molécules bioactives : élabore de nouvelles méthodes stéréosélectives pour la préparation de molécules bioactives et concevoir de nouvelles méthodes catalytiques pour les sciences pharmaceutiques, les sciences agrochimiques, la biologie, les sciences de l'alimentation et les sciences des matériaux.

-         Chaire de recherche du Canada sur les catalyseurs organométalliques : développe des outils axés sur les catalyseurs organométalliques pour produire des réactions organiques efficaces pour des applications en chimie médicinale et en pharmacologie.

 

-    Chaire de recherche du Canada sur les polymères électroactifs et photoactifs : crée des composites polymériques qui conduisent l'électricité pour des applications en micro-électronique et en médecine.

 

-         Chaire de recherche du Canada sur les structures organiques ultraminces et membranaires : nouvelle chaire de recherche de l’Université de Montréal qui étudie les matériaux organiques ultraminces et membranaires dans le but de développer le secteur des nanotechnologies.

 

-         Chaire en prévention et traitement du cancer de l’UQÀM : cherche à identifier les propriétés chimiopréventives et chimiothérapeutiques dans l’alimentation humaine et les utiliser à des fins thérapeutiques.

 

-   Collectif de recherche appliquée aux bioprocédés et à la chimie de l'environnement CRABE de l'UQAR : on y développe des processus biogéochimiques des environnements aquatiques et des bioprocédés propres et durables par une approche d’analyse chimique fondée sur la séparation, la purification et la caractérisation des molécules organiques d’intérêt. Ses intérêts en chimie de l'environnement portent sur le développement de nouveaux outils en évaluation environnementale; la caractérisation chimique des écosystèmes (de quelle façon répond un marais lors d'un déversement de produits pétroliers? Quel est l'impact des pesticides sur les eaux souterraines?, etc.); développement de nouveaux procédés chimiques, la création de substances faiblement ou non toxiques et des voies de synthèses respectueuses de l'environnement; ainsi que le développement de matériaux ou de bioprocédés par l'utilisation de matières premières renouvelables ou recyclées.

-    Concordia Centre for Biological Applications of Mass Spectrometry (en anglais) : regroupant des chercheurs en chimie et en biochimie, mais également en physique, en sciences de l'exercice et en psychologie; il se concentre dans la recherche en chimie bioanalytique et biologique, la biogéochimie et les « omiques » sciences par la spectroscopie de masse. On y développement de nouveaux outils d'analyse, des méthodes de préparation des échantillons et des procédures de séparation chromatographique pour améliorer les connaissances sur les lipides et les protéines.

 

-    Concordia Center of composites : ce centre de recherches de l'Université Concordia s'intéresse aux caractéristiques des structures composites de haute densité et au développement de nouveaux matériaux pour diverses applications.

 

-    Concordia Centre for NanoScience Research (en anglais) : regroupant des chercheurs en biochimie, chimie et physique; effectue de nombreuses recherches dans le domaine des nanosciences, principalement celles à la frontière biochimique. Il s'intéresse notamment aux propriétés optiques des nanomatériaux; la synthèse, la caractérisation et la spectroscopie de nanoparticules dopés pour des applications dans l'industrie des télécommunications; les propriétés mécaniques et électroniques des matériaux à l'échelle nanométrique pour des applications biomédicales (culture in vitro de tissus oesseux et de tissus nerveux par exemple); ainsi que les principes fondamentaux impliqués dans le « pliage » moléculaire et macromoléculaire et le développement de nouveaux catalyseurs ou des catalyseurs solides nanostructurés pour des applications industrielles.

 

-    Concordia Centre of Research in Molecular Modeling (en anglais) : regroupant des chercheurs en chimie des universités Concordia, Mcgill, Montréal, Brock en Ontario et Colorado at Boulder aux USA; il s'intéresse à la modélisation des phénomenes naturels au niveau moléculaire dans les domaines de la chimie computationnelle et théoriqur couvrant des intérêts en chimie atmosphérique, chimie biologique, chimie biophysique, chimie bioinorganique, chimie computationnelle, chimie macromoléculaire, chimie médicinale, chimie organique, chimie physique et chimie théorique.

 

-    Concordia Centre for Structural and Functional Genomics (en anglais) : regroupant des chercheurs en biochimie, chimie, physique, biologie, sciences de l'exercice et en informatique; il concentre ses recherches dans le séquence, le traitement et le stockage de l'information génétique de divers organismes. Dans le domaine de la chimie, des intérêts portent sur la spectroscopie de masse et la chromatographie liquide.

 

-    Damha Research Group (en anglais) : ce laboratoire de recherche en biologie chimique des acides nucléiques de Mcgill, étudie les effets de la modification chimique sur l'activité biologique et la structure des acides nucléiques.

 

-    Friscic Research Group (en anglais) : ce laboratoire de recherche en chimie verte, développe et exploite l'état solide, les réactions sans solvant en vue de la synthèse efficace d'énergie plus propre.

 

-    Groupe Bourgault de l'UQAM (en anglais) : se concentre sur les aspects fondamentaux de la protéine auto-assemblée en fibrilles amyloïdes et sur la pharmacologie moléculaire et l'ingénierie des peptides par des approches combinées en biophysique, chimie organique, biochimie et biologie cellulaire. Ces recherches permettront notammnent de développer des nouveaux médicaments pour des maladies neurodégératives dont l'Alzheimer et les maladies amylosiques.

 

-    Groupe Charette de l'Université de Montréal (et Chaire de recherche du Canada sur la synthèse stéréosélective des molécules bioactives) : les recherches portent principalement sur le domaine de la chimie organique de synthèse et plus particulièrement sur le développement de nouvelles méthodes pour la synthèse stéréosélective de composés organiques et de produits naturels pour des applications dans les industries pharmaceutiques et agrochimiques.

 

-   Groupe de recherche de Karine Auclair (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill étudie et manipule les systèmes biologiques par des outils de la chimie. Il s'intéresse notamment à la résistance des antibiotiques, aux enzymes et à la biocatalyse pour la chimie verte.

-         Groupe de recherche en biogéochimie : rattaché au Centre de recherche en eau, terre et environnement de l’INRS, ce groupe cherche à déchiffrer la chronologie des dépositions des métaux dans les milieux aquatiques et identifier leurs sources et évaluer les répercussions de ces agents polluants sur les organismes aquatiques.

 

-    Groupe de recherche en chimie des polymères de l'Université de Montréal (et Chaire de recherche de l'Université de Montréal en biomatériaux polymères) : cherche à créer des polymères fonctionnels ayant des applications biomédicales et pharmaceutiques tels que les gels polymères, les polymères dégradables, les résines dentaires, les biosenseurs, et les matériaux nanoporeux.

 

-         Groupe de recherche en chimie organique et médicinale de l'Université Laval (et Chaire de recherche du Canada en chimie organique et médicinale) : s'intéresse au développement de nouvelles méthodologies de synthèse de composés fluorés principalement par la catalyse par les métaux de transition (palladium, rhodium, etc.) afin de développer de nouvelles manières de préparer les molécules bioactives qui serviront à onder des protéines d'intérêt thérapeutique.

 

-    Groupe de recherche en physique et technologies des couches minces : regroupement de chercheurs des universités de Montréal et Polytechnique qui développe des matériaux avancés dans les domaines de la microélectronique et nanoélectronique, en optique et optoélectronique, en revêtements fonctionnels et en ingénierie de surfaces

 

-         Groupe de recherche en protection chimique : rattaché au Collège militaire royal du Canada à Kingston en Ontario, ce groupe effectue des recherches uniques au pays. Il étudie la propriétés des matériaux pour la protection chimique met au point des absorbants pouvant être utilisés pour la protection des voies respiratoires et la protection cutanée.

 

-         Groupe de recherche en spectroscopie de vibration : l’objectif principal des recherches effectuées par ce groupe est de déterminer les relations entre la structure des macromolécules et leurs fonctions ou leurs propriétés.

 

-         Groupe de recherche William D. Lubell en chimie médicinale et chime des peptides : les intérêts de ce groupe de recherche de l'Université de Montréal sont reliés à la chimie bio-organique : peptides biologiquement actifs, mimes peptides, acides aminés ligands pour la neuroscience, chimie sur support solide, etc.

 

-    Groupe de recherche Wuest en matériaux supramoléculaires de l'Université de Montréal (et Chaire de recherche du Canada en matériaux supramoléculaires) : utilise la synthèse organique et inorganique comme outil d’exploration multidisciplinaire de la science des matériaux, de la science des surfaces et des nanosciences pour la conception et la synthèse de nouvelles molécules avec un large éventail de composés organiques, organométalliques et inorganiques.

 

-    Groupe énergie verte de l'Université de Montréal : a pour objectif de reproduire par la photosynthèse artificielle l’habilité des plantes vertes d’utiliser la lumière solaire pour synthétiser des produits chimiques de haute énergie afin dedévelopper les nouveaux photosensibilisateurs efficaces, mais les catalyseurs nécessaires pour effectuer la réduction d’H2O en H2 et pour créer des courants électriques avec les polymères photovoltaïques.

 

-         Groupe Fontaine de l’Université Laval : s’intéresse au développement de nouveaux composés organométalliques et de l’étude de leur réactivité qui permettront de diminuer la quantité de déchets produits et le recyclage de procédés non biodégradables lors de la production chimique industrielle.

 

-    Groupe Gagnon de recherche en chimie organique de l'UQAM (en anglais) : s'intéresse au développement de méthodologies en chimie organique ( principalement axées sur le développement de nouvelles réactions catalysées par des métaux) et au développement d'inhibiteurs d l'engyme DMT1 en chimie médicinale pour le traitement du cancer.

 

-    Groupe Hayes en chimie analytique et atmosphérique a l'Université de Montréal : s'intéresse à la chimie des aérosols organiques dans l'atmosphère et aux interactions chimiques qui surviennent aux interfaces solides/liquides ayant une influence dans le transport des polluants dans les sols. Ces recherches permettront de développer de nouveaux outils pour l'assainissement et la décontanation de sols.

 

-    Groupe interinstitututionnel de recherches océanographiques Québec Océan : regroupant des chercheurs de l'UQAR, de l'UQAC, de Laval, de Mcgill, et de l'INRS; s'intéresse aux grandes problématiques qui touchent les océans concernent le maintien de l’intégrité environnementale planétaire, de la biodiversité et des services qu’ils procurent à l’humanité. Dans le domaine en lien avec la chimie, les recherches comprennent : l'étude des phénomènes chimiques l'oxygénation de l'eau des océans; l'étude des contaminants chimiques (tels que : carbone, azote, souffre, phosphore, silicium) et autres substances toxiques (métaux traces tels que le fer et le cuivre) des océans et leurs impacts environnementaux; le développement de nouvelles méthodes d'analyse de la toxicité des océans et développement de nouvelles méthodes de décontamination des océans.

 

-    Groupe Lebel de l'Université de Montréal (et Chaire de recherche du Canada sur les catalyseurs organométalliques) : tente de développer de nouvelles méthodes pour la préparation de molécules qui ont des propriétés intéressantes en pharmacologie et dont la structure est complexe, ainsi que pour la mise au point de procédés écologiques qui font appel aux catalyseurs et peuvent mener à la découverte de réactifs recyclables.

 

-    Groupe Skene de l'Université de Montréal : s'intéresse à la préparation et la caractérisation de nouveaux matériaux fonctionnels organiques possédant les propriétés photophysiques et électrochimiques requises pour le développement de nouveaux dispositifs électroniques.

 

Innofibre : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de Trois-Rivières en Mauricie qui fournit de l'expertise technique, développement technologique, recherche appliquée et du soutien technique auprès des PME et certaines grandes entreprises dans les domaines du bioraffinage (prétraitements, biocharbon, bioénergie, microalgues, etc.) et en développement de nouveaux produits cellulosiques (fibres, pâtes, fibres thermoformés, papiers, cartons).

 

-         Installation de partenariat industriel en biotechnologies du CNRC : important centre de recherche du Conseil national de recherches Canada regroupant plusieurs groupes de recherche situés à Montréal. Il effectue de nombreuses recherches reliées aux biotechnologies avec la collaboration de plusieurs partenaires industriels. Les principaux projets dans le secteur environnement en chimie sont : évolution et les incidences environnementales des substances polluantes courantes, interactions des contaminants avec les sols et la biomasse, élaboration de protocoles pour la caractérisation sur place des sites militaires contaminés, évaluation pilote de la dépollution des sols contaminés aux explosifs, etc.

 

-    Installation de production de nanotubes du CNRC : ce centre de recherche du  Gouvernement du Canada situé à Ottawa, <!--[if gt IE 8]>développe matériaux de  pointe (appelés nanotubes de carbone, de nitrure de bore ou de divers  mélanges) présentant de nombreux avantages sur les matériaux de nature plus classique pour de nombreuses applications telles que : articles de sports moins  lourds ou plus résistants (bâtons de hockey ou de baseball, équipement de protection), appareils de détection et surveillance intégrées en médecine,  adhésifs nanomodifiés pour fixer les structures dans les secteurs de  l’aéronautique et de l’automobile, matériaux armés légers pour protéger les soldats, les policiers et les agents de sécurité contre les bombes artisanales et l’impact des balles, dispositifs électroniques et optoélectroniques, produits de papier améliorés ignifuges, ultraconducteurs pour les applications éconergétiques, etc.

 

-         Institut Armand-Frappier de l’I.N.R.S. : important organisme de recherches uniques de renommée mondiale, cet institut réalise de nombreux travaux dans plusieurs domaines multidisciplinaires. Les principaux domaines de recherches reliés à la chimie sont : la détection de stéroïdes anabolisants chez les sportifs (réputation mondiale); mise au point  de méthodes de synthèse d’hormones polypeptidiques, leur évaluation théorique et évaluation spectroscopique, ainsi que la mesure des propriétés biochimiques et pharmacologiques; toxicologie de l’environnement (recherches fondamentales sur la spectroscopie de masse, dégradation des hydrocarbures pétroliers,  aspects biochimiques de la dégradation des polluants organiques dans les sols et les eaux usées, etc).

 

-         Institut de l’environnement de l’Université d’Ottawa :important organisme de recherche dans le domaine de l’environnement au Canada. Il réalise de nombreuses recherches couvrant tous les secteurs de l’environnement (effets des contaminants chimiques, biologiques,  physiques, radiologiques et autres sur l’environnement géographie, biologique, géophysique et atmosphérique). Il s’intéresse également aux effets biologiques du rayonnement ionisant, (il abrite le Centre international de recherche sur les faibles doses de radiation).

 

-    Institut de pharmacologie de l'Université de Sherbrooke : regroupant des chercheurs de plusieurs disciplines (pharmacologie, biochimie, microbiologie, chimie, biologie, génie électrique, physiologie, médecine nucléaire, médecine, pédiatrie et chirurgie); il met en évidence de nouveaux mécanismes moléculaires et cellulaires importants pour le développement de pathologies humaines et la découverte de nouvelles molécules bioactives possédant un potentiel diagnostique ou thérapeutique agissant sur ces mécanismes. Les intérêts en chimie portent notamment sur la chimie organique, la synthèse organique, la chimie des alcaloïdes, la synthèse organique de molécules naturelles et non naturelles, la conception, synthèse et caractérisation d'architectures supramoléculaires, la modélisation moléculaire de chemins de réactions et études de mécanismes de réactions, les gels photoactifs de cristaux liquides; l'auto-assemblage des peptides cycliques dans des polymères et cristaux liquides, etc.

 

-    Institut de recherche sur l'hydrogène de l'UQTR : développe des technologies de stockage et d'utilisation sécuritaire de l'hydrogène. Dans le domaine de la chimie, les intérêts portent sur la caractérisation et synthèse des matériaux nanoporeux et des hydrures.

 

-        Institut des sciences de la mer de Rimouski : l’un des plus grands centres de recherche en océanographie au monde et situé à Rimouski dans le Bas-St-Laurent, l’ISMER regroupe une vingtaine de chercheurs réguliers provenant de plusieurs disciplines (océanographie, biologie, géographie, chimie, géologie, archéologie, aquaculture) provenant de l'UQAR et plus de 70 chercheurs associés provenant de nombreux établissements universitaires, collégiaux et gouvernements (Université Laval, UQAC, UQAM, INRS, Université de Moncton, University of P-E-I, Université de Montpellier en France, University of Liverpool en UK, Environnement Canada, Pêches et Océans Canada, Institut Maurice-Lamontagne, ainsi que de Mérinov de l'École des pêcheries et de l'aquaculture) ayant une expertise dans ce grand et large secteur de recherches.

Les principaux domaines de recherches reliés à la chimie sont : développement de nouvelles de décontamination des polluants du St-Laurent, Les effets du rayonnement ultraviolet sur les premiers maillons de la chaîne alimentaire, L'étude de l'impact de contaminants sur les écosystèmes côtiers, L'importance des changements climatiques aux échelles locale et globale, écotoxicologie en milieux côtiers, la détection et localisation des baleines d'après leurs vocalisations spécifiques, développement de pratiques d'élevage  aquicoles, etc.

 

-   Institut Hydro-Québec en environnement, développement et société de l'Université Laval : important centre de recherche regroupant 94 chercheurs de plus d'une trentaine de disciplines reliées au domaine de l'environnement et du développement durable dans une perspective interdisciplinaire.

Dans le domaine de la chimie; les intérêts portent sur la chimie en traitement des eaux usées et de l'eau potable, la l'étude des contaminants chimiques de l'air, des eaux et des sols, la chimie organique de synthèse, la chimie verte pour diverses applications industrielles, etc.

 

-    Institut sur la nutrition et les aliments fonctionnels de l'Université Laval INAF : plus important regroupement de chercheurs au Canada entièrement dédié à l’étude des aliments et de leurs composantes dans le contexte des liens entre la nutrition, la santé et la prévention des maladies chroniques par de la recherche fondamentale, appliquée et clinique.

Il regroupe près de 50 chercheurs de différentes disciplines (agronomie, nutrition, sciences et technologie des aliments, biochimie, chimie, microbiologie, pharmacologie, physiologie, médecine expérimentale, sciences biomédicales, sciences de l'activité physique, sciences pharmaceutiques, psychologie, santé publique, médecine interne, etc.) et 25 chercheurs associés provenant des universités Laval, Montréal, Sherbrooke et UQAM qui s’intéressent tout particulièrement à 3 principaux domaines de recherche, dont :

découverte et caractérisation des aliments : physico-chimie des matières grasses pour la formulation de produits alimentaires et non alimentaires; l'extraction, l'analyse et le dosage de molécules bioactives d'origine végétale; l'analyse des risques alimentaires; contaminants alimentaires d'orgine chimique; etc.

 

-    Kakkar Group (en anglais) : explore le potentiel de nouvelles molécules dans la construction de nanomachines (composées d'atomes et donc d'une ou plusieurs molécules) pour une variété d'applications, y compris la conception de médicaments, l'ingénierie des cristaux, la fabrication du papier, la photonique, etc.

 

-    Laboratoire d'analyse de l'activité biologique des produits naturels LASEVE de l'UQAC (anciennement "Laboratoire d'analyse et de séparation des essence végétales LASEVE"): cherche à découvrir les potentiels pharmacologiques de molécules issues des ressources végétales de la forêt boréale notamment par l'extraction des produits naturels et l'identification des composés responsables de l'activité biologique et la mise au point de méthodes pour caractériser le potentiel biologique de produits naturels.

  

-    Laboratoire de biosenseurs et nanomachines de l'Université de Montréal (et Chaire de recherche du Canada en bio-ingénierie et bio-nanotechnologie) :  tente de mieux comprendre le mécanisme des nanomachines naturelles (composées d'atomes et donc d'une ou plusieurs molécules) retrouvées au sein des organismes vivants et d’utiliser cette connaissance pour mettre au point la prochaine génération de nanomachines pour des applications médicales, environnementales et industrielles.

 

-    Laboratoire de chimie bio-organique Guindon de l'Université de Montréal :  s'intéresse au design et à la synthèse de ligands (biomolécules) qui pourront agir comme agents thérapeutiques pour contrôler l'inflammation ou le cancer.

 

-   Laboratoire de chimie et d'électrochimie des solides de l'Université de Montréal : cherche à développer des matériaux conducteurs ioniques et/ou électroniques en vue d'applications dans le domaine du stockage/conversion de l'énergie.

 

-    Laboratoire de chimie médicinale de l'Université de Sherbrooke : rattaché à l'Institut de recherche en pharmacologie de l'Université de Sherbrooke; il s'intéresse à la validaton de cibles biologiques en émergence telles que : les récepteurs couplés aux protéines G (GPCRs), les macrocycles, les nouveaux agents de pénétration cellulaire, les inhibiteurs de protéases à sérine transmembranaires de type 2 (TTSPs) et les nouvelles cibles antibiotiques.

 

-         Laboratoire de contrôle du dopage : réputé internationalement, ce laboratoire rattaché au Centre de recherche de l’INRS-Armand-Frappier élabore de nouvelles méthodes permettant la détection et l'identification d'agents dopants chez les athlètes.

 

-    Laboratoire de matériaux fonctionnels de l'UQAM (en anglais) : se concentre sur le développement et l'étude des matériaux électrochimiquement actifs dans des dispositifs de stockage de charge, comme les batteries et les supercapacités et les matériaux de structure.

 

-    Laboratoire de méthodologies et de synthèse de produits naturels de l'UQAM : s'intéresse au développement de nouvelles méthodologies en chimie organique, concernant notamment la déaromatisation d'aromatiques et la mise au point de nouvelles synthèses de produits naturels complexes.

 

-   Laboratoire de radio-écologie de l'Université Laval : s'intéresse à la chimie radioanalytique et environnementale qui consiste à mesurer le degré de radionuléides (radioactivité artificielle et naturelle) dans les échantillons d'air, d'eau, de sols et d'organismes vivants et leurs effets et impacts sur l'environnement.

 

-    Laboratoire de recherche en biotechnologies et chimie de l'environnement de l'UQAR : voir CRABE

 

-    Laboratoire de recherche en chimie de l'environnement de l'Université de Sherbrooke : portent sur le développement et l'application de nouvelles méthodes analytiques pour étudier la présence et la toxicité des contaminants organiques émergents (pharmaceutiques, cyanotoxines, additifs pour le plastique, etc.) dans l'environnement.

 

-    Laboratoire de recherche en chimie des surfaces de l'Université de Sherbrooke : s'intéresse à la conception, l’analyse et la fabrication de matériaux fonctionnels ou de nano-structures utilisées dans les domaines biomédical ou de l’énergie.

 

-    Laboratoire de recherche en chimie organique et pharmaceutique de l'Université de Sherbrooke : effectue des recherches en synthèse de produits naturels et le développement de méthodologies de synthèse, en développement de matériaux et les nanomatériaux organiques, ainsi qu'en chimie médicinale centrée sur la découverte de médicaments.

 

-    Laboratoire de recherche en criminalistique de l'UQTR : unique au Québec et l'un des rares laboratoires de recherche en criminalistique au pays regroupant des chercheurs en chimie et biochimie; effectue des recherches dans les domaines tels que : chimie analytique, génétique des populations, biologie judiciaire, chimie organique, métabolisme biochimique, expertise dans le domaine du papier (preuve légale et support important de traces) pour le secteur de la criminalistique.

 

-    Laboratoire de recherche en polymères électroactifs et photoactifs de l'Université Laval (et Chaire de recherche du Canada en polymères électroactifs et photoactifs) :  s’intéresse au design, à la synthèse et à la caractérisation de polymères conjugués pour des applications dans le domaine de l’électronique organique.

 

-    Laboratoire de recherche en résonnance magnétique nucléaire RMN des systèmes biologiques de l'UQAM : s'intéresse à l'étude des systèmes biologiques complexes et pour lesquels la résonance magnétique nucléaire (RMN) des l'état solide et en solution joue un rôle essentiel comme outil de recherche.

 

-    Laboratoire de recherche Joelle Pelletier de l'Université de Montréal : ses recherches visent à modifier les enzymes afin de combattre la résistance aux antibiotiques, à fournir de nouvelles applications industrielles dans le domaine de la biocatalyse et de la chimie verte.

 

-    Laboratoire de recherche Wilkinson sur les métaux traces et les nanoparticules dans l'environnement : ce laboratoire de l'Université de Montréal étudie la biophysicochimie des systèmes biologiques et environnementaux en développant des techniques analytiques sensibles afin de mieux comprendre la biodisponibilité des contaminants environnementaux et des micro-organismes aquatiques.

 

-    Laboratoire de spectroscopie de masse bio-analytique de l'UQAM : étudie les métabolites réactifs et leurs liaisons avec les protéines afin d'obtenir plus d’information sur le mécanisme de toxicité de certains médicaments qui donnent des effets toxiques.

 

-    Laboratoire de synthese organique et de chimie verte de Mcgill (en anglais) : explore de nouvelles réactions catalytiques qui ont une forte atome-efficacité dans l'eau synthétiser des composés biologiquement importants et des matières organiques d'une manière rentable et respectueuse de l'environnement. Ces recherches auront des applications industrielles dans la fabrication de produits cosmétiques et de soins personnels naturels, de produits nettoyants biodégradables, etc.

 

-         Laboratoire national des essais environnementaux : laboratoire de recherche d’Environnement Canada situé à Ottawa. De nombreuses recherches et des expertises dans le domaine de l’environnement y sont effectuées sur les écosystèmes prioritaires, la conservation de la diversité biologique, la réduction des menaces que représentent les substances toxiques, la réduction des impacts humains sur les écosystèmes, les urgences environnementales et la bonne gestion environnementale. 

 

-    Laboratory for fundamentals of colloid and interface science and their relations to papermaking chemistry (en anglais) : ce laboratoire de recherche en chimie des matériaux de Mcgill, étudie les fondements de colloïdes et de la science de l'interface et leurs relations avec la chimie de la fabrication du papier.

 

-    Lumb Group (en anglais) : ce laboratoire de recherche en catalyse de Mcgill, étudie de nouveaux procédés catalytiques qui convertissent le courant bio-raffinage "déchets" en produits chimiques explore le potentiel des substances biologiques pour la mise au point de méthodes pour caractériser le potentiel biologique de produits naturels.

 

-    Mcgill Atmospheric Chemistry,  Aeosols and Cloud Microphysics Research Group (en anglais) : s'intéresse notamment aux processus physiques et aux impacts environnementaux de la pollution causée par les aérosols.

 

-         Mcgill Institute of Advanced Materials : important organisme de recherche multidisciplinaire dans le domaine des matériaux. Il regroupe des chercheurs en sciences dentaires, en chimie, en biologie cellulaire, en physique, en génie chimique, en génie des matériaux, en génie informatique et en génie biomédical. Les principaux intérêts de recherches portent sur : les biomatériaux (biominéralisation, biosenseurs, matériaux dentaires, ingénierie tissulaire, etc); les macromolécules auto-assemblés (polymères, propriétés et structures des molécules, etc); les fluides complexes; matériaux micro et nanostructurés (composites, métaux, céramiques, etc) et la nanotechnologie (développement de matériaux pour des applications en optoélectronique, microélectronique, photonique, biosenseurs, etc).

 

-    Mcgill Nanotools Microfab Lab (en anglais) : regroupant une cinquantaine de chercheurs de plusieurs disciplines (physique, chimie, physiologie, génie biomédical, génie chimique, génie électrique, génie mécanique et génie des matériaux) provenant des universités de Mcgill (une trentaine), mais également de Sherbrooke, Concordia, Polytechnique, Montréal, Ottawa et Toronto et en partenariat avec 7 entreprises; il s'intéresse au développement de micro et nanoproduits allant des procédés de base jusqu'aux processus multi-étapes.

 

-    Moitessier Group (en anglais) : ce laboratoire de recherche en biologie chimique et synthèse organique de Mcgill, développe une méthodologie de synthèse organique pour la préparation de la catalyse lors de la conception de médicaments anticancéreux.

 

-    NanoULaval : centre d'expertise en nanosciences et nanotechnologies de l'Université Laval situé à qui regroupe 6 groupes de recherches des domaines de la biotechnologie la photonique, de l'infectiologie et des matériaux afin de développer des nanomatériaux de haute qualité pour diverses applications

 

-    Oléotek : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de Thetford Mines en Chaudière-Appalaches  qui fournit de l'expertise et du soutien technique auprès de PME et certaines grandes entreprises dans le développement de nouveaux produits en biotechnologie industrielle (transformation physico-chimiques des huiles animales et végétales) pour des applications pharmaceutiques, cosmétiques, alimentaires, plasturgie, pétrochimie (peintures, solvants, lubrifiants, fluides hydrauliques, etc), et chimiques (savons, détergents, cires, encres, assouplisseurs, etc).

 

-   Preston Group in Atmospheric Aerosols Particles (en anglais) : ce groupe de recherche en chimie atmosphérique de Mcgill, se concentre dans l'élaboration de méthodes pour l'étude des processus microphysiques et chimiques des particules d'aérosols atmosphériques.

 

-         Recherche et Développement pour la Défense - Valcartier : centre de recherches de la Défense Nationale situé à Québec et qui a pour mission de réaliser des recherches afin de développer des systèmes de haute-technologies pour les Forces canadiennes, mais également pour des produits d’utilité publique. On y effectue notamment des recherches dans les secteurs suivants : Modélisation et simulation (modélisation du mélange des ingrédients solides afin d’améliorer et optimiser les méthodes de préparation et les propriétés rhéologiques de matériaux énergétiques à base de polymères); systèmes de combat (détection passive à distance de vapeurs chimiques); Gestion des incidents chimiques et biologiques (développement d’une mousse à base d’eau qui décontamine les surfaces et matériaux contaminés par des agents neurotoxiques, développement d’une mousse qui supprime le souffle explosif, etc).

 

-    Regroupement québécois de recherche sur la fonction, la structure et l'ingénierie des protéines PROTEO : il regroupe près de 40 chercheurs de différentes disciplines (biochimie, biologie cellulaire et moléculaire, bio-informatique, biophysique, chimie, génie chimique, microbiologie - sciences, microbiologie-immunologie, sciences et technologie des aliments, nutrition humaine, physiologie, pharmacologie, sciences pharmaceutiques, etc.) provenant de 10 universités (Laval, Sherbrooke, Montréal, Mcgill, UQTR, Concordia, UQAM, INRS-Armand-Frappier, Polytechnique et Ottawa), ainsi que des chercheurs associés provenant d'Héma-Québec et de centres collégiaux de transfert de technologie (Transbiotech, Oléatek et CNETE) ayant pour objectif la compréhension de la relation entre la structure des protéines et leurs fonctions biologiques (protéines de reconnaissance des acides nucléiques, métalloprotéines, protéines et peptides membranaires, protéines d'intérêt appliqué, etc).

Ses principaux intérêts de recherche dans le domaine des sciences pures portent sur les protéines de reconnaissance des acides nucléiques, les métalloprotéines, les protéines et peptides membranaires, les protéines de pertinence antimicrobienne, ainsi que les protéines d'intérêt appliqué.

 

-    Regroupement québécois sur les matériaux de pointe : important regroupement de chercheurs des universités Mcgill, Polytechnique, Montréal et Sherbrooke qui conçoit et développe des matériaux à l'échelle atomique (nomatériaux et matériaux quantiques) pour des applications en photonique, biomédical, microélectronique, etc.

 

-    Thibodeaux Lab at Mcgill (en anglais) : tente de comprendre les principes biologiques et chimiques de base qui régissent la biosynthèse des produits naturels antimicrobiens et qui permettent aux bactéries de résister aux effets d'un traitement antibiotique.

 

En foresterie :

 

-    Arbora Nano : centre d'excellence en nanosciences pour le secteur forestier situé à Pointe-Claire dans la région de Montréal qui regroupe des chercheurs d'universités, du Gouvernement du Canada et d'entreprises privées en recherche et développement en forestier qui développent des nanoproduits pour l'industrie canadienne des produits forestiers

 

-      Bellairs Research Institute : important centre de recherche rattaché à l’Université Mcgill et situé aux Barbades dans les Caraïbes effectuant de nombreuses recherches dans les domaines de la biologie et de la foresterie (notamment en botanique forestière, écologie des écosystèmes forestiers tropicaux, aménagement et conservation de la forêt tropicale, etc.)

 

-    Centre d'études sur la forêt : regroupant plus de 70 chercheurs réguliers de différentes disciplines (sciences forestières, biologie, géographie, entomologie) provenant des universités Laval, UQAC, UQAT, UQAR, UQAM, Sherbrooke, UQO, Mcgill, Montréal, Concordia et Téluq; ainsi que des chercheurs associés provenant notamment des universités de Fribourg, Helsinki, Moncton, Alberta, Regina, UBC,  Ressources naturelles Canada, Environnement Canada, Ministère des Forêts du Québec; il est le plus important centre de recherche en foresterie en milieu universitaire au Canada et l'un des plus importants en Amérique du Nord et ... le seul au Québec.

Il cherche à mieux comprendre le fonctionnement et la dynamique de la forêt, les interactions entre ses composantes et leur biologie propre dans une perspective conciliant la conservation de la biodiversité et l'augmentation de la productivité des essences commerciales, la microprogation des essences forestières, le flux génétique et la structure des populations forestières, la vulnérabilité de la diversité biologique à l'aménagement forestier, l'impact des pratiques forestières, la régénération forestière, la dynamique naturelle des écosystèmes forestiers, la planification de scénarios en aménagement forestier, la sylviculture intensive et la ligniculture, les approches sylvicoles, la foresterie autochtone, etc.

 

-    Centre d'études nordiques : centre interuniversitaire de recherche regroupant une quarantaine de chercheurs provenant de diverses disciplines (biologie, géographie, géomatique, aménagement du territoire, biochimie, géologie, sciences de l'atmosphère, sciences forestières, physique, phytologie, génie civil et histoire) des universités Laval, UQAR, Sherbrooke, UQTR, UQAC, Mcgill, Montréal, UQAM, Concordia et INRS; il s'intéresse au développement durable et aux impacts environnementaux des régions nordiques, ainsi que l'aménagement et le développement des territoires nordiques respectant son patrimoine naturel et forestier.

 

-    Centre de foresterie des Laurentides : situé à Québec, ce centre de recherche de Ressources naturelles Canada regroupant plus de 25 chercheurs de différentes disciplines (sciences forestière, biologie, microbiologie, biochimie, entomologie). On tente de mieux comprendre la dynamique des écosystèmes forestiers pour le développement de pratiques forestières qui tiennent compte des perturbations naturelles; tente de mieux comprendre la productivité et la dynamique de régénération des forêts afin de soutenir des politiques de gestion forestière durables et de contribuer à la transformation du secteur forestier et cherche à découvrir des façons de détecter rapidement : les maladies s’attaquant aux essences d’arbres dont le bois possède des caractéristiques recherchées par l’industrie; le niveau de résistance des arbres face aux ravageurs ou aux stress environnementaux; 3) la présence de ravageurs exotiques ou indigènes afin de minimiser leurs impacts; et les arbres les mieux adaptés au changement climatique. Ces travaux appuient l’optimisation de l’ensemble de la chaîne de valeur forestière.

 

-    Centre de recherche sur la boréalie de l'UQAC (et Chaire en éco-conseil) : s'intéresse aux ressources renouvelables et sur la forêt boréale. Ses intérêts portent notamment sur les changements climatiques de la forêt boréale, le développement d'outils et de méthodologies en éco-conseil, la conservation des lacs sans poisson en forêt boréale, etc.

 

-    Centre des sciences de la biodiversité du Québec : important centre de recherche regroupant plus d'une centaine de chercheurs de différentes disciplines (biologie, géographie, architecture du paysage, aménagement, sciences forestières) provenant de presque toutes les universités québécoises qui découvrent, étudient et utilisent la biodiversité du Québec.

Dans le domaine des sciences forestières; ce sont 6 chercheurs de Laval, UQAR, UQAM et Concordia qui s'intéressent notamment à l'écologie des écosystèmes forestiers nordiques; l'écologie et à l'aménagement des milieux humides et riverains forestiers; écologie, évolution et génomique des arbres forestiers; écologie du paysage forestier; aménagement, conservation et gestion du patrimoine forestier; impacts des perturbations naturelles et humaines sur la biodiversité de la forêt boréale; diversité et décomposition dans l'écosystème forestier; stabilisation du carbone dans les sols forestiers;  écologie et écophysiologie du pin et régénération par traitements sylvicoles; écologie des perturbations (feu et coupe) en pressière noire et changements climatiques, etc.

 

-         Chaire de recherche du Canada en écologie forestière et aménagement forestier durable : étudie les perturbâtions naturelles (feux, épidémies d’insectes, etc.) dans la forêt boréale afin d’améliorer les techniques d’aménagement forestier.

 

-    Chaire de recherche du Canada en foresterie autochtone : élabore desstratégies d'aménagement forestier durable respectueuses du point de vue et de la culture autochtones.

