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SECTEUR :
TRANSPORT
DIPLÔME D'ÉTUDES PROFESSIONNELLES D.E.P.
Voir aussi la section "liens
recommandés" au bas de cette page (dont des vidéos de matelots qui
parlent de leur travail).
TÂCHES ET RESPONSABILITÉS :
En tant que matelot de pont (aussi appelé "homme de passerelle"); tu auras pour tâches d’assurer le fonctionnement de l'équipement de pont (treuils, grues, câbles, etc.) et exécuter d’autres travaux d’entretien à bord des navires sous la direction des officiers de pont et du maître d’équipage.
Tu auras pour tâches de :
Prendre le quart à leur tour et gouverner le bateau ou le navire autopropulsé conformément aux instructions de l'officier de pont;
Assurer le fonctionnement, l'entretien et la réparation de l'équipement de pont tel que les treuils, les grues, les mâts de charge et les aussières;
Nettoyer la surface du pont, en piquer la rouille et les écailles et les repeindre;
Effectuer des travaux d’entretien de la coque, des superstructures, des ponts et des apparaux de chargement du navire;
Manœuvrer les filins d'accostage et épisser et réparer les cordages, les câbles métalliques et les filins;
Participer aux manœuvres de ravitaillement du navire ainsi qu’aux opérations de chargement et déchargement de la cargaison du navire (équipements de sauvetage, équipements servant au transbordement de marchandises, de personnes et de carburant, provisions alimentaires, fournitures de toutes sortes, stocks de marchandises, etc.);
Manoeuvrer les équipements relatifs aux ancres et aux câbles du navire; exécuter les tâches reliées à gréement, aux câbles et cordages et à l’équipement de sauvetage du navire,
Participer aux manœuvres de mesures d'urgences en mer (contrôle des avaries, lutte contre les incendies, recherche et sauvetage, etc.);
Effectuer, au besoin, d'autres tâches nécessaires aux activités à bord du navire.
Tu pourrais même être appelé(e) des tâches spécifiques à bord du navire comme : travailler en permanence à la passerelle (timonier chargé de conduire les commandes du gouvernail); travailler en permanence aux travaux de la coque, des ponts et superstructures; préparer et servir les repas à bord; assister les officiers mécaniciens de marine à la salle des machines, etc. Par contre, il faudra que tu acquiers quelques années d’expérience en tant que matelot avant de pouvoir occuper en permanence ces tâches spécifiques.
Tu pourras travailler sur tous les types de navires et effectuer différents voyages, allant de la croisière à la navigation au long cours en passant par le remorquage.
Tu pourras travailler sur tous les types de navires depuis ceux des croisières-excursions jusqu’aux immenses porte-conteneurs en passant par les brises-glaces de la Garde côtière.
En tant que matelot à la salle des machines (aussi appelé "adjoint de la salle des machines" ou "assistant mécanicien" ou "mécanicien adjoint"); tu auras pour tâches d'assister l'officier mécanicien de bord à assurer le fonctionnement, l'entretien et la réparation des composantes du système de propulsion, de même que des machines et appareils auxiliaires à bord des navires.
Tu pourras travailler sur tous les types de navires depuis ceux des croisières-excursions jusqu’aux immenses porte-conteneurs en passant par les brises-glaces de la Garde côtière.
Tu auras pour tâches de :
Surveiller les appareils de contrôle qui sont reliés aux systèmes mécaniques, électriques et hydrauliques du navire;
Vérifier les indicateurs de l'équipement, des machines et des moteurs et les paramètres de fonctionnement des différents appareils à l’aide d’instruments spécialisés;
Vérifier les indicateurs de l’équipement technologiques;
Aider les officiers mécaniciens à effectuer le travail d'entretien de routine et à réparer le moteur, les machines et les appareils auxiliaires du bateau;
Lubrifier les pièces mobiles des moteurs, des machines et des appareils auxiliaires;
Assurer le fonctionnement et l'entretien des robinets et des pompes de vidange des liquides;
Nettoyer les pièces des machines et assurer la propreté de la salle des machines;
Consigner les données et signaler les anomalies à l'officier mécanicien de quart;
En tant que timonier(ère) (aussi appelé "homme de roue"); tu seras responsable de gouverner de navire avec la barre et applique les instructions de navigation provenant de l'officier de quart, du commandant en second ou du commandant.
Tu devras t'assurer que navire tient bien son cap. Tu devras rapporter tout obstacle à la navigation ou anomalie aux équipements de navigation, tels que le gyrocompas, le compas magnétique ou la barre du navire.
Tu auras également la responsabilité d’agir comme vigie à la passerelle de navigation afin d'assurer la surveillance visuelle et auditive de toutes les conditions et obstacles en mer.
QUALITÉS ET APTITUDES NÉCESSAIRES :
- Aimer voyager et travailler
dans un contexte international : bien que la majorité
des navires naviguent que dans
les eaux canadiennes, certains navires font des voyages outre-mer
- Excellente santé et une bonne gestion du stress : certains problèmes de santé pourraient nuire à l'obtention d'un certificat médical (ex : diabète nécessitant la prise d'insuline, allergies sévères, troubles bipolaires, peu d'entreprises emploient des marins ayant des allergies alimentaires, etc.)
- Très bonne vision : minimum de 6/20 ou 20/200 du meilleur œil ou des deux yeux ensemble (acuité non corrigée) ou minimum de 6/20 ou 20/40 (acuité avec lentilles cornéennes), problèmes refusés : diplosie, cécité nocturne, maladie oculaire progressive, daltonisme
- Être à l'aise dans les hauteurs et le travail en espace clos : donc, les personnes souffrant de vertige, de claustrophie, aquaphobie, peur de l'obscurité et du noir sont refusées
- Intérêts pour la mécanique puisque tu apprendras notamment comment effectuer la vérification et l'entretien des systèmes de propulsion des navires
- Excellente condition et endurance
physique : car tu travailleras de longues heures debout et
dans toutes sortes de position infortable et tu auras soulever des charges
lourdes
-
Très bonnes habiletés et
dextérité manuelles : car tu auras à manoeuvres des équipements et
câblages efficacement et rapidement, en plus d’avoir à exécuter divers travaux
d’entretien
-
Minutie, précision
et souci de la qualité de ton travail : car la plupart des tâches
que tu auras à exécuter demanderont de la précision (la sécurité de tes
collègues ou même de l’ensemble du navire peut parfois en dépendre)
- Grande facilité à travailler
en équipe : car tu travailleras en étroite collaboration avec
les autres matelots du navire, mais aussi avec les officiers de navigation
-
Autonomie, débrouillardise
et sens de l’initiative : tu devras être capable de te débrouiller
seul(e) dans certaines situations
- Être capable de gérer ton
stress et travailler sous pression : car tu seras
souvent appelé(e) à éxécuter rapidement ton travail, mais sans négliger la
qualité et la précision. Également utile pour être capable d’intervenir
efficacement lors des mesures d’urgences
- Sens des responsabilités : car tu
seras responsable de la qualité de ton travail
-
Discipline et capacité de
travailler sous supervision immédiate : car tu seras en
constante supervision du maître d’équipage qui est responsable de s’assurer du
bon déroulement des manoeuvres et respecter de façon exacte ses ordres et
commandements
- Capacité à résoudre des
problèmes : car tu auras parfois à résoudre certains problèmes (notamment
sur la passerelle)
-
Polyvalence : car tu
seras appeler à exécuter des tâches très diversifiées à bord du navire
-
Connaissance de l’anglais
oral et écrit car tu auras à utiliser divers manuels et publications
dans cette langue et c’est également cette langue qui est utilisée dans le
monde maritime
- Être prêt à relever des
défis car tu en auras plusieurs intéressants à relever
PROFESSIONS APPARENTÉES :
-
Adjoint(e) à la salle des machines
-
Capitaine de remorqueur
-
Cuisinier(ère) de navire
-
Gréeur(euse)
-
Grutier(ère) de pont
-
Homme d’équipage de passerelle
-
Manœuvrier(ère) (Forces armées) formation offerte
par les Forces
- Matelot de remorqueur
-
Matelot qualifié(e)
-
Matelot-soudeur(e)
- Steward (voir aussi ce métier au sein des Forces armées)
-
Technicien(ne) de marine (Forces armées) formation offerte par les Forces
-
Timonier(ère)
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
- Administrations de pilotage (dont l'Administration de pilotage des Laurentides)
-
Compagnies de croisières (Famille Dufour, Croisières AML, croisières
Tadoussac, etc)
- Compagnies de remorquage de navire
-
Compagnies de transport maritime (Algoma Tankers, Desgagnés, Coopmar, Océan,
Oceanex, Canada Steamship, Seaspan, SMIT Marine Canada, etc.)
-
Forces armées canadiennes (voir
section professions apparentées), voir aussi la
Réserve navale
- Gouvernement du Canada (Pêches et Océans Canada)
-
Société des traversiers du
Québec
EXIGENCES
DE L’EMPLOI :
- Détenir les certifications émises par Transports Canada (Formation Urgences en Mer FUM, certificat médical, brevet de matelotage)
- Mobilité partout au pays essentielle
- Mobilité outre-mer nécessaire pour certains emplois
- Travail sur quarts
- Longues heures de travail
Aucune attestation particulière
n’est nécessaire pour travailler en tant que matelot qualifié(e), exception
faite de l’attestation de formation sur les mesures d’urgences en mer – niveau
élémentaire.
Par contre, pour être homme
d’équipage de passerelle et les autres fonctions spécifiques, il est
obligatoire de détenir une attestation émise par Transports Canada. De plus,
certains postes exigent d’avoir acquis au moins quelques mois ou quelques
années d’expérience (selon le cas) en tant que matelot.
EXIGENCES
DES EMPLOYEURS :
-
Bonne connaissance de l’anglais
PLACEMENT (pour le D.E.P.) :
Selon
les données disponibles au 1er juin 2019 :
6 mois après la fin des
études
Le placement est bon, 67 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la totalité sont à temps complet.
NOMBRE DE
RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE À TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
6 | 4 | 4 | 0 |
Note: ce sont les données de la première promotion de ce programme.