 

-         Chaire de recherche du Canada en génomique forestière et environnementale : développe des outils d’analyse des génomes d’arbres forestiers et développe des applications de la génomique fonctionnelle à l’environnement forestier.

 

-    Chaire de recherche du Canada en valorisation, caractérisation et transformation du bois : caractérise la qualité du bois des essences issues de ligniculture; étudie l’impact de la foresterie intensive sur la qualité du bois et la valeur des produits développe de nouvelles technologies de production de biomatériaux.

 

-         Chaire de recherche du Canada sur la Forêt habitée de l’UQAR : met au point les modalités de l’aménagement forestier soutenable dans un contexte de gestion écosystémique pour les régions du Bas-St-Laurent et de la Gaspésie. Il effectue des recherches telles que : utilisation de diverses techniques de paléoécologie pour comprendre le développement à long terme des écosystèmes forestiers, des populations animales le long des gradients d'habitats dans le milieu forestier, études fondamentales liées à la compréhension de la régénération après perturbâtion et les relations climat-reproduction chez les arbres, etc.

 

-         Chaire de recherche du Canada sur la valorisation, la caractérisation et la transformation du bois : effectue des recherches sur les aspects fondamentaux de la croissance de la matière ligneuse et son influence sur la qualité et la transformation du bois.

 

-         Chaire de recherche du Canada sur les écosystèmes nordiques de l’UQAR : effectue des recherches telles que : sélection de l’habitat de 4 espèces de rorquals dans le fleuve St-Laurent, relations trophiques dans la communauté de mammifères terrestres à l’île Bylot, relations entre les porcs-épics et l'écosystème forestier nordique, Écologie comportementale des écureuils roux de la forêt boréale à Kluane, Yukon, etc.

 

-         Chaire de recherche industrielle CRSNG en aménagement intégré des ressources de l'île d'Anticosti : au cœur d’une des plus riches régions fauniques et forestières du Québec, cette chaire rattachée au Centre d'études nordiques regrouant des chercheurs en biologie, phytologie et sciences forestières de l'Université Laval et du Ministere des Forêts, Faune et Parcs Québec; effectue des recherches sur l’impact les densités animales élevées sur les écosystèmes forestiers (notamment les cerfs), sélection de l’habitat et quête alimentaire du Cerf de Virginie, recherche et développement de stratégies sylvicoles adaptées aux populations animales herbivores, etc.

 

-    Chaire de recherche industrielle CRSNG-Université laval en sylviculture et faune : cherche à évaluer les impacts des plans d’aménagement du caribou répondent aux préoccupations du maintien des habitats et des populations sur des territoires allouant la récolte de bois.

 

-    Chaire de recherche industrielle CNRSNG – UQAT – UQÀM en aménagement forestier durable : élabore, développe et applique de stratégies et des pratiques d’aménagement forestier durable. Ses intérêts portent sur la dynamique forestière et l'historique des perturbations naturelles; les facteurs clés nécessaires au maintien de la biodiversité; la productivité forestière et la résilience des écosystèmes; le développement et l'évaluation de nouvelles approches sylvicoles; le développement et l'expérimentation de stratégies d'aménagement durable des forêts; ainsi que la valorisation et la caractérisation des essences commerciales pour la transformation.

 

-    Équipe de recherche du Jardin botanique de Montréal : regroupe 7 chercheurs permanents qui s'intéressent aux domaines suivants : l'écologie et sylviculture des espèces d’arbres feuillus; le développement de systèmes sylvicoles et agrosylvicoles; les environnements agroforestiers et sites dégradés; la biologie des arbres; l'écophysiologie d'espèces ligneuses; la physiologie moléculaire des arbres et des plantes; les relations sols-plantes; etc.

 

-       FPI Innovations (anciennement Forintek) : entreprise privée de recherche et développement  en sciences et technologies du boi situé à Québec, qui développe de nouveaux procédés de transformation des produits forestiers, dévelope de nouveaux produits du bois et de nouvelles applications des derivés du bois. Des recherches sont effectuées sur les impacts des décisions d’aménagement forestier sur les attributs du bois, développement et mise au point de nouvelles technologies du bois de sciage,  amélioration de la qualité des bois sciés traités au séchoir tout réduisant les coûts d’énergie, en identification des possibilités d’extraire des produits de valeur plus élevée à partir des ressources forestières existantes au Canada, développement, amélioration et évaluation des designs de produits (résistance structurale et bois d'apparence, etc.

 

-         Gault Nature Reserve : réserve naturelle privée situé au Mont-St-Hilaire en Montérégie accessible au public et rattaché à l’Université Mcgill où s’effectue de nombreuses recherches sur le terrain pour différentes disciplines comme l’aménagement, la biologie, la géologie, la géographie, l’astrophysique, l’archéologie, etc. Dans le domaine des sciences forestières, on s'intéresse à l'entomologie forestière; changements du paysage forestier dans cette région; contraite environnementale des espèces d'arbres; etc.

 

-    Groupe de recherche en thermotransformation du bois de l'UQAC : s'intéresse notamment au développement de nouveaux produits du bois en utilisant des procédés de thermotransformation.

 

-         Groupe de recherche interuniversitaire en écologie forestière : voir le Centre d'études sur la forêt

 

-         Groupe de recherche sur les ressources renouvelables en milieu boréal : voir le Centre de recherche sur la boréalie de l'UQAC

 

-    Groupe interdisciplinaire de recherche en agroforesterie de l'Université Laval : regroupant des chercheurs de plusieurs disciplines (agronomie, foresterie, biologie, géographie, économie rurale, etc), il s'intéresse aux questions écologiques et techniques reliées à la pratique de l'agroforesterie comme : l'agroforesterie des milieux tropicaux et subtropicaux, l'agroforesterie des milieux tempérés, etc.

 

-    Institut de recherche sur les forêts de l'UQAT : important centre de recherche sur les écosystèmes forestiers, principalement sur la forêt boréale ayant des laboratoires situés au campus de Rouyn et dans la Forêt d'enseignement et de recherche du lac-Duparquet. Les intérêts portent sur la ligniculture et la sylviculture intensive, la génétique forestière, sols et nutrition forestière, foresterie autochtone, aménagement forestier, dendroécologie, opérations forestières, écologie des écosystèmes forestiers, physiologie végétale, restauration écologique, télédétection appliqué au domaine forestier, etc.

 

-    Institut des sciences de la forêt tempérée de l'UQO : étudie les processus naturels qui gouvernent le fonctionnement de l’écosystème forestier de la forêt tempérée afin d’assurer le maintien des couverts forestiers en termes de quantité, de qualité et de diversité. Ses intérêts portent sur le fonctionnement des organismes et écosystèmes des milieux naturels et aménagés de la forêt tempérée; la caractérisation et monitoring des ressources naturelles; ainsi que le développement d'approches novatrices pour la mise en valeur des ressources naturelles.

 

-    Morgan Aborterum (en anglais) : réserve forestière aménagée de 245 hectacles  de l'Université Mcgill situé au campus Macdonald à Ste-Anne-de-Bellevue sur l'Île-de-Montréal où l'on retrouve la plupart des espèces d'arbres indigènes du Québec, ainsi que 18 collections d'arbres et arbustes de partout dans le monde. Des recherches y sont effectuées dans le domaine de la biologie des arbres, l'écologie forestière, la génétique forestière, les pratiques sylvicoles, les effets des changements climatiques et environnementaux et de l'urbanisation sur la croissance et le développement des arbres et arbustes, diversité des oiseaux et des insectes selon l'échelle d'un degré de perturbation urbaine; entomologie forestière du Morgan Arboretum, les méthodes de lutte biologique contre les insectes nuisibles, les méthodes de lutte biologique contre les champignons nuisibles, comportements et effets sur les petits mammifères, reptiles et amphibiens aux changements climatiques, comportements et effets sur les plantes sauvages de la réserve sur les changements climatiques, etc.

 

-    Station de recherche de la Forêt d'enseignement et de recherche du Lac Duparquet : située au milieu de la forêt boréale du bouclier canadien dans la région de l'Abitibi-Ouest en Abitibi-Témismingue, ce centre de recherche regroupant 15 chercheurs de l'UQAT, de l'UQAM, de l'UQAC et du Service canadien des forêts qui effectuent des travaux de recherche appliquée sur le terrain dans le domaine des sciences forestières boréales. Les principaux intérêts portent sur l'étude des population de frênes noires au lac Duparquet, la dispersion des graines et le recrutement chez les conifères, les épidémies de la tordeuse des bourgeons de l'épinette, régime des feux chez le pin rouge, régime des feux chez le pin gris, processus et mécanismes de régénération du peuplier faux-tremble, l'aménagement forestier écosystémique dans la Forêt du lac Duparquet, géomorphologie et aménagement des sols argileux, impacts des changements climatiques sur la forêt boréale, etc.

 

-    Réseau ligniculture du Québec : regroupant une vingtaine de chercheurs des universités Laval, UQAT, UQAM, UQAR, Mcgill, Montréal, Alberta et Provence en France; effectue de la recherche et développement et du transfert technologique en sylviculture intensive des plantations et en ligniculture. Les intérêts portent sur l'amélioration génétique et physiologie (afin de produire des variétés qui s'adaptent aux changements climatiques et aux fléaux biotiques); croissance et rendement des plantations (production de plantations expérimentales dans 3 régions ciblées afin de déterminer leur rendement et leur qualité); santé des plantations (mise au point de méthodes moléculaires et conventionnelles de détection précoce et le développement de nouveaux biotests contre les pathogènes et insectes ravageurs); fertilité des sols (développement d'outils diagnostiques de la fertilité des sols, optimisation des méthodes d'amendement par biorecyclage, effets de la fertilité des sols sur la vulnérabilité des essences); impacts environnementaux (répercussions des plantations à croissance rapide sur le maintien de la biodiversité et la qualité de l'environnement, sur le paysage forestier, sur le potentiel récréatif et sur l'exploitation commerciale).

 

-         Unité de recherche et de développement forestier de l’Abitibi-Téminscamingue : réalise des projets de recherches tels que : Amélioration génétique du pin gris de l'Abitibi, évaluation des familles d'épinette blanche de l'Abitibi, évaluation de l'indice de qualité des stations des peuplements naturels de pin gris, étude comparée de la biodiversité des vieilles forêts et des parterres de coupe, élaboration de méthodes favorisant la régénération naturelle du pin gris après coupe, productivité et sylviculture du tremble et de la forêt boréale mixte, etc.

  

En géographie et géomatique :

 

Voir aussi aménagement et développement régional, sciences de l'atmosphère et des océans, sciences de la terre et sciences forestières.

 

-    AER Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche en micrométéorologie de l'Université Mcgill situé sur le campus Macdonald à Ste-Anne-de-Bellevue, concentre ses recherches sur la façon dont la gestion et la modification des écosystèmes induits par l'homme influent sur les interactions surface-atmosphère.

 

-    Aquatel Laboratoire d'optique aquatique et de télédétection de l'UQAR : développer et d'utiliser les technologies de télédétection et d'optique aquatique pour diagnostiquer la qualité des eaux à la surface de la Terre, particulièrement aux eaux côtières et océaniques, mais aussi aux rivières qui les alimentent.

 

-    Bishop's Multi-scale Climate and Environmental Change Research Group MUSCLE (et Chaire de recherche du Canada sur les changements climatiques et environnementaux) (en anglais) : s'intéresse aux impacts environnementaux des changements climatiques avec intérêts portant sur l'étude des particules biogènes (pollen, spores), leur contribution à la charge globale des aérosols; étude des changements de l'environnement côtier causés par les tempêtes et l'élévation du niveau de la mer; l'adaptation des communautés aux changements climatiques; les relations entre les changements climatiques et les changements hydrologiques, notamment en ce qui concerne les risques d'inondation; la modélisation théorique et mathématique des glaciers alpins et arctiques comme indicateurs des changements climatiques; les forces motrices derrière les changements climatiques.

 

-    Brace Centre for Water Resources Management of Mcgill (en anglais) : regroupant des chercheurs de plusieurs disciplines de Mcgill (génie civil, génie des bioressources, chimie, biologie, microbiologie, parasitologie, physique, géographie, sciences de l'atmosphère, etc.) qui s'intéresse aux aspects interdisciplinaires de la gestion des ressources en eau. Ses principaux domaines de recherches sont : contrôle de la pollution des eaux dans les régions rurales, impacts des changements climatiques sur les cours d’eau, fertilité des sols, conservation des sols et de l’eau, écologie des sols, etc.

 

-    Centre canadien de cartographie et d'observation de la terre : situé à Ottawa, ce centre de recherche de Ressources Naturelles Canada, cherche à caractériser et à surveiller la masse continentale du Canada, principalement afin d’appuyer le développement responsable des ressources naturelles du pays avec l'aide des ses capteurs satellitaires en orbite, ses équipements en imagerie satellitaire et sa Photothèque nationale de l’air.

 

-         Centre canadien de télédétection : situé à Ottawa, ce centre de recherche de Ressources Naturelles Canada développe et applique des technologies de télédétection pour le suivi des ressources et la protection de l’environnement, le développement d’applications géospatiales et autres applications pour l’agriculture, la cartographie, la foresterie, l’hydrologie, etc. Les principaux thèmes de recherches sont : les changements climatiques, le développement du nord, les techniques hyperspectrales et les désastres naturels.

 

-    Centre canadien des eaux intérieures : cet institut de recherches d’Environnement Canada est le plus important organisme de recherche sur l’eau au pays et est situé à Burlington en Ontario. Les principaux domaines de recherches effectuées sont : assainissement des écosystèmes aquatiques, rétablissement des écosystèmes aquatiques touchées par les pluies acides, effets des changements climatiques, causes des concentrations assez élevées de mercure dans des poissons prédateurs de divers lacs des Territoires du Nord-Ouest, propagation et la persistance des OGM dans les écosystèmes aquatiques, impact des pratiques courantes ou nouvelles de travail du sol et de gestion des engrais et des fumiers sur le volume et la qualité de l’eau, mise en application des techniques microbiologiques, moléculaires et chimiques pour localiser les sources de pollution fécale dans les Grands Lacs, contamination par les pesticides des aquifères peu profonds et des eaux réceptrices en aval, importance et des effets des produits thérapeutiques dans l’environnement au Canada, etc.

 

-         Centre d’applications et de recherches en télédétection de l’Université de Sherbrooke CARTEL : l’un des plus importants centres de recherches en télédétection au Canada effectue des recherches reliées à la géomatique de l’environnement, méthodes d’analyse en télédétection, aspects physiques de la télédétection, observation de la terre à partir de plates-formes aéroportées ou satellitaires, etc.

 

-    Centre d'études nordiques : centre interuniversitaire de recherche regroupant une quarantaine de chercheurs provenant de diverses disciplines (biologie, géographie, géomatique, aménagement du territoire, biochimie, géologie, sciences de l'atmosphère, sciences forestières, physique, phytologie, génie civil et histoire) des universités Laval, UQAR, Sherbrooke, UQTR, UQAC, Mcgill, Montréal, UQAM, Concordia et INRS; il s'intéresse au développement durable et aux impacts environnementaux des régions nordiques, ainsi que l'aménagement et le développement des territoires nordiques respectant son patrimoine naturel.

Les intérêts portent notamment sur : la télédétection du couvert nival nordique, développement de méthodes de suivi de l'environnement; pergélisol et les variations climatiques; impact des changements climatiques sur les milieux humides nordiques et sur l'occupation humaine dans l'Arctique; évaluation du risque associé à la dégradation du pergélisol au Nunavik; géomorphologie marine en milieu nordique; causes et conséquences des perturbâtions naturelles et anthropiques en forêt nordique; etc.

 

-    Centre d'études sur la forêt : regroupant plus de 70 chercheurs réguliers de différentes disciplines (sciences forestières, biologie, géographie, entomologie) provenant des universités Laval, UQAC, UQAT, UQAR, UQAM, Sherbrooke, UQO, Mcgill, Montréal, Concordia et Téluq; ainsi que des chercheurs associés provenant notamment des universités de Fribourg, Helsinki, Moncton, Alberta, Regina, UBC,  Ressources naturelles Canada, Environnement Canada, Ministère des Forêts du Québec; il est le plus important centre de recherche en foresterie en milieu universitaire au Canada et l'un des plus importants en Amérique du Nord et ... le seul au Québec.

Il cherche à mieux comprendre le fonctionnement et la dynamique de la forêt, les interactions entre ses composantes et leur biologie propre dans une perspective conciliant la conservation de la biodiversité et l'augmentation de la productivité des essences commerciales.

Dans le domaine de la géographie et la géomatique, ses intérêts portent notamment sur l'étude et la comparaison de la dynamique naturelle des écosystèmes forestiers des différentes régions du Canada et le développement des méthodes d'analyse des données par télédétection permettant de mieux connaître les ressources et les stocks de carbone actuels, de mieux planifier les scénarios d’aménagement à l’échelle du paysage et qui intègrent la conservation, l’aménagement intensif et l’aménagement extensif des territoires forestiers.

 

-    Centre de géomatique du Québec : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de Chicoutimi au Saguenay-Lac-St-Jean qui fournit de l'expertise, de la recherche appliquée et du soutien technique auprès de PME dans le développement de nouvelles technologies en géomatique, de nouvelles méthodes en cartographie et télédétection et le développement de nouvelles applications de la géomatique. Voici quelques exemples de projets réalisés : développement d'un procédé novateur pour l'évaluation volumétrique de carrières ou sablières par corrélation tridimensionnelle, développement d'une nouvelle méthodologie d’inventaire utilisant des technologies de pointe dans le domaine des algues littorales, développement d'un système automatisé d'acquisition et de traitement d'images multispectrales embarqué sur un drone dans un contexte d'agriculture de précision, etc.

 

-         Centre de recherche en aménagement et développement CRAD : important centre de recherche interdiscplinaire et interuniversitaire qui se penche sur les principaux enjeux liés à l’aménagement et au développement durables des espaces urbains et ruraux : les transformations de la ville, la viabilité des régions, le développement durable et la protection de l’environnement et l’innovation et l’amélioration des pratiques.

Il regroupe 20 chercheurs réguliers de différentes disciplines (anthropologie, géographie, économique, science politique, sociologie, architecture, aménagement du territoire et génie civil); ainsi que 19 chercheurs associés provenant de 11 universités et organismes (Laval, UQAM, UQTR, INRS, UBC, Marseille - Paul Cézanne, ENSAM en France, Louis-Pasteur en France, Haute École d'ingénierie et de gestion du canton de Vaud en Suisse, INSPQ et CHUM).

Dans le domaine des sciences géographiques et géomatiques; on y retrouve 3 chercheurs réguliers et 3 chercheurs associés dont les intérêts portent sur l'aménagement durable de la ville; la gouvernance locale et développement du territoire; le patrimoine naturel; les enjeux actuels du développement durable; la mobilité quotidienne; l'accessibilité des lieux d'emplois selon les modes de transport; les comportements de déplacements et de localisation résidentielle et leurs impacts sur la forme urbaine; la participation et décision territoriale;  les enjeux stratégiques découlant de l'utilisation croissante de l'automobile comme moyen de transport urbain et interurbain; le développement d'une approche intégrée de la gestion de la qualité de l'eau potable; les phénomènes actuels de densification et de requalification des banlieues; le développement de procédés géomatiques et de méthodes de statistique spatiale et temporelle utiles pour traiter les problématiques liées à l'aménagement du territoire; la cartographie; les systèmes d'information géographique; la spatialité numérique et compétences spatiales; les villes intelligentes et intelligence géospatiale; l'information géographique volontaire (open data); l'écologie du paysage; les indicateurs d'intégrité écologique; la surveillance active des écosystèmes et aménagement des rives; etc.

 

-         Centre de recherche en eau, terre et environnement de l’I.N.R.S. : important organisme multidisciplinaire de recherche regroupant des chercheurs de disciplines variées. Ses principaux domaines de recherches reliés à la géographie ou à la géophysique sont : hydrologie et gestion des ressources hydriques (changements climatiques, études d’impacts et suivis environnementaux, etc); géodynamique des ressources de l’environnement (télédétection appliquée au suivi des ressources en eau et particulièrement la neige, etc).

 

-         Centre de recherche en géochimie et géodynamique GÉOTOP : centre rattaché conjointement de l’Université Mcgill et de l’UQÀM dont ses principaux axes de recherches sont les suivants : causes de l’évolution et des changements du climat, des océans et des milieux naturels, compréhension de la dynamique interne de la Terre (volcanisme et la télédétection, évolution des continents et interaction avec le manteau, modélisation en géophysique, etc), ainsi que la biogéochimie (contamination des eaux douces, astrobiologie des planètes, la géochimie des sédiments, les modifications biochimiques de l’environnement, etc).

 

-    Centre de recherche en géomatique : le centre de recherche est un regroupement d’experts des universités Laval, Mcgill, Sherbrooke et UQÀM. Ses principaux thèmes de recherches portent sur les sujets suivants : La planification, l’acquisition rapide et précise et la transmission immédiate des données sur le territoire dans l'environnement des nouvelles technologies de l’information NTIC, la transformation des données en information intégrée et « intelligente  et l’accessibilité et la diffusion de cette information dans l'environnement des NTIC. Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours :

développement et optimisation de la technologie LIDAR pour la surveillance de la convergence des tunnels miniers (permettant d’intervenir dans des zones à risque d’affaissement); extraction automatique d’objets (bâtiments, arbres, véhicules, trottoirs, panneaux de signalisation, etc.), à partir de nuages de points LiDAR 3D pour la modélisation spatiale précise des environnements 3D urbains (pour des applications notamment en urbanisme et design urbain); élaboration d'un atlas interactif en ligne de la population (pour des applications de sécurité civile en prévention de catastrophes ou d'accidents majeurs); étude de la déformation spatio-temporelle d’un couvert de glace sur les barrages ou réservoirs hydroélectriques à l’aide d’une station totale robotisée; amélioration de la précision verticale du positionnement GPS haute précision pour les nombreuses applications de télédétection GPS; développement de nouvelles technologies relatives au divertissement éducatif, fondé sur la réalité augmentée mobile(notamment pour des applications en enseignement des sciences); conception et développement d'une solution technologique multimodale d’assistance à la mobilité pour les personnes utilisatrices d’un fauteuil roulant; etc.

 

-    Centre de recherche sur la boréalie de l'UQAC (et Chaire en éco-conseil) : s'intéresse aux ressources renouvelables et sur la forêt boréale. Ses intérêts portent notamment sur les changements climatiques de la forêt boréale, le développement d'outils et de méthodologies en éco-conseil, la conservation des lacs sans poisson en forêt boréale, etc.

 

-    Centre de recherche sur les interactions bassins versants - écosystèmes aquatiques RIVE de l'UQTR : cherche à mieux comprendre les interactions entre le milieu terrestre et les écosystèmes aquatiques afin d'en « prédire » leurs comportements face aux changements naturels ou anthropiques (par les humains). Ses intérêts portent notamment sur l'influence de l'hétérogénéité spatio-temporelle sur le fonctionnement des écosystèmes aquatiques; les échanges aquatiques-terrestres et leurs impacts sur les réseaux trophiques et les communautés aquatiques;les conséquences des impacts anthropiques sur les bassins versants et l'intégrité des écosystèmes aquatiques; ainsi que l'impact des changements climatiques sur les écosystèmes aquatiques.

 

-    Centre de recherche sur les milieux insulaires et maritimes de l'UQAR : situé aux Îles-de-la-Madeleine, il réalise des projets tels que : développement d'une stratégie énergétique des Îles-de-la-Madeleine; étude des facteurs de risques naturels, économiques et politiques constituant des sources de vulnérabilité pour les petits milieux insulaires et des stratégies pour en développer la résilience; étude de préfaisabilité pour un parc régional réunissant les terres publiques des îles de la Madeleine dans un cadre de gouvernance et de développement des ressources naturelles cohérent; étude pour une vaste AMP (aire maritime protégée) autour de l’archipel des îles de la Madeleine; élaboration du Plan régional de développement intégré des ressources et du territoire pour les Îles-de-la-Madeleine; etc.

 

-    Centre des sciences de la biodiversité du Québec : important centre de recherche regroupant plus d'une centaine de chercheurs de différentes disciplines (biologie, géographie, architecture du paysage, aménagement, sciences forestières) provenant de presque toutes les universités québécoises qui découvrent, étudient et utilisent la biodiversité du Québec. Dans le domaine de l'aménagement, de la géographie de l'architecture du paysage, ce sont 4 chercheurs de Montréal, Laval et Concordia qui s'intéressent notamment à l'implantation en milieu urbain de systèmes végétalisés de contrôle à la source des eaux pluviales comme option d’adaptation aux changements climatiques; conception d’un écran antibruit végétalisé adapté aux normes de Transports Québec sur les abords des autoroutes; biogéographie des invasions biologiques, particulièrement le long des cours d'eau et en bordure de routes et ses impacts sur la biodiversité urbaine; etc.

 

-    Centre interuniversitaire de recherche sur le saumon d’Atlantique CIRSA : regroupant 15 chercheurs en biologie, écologie, géographie et sciences de l'eau provenant des universités Laval, UQAR, UQTR, Mcgill, Sherbrooke, Montréal, Concordia et INRS; on y effectue des recherches sur les facteurs environnementaux et génétiques qui contrôlent la production du saumon d’eau douce (habitats et productivité, caractéristiques des stocks de saumon québécois, conservation de la biodiversité génétique des salmonidés, impacts des changements des écosystèmes aquatiques sur les salmonidés, développement d'outils et d'intervention en restauration des sites d'élevage, etc.).

Les intérêts en géographie et la géomatique portent notamment sur la géomorphologie fluviale, la dynamique de l'habitat des poissons, la restauration des rivières et habitats des poissons, études d'impacts et suivi environnemental, caractérisation des rivières par la géomatique, modélisation des habitats aquatiques par la géomatique, hydrologie statistique environnementale, etc.

 

-    Centre Interuniversitaire de Recherche sur les Réseaux d'Entreprise, la Logistique et le Transport CIRRELT : l'un des plus importants centres de recherche dans le domaine des transports en Amérique du Nord, ce centre interdisciplinaire et interuniversitaire de recherche de réputation internationale a été forme à la suite de la fusion du Centre de recherche sur les transports de l'Université de Montréal, du CENTOR de l'Université Laval, du Groupe Polylogistique de Polytechnique et de la Chaire de recherche industrielle CRSNG de en management logistique de l'UQAM.

Il cherche à résoudre des problèmes liés à la conception, à la gestion,  l’opération et à la sécurité des réseaux logistiques, de services et d’infrastructures afin d'optimiser l’utilisation des réseaux et à développer des solutions innovatrices et durables pour faire face aux nombreux défis socio-économiques complexes liés aux réseaux.

Il regroupe 68 chercheurs réguliers de plusieurs disciplines de la gestion, des sciences appliquées et du génie (économique, gestion de la chaîne logistique, gestion des opérations, finance, management, sciences de la décision de gestion, gestion des technologies de l'information, études urbaines, géographie, informatique, urbanisme, génie civil, génie du bâtiment, génie mécanique, génie de la construction, génie de la production automatisée, génie industriel, etc.) provenant de 9 universités (Montréal, Laval, Mcgill, Concordia, UQAM, UQAR, HEC Montréal, Polytechnique et ÉTS).

Il regroupe également 46 chercheurs collaborateurs de différentes disciplines provenant de 32 universités (Montréal, Mcgill, Concordia, UQAM, UQTR, UQO, Bishop, HEC Montréal, Polytechnique, ÉTS, Carleton, McMaster, Toronto, Central Florida, Virginia Tech, Maryland, Texas A & M, Georgia Tech, California at Santa Cruz, Embry-Riddle Aeronautical - Daytona Beach, Naval Postgraduate School aux USA, Bordeaux en France, Polytechnique fédérale de Lausanne en Suisse, di Roma La Sapienza en Italie, Polytecnico di Milano en Italie, Polytecnico di Torino en Italie, Neufchâtel en Suisse, Genève en Suisse, Kedge Business School en France, del Pacifico au Pérou, Federal do Paraná au Panama et l'École nationale supérieure d'ingénieurs de Tunis en Tunisie).

En sciences géographiques et géomatiques; on y retrouve 2 chercheurs dont les intérêts portent sur la planification et exploitation des réseaux de transport et la planification et exploitation des réseaux de communication, etc.

 

-    Centre SEVE (centre de interuniversitaire recherche en biologie végétale : centre de recherche interuniversitaire situé à Sherbrooke en Estrie, regroupant des chercheurs des universités de Sherbrooke, Laval, Mcgill, Montréal, UQTR et UQAT, ainsi que d'Agriculture Canada qui s'intéresse aux différents aspects des sciences végétales tels que : interactions entre les plantes et son environnement, impacts écologiques des technologies sur les végétaux et les écosystèmes, etc.

 

-         Centre St-Laurent : important organisme de recherche d’Environnement Canada situé à Montréal, il est entièrement consacré aux écosystèmes fluviaux du St-Laurent. On y effectue des recherches sur la biodiversité fluviale (introduction d’espèces non indigènes et l’évaluation de l’impact sur la biodiversité); rejets urbains (écotoxicologie des rejets urbains, impact des rejets urbains sur la santé des poissons, chimie environnementale des rejets urbains); transport à distance des polluants atmosphériques (suivi spatio-temporel des lacs); suivi de l’état de santé du St-Laurent (suivi de la végétation des milieux humides, suivi de la qualité de l’eau, dynamique des glaces sur le tronçon fluvial Varennes-Sorel, etc).

 

-    Chaire d'excellence en recherche du Canada sur la télédétection de la nouvelle frontière arctique du Canada : rattachée à l'Unité mixte internationale de recherche Takuvik, elle étudie l’environnement marin arctique par différentes technologies d’observations spatiales, des modèles numériques.

 

-    Chaire de recherche du Canada en géomatique cognitive – La référence spatiale à la croisée des chemins : rattachée au Centre de recherche en géomatique de l'Université Laval, elle tente d’intégrer la référence géodésique et la cognition humaine afin de mettre en œuvre une référence intégrée pour des applications en santé, en planification urbaine, en gestion des forêts, en architecture, etc.

  

-    Chaire de recherche du Canada en observation de la terre écophysiologie du plancton (en anglais) : étudie l’effet des changements environnementaux sur les écosystèmes aquatiques notamment pa la télédétection de la couleur de l’océan et modélisation de la production primaire, par la télédétection de la fluorescence naturelle émise par les phytoplanctons et par l'observation automatisée du plancton en milieu lacustre.

 

Chaire de recherche du Canada sur la dynamique à long terme et les perturbâtions naturelles des forêts boréales : cherche à développer et exploiter l'analyse des pollens dans la détermination des facteurs et des régimes de perturbâtions (feux, chablis, infestations d'insectes, changements climatiques) dans la structure et la résilience des écosystèmes boréaux.

 

-    Chaire de recherche sur la dynamique des écosystèmes tourbeux et changements climatiques :  étudie les effets des changements climatiques naturels ou des facteurs anthropiques (causés par les humains) sur les bilans de carbone des différents milieux tourbeux du nord-est de l’Amérique du Nord suivant un gradient de nordicité (régions méridionales, boréales, subarctiques et arctiques) afin de tenter de prévoir comment pourraient se comporter les écosystèmes dans le futur.

 

-         Chaire de recherche du Canada en étude des phénomènes associés au givrage atmosphérique des équipements des réseaux électriques et des méthodes de prévention : conçoit des modèles mathématiques du givrage et de son délestage afin d’élaborer des outils pour prévoir des catastrophes comme la crise du verglas de janvier 1998 et pour assurer le délestage du givre sur les équipements électriques.

 

-    Chaire de recherche du Canada en géochimie des hydrogéosystèmes côtiers : a pour objectif caractériser et quantifier les transformations géochimiques souterraines entre les nappes d’eau souterraine côtières et les océans.

 

-    Chaire de recherche du Canada sur l’observation de la Terre et l’écophysiologie du phytoplancton : utilise l'imagerie satellite et la télédétection pour étudier le phytoplancton – les organismes microscopiques qui sont à la base de la production biologique de ces systèmes afin de de mieux saisir et de prédire l’effet qu’ont les changements environnementaux sur les écosystèmes aquatiques.

 

-    Chaire en aménagement forestier durable UQAT-UQAM : élabore, développe et applique de stratégies et des pratiques d’aménagement forestier durable. Ses intérêts portent sur la dynamique forestière et l'historique des perturbations naturelles; les facteurs clés nécessaires au maintien de la biodiversité; la productivité forestière et la résilience des écosystèmes; le développement et l'évaluation de nouvelles approches sylvicoles; ainsi que le développement et l'expérimentation de stratégies d'aménagement durable des forêts.

 

-    Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal : s'intéresse aux différentes problématiques contemporaines de conception et d'aménagement en milieu urbain (densité de population, changements climatiques, qualité des sols, etc.). Les intérêts portent sur les aspects environnementaux, techniques et d’acceptabilité sociale de l’implantation de divers aménagements techniques avec les végétaux (systèmes végétalisés de gestion des eaux pluviales, toits verts etc.) et d’infrastructures conventionnelles telles que les écrans acoustiques;  l’évaluation et la gestion des espaces naturels en milieu urbain et périurbain; le développement et l’amélioration les mécanismes urbanistiques qui favorisent la qualité du design en architecture et en design urbain; la caractérisation des paysages et sur les processus d’invention et de réinvention des paysages, etc.

 

-    Chaire multifacultaire de recherche et d’intervention sur la Gaspésie et les Îles : chaire de l’Université Laval réalisant des projets visant le développement et la mise des valeurs des ressources, du patrimoine, des paysages et de la culture, ainsi que la protection des écosystèmes naturels de cette région.

 

-    Chaire UQTR Écologie du paysage et aménagement : cherche des moyens afin que les paysages d'intensification agricole du sud du Québec qui sont soumis à de nombreux défis environnementaux (perte de biodiversité, dégradation de la qualité de l'eau et des sols, etc.) retrouver leur caractère multifonctionnel et des potentialités diversifiées pour l'avenir.

 

-    Chaire UNESCO en paysage et environnement : s'intéresse au développement durable des territoires urbains à travers la complexité des enjeux de la mondialisation. Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours : réaménagement paysager du Parc olympique de Montréal, développement de stratégies de mise en valeur du territoire de Qingdao en Chine, réalisation de projets de jardin lors d'expositions internationales, etc.

 

-         Gault Nature Reserve : réserve naturelle privée situé au Mont-St-Hilaire accessible au public et rattaché à l’Université Mcgill où s’effectue de nombreuses recherches sur le terrain pour différentes disciplines comme l’aménagement, la biologie, la géologie, la géographie, l’astrophysique, l’archéologie, etc.

 

-    Genorem : regroupant 16 chercheurs de différentes disciplines (microbiologie-immunologie, biochimie, biologie, géographie, phytologie, science politique et droit) des universités de Montréal, Mcgill et du Conseil national de recherches du Canada; ce centre de recherche tente de trouver des solutions afin d'améliorer les techniques vertes de décontamination des sols pollués en utilisant la génomique pour mieux comprendre les interactions plantes-microorganismes lorsque ceux-ci sont en présence de contaminants afin de déterminer les meilleures approches pour favoriser leur extraction ou leur dégradation.

Dans le domaine de la géographie, les intérêts portent sur l'évaluation environnementale; l’impact des changements environnementaux, comme l’acidification et la contamination des sols ou les fluctuations des conditions climatiques, sur le cycle biogéochimique des éléments traces; etc.

 

-    Geothink Canadian Geospatial and Open Data Research Partnership (en anglais) : regroupant des chercheurs de Mcgill, Laval, INRS, Toronto, UBC, Ryerson, Ottawa, Saskatchewan et Waterloo; ce réseau de recherche examine les conséquences de l'augmentation des échanges bilatéraux d'informations de localisation entre les citoyens et les gouvernements et la façon dont les formes de technologie, et est façonnée par cet échange. Les intérêts en lien avec la géographie et la géomatique portent sur la géolocalisation, l'intelligence géospatiale et le développement d'outils d'information géographique pour des applications variées (urbanisme et aménagement, tourisme, activités en forêt, sécurité publique, transports, militaire, recherche & sauvetage, navigation maritime, etc.

 

-         Groupe d’études interdisciplinaires en géographie et environnement régional GEIGER de l'UQAM : se penche principalement sur les problématiques régionales à caractère régional. Ses principaux axes sont : la gestion intégrée de l’environnement, la cartographie écologique, l’évaluation environnementale, les changements climatiques, la télédétection en géologie et foresterie, l’analyse géographique des pays en voie de développement, etc.

 

-         Groupe de recherche et d’intervention régionales de l’UQAC : ce groupe de recherche interdisciplinaire s’intéresse aux problèmes de développement des collectivités locales et régionales. Ses principaux domaines de recherches sont : aménagement intégré du territoire et des ressources, environnement et récréotourisme médio-nordique, évaluation des ressources en régions, mise en valeur des espaces nordiques, évaluation environnementale, etc.

 

-          Groupe de recherche interdisciplinaire sur le développement régional, de l’Est du Québec GRIDEQ  : groupe de recherche de l’UQAR  réputé étudie les processus et les conditions de développement des régions tant sur les plans sociaux, économiques, culturelles que géographiques et environnementaux. Les travaux de recherches portent sur les thèmes suivants : mise en valeur des ressources naturelles, évolution du système urbain, organisation et amélioration des situations de travail en général et plus spécifiquement en transport routier des marchandises, aménagement urbain développement des régions semi-urbaines ou rurales, etc.

 

-    Groupe de recherche sur les environnements nordiques BOREAS de l'UQAR : s'intéresse à la diversité et à la conservation des géoécosystèmes nordiques soumis à une longue saison froide avec des intérêts tels que :  télédétection appliquée à l'étude des écosystèmes côtiers; développement de modèles de gestion intégrée des milieux côtiers; dynamique fluviale des rivières en régions froides; analyse des aléas (inondation, érosion, embâcles) reliés à la dynamique des cours d’eau et la cartographie des zones à risque; interactions entre les eaux de surfaces et les eaux souterraines; étude des processus de versant et la gestion et prévention des risques naturels en montagne; prévention des risques littoraux; etc.

 

-    Groupe GEOIDE (GÉOmatique pour des Interventions et Décisions Éclairées : ce groupe de recherche multidisciplinaire intègre une multitude sciences appliquées à la géomatique (sciences géomatiques, géographie, ingéniérie, géologie, sciences de la terre, etc).  Ses principaux axes de recherches sont : ressources naturelles (développement d’une technologie de positionnement cinématique ponctuel en temps réel, imagerie spectroscopique: Développement pour les ressources minérales et renouvelables, applications géomatiques adaptées pour l'exploration des ressources et des risques naturels, etc); transports et commerce (fusion intelligente de données pour la navigation aérienne et la gestion des désastres, prochaine génération de systèmes de navigation à base de capteurs mécaniques microélectriques ( MEMS ) pour les véhicules, les déplacements des individus ainsi que leur localisation, etc); environnement et milieu marin (observation des catastrophes et désastres naturels, Un système intégré d'aide à la décision pour la gestion de bassins hydrologiques, la géomatique marine et l'analyse des risques dans la zone côtière, etc); santé, développement social et services (Une interface cartographique pour l'exploration multidimensionnelle des indicateurs de santé environnementale sur le web, variations spatiales dans le domaine de la santé et du développement humain, etc).

 

-    Groupe interdisciplinaire de recherche en agroforesterie de l'Université Laval : regroupant des chercheurs de plusieurs disciplines (agronomie, foresterie, biologie, géographie, économie rurale, etc), il s'intéresse aux questions écologiques et techniques reliées à la pratique de l'agroforesterie comme : l'agroforesterie des milieux tropicaux et subtropicaux, l'agroforesterie des milieux tempérés, etc.

 

-    Groupe interinstitututionnel de recherches océanographiques Québec Océan : regroupant des chercheurs de l'UQAR, de l'UQAC, de Laval, de Mcgill, et de l'INRS; s'intéresse aux grandes problématiques qui touchent les océans concernent le maintien de l’intégrité environnementale planétaire, de la biodiversité et des services qu’ils procurent à l’humanité. Dans le domaine en lien avec la géographie et la géomatique; comprennent : les mesures par télédétection et développement des modèles numériques couplés afin de quantifier, comprendre et prévoir le déclin de la banquise et ses conséquences sur la circulation océanique, la formation des eaux profondes, les échanges océans-atmosphère de chaleur et de gaz à effet climatique; l'étude et la modélisation des processus responsables de la consommation, de la production et du devenir des gaz à effet climatique; développement de nouveaux algorithmes afin de mieux exploiter les données de télédétection.

 

-          Institut de l’environnement de l’Université d’Ottawa : plus important centre de recherche dans le domaine de l’environnement au Canada regroupant près d'une centaine de chercheurs des universités d'Ottawa, Alberta, UBC, Carleton, Calgary, Toronto, Mcgill, Laval, Victoria, Montréal, Saskatchewan, Guelph, Western Ontario, Simon Fraser, UQAM et Brock; ainsi que des chercheurs associés internationaux provenant notamment de Yale, Stanford, University College London et Tilburg.

Il réalise de nombreuses recherches couvrant tous les secteurs de l’environnement (effets des contaminants chimiques, biologiques,  physiques, radiologiques et autres sur l’environnement géographie, biologique, géophysique et atmosphérique). Il s’intéresse également aux effets biologiques du rayonnement ionisant, (il abrite le Centre international de recherche sur les faibles doses de radiation).

 

-        Institut des sciences de la mer de Rimouski : l’un des plus grands centres de recherche en océanographie au monde et situé à Rimouski dans le Bas-St-Laurent, l’ISMER regroupe une vingtaine de chercheurs réguliers provenant de plusieurs disciplines (océanographie, biologie, géographie, chimie, géologie, archéologie, aquaculture) provenant de l'UQAR et plus de 70 chercheurs associés provenant de nombreux établissements universitaires, collégiaux et gouvernements (Université Laval, UQAC, UQAM, INRS, Université de Moncton, University of P-E-I, Université de Montpellier en France, University of Liverpool en UK, Environnement Canada, Pêches et Océans Canada, Institut Maurice-Lamontagne, ainsi que de Mérinov de l'École des pêcheries et de l'aquaculture) ayant une expertise dans ce grand et large secteur de recherches.

Les principaux domaines de recherches reliés à la géographie et la géomatique sont : géomorphologie marine, dynamique côtière nordique, analyse des fonds marins par télédétection marine, cartographie marine, formation des glaces sur les cours d'eau, géomatique marine, etc.

 

-    Institut Hydro-Québec en environnement, développement et société de l'Université Laval : important centre de recherche regroupant 94 chercheurs de plus d'une trentaine de disciplines reliées au domaine de l'environnement et du développement durable (dont chimie, biologie, agronomie, géographie, sciences de la terre, sciences forestières, génie agroenvironnement, génie civil, génie chimique, génie minier, etc.)dans une perspective interdisciplinaire.

Parmi les domaines de l'aménagement et aux sciences géographiques; on retrouve : gestion intégrée de l'eau, dynamique du climat et changements climatiques dans les milieux tropicaux, sciences de l'information géographique, modélisation des dynamiques urbaines et régionales, géo-simulation des dynamiques urbaines, etc.

 

-    Laboratoire d'expertise et de recherche en plein air de l'UQAC : s'intéresse aux différents aspects du plein air et du tourisme d'aventure tels que : la mise en valeur du patrimoine naturel, gestion de projets en aménagement de territoires écotouristiques, éthique environnementale en tourisme d'aventure, gestion des risques en région éloignée, survie en forêt, etc. Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours : étude comparative sur le potentiel récréatif de l'eau vive de la rivière Magpie en Côte-Nord;  cartographie de la rivière Nataspoka dans le Nord-du-Québec;

 

-    Laboratoire de biogéographie de l'Université de Montréal : étudie l’impact des changements climatiques sur la biogéochimie des tourbières, en particulier le rôle de ces écosystèmes dans le budget global du carbone atmosphérique.

 

-    Laboratoire de cartographie des dynamiques forestières de l'UQAM : développe des méthodes géomatiques avancées pour faire progresser les connaissances sur la répartition spatiale et la dynamique des forêts.

 

-    Laboratoire de dynamique et gestion intégrée des zones côtières de l'UQAR (et Chaire de recherche en géoscience côtière) : cherche à comprendre la sensibilité des régions côtières froides aux changements environnementaux en gestion intégré des zones côtières dans une perspective de développement durable de l'environnement maritime.

 

-         Laboratoire de géomorphologie et géotechnique des régions froides de l’Université de Montréal GéoScrylab :  ses recherches s'orientent autour de la formation, de l’évolution, de la destruction et des héritages du pergélisol en milieu arctique, subarctique et alpin. Il s'intéresse notamment au rôle de l’eau et des processus de gel et de dégel et à leur impact sur les propriétés du sol, entre autre sur le tassement, l’érosion, les écoulements et la stabilité des sols et des pentes; ainsi que le rôle de la glace massive et de la glace de ségrégation dans l’aggradation et de la dégradation du pergélisol dans les écosystèmes et surtout sur sa composante abiotique : le biotope.

 

-    Laboratoire de géosciences marines de l'Université Laval : rattaché au Centre d'études nordiques, ses travaux portent sur la cartographie et l’analyse des formes et des sédiments des fonds marins et lacustres à partir de données acquises par des levés hydrographiques et géophysiques et de l’échantillonnage de sédiments.

 

-    Laboratoire de géosimulation environnementale de l'Université de Montréal : s'intéresse à l'étude des dynamiques des systèmes géographiques complexes le développement d'approches hybrides destinées à améliorer la simulation spatiale permettant de résoudres des problèmes environnementaux.

 

-    Laboratoire de planification intégrée des transports de Concordia TRIP (en anglais) : se concentre sur la modélisation des transports, l'environnement, l' utilisation des terres et de leurs liens notamment par le développement d'outils permettant de recueillir des données sur l' endroit où les gens décident de vivre et comment ils se déplacent autour de la ville. Des applications en aménagement du territoire, en sécurité publique, en gestion de flottes de véhicules, en tourisme, etc. sont envisageables.

 

-    Laboratoire de télédétection et de géomatique de l'INRS : développe des applications de la télédétection pour la mesure et le suivi des ressources en eau, avec une spécialisation particulière sur l’étude de la cryosphère (neige, glace, sol gelé) et des environnements nordiques. Les thématiques abordées portent sur la caractérisation et cartographie de la glace de rivière et de mer; gestion et analyse du risque d'inondation; cartographie du gel saisonnier et de l'humidité au sol; estimation du débit en rivière; suivi des cyanobactéries dans les lacs du Québec, etc.

 

-    Laboratoire interdisciplinaire d'application de la géomatique environnementale LIAGE de l'UQTR : effectue la classification et l'analyse d'informations environnementales par l'acquisition et à la gestion de données spatiales en format numérique multisources et multi-échelles afin de permettre de développer des outils d'aide la décision en environnement.

 

-         Laboratoire national des essais environnementaux : laboratoire de recherche d’Environnement Canada situé à Ottawa. De nombreuses recherches et des expertises dans le domaine de l’environnement y sont effectuées sur les écosystèmes prioritaires, la conservation de la diversité biologique, la réduction des menaces que représentent les substances toxiques, la réduction des impacts humains sur les écosystèmes, les urgences environnementales et la bonne gestion environnementale. 

  

-    Laboratory for Cryospheric Research (en anglais) : laboratoire de recherche de l'Université d'Ottawa qui se consacre à la surveillance et la compréhension de la terre gelée, y compris les glaciers, les calottes glaciaires, plateaux de glace, les icebergs et la glace de mer.

 

-         Mcgill Arctic Research Station MARS : située au Nunavut, cette station de recherche concentre ses projets sur tout ce qui concerne la région arctique tels que : la glaciologie, les changements de climats, la géomorphologie, les écosystèmes polaires, les interactions des eaux souterraines du pergélisol, études des environnements polaires par télédection, etc.

 

-    McGill Subarctic Research Station MSARS (en anglais) : située à Schefferville en Côte-Nord près de la frontiere du Labrador, est un véritable laboratoire naturel nordique comprenant une forêt, de nombreux lacs, les étangs, les cours d' eau et les zones humides. Des recherches sont effectuées sur la nature et la distribution de la glace de sol et de son rôle dans le développement du paysage; sur les interactions des eaux souterraines du pergélisol; les environnements polaires comme analogues planétaires; ainsi que l'écologie microbienne du pergélisol;. Mais, des recherches peuvent aussi être effectuées dans les domaines de la géologie, de la géomorphologie, les écosystèmes, la limnologie, la faune, la flore et l’archéologie subarctiques.

 

-         Observatoire de l’environnement et du développement durable : effectue de nombreuses recherches reliées à l’environnement telles que : analyse des changements climatiques à l’échelle du continent, développement d’indicateurs du changement de l’environnement, la toxicité des mieux aquatiques, l’amélioration des eaux et des sols contaminés, utilisation optimale des biotechnologies à l’environnement, études sur les risques et les impacts de catastrophes environnementales, gestion des déchets industriels, développement des énergies renouvelables, etc.

 

-         Québec Océan Groupe interuniversitaires de recherche océanographiques du Québec : le plus important centre de recherches océanographiques au Canada et des plus réputés au monde, regroupe plusieurs universités québécoises, soit : Laval, Mcgill, UQAR, UQAC et INRS. On réalise des travaux concernant le climat des écosystèmes marins arctiques, l’évaluation environnementale des océans, les changements climatiques dans les océans, etc. Les principaux intérets en lien avec la géographie et la géomatique sont : géomatique marine, processus géomorphologiques subaquatives, mouvements de masse subaquatiques, environnements glaciaires, cartographie marine, fonte de la glace de mer, risques naturels et érosion côtière, interfaces du milieu marin, etc. Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours en lien avec la géographie ou la géomatique :

 dynamiques et les processus glaciaires tardi-quaternaire dans les systèmes fjord-auge glaciaire du nord-est de l'île de Baffin; dynamique de l’évolution côtière de l’estuaire et du golfe du Saint-Laurent; observation de l'environnement marin du St-Laurent afin de prédire les risques naturels; observation des 3 océans canadiens par de nouvelles technologies de détection spatiale appliquées; étude de l’environnement marin arctique par différentes technologies d’observations spatiales; etc.

 

-    Réseau CONVERGENCE d'intelligence géospatiale pour l'innovation : regroupant des chercheurs des universités Laval, Sherbrooke, Mcgill, Montréal, INRS, Victoria, Calgary, York, Simon Fraser, Saskatchewan, MUNF et RMIT; des partenaires industriels, soit : Bell Canada, CAE, MDA Corp, Thales Canada,  Fujitsu Canada, etc. et des partenaires gouvernementaux, soit : l'Agence de la santé publique du Canada, ACRI géo du Gouv du Canada, ainsi que Recherche & Développement pour la Défense Canada; on y développe des solutions géospatiales innovantes en support à la prise de décision pour des applications dans plusieurs secteurs dont : la gestion intégrée des ressources naturelles dans un contexte de développement durable, l'aménagement urbain durable, la sécurité publique, la santé environnementale, le domaine militaire, etc.

 

-    Réseau de recherche et de connaissances sur la ville et l'urbain : se penche sur les problématiques et les enjeux contemporains de la gouvernance, de l'aménagement et du développement du milieu urbain sous 4 grandes thématiques, soit : action publique et démocratie; changements sociodémographiques, vie quotidienne, pratique et représentations culturelles; infrastructures, innovation et développement économique; ainsi que courants et pratiques d'aménagement et de développement durable.

Il regroupe 65 chercheurs réguliers de différentes disciplines (études urbaines, anthropologie, géographie, histoire, économique, science politique, droit, sociologie, gestion immobilière, administration publique, design, architecture, architecture du paysage, urbanisme, etc.) provenant de 9 universités (UQAM, INRS, Laval, Montréal, Sherbrooke, Concordia, UQTR, UQO et ÉNAP); ainsi que 14 praticiens-chercheurs collaborateurs provenant de différents milieux de pratique (Ville de Montréal, Ville de Québec, Transports Québec, Communauté métropolitaine de Montréal, Communauté métropolitaine de Québec, Ministère des affaires municipales et de l'occupation du territoire, Conseil régional de l'environnement de Montréal, Société de transports de Montréal, Réseau de transport de la Capitale, etc.).

Dans le domaine des sciences géographiques; on y retrouve 6 chercheurs dont les intérêts portent sur la dynamique territoriale; l évolution des formes urbaines; le développement durable et développement urbain; la conservation des terres agricoles; l'agriculture périurbaine; l'agriculture urbaine; l'adaptation aux changements et à la variabilité climatique; la gestion de la qualité de l'eau potable; le patrimoine naturel; le patrimoine bâti; le patrimoine urbain; la nature en ville; les politiques publiques en environnement urbain; les morphologies métropolitaines, les politiques de revitalisation urbaine; le processus de décision en aménagement du territoire; les processus par lesquelles les pratiques de de planification et d’aménagement se transforment; le développement d’outils pour faciliter la prise en compte d’enjeux environnementaux complexes; etc.

 

-    Réseau de recherche interuniversitaire sur les eaux souterraines : regroupe plus de 40 chercheurs de plusieurs disciplines (géologie, géographie, génie civil, génie géologique, génie minier) provenant des universités UQAM, UQAC, UQAT, UQAR, Laval, Mcgill, UQTR, Concordia, INRS, Polytechnique et ÉTS, ainsi que de la Commission géologique du Canada; consacre ses recherches sur les eaux souterraines selon les 3 axes suivants : la compréhension des systèmes hydrogéologiques, les interactions entre les eaux souterraines et de surface, ainsi que la gestion des eaux souterraines.

Dans le domaine des sciences géographiques; les intérêts portent sur les glaces fluviales; la gestion intégrée des bassins versants et fluviaux; l'hydromorphologie fluviale; impacts des changements climatiques sur les ressources en eau; impacts environnementaux des eaux souterraines contaminées, etc.

 

-    Takuvik : Unité mixte internationale de recherche située à Québec et regroupant une quinzaine de chercheurs de l'Université Laval et du Conseil National de Recherches Scientifiques CNRS de France; elle s'intéresse aux perturbations environnementales de l'Arctique provenant des changements climatiques, des facteurs anthropiques (causés par les humains), sur les écosystèmes et géosystèmes arctiques, marins et terrestres.

 

En informatique et génie logiciel :

 

-         Agence spatiale canadienne (Laboratoire David Florida)  : situé à Ottawa, ce laboratoire est le centre canadien voué à l’intégration, à l’assemblage et à l’essai d’engins spatiaux. Voici quelques exemples de projets en cours ou complétés : téléscope spatial canadien MOST permettant d’étudier la microvariabilité et les oscillations stellaires, satellite canadien SCISAT-1 d’étude de l’atmosphère terrestre, OPTUS C1 le satellite de télécommunications australien, RADARSAT-2 le nouveau satellite canadien d’observation de la Terre, le MSS Système d’entretien mobile est la contribution canadienne à la Station spatiale internationale, Canadarm le Bras robotique télémanipulateur canadien de la navette spatiale qui subit constamment des améliorations, BSAT 2A et BSAT 2B des satellites japonais de télédiffusion directe à domicile, etc.

 

-    Centre collégial de transfert de technologie en télécommunications : centre collégial de recherche appliquée et de transfert de technologie rattaché au Cégep de Trois-Rivières en Mauricie ayant pour mandat  de réaliser des activités de recherche appliquée, d'expertise et de soutien technique dans dans le développement de technologies pour les télécommunications. Dans le domaine de l'informatique, les projets suivants ont été réalisés : développement d'une application informaique pour un appareil GPS de collecte de données d'insecteurs piqueurs et de plantes envahissantes compatibles dans un portail informatique d'un serveur central; développement des applications informatiques pour des stations météorologiques locales destinés aux agriculteurs; etc.

 

-    Centre d'analyse de données du CNRC : centre de recherche du Gouvernement du Canada situé à Ottawa regroupant des chercheurs en informatique, mathématiques, génie informatique et en génie logiciel, est spécialisé dans le domaine de l'apprentissage machine et dans le développement d'algorithmes ultraperfectionnés. Les expertises portent sur l'épuration, l'intégration et la gestion de données; l'analyse exploratoire, modélisation et prévisions; ainsi qu'en visualisation et prise de décisions.

 

-    Centre de développement des transforts de Transports Canada : centre de recherche du Gouvernement du Canada situé à Ottawa qui réalise de nombreuses recherches dans le domaine des transports. Parmi les intérêts en lien avec l'informatique; il y a : développement d'applications pour des stations de surveillance électronique du réseau routier; conception et développement d'un système de surveillance et de suivi des marchandises dangereuses; développement d'un système d'affectation pour véhicules commerciaux; etc.

 

-    Centre de développement et de recherche en imagerie numérique CDRIN : centre collégial de recherche appliquée et de transfert de technologie rattaché au Cégep de Matane dans le Bas-St-Laurent regroupant des enseignants-chercheurs en animation 3D, en multimédia, en infographie et informatique; il effectue de la recherche et du transfert technologique auprès de petites, moyennes et grandes entreprises dans le domaine de l'imagerie numérique, notamment en capture de mouvements et en réalité augmentée. Ses domaines d'expertise couvrent : la capture de mouvement, l'animation 2D et 3D, les effets spéciaux VFX, l'imagerie documentaire et métadonnées, la programmation de moteurs de jeux, les jeux vidéo, la numérisation 3D, les réalités virtuelles et augmentées, les technologies numériques pour le tourisme, ainsi que les technologies numériques pour les secteurs de la réadaptation physique ou mentale. Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours :

réalisation du prototype d'application mobile de réalité augmentée; développement d'une application mobile pour une maison écologique; intégration de nouvelles technologies interactives d'un parcours client d'un musée; amélioration d'un environnement 3D de l'intérieur d'un appartement et programmation de scénarios destinés à des patients en réadaptation mentale; développement d'un moteur de jeu augmentée pour un jeu de réalitée augmentée utilisant la physique pour Frima Studio; développement d'une application de réalitée augmentée et de nouveaux protocoles de modélisation et de synthese d'images pour une application 3D d'un parc national; etc.

 

-    Centre de géomatique du Québec : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de Chicoutimi au Saguenay-Lac-St-Jean qui fournit de l'expertise, de la recherche appliquée et du soutien technique auprès de PME dans le développement de nouvelles technologies en géomatique, de nouvelles méthodes en cartographie et télédétection et le développement de nouvelles applications de la géomatique. Voici quelques exemples de projets réalisés : développement d'un procédé novateur pour l'évaluation volumétrique de carrières ou sablières par corrélation tridimensionnelle, développement d'une nouvelle méthodologie d’inventaire utilisant des technologies de pointe dans le domaine des algues littorales, développement d'un système automatisé d'acquisition et de traitement d'images multispectrales embarqué sur un drone dans un contexte d'agriculture de précision, etc.

 

-    Centre de productique intégrée du Québec : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de Sherbrooke en Estrie qui fournit de l'expertise technique, de la recherche appliquée et développement et du soutien technique auprès de PME et certaines grandes entreprises en utilisation et développement d'outils et de technologies de production assistée par ordinateur notamment en gestion de la production assistée par ordinateur GPAO, en conception et fabrication assistées par ordinateur CFAO, en automatisation de processus de production, etc.

 

-    Centre de recherche en données massives de l'Université Laval : regroupant plus d’une trentaine de chercheurs de l'Université Laval dans plusieurs disciplines (gestion des opérations, informatique, mathématiques, bio-informatique, biologie, sciences géomatiques, génie informatique, génie logiciel et santé communautaire) liés à des problématiques de traitements et d’analyses de données massives (aussi appelé "mégadonnées" ou "big data").

Les principaux intérêts dans le domaine de l'informatique portent sur la bio-informatique (Génomique, métagénomique, protéomique et bio-informatique de séquences en général, cancérologie, bio-informatique structurale, analyse de réseaux d’interaction, médecine préventive, etc.) et les données non structurées (textes en langues naturelles, données géo référencées, forage de données, aide à la décision, système question/réponse, intelligence d’affaires, etc.).

 

-    Centre de recherche en géomatique : le centre de recherche est un regroupement d’experts en sciences géomatiques des universités Laval, Mcgill, Sherbrooke et UQÀM dont 1 chercheur en informatique qui est spécialisée en intelligence artificielle géospatiale et en géosimulation. Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours :

développement et optimisation de la technologie LIDAR pour la surveillance de la convergence des tunnels miniers (permettant d’intervenir dans des zones à risque d’affaissement); extraction automatique d’objets (bâtiments, arbres, véhicules, trottoirs, panneaux de signalisation, etc.), à partir de nuages de points LiDAR 3D pour la modélisation spatiale précise des environnements 3D urbains (pour des applications notamment en urbanisme et design urbain); élaboration d'un atlas interactif en ligne de la population (pour des applications de sécurité civile en prévention de catastrophes ou d'accidents majeurs); étude de la déformation spatio-temporelle d’un couvert de glace sur les barrages ou réservoirs hydroélectriques à l’aide d’une station totale robotisée; amélioration de la précision verticale du positionnement GPS haute précision pour les nombreuses applications de télédétection GPS; développement de nouvelles technologies relatives au divertissement éducatif, fondé sur la réalité augmentée mobile(notamment pour des applications en enseignement des sciences); conception et développement d'une solution technologique multimodale d’assistance à la mobilité pour les personnes utilisatrices d’un fauteuil roulant; etc.

 

-         Centre de recherche en informatique de Montréal : un des plus importants centres de recherches appliquée en technologies de l'information au Canada et le plus important au Québec regroupant une trentaine de chercheurs en informatique, génie informatique et génie logiciel provenant des universités de Montréal, Concordia, Mcgill, UQAM, Polytechnique et ÉTS; une vingtaine de chercheurs associés provenant de plusieurs universités partenaires (dont MIT Lincoln Lab aux USA, Jonh-Hopkins aux USA, Saarland University en Allemagne, Brno University of Technology en République Tchèque, mais aussi de Microsoft Research); ainsi que de plusieurs partenaires industriels (dont IBM, GM Canada, Molina Heathcare, Voice Trust, etc.); développe, en mode collaboratif avec ses clients et partenaires, des technologies innovatrices et du savoir-faire de pointe, et les transfère aux entreprises et aux organismes québécois afin de les rendre plus productifs et plus compétitifs localement et mondialement.

Il réalise des travaux dans le domaine du développement et technologies Internet (analyse automatique du contenu textuel, traitement automatique du langage naturel, développement Web mobile, modules « intelligents » à forte valeur ajoutée, interfaces HTML5, architectures Web, plaformes Open Source, etc.); de la reconnaissance de la parole (développement d’appareils de sous-titrage pour la télévision, appareils de transmission de cours en direct, système de sécurité de reconnaissance vocale, système de post-synchronisation et doublage pour la télé et le cinéma, etc); modélisation et développement logiciel avancé (inférence de modèles, génération automatisée de code pour système distribué, modélisation, test et validation des applications basées sur le Web, vérification des implantations de protocole de communications, applications aux systèmes de contrôle du transport, etc); la vision et l’imagerie (interactions personne-machine et ergonomie cognitive, système intelligent de surveillance de personnes dans les endroits publics, système d’inspection visuelle pour les petits objects de plastique, système d’imagerie pour chirurgies à l’œil, système de surveillance satellite de haute résolution, système de détection automatique de panne dans les circuits imprimés par infrarouge, développement d'applications interactives en réalité augmentée, etc).

 

-         Centre de recherche en Modélisation en Imagerie, Vision et Réseaux de neurones MOIVRE de l'Université de Sherbrooke : regroupent des chercheurs des universités de Sherbrooke et Bishop, on y effectue des recherches en : vision par ordinateur, traitement d’images, réseaux de neurones, reconnaissance de formes et synthèse d’images pour des applications en imagerie médicale, en infographie, en production audiovisuelle (incluant télévisuelle conventionnelle et interactive et cinéma numérique), en multimédia, en jeu vidéo, en bases de données audiovisuelles sur le Web, en traitement de l'image satellite ou radar pour des études océanographiques, recherche & sauvetage, sécurité publique, recherche sous-marine, etc.

 

-    Centre de recherche sur les technologies émergentes de l'Université de Montréal : ce centre interdisciplinaire de recherche se consacre aux usages innovants des technologies de communication au quotidien ainsi que dans les organisations autant pour les communications sociales, la culture, les activités professionnelles, pour les sciences, que pour la vie quotidienne en général.

Il regroupe 31 chercheurs réguliers de différentes disciplines (communication, études anglaises, études cinématographiques, histoire de l’art, muséologie, informatique, linguistique, littératures de langue française et sciences de l’information) provenant de l'Université de Montréal.

En informatique; on y retrouve 2 chercheurs dont les intérêts portent sur la préservation des renseignements personnels que l'on disperse sur Internet et ses services comme les moteurs de recherche, les réseaux sociaux, les sites de géolocalisation, d'apprentissage en ligne et de commerce électronique; la personnalisation (acquisition du profil du client) et à la recommandation de produits et de services en utilisant des algorithmes de filtrage démographique, par contenu, collaboratif, et hybride; les stratégies d'apprentissage, à l'interaction humain-machine, aux méthodes d’évaluation et à la modélisation de l'apprenant; le développement de méthodes automatiques en traitement des langues naturelles permettant de manipuler des énoncés en langage humain afin de développer des méthodes permettant de combiner efficacement des connaissances linguistiques et des informations extraites de corpus annotés ou de lexiques; etc.

 

-         Centre de recherches industrielles du Québec CRIQ : cet important centre de recherches du Gouvernement du Québec situé à Québec et à Montréal, développe différentes technologies dans diveres types d’industries afin de les aider à optimiser leur production et à devenir de plus en plus concourrentionnel face à la mondialisation des marchés. Voici quelques exemples de projets réalisés : le logiciel WOODMAN pour la gestion de l’exploitation forestière et de la transformation du bois, le logiciel SAWSIM pour la simulation et le diagnostic de problèmes de production dans les usines de transformation du bois, le logiciel FORCE 3 de formulations de compostage pour les usines de compostage, un logiciel intégré à un classeur de copeaux facilitant le calibrage et paramétrage du système pour les industries papetières, etc.

 

-    Centre de robotique et de vision industrielle : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de Lévis-Lauzon en Chaudière-Appalaches qui fournit de l'expertise technique, de la recherche appliquée et développement et du soutien technique auprès de PME et certaines grandes entreprises dans les domaines de la robotique intelligente, du soudage robotisé et de la vision artificielle (ex de projets réalisés ou en cours : système de vision embarqué pour le comptage automatisé de spécimens aquatiques, système de vision 3D adaptatif et temps réel pour la modélisation des orthèses et prothèses, développement d’une technique d’inspection non-destructive pour les pièces composites aéronautiques à géométrie complexe, système de vision pour la détection du givre sur les pales des éoliennes, etc.).

 

-    Centre des sciences pour la sécurité : centre de recherche de Recherche et Développement pour la Défense Canada situé à Ottawa effectue des recherches qui visent à renforcer la capacité du Canada à réagir (anticipation, prévention, préparation, intervention et rétablissement) à des accidents graves, à des catastrophes naturelles ou à des actes  terroristes et criminels par la convergence de la science et de la  technologie.

Dans le domaine de l'informatique et du génie logiciel; des recherches sont réalisées dans la mise en  place de capacités permettant d’améliorer la résilience, la fiabilité et la  protection des installations, réseaux, services et actifs liés aux  infrastructures informatiques et de communications; la mise en place de systèmes  pour améliorer le rendement, l’intégration et l’interopérabilité des capacités  nationales et internationales de gestion de la sûreté, de la sécurité et des urgences.

 

 

 

 

-         Centre interuniversitaire de recherche sur les réseaux d'entreprise, de logistique et le transport CIRRELT : le plus important centre de recherche en matière de transport au Québec et parmi les plus importants au Canada regroupant des chercheurs de l’Université de Montréal, l’École Polytechnique et de HEC Montréal. est spécialisé dans le développement de méthodes et technologies informatiques appliquées à la planification, à la gestion et à l’exploitation des réseaux de transport. Dans le domaine de l’informatique, les intérêts portent sur : la programmation combinatoire, programmation mathématique, programmation non linéaire, problèmes d’horaires, modèles de réseaux de transport, logiciels interactifs-graphiques, recherche opérationnelle, métaheuristiques, optimisation de réseaux, programmation à 2 niveaux, etc.

Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours par axe de recherche en lien avec l'informatique : planification et exploitation des réseaux de transport (développement d’un progiciel interactif-graphique pour la planification des flux de marchandises, étude de modèles et développement d’algorithmes pour l’allocation et le repositionnement de véhicules d’une flotte notamment pour les gares de triages de wagons, développement de méthodes et d’outils informatiques d’aide à la décision pour assister la construction de plans de transport, développement d’un système de gestion et traitement des matières dangereuses, développement d'algorithmes et de modèles informatiques pour la conception et l'opération de réseaux de télécommunication, etc); systèmes intelligents de transport (développement de méthodes et systèmes de traitement de l’information et d’aide à la décision pour le déploitement des véhicules de transport en commun, développement d'outils informatiques d’aide à la décision pour améliorer la détection et la gestion des incidents sur les routes, développement d’outils intégrés à un logiciel de gestion en temps réel d’une flotte d’ambulances, développement d’un système informatique plus efficace pour la gestion en temps réel d’une flotte de véhicules, développement d’un système de navigation et d’applications d’aide à la sécurité et à la gestion du trafic à intégrer dans les véhicules, etc).

 

-         Centre facilitant la recherche et l’innovation dans les organisations CEFRIO (anciennement le Centre francophone de recherche en informatisation des organisation) : l'un des plus importants centres de recherches en technologies de l'information numérique au Canada regroupant plus de 85 chercheurs de plusieurs disciplines (management, gestion des technologies de l'information, gestion des opérations, gestion des ressources humaines, marketing, sciences comptables, droit, communication, sociologie, enseignement et didactique, sciences de l'information, informatique, mathématiques, génie de la production automatisée, génie informatique, génie logiciel, technologies éducatives, etc.) provenant de la plupart des universités québécoises (Concordia, Mcgill, HEC Montréal, Polytechnique, Laval, Sherbrooke, UQAM, UQTR, UQAC, UQO, UQAR, UQAT, ÉTS, ÉNAP, INRS et Téluq); d'universités partenaires (UBC, Paris-Dauphine, Institut d'informatique de Namur); ainsi que plus de 200 entreprises et organismes publics et gouvernementaux partenaires (dont Bell Canada, Desjardins, Centre des services partagés du Gouvernement du Québec, KPMG, magasins Le Château, Hydro-Québec, Meloche, Raymond Chabot Grant Thornton, Telus, etc.).

De nombreuses recherches sont effectuées dans le cadre des projets suivants : affaires électroniques (Nouveaux modèles d'affaires électroniques et développement des PME, Guide sur les places d'affaires électroniques et les portails,,, Portail PME.QUEBECLIC.COM, etc); éducation-formation (mise en réseau d’écoles éloignées, centres virtuels de perfectionnement continu pour les ordres professionnels, projets-pilotes d’apprentissage en milieu virtuel, etc); Gestion du savoir (télé-apprentissage, Centre de veille et d'expertise inforoutes et langues, etc); santé et services sociaux (CLSC du futur, évaluation des projets pilotes en téléradiologie et télécardiologie, etc); services gouvernementaux (développement des collectivités locales et régionales par les technologies de l’information, processus d’acquisition des technologies de l’information dans l’administration publique, nouveaux modèles de collaboration pour la prestation des services aux citoyens et aux entreprises, etc).

 

-         Centre Mcgill pour la bio-informatique : s’intéresse aux applications informatiques en biologie et en sciences médicales notamment en génétique. En informatique, des recherches sont effectuées afin de développer de nouveaux algorithmes pour la détection des régions fonctionnelles des séquences de l’ADN, développement de logiciels pour l’analyse des données génétiques, le développement d’une base de données informatisée en génétique, etc.

 

-    Centre Robert-Cedergren en bio-informatique et génomique : ce centre de recherche de l'Université de Montréal utilise des techniques de la bio-informatique afin de développer des outils de recherche en génomique (développement d'outils d'analyses des séquences génétiques, évolution moléculaire, modélisation de structures 3D et de protéines, etc)

 

-         Chaire de recherche du Canada en algorithmes d’apprentissage statistique : nouvelle chaire de l’Université de Montréal qui élabore des algorithmes d’apprentissage plus perfectionnés pour les réseaux de neurones qui permettront la mise au point plus rapide de produits pharmaceutiques et l’amélioration du processus de tarification d’assurances.

 

-    Chaire de recherche du Canada en complexité biologique et informatique : élabore des modèles informatiques permettant de déchiffrer et de comparer des architectures de séquences génomiques afin de mettre en lumière les processus biologiques impliqués dans l’évolution et le contrôle de l’expression des gènes et contribuer à améliorer le traitement de certaines maladies.

 

-         Chaire de recherche en calcul distribué de l’UQO : effectue des projet de recherches dans les domaines suivants : conception de systèmes distribués orientés-objet, exploration des arbres par des robots avec petite mémoire, temps de la diffusion de messages dans les réseaux sans fil à topologie inconnue, diffusion de messages dans les réseaux radio à topologie inconnue, etc.

 

-   Chaire de recherche du Canada en génie des services destinés aux utilisateurs finaux des réseaux de communication : Utiliser le génie logiciel et les techniques de réseautage pour concevoir des architectures, pour faciliter la conception des applications et les services novateurs des réseaux de communication.