Source : Ministère de l’Éducation
SALAIRE :
Selon les données 2022
Le salaire
moyen en début de carrière était de :
Matelots de pont :
- 20,69 $/heure (40 hres/sem) en tant que matelot à la Société des traversiers du Québec
- 21,15 $/heure (40 à 50 hres/sem) en moyenne en tant que matelot ordinaire ou matelot NON qualifié au sein des PME en transport maritime local
- 21,42 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que matelot au sein des entreprises privées de traversiers
- 22,04 $/heure (40 hres/sem - saisonnier) en moyenne en tant que matelot au sein des PME en croisières
- 24,23 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que matelot de pont au sein des grandes entreprises privées de traversiers
- 25,41 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que matelot de pont au sein des grandes entreprises publiques de traversiers (hors-Québec)
- 26,78 $/heure (40 hres/sem) en tant que matelot de pont à l'Administration de pilotage des Laurentides
- 27,58 $/heure (40 hres/sem) en tant que matelot de pont à l'Administration de pilotage de l'Atlantique
- 27,68 $/heure (40 hres/sem) + indemnités spéciales s'il y a lieu : 130 $/mois pour ceux reconnus comme spécialiste en sauvetage, ou 821 $/année pour le personnel qualifié tenu de travailler en plongée en tant que matelot de pont SANS qualification au sein de la fonction publique fédérale (Garde côtière canadienne, Pêches et Océans Canada - navires de recherche scientifique ou Défense nationale - navires civils de soutien opérationnel)
- 27,70 $/heure (40 hres/sem) + indemnités spéciales s'il y a lieu : 130 $/mois pour ceux reconnus comme spécialiste en sauvetage, ou 821 $/année pour le personnel qualifié tenu de travailler en plongée en tant que matelot de pont AVEC qualification au sein de la fonction publique fédérale (Garde côtière canadienne, Pêches et Océans Canada - navires de recherche scientifique ou Défense nationale - navires civils de soutien opérationnel)
- 27,96 $/heure (56 ou 84 hres/sem) en moyenne pendant la période en mer en tant que matelot ordinaire (sans qualification) au sein des grandes compagnies de transport maritime local
- 30,57 $/heure (56 ou 84 hres/sem) en moyenne pendant la période en mer en tant que matelot qualifié au sein des grandes compagnies de transport maritime local
-
3 168 $/mois
(grade de matelot
2e
classe)
en début de carrière en tant que manœuvrier
et augmente à
5
323,00 $/mois (+ indemnité de service en mer de 306 $/mois + indemnités
spéciales s'il y a lieu : 487 $/mois pour ceux reconnus comme spécialiste en
sauvetage, 646 $/mois pour le personnel qualifié tenu de travailler en plongée ou 21,90 $/jour pour plongées occasionnelles, 376 $/mois pour l'affectation
à bord d'un sousmarin, 745 $/mois pour service à l'étranger)
après 3 ans avec le grade de
matelot
1te
classe) au sein des
-
101,96 $/jour avec le grade de matelot 2e
classe en tant que manœuvrier (et augmente à 162,52 $/jour (+ indemnité de
service en mer) après 3 ans avec le grade de matelot
1ère classe)
au sein des
Matelots de la salle des machines :
- 20,69 $/heure (40 hres/sem) en tant que matelot de la salle des machines-huileur(euse) à la Société des traversiers du Québec
- 21,10 $/heure (40 à 50 hres/sem) en moyenne en tant que matelot de la salle des machines (sans qualification) au sein PME en service de traversiers
- 21,94 $/heure (40 hres/sem) en tant que mécanicien(ne) adjoint(e) à la Société des traversiers du Québec
- 22,04 $/heure (40 hres/sem - saisonnier) en moyenne en tant que matelot au sein des grandes entreprises canadiennes de croisières
- 24,59 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que matelot de la salle des machines - huileur(euse) au sein des grandes entreprises privées de traversiers
- 25,03 $/heure (40 à 50 hres/sem) en moyenne en tant que matelot de la salle des machines (sans qualification) au sein des PME en transport maritime local
- 25,98 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que matelot de la salle des machines - huileur(euse) au sein des grandes entreprises publiques de traversiers (hors-Québec)
- 27,66 $/heure (56 ou 84 hres/sem) en moyenne pendant la période en mer en tant que huileur au sein des grandes compagnies de transport maritime local
- 27,70 $/heure (40 hres/sem) + indemnités spéciales s'il y a lieu : 130 $/mois pour ceux reconnus comme spécialiste en sauvetage, ou 821 $/année pour le personnel qualifié tenu de travailler en plongée en tant que matelot de la salle des machines AVEC qualification au sein de la fonction publique fédérale (Garde côtière canadienne, Pêches et Océans Canada - navires de recherche scientifique ou Défense nationale - navires civils de soutien opérationnel)
- 28,56 $/heure (40 hres/sem) + indemnités spéciales s'il y a lieu : 130 $/mois pour ceux reconnus comme spécialiste en sauvetage, ou 821 $/année pour le personnel qualifié tenu de travailler en plongée en tant que matelot huileur au sein de la fonction publique fédérale (Garde côtière canadienne, Pêches et Océans Canada - navires de recherche scientifique ou Défense nationale - navires civils de soutien opérationnel)