 

-    Chaire de recherche du Canada en informatique quantique : applique la mécanique quantique au traitement de l'information afin d'accélérer la vitesse du traitement informatique, des communications et de la cryptographie.

 

-         Chaire de recherche du Canada en simulation et optimisation stochastiques : rattaché au Groupe d'études en analyse des décisions GÉRAD, elle élabore et étudie des méthodes efficaces pour générer des valeurs aléatoires par ordinateur ainsi que pour simuler et optimiser des systèmes ayant des composantes aléatoires.

 

-    Chaire de recherche du Canada sur la recherche opérationnelle en ressources naturelles : développe des outils d’aide à la prise de décision pour améliorer la gestion durable des ressources naturelles et renouvelables.

 

-    Chaire de recherche du Canada sur les outils et les techniques de compilation : conçoit et met en œuvre de nouveaux outils et de nouvelles techniques de compilation afin de permettre aux programmeurs de nombreuses disciplines de créer des programmes informatiques meilleurs et plus rapides

 

-    Chaire de recherche industrielle CRSNG/Ubisoft en apprentissage de représentations pour les jeux vidéo immersifs : en partenariat avec Ubisoft, elle cherche à développer de meilleurs algorithmes d'apprentissage pour modéliser des processus dynamiques en haute dimension comme dans la vidéo, la musique, le comportement, les choix des joueurs ou les animations dans les jeux vidéo immersifs.

 

-    Computationnal Linguistics at Concordia CLaC Lab (en anglais) : s'intéresse aux domaine de la linguistique computationnelle et de l'intelligence artificielle pour la recherche sur tous les aspects du traitement automatique du langage naturel afin de développer des outils de de traduction automatique, de correction orthographique, de correction automatique de textes, de génération automatique de textes, de reconnaissance de l'écriture, des agents conversationnels notamment pour le domaine du télémarketing sur le Web, etc.

 

-    Computer Animation and Interaction Capture Lab (en anglais) : ce laboratoire de Mcgill s'intéresse aux problématiques reliés aux bases physiques en animation (articulation de personnages, locomotion, déformations physiologiques, etc.) par la modélisation et capture de mouvements d'humains et d'animaux afin de développement des technologies interactives pouvant mieux intégrer ces derniers dans des systèmes de réalité virtuelle pour des applications en jeu vidéo, cinéma d'animation, applications éducatives interactives, simulateurs professionnels, etc.

 

-    CPA Automatisation : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de Jonquière au Saguenay-Lac-St-Jean qui fournit de l'expertise technique, de la recherche appliquée et développement et du soutien technique auprès de PME et certaines grandes entreprises dans les domaines rattachés aux processus d'automatisation incluant le développement et l'intégration d'outils et applications informatisées intégrés.

 

-    Data Research Group of Concordia (en anglais) : s'intéresse aux différents aspects des systèmes de bases de données, notamment la modélisation, les langages, le traitement des requêtes, l'optimisation, la programmation logique, l'intégration de l'information et échange de données, la sémantique Web, l'ontologie, le développement de bibliothèques numériques, etc.

 

-         Équipe de Recherche en Ingéniérie des ConnAissancEs de l'Université Laval ERICAE : élabore des méthodes, des modèles et des outils en ingéniérie des systèmes intelligents. Voici quelques exemples de projets en cours : AGRION : un portail de bibliothèques utilisant le web sémantique; GARUCAS : un système d'aide pour apprendre à résumer au moyen d'exemples; SPEAC : un système de présentation d'exemple favorisant l'auto-explication et la collaboration; VCOH : modélisation d'un système pour vérifier la cohérence dans les bases de règles; MOCASSIN : modélisation d'un outil de comparaison de graphes conceptuels; A3C : modélisation d'un agent assistant à l'acquisition des connaissances, etc.

 

-    Games Research Lab at Mcgill (en anglais) : touche sur tout ce qui concerne la conception de jeux vidéo au niveau informatique comme : l'analyse et la modélisation des différentes facettes de la structure du jeu; le développement d'algorithmes de jeu; la conception et le développement de systèmes d'information distribués pour plate-formes de jeux massivement multi-joueurs; la tolérance aux pannes dans les jeux distribués; l'optimisation des programmes; l'intelligence artificielle dans les jeux vidéo; l'apprentissage machine; etc.

 

-    Groupe d'études et de recherche en analyse des décisions GERAD : centre interuniversitaire de recherche de réputation internationale qui développe la mathématique de la décision sous toutes ses formes dans les grands systèmes technologiques, commerciaux, et économiques, et en amont de la décision, développer la modélisation fondée sur la statistique, la simulation et l’exploitation des données pour le développement d'outils et techniques d'analyse mathématique pour résoudre de problèmes complexes qui se posent dans les sciences de la gestion et de l'ingénierie.

Il regroupe près de 70 chercheurs réguliers de différentes disciplines (méthodes quantitatives en gestion, mathématiques, statistique, informatique, génie industriel) provenant de 9 universités (HEC Montréal, Polytechnique Montréal, l'Université McGill, l'UQAM, mais également Laval, Concordia, Sherbrooke, UQAC et ÉTS); ainsi que 27 chercheurs associés provenant de 17 universités (HEC Montréal, UQAM, Laval, UQAR, Polytechnique Montréal, Carleton, Ottawa, CMR Kingston, Maryland aux USA, Federal do Rio Grande do Norte au Brésil, de Valladolid en Espagne, ISIMA en France, de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis en France, ENSTA Bretagne en France, Lisboa au Portugal, Genève en Suisse et Kyoto au Japon).

Dans le domaine de l'informatique; les intérêts portent sur la programmation mathématique (en particulier la programmation linéaire en nombres entiers); l'optimisation combinatoire; la statistique computationnelle; la théorie des graphes pour la gestion des opérations et des stocks; les modèles d'équilibre et d'optimisation; l'étude d'algorithmes de descente; l'application des algorithmes pour domaine médical, l'industrie des télécommunications et l'industrie du transport; la conception et l’analyse d’algorithmes (exacts et heuristiques) dans les problèmes d’ordonnancement et ceux ayant trait à la confection d’horaires pour l'industrie du transport; l'optimisation de la dotation avec contraintes de temps pour les centres d'appels d'urgence; etc.

 

-   Groupe de recherche appliquée en linguistique informatique de l'Université de Montréal RALI : regroupant des chercheurs en informatique et en linguistique; le plus important laboratoire de recherche en traitement informatique de la langue au Canada s'intéresse au développement d'outils de traduction interactive ou assistée par ordinateur, au développement d'outils de résumé automatique de textes, au développement d'outils de rédaction spécialisée assistée par ordinateur, ainsi qu'au développement de méthodes de recherche automatique d'information.

 

-         Groupe de recherche DAMAS de l'Université Laval (Data mining, Agents et Systèmes Multi-Agents) : s’intéresse au développement de systèmes multi-agents à temps réel, aux communications inter-agents et développement d’applications des techniques agents et multi-agents (automobile, défense, commerce électronique, recherche et sauvetage, etc). Voici quelques exemples de projets actuellement en cours : Projet Nereus (implantation agent qui jouera le rôle de système d'aide à la décision affecté à la gestion des ressources à bord d'une frégate canadienne de classe HALIFAX); Auto21 (développement d’un système d’aide à la conduite); RobotCupRescue (développement d’un système d’aide à la gestion des interventions lors de désastres urbains), etc.

 

-    Groupe de recherche en apprentissage automatique de l'Université Laval GRAAL : s'intéresse au domaine de l'apprentissage machine avec des intérêts portant sur la  théorie des graphes, théorie de l'apprentissage automatique, les algorithmes d'apprentissage, méthodes à noyaux et reconnaissance des formes,, raisonnement à base de cas, techiques d'apprentissage automatique de la langue, etc. De nombreuses applications sont possibles : jeux vidéo, applications multimédias, simulateurs professionnels, systèmes d'aide à la décision, systèmes de réalité virtuelle, télécommunications, réseaux informatiques, réseaux sociaux, etc.

 

-    Groupe de recherche en biologie et informatique de Mcgill (en anglais) : crée, développe et évalue des logiciels liés à la santé. Il cherche à identifier les déterminants modifiables d’événements indésirables et de résultats améliorés pour optimiser la prise de décision; crée et évalue des interventions informatiques pour cibler ces déterminants (p. ex., soutien informatique aux décisions, portails de fichiers et outils d’auto-gestion de santé individuelle, systèmes automatisés de surveillance); ainsi que développer des outils informatiques qui nous permettraient d’intégrer les dépôts préexistants de données cliniques, de service et de compétences gérés séparément afin de contrôler la qualité des soins;  effectue des recherches en bio-informatique moléculaire axé sur la séquence et l'analyse de la structure d'ARN par le développement d'algorithmes pour étudier les propriétés des protéines et par la modélisation de la dynamique et de l'assemblage des systèmes biomoléculaires; développe des méthodes informatiques pour l’optimisation des soins chirurgicaux; etc.

 

-    Groupe de recherche en conception et dessin assistés par ordinateur de l'Université de Montréal GRCAO : réalise différents projets d’outils informatiques de nouvelle génération pour des applications à l’architecture et au design. Quelques exemples de projets actuels ou passés effectués par ce groupe : création d’une plate-forme virtuelle de création des artistes des nouveaux Complexes Cirque du Cirque du Soleil, Création d’assistants informatiques d’aide à la conception et à la réalisation de la Station spatiale internationale, modélisation de la  Cathédrale de Chartres, création d’un environnement numérique pour les ateliers de l'École d'architecture, etc.

 

-    Groupe de recherche en informatique de l'UQAC : effectue de la recherche appliquée, du développement de projets et du transfert technologique en collaboration avec des partenaires dans les domaines de l'information industrielle, de la modélisation et simulation, de l'infographie, de la conception assistée par ordinateur, etc.

 

-         Groupe de recherche en ingénierie de la langue GRIL : ce groupe interdisciplinaire de recherche de l'Université d'Ottawa qui regroupe 10 chercheurs de différentes disciplines (linguistique, traduction, lettres françaises, psychologie, didactique des langues et informatique; développe des outils et des applications informatiques notamment pour l’enseignement des langues premières, secondes ou étrangères.

Les intérêts portent sur le Traitement Automatique des Langues Naturelles (TALN) qui comprend la construction de bases de connaissances lexicales et terminologiques; l'extraction de contextes dans des corpus spécialisés; la traduction automatisée; la conception et évaluation d'analyseur grammaticaux; la conception et l'évaluation de matériel multimédia en apprentissage des langues; etc.

 

-         Groupe de recherche en ingénierie du logiciel de l'Université de Sherbrooke : développe de nouvelles technologies informatiques en architecture de logiciel et en intelligence artificielle, voici quelques exemples de projets réalisés : conception d’un logiciel interactif pour l’enseignement de la médecine, conception d’un logiciel de simulation de bras robotisé, etc.

 

-    Groupe de recherche en optimisation et simulation numérique de l'Université de Montréal : effectue de la recherche appliquée et le développement d'algorithmes, exacts ou heuristiques pour résoudre des problèmes rencontrés dans la pratique, tels des problèmes d'horaires de personnel, de répartition de véhicules, de gestion de centres d'appels téléphoniques ou de réseaux de télécommunications.

 

-    Groupe de recherche en planification en intelligence artificielle PLANIART de l'Université de Sherbrooke : développe des algorithmes de planification de trajectoires permettant aux robots mobiles de se déplacer de façon autonome tout en évitant des obstacles.

 

-    Groupe de recherche MObile Network Application ResearCh MONARC de l'Université Laval : se penche sur les divers problèmes liés à la planification et la mise en place des réseaux mobiles de la prochaine génération par le développement d'approches qui optimisent la capacité globale du réseau; ainsi qu'à la conception et à l’implémentation de services et applications qui seront disponibles sur l’infrastructure de tels réseaux.

Les intérêts portant sur : la mise au point de modèles efficaces pouvant évaluer la capacité maximale de trafic d'un appareil mobile; le développement d'algorithmes efficaces qui permettent non seulement de concevoir un sous-système radio ou un sous-système réseau, mais aussi d’interconnecter ces sous-systèmes de façon optimale; conception, analyse et évaluation d'algorithmes efficaces de gestion de la mobilité globale des réseaux mobiles; mise en œuvre d'algorithmes d’allocation dynamique de ressources, capables de prédire le déplacement des usagers; l'’implémentation de services et d’applications émergents, comme les services géolocalisés, le m-commerce; etc.

 

-    Groupe de Recherche sur l'Étude, la Spécification et l'Implémentation des Langages informatiques GRESIL de l'UQAM : s'intéresse aux recherches concernant les différents langages informatiques, principalement les langages de programmation et les langages de description, allant de la création de nouveaux langages et de paradigmes, en passant par l'introduction de nouvelles techniques d'interprétation, de compilation, d'optimisation et d'exécution des programmes, jusqu'au développement d'outils simplifiant les différentes phases de réalisation et d'utilisation d'un langage informatique.

 

-    Groupe de recherche sur les systèmes ouverts et distribués et l’expérimentation dans les logiciels (GEODES) de l'Université de Montréal : ce groupe de recherche en génie logiciel s’intéresse, entre autres, au développement orienté vers l'objet, à la qualité du logiciel, à l’application des méthodes formelles, à la modélisation des domaines d’affaires, à la réingénierie du logiciel, aux architectures logicielles pour le commerce électronique et à l’interopérabilité des applications sur le Web.

 

-         Groupe de recherche interuniversitaire sur les tutoriels intelligents : plus important groupe de recherche dans ce domaine au Canada situé à Montréal qui regroupe une vingtaine de chercheurs en informatique provenant des universités de Montréal, Laval, Mcgill, UQAM, Sherbrooke, UQAC et Bishop qui effectuent des recherches dans les domaines des bases de données informatisées, l'informatique cognitive, l’intelligence artificielle, le multimédia, simulation virtuelle, des technologies éducatives, etc. afin de développer des systèmes tutoriels intelligents pour l'apprentissage dans un environnement interactif assisté par ordinateur.

 

-         Groupe Langages, sémantique et méthodes formelles : s’intéresse à la  spécification et à la vérification des méthodes formelles, à la sécurité et aux protocoles cryptographiques, la technologie du WWW, à la sémantique formelle, à l’analyse statique de programmes, etc.

 

-    Groupe ProspectUS : se consacre à l’étude de la méthodologie et au développement des systèmes pour la prospection des données (Data Mining).

 

-    Hardware verification Group of Concordia (en anglais) : développe des méthodologies, des algorithmes et des outils pour la vérification formelle et semi-formelle de matériel, systèmes embarqués et physiques.

 

Human-Centered Software Engineering Group (en anglais) : groupe de recherche interdisciplinaire regroupant des informaticiens, ingénieurs informaticiens, ingénieurs en logiciel et des artistes en 3D; il développe des logiciels interactifs centrés sur les systèmes humains l'ingénierie des interfaces humain-ordinateur, la conviviabilité et la qualité de l'utilisation. Les intérêts touchent l'informatique cognitive, l'interface humain-ordinateur, l'intelligence artificielle, l'assurance-qualité logicielle, l'infographie 3D, etc.

 

-    INEDI : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep régional de Lanaudière à Terrebonne fournissant de l'expertise, de la recherche appliquée et la valorisation du design industriel auprès des PME dans le développement de produits innovateurs afin de réaliser des études de positionnement d'innovations, de gammes de produits, de design prospectif, ainsi que de diagnostics design.

 

-    Installation des dispositifs médicaux du CNRC : centre de recherche du Gouvernement du Canada situé à Boucherville en Montérégie qui se

 

-         Institut de recherche d’Hydro-Québec : le plus important centre de recherches en génie au Québec et un des plus importants au pays effectue de nombreuses recherches dans plusieurs champs d’intérêt en informatique. En voici quelques exemples :  développement d’outils informatiques de simulation interactive et 3D des comportements des installations et équipements des réseaux; développement d'applications pour des systèmes intelligents pour le contrôle et gestion des réseaux électriques,=; développement d'applications informatiques pour des systèmes robotisés pour l’installation et l’entretien des installations et équipements; développement de logiciels de nouvelle génération qui permettent d’analyser, de mesurer, de surveiller, de diagnostiquer ou de commander divers équipements de production, de transport et de distribution; etc.

 

-    Institut des algorithmes d'apprentissage de l'Université de Montréal : reconnu mondialement, le plus grand laboratoire de recherche en milieu universitaire dans ce domaine concentre ses recherches dans le domaine de l'apprentissage automatique profond (deep learning). On y développeme de nouveaux algorithmes d’apprentissage des réseaux profonds pour des applications à de nombreux domaines tels que : la modélisation du langage, la traduction automatique, la reconnaissance d’objets, la modélisation de modèles génératifs avec sorties structurées et la reconnaissance du langage naturel.

 

-    Institut de valorisation des données IVADO : s'intéresse dans les domaines de la science des données, de l’optimisation (recherche opérationnelle) et de l’intelligence artificielle afin de développer une filière économique autour de l’exploitation des données massives pour la prise de décision.

Il regroupe plus de 150 chercheurs de différentes disciplines (droit, mathématiques, informatique, méthodes quantitatives, économique, psychologie, démographie, économie appliquée, géographie, finance, gestion des opérations et logistique, gestion des ressources humaines, gestion du marketing, technologies de l'information, génie informatique, génie logiciel, génie industriel, génie chimique, génie civil, génie électrique, génie mécanique, etc.) provenant de HEC Montréal, de l'École Polytechnique et de l'Université de Montréal.

En informatique et génie logiciel; on y retrouve 15 chercheurs dont les intérêts portent sur la recherche opérationnelle, la programmation stochastique, les métaheuristiques, la simulation et optimisation stochastiques, les problèmes combinatoires, l'optimisation combinatoire,le deep learning; le génie logiciel, l'apprentissage automatique et profond, le forage de données textuelles, le traitement des langues, la traduction automatique, l'intelligence artificielle,  les optiques de véhicules, l'algorithmique et la modélisation de réseaux cellulaires, les algorithmes génétiques, les réseaux de neurones artificiels, les réseaux futés, la théorie des jeux, la vision par ordinateur, etc.

 

-       Institut national d’optique INO : situé à Québec, ce centre de recherches et d’expertises est un organisme privé à but non lucratif dans le domaine de l'optique. Il réalise des projets avec l’étroite collaboration de partenaires industriels comme Bell Canada, Telus Québec, l’Agence spatiale canadienne, Exfo Ingéniérie. Voici quelques exemples de projets réalisés ou cours en lien avec le domaine de l'informatique : développement d'une application de reconnaissance optique de caractères pour un système d'imagerie industrielle; développement d'une application pour un système de détection et de reconnaissance de panneaux routiers embarqué pour automobiles; développement d'une application pour un système automatisé d'inspection de pièces d'automobiles; développement d'une application pour un système de vision pour la classification de bois d'œuvre; développement d'une application pour un système intelligent de surveillance vidéo en contrôle de la circulation aérienne; etc.

 

-   Laboratoire d'automatisme et d'interactions 3D multimodales intelligentes LAIMI de l'UQAC : regroupant des chercheurs en informatique, génie informatique et en physiothérapie, il étudie les problèmes de l’Interaction : entre l’Humain et la Machine et entre l’Humain et les robots. Il l’exploitation des technologies de la Réalité virtuelle pour l’amélioration de l’interaction entre l’Humain et la Machine pour des applications en conception et réalisation de systèmes intelligents portables et autonome tels que les systèmes d'assistance mobile pour la rééducation de la marche,  des vêtements intelligents de sécurité industriel, des dispositifs d’aide au conducteur automobile et des orthèses-prothèses dédiés aux personnes en perte d’autonomie.

 

-   Laboratoire d'informatique cognitive de l'Université Laval : rattaché au Centre de recherche en géomatique de l'Université Laval; il s'intéresse à la simulation de processus de pensée humaine dans un modèle informatique. Ses intérêts portent sur les graphes conceptuels, les interactions entre agents logiciels, les systèmes multi-agents, la modélisation des émotions et agents anthropomorphiques, la représentation des connaissances spatiales, l'analyse de textes en langage naturel et la représentation des connaissances temporelles dans les discours.

Concrètement, voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours : réalisation d'un portail Web spécialisé en santé environnementale (incluant des fonctionnalités d'indexation, de résumé de contenu, de recherche dans les grandes bases de données spécialisées, etc.); la modélisation et la visualisation des environnements urbains 3D avec la Ville de Québec utilisée dans le cadre du projet; développement d'un système d'argumentation et d'explication dans les systèmes multi-agents pour des applications de système d'aide à la décision, la communication virtuelle, etc; développement d'un système de commandement et de contrôle multi-agents mobile pour des applications mobiles, sécurité publique, etc.

 

-    Laboratoire d'informatique formelle de l'UQAC : se penche sur la recherche et le développement de méthodes formelles dans les systèmes informatiques par des études mathématiques et leurs applications dans les systèmes concrets. Plus spécifiquement, il s'intéresse à la vérification automatique de configurations d'équipements réseau (runtime monitoring dans les jeux vidéo, détection d'erreurs de configuration dans les équipements réseau, l'application de séquences de navigation aux applications web, la sécurité informatique, etc.); ainsi qu'à la spécification, la surveillance et la synthèse automatique de contrats d'interface dans les systèmes modulaires. Il collabore avec des partenaires tels que : Bloobuzz et Novum Solutions.

 

-         Laboratoire d’informatique graphique de l’Université de Montréal (en anglais) : plus important laboratoire de recherche en infographie au Québec, il effectue des recherches afin de développement de nouvelles technologies et logiciels à l’aide de l’infographie. Des projets tels que les suivants ont été réalisés : modélisation graphique de la propagation et du rendu du feu (utilisés pour le combat des incendies et les effets spéciaux), modélisation graphique d’expressions faciales (pour applications policières recherche de suspects ou de personnes disparues, en conception de jeux virtuels, en effets spéciaux, etc); modélisation graphique à base d’images (pour des applications en architecture, en urbanisme, en ingénierie, etc), modélisation graphique en simplification de modèles articulés (pour des applications en réadaptation, en ergonomie, en activité physique, etc).

 

-    Laboratoire d'intelligence ambiante pour la reconnaissance d'activités LIARA de l'UQAC (et Chaire de recherche sur l’intelligence ambiante et les technologies d’assistance cognitive) : l'intelligence ambiance signifie des systèmes de domotique qui s'intègrent et s'adaptent à l'environnement intérieur de l'habitat contrairement aux systèmes traditionnels. L'équipe du laboratoire est composé de chercheur en informatique et travaille avec la collaboration d'une équipe multidisciplinaire (gériatre, psychologue, physiothérapeute, ergothérapeute, spécialiste en technologies éducatives) afin de développer et expérimenter des prototypes novateurs grandeur nature de systèmes d'assistance pour les personnes âgées en perte d’autonomie dans habitat dit intelligent, un occupant (par exemple un patient Alzheimer) dans l'accomplissement de ses activités. Les intérêts portent sur le forage de données, l'inforamtique cognitive et l'intelligence artificielle appliquée.

 

-         Laboratoire d’optimisation de l’Université de Sherbrooke : s’intéresse à la programmation mathématique, aux problèmes de découpe, à l’analyse numérique, au design de réseau, etc.

 

-    Laboratoire de biologique informatique et théorique de l'Université de Montréal : s'intéresse aux domaines de la biologie computationnelle et de la bio-informatique (génomique comparative, évolution moléculaire, séquençage) afin de développer de nouveaux outils informatiques pour les sciences biologiques et les sciences de la santé. On y developpement de méthodes algorithmiques et mathematiques pour la génomique comparative; la mise au point de composantes moléculaires artificielles pour lire et écrire l’information génétique et les programmes cellulaires; le développement d'un engin de recherche de régions structurées dans les séquences d'ARN; le développement d'une application de modélisation de structures tri-dimentionnelles d'ARN; etc.

 

-    Laboratoire de combinatoire et d'informatique mathématique de l'UQAM (et Chaire de Recherche du Canada en algèbre, combinatoire et informatique mathématique) : rattaché au Centre des recherches mathématiques de Montréal et regroupant une quarantaine de chercheurs en mathématiques et en informatique de l'UQAM et de l'Université de Sherbrooke; il s'intéresse aux mathématiques discrètes et à l'informatique théorique avec des intérêts en combinatoire algébrique, combinatoire énumérative, combinatoire des mots, analyse d'algorithmes et bio-informatique.

 

-    Laboratoire de Cyberjustice : rattaché aux universités de Montréal et Mcgill, il se concentre au développement de solutions informatiques destinées au système judiciaire (traitement des conflits en ligne, téléaudience, informatisation des dossiers, bases de données judiciaires informatisées, systèmes d'aide à la décision, etc).

 

-         Laboratoire de domotique et d’informatique mobile DOMUS de l’Université de Sherbrooke : se concentre sur l’étude de l’informatique diffuse et de l’informatique mobile pour des systèmes d'habitats intelligents, des systèmes d'assistance cognitive, des systèmes de télé-vigilance, etc. Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours : assistance cognitive et personnes âgées (architecture informatique de maisons intelligentes); assistance cognitive et schizophrénie (adaptation d’appartements intelligents équipés d’une technologie permettant l’interaction avec le patient pour corriger ses déficits de mémoire et de planification); informatique mobile et gestion des processus médicaux (développement d’une technologie permettant d’intégrer les nouveaux développements de la  recherche et la pratique médicale dans un processus continu).

 

-   Laboratoire de génie logiciel de Mcgill (en anglais) : se concentre sur le développement de logiciels fiables et orientation-aspect, plus spécifiquement concernant les exigences de sécurité et de fiabilité axé sur l'ingénierie, la programmation orientée aspect et la tolérance aux pannes, les modèles d'aspect réutilisable (RAM) et les modèles Transactions multithread Open (OMTT).

 

-         Laboratoire de génie logiciel de Polytechnique : effectue des recherches sur l’adaptation et l’amélioration des processus de génie logiciel, l’analyse de la qualité du logiciel et le développement de logiciels de simulation pour diverses applications spécialisées.

 

-    Laboratoire de langages, sémantique et méthodes formelles de l'Université Laval : s'intéresse aux domaines suivants : langages multiparadigmes, analyse statique de programmes, sécurité et protocoles cryptographiques, sémantique formelle, théorie des graphes, compression de données, méthodes formelles et technologie WWW. Des applications sont possibles en sécurité des données informatique, sécurité Internet, sécurité des réseaux, sécurité des communications sans fil, évaluation et validation de logiciels, etc.

 

-    Laboratoire de mathématiques et d'informatique appliquées de l'UQTR : s'intéresse aux questions de programmation mathématique, de modélisation mathématique et en recherche opérationnelle pour de nombreuses applications telles que la production audiovisuelle, la production multimédia, l'infographie, le traitement des images, la reconnaissance de formes, le traitement des langues naturelles, l'intelligence artificielle, l'actuariat et la finance, les communications sans fil, l'informatique médicale, la prospection de données (text mining et data mining), etc.

 

-    Laboratoire de recherche avancée sur les réseaux de Mcgill (en anglais) :  étudions les moyens de tirer parti des connexions fiables sur les réseaux sociaux en ligne pour construire des systèmes en réseau robustes, sécuritaires et fiables avec la collaboration de partenaires tels que : SAP et Bell Canada.

 

-    Laboratoire de recherche en Apprentissage par Système Tutoriel ASTUS de l'Université de Sherbrooke : se spécialise dans la recherche en intelligence artificielle appliquée à l'éducation. Les intérêts portent sur le développement de systèmes tutoriels intelligents, l'ingénierie pédagogique, l'informatique cognitive, l'interaction personne-machine et la représentation des connaissances. Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours : création d'un tuteur intelligent pour un cours au bacc en sciences infirmières, création d'un tuteur intelligent pour un cours au bacc en microbiologie, etc.

 

-    Laboratoire de recherche en génie logiciel de l'UQTR :  s'intéresse à divers aspects reliés au processus de développement des logiciels, à l'assurance de leur qualité ainsi qu'à leur évolution.

 

-    Laboratoire de recherche en gestion, diffusion et acquisition de connaissances GDAC de l'UQAM : s'intéresse à l’ingénierie des connaissances, les systèmes à base de connaissances, les agents artificiels cognitifs et les agents affectifs afin d'y développer des systèmes tuteurs intelligents (des systèmes intelligents d’aide à l’apprentissage humain).

 

-         Laboratoire de recherche en informatique et bureautique de l’UQAC : au sein de ce laboratoire, on réalise des didacticiels afin de faciliter l’apprentissage de concepts informatiques de base en incorporant l’interactivité et l’intelligence artificielle.

 

-    Laboratoire de recherche en sécurité informatique de l'UQO : regroupant des chercheurs de l'UQO, Concordia et Laval; il s'intéresse à la sécurité des données, des applications et des systèmes de communication afin de mettre en place d'un cadre et d'outils logiciels pour le développement formel et systématique des protocoles de sécurité et des protocoles de e-commerce; élaborer des techniques formelles et d'outils informatiques pour la vérification des systèmes de détection d'intrusions; élaborer des méthodologies pour la vérification et l'analyse des configurations dans les systèmes pare-feux; ainsi qu'élaborer des techniques de détection de codes malicieux dans les logiciels.

 

-    Laboratoire de recherche en technologies pour la bio-informatique BioIT Lab de Concordia (en anglais) : recherche, développe et applique la technologie informatique de pointe pour les problèmes de la génomique. il s'intéresse au développement d'algorithmes, aux bases de données, au séquençage, à l'apprentissage automatique appliqué aux applications biomédicales, la prédiction de la structure 3D, l'alignement de séquences, au la prédiction de la structure secondaire des protéines, traitement du langage naturel et à la vision par ordinateur.

 

-    Laboratoire de recherche sur les technologies du commerce électronique de l'UQAM : s’intéresse aux aspects technologiques et organisationnels des applications de l’Internet.  Ses principaux intérêts portent sur la modélisation, la validation et la mise en œuvre de processus d'affaires (notamment la conception de langages de modélisation, le développement d'outils pour la spécification de processus, etc.); les processus d'affaires intelligents (tels que le développement d'un système de télésurveillance de patients pour hôpitaux, le développement d'un système de gestion d'inventaire pour le milieu hospitalier et le développement d'une application de gestion de l'expérience consommateur); en informatique nuagique (notamment sur les problèmes soulevés en réseautique, en bases de données, en systèmes d’exploitation, en applications distribuées, et en architectures logicielles problèmes soulevés en réseautique, en bases de données, en systèmes d’exploitation, en applications distribuées et en architectures logicielles).

 

-    Laboratoire de traitement de l'image de l'Université de Montréal : s'intéresse au domaine de la vision assistée par ordinateur appliquée au domaine médical, avec notamment des projets sur la vidéosurveillance pour le maintien à domicile de personnes âgées et en imagerie médicale 3D.

 

-         Laboratoire en informatique cognitive et environnements de formation LICEF de Téluq : spécialisé dans la recherche et le développement de technologies d’apprentissage et de téléapprentissage, on y développement des systèmes, des logiciels et des outils multimédia pour l’enseignement à distance. Par exemple : le Projet AGD, vise à développer un ensemble d’outils informatisés afin d’assister les concepteurs pédagogiques dans la production de systèmes d’apprentissage; le Projet Nomino, vise à développer un outil informatique qui facilite la recherche dans les documents sur les réseaux Internet et intranet; le Projet Savoir (conjointement avec l’ÉTS), vise à développer des environnements multimédias d’apprentissage; le Projet LVEST, vise à développement des applications pour l’enseignement en temps réel en sciences et technologies (simulation interactive d’expériences, diffusion en temps réel de séquences vidéo, télémanipulation, télémesure, etc); le Projet MédiVision, vise à développer un système informatisé d’assistance aux activités des unités de soins pour les professionnels de la santé.

 

-    Laboratoire interdisciplinaire de recherche en imagerie et combinatoire de l'UQTR : s'intéresse au domaine de la reconnaissance de formes (le traitement des images, l'algorithmique, le contrôle de qualité par la vision artificielle, le développement logiciel relié au traitement des images, la géométrie algorithmique et la géométrie discrète, etc.) et dans le domaine du combinatoire (la combinatoire énumérative et algébrique, les représentations linéaires du groupe symétrique et ses extensions, les groupes de réflexions, les fonctions symétriques, la factorisation de classes de conjugaison du groupe symétrique, la décomposition du produit de Kronecker de représentations, l’étude des polyominos 2D et 3D)  pour de nombreuses applications (ex : moteurs de recherche d'images Web, systèmes d'imagerie médicale, systèmes d'archivage de documents, systèmes d'expertise criminalistique de documents, systèmes d'analyse de textes, etc.).

 

-    Mcgill Shared Reality Lab (voir aussi le site du Mobile Robotic Lab) (en anglais) : utilise des technologies haptiques (sens du toucher), l'audio et le vidéo afin d'améliorer les interactions entre l'Humain et l'ordinateur par la réalité partagée. On y développement un environnement immersif permettant de vivre les effets liés à l' interaction du pied-sol lors de la marche sur divers surfaces, telles que la glace, la neige, le gravier, et de l'eau; le développement d'un système mobile yeux libres conçu pour donner aux utilisateurs aveugles une meilleure idée de leur environnement; le développement d'un système interactif d'intervention d'urgence en temps réel; le développement d'interfaces personne-machine dans la manipulation d'outils en milieu de travail afin de réduire les accidents de travail (ex : la télémanipulation d'une perceuse électrique, avec affichage visuel d'une vue rapprochée du contact entre l'outil et la surface en cours de forage); le développement de simulateurs immersifs pour la formation d'intervenants en sécurité publique, de militaires lors de missions de combat, etc.

 

-         Mcgill Centre of intelligent machines (en anglais) : regroupant des chercheurs en génie électrique, génie informatique, génie mécanique et science informatique de Mcgill); le principal objectif de ce centre est d’utiliser des technologies de la robotique, à l’automatisation, à l’intelligence artificielle, à la vision informatique, ainsi qu’en reconnaissance de la parole afin de développer des machines et des robots intelligents. Les principaux champs de recherches de ce centre sont : la robotique ambulatoire, le perception artificielle, la robotique mobile, la mécatronique (mécanique appliquée à la robotique), le traitement de l’image informatique, la vision numérique, l’analyse de la réalité partagée, l’interactivité, etc.

 

-    Mcgill Software Evolution Research Group SWEVO (en anglais) : cherche à comprendre, modéliser et aider à contrôler la complexité de la modification de grands systèmes logiciels sur de longues périodes de temps par l'analyse, la modélisation et les techniques de transformation de code pour diminuer le coût de l'évolution des logiciels.

 

-         Recherche et Développement pour la Défense – Atlantique : centre de recherche du Gouvernement du Canada situé à Halifax (Nouvelle-Écosse) qui pour mission de réaliser des recherches afin de développer des systèmes de haute-technologies pour les Forces canadiennes, plus particulièrement pour la Marine Canadienne et la Force aérienne, mais également pour des produits d’utilité publique ou commerciale (recherche et sauvetage en mer, recherche océanographique, travaux sous-marins, Marine marchande, Garde Côtière, aéronefs commerciaux de passagers, aéronefs commerciaux cargos, etc). On y effectue des recherches dans les secteurs suivants : Détection et contremesures sous-marines (mise au point d’une technique de traitement sonar afin d’améliorer la défense par torpilles des frégates de la classe Halifax, techniques d’automatisation et de classification des échos provenant de sonars actifs et des signaux provenant de sonars passifs à bande étroite, développement d’une bouée acoustique active à basse fréquence, etc), Gestion de signatures (technologies relatives à la réduction des émissions et des (signatures par des forces ennemies, prévision et la réduction des signatures acoustiques sous-marines en vue d’améliorer la capacité de survie des plates-formes maritimes, etc).

 

-         Recherche et Développement pour Défense - Ottawa : centre de recherches du Gouvernement du Canada situé à Ottawa et qui a pour mission de réaliser des recherches afin de développer des sytèmes de haute technologie pour les Forces canadiennes, mais également pour des utilités publiques (sécurité aérienne, recherche et sauvetage, télécommunications, météorologie, etc). On y effectue notamment des recherches telles que : conception et mise à l’essai de radars aéroportés, développement de systèmes radars maritimes, développement de systèmes de navigation aérienne assistés par radar, développement de réseaux mobiles sécurisés, développement de systèmes de télécommunication par satellite, développement de radars à largeur de bande ultra-large, développement de systèmes pour les opérations spatiales, développement de nouvelles technologies pour le traitement en imagerie radar, développement de systèmes de détection de cibles mobiles terrestres et aériennes, etc.