- 29,97 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'assistant(e) mécanicicien(ne) au sein des grandes entreprises publiques de traversiers (hors-Québec)
- 30,85 $/heure (56 ou 84 hres/sem) en moyenne en tant que matelot qualifié de la salle des machines ou mécanicien-adjoint au sein des grandes compagnies de transport maritime local
- 33,46 $/heure (40 à 50 hres/sem) en moyenne en tant qu'électricien(ne) au sein des compagnies de transport maritime local
-
3 168 $/mois
(grade de matelot
2e
classe)
en début de carrière en tant que technicien(ne) de
marine et augmente à
5
323,00 $/mois (+ indemnité de service en mer de 306 $/mois + indemnités
spéciales s'il y a lieu : 487 $/mois pour ceux reconnus comme spécialiste en
sauvetage, 646 $/mois pour le personnel qualifié tenu de travailler en plongée ou 21,90 $/jour pour plongées occasionnelles, 376 $/mois pour l'affectation
à bord d'un sousmarin, 745 $/mois pour service à l'étranger)
après 3 ans avec le grade de
matelot
1te
classe) au sein des
-
101,96 $/jour avec le grade de matelot 2e
classe en tant que technicien(ne) de marine (et augmente à 162,52 $/jour
(+ indemnité de service en mer) après 3 ans avec le grade de matelot
1ère classe)
au sein des
Matelots de la passerelle :
- 18,51 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des PME de traversiers
- 21,94 $/heure (40 hres/sem) en tant que timonier(ère) à la Société des traversiers du Québec
- 23,15 $/heure (40 hres/sem - saisonnier) en moyenne en tant que matelot au sein des grandes entreprises canadiennes de croisières
- 25,16 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que timonier(ère) au sein des grandes entreprises privées de traversiers
- 27,70 $/heure (40 hres/sem) + indemnités spéciales s'il y a lieu : 130 $/mois pour ceux reconnus comme spécialiste en sauvetage, ou 821 $/année pour le personnel qualifié tenu de travailler en plongée en tant que matelot timonier au sein de la fonction publique fédérale (Garde côtière canadienne, Pêches et Océans Canada - navires de recherche scientifique ou Défense nationale - navires civils de soutien opérationnel)
- 28,32 $/heure (40 à 50 hres/sem) en moyenne en tant que timonier au sein des grandes entreprises de traversiers
- 28,56 $/heure (40 hres/sem) + indemnités spéciales s'il y a lieu : 130 $/mois pour ceux reconnus comme spécialiste en sauvetage en tant que matelot timonier au sein de la fonction publique fédérale (Garde côtière canadienne, Pêches et Océans Canada - navires de recherche scientifique ou Défense nationale - navires civils de soutien opérationnel)
- 29,25 $/heure (40 à 50 hres/sem) en moyenne en tant que timonier au sein des compagnies de transport maritime local
- 37,67 $/heure (56 ou 84 hres/sem) en moyenne pendant la période en mer en tant que timonier au sein des grand compagnies de transport maritime
- 39,09 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que timonier(ère) au sein des grandes entreprises publiques de traversiers (hors-Québec)
-
3 168 $/mois
(grade de matelot
2e
classe)
en début de carrière en tant que manœuvrier
et augmente à
5
323,00 $/mois (+ indemnité de service en mer de 306 $/mois + indemnités
spéciales s'il y a lieu : 487 $/mois pour ceux reconnus comme spécialiste en
sauvetage, 646 $/mois pour le personnel qualifié tenu de travailler en plongée ou 21,90 $/jour pour plongées occasionnelles, 376 $/mois pour l'affectation
à bord d'un sousmarin, 745 $/mois pour service à l'étranger)
après 3 ans avec le grade de
matelot
1te
classe) au sein des
-
101,96 $/jour avec le grade de matelot 2e
classe en tant que manœuvrier (et augmente à 162,52 $/jour (+ indemnité de
service en mer) après 3 ans avec le grade de matelot
1ère classe)
au sein des
Selon Emploi-Québec et le Comité sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie maritime du Québec; il y avait près de 2 000 matelots (de pont, de la salle des machines et timoniers) de la Marine marchande au sein d'armateurs du St-Laurent et des entreprises privées de traversiers du Québec, de la Garde côtière canadienne et de la Société des traversiers du Québec en 2022.
De ce nombre, on y comptait :
plus de 1 000 matelots de pont
plus de 400 matelots de quart à la passerelle (timonier, vigie, homme de roue)
plus de 300 matelots de la salle des machines
près de 200 conducteurs(trices) de petites embarcation
près de 60 opérateurs(trices) de machines de petites embarcations
Plus de 85 % étaient des hommes.
34 % détenaient un certificat ou un diplôme d'une école de métier (tel que le D.E.P. en matelotage ou un certificat de formation de l'IMQ ou une formation donnée par les Forces canadiennes)
22 % étaient titulaires qu'un diplôme d'études secondaires D.E.S. ou l'équivalent
15 % n'avaient pas complété leurs études secondaires
29 % avaient complété des études postsecondaires
PERSPECTIVES
D’AVENIR :
Plusieurs possibilités d’emploi dans ce domaine. La majorité des emplois sont au sein d'entreprises maritimes qui naviguent que dans les eaux canadiennes.