 

-         Recherche et Développement pour la Défense - Valcartier : centre de recherche du Gouvernement du Canada situé à Québec et qui a pour mission de réaliser des recherches afin de développer des systèmes de haute-technologies pour les Forces canadiennes, mais également pour des produits d’utilité publique (recherche et sauvetage, opérations policières, sécurité-incendie, etc). On y effectue notamment des recherches dans les secteurs suivants : Systèmes de combat (développement des simulateurs virtuels d’entraînement (pour militaires, policiers, ambulanciers, pompiers, etc), d’un simulateur de balistique, des systèmes d’imagerie sous-marine, des systèmes de détection aérienne, des systèmes de communication par satellite, des systèmes radar, des capteurs optoélectroniques, systèmes de simulation de combat, systèmes de contrôle des tirs, d’un logiciel  de modélisation et d’évaluation de la surviabilité et de létalité pour la mesure de menaces provenant d’ennemis, etc); Systèmes d’information (développement d’un système d’information de commandement et de contrôle des opérations pour la Force aérienne, le logiciel-client Telweb pour l’exploitation d’un terminal public multimédia, développement d’un logiciel de nouvelle génération pour l’imagerie opérationnelle, etc); recherche et sauvetage (développement d’un logiciel innovateur pour la planification des missions de recherche et sauvetage, etc).

 

-    Regroupement pour l'étude des environnements partagés intelligents répartis REPARTI : regroupant une quarantaine de chercheurs en génie électrique, génie mécanique, génie informatique et science informatique provenant Mcgill, Laval, Sherbrooke, Polytechnique, ÉTS et UQAC; on y développement des outils d'environnement interactif et virtuel pour des applications dans les domaines de la santé, de la sécurité, de l'éducation, des arts, de l'entraînement sportif, militaire, etc.

Les 8 chercheurs en informatique effectuent des recherches de pointe sont effectuées notamment en robotique, vision artificielle, réalité virtuelle, commande de dispositifs haptiques, interfaces personne-machine, reconnaissance de formes, intelligence artificielle, réseautique, ingénierie de systèmes, architectures de calcul, modélisation et simulation numérique, etc.

 

-    Technoculture, Art and Games (TAG) Research Centre (en anglais) : rattaché au Centre de recherche Hexagram, ce groupe de recherche-création interdisciplinaire de l'Université Concordia qui se consacre aux études du jeu et de la conception, de la culture numérique et l'art interactif.

Il regroupe 18 chercheurs réguliers (arts visuels et médiatiques, communication médiatique, médias interactifs, design graphique, histoire de l'art, cinéma, littérature anglaise, sociologie, technologie éducative, informatique, génie informatique) de l'Université Concordia; ainsi que xx chercheurs associés provenant de 8 universités (UQAM, Concordia, Montréal, Waterloo, Temple aux USA, Konstanz en Allemagne, St-Gall en Suisse et Brunel en UK) et de 2 collèges (Dawson College au Québec et Sheridan College Institute of Technology en Ontario).

En informatique; on y retrouve 2 chercheurs réguliers dont les intérêts portent sur le développement de nouvelles techniques de calcul pour le traitement de grandes quantités de données, soit détectées ou enregistrées pour une application dans les jeux et le divertissement; la visualisation scientifique; l'interaction homme-machine 3D; la recherche fondamentale et appliquée dans les domaines suivants: technologies d'acquisition et reconstruction 3D, rendu photo-réaliste, extraction de caractéristiques et la classification, la réalité virtuelle et augmenté; etc.

 

-    TOPMED : centre collégial de transfert de technologie en orthèses-prothèses et en équipements médicaux rattaché au Collège Mérici  à Québec, ayant pour mission de soutenir l'innovation, le développement et le transfert technologique dans les entreprises et organismes québécois des secteurs orthèses, prothèses et équipements médicaux. Voici quelques d'expertises en lien avec l'informatique : développement d'une application pour un système expert d’aide au diagnostic pour la conception d’orthèses plantaires; développement d’une plate-forme intégrée pour l’analyse de la démarche; développement d'outils en conception et Fabrication Assistées par Ordinateur (CFAO) appliquées à l’orthèse-prothèse; développement d'une application pour un système de vision 3D pour la prise d’empreintes plantaires; etc.

 

En mathématiques, statistique et actuariat :

 

-    Centre d'analyse de données du CNRC : centre de recherche du Gouvernement du Canada situé à Ottawa regroupant des chercheurs en informatique, mathématiques, génie informatique et en génie logiciel, est spécialisé dans le domaine de l'apprentissage machine et dans le développement d'algorithmes ultraperfectionnés. Les expertises portent sur l'épuration, l'intégration et la gestion de données; l'analyse exploratoire, modélisation et prévisions; ainsi qu'en visualisation et prise de décisions.

 

-    Centre de recherche en données massives de l'Université Laval : regroupant plus d’une trentaine de chercheurs de l'Université Laval dans plusieurs disciplines (gestion des opérations, informatique, mathématiques, bio-informatique, biologie, sciences géomatiques, génie informatique, génie logiciel et santé communautaire) liés à des problématiques de traitements et d’analyses de données massives (aussi appelé "mégadonnées" ou "big data").

Les principaux intérêts dans le domaine des mathématiques portent sur la bio-informatique (modélisation mathématique, analyse statistique de données, etc.); données non structurées (analyse de données de temps d'événements et de données longitudinales) et confidentialité des données (confidentialité des données statistiques, modélisation de données d'enquête, etc.).

 

-         Cemtre de recherche en MOdélisation en Imagerie, Vision et RÉseaux de neurones MOIVRE de l’Université de Sherbrooke : effectue des recherches en : vision par ordinateur, traitement d’images, réseaux de neurones, reconnaissance de formes et synthèse d’images. Au niveau des mathématiques, les intérêts portent sur  l’optimisation, l’analyse numérique, l’analyse mathématique, l’approximation et la géométrie par la modélisation mathématique pour des applications dans les domaines précédents.

 

-         Centre de recherches mathématiques de Montréal : le PLUS important centre de chercheurs en mathématiques au Québec et l'un des plus importants au Canada regroupant des chercheurs des universités suivantes : Mcgill, Concordia, Montréal, UQÀM, Laval, Sherbrooke, Ottawa et Queens en Ontario; ce centre de recherche de réputation internationale formant également une Unité mixte internationale de recherche en mathématiques avec CNRS en France est spécialisé dans la recherche fondamentale en mathématiques.

De nombreuses recherches en mathématiques y sont effectuées. Ses principaux axes de recherches sont : algèbre et théorie des nombres, analyse mathématique, combinatoire et calcul algébrique, dynamique non linéaire, géométrie et topologie, probabilités, théorie des catégories et applications, statistique mathématique et statistique appliquée, mathématiques appliquées et calcul scientifique, physique mathématique, etc.

Pour plus de détails, consulte les organismes de recherche qui lui sont rattachés (décris ci-dessous) : Laboratoire de physique mathématique, Laboratoire de statistique, Laboratoire de mathématiques appliquées, Laboratoire d’analyse mathématique, et Physinum).

 

-    Centre interuniversitaire de recherche en analyse des organisations CIRANO : plus important centre de recherche en gestion au Québec regroupe plus de 230 chercheurs de différentes disciplines telles que l'économie, la finance, la gestion, les systèmes d'information, l'informatique et la recherche opérationnelle, les mathématiques, la psychologie, la sociologie, les sciences politiques, le droit, l'histoire et la médecine provenant de plusieurs universités (Mcgill, HEC Montréal, Concordia, Laval, Montréal, UQAM, Sherbrooke, ÉTS, INRS) et de plusieurs partenaires (Desjardins, BMO, Banque nationale, Intact, Bell, Rio Tinto, BDC, Autorité des marchés financiers, Retraite Québec, etc.).

Dans le domaine des mathématiques, de nombreuses recherches sont effectuées en mathématiques financières, mathématiques actuarielles, économie mathématiques, méthodes quantitatives, informatique mathématique, etc.

 

-         Centre interuniversitaire de recherche en géométrie et topologie : regroupant des chercheurs des universités Mcgill, Montréal, Concordia et de l’UQÀM; ce centre effectue des recherches en mécanique quantique, théorie des représentations, géométrie différentielle, géométrie complexe, géométrie kähléenne, géométrie des variétés de basse dimension, analyse géométrique, géométrie algébrique, théorie de jauge, équations aux dérivés partielles, topologie de basse dimension, topologie algébrique, systèmes dynamiques, théorie des catégories, systèmes hamiltoniens, théorie géométrique des groupes, physique mathématique, etc.

 

-    Centre interuniversitaire de recherche sur les réseaux d'entreprise, de logistique et le transport CIRRELT  : le plus important centre de recherche en matière de transport au Québec et parmi les plus importants au Canada regroupant des chercheurs de l’Université de Montréal, l’École Polytechnique et de HEC Montréal. Les principaux axes de recherche abordés concernant les mathématiques sont les suivants : le développement d’algorithmes pour résoudre des problèmes d’acheminement dans les réseaux de télécommunication et le développement d’algorithmes pour résoudre des problèmes d’horaire dans les réseaux de transport.

 

-         Centre interuniversitaire en calcul mathématique algébrique : regroupant une vingtaine de professeurs des universités Mcgill, Concordia, Montréal et Laval, ainsi que d'Ottawa, Queens, Vermont et Rutchers au New Jersey; ce centre effectue des recherches en géométrie algébrique, la théorie du clair de lune, la théorie des nombres et les mathématiques discrètes.

 

-         Chaire d’actuariat de l’Université Laval : s’intéresse aux différents domaines d’applications et de recherches de cette discipline. Ses principaux intérêts sont : théorie du risque, théorie de la crédibilité, finance mathématique, mathématiques des régimes de retraite, mathématiques de pension et d'assurance, modélisation stochastique en mathématiques actuarielles, modélisation des risques financiers des régimes et de leurs répondants, modélisation aléatoire des fonctions financières et actuarielles, interrelations entre les placements et les engagements des régimes, estimation statistique, études de mortalité des retraités, distribution de sinistres, réserves I.A.R.D., méthodes et hypothèses d'évaluation des passifs des institutions financières, optimisation des différentes sortes de protection individuelle d'assurance et d'épargne, etc.

 

-         Chaire de recherche du Canada en algèbre, combinatoire et informatique mathématique : étudie les structures discrètes (l'algèbre non commutative, l'arithmétique et la combinatoire algébrique,l'informatique théorique, la combinatoire des mots, la théorie des langages, des automates et des codes, etc.) pour des applications en algorithmique, en cryptographie, en télécommunications, en mécanique statistique, en bio-informatique et la génomique.

 

-    Chaire de recherche du Canada en algorithmes d'apprentissage statistique : élabore des algorithmes d'apprentissage plus perfectionnés pour les réseaux de neurones et l'apprentissage machine pour des applications très diversifiées dont la mise au point plus rapide de produits pharmaceutiques et l'amélioration du processus de tarification d'assurances.

 

-    Chaire de recherche du Canada en analyse géométrique : effectue des équations différentielles partielles non linéaires et de géométrie différentielle afin d'élaborer des applications utiles en informatique et dans d'autres domaines, notamment en ce qui concerne la transition de phase et le traitement des images.

 

-    Chaire de recherche du Canada en échantillonnage statistique et en analyse de données : développe des modèles statistiques pour des applications en biomécanique, en écologie et gestion de la faune, médecine (orthopédie) et en sciences sociales.

 

-         Chaire de recherche du Canada en géométrie différentielle et topologie (voir aussi la page suivante) : étudie les phénomènes dynamiques ayant lieu dans des espaces courbes de dimension arbitraire à l’aide d’outils analytiques et topologiques.

 

-    Chaire de recherche du Canada en géométrie et topologie des variétés : utilise des méthodes analytiques pour étudier les singularités géométriques des espaces courbes.

 

-    Chaire de recherche du Canada en géométrie et théorie spectrale : étudie des problèmes de géométrie, d’analyse et de physique mathématique afin d’élaborer un cadre mathématique applicable à divers aspects de la physique.

 

-    Chaire de recherche du Canada en modélisation de la dépendance stochastique : développe des modèles stochastiques et des techniques d’inférence statistique pour l’analyse de grands ensembles de données comportant de nombreuses variables liées entre elles afin de mieux anticiper le futur et d’améliorer la gestion des ressources et des risques.

 

-         Chaire de recherche du Canada en théorie des nombres de l’Université de Montréal : cherche à résoudre des problèmes en théorie des nombres analytique et computationnelle pour des applications potentielles à la cryptographie publique, au stockage d’informations numériques et aux systèmes de positionnement global.

 

-    Chaire de recherche du Canada en théorie spectrale : élabore de nouvelles techniques en théorie spectrale et dans d'autres domaines de l'analyse mathématique afin de résoudre des complexes ayant rapport à l'optique, les technologies de l'information et la modélisation numérique.

 

-    Chaire UNESCO en développement curriculaire : s'intéresse à la didactique des mathématiques et des sciences, plus spécifiquement aux méthodologies de développement des curriculums et la refonte des programmes de formation; les politiques d'évaluation et l'élaboration d'outils d'évaluation des acquis des étudiants;la formation initiale et continue des enseignants; l'intégration des TIC dans les systèmes éducatifs en enseignement des mathématiques tant en formation de base qu'en enseignement supérieur un peu partout dans le monde. Des projets ont été réalisés notamment enélaboration de nouveaux curriculum dans les institutions d’enseignement supérieur du Bénin, de la Côte d’Ivoire, du Niger et du Togo; la définition du cadre d’orientation curriculaire de l’enseignement primaire, secondaire et professionnel en République Démocratique du Congo; etc.

 

-    Groupe d'études et de recherche en analyse des décisions GERAD : centre interuniversitaire de recherche de réputation internationale qui développe la mathématique de la décision sous toutes ses formes dans les grands systèmes technologiques, commerciaux, et économiques, et en amont de la décision, développer la modélisation fondée sur la statistique, la simulation et l’exploitation des données pour le développement d'outils et techniques d'analyse mathématique pour résoudre de problèmes complexes qui se posent dans les sciences de la gestion et de l'ingénierie.

Il regroupe près de 70 chercheurs réguliers de différentes disciplines (méthodes quantitatives en gestion, mathématiques, statistique, informatique, génie industriel) provenant de 9 universités (HEC Montréal, Polytechnique Montréal, l'Université McGill, l'UQAM, mais également Laval, Concordia, Sherbrooke, UQAC et ÉTS); ainsi que 27 chercheurs associés provenant de 17 universités (HEC Montréal, UQAM, Laval, UQAR, Polytechnique Montréal, Carleton, Ottawa, CMR Kingston, Maryland aux USA, Federal do Rio Grande do Norte au Brésil, de Valladolid en Espagne, ISIMA en France, de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis en France, ENSTA Bretagne en France, Lisboa au Portugal, Genève en Suisse et Kyoto au Japon).

Dans le domaine des mathématiques et de la statistique; on y effectue la confection d'algorithmes permettant la résolution efficace de ces problèmes, l'application de ces techniques et outils à des problèmes posés dans des disciplines voisines telles que la finance mathématique et l’ingénierie financière, la théorie des jeux, l'intelligence artificielle et la statistique, l'application de ces outils à l'optimisation et la planification de grands systèmes technico-économiques comme les systèmes énergétiques, les réseaux de transport et de communication, et les systèmes de production et l'intégration des résultats scientifiques à des logiciels, des systèmes experts et des systèmes d'aide à la décision transférables à l'industrie.

 

-    Groupe de recherche en algèbre, théorie de Lie et théorie des représentations de l'Université d'Ottawa (en anglais) : rattaché à l'Institut des mathématiques Ottawa-Carleton, ce groupe regroupe près d'une vingtaine de chercheurs qui s'intéressent aux domaines tels que : algèbre de Lie, algèbre calcul, algèbre de Jordan, algèbre de Kac-Moody, algèbre de dimension finie, géométrie algébrique, groupes algébriques, super algèbres, théorie analytique des nombres, théorie de la représentation géommétrique et combinatoire, cohomologie, représentations automorphes, théorie des groupes, etc.

 

-    Groupe de recherche en analyse de l'Université Laval : s'intéresse aux domaines tels que : algèbres de Banach, analyse complexe, analyse fonctionnelle, analyse harmonique, dynamique complexe, équations aux dérivés partielles, espaces de Hardy, géométrie spectrale, mathématiques expérimentales, théorie du potentiel et théorie spectrale.

 

-         Groupe de recherche en mathématiques de ingénierie assistée par ordinateur : effectue des recherches telles que : l’analyse et la performance de turbines hydrauliques, le calcul d’écoulements externes pour l’aérodynamique des avions, la visualisation scientifique, etc.

 

-         Groupe de recherche en théorie des représentations algébriques (et Chaire Maurice-Auslander en théorie des représentations des algèbre) : regroupant des chercheurs des universités de Sherbrooke et Bishop; ce groupe effectue des recherches sur tous les sujets touchant la théorie des représentations algébriques (algèbres associatives de dimension finie, algèbres amassées, algèbres d'Artin, combinatoire algébrique, triangulations de surfaces, etc.).

 

-         Groupe de recherche en topologie computationnelle : regroupant des chercheurs de l’Université de Sherbrooke et de l’Université Bishop; ce groupe s’intéresse à des sujets tels que : topologie algorithmique, systèmes dynamiques, topologie algébrique, topologie combinatoire, etc.

 

-         Groupe de recherche Physinum :  rattaché au Centre des recherches mathématiques de Montréal et, les intérêts portent sur : les ondelettes de Daubechies, analyse statistique des signaux complexes, mathématiques appliquées à l’imagerie et la programmation mathématique, etc.

 

-    Groupe d'études des protéines membranaires GEPROM : regroupant des chercheurs de différentes disciplines (physique, physiologie, biochimie, chimie, biologie cellulaire et moléculaire, microbiologie-immunologie et pharmacologie) des universités de Montréal, Mcgill et Concordia qui sont intéressés au domaine de la biophysique. Son objectif est d’approfondir notre compréhension du rôle et de la fonction des protéines membranaires dans un contexte de santé et de maladie.

 

-         Groupe interdisciplinaire de recherches sur les éléments finis : regroupant des chercheurs réguliers en mathématiques de l’Université Laval et des chercheurs associés de différentes disciplines (mathématiques, génie mécanique, génie chimique, génie civil, génie informatique, sciences du bois) de Polytechnique, Montréal, UQAC, INRS, Ottawa, Moncton, UOIT et CNRC;  on y effectue des recherches dans les domaines suivants : écoulements en milieux industriels, fluides industriels, matériaux légers, biomédical et veille technologique. Les intérêts en mathématiques portent sur : les méthodes numériques en mécanique des fluides non newtoniens, les modèles rhéologiques, la formulation hamiltonienne, méthodes des éléments finis et spectraux, analyse numérique des équations aux dérivées partielles, les écoulements  visqueux instationnaires, etc.

 

-    Groupe ProspectUS : se consacre à l’étude de la méthodologie et au développement des systèmes pour la prospection des données (Data Mining).

 

-   Institut Transdisciplinaire d'Information Quantique INTRIQ : regroupant des chercheurs de différentes disciplines (mathématiques, physique, informatique, génie électrique et génie physique) provenant des universités de Sherbrooke, Mcgill, Concordia, Montréal et Polytechnique qui s'intéresse au domaine de la mécanique quantique en vue de l'utiliser pour le traitement de l'information. Les intérêts portent sur les algorithmes quantiques, la théorie de l'information quantique, la cryptographie quantique, résonateur, technologies de l'information quantique, anyons et photons.

 

-    Laboratoire ACT&RISK de l'Université Laval : s'intéresse notamment à la modélisation de la dépendance, agrégation des risques, mesures de risque et allocation du capital; modèles dynamiques de risque et mesure de solvabilité; modélisation actuarielle des risques d’investissement et ses applications en régimes de retraite et en assurance de personnes; modélisation actuarielle du risque de la mortalité stochastique, du risque de longévité et de ses applications en régime de retraite et en assurance de personnes; modélisation actuarielle des risques climatiques; ainsi qu'en estimation et tarification en assurance IARD et collective.

 

-         Laboratoire d’analyse mathématique de l’Université de Montréal : rattaché au Centre des recherches mathématiques de Montréal et regroupant des professeurs des universités Mcgill et Laval principalement, mais également de Concordia, de Montréal, de Sherbrooke et de l’UQTR. Les sujets de recherches sont les conjectures d’ondes aléatoires et le chaos quantique, le formalisme Hamiltonien en mécanique statistique loin de l’équilibre, propriétés asymptotiques des fonctions d’onde, 16e problème de Hilbert, et la conjecture de Hardy.

 

-    Laboratoire d'informatique formelle de l'UQAC : se penche sur la recherche et le développement de méthodes formelles dans les systèmes informatiques par des études mathématiques et leurs applications dans les systèmes concrets. Dans le domaine des mathématiques, les intérêts portent sur la combinatoire des mots, la géométrie discrète et la théorie des graphes. Des projets sont réalisés avec des partenaires tels que : Bloobuzz et Novum Solutions.

 

-         Laboratoire d’optimisation de l’Université de Sherbrooke : s’intéresse à la programmation mathématique, aux problèmes de découpe, à l’analyse numérique, au design de réseau, etc.

 

-    Laboratoire de bio-informatique de l'UQAM (en anglais) : rattaché au Centre de recherche PharmaQuam; il se concentre sur le développement, et les méthodes d'apprentissage automatique statistique algorithmiques pour l'interprétation biologique des données. Ses intérêts portent sur la concepttion d'algorithmes pour la reconstruction du génome ancestral, le développement d'outils pour la classification de virus, la conception d'algorithmes pour le le profilage génétique, la conception et le développement de bases de données génétiques, le développement d'une plate-forme pour l'automatisation des tâches bio-informatique, etc.

 

-    Laboratoire de combinatoire et d'informatique mathématique de l'UQAM (et Chaire de Recherche du Canada en algèbre, combinatoire et informatique mathématique) : rattaché au Centre des recherches mathématiques de Montréal et regroupant une quarantaine de chercheurs en mathématiques et en informatique de l'UQAM et de l'Université de Sherbrooke; il s'intéresse aux mathématiques discrètes et à l'informatique théorique avec des intérêts en combinatoire algébrique, théorie de Lie, les algorithmes des gènes leaders, algèbre de descentes, fonctions symétriques, calcul formel, algorithmes de recherches de motifs, combinatoire énumérative, etc.

 

-    Laboratoire de mathématiques actuarielles et financières Quantact : regroupant des chercheurs de l'UQAM, Laval, Concordia et Montréal et rattaché au Centre des recherches mathématiques de Montréal qui s'intéssent aux différents sujets reliés aux mathématiques actuarielles et aux mathématiques financières tels que : la modélisation actuarielle des catastrophes naturelles; la modélisation actuarielle des réclamations et données de comptage; probabilités appliquées et la recherche opérationnelle; le développement de méthodes stochastiques permettant d'effectuer une prédiction sur le montant de réserve nécessaire; le développement de modèles financiers complexes pour l'évaluation et la couverture de produits dérivés et des garanties dans les fonds distincts;développement et l'analyse des propriétés mathématiques et probabilistes des systèmes bonus-malus; ainsi que la modélisation du surplus actuariel d'une compagnie d'assurance (théorie de la ruine).

 

-         Laboratoire de mathématiques appliquées de l’Université de Montréal : regroupant des professeurs des universités de Montréal, Mcgill et Sherbrooke; les recherches sont effectuées en méthodes numériques en mécanique des fluides, théorie des systèmes dynamiques, modélisation numérique de la combustion turbulente, optimisation de formes et de structures, intégration géométrique, biologie mathématique, analyse numérique asymptotique, etc.

 

-    Laboratoire de mathématiques et d'informatique appliquées de l'UQTR : s'intéresse aux questions de programmation mathématique, de modélisation mathématique et en recherche opérationnelle pour de nombreuses applications telles que la production audiovisuelle, la production multimédia, l'infographie, le traitement des images, la reconnaissance de formes, le traitement des langues naturelles, l'intelligence artificielle, l'actuariat et la finance, les communications sans fil, l'informatique médicale, la prospection de données (text mining et data mining), etc.

 

-         Laboratoire de physique mathématique :  rattaché au Centre des recherches mathématiques de Montréal et regroupant des professeurs des universités Mcgill, Montréal, Concordia, Laval, UQÀM et UQTR, les recherches sont effectuées en analyse harmonique, symétrie des équations différentielles en physique, propriétés de symétrie des systèmes, supersymétrie, systèmes intégrables classiques et quantiques, théorie conforme des champs, mécanique statistique, méthodes des théories de groupes en physique, phénomènes non linéaires, etc.

 

-         Laboratoire de statistique :  rattaché au Centre des recherches mathématiques de Montréal et regroupant des professeurs des universités de Montréal, Laval, Mcgill, Concordia, UQÀM et HEC Montréal, des recherches sont effectuées en estimation de fonction, statistique bayésienne appliquée, algorithmes d’apprentissage statistique, modèles probabilistes, applications en modélisation statistique du langage, applications statistiques en finance, analyse de données multidimensionnelles, statistique non paramétrique, applications statistiques en psychologie, applications statistique en actuariat, applications statistiques en biophysique, aspects théoriques de la statistique, régression non paramétrique, étalonnage des courbes, analyse des séries chronologiques, applications statistiques en épidémiologie, applications statistiques en économique, etc.

 

-    Mcgill Category Theory Research Center (en anglais) : concentre ses recherches en théories des catégories touchant la logique, la théorie algébrique, algèbre différentielle, algèbre homologique, algèbre de Hopf, géométrie différentielle, théorie des modèles, théorie des distributions, théorie des ensembles, théorie des anneaux, topologie, etc.

-    Mcgill Centre for Applied Mathematics in Bioscience and Medicine (CAMBAM) (en anglais) : effectue des recherches dans le domaine des mathématiques appliquées aux sciences de la vie (appelées "biomathématiques" ou "biostatistique") comprenant les systèmes dynamiques, les équations différentielles, les équations algébriques, les la géométrie différentielle, probabilités et statistique, la modélisation mathématique, etc. Les domaines d'application sont larges telles que : la modélisation mathématique de la propagation d'une maladie infectieuse, modélisation mathématique des fonctions cérébrales, calcul différentiel de la pression sanguine, modélisation mathématique d'un cancer, modélisation mathématique de la formation des cicatrices dans les tissus; modélisation de l'évolution d'une espèce biologique, modélisation mathématique l’évolution au cours du temps des proies et des prédateurs dans un écosystème, etc.

 

En microbiologie, biochimie et biotechnologies :

 

Note : voir aussi les recherches en microbiologie dans le secteur de la santé (maladies infectieuses)

 

-    Biopterre : centre collégial de transfert de technologie rattaché à l'Institut de technologie agroalimentaire de La Pocatière et du Cégep de La Pocatière dans le Bas-St-Laurent qui fournit de l'expertise et du soutien technique auprès de PME dans le développement de bioproduits végétaux pour les secteurs de l'agriculture, de la foresterie, de l'horticulture ornementale, de l'environnement, etc.

 

-    Brace Centre for Water Resources Management of Mcgill (en anglais) : regroupant des chercheurs de plusieurs disciplines de Mcgill (génie civil, génie des bioressources, chimie, biologie, microbiologie, parasitologie, physique, géographie, sciences de l'atmosphère, etc.) qui s'intéresse aux aspects interdisciplinaires de la gestion des ressources en eau. Dans le domaine de la microbiologie et de la biotechnologie, ses principaux intérêts s'intéresse à la fertilité des sols; développement des agents de lutte biologique en agriculture; évaluation environnementale de la qualité de l'eau potable; évaluation environnementale des bassins d'eau publics (plages, lacs, piscines publiques, etc.); évaluation environnementale des eaux agricoles; évaluation environnementale des sols contaminés; etc.

 

-    Centre d'études et de valorisation de la diversité microbienne de l'Université de Sherbrooke : développe des agents de lutte biologique en agriculture, des agents de regénération des sols contaminés, des antiobiotiques et des vaccins. Ses principaux thèmes de recherches sont  le contrôle biologique des agents phytopathogènes et la phytopathologie.

 

-    Centre de foresterie des Laurentides : situé à Québec, ce centre de recherche de Ressources naturelles Canada regroupant plus de 25 chercheurs de différentes disciplines (sciences forestière, biologie, microbiologie, biochimie, entomologie). On tente de mieux comprendre la dynamique des écosystèmes forestiers pour le développement de pratiques forestières qui tiennent compte des perturbations naturelles; tente de mieux comprendre la productivité et la dynamique de régénération des forêts afin de soutenir des politiques de gestion forestière durables et de contribuer à la transformation du secteur forestier et cherche à découvrir des façons de détecter rapidement : les maladies s’attaquant aux essences d’arbres dont le bois possède des caractéristiques recherchées par l’industrie; le niveau de résistance des arbres face aux ravageurs ou aux stress environnementaux; 3) la présence de ravageurs exotiques ou indigènes afin de minimiser leurs impacts; et les arbres les mieux adaptés au changement climatique. Ces travaux appuient l’optimisation de l’ensemble de la chaîne de valeur forestière.

 

-    Centre de recherche agronomique Emile A. Lods de l'Université Mcgill (en anglais) : situé à Ste-Anne-de-Bellevue dans l'extrémité ouest de l'Île de Montréal, il est le plus important centre de recherche agronomique en milieu universitaire au Québec et l'un des plus importants au Québec et l'un des plus importants centres de recherche en horticulture et cultures végétales au Canada regroupant des chercheurs en en sciences agronomiques, biologie végétale, biologie, sciences de l'environnement et génie des bioressources. On s'intéresse aux productions horticoles et aux productions de grandes cultures (céréales). Les intérêts en lien avec la microbiologie et la biotechnologie sont : la génomique végétale (cultures génétiques pour le développement de nouvelles variétés de céréales dont notamment le soja, de plantes fourragères et cultures maraîchères); interactions plantes-micro-organismes (interactions entre les cultures de légumineuses telles que le soja et les légumineuses fourragères avec des bactéries fixatrices d'azote).

 

-   Centre de recherche avancée en génomique environnementale de l'Université d'Ottawa : étudie les effets des agents stressants sur la fonction et l’expression du génome.

 

-    Centre de recherche, de développement et de transfert technologique acéricole ACER inc. : est un centre de recherche privée à but non lucratif situé à St-Norbert-d'Arthabaska dans le Centre-du-Québec a été mis sur pied par la Fédération des producteurs acéricoles du Québec, le MAPAQ et le Ministère des Ressources naturelles du Québec. Il réalise diverses  projets de recherches afin d’améliorer les productions acéricoles québécoises. Dans le domaine de la microbiologie et de la biotechnologie, les recherches portant sur l'évaluation de l’efficacité d’agents microbiens utilisés pour le contrôle de la croissance microbienne à l’entaille, etc.

 

-       Centre de recherche en eau, terre et environnement de l’I.N.R.S. : important organisme multidisciplinaire de recherche regroupant des chercheurs de disciplines variées. Ses principaux domaines de recherches reliés à la microbiologie sont : biogéochimie et contamination (écotoxicologie marine, effets et changements des polluants environnementaux dans les écosystèmes aquatiques, limnologie du plancton, écologie aquatique, écophysiologie, etc).

 

-    Centre de recherche en biotechnologies marines : situé à Rimouski au Bas-St-Laurent et rattaché à l'UQAR, ce centre s'intéresse aux propriétés physico-chimiques produits marins et des plantes marines et au développement d'applications de toutes sortes (agriculture, environnement, traitement des eaux, etc) des biotechnologies marines

 

-    Centre de recherche en innovation sur les végétaux de l’Université Laval (anciennement connu sous "Centre de recherche en horticulture") : le plus important centre de recherche horticole en milieu universitaire au Canada regroupant des chercheurs de l'Université Laval (en phytologie, en bioloige et en microbiologie), de l'Université de Montréal (biologie), de l'UQTR (biologie), de l'Institut de recherche et développement en agroenvironnement, d'Agriculture Canada et du MAPAQ; effectue des recherches visant à améliorer les productions horticoles : résistance naturelle des plantes au stress, nutrition minérale des plantes, processus de conservation des produits horticoles (principalement les fruits et légumes), la production horticole biologique, etc.

Les intérêts reliés aux domaines de la microbiologie et de la biotechnologie sont : développement de méthodes de détection d'agents phytopathogènes; mécanismes cellulaires et moléculaires de résistance des plantes à l'infection microbienne; écologie et génétique des interactions sols-plantes-bactéries; physiologie et génétique des bactéries et des nodosités (adaptation au froid); biomasse des groupes écologiques et activités de la microflore du sol et du compost, etc.

 

-         Centre de recherche en science et technologie du lait STELA : effectue des recherches sur la caractérisation des protéines et peptides, sur les contaminants des aliments (pathogènes, virus, bactéries, etc), qualité et innocuité des aliments, revalorisation du lactosérum et des perméats d'ultrafiltration de lactosérum par fermentation, développement de nouvelles bactéries lactiques et probiotiques, etc.

 

-         Centre de recherche en toxicologie de l’environnement TOXEN : étudie les propriétés des contaminants dans l'environnement et développe des méthodes de décontamination des eaux ou des sols. ses principaux axes de recherches sont les suivants :toxicologie moléculaire, cellulaire et biochimique, toxicologie et physiologie et l’écotoxicologie.

 

-    Centre de recherche et développement d'Ottawa d’Agriculture Canada : situé à Ottawa en Ontario, ce centre effectue divers types de recherches sur les céréales dans les domaines suivants : amélioration génétique et salubrité des aliments (avoine, blé de printemps, blé d’hiver, maïs, orge, soja, pathologie des cultures et qualité des grains); bioproduits et bioprocédés (contrôle de l’expression des gènes, génomique fonctionnelle, pathologie moléculaire, régulation de la fertilité, résistance aux insectes, résistance  aau stress environnemental et technologie à valeur ajoutée);.

 

-    Centre de recherche et développement de St-Hyacinthe d’Agriculture Canada : situé à St-Hyacinthe en Montérégie, ce centre effectue des recherches dans les domaines suivants en microbiologie et biotechnologie :  développement de technologies permettant la valorisation des rôles fonctionnels des protéines du lait, production, conservation et utilisation de bactéries lactiques, qualité des aliments à base de céréales, développement de technologies utilisant la microbiologie, l'enzymologie et la biologie moléculaire afin d'assurer la qualité des viandes, développement de technologies utilisant la microbiologie, l'enzymologie et la biologie moléculaire afin d'assurer la qualité des viandes, etc.

 

-    Centre de recherche sur la conception, les mécanismes d'action et la vectorisation des médicaments Pharmaqam : regroupant plus de 50 chercheurs de plusieurs disciplines (biochimie, biologie, chimie, informatique, génie chimique, physiologie, pharmacie et médecine vétérinaire) provenant des universités UQAM, Mcgill, Montréal, UQTR, Laval, Sherbrooke, UQAC, UQAR et INRS); a pour objectif de mettre au point des approches innovantes permettant d'améliorer l'ensemble des processus menant au développement de nouveaux médicaments, en amont des études cliniques, et dédiés au cancer, aux infections virales et bactériennes ainsi qu'aux maladies orphelines et dégénératives.

 

-    Centre de recherche sur les interactions hôte-parasites : situé à Ste-Anne-de-Bellevue sur le campus Macdonald de l'Université Mcgill, il regroupe plus de 35 chercheurs de différentes disciplines (microbiologie, microbiologie-immunologie, biochimie, parasitologie, chimie, génie chimique, nutrition, microbiologie vétérinaire, microbiologie médicale et infectiologie et virologie-immunologie) provenant des universités Mcgill, Laval, Montréal (faculté de médecine vétérinaire), INRS et UQAM; cherche de nouvelles méthodes de lutte contre les maladies parasitaires; développe nouveaux tests diagnostiques et de développer de nouvelles thérapies (vaccins, médicaments) afin d’améliorer la santé humaine et animale dans les pays industrialisés et en voie de développement.

 

-         Centre de recherche sur le pétrole, le gaz et les autres énergies extracôtières : situé à Darmouth (Nouvelle-Écosse), ce centre de recherche de Pêches et Océans Canada unique au Canada s’intéresse aux impacts environnementaux et océanographiques causés par l’exploration, la production et le transport du pétrole extracôtier. Voici quelques exemples de projets réalisés : caractérisation et profil de la communauté microbienne des cours d'eau nordiques par les hydrocarbures pétroliers; la dégradation améliorée de résidus d’hydrocarbures par l’utilisation de méthodes d’oxydation à la fois chimique et biologique, développement de nouvelles méthodes de nettoyage des littoraux après un déversement (par des bactéries modifiés par exemple), etc.

 

-         Centre de recherche sur les mécanismes du fonctionnement cellulaire : ses principaux  champs de recherches sont : la signalisation cellulaire (caractérisation des mécanismes cellulaires et moléculaires de signalisation impliqués dans la régulation de la différenciation et de la mort programmée des cellules) et l’expression génique (étude des processus d’expression génique, au niveau de ses mécanismes moléculaires fins, est essentielle à la compréhension du vivant et de son évolution. Elle l’est d’autant plus que plusieurs maladies comme le cancer, les affections génétiques et plusieurs infections tant virales que bactériennes).

 

-    Centre des sciences pour la sécurité : centre de recherche de Recherche et Développement pour la Défense Canada situé à Ottawa effectue des recherches qui visent à renforcer la capacité du Canada à réagir (anticipation, prévention, préparation, intervention et rétablissement) à  des accidents graves, à des catastrophes naturelles ou à des actes  terroristes et criminels par la convergence de la science et de la technologie.

Dans le domaine de la microbiologie et de la  biotechnologie; des recherches sont  réalisées dans la mise en place de ;solutions afin d'intervenir à des menaces chimiques, biologiques, radionucléaires et  explosives, à des catastrophes naturelles et à des accidents graves,  notamment par le développement d'outils de détection et de méthodes d'analyse microbiologique ou biotechnologique de contaminants ou de pathogènes  pouvant causer un risque pour santé et sécurité des intervenants et de la population.

 

-    Centre interinstitutionnel de recherche en écotoxicologie du Québec CIREQ : important centre interuniversitaire et interdisciplinaire de recherche ayant pour objectif d’identifier et de gérer les risques reliés à la présence de rejets des activités industrielles et domestiques pour la santé humaine et l'équilibre des écosystèmes du fleuve Saint-Laurent et de ses tributaires regroupe plus de 80 chercheurs de plusieurs disciplines (biologie, chimie, biochimie, microbiologie, géographie, informatique, génie civil, génie des eaux et sciences de l'eau) provenant des universités : UQAR, Concordia, Montréal, Mcgill, UQAM, INRS-Armand-Frappier et INRS-ÉTE; ainsi que des institutions gouvernementales : Environnement Canada (Centre St-Laurent et Biosphère Canada), Pêches et Océans Canada (Institut Maurice-Lamontagne), Ville de Montréal (Biodôme), MAPAQ (Centre d'expertise en analyse environnementale) et SEPAQ (Parc aquarium du Québec).

Ses principaux intérêts portent sur l'évaluation du potentiel toxicologique des effluents urbains; l'évaluation du potentiel toxicologique des cours d'eau; effets de la consommation de poissons contaminés sur la santé des organismes fauniques et des humains; écotoxicologie des matériaux énergétiques; les contamination aux métaux dans le Nunavik; impacts et enjeux de l'incinération des déchets dangeureux; etc.

 

-         Centre de recherches industrielles du Québec CRIQ : cet important centre de recherches du Gouvernement du Québec situé à Québec et à Montréal, développe différentes technologies dans diveres types d’industries afin de les aider à optimiser leur production et à devenir de plus en plus concourrentionnel face à la mondialisation des marchés. Dans le grand secteur « technologies de l’environnement », des projets tels que les suivants ont été réalisés : travaux de culture micro-organique d'une moisissure afin d'extraire un métabolite dont les propriétés antifongiques peuvent être utilisées dans plusieurs domaines tels que l’alimentation animale, les biofertilisants et les colorants, élaboration de différents composts fabriqués à partir de sous-produits de l’usine de Windsor, etc.

 

-    Centre national en électrochimie et technologies environnementales :  centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de Shawinigan en Mauricie qui qui fournit de l'expertise et du soutien technique auprès de PME dans le développement de bioprocédés environnementaux (biopesticides, biocarburants, biocapteurs, etc)

 

-    Centre SEVE (centre de interuniversitaire recherche en biologie végétale : centre de recherche interuniversitaire situé à Sherbrooke en Estrie, regroupant des chercheurs des universités de Sherbrooke, Laval, Mcgill, Montréal, UQTR et UQAT, ainsi que d'Agriculture Canada qui s'intéresse aux différents aspects des sciences végétales tels que : conservation des fruits et légumes frais: induction de résistance aux maladies, écologie des micro-organismes végétaux, écologie microbienne des sols, biologie et génétique moléculaire des plantes, biologie cellulaire et moléculaire des plantes, phytopathologie, stratégies de contrôle des insectes nuisibles, Biologie évolutive des insectes parasites, adaptation des plantes aux stress de l’environnement, biodiversité et conservation des pollinisateurs indigènes, pathologie des cultures légumières, amélioration du rendement dans l'utilisation d'engrais, etc.

 

-         Centre St-Laurent : important organisme de recherche d’Environnement Canada situé à Montréal, il est entièrement consacré aux écosystèmes fluviaux du St-Laurent. On y effectue des recherches sur : les rejets urbains (écotoxicologie des rejets urbains, impact des rejets urbains sur la santé des poissons, chimie environnementale des rejets urbains); transport à distance des polluants atmosphériques (suivi spatio-temporel des lacs); suivi de l’état de santé du St-Laurent (suivi de la végétation des milieux humides, suivi de la qualité de l’eau, dynamique des glaces sur le tronçon fluvial Varennes-Sorel, etc).

 

-    Centre technologique des résidus industriels CTRI : centre collégial de recherche appliquée et de transfert de technologie rattaché au Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue ayant pour mandat  de réaliser des activités de recherche appliquée, d'expertise et de soutien technique en valorisation des résidus industriels, de ses ressources sous-utilisées en assaissement de l'environnement auprès d'entreprises des secteurs forestier, agricole et minier.

 

-         Chaire de recherche du Canada en biotechnologie parasitaire : chaire de l’Université Mcgill effectue l’analyse moléculaire de l’interaction hôte-parasite au moyen de techniques protéomiques et génomiques afin de développer de nouvelles façons de contrôler les parasites qui causent des infections chez l’humain.

 

-    Chaire de recherche du Canada en décontamination environnementale : cette chaire développement des procédés chimiques et biologiques pour décontaminer les boues, les sols et autres rejets industriels et urbains.

 

-         Chaire de recherche du Canada en écotoxicologie marine de l’UQAR : s'intéresse aux problématiques environnementales propres aux écosystèmes côtiers des hautes latitudes. Des recherches sont notamment effectuées en bactériologie marine

 

-         Chaire de recherche du Canada en génomique et génie microbien : étudie le fonctionnement des génomes microbiens afin de concevoir le métabolisme de microbes et de fabriquer des produits chimiques et combustibles biologiques.

 

-    Chaire de recherche du Canada en génomique forestière et environnementale : développe des outils d’analyse des génomes d’arbres forestiers et développe des applications de la génomique fonctionnelle à l’environnement forestier.

 

-         Chaire de recherche du Canada en génomique fonctionnelle appliquée à la reproduction animale : rattachée au Centre de sciences de la biodiversité du Québec, le principal objectif de cette chaire est d'appliquer les nouveaux outils de la génomique afin de décrire le programme génétique du tout début de la vie embryonnaire.

 

-         Chaire de recherche du Canada en immunotoxicologie de l’environnement : étudie l'effet qu’ont les contaminants sur les écosystèmes et la santé humaine afin de développer des outils et des méthodes de prévention.

 

-         Chaire de recherche du Canada en microbiologie environnementale : étudie la biodiversité microbienne et l’écologie dans l’Arctique canadien au moyen de la microbiologie classique et de nouvelles techniques moléculaires fondées sur la génomique afin de mieux comprendre la nature des micro-organismes adaptés au froid et leur utilisation possible dans différents domaines.

 

-         Chaire de recherche du Canada en maladies animales d’origine bactérienne : étudie le fonctionnement, de l’assemblage et de l’importance, lors d’infections animales, des molécules adhésines. Ces recherches permettront de découvrir de nouveaux traitements antibactériens pour plusieurs maladies et de réduire l’utilisation d’antibiotiques pour les animaux et d’améliorer la santé humaine, la santé des animaux d’élevage, la salubrité des aliments et de protéger l’environnement.

 

-    Chaire de recherche du Canada en sociomicrobiologie : cherche à comprendre comment les bactéries communiquent entre elles et mettre au point des traitements pour interrompre cette communication et contrôler leur virulence.

 

-    Chaire de recherche du Canada sur la bioconversion des eaux usées et des boues d'épuration en produits à haute valeur ajoutée : développe de nouveaux procédés, écologiques et rentables, de traitement et de valorisation des eaux usées et des boues d'épuration pour la production d'enzymes, de bio-insecticides, bioherbicides, biofongicides, bio-inoculants et bioplastiques.

 

-    Chaire de recherche du Canada sur les microorganismes et les procédés industriels en biotechnologie : développe de façon accélérée des procédés de production basés sur l’utilisation de microorganismes d’intérêt industriel.

  

-         Chaire de recherche en salubrité des viandes : ses principaux domaines de recherches sont : l’épidémiologie des pathogénes alimentaires, mise au point de mesures de réduction de la transmission de bactéries pathogènes chez les animaux vivant, mise au point et validation de nouveaux outils diagnostiques pour détecter les animaux ou les produits de viande contaminés.

 

-         Chaire de recherche industrielle en environnement et biotechnologie de l'UQTR : La recherche vise à faire pousser des plantes soigneusement choisies dans des conditions optimales de manière à tirer avantage de leur propriété naturelle à absorber les contaminants. Ces recherches permettront l’élaboration de nouvelles technologies utilisant des plantes afin d’assainir les sites contaminés et, éventuellement, de mettre en place des solutions de décontamination moins coûteuses et plus esthétiques, ainsi que de développer des bioproduits abordables dans des procédés papetiers ou autres procédés industriels..

 

-         Chaire Saputo en valorisation biomédicale des produits laitiers : cherche à découvrir de nouvelles moléculaire du lait d’intérêt pour la microbiologie, l’immunologie et l’agronomie afin d’identifier et de caractériser les effets bénéfiques du lactosérum.

 

-   Collectif de recherche appliquée aux bioprocédés et à la chimie de l'environnement CRABE de l'UQAR : on y développe des processus biogéochimiques des environnements aquatiques et des bioprocédés propres et durables par une approche d’analyse chimique fondée sur la séparation, la purification et la caractérisation des molécules organiques d’intérêt. Ses intérêts en biotechnologies portent sur le développement de bioprocédés sont des techniques, méthodes ou dispositifs utilisant du matériel biologique, comme des microorganismes modifiés ou des microalgues, à des fins industrielles, environnementales ou pharmaceutiques; le développement de nouvelles biomolécules et de nouveaux biomatériaux d'origine aquatique pour des applications industrielles (environnementales, pharmaceutiques, agroalimentaires, biochimique) et médicales; ainsi que la valorisation de la masse  résidus issus de la pêche et de l'industrie de la transformation alimentaire.

 

-    Concordia Centre for NanoScience Research (en anglais) : regroupant des chercheurs en biochimie, chimie et physique; effectue de nombreuses recherches dans le domaine des nanosciences, principalement celles à la frontière biochimique. Il s'intéresse notamment aux propriétés optiques des nanomatériaux; la synthèse, la caractérisation et la spectroscopie de nanoparticules dopés pour des applications dans l'industrie des télécommunications; les propriétés mécaniques et électroniques des matériaux à l'échelle nanométrique pour des applications biomédicales (culture in vitro de tissus oesseux et de tissus nerveux par exemple); ainsi que les principes fondamentaux impliqués dans le « pliage » moléculaire et macromoléculaire et le développement de nouveaux catalyseurs ou des catalyseurs solides nanostructurés pour des applications industrielles.

 

-    Faucher Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Mcgill se concentre sur le comportement des agents pathogènes bactériens dans des environnements non cliniques, comme dans l'eau afin de déterminer les facteurs génétiques et des facteurs environnementaux qui influent sur ​​son comportement.

 

-    Genorem : regroupant 16 chercheurs de différentes disciplines (microbiologie-immunologie, biochimie, biologie, géographie, phytologie, science politique et droit) des universités de Montréal, Mcgill et du Conseil national de recherches du Canada; ce centre de recherche tente de trouver des solutions afin d'améliorer les techniques vertes de décontamination des sols pollués en utilisant la génomique pour mieux comprendre les interactions plantes-microorganismes lorsque ceux-ci sont en présence de contaminants afin de déterminer les meilleures approches pour favoriser leur extraction ou leur dégradation.

Dans le domaine de la microbiologie et de la biochimie, les intérêts portent sur la génomique classique et le séquençage de génomes de champignons et de protists; l'écologie microbienne; biologie moléculaire de la métagénomique; biodégradation des polluants organiques; réhabilitation et phytoremédiation des sites contaminés; génétique moléculaire; génomique comparative et évolutive; cytogénétique; pathologie moléculaire des plantes; etc.

 

-         Groupe de recherche en microbiologie de l’environnement de l'INRS : rattaché au Centre de recherche Armand-Frappier de l'INRS; regroupe des chercheurs détenant des formations variées (microbiologie, biochimie, chimie, biologie) qui s'intéressent aux activités et aux mécanismes employés par les microorganismes dans leurs environnements naturels afin de développer de nouveaux bioprocédés d'assainissement de l'environnement.

 

-    Groupe de recherche Marsault de l'Université de Sherbrooke : rattaché à l'Institut de pharmacologie de l'Université de Sherbrooke, il a pour objectif de concevoir et synthétiser des molécules qui permettront de valider des cibles biologiques émergentes, afin d'identifier de nouvelles approches vers le médicament ou le diagnostique.

 

-    Groupe interinstitututionnel de recherches océanographiques Québec Océan : regroupant des chercheurs de l'UQAR, de l'UQAC, de Laval, de Mcgill, et de l'INRS; s'intéresse aux grandes problématiques qui touchent les océans concernent le maintien de l’intégrité environnementale planétaire, de la biodiversité et des services qu’ils procurent à l’humanité. Dans le domaine en lien avec la microbiologie et la biotechnologie; les recherches comprennent : l'étude des phénomènes microbiologiques l'oxygénation de l'eau des océans; l'étude des contaminants biologiques et autres substances écotoxiques des océans et leurs impacts environnementaux; le développement de nouvelles méthodes d'analyse de la toxicité des océans et développement de nouvelles méthodes de décontamination des océans.

 

-         Installation de partenariat industriel en biotechnologies du CNRC : centre de recherche du Gouvernement du Canada situé à Montréal et destiné à la recherche en biotechnologies avec la collaboration de partenaires industriels. Les principaux projets dans le secteur environnement pour la microbiologie sont : bioprocédés pour le traitement des eaux usées industrielles, biodégradation des agents polluants, diagnostic moléculaire, biotraitabilité et biomonitorage des sites contaminés, effets toxicologiques des agents polluants, mise au point d'épreuves biologiques, évaluation du risque environnemental, utilisation des capacités fonctionnelles des microbes et des communautés microbiennes naturelles dans la mise au point de procédés de bioconversion et de biocatalyse afin d’obtenir de nouveaux produits biologiques, de micro-organismes, mise au point de biocapteurs pour divers contaminants, etc.

 

-    Installation pilote de fermentation microbienne du CNRC : centre de recherche du Gouvernement du Canada situé à Ottawa qui met au point, optimise et met à l'échelle des bioprocédés microbiens pour des applications industrielles. Ses principaux intérêts portent sur l'ingénierie et sélection de souches microbiennes recombinantes; la production de peptides, protéines, nutraceutiques, acides organiques, polymères, et probiotiques; le criblage de milieux de culture, microorganismes, lignées cellulaires, et conditions de croissance; l'optimisation de bioprocédés industriels utilisant des espèces microbiennes pour des applications dans les industries alimentaires, pharmaceutiques, des fertilisants biologiques, de produits nettoyants biologiques, etc.

 

-   Institut de recherche en biologie végétale de l'Université de Montréal : situé sur le site du Jardin Botanique à Montréal, il effectue des recherches sur les mécanismes impliqués dans la reproduction des plantes, tant au niveau de la signalisation moléculaire et du développement des cellules reproductives que de la différenciation et de l’évolution de ces mécanismes entre espèces.

 

-    Institut de recherche et de développement en agroenvironnement inc : situé à Québec, ce centre de recherche privé à but non lucratif à la suite d’une initiative du Ministère de l’agriculture, pêcheries et alimentation du Québec, du Ministère du développement économique et régional et de la recherche du Québec, du Ministère de l’environnement du Québec et de l’Union des producteurs agricoles du Québec. Son Laboratoire de microbiologie environnementale - phytopathologie comporte un laboratoire de confinement de niveau 1 et un laboratoire de confinement de niveau 2 afin d'effectuer le suivi des populations microbiennes, la détection de la résistance et les essais d’efficacité.

 

-         Institut Armand-Frappier de l’I.N.R.S. : important centre de recherches unique de renommée mondiale, cet institut réalise de nombreux travaux dans plusieurs domaines multidisciplinaires. Les principaux domaines de recherches reliés à la microbiologie et la biotechnologie sont : microbiologie de l’environnement (écologie microbienne de bioprocédés de biodépollution, étude de biofilms bactériens dont Pseudomonas aeruginosa impliquée dans la fibrose kystique et pour des applications en biotechnologie environnementale); immunité, maladies infectieuses et cancers (recherche de nouveaux outils pour contrôler l'infection grippale dans son stade initial , développement d'un vaccin sous-unitaire contre le HIV, Approches moléculaires pour le diagnostic d'infections virales, étude de la pathogenèse associée à une infection par le VIH, Identification de gènes impliqués dans la dissémination des lymphomes, biologie moléculaire du virus de l'herpès simplex, physiologie d’une population particulière de cellules immunitaires appelées Natural Killer, Mécanismes moléculaires de l'apoptose et contrôle du rejet de greffes, histocompatibilité et le processus de rejet des greffes, etc).

 

-   Institut de pharmacologie de l'Université de Sherbrooke : ce centre de recherche s'intéresse notamment aux biotechnologies appliquées au domaine pharmaceutique.

 

-    Institut sur la nutrition et les aliments fonctionnels de l'Université Laval INAF : plus important regroupement de chercheurs au Canada entièrement dédié à l’étude des aliments et de leurs composantes dans le contexte des liens entre la nutrition, la santé et la prévention des maladies chroniques par de la recherche fondamentale, appliquée et clinique.

Il regroupe près de 50 chercheurs de différentes disciplines (agronomie, nutrition, sciences et technologie des aliments, biochimie, chimie, microbiologie, pharmacologie, physiologie, médecine expérimentale, sciences biomédicales, sciences de l'activité physique, sciences pharmaceutiques, psychologie, santé publique, médecine interne, etc.) et 25 chercheurs associés provenant des universités Laval, Montréal, Sherbrooke et UQAM qui s’intéressent tout particulièrement à 3 principaux domaines de recherche, dont :

découverte et caractérisation des aliments : analyse des risques alimentaires; détection et évaluation des risques d'allergènes alimentaires; développement de normes de sécurité sanitaire des aliments; développement de méthodes moléculaires pour la détection de microorganismes pathogènes alimentaires; les levures et moisissures désirables participant à l'affinage des fromages; les levures et moisissures qui sont indésirables causant la contamination de ces produits alimentaires; les facteurs contrôlant les activités métaboliques des bactéries lactiques et probiotiques; l’utilisation des méthodes génomiques pour l’étude de l’écologie des communautés microbiennes présentes dans les aliments; etc.

technologies et procédés :  l’écologie microbienne et la qualité microbiologique de la viande; la formulation de biofongicide pour la conservation des fruits et légumes; etc.

 

-    Institut des sciences de la mer de Rimouski : l’un des plus grands centres de recherche en océanographie au monde et situé à Rimouski dans le Bas-St-Laurent, l’ISMER regroupe une vingtaine de chercheurs réguliers provenant de plusieurs disciplines (océanographie, biologie, géographie, chimie, géologie, archéologie, aquaculture) provenant de l'UQAR et plus de 70 chercheurs associés provenant de nombreux établissements universitaires, collégiaux et gouvernements (Université Laval, UQAC, UQAM, INRS, Université de Moncton, University of P-E-I, Université de Montpellier en France, University of Liverpool en UK, Environnement Canada, Pêches et Océans Canada, Institut Maurice-Lamontagne, ainsi que de Mérinov de l'École des pêcheries et de l'aquaculture) ayant une expertise dans ce grand et large secteur de recherches.

Les principaux domaines de recherches reliés à la microbiologie, à la biochimie et aux biotechnologies sont : l'étude du phytoplancton marin au sein du Laboratoire de palynologie marine; l'analyse des particules de surface au sein du Laboratoire d'analyse des particules de surface; la valorisation des micro-algues et la collecte de micro-organismes marins afin d’évaluer le potentiels de ces microorganismes (nutraceutiques, production de nouveaux antibiotiques, etc.).

 

-   Institut Hydro-Québec en environnement, développement et société de l'Université Laval : important centre de recherche regroupant 94 chercheurs de plus d'une trentaine de disciplines reliées au domaine de l'environnement et du développement durable (dont chimie, biologie, agronomie, géographie, sciences de la terre, sciences forestières, génie agroenvironnement, génie civil, génie chimique, génie minier, etc.) dans une perspective interdisciplinaire.

Dans le domaine de la microbiologie et de la biotechnologie; les intérêts portent sur la microbiologie et la décontamination des sols; les analyses microbiologiques des eaux usées; la qualité microbiologique de l'eau potable; ainsi que l'évaluation de l'exposition humaine des contaminants environnementaux.

 

-    Laboratoire de recherche en criminalistique de l'UQTR : unique au Québec et l'un des rares laboratoires de recherche en criminalistique au pays regroupant des chercheurs en chimie et biochimie; effectue des recherches dans les domaines tels que : chimie analytique, génétique des populations, biologie judiciaire, chimie organique, métabolisme biochimique, expertise dans le domaine du papier (preuve légale et support important de traces) pour le secteur de la criminalistique.

-    Laboratoire Maréchal : ce laboratoire de recherche en biologie cellulaire de l'Université de Sherbrooke; étudie la réponse aux dommages à l’ADN, un ensemble de voies signalétiques capables de détecter différents types de lésions dans l’ADN et de reprogrammer l’ensemble des fonctions cellulaires afin d’assurer la préservation du génome.

 

-    Laboratoire national de biosécurité d'Environnement Canada : situé à Ottawa, ce laboratoire de biosécurité de niveau 2 se  consacre à la recherche sur la toxicité des sols mettant en cause des agents pathogènes appartenant au groupe de risque.

 

-    Laboratoire Yergeau de l'INRS-Armand-Frappier (en anglais) : vise à trouver de nouvelles approches d'utilisation des micro-organismes et d'améliorer la santé et la production des végétaux contre les problèmes environnementaux comme le changement climatique, les sols contaminés et la baisse de la production alimentaire.

 

-    Mcgill Arctic Research Station MARS : situé au Nunavut, cette station de recherche concentre ses projets sur tout ce qui concerne la région arctique notamment dans le domaine de la microbiologie nordique.

 

-    NanoULaval : centre d'expertise en nanosciences et nanotechnologies de l'Université Laval situé à qui regroupe 6 groupes de recherches des domaines de la biotechnologie la photonique, de l'infectiologie et des matériaux afin de développer des nanomatériaux de haute qualité pour diverses applications

 

-         Observatoire de l’environnement et du développement durable : effectue de nombreuses recherches reliées à l’environnement telles que : analyse des changements climatiques à l’échelle du continent, développement d’indicateurs du changement de l’environnement, la toxicité des mieux aquatiques, l’amélioration des eaux et des sols contaminés, utilisation optimale des biotechnologies à l’environnement, études sur les risques et les impacts de catastrophes environnementales, gestion des déchets industriels, développement des énergies renouvelables, etc.

 

-    Oléotek : : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de Thetford Mines en Chaudière-Appalaches  qui fournit de l'expertise et du soutien technique auprès de PME et certaines grandes entreprises dans le développement de nouveaux produits en biotechnologie industrielle (transformation physico-chimiques des huiles animales et végétales) pour des applications pharmaceutiques, cosmétiques, alimentaires, plasturgie, pétrochimie (peintures, solvants, lubrifiants, fluides hydrauliques, etc), et chimiques (savons, détergents, cires, encres, assouplisseurs, etc).

 

-    Regroupement québécois de recherche sur la fonction, la structure et l'ingénierie des protéines PROTEO : il regroupe près de 40 chercheurs de différentes disciplines (biochimie, biologie cellulaire et moléculaire, bio-informatique, biophysique, chimie, génie chimique, microbiologie - sciences, microbiologie-immunologie, sciences et technologie des aliments, nutrition humaine, physiologie, pharmacologie, sciences pharmaceutiques, etc.) provenant de 10 universités (Laval, Sherbrooke, Montréal, Mcgill, UQTR, Concordia, UQAM, INRS-Armand-Frappier, Polytechnique et Ottawa), ainsi que des chercheurs associés provenant d'Héma-Québec et de centres collégiaux de transfert de technologie (Transbiotech, Oléatek et CNETE) ayant pour objectif la compréhension de la relation entre la structure des protéines et leurs fonctions biologiques (protéines de reconnaissance des acides nucléiques, métalloprotéines, protéines et peptides membranaires, protéines d'intérêt appliqué, etc).

Ses principaux intérêts de recherche dans le domaine des sciences pures portent sur les protéines de reconnaissance des acides nucléiques, les métalloprotéines, les protéines et peptides membranaires, les protéines de pertinence antimicrobienne, ainsi que les protéines d'intérêt appliqué.

 

-    Regroupement québécois sur le médicament : regroupant des chercheurs en biochimie, biologie cellulaire et moléculaire, chimie, pharmacie et pharmalogie des universités Mcgill, Montréal, Sherbrooke, Laval, Concordia et UQAM; il a comme objectif la découverte de molécules ayant des activités biologiques et qui seront utilisés en tant qu’outil pharmacologique permettant de valider les cibles thérapeutiques et dont le potentiel thérapeutique pourrait être exploité en partenariat avec l’industrie.

 

-    Réseau québécois en reproduction : situé à St-Hyacinthe en Montérégie, il est plus important centre de recherche en biologie de la reproduction animale et humaine au Canada et l'un des plus importants au monde regroupant plus de 80 chercheurs de différentes disciplines (agronomie, biochimie, biologie, médecine vétérinaire, microbiologie, obstétrique-gynécologie, génétique médicale, microbiologie médicale) provenant des universités de Montréal, Mcgill, Laval, Sherbrooke, UQTR, UQAM et INRS-Armand-Frappier, ainsi que d'Agriculture Canada, MAPAQ et de partenaires privés (clinique OVO, de Fertilys, de Conception et de Boviteq).

On y  développe des outils génomiques, moléculaires, cellulaires et cliniques pour répondre aux principaux problèmes en production animale, en santé animale et en santé humaine. Ses intérêts portent sur la fonction ovarienne, la reproduction masculine, ainsi que l'embryogenese et interaction avec l'utérus lors de la gestation.

 

-    Regroupement québécois sur le médicament : regroupant des chercheurs en biochimie, biologie cellulaire et moléculaire, chimie, pharmacie et pharmalogie des universités Mcgill, Montréal, Sherbrooke, Laval, Concordia et UQAM; il a comme objectif la découverte de molécules ayant des activités biologiques et qui seront utilisés en tant qu’outil pharmacologique permettant de valider les cibles thérapeutiques et dont le potentiel thérapeutique pourrait être exploité en partenariat avec l’industrie.

 

-    Réseau G3 H2O : unité interuniversitaire et internationale de recherche regroupant 5 chercheurs en biochimie et en microbiologie provenant de l'Université de Montréal au Canada, de l'Université de Genève en Suisse et de l'Université Libre de Bruxelles en Belgique qui s'intéresse au domaine des sciences de l'eau. Voici quelques exemples de projets en cours : impact des changements climatiques sur la mobilité des contaminants inorganiques dans l’Arctique et en zones tempérées; biogéochimie des thiols dans l’environnement aquatique; facteurs affectant la méthylation du mercure; utilisation des isotopes de soufre comme traceurs en milieu d’eau douce; suivi continu et non-invasif des interactions entre les nanoparticules et les microorganismes aquatiques; écotoxicologie et biodiversité aquatique dans un système rivière-plaine alluviale; biodisponibilité et toxicité des mélanges de métaux envers les algues d’eau douce; qualité microbiologique des eaux de surface : sources et devenir des contaminants microbiens d’origine fécale; impact des micropolluants organiques sur la composition des communautés bactériennes des rivières; utilisation de nanoparticules de bactéries pour la réhabilitation de sites contaminés par des solvants chlorés; biogéochimie du carbone et des éléments associés dans les systèmes marins (estuaires, zones côtières, pleine mer, banquise); biogéochimie du phosphore et du silicium dans les systèmes aquatiques; biogéochimie des métaux-traces naturelles des eaux marines; etc.

 

-    Ressources aquatiques du Québec RAQ : regroupant une quarantaine de chercheurs de différentes disciplines (biologie, agronomie, géographie, microbiologie, biochimie, génie civil, génie chimique et économique) provenant des universités : UQAR, Laval, Montréal, Sherbrooke, Mcgill, UQAC, UQAM, INRS-Armand-Frappier et Polytechnique; ainsi que des institutions suivantes : Cégep de la Gaspésie et des Îles (École des pêcheries et de l'aquaculture du Québec et Mérinov), Pêches et Océans Canada, Agriculture et Agroalimentaire Canada, Ministère des Forêts, Faune et Parcs Québec, du Musée canadien de la nature et du Biodôme de Montréal; a pour mandat le développement durable de l’industrie aquacole et de l’industrie des pêches du Québec autant en en eau douce et en milieu côtier, de même que les compétences sur les mollusques et les poissons tout en s’ouvrant sur les aspects biotechnologiques, économiques, légaux et éthiques.

Ses principaux intérêts en lien avec la microbiologie et la biotechnologie portent sur la santé des espèces (validation des outils utiles pour estimer la vitalité et l’état de santé des animaux et des plantes en élevage, étude des pathogènes de poissons afin de développer de nouvelles approches pour prévenir et traiter les épisodes infectieux, développement de méthodes permettant de déstabiliser les fonctions reliées à la virulence d’agents infectieux, étude des propriétés antibactériennes ou antivirales chez les diatomées bleues, validation des outils d’évaluation sanitaire contribuant à la viabilité et l’état de santé des individus, etc.); amélioration génétique (accroissement de la résolution de la carte génétique de l’omble de fontaine, séquençage du génome entier de l’omble de fontaine et réaliser une étude génomique comparative avec celui d’autres salmonidés en cours de séquençage, etc.); développement de sous-produits à valeur ajoutée (isolation et identification des composés bioactifs (antibiotiques, antiviraux, antitumoraux) des microalgues pour des applications thérapeutiques et cosmétiques, développement de biomatériaux à base de byssus de moules pour des applications en génie tissulaire et biomédical, etc.); etc.

 

-    Shapiro Lab en génomique microbienne évolutive de l'Université de Montréal (et Chaire de recherche du Canada en génomique microbienne évolutive) : mesure en temps réel l’évolution de populations microbiennes à l’aide du séquençage de génomes individuels et de communautés entières provenant de tout habitant, qu'il s'agisse d'un lac ou d'un patient infecté afin de comprendre leur évolution et à prédire comment ils s’adapteront à des environnements changeants.

 

-    Station de biologie des Laurentides de l'Université de Montréal (ne pas confondre avec le Centre de foresterie des Laurentides de Ressources naturelles Canada) : située à St-Hippolyte dans un région boisée et montagneuse, dans les Basses-Laurentides; ce véritable laboratoire naturel en milieu protégé esst l'un des plus importants centres de recherches en biologie au Canada qui regroupe de nombreux chercheurs en biologie et en géographie de l'Université de Montréal qui réalise notamment des recherches en  écotoxicologie (une expertise a été développée sur la toxicité des métaux lourds dans les lacs).

 

-    Transbiotech : centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de Lévis-Lauzon en Chaudière-Appalaches qui fournit de l'expertise et du soutien technique auprès de PME dans le développement de nouveaux produits en biotechnologie dans les domaines de l'alimentation fonctionnelle, les nutraceutiques, les produits pharmaceutiques et les produits de santé naturels.

 

-    Walsh Laboratory (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Concordia tente de développer une compréhension prédictive de la façon dont les micro-organismes aquatiques répondre à la variabilité environnementale naturelle et anthropique dans les écosystèmes nordiques, y compris les lacs et les océans.

En physique :

 

-       Agence spatiale canadienne (Laboratoire David Florida) : situé à Ottawa, ce laboratoire est le centre canadien voué à l’intégration, à l’assemblage et à l’essai d’engins spatiaux. Voici quelques exemples de projets en cours ou complétés : téléscope spatial canadien MOST permettant d’étudier la microvariabilité et les oscillations stellaires, satellite canadien SCISAT-1 d’étude de l’atmosphère terrestre, OPTUS C1 le satellite de télécommunications australien, RADARSAT-2 le nouveau satellite canadien d’observation de la Terre, le MSS Système d’entretien mobile est la contribution canadienne à la Station spatiale internationale, Canadarm le Bras robotique télémanipulateur canadien de la navette spatiale qui subit constamment des améliorations, BSAT 2A et BSAT 2B des satellites japonais de télédiffusion directe à domicile, etc.

 

-      Bellairs Research Institute : important centre de recherche rattaché à l’Université Mcgill et situé aux Barbades dans les Caraïbes effectuant de nombreuses recherches dans les domaines de la biologie (océanographie, ichtyologie, écologie marine, botanique, primatologie, etc), en géologie (géologie des reliefs, géologie historique, géologie marine, séismologie, etc), en météorologie (météorologie marine, climatologie et prévision d’ouragans), en géographie (géographie maritime, les ouragans, géomorphologie et géographie humaine), en physique (astrophysique, physique des ouragans et océanographie physique), en agronomie (pêcheries, cultures légumières et fruitières, , en anthropologie (notamment en archéologie et paléontologie, mais aussi en ethnologie), en histoire (histoire des sciences naturelles, histoire des Caraïbes), ainsi qu’en sociologie.

 

-    Bianucci Research Group (en anglais) : ce groupe de recherche de l'Université Concordia s'intéresse aux propriétés optiques des nanomatériaux couplés à microrésonateurs optiques et aux structures microscopiques qui peuvent maintenir la lumière confinée pour des applications en optique et photonique.

 

-    Canmet Énergie : centre de recherche de Ressources naturelles Canada situé à Varennes en Montérégie regroupant des chercheurs dans plusieurs disciplines (physique, génie électrique, génie informatique, génie du bâtiment, génie physique, etc.) réalisée de nombreuses recherches dans le domaine des sciences et technologies énergétiques en partenariat avec l'industrie. Dans le domaine de la physique, eon y effectue des recherches dans le domaine de l'efficacité énergétique; développe des nouvelles technologies par les énergies renouvelables (solaires, éoliens, géothermiques, biomasse), etc.

 

-    Centre canadien de fabrication de dispositifs photoniques : centre de recherches du Gouvernement du Canada situé à Ottawa en Ontario qui effectue la conception, la modélisation et le développement de dispositifs et de circuits photoniques en vue d'améliorer la performance et la conception globale et d'accroître l'efficacité des circuits; ainsi que des essais et caractérisation de dispositifs photoniques et électroniques et analyse des surfaces et matériaux.

 

-    Centre collégial de transfert en technologies en optique et photonique OPTECH : rattaché aux cégeps André-Laurendeau, La Pocatière et John-Abbott et situé à Montréal et à La Pocatière qui fournit de l'expertise et du soutien technique aux PME dans le développement de projets dans les domaines de l'optique et de la photonique.

 

-    Centre de neurophotonique de l'Université Laval : équipe de recherche rattaché au Centre de recherche de l'Institut universitaire de santé mentale de Québec qui étudie notamment les processus cellulaires et moléculaires dans le neurone vivant à l'aide de la photonique.

 

-      Centre de recherche en astrophysique du Québec (voir aussi la page suivante) : regroupant des chercheurs des universités de Montréal,  Mcgill Laval et ; on y effectue des recherches reliées à l’astrophysique comme : l’astronomie stellaire, astronomie galactique, astronomie extra-galactique, etc.

 

-         Centre de recherche en eau, terre et environnement de l’I.N.R.S. : important organisme multidisciplinaire de recherche regroupant des chercheurs de disciplines variées. Ses principaux domaines de recherches reliés à la physique sont : l’océanographie physique, modélisation stochastique, analyse d’incertitudes en modélisation, etc.

 

-         Centre de recherche en énergie, matériaux et télécommunications de l’INRS : effectue de nombreuses recherches dans le domaine de la  physique :  développement de nouveaux matériaux  utilisant de l’énergie (piles à combustible, pompes à chaleur chimique, les batteries Ni-Hydrure, etc), développement de nouvelles méthodes d’exploitation de l’énergie éolienne, impact du changement climatique pour la société, la photonique moléculaire et ses applications à la biologie, à la médecine et en télécommunication, etc.

 

-         Centre de recherche en optique, photonique & laser COPL : regroupe une quarantaine de chercheurs de plusieurs disciplines (physique, chimie, génie physique, génie électrique, génie informatique) provenant des universités Laval, Mcgill, Polytechnique, Sherbrooke, ÉTS, Concrdia, UQAM et INRS; on y effectue notamment des recherches en physique pour les technologies du laser, ainsi que sur les aspects physiques pour les domaines de l’optique, de la photonique et la microélectronique.