On éprouve des difficultés à recruter des matelots et le marché est en pénurie.
La Garde côtière canadienne estime qu'un minimum de 10 % du personnel en mer sera à remplacer d'ici trois à cinq ans en raison de départs à la retraite.
Avec sa nouvelle flotte de patrouilleurs et de brise-glace, présentement en eonstruction, lui permettra d'attirer de nouvelles candidates et nouveaux candidats prêts à travailler à bord de navires ultramodernes.
La Marine royale canadienne quant à elle, affirme qu'elle aurait besoin de plus d'un milier de marins dont des centaines de manœuvriers et de techniciens(nes) de marine afin de répondre à besoins.
Elle envisage également de changer la façon dont elle affecte les équipages aux navires pour éviter l'épuisement et le stress supplémentaires, en particulier lorsqu'il s'agit de déploiements à court terme
Avec sa nouvelle flotte de frégates et de navires de soutien, présentement en eonstruction, lui permettra d'attirer de nouvelles candidates et nouveaux candidats prêts à travailler à bord de navires ultramodernes.
L’entreprise BC Ferries, le plus grand fournisseur public de services de traversiers au Canada souhaite embaucher une centaine de personnes (dont plusieurs dizaines de matelots) pour travailler sur ses traversiers.
Annuellemlent, plus de 110 000 croisiéristes voyagent dans les eaux
canadiennes sur le territoire québécois.
34 % au sein des entreprises de services portuaires (telles que les entreprises d'arrimage)
20 % au sein des entreprises de soutien au transport maritime
21 % au sein des entreprises de transport maritime hauturier
11 % au sein des entreprises de transport maritime dans les eaux intérieures
7 % au sein des ports et administrations portuaires
On peut diviser l'industrie québécoise du transport maritime en 4 sous-secteurs, soit :
Transport de marchandises : on
transporte toutes sortes de marchandises telles que : vracs solides
(le charbon, les minerais ferreux et non ferreux, des grains, des animaux,
etc.); vracs liquides (produits pétroliers, gaz naturel liquéfié,
produits chimiques, produits forestiers, produits alimentaires, etc.);
marchandises diverses (véhicules, machines et équipements industriels,
meubles, appareils électromagers, appareils électriques, appareils
électroniques, etc.); colis lourds (aéronefs, bateaux, éoliennes,
grues, structures pour barrages hydroélectriques, plates-formes pétrolières,
etc.).
Partenaire privilégié auprès des entreprises canadiennes en
matière d'exportations, l'industrie canadienne du transport maritime est le
PREMIER mode de transport le plus utilisé pour expédier des
marchandises de toutes sortes à l'étranger.
L'industrie maritime québécoise
figure au 2e rang au pays derrière la
Colombie-Britannique. La plus grande partie de la circulation maritime de
marchandises d'effectue sur le fleuve St-Laurent entre Montréal et Québec par
des entreprises québécoises et canadiennes, mais également par des entreprises
étrangères provenant de nombreux pays.
Elle comprend notamment
26 armateurs du St-Laurent exploitant plus de 70 navires servant de transport
de marchandises à travers le Canada et l'étranger, ainsi que 18 agences
maritimes qui fournissent des services d'expertises de consultation pour les
entreprises maritimes.
En 2014, elles ont transporté plus de 110
millions de tonnes de marchandises de toutes partout au Québec, ailleurs au
Canada et aux USA, mais également dans plusieurs autres régions du monde (dont
80 millions de tonnes en transport international).
Chaque année, on
dénombre près de 11 000 mouvements de navires dans les zones maritimes situées
au Québec.
En 2014, elles ont généré des revenus totalisant plus de 3,2
milliards $, soit 21 % des revenus totaux de l'industrie maritime canadienne.
Elles employaient plus de 3 600 travailleuses et travailleurs québécois
(seulement 36 % sont des postes de personnel navigant, alors que 64 % sont des
postes du personnel non navigant d'entretien et administratif.
Transport de passagers : ce soit
pour te déplacer pour affaires ou visiter la famille ou des amis; te déplacer
chaque jour d'une rive à une autre pour aller travailler ou à l'école; pour
aller visiter des atraits touristiques et admirer les magnifiques paysages (ou
des animaux marins) d'une région; pour te rendre à un site pour pratiquer un
sport ou une autre activité de plein air ou tout simplement pour vivre une
expérience divertissante à bord d'un navire de croisières; le transport
maritime de passagers est un moyen de déplacement fort pratique et apprécié.
Ce sont 25 entreprises de traversiers (dont 12 effectuant des
traversées sur le fleuve St-Laurent et 9 effectuant des traversées sur
des lacs et rivières) qui emploiyaient plus de 840 travailleuses et
travailleurs et ont généré des revenus totalisant plus de 30 millions $
en 2014.
En
2014, il y a eu plus de 282 000 croisiéristes et excursionnistes (c'est plus
de 2,3 fois plus qu'en 2007) ayant généré des revenus de plus 140 millions $
(c'est le double par rapport à 2007), soit le tiers de tous les revenus de
l'industrie canadienne des croisières.