 

-    Centre de recherche en photonique de l'Université d'Ottawa (en anglais) : regroupant une vingtaine de chercheurs en physique, chimie, génie électrique dont plusieurs titulaires de chaires de recherche; s'intéresse aux domaines tels que : optique non-linéaire quantique, photonique plasmonique de surface, interactions ultra-rapide laser-matière, photonique ultra-rapide, photonique attoseconde, optoélecronique, nanostructures et dispositifs intégrés, nanophotonique computationnelle, photonique moléculaire, photonique micro-ondes, etc.

 

-    Centre de recherche en photonique de l'UQO : situé a Gatineau en Outaouais, il s'intéresse au développement de technologies telles que : senseurs en fibres optiques, communications sans fil et par fibres optiques, métrologie et calibration de paramètres non électriques, optoélectronique, modélisation, fabrication et caractérisation de composantes, de dispositifs et de systèmes photoniques et électroniques.

 

-    Centre de recherche sur les matériaux quantiques de l'Université de Sherbrooke : regroupant des chercheurs en chimie, en physique, en génie électrique et en génie mécanique; cherche à découvrir, comprendre et inventer des matériaux quantiques (supraconducteurs, informatique quantique, nanotechnologie, conducteur organique, etc.), c’est-à-dire des dispositifs où les effets quantiques déterminent le comportement physique (électrique, magnétique, thermodynamique, etc.).

 

-    Centre de recherches industrielles du Québec CRIQ : situé à Québec et à Montréal, cet important centre de recherches du Gouvernement du Québec regroupant une centaine de chercheurs dans de nombreuses disciplines des sciences et du génie qui réalises des projets de recherche fondamentale et appliquée, fournit de l'expertise et du soutien technique, ainsi que du transfert technologique dans l'améloration des procédés actuels et le développement de nouveaux procédés industriels, le développement de nouveaux matériaux et le développement de nouvelles technologies  dans différents secteurs industriels afin de les aider à optimiser leur production et à devenir de plus en plus concourrentionnel face à la mondialisation des marchés.

Dans le grand secteur « énergie »; on développe de nouvelles technologies énergétiques renouvelables; on y développe des méthodes d'efficacité énergétique dans les procédés industriels; on y développe des méthodes d'intégration des énergies propres aux infrastructures électriques existantes, etc.

 

-    Centre des sciences pour la sécurité : centre de recherche de Recherche et Développement pour la Défense Canada situé à Ottawa effectue des recherches qui visent à renforcer la capacité du Canada à réagir (anticipation, prévention, préparation, intervention et rétablissement) à des accidents graves, à des catastrophes naturelles ou à des actes terroristes et  criminels par la convergence de la science et de la technologie.

Dans le domaine  de la physique des recherches sont réalisées dans la mise en place de solutions pour renforcer la capacité du Canada à réagir (anticipation,  prévention, préparation, intervention et rétablissement) à des menaces radionucléaires et explosives (CBRNE), à des catastrophes naturelles et à des accidents graves. Des recherches sont également effectuées en développement de technologies optiques pour des opérations de recherche et sauvetage.

 

-    Centre for High Energy Physics/Astrophysics of Mcgill (en anglais) : regroupant une trentaine de chercheurs en physique de Mcgill; il concentre ses recherches en physique des particules expérimentale et en astrophysique théorique.

 

-    Centre St-Laurent : important organisme de recherche d’Environnement Canada situé à Montréal, il est entièrement consacré aux écosystèmes fluviaux du St-Laurent. On y effectue des recherches notamment sur le transport à distance des polluants atmosphériques (suivi spatio-temporel des lacs); les impacts environnementaux des changements climatiques sur les cours d'eau, principalement sur le Saint-Laurent, etc.

 

-       Chaire d'excellence en recherche du Canada sur l'innovation en photonique : on tente de mettre au point des sources optiques à haute vitesse pour des applications en communications, en détection par fibres et en sciences de la vie.

 

-   Chaire d'excellence en recherche du Canada sur le traitement des signaux quantiques : tente de maîtriser les lois de la mécanique quantique afin de créer la toute première génération d’ordinateurs quantiques, c’est-à-dire des appareils qui pourraient traiter l’information beaucoup plus rapidement que les processeurs actuels, et ce, d’une manière tout à fait nouvelle.

 

-         Chaire de recherche du Canada en astrophysique de l’Université Bishop : effectue un portrait cohérent de la formation et de l'évolution de systèmes binaires contenant des objets compacts.

 

-         Chaire de recherche du Canada en astrophysique d’observation : étudie le comportement des étoiles denses et massives pour comprendre le comportement de la matière soumise aux conditions terrestres.

 

-         Chaire de recherche du Canada en astrophysique observationnelle des trous noirs : utilise des observations fournies par des télescopes à rayons X, radiotélescopes et télescopes optiques pour étudier la physique des trous noirs.

 

-         Chaire de recherche du Canada en astrophysique stellaire : effectue des recherches sur l’atmosphère, les phases finales de l’évolution des étoiles, les variations d’intensité lumineuse, la description des conditions extrêmes.

 

-    Chaire de recherche du Canada en biophotonique : conçoit des instruments de diagnostic entièrement optiques en appliquant des techniques optiques avancées de spectroscopie tissulaire et de microscopie à l'étude des neurones afin de nouveaux outils d'analyse et de diagnostic pour la biologie et la médecine.

 

-         Chaire de recherche du Canada en cosmologie théorique de Mcgill (en anglais) : élabore des modèles des tout débuts de l’univers qui font le lien entre la théorie des forces fondamentales de la nature et les observations cosmologiques.

 

-         Chaire de recherche du Canada en cosmologie théorique et numérique de l’Université Laval : étudie la formation et l’évolution des galaxies et la formation d’étoiles et d’amas stellaires.

 

-    Chaire de recherche du Canada en informatique appliquée à la science des matériaux et en génie : utilise l’informatique de haute performance pour étudier la microstructure des matériaux pendant les procédés de fabrication afin de mieux comprendre le comportement des matériaux à microéchelle pendant la fabrication et mener à des méthodes de fabrication écologiques.

 

-    Chaire de recherche du Canada en matériaux quantiques : étudie la physique des électrons dans les matériaux magnétiques et supraconducteurs nouveaux qui permettra de faire d'importantes percées qui pourront être utiles pour diverses applications fondées sur les propriétés électroniques et magnétiques des matériaux.

 

-         Chaire de recherche du Canada en optoélectronique supramoléculaire : étudie la dynamique électronique dans les architectures moléculaires afin de favoriser l’avancement de l’électronique organique.

 

-      Chaire de recherche du Canada en photonique ultrarapide appliquée aux matériaux et aux systèmes : développe des technologies pour analyser et créer de nouveaux matériaux comme l’amélioration des performances des lasers à impulsions ultracourtes pour des applications en photonique, en télécommunications, en biomédical et en microélectronique.

 

-    Chaire de recherche du Canada en physique de la matière condensée : tente développer de nouvelles approches théoriques et s’attaquera en plus à l’étude des nouveaux états de la matière aux interfaces entre matériaux quantiques et dans les systèmes d’atomes froids.

 

-    Chaire de recherche du Canada en physique des particules : étudie les propriétés et les interactions des quarks top à la suite de collisions entre particules dont l'énergie est la plus élevée au monde.

-    Chaire de recherche du Canada en physique expérimentale des astroparticules : étudie les débuts de l'univers en effectuant des observations d'ondes millimétriques au moyen de nouveaux instruments et expériences.

 

-         Chaire de recherche du Canada en plasmas appliqués aux technologies de micro et de nano fabrication : développe de nouveaux procédés aux plasmas pour des applications en biomédical, télécommunications, microélectronique et en photonique.

 

-         Chaire de recherche du Canada en science des vitesses ultrarapides :  nouvelle chaire de recherche de l’Université Mcgill qui cherche à combiner la spectroscopie au laser et la microscopie électronique modifiée pour déterminer la structure atomique des molécules et des matériaux afin de tenter d’élucider le lien entre la structure atomique et les propriétés de la matière.

 

-         Chaire de recherche du Canada en sciences du laser ultra-rapide et intense : rattaché au Centre d’optique, photonique et laser, cette chaire étudie et tente de comprendre la physique et la science de la propagation d'impulsions laser intenses et ultrabrèves dans les milieux optiques ainsi que l'interaction de ces impulsions avec atomes et molécules.

 

-    Chaire de recherche du Canada sur la fibre optique et photonique : effectue de la recherche fondamentale et appliquée en matière de détecteurs à fibres optiques distribuées afin de mettre au point de sources optiques à haute vitesse pour les applications en communications, détection par fibres et sciences de la vie.

 

-    Chaire de recherche du Canada sur les mécanismes moléculaires des membranes de protéines : utilise la cristallographie dans le but de comprendre les structures et les mécanismes moléculaires des protéines les plus impliquées dans les maladies cardiovasculaires et celles du système nerveux central.

 

-    Chaire de recherche en astrophysique de étoiles massives et imagerie hyperspectrale : rattaché au Centre de recherche en astrophysique du Québec et à l'Université Laval; s'intéresse à l'évolution des étoiles massives et à l'influence qu'elles exercent sur leur environnement; ainsi qu'à l'élaboration et à la construction d'instruments de recherche de pointe pour l'Observatoire du mont Mégantic.

 

-    Chaire de recherche en curiethérapie guidée par imagerie de l'Université Laval : intègre les technologies de l'imagerie, de l'informatique et de la physique médicale avec de l'expertise clinique afin d'améliorer les traitements des tumeurs "solides" (pouvant se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. et excluent les leucémies et lymphomes par exemple).

 

-    Champagne Research Group (en anglais) : ce groupe de recherche de l'Université Concordia s'intéresse aux propriétés électroniques et mécaniques quantiques des nano systèmes pour des applications en microélectronique, en optique et en photonique.

 

-    Clerk Research Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de Mcgill étudie le comportement mécanique quantique complexe et parfois étrange exposées par de petits systèmes électroniques et optiques (dits « systèmes quantiques d'ingénierie »).

 

-    Concordia Centre for NanoScience Research (en anglais) : regroupant des chercheurs en biochimie, chimie et physique; effectue de nombreuses recherches dans le domaine des nanosciences, principalement celles à la frontière biochimique. Il s'intéresse notamment aux propriétés optiques des nanomatériaux; la synthèse, la caractérisation et la spectroscopie de nanoparticules dopés pour des applications dans l'industrie des télécommunications; les propriétés mécaniques et électroniques des matériaux à l'échelle nanométrique pour des applications biomédicales (culture in vitro de tissus oesseux et de tissus nerveux par exemple); ainsi que les principes fondamentaux impliqués dans le « pliage » moléculaire et macromoléculaire et le développement de nouveaux catalyseurs ou des catalyseurs solides nanostructurés pour des applications industrielles.

 

-    Cooke Research Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de Mcgill utilise des lasers ultrarapides et l'optique non linéaire pour générer des impulsions se propageant librement de l'infrarouge appelé impulsions THz.

 

-    François Research Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de Mcgill s'intéresse au domaine de la biophysique théorique, plus particulièrement sur l'évolution des réseaux de gènes, la détection cellulaire (y compris le système immunitaire) et le développement des vertébrés.

 

-    Groupe d'études des protéines membranaires GEPROM : regroupant des chercheurs de différentes disciplines (physique, physiologie, biochimie, chimie, biologie cellulaire et moléculaire, microbiologie-immunologie et pharmacologie) des universités de Montréal, Mcgill et Concordia intéressés au domaine de la biophysique; son objectif est d’approfondir notre compréhension du rôle et de la fonction des protéines membranaires dans un contexte de santé et de maladie.

 

-    Groupe de recherche en astrophysique de l'Université de Montréal : rattaché au Centre de recherche en astrophysique du Québec et situé à l'observatoire du Mont-Mégantic à Notre-Dame-des-Bois en Estrie; il se concentre en astronomie exoplanétaire, physique solaire, astronomie stellaire, astronomie galactique, astronomie extragalactique, en instrumentation astronomique et en histoire de l'astronomie.

 

-    Groupe de recherche en astrophysique de l'Université Laval : rattaché au Centre de recherche en astrophysique du Québec et situé à l'observatoire du Mont-Mégantic à Notre-Dame-des-Bois en Estrie; il s'intéresse à la dynamique et structure du milieu interstellaire: physique nébulaire, formation stellaire, turbulence, restes de supernova; aux éoiles massives: étoiles OB et Wolf-Rayet, vents stellaires; aux populations stellaires dans les galaxies; à la structure et l'évolution des galaxies; à la cosmologie: milieu intergalactique, formation de galaxies, formation stellaire, lentilles gravitationnelles; ainsi qu'en instrumentation astronomique: spectro-imageur à transformée de Fourier, interférométrie de Fabry-Perot.

 

-    Groupe de recherche en physique des ions lourds GRILL de l'Université Laval : s'intéresse à la compréhension de la dynamique des collisions entre ions lourds aux énergies entre 25 et 95 MeV par nucléon, le développement de systèmes de détection originaux pour ces études expérimentales et la conception et le développement d'appareillages d'applications médicales.

 

-   Groupe de recherche en physique des particules de l'Université de Montréal : s'intéresse aux règles fondamentales de la Nature : les particules élementaires et les constituents fondamentaux de toute la matière au niveau expérimental et au niveau théorique.

 

-    Groupe de recherche en physique et technologies des couches minces : regroupe de chercheurs de l'Université de Montréal et de Polytechnique qui développent des matériaux avancés dans les domaines de la microélectronique et nanoélectronique, en optique et optoélectronique, en revêtements fonctionnels en ingénierie de surfaces, ainsi qu'en développement et modélisation de nouveaux procédés de matériaux par laser.

 

-    Groupe de recherche en physique médicale de l'Université de Montréal : situé au CHUM, il s'intéresse au développement de séquences d’acquisition, d’antennes spécialisées et d’algorithmes de traitement d’image pour l'imagerie par résonnance magnétique IRM; la modélisation du dépôt de la dose, par des méthodes déterministes ou stochastiques pour la planification des traitements en radio-oncologie; ainsi qu'en imagerie moléculaire par la tomographie par émission de positons (TEP).

 

-    Groupe de recherche en physique médicale de l'Université Laval : s'intéresse à la recherche en physique des radiations et en science de l'image, sous tous les aspects susceptibles de contribuer à l'augmentation de la précision des traitements de radiothérapie. On y développe de nouveaux algorithmes d'optimisation de la dose; implémente, via la recherche en science de l'image, la radiothérapie guidée par l'imagerie et effectue la vérification expérimentale de la dose ainsi que sa décomposition en composantes de base.

-    Installation CARS Lab : centre de recherches du Gouvernement du Canada situé à Ottawa en Ontario qui offre services scientifiques et technologiques permettant d'étudier les molécules sont disposées dans des corps complexes comme le roc, les cellules et les tissus vivants, les mélanges chimiques ou les dépôts pétroliers par la technique CARS (pour coherent anti-stokes Raman scattering) à pulsations ultracourtes, ainsi qu'à fluorescence biphotonique qui sont des techniques d'imagerie pointue non invasive, ne nécessitant aucun marquage et spécifique au composé chimique.

 

-    Institut canadien pour les innovations en photonique : réseau de centres d'excellences regroupant des chercheurs provenant d'universités, d'entreprises et de gouvrenements partout au Canada afin de positionner le pays comme leader mondial dans les domaines de la photonique dont son siège social est situé à Québec.

 

-         Institut de l’environnement de l’Université d’Ottawa :important centre de recherche dans le domaine de l’environnement au Canada. Il réalise de nombreuses recherches couvrant tous les secteurs de l’environnement (effets des contaminants chimiques, biologiques,  physiques, radiologiques et autres sur l’environnement géographie, biologique, géophysique et atmosphérique). Il s’intéresse également aux effets biologiques du rayonnement ionisant, (il abrite le Centre international de recherche sur les faibles doses de radiation).

 

-    Institut de recherche d'Hydro-Québec : important centre de recherche situé à Varennes en Montérégie  (Laboratoire de recherche et d'essais énergétiques) et à Shawinigan en Mauricie (Laboratoire des technologies de l'énergie), il développe de nouvelles technologies visant l'efficacité énergétique, développe de nouvelles technologies énergétiques utilisant des énergies renouvelables, développe des matériaux avancés pour les batteries au lithium destinées aux véhicules tout électriques et hybrides rechargeables, etc.

 

-         Institut de recherche sur l’hydrogène de l'UQTR : un leader mondial dans la recherche sur l'hydrogène regroupant une dizaine de chercheurs en physique, chimie, sciences des matériaux et en génie électrique; il effectue différentes recherches sur l’hydrogène comme : le stockage du gaz, la sécurité associée à l’hydrogène, développement de nouvelles utilisations de l’hydrogène notamment avec des piles à combustible, etc.

 

-   Institut de recherche sur les exoplanètes IREX de l'Université de Montréal : sonde l’atmosphère de planètes extrasolaires — comme la nôtre — pour y trouver de la vapeur d’eau et, possiblement, des signatures d’activité biologique telles l’oxygène, l’ozone et le méthane. Ses principaux intérêts portent sur l'imagerie haut contraste afin de prendre directement une image d’une exoplanète à proximité de son étoile; l'étude des étoiles jaunes; l'études des naines brunes et l'étude des naines blanches.

 

-        Institut des sciences de la mer de Rimouski : l’un des plus grands centres de recherche en océanographie au monde et situé à Rimouski dans le Bas-St-Laurent, l’ISMER regroupe une vingtaine de chercheurs réguliers provenant de plusieurs disciplines (océanographie, biologie, géographie, chimie, géologie, archéologie, aquaculture) provenant de l'UQAR et plus de 70 chercheurs associés provenant de nombreux établissements universitaires, collégiaux et gouvernements (Université Laval, UQAC, UQAM, INRS, Université de Moncton, University of P-E-I, Université de Montpellier en France, University of Liverpool en UK, Environnement Canada, Pêches et Océans Canada, Institut Maurice-Lamontagne, ainsi que de Mérinov de l'École des pêcheries et de l'aquaculture) ayant une expertise dans ce grand et large secteur de recherches.

Les principaux domaines de recherches reliés à la physique sont : influence des variations du champ magnétique terrestre sur le taux de production des isotopes cosmogéniques, couplage physique-biologie, océanographie physique, matière particulaire en suspension, impact des radiations UV, etc.

 

-         Institut national d’optique INO : situé à Québec, ce centre de recherches et d’expertises est un organisme privé à but non lucratif. Ses champs de recherche reliés à la physique sont : la biophotonique, les couches minces optiques, capteurs à fibre optique, etc.

 

-   Institut Transdisciplinaire d'Information Quantique INTRIQ : regroupant des chercheurs de différentes disciplines (mathématiques, physique, informatique, génie électrique et génie physique) provenant des universités de Sherbrooke, Mcgill, Concordia, Montréal et Polytechnique qui s'intéresse au domaine de la mécanique quantique en vue de l'utiliser pour le traitement de l'information. Les intérêts portent sur les algorithmes quantiques, la théorie de l'information quantique, la cryptographie quantique, résonateur, technologies de l'information quantique, anyons et photons.

 

-    Laboratoire d'hyperfréquences (micro-ondes) et d'ultrasons de l'Université de Sherbrooke : s'intéresse à l'absorption hyperfréquence aux basses températures et sous champ magnétique intense et à la propagation ultrasonore, vitesse et atténuation (10-400 MHz), aux basses températures, sous pression hydrostatique et sous champ magnétique intense.

 

-         Laboratoire d’optoélectronique industrielle de l’Université du Québec en Outaouais : ce laboratoire spécilisé en fibres optiques. Ses domaines de recherches sont : technologie et instrumentation des senseurs en fibres optiques, multiplexage optique et systèmes multisenseurs, mesure des paramètres non-électriques.

 

-    Laboratoire de dispositifs quantiques de l'Université de Sherbrooke : s'intéresse à la manipulation du spin des électrons confinés dans des boîtes quantiques et au développement de façons de contrôler le spin dans le contexte de l'information quantique.

 

-    Laboratoire des propriétés de transport des matériaux quantiques de l'Université de Sherbrooke : s'intéresse à la mesure de transport de charge (résistivité, effet Hall) et de chaleur (conductivité thermique) dans des conditions extrêmes de température (jusqu’à 0.05 Kelvin), de champ magnétique (17 Tesla) et de pression (jusqu’à 30 000 atmosphères).

 

-     Laboratoire de spectroscopie optique fentoseconde de l'Université de Sherbrooke : se spécialise dans les techniques de spectroscopies optiques résolues en temps, principalement sur les études fondamentales de nanostructures quantiques en vue d’applications aux dispositifs optoélectroniques et photoniques.

-     Laboratoire de spectroscopies optiques de l'Université de Sherbrooke : s'intéresse aux études expérimentales des propriétés optiques des matériaux de pointe pour applications technologiques.

 

-    Laboratoire des propriétés électroniques, magnétiques et thermodynamiques de matériaux avancés de l'Université de Sherbrooke : explore les propriétés physiques des matériaux et structures artificielles à base de couches minces combinant ces phases et qui permettraient de générer des nouveaux états de la matière à leur interface.

 

-         Laboratoire de sources fentosecondes de l'INRS : rattaché au Centre de recherche énergie, matériaux et télécommunications de l’INRS, ce laboratoire est en étroite collaboration avec de nombreux autres laboratoires dans le monde. On y développe un nouveau type de laser pour de nouvelles applications en métallurgie, en photonique et en biomédical.

 

-   Laboratoire de traitement de signaux quantiques de l'Université de Sherbrooke (et Chaire d'excellence en recherche du Canada sur le traitement des signaux quantiques) : étudie les propriétés statistiques du courant électrique et les les propriétés dynamiques des conducteurs mésoscopiques afin de développer de nouvelles méthodes pour les mesures de bruit non-gaussien; utiliser les connaissances acquises sur le troisième moment du bruit dans des systèmes simples pour l'appliquer à des systèmes plus complexes ou des composants électroniques et développer les mesures de troisième moment du bruit à haute fréquence pour en explorer les propriétés dynamiques et les propriétés quantiques.

 

-    Laboratoire des faisceaux d'ions de l'INRS : l'un des 2 seuls laboratoires au pays spécialisés dans ce domaine, il s'intéresse à la caractérisation des matériaux par l'analyse quantitative des surfaces par microanalyse nucléaire; au traitement de surfaces pour implantation ionique et en études fondamentales sur les interactions des ions énergiques avec la matière.

 

-    Laboratoires de recherche d'Énergie Atomique Canada : site du plus important organisme de recherche sur le nucléaire au pays (relevant du Gouvernement du Canada) et situé à Ottawa et ayant des laboratoires à Chalk River en Ontario, Pinawa au Manitoba, Tiverton en Ontario qui s'intérese notamment en physique du réacteur CANDU et des rayonnements, la mise au point de plusieurs nouveaux procédés fondés sur l’échange eau-hydrogène, les problèmes environnementaux, les rejets et la radioprotection, le développement de nouvelles technologies des canaux de combustible, etc.

 

-    Lamoureux Laboratory (en anglais) : ce laboratoire de recherche de l'Université Concordia s'intéresse à la catalyse enzymatique, le transport membranaire, et la reconnaissance moléculaire pour des applications en biologie et en médecine.

 

-    Leslie Research Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de Mcgill utilise la microscopie pour permettre des découvertes scientifiques dans la recherche en biophysique et la science des matériaux, allant du fondamental, à appliqué.

 

-         Mcgill Arctic Research Station MARS (en anglais) : situé au Nunavut, cette station de recherche concentre ses projets sur tout ce qui concerne la région arctique tels que : la glaciologie, les changements de climats, l’hydrologie polaire, la géologie, la géomorphologie, la limnologie, l’archéologie et la microbiologie nordique.

 

-    McGill Astrophysics and Cosmology Group (en anglais) : rattaché au Centre de recherche en astrophysique du Québec et situé à l'observatoire du Mont-Mégantic à Notre-Dame-des-Bois en Estrie; il s'intéresse aux étoiles à neutrons et pulsars, évolutio des galaxies et fond diffus cosmologique, planètes extrasolaires, cosmologie théorique, astrophysique expérimentale, astrophysique Gamma-ray et l'astrophysique nucléaire.

 

-    Mcgill Centre of Intelligent Machines (en anglais) : regroupant des chercheurs en physique, génie électrique, génie informatique, génie mécanique et science informatique de Mcgill);  le principal objectif de ce centre est d’utiliser des technologies de la robotique, à l’automatisation, à l’intelligence artificielle, à la vision informatique, ainsi qu’en reconnaissance de la parole afin de développer des machines et des robots intelligents. Il conçoit, développe et met au point des systèmes robotiques autonomes pour exécuter différentes tâches pour des applications industrielles, militaires, en astronautique, etc.

 

-    Mcgill's Centre of Physics of Materials (en anglais) : étudie les caractéristiques et les propriétés de fibres composites, de métaux et autres matières afin de développer de nouveaux matériauxtels que les matériaux à l'échelle nanométrique, des matières biologiques, ainsi que de nouvelles phases quantiques de la matière pour diverses applications.

 

-         Mcgill Institute of Advanced Materials (en anglais) : important organisme de recherche multidisciplinaire dans le domaine des matériaux. Il regroupe des chercheurs en sciences dentaires, en chimie, en biologie cellulaire, en physique, en génie chimique, en génie des matériaux, en génie informatique et en génie biomédical. Les principaux intérêts de recherches portent sur : les biomatériaux (biominéralisation, biosenseurs, matériaux dentaires, ingéniérie tissulaire, etc); les macromolécules auto-assemblés (polymères, propriétés et structures des molécules, etc); les fluides complexes; matériaux micro et nanostructurés (composites, métaux, céramiques, etc) et la nanotechnologie (développement de matériaux pour des applications en optoélectronique, microélectronique, photonique, biosenseurs, etc).

 

-    Mcgill Nanotools Microfab Lab (en anglais) : regroupant une cinquantaine de chercheurs de plusieurs disciplines (physique, chimie, physiologie, génie biomédical, génie chimique, génie électrique, génie mécanique et génie des matériaux) provenant des universités de Mcgill (une trentaine), mais également de Sherbrooke, Concordia, Polytechnique, Montréal, Ottawa et Toronto et en partenariat avec 7 entreprises; il s'intéresse au développement de micro et nanoproduits allant des procédés de base jusqu'aux processus multi-étapes.

 

-    Mcgill Space Institute (en anglais) : centre de recherche interdisciplinaire regroupant 18 chercheurs en physique, sciences de l'atmosphère et des océans, sciences planétaires, sciences des ressources naturelles et géographie de Mcgill qui s'intéressent aux différents aspects en lien avec le domaine de l'espace; les intérêts portent sur la chronologie de l'univers, évolution des galaxies et cosmologie, astrophysique expérimentale, astrophysique des hautes énergies, astrophysique nucléaire, objets compacts, planètes extrasolaires, planètes analogues, astrobiologie, diversités microbiennes dans les environnements extrêmes, biosignatures extraterrestres, science des planètes, changements climatiques et atmosphériques, etc.

 

-    Molecular Biophysics Research Group (en anglais) : ce groupe de recherche de l'Université Concordia s'intéresse au processus primaire de la photosynthèse, notamment sur la compréhension approfondie de la conversion naturelle de l'énergie solaire est essentielle dans le processus de développement de convertisseurs d'énergie artificiels pour la future production d'énergie durable.

 

-    Multimodal Functional Imaging Laboratory (en anglais) : situé au Centre d'imagerie cérébrale de l'Hôpital neurologique de Montréal du CUSM, ce laboratoire composée de neurologues et de physiciens médicaux; il étudie la fusion de données multimodales pour caractériser les mécanismes du cerveau et de l'activité épileptique afin de développer des méthodes de détection des informations électriques du cerveau.

 

-    NanoULaval : centre d'expertise en nanosciences et nanotechnologies de l'Université Laval situé à qui regroupe 6 groupes de recherches des domaines de la biotechnologie la photonique, de l'infectiologie et des matériaux afin de développer des nanomatériaux de haute qualité pour diverses applications

 

-         Observatoire de l’environnement et du développement durable : effectue de nombreuses recherches reliées à l’environnement telles que : analyse des changements climatiques à l’échelle du continent, développement d’indicateurs du changement de l’environnement, la toxicité des mieux aquatiques, l’amélioration des eaux et des sols contaminés, utilisation optimale des biotechnologies à l’environnement, études sur les risques et les impacts de catastrophes environnementales, gestion des déchets industriels, développement des énergies renouvelables, etc.

 

-    Plasma-Québec : regroupant une vingtaine de chercheurs de plusieurs disciplines (physique, génie chimique, génie électrique, génie mécanique, génie physique et sciences des matériaux) provenant des universités Mcgill, Montréal, Sherbrooke, Polytechnique et INRS; ce centre interuniversitaire de recherche en sciences et applications des plasmas s'intéresse à la synthèse, la modification et l’analyse de matériaux et de nanomatériaux, la réalisation de micro- et nanostructures électroniques ou photoniques, l’élaboration d’instruments de pointe pour l’analyse chimique, le développement de systèmes d’imagerie X à très haute résolution, etc.

Dans le domaine de la physique, les intérêts portent sur les plasmas de basse température, caractérisation et modélisation des plasmas, gravure des couches minces, analyse chimique par plasma; décharges par les gaz; plasmas de micro-ondes, ondes de surface, stérilisation d'instruments médicaux, physique des interactions plasmas-surfaces, synthèse de matériaux et de nanomatériaux, modifications de matériaux de nanomatériaux, etc. pour des applications en microélectronique, télécommunications et traitement des matériaux.

 

-    Quantum Defects Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de Mcgill tente de comprendre et contrôler les états quantiques de centres de défauts dans des hôtes cristallins, tout en explorant leurs applications potentielles dans quantique de l'information et de la métrologie en utilisant des techniques développées en optique quantique et en physique atomique.

 

-    Recherche et Développement pour Défense - Ottawa : centre de recherches de la Défense Nationale situé à Ottawa et qui a pour mission de réaliser des recherches afin de développer des sytèmes de haute technologie pour les Forces canadiennes, mais également pour des utilités publiques (sécurité aérienne, recherche et sauvetage, télécommunications, météorologie, etc). On y effectue notamment des recherches telles que : conception et mise à l’essai de radars aéroportés, développement de systèmes radars maritimes, développement de systèmes de navigation aérienne assistés par radar, développement de réseaux mobiles sécurisés, développement de systèmes de télécommunication par satellite, développement de radars à largeur de bande ultra-large, développement de systèmes pour les opérations spatiales, développement de nouvelles technologies pour le traitement en imagerie radar, développement de systèmes de détection de cibles mobiles terrestres et aériennes, etc.

 

-         Recherche et Développement pour la Défense - Valcartier : centre de recherches de la Défense Nationale situé à Québec et qui a pour mission de réaliser des recherches afin de développer des systèmes de haute-technologies pour les Forces canadiennes, mais également pour des produits d’utilité publique (recherche et sauvetage, opérations policières, sécurité-incendie, etc). On y effectue notamment des recherches dans le secteur suivant : Systèmes optroniques (détection de sources acoustiques dans l’atmosphère, développement de technologies appliqués à un télémètre à laser sous-marin, techniques de repérage de menaces lasers, etc).

 

-    Reisner Research Lab (en anglais) : ce laboratoire de recherche de Mcgill s'intéresse à la science fondamentale des polymères et des applications de la technologie nanofluidique à l'analyse biologique nanoconfinés.

 

-    Regroupement québécois sur les matériaux de pointe RQMP : regroupant des chercheurs des universités Mcgill, Polytechnique, Sherbrooke et Montréal; concentre ses recherches dans les domaines des nanosciences et des nanotechnologies, soit : nanomatériaux (dispositifs photovoltaïques, thermopile de nanotubes de carbone pour la détection lumineuse à large bande, semiconducteurs supramoléculaire pour la fabrication d'écrans d'ordinateur ou de cellulaire, nanotubes pour instruments scientifiques tels que : générateurs thermoélectriques, bolomètres, microscopes, etc.) pour des applications en photonique, biomédical, microélectronique, instrumentation scientifique, etc; matériaux quantiques (corrélation dans les gaz d’électrons bidimensionnels, matériaux et les systèmes magnétiques, supraconductivité à haute-température afin d'améliorer les performances supraconductrices des matériaux électroniques, etc.); outils et méthodes (développement d’outils de caractérisation des matériaux électroniques, développement de procédés de fabrication de micro et nanosystèmes, modélisation et simulation numérique).

 

-    Stellar Astrophysics Relativity Research Group (en anglais) : ce groupe de recherche de l'Université Bishop effectue des recherches en cosmologie, l'astrophysique des systèmes binaires stellaires, la relativité, et les théories fondamentales de la gravité.

 

-    Unité de recherche de pointe pour les couches minces épitaxiales et les nanostructures de matériaux fonctionnels de l'INRS : se concentre sur l'étude des couches épitaxiales de matériaux ferroïques, un sous-ensemble de matériaux fonctionnels, ainsi que de leurs domaines d’application.

 

-    Wiseman Research Group (en anglais) : ce groupe de recherche en biophysique de Mcgill cherche à comprendre les mécanismes moléculaires derrière l'adhésion cellulaire et la régulation des récepteurs membranaires impliquées dans la signalisation, au développement de nouvelles techniques biophysiques sur la base de fluctuation de fluorescence, telles que la spectroscopie de corrélation d'images et l'analyse spatiale de la distribution d'intensité.

 

En sciences de l'atmosphère et des océans :

 

-    Bishop's Multi-scale Climate and Environmental Change Research Group MUSCLE (et Chaire de recherche du Canada sur les changements climatiques et environnementaux) (en anglais) : s'intéresse aux impacts environnementaux des changements climatiques avec intérêts portant sur l'étude des particules biogènes (pollen, spores), leur contribution à la charge globale des aérosols; étude des changements de l'environnement côtier causés par les tempêtes et l'élévation du niveau de la mer; l'adaptation des communautés aux changements climatiques; les relations entre les changements climatiques et les changements hydrologiques, notamment en ce qui concerne les risques d'inondation; la modélisation théorique et mathématique des glaciers alpins et arctiques comme indicateurs des changements climatiques; les forces motrices derrière les changements climatiques.

 

-         Centre canadien de prévision des ouragans : situé à Darthmouth en Nouvelle-Écosse, ce centre de recherche d’Environnement Canada est unique au pays. En plus d’effectuer des prévisions et de la surveillance de la formation d’ouragans, ce centre effectue des recherches sur tous les aspects météo, climatologiques, atmosphériques, océanographiques et autres concernant les ouragans.

 

-         Centre de recherche en Eau, Terre et Environnement de l’I.N.R.S. : cet important centre de recherche s'intéresse aux impacts et adaptation liés aux changements climatiques et aux événements extrêmes notamment sous l'angle de l’impact des processus environnementaux et la vulnérabilité des populations, des écosystèmes, des milieux physiques et celui de l’adaptation des activités humaines et industrielles à ces effets.

 

-         Centre de recherche en géochimie et géodynamique GÉOTOP : centre rattaché conjointement de l’Université Mcgill et de l’UQÀM dont ses principaux axes de recherches sont les suivants : causes de l’évolution et des changements du climat, des océans et des milieux naturels, compréhension de la dynamique interne de la Terre (volcanisme et la télédétection, évolution des continents et interaction avec le manteau, modélisation en géophysique, etc), ainsi que la biogéochimie (contamination des eaux douces, astrobiologie des planètes, la géochimie des sédiments, les modifications biochimiques de l’environnement, etc).

 

-    Centre d'études et de simulation du climat à l'échelle régionale ESCER de l'UQAM : regroupe une quarantaine de chercheurs de l'UQAM, Mcgill, Montréal et Sherbrooke qui cherchent à développer et évaluer des méthodes numériques (outuils informatiques, calculs mathématiques, analyses statistiques, etc.) et des méthodes de mesures sur le terrain (notamment par télédétection) afin d'étudier les phénomènes et changements climatiques et les prévisions saisonnières à l’échelle régionale.

 

-    Centre météorologique canadien : ce centre d'expertise et de recherche appliquée sur les phénomènes météorologiques d'Environnement Canada situé à Dorval; développe et de met en pratique de manière efficace de nouvelles méthodes et de nouveaux outils dans le domaine afin d’améliorer continuellement les systèmes de prévisions météorologiques et environnementales du Canada afin de faire des prévisions spécialisées réalisées à l’intention du public, du monde maritime et de l’aviation.

 

-         Chaire de recherche du Canada en modélisation régionale du climat : rattaché au Centre de recherche ESCER, elle étudie les interactions entre l'atmosphère et la surface sous-jacente par le développement de modèles à haute résolution afin d’étudier les changements climatiques et les prévisions saisonnières à l’échelle régionale.

 

-    Chaire de recherche du Canada en observation de la terre écophysiologie du plancton : étudie l’effet des changements environnementaux sur les écosystèmes aquatiques notamment pa la télédétection de la couleur de l’océan et modélisation de la production primaire, par la télédétection de la fluorescence naturelle émise par les phytoplanctons et par l'observation automatisée du plancton en milieu lacustre.

 

-    Groupe de recherche en hydrométéorologie statistique de l'INRS : étudie les phases atmosphérique et terrestre du cycle hydrologique, en mettant l'accent sur leur interaction sur la dynamique de l'atmosphère pour la formation des précipitations, sur leur distribution dans les bassins hydrologiques, sur leurs effets lors de leur ruissellement vers les cours d'eau et sur les échanges d’énergie avec l'atmosphère par le développement de méthodes d'analyses et de modélisation.

 

-    Groupe interinstitututionnel de recherches océanographiques Québec Océan : regroupant des chercheurs de l'UQAR, de l'UQAC, de Laval, de Mcgill, et de l'INRS; s'intéresse aux grandes problématiques qui touchent les océans concernent le maintien de l’intégrité environnementale planétaire, de la biodiversité et des services qu’ils procurent à l’humanité. Dans le domaine en lien avec les sciences de l'atmosphère et l'océanographie; les recherches comprennent :  la mécanique fondamentale des océans (vagues, les tourbillons et les fronts à méso- et subméso-échelles, la glace de mer, la turbulence, les ondes internes et la convection dans les milieux côtiers et océaniques) à l’aide de mesures en mer, d’expériences de laboratoire, de modélisations numériques et de nouvelles théories; étude des différents phénomènes (notamment la dynamique des vagues) et leurs signatures en vue de mieux gérer les risques naturels, anticiper leurs impacts potentiels et proposer des méthodes d'atténuation de ces impacts; étude des phénomènes physiques qui affectent l'oxygénation des océans; étude et modélisation des processus responsables de la consommation, de la production et du devenir des gaz à effet climatique.

 

-        Institut des sciences de la mer de Rimouski : l’un des plus grands centres de recherche en océanographie au monde et situé à Rimouski dans le Bas-St-Laurent, l’ISMER regroupe une vingtaine de chercheurs réguliers provenant de plusieurs disciplines (océanographie, biologie, géographie, chimie, géologie, archéologie, aquaculture) provenant de l'UQAR et plus de 70 chercheurs associés provenant de nombreux établissements universitaires, collégiaux et gouvernements (Université Laval, UQAC, UQAM, INRS, Université de Moncton, University of P-E-I, Université de Montpellier en France, University of Liverpool en UK, Environnement Canada, Pêches et Océans Canada, Institut Maurice-Lamontagne, ainsi que de Mérinov de l'École des pêcheries et de l'aquaculture) ayant une expertise dans ce grand et large secteur de recherches.

Les principaux domaines de recherches reliés aux sciences de l'atmosphère sont :fronts et turbulences océaniques; impacts des changements climatiques sur les océans; changements océanographiques, climatiques et environnementaux dans les milieux marins de moyennes à hautes latitudes; particules en suspension dans l'estuaire du Saint-Laurent; modélisation numérique des phénomènes atmosphériques sur les océans; impacts des gaz à effet de serre sur la dynamique des océans, etc.

 

-    J.S. Marshall Radar Observatory (en anglais) : situé à Ste-Anne-de-Bellevue sur l'Île-de-Montréal, on y développe de nouvelles façons de traiter les signaux radar et utilise les données qui en résultent, et effectue des recherches sur la physique des phénomènes météorologiques et leur prédiction.

 

-    Laboratoire national de météorologie du temps violent : situé à Montréal, ce laboratoire d'Environnement Canada développe des modèles numériques afin de résoudre des problèmes liés à la prévision des phénomènes extrêmes.

 

-    Mcgill Atmospheric Chemistry,  Aeosols and Cloud Microphysics Research Group (en anglais) : s'intéresse notamment aux impacts sur l'atmosphere et sur les changements climatiques de la pollution causée par les aérosols.

 

-         Mcgill Arctic Research Station MARS (en anglais) : situé au Nunavut, cette station de recherche concentre ses projets sur tout ce qui concerne la région arctique tels que : la glaciologie, les changements de climats, l’hydrologie polaire, la géologie, la géomorphologie, la limnologie, l’archéologie et la microbiologie nordique.

 

-    Mcgill Space Institute (en anglais) : centre de recherche interdisciplinaire regroupant 18 chercheurs en physique, sciences de l'atmosphère et des océans, sciences planétaires, sciences des ressources naturelles et géographie de Mcgill qui s'intéressent aux différents aspects en lien avec le domaine de l'espace; les intérêts portent sur les changements climatiques et atmosphériques, science des planètes, chronologie de l'univers, évolution des galaxies et cosmologie, astrophysique expérimentale, astrophysique des hautes énergies, astrophysique nucléaire, objets compacts, planètes extrasolaires, planètes analogues, astrobiologie, diversités microbiennes dans les environnements extrêmes, biosignatures extraterrestres, etc.

 

-    McGill Subarctic Research Station MSARS (en anglais) : située à Schefferville en Côte-Nord près de la frontiere du Labrador, est un véritable laboratoire naturel nordique comprenant une forêt, de nombreux lacs, les étangs, les cours d' eau et les zones humides. Des recherches sont effectuées sur la nature et la distribution de la glace de sol et de son rôle dans le développement du paysage; sur les interactions des eaux souterraines du pergélisol; les environnements polaires comme analogues planétaires; ainsi que l'écologie microbienne du pergélisol;. Mais, des recherches peuvent aussi être effectuées dans les domaines de la géologie, de la géomorphologie, les écosystèmes, la limnologie, la faune, la flore et l’archéologie subarctiques.

 

-    Ouranos Pôle d'innovation sur la climatologie régionale : situé à Montréal, ce centre de recherche d'Environnement Canada regroupe des chercheurs d'Environnement Canada, d'Hydro-Québec et des universités Mcgill, UQAM, Laval et de l'INRS; réalise des recherches sur les changements climatiques, leurs impacts, ainsi que les vulnérabilités socioéconomiques et environnementales.

 

-         Réseau canadien de modélisation régionale du climat de l’UQÀM : réalise des modélisations numériques du climat canadien sous les thèmes suivants : étude des diagnostics et des bilans (simulation décennale pan-canadienne du climat, participation canadienne au projet international sur les intercomparaisons de modèles de prévision saisonnière, participation canadienne au projet international d’intercomparaisons du climat arctique, participation canadienne du projet international d’intercomparaisons des modèles atmosphériques, etc); développement et améliorations de la modélisation régionale du climat (couplage avec un modèle d’océan côtier, processus de routage des eaux douces à haute résolution, etc).

 

-    Takuvik : Unité mixte internationale de recherche située à Québec et regroupant une quinzaine de chercheurs de l'Université Laval et du Conseil National de Recherches Scientifiques CNRS de France; elle s'intéresse aux perturbations environnementales de l'Arctique provenant des changements climatiques, des facteurs anthropiques (causés par les humains), sur les écosystèmes et géosystèmes arctiques, marins et terrestres.

 

En sciences de la terre :

 

Voir aussi géographie et géomatique

 

-         Bellairs Research Institute : important centre de recherche rattaché à l’Université Mcgill et situé aux Barbades dans les Caraïbes effectuant de nombreuses recherches dans les domaines de la biologie (océanographie, ichtyologie, écologie marine, botanique, primatologie, etc), en géologie (géologie des reliefs, géologie historique, géologie marine, séismologie, etc), en météorologie (météorologie marine, climatologie et prévision d’ouragans), en géographie (géographie maritime, les ouragans, géomorphologie et géographie humaine), en physique (astrophysique, physique des ouragans et océanographie physique), en agronomie (pêcheries, cultures légumières et fruitières, , en anthropologie (notamment en archéologie et paléontologie, mais aussi en ethnologie), en histoire (histoire des sciences naturelles, histoire des Caraïbes), ainsi qu’en sociologie.

 

-    Centre d'études nordiques : centre interuniversitaire de recherche regroupant une quarantaine de chercheurs provenant de diverses disciplines (biologie, géographie, géomatique, aménagement du territoire, biochimie, géologie, sciences de l'atmosphère, sciences forestières, physique, phytologie, génie civil et histoire) des universités Laval, UQAR, Sherbrooke, UQTR, UQAC, Mcgill, Montréal, UQAM, Concordia et INRS; il s'intéresse au développement durable et aux impacts environnementaux des régions nordiques, ainsi que l'aménagement et le développement des territoires nordiques respectant son patrimoine naturel.

Les intérêts en sciences de la terre portent notamment sur : la formation de pergélisol dans les dépôts marins des zones côtières de la Baie d’Hudson et de la Baie d’Ungava, processus géologiques actuels et environnements quaternaires de l’arctique, etc.

 

-         Centre d’études sur les ressources minérales de l’UQAC : le plus important centre de recherches dans le domaine géologique et minier au Quélbec, effectue des recherches couvrant 2 principaux volets : l'exploration minérale au Précambrien (modélisation des environnements géologiques de formation des gîtes minéraux) et l'hydrogéotechnique environnementale (caractérisation hydrogéologique et hydromécanique des socles rocheux fracturés, sites de mines et d'aquifères à risque de pollution).

 

-         Centre de recherche en Eau, Terre et Environnement de l’I.N.R.S. : voir Centre géoscientifique du Québec.

 

-         Centre de recherche en géochimie et géodynamique GÉOTOP : centre rattaché conjointement de l’Université Mcgill et de l’UQÀM dont ses principaux axes de recherches sont les suivants : compréhension de la géodynamique interne de la Terre (volcanisme et la télédétection, évolution des continents et interaction avec le manteau, modélisation en géophysique, etc), ainsi que la biogéochimie (contamination des eaux douces, astrobiologie des planètes, la géochimie des sédiments, les modifications biochimiques de l’environnement, etc).

 

-   Centre de recherche sur la géologie et l'ingénierie des ressources minérales de l'Université Laval : regroupant des chercheurs en géologie, génie géologique, génie minier et en génie chimique; il s'intéresse au traitement du minerai (développement de procédés miniers par biomasse, optimisation des opérations de fragmentation et d'enrichissement des minerais, développement de nouveaux procédés de transformation, etc.); exploitation minière (développement de nouvelles méthodologies d’exploration utilisant, par exemple, la télédétection hyperspectrale infrarouge, la vision artificielle, la télédétection sur drones, les minéraux indicateurs).

 

-    Centre de technologie minérale et de plasturgie : centre collégial de recherche appliquée et de transfert de technologie rattaché au Cégep de Thetford en Chaudière Appalaches ayant pour mission de fournir de l'expertise, de recherche appliquée et du soutien technique auprès des PME dans le développement de nouveaux matériaux et de nouveaux procédés dans le domaine minier (développement de procédés de séparation des métaux de base; caractérisation, modification et développement de nouvelles applications des minéraux industriels; qualification des matériaux de construction, granulats et sable; valorisation des résidus miniers de chrysotile, etc.).

 

-         Centre géoscientifique du Québec : le plus important centre de recherches géologiques au Canada, il est le fruit d’un partenariat entre l’INRS – Eau-Terre et Environnement et la Commission géologique du Canada en regroupant des chercheurs de ces 2 organisations qui réalisent des travaux de recherche dans les domaines suivants : la géologie régionale, les géoressources (eaux souterraines, minéraux et combustibles fossiles) et les géosciences de l'environnement (risques naturels, géodynamique environnementale, caractérisation et restauration de sites contaminés et changements climatiques).

 

-    Chaire de recherche du Canada en assimilation des données géophysiques et géologiques pour la modélisation stochastique géologique : élabore des méthodes et des logiciels pour améliorer l’exactitude des modèles géologiques et ainsi assurer une gestion durable des ressources.

 

-    Chaire de recherche du Canada en biogéochimie des éléments traces : tente de comprendre les mécanismes qui modulent l’incidence des métaux sur les organismes aquatiques afin de mieux protéger les écosystèmes aquatiques contre les éléments traces potentiellement nuisibles.

 

-    Chaire de recherche du Canada en géochimie des hydrogéosystèmes cotiers : caractérise et quantifie les transformations géochimiques souterraines entre les nappes d’eau souterraine côtières et les océans.

 

-    Chaire de recherche du Canada en géologie marine de l'UQAR : examine les fonds marins et leurs sédiments à l’aide de techniques de pointe permettant de mieux comprendre sa nature, son architecture et sa stabilité les processus liés à la fonte rapide des pôles et mieux déterminer les paramètres pour l'installation d'infrastructures maritimes.

 

-         Chaire de recherche du Canada en métallogénie magmatique : rattachée à l’UQAC, cherche à mieux comprendre les processus menant à la formation de ces gisements de minerai, principalement de nickel, de platine, de chrome, de vanadium et de titane.

 

-         Chaire de recherche du Canada en paléontologie des vertébrés : situé au Musée Redpath de l'Université Mcgill, cette équipe explore et recherche des fossiles dans l’Arctique canadien afin de mieux comprendre l’évolution de cette partie du monde.

 

-    Chaire de recherche industrielle CRSNG–Agnico-Eagle en exploration minérale : développe de nouvelles méthodes d’exploration utilisant les minéraux indicateurs pour découvrir de nouveaux gisements.

 

-    Chaire de recherche du Canada sur l’hydrogéologie quantitative des milieux poreux fissurés : élabore de nouveaux modèles mathématiques informatiques servant à simuler le comportement des contaminants des eaux souterraines dans un milieu poreux fissuré, autant dans un climat tempéré que de froid extrême afin d'améliorer les stratégies de protection, de gestion et de dépollution des eaux souterraines.

-    Chaire de recherche du Canada sur la structure sismique et l’évolution du bouclier canadien de l’Est : rattachée au Centre de recherche Géotop, elle utilise la surveillance sismique à large bande pour étudier l’intérieur de la Terre et mieux comprendre l’évolution du continent nord-américain afin de fournir de nouveaux renseignements sur l’évolution du continent et sur les risques sismiques de l’Est du Canada.

 

-         Consortium de recherche en exploration minière : regroupant des chercheurs de l’UQÀM, de l’UQAC, de l'UQAT, de Ressources naturelles Canada, de Ressources naturelles Québec de plusieurs partenaires industriels (Agnico-Eagle, Osisko, Mines Richmond, Glencore, IOS, etc.); ce centre de recherche appliquée développe de nouvelles techniques pour l'exploration minérale afin d'optimiser la découverte de nouveaux gîtes miniers. Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours :

étude du potentiel métallogénique du segment Taschereau-Amos-Barraute en Abitibi-Témiscamingue; étude de stratégies d'exploration de minéraux préciaux dits de type "platine" dans la Fosse du Labrador; étude du potentiel d'exploration entre Chibougamau et les Monts Otish dans le Nord-du-Québec; exploration de gisements de porphyre en Gaspésie; exploration de nouveaux gisements de cuivre dans le sud du Québec; etc.

 

-    Earthquake Processes research group of Mcgill (en anglais) : s'intéresse aux comportements des défauts géométriques et aux glissements lors de tremblements de terre; des interactions entre les minéraux et les tremblements de terre. Ses intérêts portent sur la séismologie, la modélisation numérique et théorique, la géologie structurale, la cartographie sur le terrain et la minéralogie en lien avec les processus sismiques.

 

-         Gault Nature Reserve : réserve naturelle privée situé au Mont-St-Hilaire en Montérégie accessible au public et rattaché à l’Université Mcgill où s’effectue de nombreuses recherches sur le terrain pour différentes disciplines comme l’aménagement, la biologie, la géologie, la géographie, l’astrophysique, l’archéologie, etc.  Dans le domaine de la géologie, des recherches sont effectuées afin de découvrir de nouveaux minéraux qui s'ajouteront aux 340 actuellement identifiés dans cette région.

 

-    Groupe de recherche du Musée canadien de la nature : situé à Ottawa sur le site du plus grand musée de sciences naturelles au pays, ce musée public national du Gouvernement du Canada regroupe une quinzaine de chercheurs permanents en biologie, géographie, sciences de la terre et archéologie qui réalisent des recherches sur les animaux, les plantes, les algues, les fossiles et les minéraux.

Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours en sciences de la terre : évolution des environnements alcalins : oligoéléments, minéraux accessoires et magmas; évolution des environnements géologiques : oligoéléments, minéraux accessoires et pegmatites granitiques; découverte de nouvelles structures cristallines de carbonates et élaboration d'une classification structurale; etc.

 

-         Groupe de recherche en géomorphologie arctique de Mcgill : possède 2 stations de recherches dans l’Arctique dont 1 à Shefforville pour la recherche sub-arctique et une autre située sur l’Île Axel Heiberg en Arctique. De nombreuses recherches y sont réalisées, notamment : en glaciologie, sur les changements climatiques, en géologie, en géomorphologie et en limnologie.

 

-    Groupe de recherche interuniversitaire sur les eaux souterraines GRIES : Voir Réseau québécois de recherche sur les eaux souterraines.

 

-    Groupe de recherche sur les ressources énergétiques des bassins sédimentaires du Québec de l'INRS : cherche à comprendre les processus de formation des bassins sédimentaires et des réservoirs souterrains qui s’y retrouvent et qui peuvent contenir des ressources énergétiques (géothermie).

 

-         Groupe interuniversitaire de recherches en géodynamique et analyse de bassins : regroupant des chercheurs de l’Université Laval et de l’I.N.R.S. Géoressources, ce groupe effectue des recherches au niveau du bassin géologique et des environnements géodynamiques. Ses principaux axes de recherches sont : l'analyse sédimentaire et paléoécologique, l'analyse structurale et la tectonique, le magmatisme et la dynamique du manteau, géodynamique continentale et océanique, l'analyse diagénétique et la métallogénie et la géologie du pétrole.

 

-         Groupe MEDEF : effectue des recherches sur les systèmes géologiques anciens, plus particulièrement les gîtes minéraux et les dépôts d'hydrocarbures dont la formation peut remonter à plusieurs milliards d'années. Ses principaux axes portent sur l’écoulement des fluides et la séquestration du carbone.

 

-    Hydrothermal Geochemistry Group of Mcgill (en anglais) : s'intéresse au comportement des éléments dans les fluides aqueux à température et pression élevées, avec un accent particulier sur les processus menant à la formation de minéralisations.

 

-    Institut de recherche UQAT-Polytechnique en mines et environnement IRME : plus important centre de recherche dans le domaine minier au Québec qui réalise de nombreuses recherches ayant un lien avec domaine, dont : restauration minière (restauration des aires d'entreposage des rejets miniers); gestion intégrée des rejets miniers (développement de différents modes de remblayage minier dans les mines souterraines et dans les mines de surface); haldes à stérile (caractérisation hydrogéologique, géotechnique et géochimique des stériles); prédiction de la qualité de l'eau (développement de méthodes de drainage minier); traitement des eaux (traitement efficace des eaux minières contaminées avec des méthodes passives et actives, de nature biologique et chimique); inclusion de roches stériles dans les parcs à résidus (méthodes novatrices de gestion des rejets de concentrateur, telles que l’inclusion des stériles dans les parcs à résidus afin d'améliorer la stabilité géotechnique et et le drainage); conditions nordiques (évaluation du comportement des rejets soumis aux conditions froides).

 

-         Institut des sciences de la mer de Rimouski : l’un des plus grands centres de recherche en océanographie en Amérique du Nord, l’ISMER regroupe des chercheurs provenant de plusieurs disciplines ayant une expertise dans ce grand et large secteur de recherches. Les principaux domaines de recherches reliés à la géologie sont : paléocéanographie, géologie et stratigraphie quaternaire de l’Est du Canada, propriétés physiques et magnétiques des sédiments, figures sédimentaires, érosion côtière, analyse et modélisation des processus côtiers océaniques, géodynamique, etc.

 

-    Institut Hydro-Québec en environnement, développement et société de l'Université Laval : important centre de recherche regroupant 94 chercheurs de plus d'une trentaine de disciplines reliées au domaine de l'environnement et du développement durable (dont chimie, biologie, agronomie, géographie, sciences de la terre, sciences forestières, génie agroenvironnement, génie civil, génie chimique, génie minier, etc.) dans une perspective interdisciplinaire.

Dans le domaine des sciences de la terre; quelques recherches sont effectuées en géochimie isotopique, géologie de l'environnement, géologie marine, développement durable en exploration minière, etc.

 

-         Laboratoires des mines et des sciences minérales de Ressources naturelles Canada : laboratoires situés à Val-d’Or, à Ottawa et à Sudbury effectue des recherches dans les domaines suivants : minéralogie (identification et quantification des espèces minérales, caractérisation des circuits métallurgiques, détection et caractérisation des éléments traces, analyse d’images, etc); environnement (effets des métaux dans l’environnement, la gestion des résidus miniers, etc); exploitation minière (sismicité, modélisation numérique en exploitation minière, propriétés des roches, etc). 

 

-         Mcgill Arctic Research Station MARS : situé au Nunavut, cette station de recherche concentre ses projets sur tout ce qui concerne la région arctique tels que : la glaciologie, les changements de climats, l’hydrologie polaire, la géologie, la géomorphologie, la limnologie, l’archéologie et la microbiologie nordique.

 

-    McGill Subarctic Research Station MSARS (en anglais) : située à Schefferville en Côte-Nord près de la frontiere du Labrador, est un véritable laboratoire naturel nordique comprenant une forêt, de nombreux lacs, les étangs, les cours d' eau et les zones humides. Des recherches sont effectuées sur la nature et la distribution de la glace de sol et de son rôle dans le développement du paysage; sur les interactions des eaux souterraines du pergélisol; les environnements polaires comme analogues planétaires; ainsi que l'écologie microbienne du pergélisol;. Mais, des recherches peuvent aussi être effectuées dans les domaines de la géologie, de la géomorphologie, les écosystèmes, la limnologie, la faune, la flore et l’archéologie subarctiques.

 

-    Réseau de recherche en DIVersification de l'EXploration minérale au Québec DIVEX : regroupant 35 chercheurs des universités Laval, UQAM, Mcgill, UQAC, UQAT, Montréal, INRS, de Polytechnique, ainsi que da Commission géologique du Canada et du Ministère des Ressources naturelles du Québec; consacre ses recherches dans le domaine de l'exploration des ressources minérales et énergétiques. Ses principaux intérêts portent sur la géochimie, la géophysique, la métallogénie, la géologie structurale, la cartographie géologique, le métamorphisme, la pétrologie lignée, la sédimentologie et la volcanologie.

 

-    Réseau québécois de recherche interuniversitaire sur les eaux souterraines : regroupe plus de 40 chercheurs de plusieurs disciplines (géologie, géographie, génie civil, génie géologique, génie minier) provenant des universités UQAM, UQAC, UQAT, UQAR, Laval, Mcgill, UQTR, Concordia, INRS, Polytechnique et ÉTS, ainsi que de la Commission géologique du Canada; consacre ses recherches sur les eaux souterraines selon les 3 axes suivants : la compréhension des systèmes hydrogéologiques, les interactions entre les eaux souterraines et de surface, ainsi que la gestion des eaux souterraines.

Dans le domaine des sciences de la terre, ses intérêts notamment sur la caractérisation des systèmes géologiques aquifères (formation géologique pouvant stocker l'eau); estimation des propriétés hydrogéologiques des milieux géologiques; développement de méthodes de terrain pour la caractérisation entre les échanges entre les aquifères et les plans d'eau de surface.

-    Volcanology Research Group of Mcgill (en anglais) : étudie les volcans sous toutes leurs formes : la formation des crateres, la structure des volcans sous-marins, la mesure des gaz volcaniques, les mouvements et comportements des dômes de lave, les caractéristiques des roches volcaniques, etc.

 

En sciences vétérinaires :

 

-         Centre de recherche de la Fondation Mira : un centre de recherche pas comme les autres ! Tu connais sûrement cette fondation. Au sein de ce centre, le laboratoire de recherche est le site d’élevage et d’entraînement des chiens guides et chiens d’assistance de la fondation. Des recherches telles que les recherches ont déjà été réalisées : la dysplasie de la hanche, le développement d’une nouvelle race de chien (le Labernois), les modèles de comportements chez les chiens, etc.

 

-    Centre d’expertises en production ovine du Québec CEPOQ : organisme privé à but non lucratif situé à La Pocatière dans le Bas-St-Laurent créé par le MAPAQ, Agriculture Canada, la Féddération des producteurs de moutons et d’agneaux du Québec, la Société des éleveurs de moutons de race puce du Québec et l’Université Laval. Il réalise diverses recherches afin d’améliorer les productions ovines du Québec. Voici quelques exemples de projets réalisés ou en cours : supplémentation en acide folique de la ration des brebis prolifiques et non-prolifiques pour améliorer la fertilité et prolificité, projet pilote sur l’identification permanente des ovins, réduction de la mortalité néonatale en production ovine, etc.

 

-    Centre de développement du porc du Québec inc. : situé à Québec, cet organisme privé de recherche à but non lucratif créé par l’initiative du MAPAQ, la Fédération des producteurs de porcs du Québec, la Société des éleveurs de porcs du Québec et dont participent également l’Université Laval, l’Université Mcgill, l’Université de Montréal (faculté de médecine vétérinaire) et Agriculture Canada; est le plus important centre de recherche en production porcine au Canada.

Ses principaux axes de recherches reliés à la médecine vétérinaire sont : génétique (évaluation génétique des porcs de race pure, paramètres d’accouplement en sélection et multiplication, dépistage du gène halothane); santé animale (surveillance et contrôle des salmonelles en élevage, utilisation des médicaements en médecine porcine, maladies infectieuses du porc, la gestion sanitaire des centres d’insémination artificielle, etc).

 

-    Centre de recherche avicole (et Chaire de recherche avicole) : regroupant des chercheurs en médecine vétérinaire de l'Université de Montréal et en sciences animales de l'Université Mcgill; il effectue de la recherche et le développement de nouveaux outils technologiques destinés à l’amélioration de la qualité et de l’innocuité des produits de la volaille et des œufs.

 

-    Centre de recherche en reproduction, développement et santé intergénérationnelle de l'Université Laval : regroupant des chercheurs en sciences animales et en obstétrique-gynécologie, le plus important centre de recherche en biologie de la reproduction au Canada s'intéresse aux pratiques de la reproduction assistée tant animale qu'humaine, aux technologies de pointe, à l'utilisation responsable de ces technologies et aux considérations éthiques qui se rattachent à ces recherches afin d'améliorer la performance reproductive chez les mammifères domestiques et les humains. Dans le domaine de la reproduction animale, des projets tels que les suivants sont réalisées ou en cours :

l’influence des radicaux libres et de la cryoconservation sur la structure de la chromatine des spermatozoïdes de bélier, amélioration de la fertilité de la semence ovine par traitement à la cyclodextrine,
éthique et droit de la manipulation génétique, responsabilité sociale des chercheurs et des entreprises privées, l’impact des technologies de reproduction assistée, plus particulièrement de la production in vitro chez les bovins, etc.

 

-    Centre de recherche en reproduction animale : l’un des plus importants centres de recherches en santé animale au Canada et regroupant 20 chercheurs, effectue des recherches dans les axes suivants : la survie de l’embryon et la fonction ovarienne (clonage des embryons par transfert nucléaire, production de lignées cellulaires utérines, etc); ainsi que les études sur les ovaires.

 

-         Centre de recherche en infectiologie porcine et avicole : le plus important organisme de recherche sur les maladies bactériennes du porc et l'un des plus importants sur les maladies infectieuses de la vollaie en Amérique du Nord et le plus important centre de recherche en santé animale en milieu universitaire au Canada regroupant 26 chercheurs réguliers de la Faculté de médecine vétérinaire de l'Université de Montréal et une vingtaine de chercheurs associés de plusieurs disciplines (microbiologie, biochimie, biologie, agronomie) provenant des universités Laval, Mcgill, Sherbrooke, INRS-Armand-Frappier et UQAM, mais également d'Agriculture Canada, de l'Agence de la santé publique du Canada, du Centre de développement du porc du Québec, du CNRC, de Prevtec microbia et de Sanofi Pharma.

Il effectue des recherches sur les mécanismes impliqués dans les interactions complexes de l’hôte avec les virus et bactéries d’importance primordiale pour les industries porcine et avicole (en incluant les agents de zoonoses les plus cruciaux en santé publique). Ses intérêts portent principalement sur : les agents infectieux; diagnostic, épidémiologie moléculaire et résistance aux antibiotiques et salubrité; ainsi que la prophyslaxie anti-infectieuse : vaccins et autres solutions alternatives aux antibiotiques.

 

-    Centre de recherche et développement de Sherbrooke d’Agriculture Canada: situé à Sherbrooke en Estrie, ce centre effectue des recherches dans les domaines suivants : production porcine (accroissement de la productivité de la truie, en terme de poids total de porcelets sevrés annuellement, par différentes études: endocrinologie, bien-être, régie, nutrition en période de gestation et de lactation); production laitière (optimisation de la fonction ruminale en intervenant sur les microorganismes ou sur leurs substrats, identification des voies métaboliques reliées à la digestion de l'azote, augmentation du transfert des protéines alimentaires vers les protéines du lait, optimisation de l’utilisation des fourrages conservés et des pâturages chez les vaches laitières, effet du gras alimentaire sur la reproduction des vaches laitières, etc.); production bovine (maîtrise du cycle de reproduction pour favoriser l'utilisation maximale de l'insémination artificielle, augmentation de la qualité des fourrages récoltés et d'en assurer une bonne conservation, efficacité de différentes méthodes de conservation et de récolte des ensilages d'herbes et sur l'évaluation nutritive, etc); production ovine (mise au point de techniques de reproduction qui permettront d'augmenter le nombre d’agneaux), etc.

 

-    Centre de recherche sur la conception, les mécanismes d'action et la vectorisation des médicaments Pharmaqam : regroupant plus de 50 chercheurs de plusieurs disciplines (biochimie, biologie, chimie, informatique, génie chimique, physiologie, pharmacie et 2 en médecine vétérinaire) provenant des universités UQAM, Mcgill, Montréal, UQTR, Laval, Sherbrooke, UQAC, UQAR et INRS); a pour objectif de mettre au point des approches innovantes permettant d'améliorer l'ensemble des processus menant au développement de nouveaux médicaments, en amont des études cliniques, et dédiés au cancer, aux infections virales et bactériennes ainsi qu'aux maladies orphelines et dégénératives tant que chez les humains que chez les animaux.

 

-    Centre québécois sur la santé des animaux sauvages : regroupant des chercheurs en médecine vétérinaire de l'Université de Montréal et en biologie du Service canadien de la faune d'Environnement Canada et du Ministère Forêts, Faune et Parcs Québec; effectue des analyses sur des animaux de la faune du Québec afin de surveiller, prévenir et contrôler les maladies chez ces animaux.

 

-         Chaire de recherche du Canada en génomique fonctionnelle appliquée à la reproduction animale : le principal objectif de cette chaire est d'appliquer les nouveaux outils de la génomique afin de décrire le programme génétique du tout début de la vie embryonnaire.

 

-         Chaire de recherche en salubrité des viandes : ses principaux domaines de recherches sont : l’épidémiologie des pathogénes alimentaires, mise au point de mesures de réduction de la transmission de bactéries pathogènes chez les animaux vivant, mise au point et validation de nouveaux outils diagnostiques pour détecter les animaux ou les produits de viande contaminés.

 

-         Groupe de recherche en épidémiologie des zoonoses et santé publique : réalise des recherches dans le domaine de la santé publique animale et agroalimentaire. Ses principaux thèmes de recherches sont : agroenvironnement, structure de la méthode de surveillance, zoonoses fauniques, épidémiologie moléculaire, épidémiologie environnementale, microbiologie environnementale, etc.

 

-   Groupe de recherche en maladies infectieuses en production animale GREMIP (anciennement connu sous "Groupe de recherche sur les maladies infectieuses du porc") : s'intéresse principalement sur la pathogénie des infections bactériennes et virales animales, notamment la caractérisation moléculaire et cellulaire des facteurs de virulences de bactéries pathogènes animales ou zoonotiques et sur la résistance antimicrobienne chez diverses espèces animales dont la volaille et les bovins; afin d'y développement de nouveaux outils diagnostiques et de nouveaux vaccins.

 

-         Groupe de recherche en médecine équine du Québec : effectue des recherches tant fondamentales que cliniques sur la santé des chevaux. Voici les principaux domaines de recherches: système respiratoire, système musculo-squelettique, système gastro-intestinal et autres domaines.

 

-    Groupe de recherche en pharmacologie animale du Québec : effectue de la recherche fondamentale et appliquée en pharmacologie vétérinaire et en développement de médicaments. Ses intérêts portent sur : la science de la douleur (validation et évaluation de la douleur chez l'animal, efficacité des nouveaux agents pharmacologiques, aliments nutraceutiques et techniques analgésiques, mécanismes d'action moléculaire de la transmission de la douleur); nutrition et aliments fonctionnels (nutriments et éléments minéraux et vitamines et leurs effets sur la production, la reproduction et la santé de l'animal); pharmacocinétique (étude et comportements des substances chimiques et biologiques dans la composition des médicaments); modèles transgéniques (modélisation animale des maladies humaines principalement au niveau des cancers du système reproducteur) et anti-infectieux (mise au point et développement de médicaments antibiotiques et antibiorésistance).

 

-    Groupe de recherche et d'enseignement sur la salubrité alimentaire : regroupe des chercheurs de l'Université de Montréal, de l'Agence canadienne d'inspection des aliments et d'Agriculture Canada, il s'intéresse notamment à la caractérisation et l'étude des contaminants alimentaires; la salubrité des aliments, y compris les végétaux, notamment en ce qui concerne la détection, l'identification et le contrôle des contaminants alimentaires; ainsi qu'au développement des stratégies de gestion des dangers microbiologiques et chimiques reliés aux aliments en privilégiant un contrôle en amont de la chaîne alimentaire.

 

-         Groupe de recherche sur les maladies des animaux de compagnie : s’intéresse aux divers problèmes de santé rencontrés chez les chiens, chats, oiseaux et autres animaux de compagnie. Ses principaux thèmes de recherches sont : le comportement animal, les maladies cardiovasculaires, les maladies respiratoires, les maladies neurologiques, l’analgésie et l’anesthésie, la dermatologie, la dentisterie, la fonction thyroïdienne, la médecine interne, l’ophtalmologie, l’orthopédie, l’ostéoarthrose et la réhabilitation post-opératoire.

 

-         Institut Armand-Frappier de l’I.N.R.S. : important organisme de recherches uniques de renommée mondiale, cet institut réalise de nombreux travaux dans plusieurs domaines multidisciplinaires. Les principaux domaines de recherches reliés aux sciences vétérinaires sont : immunité et maladies infectieuses (compréhension des mécanismes pathogéniques de virus présents chez les chiens et les furets, virologie moléculaire de virus porcins, virologie moléculaire du virus de diarrhée bovine, etc).

 

-    Laboratoire vétérinaire en agroenvironnement : met au point des marqueurs du statut alimentaire en antioxydants pour réduire l’utilisation de certains métaux lourds chez les animaux de production animale

-    Réseau d'intervention en santé ovine et caprine : regroupant des chercheurs de la Faculté de médecine vétérinaire, du Centre d'expertise en production ovine du Québec et de l'Institut national de la santé publique du Québec;  il réalise diverses recherches afin d’améliorer la santé des troupeaux ovins et caprins.

 

-         Réseau de recherche canadien sur la mammite bovine et la qualité du lait : regroupement de chercheurs des Universités de Montréal, Mcgill, Laval, Guelph, Sherbrooke, Saskatchewan, P-E-I, UQÀM et Agriculture Canada. Il s’intéresse à la mammite bovine, la maladie la plus fréquente chez les vaches laitières au pays sous 3 thèmes, soit : thème animal (développement de méthodes alternatives pour modifier la réponse immunitaire, le développement de vaccins et le développement de stratégies de traitement sélectif); thème agents pathogènes (caractérisation de la virulence des pathogènes, validation de méthodes diagnostiques et mise au point de traitements novateurs); thème environnement (optimisation de systèmes de logement).

 

-    Réseau québécois en reproduction : situé à St-Hyacinthe en Montérégie, il est plus important centre de recherche en biologie de la reproduction animale et humaine au Canada et l'un des plus importants au monde regroupant plus de 80 chercheurs de différentes disciplines (agronomie, biochimie, biologie, médecine vétérinaire, microbiologie, obstétrique-gynécologie, génétique médicale, microbiologie médicale) provenant des universités de Montréal, Mcgill, Laval, Sherbrooke, UQTR, UQAM et INRS-Armand-Frappier, ainsi que d'Agriculture Canada, MAPAQ et de partenaires privés (clinique OVO, de Fertilys, de Conception et de Boviteq).

On y  développe des outils génomiques, moléculaires, cellulaires et cliniques pour répondre aux principaux problèmes en production animale, en santé animale et en santé humaine. Ses intérêts portent sur la fonction ovarienne, la reproduction masculine, ainsi que l'embryogenese et interaction avec l'utérus lors de la gestation.

 

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