C'est donc, une industrie qui a "le
vent dans les voiles".
Il y avait 38 entreprises de croisières et
excursions, majoritairement sur le St-Laurent, mais également dans d'autres
cours d'eau (tels que : lac Champlain, lac St-Jean, lac Témiscamingue, lac
Témiscouata, lac St-Pierre, Rivière Saguenay, Rivière St-Maurice, Rivière
Richelieu, etc.). Une seule d'entre-elles est considérée comme grande
entreprise employant plus de 500 personnes, 23 emploient moins de 100
personnes (dont 14 employant moins de 5 personnes).
Elles employaient
près de 1 800 personnes en 2013, principalement en période saisonnière (saison
estivale).
Elles détiennent
une flotte de plus de 50 navires faisant escale dans l'un des 10 ports
québécois d'escale de croisières (Montréal, Québec, Trois-Rivières, Saguenay,
Baie-Comeau, Sept-Iles, Havre St-Pierre, Percé, Tadoussac, Sorel-Tracy ainsi
que les Îles-de-la-Madeleine).
Soutien au transport maritime :
comprend les entreprises dont les activités consistent à :
fournir
des services d'intermédiaires en transport maritime (représentation de
sociétés, prise en charge des cargaisons, traitement des affaires avec le
port au nom des armateurs et des affréteurs;
fournir
des services d'arrimage et autres services de manuntention du fret maritime
(cale de navire, chargement et déchargement de navires, manutention de
cargaisons, etc.);
fournir des services de navigation commerciale et de
pilotage (amarrage et désamarrage, contrôle de la circulation commerciale,
remorquage de navires, radiophare, pilotage aux navires, etc.);
fournir
des services de réparation et d'entretien de navires hors des chantiers
navals (désincrustation des navires, réparation et entretien sur quai,
etc.);
fournir des services de logistique des opérations de transport de
marchandises (contrôle et vérification des cargaisons, opérations
douanières, affrètement, etc.).
fournir des services de sauvetage de
navires et de leurs cargaisons (remorquage de secours, sauvetage en cas
de renflouement, renflouement de navires coulés).
Ce sont 126
entreprises de services de soutien aux activités de transport maritime
présentes au Québec ayant généré des revenus de plus de 2,5 milliards $
et qui employaient plus de 6 400 personnes (dont plus de 2 000 au sein
des agences maritimes et 200 au sein des corporations de pilotage).
Services portuaires : Le
secteur maritime en croissance du Canada dépend de ses ports et de ses
installations maritimes qui desservent les opérations de pêche
commerciale, les navires de la marine marchande et les navires de
croisières.
Au Québec; on comptait 25 entreprises de
services portuaires ayant généré des revenus de près de 35 millions $ et
qui employaient plus de 600 personnes.
On compte également près
d’une vingtaine de ports commerciaux dont cinq ont le statut
d’Administration portuaire canadienne (APC) de juridiction fédérale :
Port de
Montréal : 1er
port de conteneurs en importance de l'Est du Canada et sur la Voie
maritime du St-Laurent et second au pays (derrière le Port de
Vancouver), 3e port en importance en termes de tonnage manutentionné
(derrière les ports de Vancouver et de Québec) avec 30 millions de
tonnes de marchandises y sont manutentionnées annuellement, seul port à
conteneurs de la Porte continentale du Canada par où transitent plus de
80 % des échanges commerciaux du Canada, 2 200 navires y accostent
chaque année (dont 40 navires de croisières internationales ayant
accueilli plus de 38 800 passagers), emploie 241 personnes, mais a
génère 18 280 emplois indirects (5 400 liés aux entreprises impliqués en
transport maritime et 12 880 au sein des fournisseurs de toutes sortes).
Port de Québec : 2e
port en importance sur la Voie maritime du St-Laurent et au Québec, 2e
port en importance dans l'ensemble du pays en termes de tonnage
manutentionné (derrière Vancouver) puisque que 33 millions de tonnes de
marchandises y sont manutentionnées annuellement, 1 127 navires de
marchandises et 103 navires de croisières (ayant accueilli plus de 164
000 passagers) en 2012, génère plus de 5 000 emplois (principalement au
sein des entreprises impliquées en transport maritime et auprès des
fournisseurs, dont une centaine au sein de l'administration portuaire
même).
Port de Sept-Îles : 3e
port en importance sur la Voie maritime du St-Laurent et au Québec et
second plus grand port de vrac solide au pays, près de 23 millions de
tonnes de marchandises y sont manutentionnées, mais 27,7 millions en
2013 (principalement des minerais et des marchandises générales, de même
que plus de 400 000 tonnes de produits pétroliers, de nombreux navires
de marchandises y visitent chaque année (provenant de plus de 15 pays
dont la Chine, les Pays-Bas, le Japon, le Brésil, Trinité-et-Tobago,
France et USA) et a accueilli une soixantaine de navires de croisières
transportant plus de 3 300 passagers en 2013. Enfin, plus de 2 500
emplois y sont soutenus, principalement auprès des entreprises maritimes
impliquées dans le transport maritime.
Port de Trois-Rivières
: plus de 2,7 millions tonnes de marchandises (dont 1,4 millions de
tonnes de vrac solide, 300 000 tonnes de vrac liquide et 167 000 tonnes
de marchandises générales) y ont été manutentionnées en 20
Port de Saguenay : plous de 295 000 tonnes de marchandises y sont
manutentionnées annuellement, une vingtaine de navires de croisières
canadiens le visitent annuellement avec une quinzaine de milliers de
passagers et enfin, quelques centaines d'emplois y sont soutenus.
La proportion des emplois selon les régions étaient surtout concentrées dans les régions suivantes :
Montréal (33 %), Québec (15 %), Côte-Nord (15 %), Montérégie (10 %), Bas-St-Laurent (8 %), Gaspésie et Îles-de-la-Madeleine (5 %), Mauricie (4 %).
LE PROGRAMME D’ÉTUDES :
Le Diplôme d'études professionnelles D.E.P. en matelotage offert par le CFP en mécanique de véhicules lourds de Lévis (conjointement avec l'Institut maritime du Québec IMQ) a une durée totale de 735 heures réparties sur 9 mois offert à temps complet de jour principalement de jour, mais certaines portions de la formation peuvent être tenues en soirée.
Ce nouveau programme unique au Canada permet d'exercer le métier de matelot tant sur le pont que dans la salle des machines de tous types de navires (cargo, croisières, traversier, etc.).
Il comporte les cours obligatoires suivants :
modules communs :
introduction au monde maritime et la vie en mer, introduction à l'industrie maritime, connaissance pratique en mer, sécurité au travail, premiers soins en mer – niveau élémentaire, secourisme élémentaire en mer d'une durée de 16 heures (principes généraux du secourisme en mer, notions d'anatomie et physiologie, position de la victime, victime inconsciente, techniques de réanimation, hémorragie, traitement de l'état de choc, brûlures, échaudures et accidents électriques, techniques de sauvetage et transport de la victime, autres points en lien avec les risques d'accidents en mer et évaluation).
modules de matelotage de pont :
les procédures relatives au quart sur le pont, les appareils de mouillage, techniques d'amarrage, utilisation des machines de pont, utilisation de l'outillage de manutention des marchandises (incluant échafauds, échelles et passerelles d’embarquement) et soins des cargaisons, pavillons, cordages et nœuds, poulies et palans, gréement courant et gréement dormant, communications et procédures pour la tenue d’un quart sur la passerelle, opération des grues de pont, manœuvres de chalands et de gabares.
modules de matelotage de la salle des machines :
les procédures relatives au quart de la salle des machines, utilisation et manipulation des outils, fonctionnement et entretien des moteurs à combustion interne, fonctionnement entretien des machines principales et auxiliaires, fonctionnement et entretien des systèmes de pompage, fonctionnement et entretien des alternateurs et génératrices, fonctionnement et entretien des chaudières, utilisation et manipulation des combustibles, notions sur les lubrifiants, notions d'électricité de marine, circuits à air comprimé.
modules de matelotage de la timonerie :
la tenue de la gouverne et ordre de la barre, utilisation des compas magnétique et gyroscopique, ordres et instructions de la barre, veille visuelle et auditive, responsabilité liée à la veille, surveillance et tenue de quart et utilisation du système de communication.
-
Soit détenir le D.E.S.
-
Soit avoir 16 ans au 30 septembre et avoir
réussi les cours de français, anglais et mathématiques de 3e
secondaire ou leurs équivalents
-
Soit avoir 18 ans et posséder des
connaissances équivalentes
AUTRES EXIGENCES D’ADMISSION :
STATISTIQUES D’ADMISSION :
Ce programme n’est pas contingenté
Les candidats(es) répondant aux conditions d'admission et ayant réussi le test de sélection sont généralement admis.
ENDROIT
DE FORMATION :
offert conjointement avec l'
accès à plusieurs
équipements
et installations
dont : un bassin d'entraînement, un simulateur de navigation, un
simulateur de chaloupe de sauvetage, une caserne d'incendie de bord, un
mode d'entraînement en espace clos et un
navire-école Nouvelle-France (ancien navire de croisière au
Saguenay doté de tous les appareils, équipements et systèmes d'un navire
conventionnel), voir la
page suivante;
permet d'obtenir des
certifications de Transports Canada,
soit : Sécurité de base STCW, Aptitudes à l’exploitation des bateaux
de sauvetage et des canots de secours,Secourisme élémentaire en mer et
Personnel ayant des responsabilités en sûreté (PBRS);
regarde la
vidéo promotionnelle du programme;
admissions à temps complet de jour
à l'automne;
programme unique au Canada
un extrait de l'émission Jobs de bras avec Pierre Niquet, Hugo Letarte et et Aldo Navaro; le premier est capitaine de remorqueur, le second est officier mécanicien d'un remorqueur et le dernier est matelot de remorqueur pour le Groupe Océan Remorquage et réalisée par Fair-Play Productions;
un reportage dans le cadre de l'émission C'est ça la vie ! avec des membres d'équipage du vraquier Spruceglen du Groupe CSL de Montréal réalisée et diffusée sur la SRC;
l'entrevue avec Marie-Audrey Houle; matelot à bord du traversier Québec-Lévis de la Société des traversiers du Québec et réalisée par ICI Radio-Canada Québec;
l'entrevue avec Philippe Rainville; matelot de remorqueur pour le Groupe Océan et réalisée par le Groupe Océan;
une entrevue avec Jean-Olivier St-Louis, matelot à bord du traversier NM Alphonse-Desjardins de la Société des traversiers du Québec qui effectue la traverse Québec-Lévis réalisée par la Société des traversiers du Québec conjointement avec la CSN;
l'entrevue avec François; matelot au traversier Québec-Lévis de la Société des traversiers du Québec et réalisée par Marie-Audrey Houle, journaliste au Téléjournal Québec de la SRC;
les entrevues avec capitaine Amélie Séguin et Nathan Katgely; la première est commandante du M/V Grand Fleuve et directrice-adjointe aux opérations pour l'Est du Québec et le second est matelot à bord du M/V Grand Fleuve et réalisées par les Croisières AML;
l'entrevue (en anglais) avec Margaret Szopinski; assistante mécanicienne à bord du CSL Welland, un vraquier de classe Trillium de Steamship Lines et réaisée par le Syndicat internationale des marins canadiens;
l'entrevue (en anglais) avec Chris Chaulk; matelot ordinaire de pont à bord du CSL Welland, un vraquier de classe Trillium de Steamship Lines et réaisée par le Syndicat internationale des marins canadiens;
les entrevue avec Jonas Solano et Jean-Sébastien Bond; le premier est 3e officier mécanicien et le second est assistant-mécanicien à bord du brise-glace du NGCC Amundsen de la Garde côtière canadienne et réalisées par la Garde côtière canadienne;
une vidéo (en anglais, sous-titré en français); présentant la formation à l'École de contrôle des avaries Galiano à la base militaire d'Esquimalt en BC et réalisée par les Forces canadiennes;
l'entrevue (en anglais) avec matelot de 2e classe Yaretz,; manoeuvre - maître d'équipage à bord de la frégate NCSM Vancouver de la Marine royale canadienne et réalisée par les Forces canadiennes;
les entrevues avec maître de 2e classe Mélina Martin etmatelot de 1re classe Jacques Lachapelle; la première est manoeuvrière au sein de l'Unité des opérations portuaires à la base militaire d'Halifax en N-É et le second est manoeuvre à bord d'une frégate de la Marine royale canadienne et réalisées par les Forces canadiennes;
les entrevues avec maître de 2e classe Yannick Gagné et matelot de 1re classe Vincent DeLaunière; techniciens de coque (maintenant appelé "technicien de marine") dans la Marine royale canadienne et réalisées par les Forces canadiennes;
un extrait de l'émission C'est ça la vie ! sur la vie sur un cargo et réalisée et produite par la SRC;
une vidéo présentant le Centre de formation en mesures d'urgences en mer qui forment les matelots et réalisée par l'Institut maritime du Québec.
Général :
-
Garde Côtière canadienne :
site officiel de cet organisme gouvernemental voué au recherche et sauvetage
-
Marine Canadienne :
site officiel de la marine des Forces canadiennes
-
Marines du
monde : site décrivant les navires de guerre de partout dans le monde
-
Maritime
Museum of Atlantique : site officiel de cet important musée maritime
situé à Halifax (Nouvelle-Écosse)
-
Musée canadien de
la guerre : site officiel de ce
musée situé à Ottawa dont une partie est consacrée à l’histoire de la Marine
militaire canadienne
-
Musée de la mer :
site de ce musée (notamment l’histoire du Empress of Ireland)
-
Musée Maritime du Québec : site
de ce merveilleux musée
-
Musée
National de la Marine Française : site officiel de ce grand musée
-
Musée national de la Marine :
site de ce grand musée français
-
Réserve navale du Canada :
site officiel de la réserve de la marine des Forces canadiennes
- Site sur les navires : site d’un amateur de navires
-
Vancouver
maritime museum : site officiel de cet important musée maritime situé
à Victoria (Colombie-Britannique)
- Technopole maritime du Québec : site d’infos sur le monde maritime
Sur les carrières maritimes :
- Comité sectoriel de la main-d’œuvre de l’industrie maritime : portrait de l’industrie maritime au Québec et des carrières reliées
- Les carrières maritimes : site
d’infos sur les différentes possibilités de carrière dans ce secteur
- Technopole maritime du Québec : site d’infos
sur les carrières dans le domaine maritime et leurs applications
- Marin d’eau douce : site d’officière de marine qui raconte des histoires qui lui sont arrivées dans son travail
- Corporation des pilotes du Bas-St-Laurent : infos sur le pilotage maritime et le métier de pilote de navire
- Corporation des pilotes du St-Laurent central : infos sur le pilotage de navire
- Cruise Line Jobs : guide Internet (en français et en anglais) d'informations sur les carrières dans l'industrie des croisières
- Cruise Dream Jobs : site d'informations sur les carrières dans l'industrie des croisières (en anglais)